Nouvelles d'Extreme Orient

Monde - International 12:53

Un important commandant d'Al-Qaïda, d'origine arabe, figurait parmi les cinq combattants tués mercredi par un nouveau missile apparemment américain non loin des zones tribales du nord-ouest du Pakistan où opèrent les talibans et Al-Qaïda, selon un responsable des services de sécurité.

L'homme a été identifié comme étant Abdullah Azam Al-Saudi, un important membre du réseau du chef d'Al Qaïda, Ousama ben Laden, selon les mêmes sources. "C'était un important commandant d'Al-Qaïda, chargé de recruter et d'entraîner les combattants", selon un responsable des services de sécurité. Au moins cinq personnes, dont deux combattants étrangers, ont été tués mercredi par un nouveau missile apparemment américain, avaient indiqué plus tôt les services de sécurité pakistanais. Il s'agit de la deuxième figure importante du réseau Al-Qaïda, tuée dans une attaque de missiles, dans le nord-ouest du Pakistan, à la frontière avec l'Afghanistan.

Une personne a été tuée et 22 blessées par une explosion jeudi matin au siège du gouvernement à Bangkok, occupé depuis près de trois mois par des opposants, ont annoncé les services de secours.


Monde - International 12:43

Cette explosion, qui aurait été provoquée par une grenade, a mis fin à la trêve politique qui était observée en Thaïlande depuis la semaine dernière à l'occasion des obsèques nationales de la soeur aînée du roi.

Un engin a explosé jeudi à 03h28 (mercredi 20h28 GMT) dans le complexe abritant les bureaux du Premier ministre thaïlandais, un site où sont rassemblés des manifestants anti-gouvernementaux appartenant à "l'Alliance du peuple pour la démocratie" (PAD).

L'engin a explosé devant le principal podium érigé par les opposants, ont précisé les services de secours.

L'occupation de "Government House" dure depuis le 26 août mais les autorités ont exclu le recours à la force pour déloger la PAD, coalition hétéroclite de la société civile qui affirme notamment vouloir "défendre la monarchie".

En raison de l'occupation du siège du pouvoir, l'équipe gouvernementale a aménagé depuis septembre des bureaux temporaires dans un ancien aéroport.

Vingt-trois manifestants --12 hommes et 11 femmes-- ont été blessés par l'explosion nocturne et ont été évacués vers quatre hôpitaux voisins, ont indiqué jeudi les services de secours.

L'un d'eux --un homme de 48 ans-- a succombé à ses blessures et onze autres personnes sont dans un état sérieux, ont précisé ces services.

Un site web de la PAD a affirmé que l'explosion avait été causée par un lance-grenade de type M-79.

"Nous attendons l'arrivée des experts (en engins explosifs), ainsi que l'autorisation de la PAD pour entrer à Government House", a déclaré à l'AFP un commandant de la police, le colonel Somchai Chueyklin.

Des représentants de la PAD ont exprimé une vive colère. "C'est la dernière attaque qui sera lancée contre nous. La prochaine visera nos adversaires", a averti Anchalee Paireerak, une porte-parole de la PAD.

Les manifestants ont juré de ne pas quitter le siège du gouvernement tant que Somchai Wongsawat, beau-frère de l'ancien homme fort de la Thaïlande Thaksin Shinawatra, resterait Premier ministre.

La Thaïlande reste profondément divisée entre partisans et adversaires de M. Thaksin, puissant homme d'affaires de 59 ans, renversé en 2006 par des généraux légitimistes et qui a fui à l'étranger après des accusations de corruption. En octobre, il a été condamné par contumace à deux ans de prison pour "conflit d'intérêt" et se trouverait actuellement à Dubaï.

Ses lieutenants sont revenus au pouvoir à la faveur d'élections législatives en décembre 2007, mais la PAD a juré de faire tomber tout Premier ministre pro-Thaksin. La PAD avait contribué à déstabiliser M. Thaksin avant son renversement par l'armée.

La crise politique en Thaïlande avait déjà dégénéré en violences le 7 octobre dernier lorsque la police avait dispersé sans ménagement des milliers de manifestants pro-PAD qui avaient bloqué les accès au Parlement de Bangkok. Ce jour-là, deux personnes avaient été tuées et 478 blessées.

Les incidents se sont multipliés depuis le début de l'occupation du siège du gouvernement.

Le 4 novembre, une grenade avait été lancée en direction de volontaires de la PAD sans faire de victimes. Une semaine plus tôt, dix sympathisants de la PAD avaient été blessés par un autre jet de grenade.

Les tensions politiques avaient quelque peu baissé la semaine dernière à l'occasion des funérailles nationales organisées en hommage à la soeur aînée du roi, la princesse Galyani décédée en janvier mais qui n'a été incinérée que samedi.

JACKLELOUP a écrit:

Une personne a été tuée et 22 blessées par une explosion jeudi matin au siège du gouvernement à Bangkok, occupé depuis près de trois mois par des opposants, ont annoncé les services de secours.


Monde - International 12:43

Cette explosion, qui aurait été provoquée par une grenade, a mis fin à la trêve politique qui était observée en Thaïlande depuis la semaine dernière à l'occasion des obsèques nationales de la soeur aînée du roi.

Un engin a explosé jeudi à 03h28 (mercredi 20h28 GMT) dans le complexe abritant les bureaux du Premier ministre thaïlandais, un site où sont rassemblés des manifestants anti-gouvernementaux appartenant à "l'Alliance du peuple pour la démocratie" (PAD).

L'engin a explosé devant le principal podium érigé par les opposants, ont précisé les services de secours.

L'occupation de "Government House" dure depuis le 26 août mais les autorités ont exclu le recours à la force pour déloger la PAD, coalition hétéroclite de la société civile qui affirme notamment vouloir "défendre la monarchie".

En raison de l'occupation du siège du pouvoir, l'équipe gouvernementale a aménagé depuis septembre des bureaux temporaires dans un ancien aéroport.

Vingt-trois manifestants --12 hommes et 11 femmes-- ont été blessés par l'explosion nocturne et ont été évacués vers quatre hôpitaux voisins, ont indiqué jeudi les services de secours.

L'un d'eux --un homme de 48 ans-- a succombé à ses blessures et onze autres personnes sont dans un état sérieux, ont précisé ces services.

Un site web de la PAD a affirmé que l'explosion avait été causée par un lance-grenade de type M-79.

"Nous attendons l'arrivée des experts (en engins explosifs), ainsi que l'autorisation de la PAD pour entrer à Government House", a déclaré à l'AFP un commandant de la police, le colonel Somchai Chueyklin.

Des représentants de la PAD ont exprimé une vive colère. "C'est la dernière attaque qui sera lancée contre nous. La prochaine visera nos adversaires", a averti Anchalee Paireerak, une porte-parole de la PAD.

Les manifestants ont juré de ne pas quitter le siège du gouvernement tant que Somchai Wongsawat, beau-frère de l'ancien homme fort de la Thaïlande Thaksin Shinawatra, resterait Premier ministre.

La Thaïlande reste profondément divisée entre partisans et adversaires de M. Thaksin, puissant homme d'affaires de 59 ans, renversé en 2006 par des généraux légitimistes et qui a fui à l'étranger après des accusations de corruption. En octobre, il a été condamné par contumace à deux ans de prison pour "conflit d'intérêt" et se trouverait actuellement à Dubaï.

Ses lieutenants sont revenus au pouvoir à la faveur d'élections législatives en décembre 2007, mais la PAD a juré de faire tomber tout Premier ministre pro-Thaksin. La PAD avait contribué à déstabiliser M. Thaksin avant son renversement par l'armée.

La crise politique en Thaïlande avait déjà dégénéré en violences le 7 octobre dernier lorsque la police avait dispersé sans ménagement des milliers de manifestants pro-PAD qui avaient bloqué les accès au Parlement de Bangkok. Ce jour-là, deux personnes avaient été tuées et 478 blessées.

Les incidents se sont multipliés depuis le début de l'occupation du siège du gouvernement.

Le 4 novembre, une grenade avait été lancée en direction de volontaires de la PAD sans faire de victimes. Une semaine plus tôt, dix sympathisants de la PAD avaient été blessés par un autre jet de grenade.

Les tensions politiques avaient quelque peu baissé la semaine dernière à l'occasion des funérailles nationales organisées en hommage à la soeur aînée du roi, la princesse Galyani décédée en janvier mais qui n'a été incinérée que samedi.

Cherche toujours le Moyen- Orient......

Le ministre indien des Affaires étrangères Pranab Mukherjee a affirmé vendredi que des "éléments" au Pakistan étaient responsables des attaques menées par des islamistes à Bombay, a rapporté l'agence indienne PTI.


C'est la première fois depuis les attaques de Bombay mercredi soir, qui ont fait 130 morts, qu'un responsable politique indien cite explicitement le Pakistan comme ayant joué un rôle dans les attaques lancées par des extrémistes islamistes.

La preuve soutenant cette accusation "ne peut pas être divulguée pour le moment", a-t-il ajouté.

Le ministre a également indiqué que le Premier ministre indien Manmohan Singh allait s'entretenir avec le président pakistanais Asif Ali Zardari dans la journée, selon PTI. Le ministre des Affaires étrangères s'adressait à des journalistes depuis Jodhpur, dans l'Etat du Rajasthan (ouest de l'Inde). Le Premier ministre avait jeudi désigné des éléments basés "en dehors" de l'Inde, dans une allusion au Pakistan.

Ce pays frontalier et rival de l'Inde a souvent été accusé par Delhi de soutenir des groupes islamistes auteurs d'attentats sur le sol indien. Un haut responsable militaire, le général R.K. Hooda, qui dirige l'opération armée contre les islamistes retranchés à Bombay, avait lui affirmé que les auteurs des attaques venaient du Pakistan.

Islamabad avait immédiatement protesté et affirmé n'être impliqué en aucune façon dans ces attaques.

27-11-08
On ne sait toujours rien sur l'état du directeur du Bet Habad de Mumbai, le Rav Gabriel Holzberg, et de son épouse Rivka, qui sont retenus en otage par des terroristes musulmans qui ont attaqué la maison. D'autres Israéliens s'y trouveraient également mais on ignore leur nombre exact et leur identité.

Les parents de Rivka, Shimon et Yehoudit Rosenberg ont décidé de s'envoler pour Mumbai pour s'occuper de leur petit-fils, sauvé miraculeusement par la cuisinière du couple, et pour se trouver sur place en cas d'évolution de la situation.

Ils ont quitté Israël dans l'après-midi (de jeudi) à bord d'un avion privé à destination d'Istanbul, en Turquie. De là, ils devraient prendre un vol direct en direction de Mumbai. Ils sont accompagnés d'une délégation de six volontaires de l'organisme Zaka, comprenant un médecin, un infirmier et quatre secouristes, et de deux proches parents.

Des rumeurs quelque peu alarmantes circulent depuis la matinée mais rien n'a pu les confirmer et on garde toujours l'espoir de retrouver les otages sains et saufs. Au cours de la journée, les terroristes retranchés dans la maison ont laissé entendre qu'ils étaient disposés à négocier avec la police indienne. Selon l'agence Reuters, ils auraient proposé de libérer leurs otages si leurs revendications étaient respectées. Selon le témoignage de la cuisinière, qui a réussi à s'échapper avec l'enfant du couple Holzberg, il y aurait quatre personnes sans connaissance dans la maison.

Dès leur arrivée en Inde, les parents de Rivka Holzberg rencontreront une équipe du ministère israélien des Affaires étrangères qui les emmènera à proximité du Bet Habad. Lorsqu'ils auront pris soin de leur petit-fils, ils pourraient avoir à suivre de près les opérations menées par les forces locales pour sauver leur fille, leur gendre et les autres captifs.

Selon des informations qui ont été recueillies par le ministère des Affaires étrangères, il y aurait entre 10 et 15 Israéliens retenus en otage dans plusieurs endroits de Mumbai. Au moins six se trouveraient dans le Bet Habad et les autres dans l'hôtel Oberoi où les combats ont fait rage entre les terroristes et l'armée indienne.

Nanny who saved life of Chabad emissaries' son tells Ynet: 'In the evening his mother always puts him to sleep, now he doesn't understand what's going on'. Couple still trapped in Chabad house, authorities fear for their lives


l'article complet en anglais ici

Donc, les terroristes n'étaient que dix ?
Bon, mis à part l'extrême nuisance de ces fanatiques religieux, ce dont personne ne doute, est-ce croyable qu'ils n'aient été que dix ?

Ou sommes nous en présence des fabulations habituelles des journalistesquisaventtoutavantetmieuxquetoutlemonde ?

Biloulou a écrit:

Donc, les terroristes n'étaient que dix ?
Bon, mis à part l'extrême nuisance de ces fanatiques religieux, ce dont personne ne doute, est-ce croyable qu'ils n'aient été que dix ?

Ou sommes nous en présence des fabulations habituelles des journalistesquisaventtoutavantetmieuxquetoutlemonde ?

Les attentats de Bombay ont fait 195 morts et 295 blessés
L'ultime poche de résistance réduite à Bombay



Les activistes "voulaient un 11-Septembre indien" à Bombay

Trois activistes au moins ainsi qu'un militaire ont trouvé la mort dans les combats qui se sont déroulés dans l'enceinte de l'hôtel, a précisé Jyoti Krishna Dutt, chef des forces spéciales.

Sur les dix extrémistes islamistes responsables des attentats de mercredi, neuf ont été tués et un a été capturé, a ajouté Gafoor.

Des chiens policiers ont pénétré dans l'établissement tandis que les ambulances convergeaient vers l'hôtel. Les commandos spéciaux de la police commençaient à quitter les lieux tandis que leurs collègues s'autorisaient à sourire et se détendaient.

Selon les télévisions, le cadavre d'un activiste a été jeté d'une fenêtre de l'hôtel et s'est écrasé au sol.

Tirs, explosions et incendies avaient auparavant éclaté autour du Taj Mahal de Bombay, l'un de deux palaces de la ville pris d'assaut par les activistes islamistes qui ont semé la terreur mercredi dans la capitale économique de l'Inde, faisant au moins 195 morts et près de 300 blessés.

A l'intérieur de l'hôtel, les membres des forces spéciales ont trouvé 24 cadavres, mais le bilan au Taj Mahal pourrait s'alourdir.

Vendredi, un général de l'armée indienne a déclaré que les activistes étaient "très, très bien informés" sur l'agencement de l'hôtel.

"A certains moments, ils se sont montrés aussi forts que nous au combat et dans les déplacements. Soit il s'agissait de militaires, soit ils ont suivi une longue formation de commando", a par ailleurs estimé un membre des forces spéciales cité par l'Hindustan Times.

Des commandos d'élite avaient repris vendredi le contrôle de l'hôtel Trident-Oberoi, l'autre palace de la ville pris d'assaut par les activistes, ainsi que d'un centre communautaire juif.

L'INDE ACCUSE LE PAKISTAN

Des commandos amenés par hélicoptère se sont laissés glisser le long de filins pour atteindre le toit du centre israélite de Chabad House et pénétrer dans le bâtiment. Ils ont abattu deux activistes mais ont retrouvé les corps sans vie de cinq otages, dont un rabbin de New York et sa femme. Un soldat du groupe d'intervention a été tué.

A l'Oberoi, les forces de l'ordre ont libéré 143 otages, parmi lesquels des touristes étrangers et des hommes d'affaires. Deux islamistes ont été tués et 24 corps retrouvés dans l'établissement.

Parmi les victimes recensées depuis mercredi figurent 18 étrangers - cinq Américains, trois Allemands, deux Français, un Israélien, un Australien, un Britannique, un Canadien, un Italien, un Japonais, un Thaïlandais et un Singapourien.

Tandis que la vie reprend lentement son cours à Bombay, le débat se concentre sur l'identité des auteurs des attaques et de leurs commanditaires, l'Inde pointant du doigt son voisin pakistanais.

Le ministre de l'Intérieur de l'Etat du Maharashtra, dont Bombay est la capitale, a déclaré à la presse qu'au moins un des activistes était de nationalité pakistanaise.

Le Times of India croit savoir samedi que plusieurs activistes avaient séjourné dans la ville il y a quelques mois en se faisant passer pour des étudiants malaisiens.

Le quotidien écrit que neuf activistes avaient loué un appartement dans le quartier de Colaba, près du centre culturel juif. Ils ont aussi visité à plusieurs reprises les deux hôtels de luxe attaqués mercredi soir.

Les attentats risquent de provoquer un regain de tension diplomatique entre les deux puissances nucléaires du sous-continent.

"NI VOS AMIS, NI NOS AMIS"

Le ministre indien des Affaires étrangères, Pranab Mukherjee, a clairement évoqué l'implication "d'éléments ayant des liens avec le Pakistan".

En réponse, son homologue pakistanais, Shah Mehmood Qureshi, a prié New Delhi de ne pas "politiser" les attentats de Bombay. "Nous sommes confrontés à un ennemi commun et nous devrions joindre nos efforts pour vaincre cet ennemi", a-t-il dit lors d'une visite dans la ville indienne d'Ajmer.

"Ceux qui ont fait cela, quels qu'ils soient, ne sont ni vos amis, ni nos amis. Nous ne sommes pas responsables de cela, et ce n'est pas notre intérêt d'être impliqués dans ce genre d'opération", a-t-il ajouté.

Islamabad a accepté de dépêcher un représentant des services de renseignement militaires (ISI) en Inde, mais a renoncé à envoyer le chef de l'ISI, dont la venue avait été annoncée dans un premier temps.

Manmohan Sing, chef du gouvernement indien, a évoqué "le coût" qu'aurait une absence de réaction de la part des autorités pakistanaises.

Selon un haut fonctionnaire indien, l'activiste arrêté a avoué son appartenance au mouvement Lashkar e Taiba, basé au Pakistan. Cette organisation islamiste, l'une des plus importantes d'Asie du Sud-Est, a démenti toute implication dans les attaques.

Le Lashkar e Taiba et une autre organisation, Jaish e Mohammed, se sont fait connaître pour leur lutte contre la présence indienne au Cachemire. Ces deux organisations ont par le passé entretenu des contacts étroits avec les services secrets pakistanais.

Elles ont aussi été accusées d'être responsables de l'attaque contre le parlement indien en 2001, qui a mis les deux pays au bord de la guerre.

Par sa précision, sa soudaineté et sa violence, le raid de mercredi a illustré l'extrême vulnérabilité des grandes villes face à un groupe bien organisé et prêt à mourir.

Avec les bureaux de New Delhi et Bombay, version française Pascal Liétout, Clément Dossin, Guy Kerivel et Jean-Philippe Lefief

Le vrai problème à résoudre................

Seulement 13 % mais 150.000.000 de musulmans soit bien plus nombreux que tout le Moyen Orient !!!!!



Un assaillant, interrogé par une télévision, a affirmé que le groupe réclamait la fin des "persécutions" contre les musulmans d'Inde, une forte minorité de 150 millions de personnes, victimes de violences par le passé, dans ce pays de 1,2 milliard d'habitants, majoritairement hindous.

Les corps de neuf Juifs – dont au moins sept Israéliens – ont été découverts à l'issue de l'opération de sauvetage au Beit Habad de Mumbay (Bombay). Parmi eux, six ont été identifiés : l'émissaire Habad Rabbi Gavriel Holtzberg, 29 ans, et sa femme Rivka, 28 ans, ainsi que deux superviseurs de Casherout américains Bentzion Chroman et Rabbi Leibish Teitlebaum, une Israélienne de 60 ans Yokhevet Orpaz et une autre femme dont le nom n'a pas encore été publié. Les trois autres corps n'ont pas encore été identifiés et les autorités indiennes ont demandé l'aide de l'Institut Médico-légal d'Abou Kabir. Six des corps ont été découverts vendredi après-midi, les trois autres seulement samedi matin.
Des membres du mouvement Habad se sont réunis vendredi dans les bureaux du groupe hassidique pour prier pour les familles des défunts. L'enfant de deux ans des émissaires Habad, Moshé Tsvi Holtzberg, a été sauvé de la tourmente et sorti du Beit Habad au début de la prise d'otage par sa gouvernante indienne. Il a été remis à ses grands-parents venus d'Israël dès qu'ils ont appris la tournure qu'avait prise le terrible attentat.

"Gabi et Rivki Holtzberg ont fait le sacrifice ultime", a déclaré Rabbi Moshe Kotlarsky, le vice-président de la branche éducative du mouvement Habad. "En tant qu'émissaires à Mumbay, Gabi et Rivki ont renoncé au confort de l'Occident pour répandre la fierté juive dans un coin du monde qui attire de nombreux touristes israéliens", a-t-il ajouté.

Rabbi Zalman Shmotkin a précisé qu'au moins trois des cinq victimes identifiées détenaient la nationalité américaine : Rabbi Teitlebaum était de Brooklyn, Rabbi Holtzberg vivait aux Etats-Unis depuis son enfance et Chroman était israélo-américain. L'une des quatre victimes non encore identifiées est apparemment une femme originaire du Mexique.

Orli, la sœur de Yokhevet, zal, a indiqué que celle-ci s'était rendue en Inde pour rendre visite à sa fille et à ses deux petits-enfants, qui faisaient un voyage là-bas. "C'était une femme formidable et noble, une bonne fée, mère de quatre enfants. Elle aimait se promener. Nous espérions un miracle. Nous avons attendu ensemble tout le Shabbat, jusqu'à ce que la terrible nouvelle arrive", a déclaré Orli.

Yoël Shteinmatz, un ami de Rabbi Leibish Teitlebaum, a affirmé que les parents de ce dernier habitaient à Broolyn. "Je mangeais chez eux tous les vendredis soirs. Il était toujours joyeux, même lorsque les choses allaient mal, il disait que tout était pour le bien. Il accueillait joyeusement tout le monde, recevait des jeunes de l'étranger le Shabbat, il rapprochait tout le monde. C'était quelqu'un de bien. On le voyait tout le temps parler avec les démunis et leur remonter le moral. Je l'aimais beaucoup", a raconté Shteinmatz.

Le ministre de la Défense, Ehoud Barak, a affirmé dans une interview accordée à la première chaîne de télévision que d'après les signes découverts sur les corps des otages juifs de Beit Habad, ils avaient été ligotés avant d'être tués. D'après des témoignages, les femmes ont été assassinées les premières. Barak a affirmé qu'il ne faisait aucun doute que le Beit Habad avait volontairement été pris comme cible et non au hasard, du fait de sa proximité de l'hôtel Taj Mahal.

Après interrogatoire d'un des terroristes capturé vivant, les autorités indiennes ont appris que les attentats avaient été préparés pendant sept mois. Une partie des terroristes travaillaient dans l'hôtel Taj Mahal et y avaient déposé des bombes depuis longtemps. Ils avaient l'intention de perpétrer un "11 septembre indien".

Le bilan officiel du carnage est de 195 morts, mais de nombreux corps ont été découverts dans les hôtels libérés par les commandos et le bilan pourrait atteindre les 350 victimes.

Il faudrait pour leur répondre placer des bombes dans 9 mosquées.

La kônnerie en réponse à la kônnerie reste de la kônnerie.

De la grosse kônnerie, certes... mais de la kônnerie avant tout !

Réponse faite en fonction des conversations avec des clients musulmans modérés du quartier qui a 90% sont en accord avec les terroristes

Pour un oeil, les deux yeux!
Pour une dent,toute la machoire!

Tuez les tous ou qu'ils se trouvent ,leur putain de dieu de merde reconnaitra bien les demeurés qui sont les siens!

JACKLELOUP a écrit:

Réponse faite en fonction des conversations avec des clients musulmans modérés du quartier qui a 90% sont en accord avec les terroristes

Encore et toujours de l'islamalgame......

Loll, je m'amuse

Citation :

Pour un oeil, les deux yeux!
Pour une dent,toute la machoire!
Tuez les tous ou qu'ils se trouvent ,leur putain de dieu de merde reconnaitra bien les demeurés qui sont les siens!

... et on dit que ce sont les religions qui prônent la violence...

Avec ce genre de logique, mon peuple aurait du en 1945 massacrer tous les Allemands, Polonais, Ukrainiens et autres antisémites ayant organisé, soutenu et participé à la tentative d'extermination des miens... D'ailleurs, il me prends l'envie moi-même d'aller poser une bombe au domicile des collabos belges toujours vivants et de leurs descendants qui profitent toujours aujourd'hui des biens spoliés à mes proches, comme "dû" surement de leur dénonciation à la gestapo... Bran, tu m'aides à confectionner la bombe ? Ces salauds méritent de crever tous, non ?

Alice, en plein cauchemar

Journal CCTV (version française) du 30 novembre 2008, 9h
Présentatrice: Liu Bing
Durée: 30 mn

Sujets (opinion chinoise) - disponibles sous ce lien pendant 24h :
Réunion du parti communiste chinois
Inde: attentat
Pakistan: montré du doigt
Thaïlande: attentat
Thaïlande: Rapatriement des Chinois
Congo: Rencontre d'un envoyé de l'ONU et d'un chef rebelle
OPEP: cours du pétrole
Chine: Santé (nouvelles normes)
Antartique: 25ième équipe recherche scientifique chinoise entame ses travaux
Chine: Economie: échanges professionnels à Shengzhen
Chine: Tourisme dans le Nord
Culture: Exposition d'automobiles japonnaises à Londres
Australie: Une face cachée de Locrèce Borgia
Allemagne: Bambi Awards récompense Britney Spears

Bonne journée!
@+
Sab

Attentats de Bombay: l'Inde affirme que tous les assaillants venaient du Pakistan

Cette mise en cause d'une implication pakistanaise, la plus grave portée par l'Inde, intervient au moment où le président américain George W. Bush envoie sa secrétaire d'Etat Condoleezza Rice, attendue mercredi à New Delhi, comme "manifestation supplémentaire" de la solidarité des Etats-Unis.

En visite lundi à Londres, Mme Rice a appelé Islamabad à une "coopération complète, absolue et totale" dans l'enquête sur les attentats, tout en assurant "ne pas vouloir tirer de conclusions hâtives".

Les deux pays voisins, qui se sont affrontés au cours de trois guerres, devenus des puissances nucléaires, ont failli connaître un quatrième conflit en 2001 à la suite d'un attentat contre le Parlement indien attribué au Lashkar-e-Taïba, un groupe basé au Pakistan et actif au Cachemire, de nouveau soupçonné dans les attaques de Bombay.

"Les terroristes qui ont été tués dans les affrontements de Bombay ces derniers jours étaient d'origine pakistanaise", a déclaré le vice-ministre indien de l'Intérieur Shakeel Ahmad à la BBC, précisant qu'il n'accusait pas le gouvernement d'Islamabad d'implication mais que le territoire pakistanais était utilisé pour des activités "anti-indiennes".

Le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères Anand Sharma a souligné que ces attentats portaient un "grave coup au processus de normalisation" entre les deux pays. "Ces hommes venaient tous du Pakistan. Nous parlons d'éléments au Pakistan", a-t-il souligné à son tour.

L'unique survivant identifié parmi les assaillants, Ajmal Amir Kamal, 21 ans, capturé et interrogé par les forces de sécurité, a indiqué aux enquêteurs que tous étaient des Pakistanais entraînés par le Lashkar-e-Taïba, selon la presse indienne, citant les services de renseignements.

New Delhi envisage de suspendre le processus de paix avec Islamabad à la suite des attentats, a affirmé dimanche l'agence de presse PTI, citant des sources selon lesquelles "une série de rencontres de haut niveau vont se tenir dans les prochains jours pour prendre une décision".

Dans une interview au Financial Times, le président pakistanais Asif Ali Zardari a rejeté toute suggestion de complaisance envers les extrémistes islamistes. "Même si ces activistes sont liés au Lashkar-e-Taïba, qui croyez-vous que nous combattons?" a lancé M. Zardari, relevant que l'armée pakistanaise luttait contre des islamistes radicaux sur sa frontière avec l'Afghanistan.

L'ambassadeur du Pakistan à Washington, Husain Haqqani, a exhorté l'Inde à éviter un discours de confrontation, faisant valoir qu'il "y a des terroristes qui s'entraînent secrètement dans tous les pays du monde. Ils n'agissent pas au nom d'un pays". "Tous les extrémistes veulent que l'Inde et le Pakistan se jettent à la gorge l'un de l'autre, pour pouvoir prospérer", a-t-il dit, assurant que son pays coopérerait à l'enquête.

Sur le plan intérieur, la réaction des autorités aux attaques continuait de provoquer des remous.

Au lendemain de la démission du ministre de l'Intérieur Shivraj Patil et de l'annonce que le conseiller à la sécurité nationale M.K. Narayanan avait présenté la sienne, le chef du gouvernement local de l'Etat de Maharashtra (ouest), où se trouve Bombay, a indiqué qu'il avait fait de même. "J'ai proposé de démissionner", a déclaré Vilasrao Deshmukh. "Si la responsabilité d'empêcher les attentats incombe au chef du gouvernement de l'Etat, je m'en irai. La décision finale appartient aux instances supérieures", a-t-il précisé, en allusion à la direction du parti du Congrès au pouvoir.

Son adjoint, R.R. Patil, a démissionné lundi matin, de source officielle. Le chef du corps des garde-côtes, critiqué pour ne pas avoir intercepté les assaillants venus par la mer, "est parti la retraite" dimanche, selon l'expression utilisée par l'agence PTI.

Les attaques ont fait au moins 172 morts, dont une trentaine d'étrangers, selon un dernier bilan.

Un appareil de l'armée de l'air israélienne est arrivé à Bombay avec, à son bord, des médecins légistes, des représentants de l'armée, du rabbinat et du ministère des Affaires étrangères.

Six corps ont été identifiés comme ceux de juifs pris en otage dans un centre culturel juif, et cinq autres doivent encore l'être, selon un responsable israélien.

Sur le terrain s'esquissait un début de retour à la normale. Bombay a retrouvé ses problèmes chroniques de circulation et les forces de sécurité ont rendu le contrôle de l'hôtel Taj Mahal, où se sont achevés les combats samedi, à ses propriétaires, a annoncé la compagnie.