Bruxelles thermomètre de l'europe

Cerexhe: "On est sur une bombe sociale"



(15/09/2009)

Le ministre estime qu'"il y a d'abord un très gros problème de formation à Bruxelles
BRUXELLES
Le ministre bruxellois de l'Emploi et de l'Economie, Benoît Cerexhe (cdH), affirme mardi, dans un entretien accordé à La Libre Belgique, que "sans politique d'emploi vigoureuse à Bruxelles, on va dans le mur", ajoutant qu'"on risque la dualisation de cette ville". Benoît Cerexhe affirme que "si on ne fait rien, c'est une bombe sociale qui nous attend". Le ministre estime qu'"il y a d'abord un très gros problème de formation à Bruxelles. Quand on voit que ces jeunes qui ne parlent parfois ni français ni néerlandais entrent en première primaire, ça commence déjà très mal".

Il dénonce aussi un problème de discrimination à l'embauche: "est-ce que vous voyez, par exemple, beaucoup de facteurs d'origine immigrée? Pourtant, ça ne demande pas une formation hors du commun", souligne-t-il notamment.
Quant au refinancement de Bruxelles, le ministre de l'Economie estime qu'il est indispensable "et cela profitera à tous". "Qui a intérêt à ce que Bruxelles soit correctement financée ? Mais les Flamands et les Wallons ! (...) Chaque Bruxellois paie 500 euros par an pour financer la Mobilité à Bruxelles. Et à qui servent ces transports en commun ? A tous les navetteurs ! Pourquoi seuls les Bruxellois devraient-ils les payer ? Que serait la Flandre ou la Wallonie sans Bruxelles. Rien du Tout ! Même les patrons flamands l'ont bien compris", ajoute encore le ministre bruxellois pour qui les négociations communautaires ne sont pas une priorité.



La Dernière Heure 2009

Il faudrait suprimer les artistes J.L


La ville de Bruxelles veut venir à bout des graffitis sauvages


Si votre façade a été peinturlurée pendant que vous aviez le dos tourné, sachez que l’enlèvement des graffitis est entièrement gratuit pour les propriétaires. Le coût est pris en charge par la ville de Bruxelles.











Votre région - Bruxelles 6:58 La Ville de Bruxelles a lancé une opération destinée à venir à bout des graffitis : le nettoyage de tous les tags et graffitis du quartier de la rue de l’Etuve (près de la Grand-Place). Le nettoyage des façades de la rue de l’Etuve, rue du Lombard, Place Saint-Jean, Vieille Halle aux blés, rue du Chêne a démarré le dimanche 6 septembre. Au programme de l’opération : peinture et sablage. Cette opération de nettoyage systématique est la deuxième du genre après celle du quartier Marché aux Herbes qui avait eu lieu avant l’été.

Cette opération de nettoyage systématique se justifie en raison du peu d’empressement des propriétaires à nettoyer ou faire nettoyer leur façade et du souhait de la Ville de Bruxelles de rendre de l’éclat à ces rues commerçantes, situées à côté de la Grand-Place.

Accord syndicats-direction à la police de Bruxelles-Ouest




Belgique - Société mer 16 sep, 19:08
Les autorités de la police de la zone de Bruxelles-Ouest (Molenbeek, Jette, Ganshoren, Berchem Sainte-Agathe, Koekelberg) et les organisations syndicales sont parvenues mercredi à un accord. Les syndicats étaient opposés aux mesures d'économie proposées par la direction.
Les syndicats ont décidé à la suite de cet accord de suspendre une nouvelle fois leurs actions. "De nouvelles normes de travail proposées par la direction du corps de police ont été approuvées en consensus. Ces nouvelles normes doivent permettre à la zone de police de réaliser les économies demandées", a indiqué la police locale, qui a précisé que ces mesures n'affecteront nullement la sécurité du personnel ou de la population. Ces nouvelles normes de travail entreront en vigueur dès jeudi et seront appliquées jusqu'à la fin de l'année. Elles feront, par la suite, l'objet d'une évaluation en vue de la confection du budget 2010.

Tintin et Milou illuminent à nouveau le ciel du Midi à Bruxelles


L'enseigne à l'effigie de Tintin et Milou a officiellement repris mardi soir la place qu'elle occupait au sommet de l'immeuble des Éditions du Lombard, après une restauration en profondeur de huit semaines.



L'enseigne à l'effigie de Tintin et Milou a officiellement repris mardi soir la place qu'elle occupait au sommet de l'immeuble des Éditions du Lombard, après une restauration en profondeur de huit semaines.







Belgique - Société 6:54
Après une remise en forme de huit semaines, largement financée par la Région de Bruxelles-Capitale, les têtes de Tintin et de son fidèle compagnon couronnées de néons illuminent à nouveau le ciel du quartier du Midi. Ils ont repris la valse que l'on croyait éternelle jusqu'à ce que l'usure du temps et du mécanisme de la girouette n'en décident autrement, du haut de la place Bara, face à la gare d'où débarquent chaque jour plus de 90.000 voyageurs.
L'enseigne est classée depuis 2004, ce qui a justifié l'intervention financière de la Région bruxelloise. Symbole du "journal des jeunes de 7 à 77 ans" créé en 1946, dont elle figurait le logo, l'enseigne avait été installée le 2 juillet 1958 sur le toit du nouvel immeuble construit par les Editions du Lombard, à plus de 25 mètres de haut.
Son retour à domicile a pris une forme très officielle mardi soir parallèlement à l'ouverture de l'exposition "Bruxelles dans la BD" présentée six étages plus bas, dans les locaux de la Fondation Raymond Leblanc.

Bruxelles n'a pas dormi
















Magazine - Arts et Spectacles 9:48
Les noctambules curieux ont pu déambuler toute la nuit dans le centre de Bruxelles, à l'occasion de cette nuit blanche. Entre musique, ambiances, animations diverses... Pour cette huitième édition, Nuit Blanche a su combler les amateurs de sorties originales by night. Dans la nuit de samedi à dimanche, la ville de Bruxelles a changé de visage.

Le principe de cette manifestation : " une nuit pour se rassembler, partager l’insolite et la création contemporaine dans une ambiance chaleureuse et festive, propice à la découverte et à l’étonnement" (présentation officielle).

Gros blocages dans la capitale demain


La circulation s'annonce plus que compliquée demain dans Bruxelles... Une manifestation des agriculteurs, doublée d'une action des enseignants.











Votre région - Bruxelles 10:02
Ce lundi 5 octobre sera une journée de manifestations et de grogne à Bruxelles notamment... Ce qui augure une circulation complexe voire impossible. Les producteurs de lait européens ont prévu de manifester pour réclamer des aides aux ministres de l'Agriculture de l'UE, réunis le même jour dans la ville. Plusieurs milliers de participants sont attendus.

De leur côté, les syndicats d'enseignants entendent également manifester demain : ils disent refuser que l'école soit victime des mesures d'austérité budgétaire. Ils exigent le retrait des mesures d'économies mises sur la table. Une nouvelle journée d'action dans les écoles est donc prévue ce lundi.
Il sera donc de bon ton de prendre les transports en communs plutôt que la voiture, histoire de limiter les embouteillages monstres attendus.

Crise du lait : des manifestants en colère bloquent le centre de Bruxelles















Monde - Europe 16:41
Plusieurs milliers de producteurs laitiers en colère ont paralysé lundi le centre Bruxelles en manifestant pour faire pression sur l'Union européenne en vue d'obtenir des aides face à la chute des prix.
La police a évalué à 2.400 le nombre des protestataires, tandis que les organisateurs de la Fédération européenne des producteurs de lait (EMB) ont parlé de 5.000 participants.
Les agriculteurs, venus à bord de centaines de tracteurs, se sont rassemblés au coeur du quartier des institutions européennes, qu'ils ont totalement bloqué. Ils se sont réunis devant le lieu d'une réunion des ministres de l'Agriculture de l'Union européenne convoquée d'urgence pour évaluer les moyens d'aider le secteur.
La situation était assez tendue en fin d'après-midi, vers 17H00 (15H00 GMT) dans le quartier des institutions européennes.
Devant le bâtiment de la réunion, les manifestants faisaient face à un important dispositif de policiers antiémeutes, aidés de véhicules équipés de lances à eau, pendant que des hélicoptères de la police survolaient le quartier.
Les protestataires lançaient des oeufs et des bouteilles en direction du lieu de la réunion, des policiers, mais aussi parfois des journalistes, a constaté l'AFP. Ils faisaient aussi retentir des sirènes et des klaxons ou lançaient des pétards.
Les plus déterminés ont tenté de mettre le feu à des bottes de pailles, entraînant le déclenchement des canons à eau.
"Ultra libéralisme = Mort de l'agriculture", pouvait-on lire sur les calicots des manifestants, ou encore "Pas de pays sans paysans".
Aucun incident grave ou interpellation n'avait été toutefois signalé dans la ville en fin d'après-midi.
Dans la matinée, à l'extérieur de Bruxelles, des agriculteurs à bord de tracteurs avaient tenté de forcer un barrage des forces de l'ordre sur une autoroute menant à Bruxelles, selon la police. Finalement, après discussion, le cortège des manifestants a été autorisé à reprendre son chemin en direction de la capitale de l'Europe.
La réunion ministérielle sur le lait, malgré la manifestation, n'a débouché sur aucune mesure d'aide immédiate en faveur des producteurs de lait.
Elle avait été convoquée à la demande de la France et de plusieurs autres pays qui demandent à la Commission européenne de débloquer des aides en faveur du secteur en crise. Ce dernier est victime d'une forte chute des prix, qui met en danger l'existence des producteurs les plus fragiles.
Les protestataires accusent la politique actuelle de libéralisation de l'agriculture européenne d'être responsable de la situation, ce que réfute la Commission. Pour elle, c'est la baisse de la demande de produits laitiers, consécutive à la crise économique, qui est à l'origine du repli des prix.
Les manifestants ont été réunis à l'appel de l'EMB, une organisation récemment apparue dans le paysage syndical agricole européen et qui campe sur une ligne dure.

Lait: Quelques échauffourées entre les manifestants et la police












Monde - Europe 17:21 La manifestation des producteurs de lait était toujours en cours lundi vers 17 heures, au Rond-Point Schuman à Bruxelles. Quelques échauffourées entre les manifestants et la police ont éclaté dans l'après-midi, a constaté l'agence Belga.
Paille, lait, purin et de nombreux projectiles ont été jetés en direction des policiers, qui ont fait usage des auto-pompes à plusieurs reprises. (HIE)

Lait: l'UE promet une "régulation" encore floue


A l'issue de leur réunion ministérielle à Bruxelles, les ministres européens en charge de l'Agriculture ont annoncé lundi la mise sur pied d'un groupe d'experts chargé de réfléchir aux moyens d'aider à terme le secteur laitier en crise, mais n'a évoqué aucune nouvelle aide pour les producteurs.













Monde - Europe 18:47
Les ministres européens de l'Agriculture ont évoqué lundi les moyens de soutenir le prix du lait, sans toutefois offrir de nouvelles perspectives claires aux milliers d'agriculteurs en colère rassemblés au pied du Conseil. Ils ont promis d'examiner quelques mesures de court-terme lors de leur réunion du 19 octobre. A plus long terme, une nouvelle "régulation" du marché pourrait voir le jour.

Pas de nouvelles mesures
Au même moment où les agriculteurs échaudés lançaient des projectiles sur le bâtiment, la commissaire à l'Agriculture, Mariann Fischer Boel, s'adressait aux journalistes pour répéter que la Commission n'avait pas de nouvelles mesures dans son sac.
"Si l'on veut plus d'argent, les ministres des Finances doivent comprendre qu'ils vont devoir ouvrir leur bourse", a-t-elle déclaré, renvoyant la balle dans le camp des Etats membres.
Le doublement (de 7.000 à 15.000 euros) du plafond d'aides que chaque pays peut verser à un agriculteur est précisément la principale mesure de court-terme qui pourrait être approuvée le 19 octobre. Même approuvée, cette mesure n'est pas certaine d'être appliquée par des gouvernements en situation budgétaire précaire.

La piste de la contractualisation
A long terme, un groupe de réflexion pourrait recommander la mise en place d'une négociation collective entre les agriculteurs, les industries de transformation et la grande distribution, avec l'objectif de définir un prix plus juste.La "contractualisation", déjà initiée en France, consiste à amener les producteurs à négocier collectivement les prix du lait avec l'industrie transformatrice et la grande distribution. De tels accords collectifs doivent permettre de stabiliser les prix du marché et remplacer ainsi le régime des quotas, qui n'est plus défendu que par une minorité de responsables politiques.

Les 20 pays européens, dont la Belgique, qui plaident pour "une nouvelle régulation" du marché du lait ne demandent pas autre chose. Dans leur déclaration commune, ils parlent de "donner aux producteurs les moyens légaux de s'organiser efficacement".

Lait: les agriculteurs crient leur colère à Bruxelles


Des milliers de producteurs de lait ont manifesté lundi dans le quartier européen à Bruxelles pour protester conte le prix du lait jugé trop bas. Malgré cette manifestation, la réunion ministérielle européenne sur le lait n'a débouché sur aucune mesure d'aide immédiate en leur faveur.









Laruelle veut un système de négociation européen

La ministre fédérale de l'agriculture, Sabine Laruelle, a préconisé lundi un système européen de négociation collective pour soutenir les prix du lait et les revenus des agriculteurs. Tout en admettant que les contours d'un tel régime restaient à définir, elle a exclu qu'il soit limité à la Belgique.
Selon Mme Laruelle, il faut "renforcer le pouvoir de négociation des agriculteurs" face aux autres acteurs du marché, en particulier les industries de transformation et la grande distribution. Un régime de négociation collective doit permettre d'aboutir à une prix plus juste, a-t-elle dit. Pour autant, la ministre a admis qu'entre les niveaux européen, national et régional, elle ne "sait pas encore où la négociation doit se faire". "On peut imaginer un système de poupées russes", a-t-elle avancé. Un groupe d'experts européen entamera sous peu une réflexion sur le sujet.
Pour Mme Laruelle, il n'est en tout cas "pas la peine de mettre en place un système de négociation uniquement en Belgique". Un cadre belge n'aurait pas de sens dans un petit pays dont la moitié de la production est exportée, a-t-elle argumenté.

Belgique - Société 18:51



La manifestation des producteurs de lait était toujours en cours lundi vers 17 heures, au Rond-Point Schuman à Bruxelles. Quelques échauffourées entre les manifestants et la police ont éclaté dans l'après-midi. Paille, lait, purin et de nombreux projectiles ont été jetés en direction des policiers, qui ont fait usage des auto-pompes à plusieurs reprises.
Plusieurs milliers de producteurs laitiers en colère paralysent le centre Bruxelles en manifestant pour faire pression sur l'Union européenne en vue d'obtenir des aides face à la chute des prix. "Il faut réguler l'offre tout simplement. C'est trop simple, c'est pour cela que l'Europe ne veut pas. Il faut mettre cela dans la main des agriculteurs avec un partenariat avec les laiteries et les consommateurs", estime Eric Weingart, un producteur de lait.
Les agriculteurs, venus à bord de centaines de tracteurs, se sont rassemblés au coeur du quartier des institutions européennes, qu'ils ont totalement bloqué. Ils se sont réunis devant le lieu d'une réunion des ministres de l'Agriculture de l'Union européenne convoquée d'urgence pour évaluer les moyens d'aider le secteur.

Important dispositif policier
La situation était assez tendue en fin d'après-midi, vers 17H00 (15H00 GMT) dans le quartier des institutions européennes.
Devant le bâtiment de la réunion, les manifestants faisaient face à un important dispositif de policiers antiémeutes, aidés de véhicules équipés de lances à eau, pendant que des hélicoptères de la police survolaient le quartier.

Des oeufs et des bouteilles
Les protestataires lançaient des oeufs et des bouteilles en direction du lieu de la réunion, des policiers, mais aussi parfois des journalistes,. Ils faisaient aussi retentir des sirènes et des klaxons ou lançaient des pétards. Les plus déterminés ont tenté de mettre le feu à des bottes de pailles, entraînant le déclenchement des canons à eau.
"Ultra libéralisme = Mort de l'agriculture", pouvait-on lire sur les calicots des manifestants, ou encore "Pas de pays sans paysans". Aucun incident grave ou interpellation n'avait été toutefois signalé dans la ville en fin d'après-midi.

Aucune mesure d'aide immédiate
La réunion ministérielle sur le lait, malgré la manifestation, n'a débouché sur aucune mesure d'aide immédiate en faveur des producteurs de lait.
Elle avait été convoquée à la demande de la France et de plusieurs autres pays qui demandent à la Commission européenne de débloquer des aides en faveur du secteur en crise. Ce dernier est victime d'une forte chute des prix, qui met en danger l'existence des producteurs les plus fragiles.
Les protestataires accusent la politique actuelle de libéralisation de l'agriculture européenne d'être responsable de la situation, ce que réfute la Commission. Pour elle, c'est la baisse de la demande de produits laitiers, consécutive à la crise économique, qui est à l'origine du repli des prix.
Les manifestants ont été réunis à l'appel de l'EMB, une organisation récemment apparue dans le paysage syndical agricole européen et qui campe sur une ligne dure.

Blocage des autoroutes
Les agriculteurs sont partis tôt ce lundi matin de leurs exploitations afin d’atteindre la capitale. Un trajet assez long qui s’est déroulé dans une certaine tension. Les producteurs namurois n’ont en effet pas pu monter sur l’autoroute avec leurs tracteurs. Certains ont bien essayé, mais ils se sont heurtés aux policiers qui leur faisaient barrage. "Il est prévu de forcer l’autoroute. On va y arriver. Dans 5 minutes, on est dessus", assure un agriculteur.
Quelques minutes plus tard, le pari est tenu. Privés de leurs engins, c’est à pied que les producteurs de lait bloquent la circulation vers Bruxelles. S’ensuit une négociation avec les policiers où chacun tente de trouver un compromis. "On a que ces solutions-là pour y arriver. Moi, je n’ai même pas de quota laitier, mais c’est pour les jeunes que je parle", martèle un agriculteur, à bout de nerf. C’est à ce moment-là que la réponse du gouverneur de la province de Namur tombe: il est hors de question d’ouvrir une bande de l’E411 aux tracteurs. Les agriculteurs sont furieux. On croit alors à l’affrontement, mais finalement le ministre de l’Intérieur les autorise à circuler sur la bande de droite de l’autoroute vers la capitale. Un trajet qui se déroule sans incident.

"On est vraiment au bout du rouleau"
Des producteurs de lait de la province de Liège et même d’Allemagne ont également fait le déplacement. Tous s’étaient donné rendez-vous ce lundi matin à Soumagne. Encadrés par la police, 150 tracteurs ont pu monter sur l’E40 pour partir à l’assaut de Bruxelles. "On est vraiment au bout du rouleau et rien ne change. Cela va vraiment aller très mal", assure Michael Allgaier, un agriculteur en Forêt-Noire qui a parcouru 600 km avec son engin.

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Des tracteurs ont forcé pour emprunter l'E40 vers Bruxelles.</LI>
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Les agriculteurs arrivant dans le quartier européen sont déterminés.</LI>
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Manifestation des agriculteurs: dernières infos en direct.</LI>
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Manifestations : dernières infos depuis les 4 bras de Tervuren</LI>

Bruxelles : les délinquants sexuels pourraient ne plus être suivis














Votre région - Bruxelles 10:51 L'existence du Centre d'appui bruxellois (CAB) qui assure le suivi thérapeutique des délinquants sexuels, est menacée faute de budget, rapportent jeudi La Capitale et La Libre Belgique. Une "marche noire" sera organisée mardi prochain devant le Palais de justice de Bruxelles, en référence à la marche blanche qui a suivi le déclenchement de l'affaire Dutroux en 1996.

Le CAB a été créé en 1999 pour assurer le suivi médical des violeurs condamnés et libérés sous probation ou condition. Le service traite activement 200 dossiers de délinquants sexuels mais en gère environ 600 au total.

"Chaque année, le CAB est sur le point de devoir fermer et ne reçoit l'argent promis qu'en dernière minute", indique un des administrateurs du Centre. "Et pour 2010, les perspectives sont encore plus sombres, car les accords de coopération entre le fédéral et les Régions font l'objet d'une évaluation administrative, qui décidera du sort des centres d'appui. La discussion débutera au Parlement ce 15 octobre", ajoute-t-il.

Bruxelles, capitale de la voiture volée


Alors que Bruxelles compte environ 10% de la population belge, ce sont près de 20% des vols de voiture en Belgique qui ont lieu dans la capitale. Ce sont surtout les marques Ford (dont la moitié sont des Fiesta), VW (60% de Golf) ou Porsche qui ont le plus de chance d'être volées. D’autre part, les vieilles voitures sont plus souvent volées car plus faciles à ouvrir.







Le podium belge :



Le pourcentage des vols de voiture en Belgique par arrondissement judiciaire :

1. Bruxelles (19%)
   
2. Liège (14%)
   
3. Charleroi (13%)
   
4. Anvers (7%)
   
5. Mons (5%)
   

En Belgique, près d'une voiture sur cinq est volée à Bruxelles (19%). Les véhicules de marque Ford, VW et Porsche constituent, par ailleurs, les cibles préférées des malfrats. Tels sont les constats tirés des chiffres 2008 -encore provisoires- des vols de voiture, dont fait état ce vendredi La Capitale.

"On vole de moins en moins de voitures en Belgique mais celles que l'on chaparde sont de plus en plus vieilles", souligne Eddy De Raedt, directeur du service Criminalité contre les biens à la police fédérale, dans ce journal. On a ainsi recensé 16.700 vols de voiture en Belgique en 2008, contre 17.500 en 2007 et 18.000 en 2006. L'an dernier, 57% des voitures volées avaient plus de 7 ans, précise M. De Raedt. En effet, les véhicules anciens sont plus faciles à voler.

Au niveau des marques, Ford est la plus convoitée. En 2008, elle représentait 18% des véhicules dérobés. VW (16%), Opel (8%), Peugeot, Mercedes et Renault (tous 6%) suivaient dans les statistiques. De ce point de vue, les Ford Fiesta (1 Ford volée sur 2) et les VW Golf (60% des vols de la marque) sont particulièrement appréciées des voleurs.

Statistiquement, le possesseur d'une Ford a 5,25 chances sur 1000 de la voir disparaître. Suivent les Porsche (3,87‰), VW (3,36‰), BMW (3,03‰) et Audi (2,9‰).
Enfin, il faut noter que la majorité de ces véhicules volés le sont par des filières qui les acheminent vers l'étranger, surtout vers l'est de l'Europe ou l'Afrique du Nord.

JACK, ARRÊTE DE BROYER DU NOIR...........



La vie est si belle..

JACKLELOUP a écrit:

Bruxelles, capitale de la voiture volée


Alors que Bruxelles compte environ 10% de la population belge, ce sont près de 20% des vols de voiture en Belgique qui ont lieu dans la capitale. Ce sont surtout les marques Ford (dont la moitié sont des Fiesta), VW (60% de Golf) ou Porsche qui ont le plus de chance d'être volées. D’autre part, les vieilles voitures sont plus souvent volées car plus faciles à ouvrir.











Le podium belge :



Le pourcentage des vols de voiture en Belgique par arrondissement judiciaire :

1. Bruxelles (19%)
   
2. Liège (14%)
   
3. Charleroi (13%)
   
4. Anvers (7%)
   
5. Mons (5%)
   

En Belgique, près d'une voiture sur cinq est volée à Bruxelles (19%). Les véhicules de marque Ford, VW et Porsche constituent, par ailleurs, les cibles préférées des malfrats. Tels sont les constats tirés des chiffres 2008 -encore provisoires- des vols de voiture, dont fait état ce vendredi La Capitale.

"On vole de moins en moins de voitures en Belgique mais celles que l'on chaparde sont de plus en plus vieilles", souligne Eddy De Raedt, directeur du service Criminalité contre les biens à la police fédérale, dans ce journal. On a ainsi recensé 16.700 vols de voiture en Belgique en 2008, contre 17.500 en 2007 et 18.000 en 2006. L'an dernier, 57% des voitures volées avaient plus de 7 ans, précise M. De Raedt. En effet, les véhicules anciens sont plus faciles à voler.

Au niveau des marques, Ford est la plus convoitée. En 2008, elle représentait 18% des véhicules dérobés. VW (16%), Opel (8%), Peugeot, Mercedes et Renault (tous 6%) suivaient dans les statistiques. De ce point de vue, les Ford Fiesta (1 Ford volée sur 2) et les VW Golf (60% des vols de la marque) sont particulièrement appréciées des voleurs.

Statistiquement, le possesseur d'une Ford a 5,25 chances sur 1000 de la voir disparaître. Suivent les Porsche (3,87‰), VW (3,36‰), BMW (3,03‰) et Audi (2,9‰).
Enfin, il faut noter que la majorité de ces véhicules volés le sont par des filières qui les acheminent vers l'étranger, surtout vers l'est de l'Europe ou l'Afrique du Nord.

Le Congrès Juif Européen s’installe à Bruxelles



[Mardi 13/10/2009 17:18]




par Shraga Blum

JACKLELOUP a écrit:

Connaît tu celle du musulman exclus de l'islam pour ne pas avoir donné la punition a sa femme.

Ah çà recommence les fautes d'orthographe??!!!
je croyais que tu avais pris des cours par correspondance?

C'est notre ami belge Mr Van Herpe qui se rend à la Mekke
pour le pélerinage.
Le voilà arrivé descendant de l'avion avec à sa main sa valise et dans l'autre une pelle.
Il arrive devant la Kaaba, fait ses tournées , ses prières, avec toujours à sa main sa pelle.
Pendant tout le mois de pélerinage il ne la lache pas, jusqu'au jour du départ, le maitre d'hotel où loge mr Van Herpe lui demande, "Eh mon frère pourquoi tu gardes toujours cette pelle avec toi ?"
" Oh vous savez à Bruxelle on m'a dit : faut surtout pas rater
l'appel à la prière,
alors vous comprenez je suis prudent."

Chat noir humoriste

pourquoi tu gardes toujours cette pelle avec toi ?"


C'est pour la flanquer sur la gueule du chat noir quand il traverse la rue.

Un peu plus de 5% de Flamands à Bruxelles

Vendredi 3 Septembre 2010 | 3 h. | powered by



(Belga) Deux démographes estiment que les Flamands ne constituent que 5,3% de la population totale de Bruxelles face à une majorité de francophones (66,5%) et d'étrangers issus de l'UE ou non (28,1%), lit-on dans La Libre Belgique vendredi. La tendance devrait se renforcer d'ici 2020 avec un départ de 12.000 Flamands. Il n'y aurait donc que 55.000 Flamands à Bruxelles. Ce nombre est faible par rapport aux 41.000 Français et 40.000 Marocains, les deux plus grandes communautés étrangères de Bruxelles. Par ailleurs, selon les deux démographes de l'Adrass (Association pour le développement de la recherche appliquée en sciences sociales), 10.000 Bruxellois s'installent chaque année en périphérie et 12.000 autres s'exilent vers la Wallonie pour y trouver des biens immobiliers moins chers. Ces départs sont compensés par l'arrivée de ressortissants étrangers; 20.000 chaque année pour la capitale. "La capitale se remplit d'étrangers avec 19.668 étrangers nets en plus chaque année. La capitale se vide des Belges avec 12.247 départs annuellement", expliquent les démographes. (DEF)
Si on décompte Jack,çà ne fait plus que 4%

Saint-Josse: l'échevine Nezahat Namli privée de sa compétence


L'échevine de la commune bruxelloise de Saint-Josse-Ten-Noode, Nezahat Namli, s'est vue retirer provisoirement ses compétences en matière de logement, a affirmé vendredi le bourgmestre de la commune Jean Demannez.






Votre région - Bruxelles 11:04
L'échevine PS (ex-MR) est accusée par certains locataires d'avoir mis en location des logements délabrés lui appartenant. Ce dossier commence à enfler dans le lanterneau politique bruxellois. Dans les colonnes du "Soir", le chef du groupe MR au parlement régional, Didier Gosuin, a demandé vendredi à la tutelle régionale de prendre des sanctions. Selon Jean Demannez, "les compétences en matière de logement ont été provisoirement retirées à Mme Namli, le temps nécessaire à l'instruction de son dossier".
D'après le bourgmestre, cette décision a été prise à sa demande et avec l'accord de l'échevine. Cela "permettra notamment le déroulement serein de l'enquête sur les logements dont Mme Namli est propriétaire, diligentée par le service de l'inspection régionale du logement".
Cette disposition sera confirmée lors de la réunion du collège des bourgmestre et échevins prévue mardi prochain, le 7 septembre. L'Assemblée Générale du PS local débattra de ce dossier lors de sa réunion du lundi 6 septembre, a encore indiqué Jean Demannez, vendredi matin.

Le Week-end de la bière a fait recette



Le Week-end de la bière sur la Grand-Place de Bruxelles a attiré 75.000 visiteurs en trois jours, soit près de 10.000 de moins que l'an dernier, ont indiqué lundi les responsables des Brasseurs belges. La plupart des brasseurs présents au festival semblaient toutefois assez satisfaits de leurs ventes.

"Le chiffre de fréquentation est en effet moins élevé que l'an dernier mais c'est peut-être plus agréable pour les personnes présentes, qui ont pu bénéficier d'un peu plus de place", ont commenté les responsables.

En outre, de plus en plus de gens viennent de très loin pour assister à l'événement. "L'engouement est évident, particulièrement pour des pays comme la Chine, le Japon, l'Australie et les Etats-Unis", commente-t-on.

Aucun incident n'a été relevé au cours des trois jours. Le système de caution sur les verres, introduit cette année, a par ailleurs bien fonctionné, peu de verres ayant été volés ou cassés, ont constaté les Brasseurs belges.

Le festival avait ouvert ses portes vendredi à 18 heures pour se clôturer dimanche à 20 heures. (belga)


06/09/10 18h14

Ce W-E les Fêtes de Bruegel

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