Tremblement de terre au Japon et nucléaire ....

Qui aurait pu croire qu'un tiramisu ferait tant de dégâts ?

Zed a écrit:

Moé là, un fil que ça prends la barre latérale pour le lire

je trouve ça con.

On s'en fiche,on va quand même tous mourir

Même le canard laqué est contaminé

L'énergie nucléaire relancée au Japon malgré le traumatisme de Fukushima
(TF1 News - Par Véronique Buonomano , le 01 juillet 2012 à 17h08)


Malgré l'opposition de citoyens traumatisés par la catastrophe de mars 2011, la centrale d'Ohi a relancé dimanche l'un de ses réacteurs, annonçant le retour de l'énergie nucléaire sur l'archipel.

La compagnie Kansai Electric Power a reçu le 16 juin l'aval des autorités locales et du Premier ministre pour remettre en service les réacteurs 3 et 4 d'Ohi. La municipalité d'Ohi, la préfecture de Fukui (province où se trouve le réacteur) et le gouvernement central ont jugé que ces réacteurs pouvaient être remis en exploitation en toute sécurité sur la foi de tests de résistance validés par les instances de contrôle, même si des sismologues ont lancé des mises en garde et que les travaux de renforcement contre les séismes et tsunamis ne seront achevés que dans trois ans.

L'énergie nucléaire : une source d'électricité cruciale

"Ma responsabilité est de protéger les citoyens", a reconnu le Premier ministre, Yoshiko Noda, promettant de "tout faire pour qu'un accident tel que celui de Fukushima ne se reproduise pas", même en cas de nouvelle catastrophe naturelle. Mais il a simultanément insisté sur le fait que "l'énergie nucléaire est une source d'électricité cruciale".

Kansai Electric Power, qui totalise 11 réacteurs, dont dix restent encore arrêtés, estime que la relance des tranches 3 puis ultérieurement 4 d'Ohi lui permettra de réduire à moins de 10% voire presque annuler le déficit de production qui aurait été de près de 15% sans eux au moment des pics estivaux.

Des citoyens opposés au retour du nucléaire

La réactivation du réacteur 3 est le premier cas de relance réelle d'une unité atomique au Japon depuis l'accident de Fukushima provoqué par le tremblement de terre et le raz-de-marée qui ont ravagé le littoral du nord-est le 11 mars 2011. Par la suite, l'ensemble des 50 réacteurs nucléaires de l'archipel avaient été maintenus à l'arrêt et seules les unités 3 et 4 d'Ohi ont pour le moment été autorisées à reprendre du service après avoir franchi les examens techniques et obstacles politiques.

La remise en exploitation du réacteur 3 d'Ohi, en attendant le 4 dans quelques jours, met ainsi fin à près de deux mois d'absence totale d'énergie nucléaire au Japon, une situation que nombre de citoyens auraient voulu définitive. Outre une pétition qui a recueilli pour l'heure plus de 7,5 millions de signatures, ces deux derniers vendredis des dizaines de milliers de Japonais ont manifesté leur opposition aux centrales nucléaires en se rassemblant devant la résidence du Premier ministre à Tokyo.

"Je voudrais que disparaisse un gouvernement qui place l'économie devant la sécurité des citoyens", s'est agacé à maintes reprises l'écrivain et journaliste Satoshi Kamata, meneur de l'opposition à l'usage de l'atome.

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Chacun se souviendra, il y a à peine quelques mois, que nos journaux pavoisaient "Le Japon va arrêter toute sa production d'électricité nucléaire" et que tout allait très bien comme ça, Madame la Marquise.
Après inspection et éventuellement des travaux nécessaires, les réacteurs sont à nouveau réactivés un à un....
Cela sera-t-il annoncé dans notre presse comme les "arrêts" ont été annoncés ?
Ca reste à voir...

Et pourquoi pas ?

ici,la bêtise est à son comble,puisqu'ils veulent les supprimer sans
assurer la relève.

Charly a écrit:

Et pourquoi pas ?
ici,la bêtise est à son comble,puisqu'ils veulent les supprimer sans assurer la relève.

Voui.... enfin, la bêtise est limitée car elle ne se loge que chez ceux qui veulent les supprimer....
(La relève... par des réacteurs de nouvelle génération ? Des centrales à amplification d'énergie ? À fusion ?)

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

Et pourquoi pas ?
ici,la bêtise est à son comble,puisqu'ils veulent les supprimer sans assurer la relève.

Voui.... enfin, la bêtise est limitée car elle ne se loge que chez ceux qui veulent les supprimer....
(La relève... par des réacteurs de nouvelle génération ? Des centrales à amplification d'énergie ? À fusion ?)

les essais de nouvelles techniques sont en cours,donc il faut laisser
un plus grand délai

Charly a écrit:

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

Et pourquoi pas ?
ici,la bêtise est à son comble,puisqu'ils veulent les supprimer sans assurer la relève.

Voui.... enfin, la bêtise est limitée car elle ne se loge que chez ceux qui veulent les supprimer....
(La relève... par des réacteurs de nouvelle génération ? Des centrales à amplification d'énergie ? À fusion ?)

les essais de nouvelles techniques sont en cours,donc il faut laisser un plus grand délai

C'est la sagesse même...

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

Et pourquoi pas ?
ici,la bêtise est à son comble,puisqu'ils veulent les supprimer sans assurer la relève.

Voui.... enfin, la bêtise est limitée car elle ne se loge que chez ceux qui veulent les supprimer....
(La relève... par des réacteurs de nouvelle génération ? Des centrales à amplification d'énergie ? À fusion ?)

les essais de nouvelles techniques sont en cours,donc il faut laisser un plus grand délai

C'est la sagesse même...

25 ans ce ne serait pas de trop,et nous nous serions déjà morts

Les israéliens mettent fin au drame de Fukushima
(Siliconwadi.fr par Jonathan Seror le 10/07/2012)




La nouvelle fait bondir l’Europe et l’Amérique : après tant de soutien de la part du monde entier dans son dernier drame nucléaire, le Japon a finalement décidé de faire appel à des experts israéliens pour reconstruire Fukushima, ville que le séisme et le tsunami de l’an dernier a ravagé. Une reconstruction placée sous le signe des technologies "cleantech".

Le cleantech ou écotechnologies est un domaine florissant en Israël. Il regroupe toutes les technologies utilisant les ressources naturelles, l’énergie, l’eau, les matières premières afin de réduire la toxicité et le volume de déchets, et assurer une performance identique aux technologies polluantes existantes, voire supérieure à celles-ci.

Il y a quelques jours, la société japonaise chargée de la reconstruction de la ville de Fukushima a envoyé une équipe en mission en Israël afin de chercher sur place experts et entrepreneurs désireux de s’investir dans le projet. Plus précisément dans les domaines du water management (gestion durable des eaux) et le recyclage des déchets. D’après Lior Daeri, contact en Israël de la société japonaise, les groupes et compagnies israéliennes qui participeront au projet de reconstruction recevront une réduction d’impôt de 50 millions NIS (environ 13 millions de dollars).

Israël donne des leçons d’écologie aux dragons asiatiques…

Les technologies vertes d’Israël ne cessent de s’introduire à travers l’Asie…La Chine et Israël collaborent d’ailleurs actuellement sur des projets d’énergie solaire. Belle leçon d’écologie au pays de l’industrialisation en roue libre, où le capitalisme sauvage est roi. L’Inde va bientôt conclure avec Israël des contrats importants dans les technologies agricoles innovantes, surtout sur les rives des innombrables fleuves indiens, comme le Gange… une initiative d’urgence dans un pays de près d’un milliard et demi d’habitants.

Au mois de mai, douze jeunes créateurs d’entreprise japonais sont rentrés d’un séjour d’un an en Israël. Partis dans le cadre du programme d’échange étudiants Israel-Asia Fellowship Program organisé par le Centre Israël-Asie de Jérusalem. Les étudiants partis en Israël venaient de divers pays asiatiques comme la Chine, Singapour, l’Inde. Tout au long de l’année, ils ont étudié dans de prestigieuses universités israéliennes, préparant à la fois un diplôme en technologies agricoles et environnementales et en travaillant à temps partiel sur une plateforme internationale d’établissement de contacts (networking).

Mais jusqu’aujourd’hui, une superpuissance asiatique restait absente de l’empire écologique israélien : le Japon.

Curieux quand on sait que les israéliens importent pour près de 2 millions et demi de biens du Japon ! Mais finalement compréhensible puisqu’Israël exporte beaucoup moins vers le pays du Soleil Levant…

Les personnalités politiques et les différences culturelles ont souvent freiné le développement de relations durables entre Israël et le Japon. Selon le Dr. Roni Burnstein, président de la Chambre de commerce et société Amitié israélo-japonaise, le Japon importe 90 % de son énergie pétrolière des pays arabes et de l’OPEP, dont la plupart sont encore loin d’être amis avec Israël.

Nul ne peut non plus nier que la culture conservatrice japonaise, fondée sur le respect d’autrui, les traditions ancestrales et la soumission au supérieur hiérarchique, ne va pas toujours de pair avec l’éthique pionnière de la start-up israélienne. Les entrepreneurs israéliens, téméraires et indépendants tiennent beaucoup aux travailleurs qui disent simplement ce qu’elles pensent et se fichent pas mal du protocole et autres coutumes pompeuses. La preuve avec l’expression “combina”, tirée de l’argot israélien et dérivée de l’anglais “combine”, qui signifie une chose crée sans respect de règles rigoureuses, un bricolage, une invention efficace faite de créativité et d’ingéniosité.

Mais les violons s’accordent peu à peu…

Les deux nations se positionnent à la pointe de la technologie mondiale. Jour après jour, les liens se resserrent, sur fonds de gros contrats, plus proches que jamais. Le Professeur étasunien Kenneth Grossberg organise actuellement une grande tournée d’Israël pour les hommes d’affaire et les étudiants japonais, tels ceux de la prestigieuse Université Waseda de Tokyo.

Ils visiteront l’Institut de la Technologie Israélien Technion, le Centre de recherche de Haifa, le siège social d’IBM, de Google, de Philips, de Microsoft, le Parc Industriel de Tefen, construit par l’industriel Stef Wertheimer pour promouvoir la créativité en alliant l’art israélien, les entreprises IT comme Nanometrics et Given Imaging, l’inventeur de la fameuse camera-pilule ou “pill-cam”.

Pour Grossberg, “le Japon et Israël ont des différences qui font d’eux des pays absolument complémentaires … ils sont exactement comme le yin et le yang”.

Pétard a écrit:

Mautadits Israèliens écologistes! Quelle traîtrise, que feront les apôtres des Vraies Foies? Le cocierge déchirera-t-il sa chemise?

Faut-il s'abaisser à répondre à autant de bêtise ?
La religion écolo préconiserait de laisser faire la déesse Nature et surtout ne pas réparer les conséquences d'un tsunami ?

Il y a des bonets d'âne qui se perdent.....
(Des claques aussi...)

Faut-il s'abaisser à répondre à autant de bêtise ?

La star de l'école des cancres, ce Biloulou !

À " autant de " ne faut-il pas la marque de Zorro... euh, du pluriel ?

Et il s'abaissa. Comblé.

Dis, faudrait cesser de ne voir d'un groupe que les plus grands, les plus démonstratifs, les plus gros. Il en va de l'écologie comme du reste des attributs humains : il y a de la place pour tous les extrêmes. Par exemple dans les médias qui privilégient la mauvaise nouvelle parce qu'ils ont investi dans l'attention du plus grand nombre.

Cependant, si les " commerçants " tablent autant sur l'émotivité (surtout la mal contrôlée), c'est un sale coup du Diable ou bien c'est que quelqu'un s'est aperçu, jadis, que c'était un élan naturel de l'être humain ? (Alors devrait-on réhabiliter l'adage mercantiliste : en donner au client pour son argent.)

HugoLotte a écrit:

Faut-il s'abaisser à répondre à autant de bêtise ?
La star de l'école des cancres, ce Biloulou !
À " autant de " ne faut-il pas la marque de Zorro... euh, du pluriel ?

Non. "Bêtise" est utilisé ici comme un attribut, donc au singulier, et non comme un substantif qui, dans ce cas, serait d'un pluriel extraordinairement multiple.

Citation :

Et il s'abaissa. Comblé.

Non, pas comblé, il n'y avait que des crottes à ramasser. Je n'y ai pas touché.

Citation :

Dis, faudrait cesser de ne voir d'un groupe que les plus grands, les plus démonstratifs, les plus gros. Il en va de l'écologie comme du reste des attributs humains : il y a de la place pour tous les extrêmes. Par exemple dans les médias qui privilégient la mauvaise nouvelle parce qu'ils ont investi dans l'attention du plus grand nombre.
Cependant, si les " commerçants " tablent autant sur l'émotivité (surtout la mal contrôlée), c'est un sale coup du Diable ou bien c'est que quelqu'un s'est aperçu, jadis, que c'était un élan naturel de l'être humain ? (Alors devrait-on réhabiliter l'adage mercantiliste : en donner au client pour son argent.)

Très joli tout ça mais je ne vois pas où tu veux en venir avec un aussi savant que plaisant dérivatif. L'écologie est une science et il est déplacé de la prendre comme une religion avec ses dogmes, encore moins comme un attribut humain.
Quel rapport entre tes considérations sur l'émotivité et les travaux de reconstruction de la centrale de Fukushima ?

Explique.

Pétard a écrit:

Oulala, on a touché un petit nerf de ton «estime» de toi, dirait-on? T'as bobo à ton orgueuil? L'accumulation, la somme de tes contradictions commencent à peser sur ta conscience, à te donner la migraine? (...)

Pétard a écrit:

C'est divertissant de te voir soudainement tenir le rôle du mauvais coucheur de l'assemblée, non? Tranquillement pas vite, à part les larbins à la traîne, on se dirige vers un certain concensus (...)

Ca va comme tu veux, mon pauvre David ?

J'ai beau chercher je ne te vois pas que tu te divertisses.
Aboyer et te chercher des poux sur toi-même, ça te divertit ?

Explique.

De ce pas de loi ! (Mais expliquez quoi ? Ceci

L'écologie est une science et il est déplacé de la prendre comme une religion avec ses dogmes, encore moins comme un attribut humain.

Peut-être me trompais-je ? J'avais l'impression que les écologistes te paraissaient, dans leurs demandes et projets, aptes à faire passer l'écologie pour une officine communiste de la révolution sociale. Je disais simplement qu'on a la méchante tendance à investir dans ce qui est démonstratif, dérangeant, en fait violent.

Quel rapport entre tes considérations sur l'émotivité et les travaux de reconstruction de la centrale de Fukushima ?

Du fait que je rappelais de relativiser un peu. (Ce que moi non plus je ne fais pas tout le temps.)

P.-S - Pour " autant de bêtise(s) ", le même Antidote, en mode correcteur, accepte les deux. Je suppose que " autant de bêtise " peut signifier " une aussi grande bêtise " que ce qu'on perçoit sur le coup à la lecture : autant de bêtises en nombre. Finalement, nous avons raison tous les deux. Et j'avais tort de te soupçonner de cancreté, du moins pour ce coup-là !

Je réussirai mieux la prochaine fois.

HugoLotte a écrit:

L'écologie est une science et il est déplacé de la prendre comme une religion avec ses dogmes, encore moins comme un attribut humain.

Exact.

Citation :

Peut-être me trompais-je ? J'avais l'impression que les écologistes te paraissaient, dans leurs demandes et projets, aptes à faire passer l'écologie pour une officine communiste de la révolution sociale. Je disais simplement qu'on a la méchante tendance à investir dans ce qui est démonstratif, dérangeant, en fait violent.

L'écologie est une science parfaitement honorable, centennaire, qui n'a pas d'états d'âme et qui ne distribue pas des médailles ni des condamnations ni se venger de l'homme parce qu'il existe ; l'écologisme est un courant de pensé politique d'inspiration bolchévique qui tente, pour engendrer l'"homme nouveau", autre chose que la lutte des classes ou le terrorisme, pour le moment, mais la destruction larvée de notre tissu industriel et économique au nom d'un environnement sacralisé.
Les prophètes et sectateurs de l'écologisme sont les écologistes.

Ceci dans le vieux continent du moins, là où ces notions sont nées. (*)

Citation :

Quel rapport entre tes considérations sur l'émotivité et les travaux de reconstruction de la centrale de Fukushima ?
Du fait que je rappelais de relativiser un peu.

La reconstruction de Fukushima fera certainement appel à différentes sciences dont l'écologie. Qu'y a-t-il à relativiser ?

Citation :

P.-S - Pour " autant de bêtise(s) ", le même Antidote, en mode correcteur, accepte les deux. Je suppose que " autant de bêtise " peut signifier " une aussi grande bêtise " que ce qu'on perçoit sur le coup à la lecture : autant de bêtises en nombre. Finalement, nous avons raison tous les deux. Et j'avais tort de te soupçonner de cancreté, du moins pour ce coup-là !
Je réussirai mieux la prochaine fois.

Oui, nous avions raison tous les deux, j'ai donc été bien inspiré de ne pas te soupçonner de cancreté, moi.
À la bonne heure !


(*) Ci-après un texte de notre excellent camarade EddieCochran sur les écologistes français

Alors où se situent nos écolos français ?

Les Verts sont nés de la contestation anti-militariste des années Larzac
(fin 1960) puis anti-nucléaire par la suite. C'est un mouvement devenu
politique institutionnel représentatif sur le tard. Il s'est développé sous
l'animation de gens très nettement d'estrême gauche pure et dure se collant
des étiquettes les plus diverses de la galaxie des communismes ouvriers
et paysans. Les ont rejoints des humanistes, souvent des scientifiques,
pacifistes et partisans d'une refondation de l'économie de production et de
consommation axée sur la sacralisation environnementale. A vrai dire, les
idéologues communisants d'origine qui ont traversé l'histoire chaotique
des Verts noyautent et tiennent le saint des saints de la boutique. En ce
sens les taxer de néo-maoïstes et de néo-trotskystes franco-français a
du sens. Ces gens verrouillant le parti sont responsables de tous les
errements politiques qu'il a connus. Des intellectuels ont pu s'estraire
de cette nasse . Ils ont donné des lettres de noblesse au mouvement et
une respectabilité comme les fameux "compagnons de route" les ont
données au PCF d'après guerre.

Europe Ecologie : ce sont des gens d'horizons et de pensée diverses,
regroupés à l'origine autour de leaders soixante-huitards gauchistes
reconvertis aux péchés du capitalisme et de la démocratie (au point que
certains penseurs de gauche les qualifient de néo-fascisants !!!) et organisés
en parti politique au départ pour la cause des élections aux Parlement
européen pour singer les Grünen allemands. Ils se disent de la gauche
sociale et prônent un concept économique et social flou et à géométrie
opportuniste qui s'appelle le développement durable et responsable q
ue les gens ont beaucoup de mal à appréhender car manifestement
trop intellectualisé.

L'alliance des Verts et d'Europe écologie (EELV) avé le PS positionnent
le regroupement écologique à gauche, entre le PS et le PCF, bien que
se soit uniquement pour les besoins d'un classement que les politologues
retiennent ce positionnement. A mon sens ils sont dans toute la Voie Lactée
de la gauche, voire jusqu'au centre.

Chaque pays a ses traditions. Globalement d'acception commune, le GPS
du classement politique situe nos écolos à la gauche de la gauche.

Maisque dans une société en plein bouillonnement
ce "casting" a-t-il encore du sens ?

Les étiquettes ont la vie dure...

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Personnellement, je fais remonter la naissance du mal au début des années 70 lors de l'affaire dite "des pluies acides" qui décimaient les ormes de l'Europe de l'Est, puis Centrale et Sud, et qui ont ému l'opinion publique.
Les officines communistes en Allemagne de l'Est et à Prague ont eu vite fait de relier ces pluies acides à l'activité des méchants pays non-communistes industrialisés et riches, et de construire un plan de propagande sur cette base afin de faire mordre la poussière à l'économie et à l'industrie de ces pays.

Peu après il a été démontré que les pluis acides avaient existé de tous temps et partout dans le monde et étaient étrangères à la maladie des ormes qui étaient causée, elle, par un virus "végétarien".

Trop tard, la propagande médiatique étaient lancée, le mal était fait, l'avénement de moteurs à haut rendement propres et économiques a été retardée de trente ans et nous en subissons encore aujourd'hui les conséquences néfastes....

Seconde lecture du quiproquo.

Écologie et écologisme. Je comprends le sens des deux mots, quel est son agenda. Je me suis laissé distraire par ta réponse à Pétard où tu parlais de religion écolo. J'avais compris du billet qu'Israël dépêcherait ses... écologistes.

Le foutu problème est qu'écologue n'est pas pantoute utilisé, mais écologiste que ce soit pour l'écologie, présentée comme science respectable, et l'écologisme, ce dit " courant de pensée " à qui on prête des intentions pas très catho... capitalistes !

Est-ce que Pétard parlait d'Israéliens écologues quand il les qualifiait néanmoins d'" écologistes " ? Je le croirais. Puisque le même mot renvoie aux deux extrèmes d'une même notion (pas étonnant si on discute autant pour rien, les mots sont maladroits, abandonnés au délire sémantique).

Faudra-t-il, comme en philosophie scolaire, définir en entrée le sens des mots-phares utilisés ? (Mais le lecteur trébucherait dans les prolégomènes, il n'apprendrait rien du message comme tel. Y a pas vraiment de solution, en dehors de la stricte bonne volonté.)