La France, sa culture, son histoire, son identité, c'est ici qu'on en parle...

Citation :

Au commencement était la Gaule... pays entre Alpes, Pyrénées, Océan et Rhin.

Les Celtes (Gaulois) habitaient ce territoire. Ils étaient constitués en tribus rivales et cohabitaient avec des colonies grecques installées dans le sud-est (Marseille) et romaines (Narbonnaise).

Des querelles internes amenèrent Jules César à intervenir en faveur de ses alliés séquanes qui étaient en conflit avec les Helvètes et les Eduens. Ce fut le prétexte pour conquérir la Gaule entre 59 et 51 av. JC.

La Gaule devient romaine et se civilisa peu à peu.

Puis elle fut gagnée au christianisme et Lyon devint la "capitale" des Gaules.

A la chute de l'empire romain, les Barbares déferlèrent sur la Gaule : Germains, Wisigoths, Vandales et Burgondes. Ils furent refoulés par les Huns d'Attila que le général Aétius, aidé de ses alliés Francs, arrêtèrent aux Champs Catalauniques en 451.

Les Francs finirent d'ailleurs par s'imposer aux autres peuples barbares et posèrent les jalons de ce qui sera plus tard, la France...

JACKLELOUP a écrit:

Je vous fait remarquer que la Belgique existe et que la France pas.

A l'époque, les Francs attendaient sagement de l'autre côté du Rhin... ils se sont bien rattrapés par la suite..



Ce brave Clovis... petit-fils de Mérovée, il réalise l'unité de la Gaule avec l'appui des évêques, seule autorité légitime (reliquat de l'empire) constituée. Il se convertit au catholicisme, plus par acte politique que conviction, s'unit avec Clotilde la Burgonde et chasse les Wisigoths du sud de la Loire après 507.

Lorsqu'il meurt, en 511, la Gaule est "une"... mais indivisible ? Il faudra encore attendre puisque les querelles entre ses fils reprennent, car selon la tradition germanique l'héritage doit-être partagé entre les héritiers après la mort du père.

A nouveau, la Gaule sombre dans la décadence...

Pour en revenir aux descendants de Clovis, ceux-ci à force de se disputer des miettes de pouvoir n'assurent plus l'administration réelle du royaume.

A l'exception de Dagobert Ier (629-639) et de son brave Saint-Eloi, les autres deviennent ce que l'on a appelé par la suite des "rois fainéants".

Le véritable pouvoir était assuré par le Maire du Palais et les leudes qui devinrent tout puissants.

L'un d'eux, Charles Martel, refoula une incursion de brigands Sarrasins près de Poitiers en 732. L'acte en lui-même ne fut rien d'autre qu'une manœuvre de sécurité publique, mais il servit sa "légende" et Charles Martel devint celui qui avait sauvé la chrétienté.



C'est sur cette image qu'il fonda sa dynastie et que son fils Pépin le Bref s'en servit finit par déposer le dernier des mérovingiens, Childéric III, en 751.

Dès lors, il fonda une nouvelle dynastie : les Pépinides.

Samain est une fête Celte, et donc Gauloise, datant de plus de 2500 ans. La fin de l'année Gauloise correspondait à la fin de l'été, entre 25 octobre et le 20 novembre, précisément le 6 ème jour de la lune montante. On fêtait alors la fin des moissons et on priait les dieux pour qu'ils protègent durant l'hiver. Ce dernier jour de l'été était également le jour des morts et des esprits. Le dieu de la mort indiquait le devenir des personnes décés dans l'année. Les défunts pouvaient alors rendre visite aux vivants. Cette nuit du 31 octobre était la fête de la SAMAIN (ou Saman, Samhna, Samhain, Samonios), l'une des quatre grandes fête Celte : - IMBOLC fête du Printemps début Février - BELTANE fête de l'Été début Mai - LUGNASAD fête de l'Automne début Août - SAMAIN fête de l'Hiver début Novembre.

Durant la nuit du Samain se déroulait un rituel permettant de bien préparer la nouvelle année:
Les feu des maisons étaient éteints et les Druides éteignaient le feu sacré et le rallumaient pour marquer le renouveau qui arrivait avec la nouvelle année et honorer le dieu du soleil (dieu Been dans la mythologie celtique).
De ce nouveau feu sacré chaque habitant prenait une braise pour rallumer le feu de sa demeure qui durerait toute l'année.
La fête de Samain pouvait durer de 3 à 15 jours, durant celle-ci, les Celtes se grimaient, portaient des masques ou des costumes pour effrayer les esprits.
Le mot anglais halloween viendrait de : All Hallow E'en pour la nuit sainte qui précède la Toussaint (All Hallows'day le 2 novembre).
Pour les Celtes la fête de la Samain est donc essentiellement la fête des morts et celle du renouveau.
A ce jour nous ne pouvons pas dire que la Toussaint ou Halloween soit directement issue de la Samain, cependant les historiens tendent d'avantage vers la Toussaint comme continuité de cette fête.

Merci pour ce sympathique rappel de la culture celtique, Bran.

Poursuivons... donc, nous en étions resté à Pépin le Bref... bien...

Donc... Le fils de Pépin le Bref, Charlemagne, fonde alors l'empire Franc : il est sacré empereur d'Occident le jour de Noël de l'an 800.



Une manière pour l'Eglise de conforter son pouvoir et de concrétiser son vieux rêve : un Empire Romain Chrétien.

La Gaule entre dans une période que l'on appelle renaissance carolingienne, comme si la civilisation qui l'avait jadis portée au firmament faisait son "come-back".



Mais hélas, les successeurs de Charlemagne luttèrent entre eux... des Serments de Strasbourg en 842 au traité de Verdun en 843, l'empire se scinde en trois : la Francie orientale, la Lotharingie (d'où le nom de "Lorraine") qui conserve la couronne impériale et la Francia Occidentalis (Francie occidentale) d'où émergera la France...

Un nouveau système se met alors en place : la féodalité.

Un autre évènement survient en 911 : par le traité de Saint-Clair-sur-Epte, les Normands sont installés sur cette terre qui deviendra bientôt la Normandie.

Les derniers feux soufflent alors sur les Carolingiens, le temps qu'une nouvelle lignée prenne le pouvoir. En 987, Hugues Capet l'emporte sur tous les autres en étant élu roi... c'est lui qui donnera naissance vraiment à la France...

Des milliers de manifestants à Carcassonne pour la défense de l'occitan










Monde - France sam 24 oct, 17:34
Les défenseurs de la langue occitane se sont mobilisés en masse samedi à Carcassonne, de 12 à 14.000 selon la police, plus de 20.000 selon les organisateurs, pour réclamer le développement de l'enseignement de l'occitan et une télévision de service public en langue d'Oc.
Dans une ambiance festive, derrière de multiples banderoles et drapeaux rouge et or frappés de la croix occitane, ils ont défilé tout l'après-midi dans la préfecture de l'Aude et ont tenu meeting sous les remparts de la Cité médiévale avant de se séparer en fin d'après-midi.
Organisée par le collectif d'associations "Anem Oc!" (En avant pour l'Occitanie!) la manifestation réunissait des personnes venues d'une trentaine de départements de la moitié sud de la France, du Piémont italien et du val d'Aran espagnol, régions où la langue d'Oc est parlée.
A côté des familles, des musiciens jouant de fifres et tambourins, on remarquait notamment le député-maire de Carcassonne Jean-Claude Pérez (PS) et le député européen (Verts) José Bové dans le cortège.
"L'Etat français a failli à sa parole en ne traduisant pas dans la loi française la charte européenne des langues régionales, c'est l'Europe des régions que l'on va construire et elle ne s'arrête pas aux frontières des états", a déclaré l'élu des Verts.
"On en a plus qu'assez de ne pas être entendus par un Etat (...) qui ne veut pas entendre les gens qui réclament des écoles, des médias occitans", a déclaré lors d'un point de presse, avant la manifestation, David Grosclaude, président de l'Institut d'études occitanes.
"On a été patients, mais on va peut-être faire plus énergique pour se faire entendre", a-t-il averti.
De son côté, Jean-Louis Blénet, président de la confédération des "Calandretas" (établissements bilingues occitans), affirmait sa volonté de coordination avec les autres langues régionales en France et déclarait: "nous voulons que nos élus définissent des politiques linguistiques, avec un engagement budgétaire, qu'ils fassent pression sur l'Etat".
Les organisateurs ont demandé dans un texte la reconnaissance d'un statut légal des langues régionales, la création d'une télévision et d'une radio de service public en langue occitane et l'instauration d'une "politique linguistique ambitieuse" permettant notamment de développer l'enseignement de l'occitan.
"Il nous faut une loi, un cadre règlementaire", ont-ils insisté, tout en qualifiant de première "victoire" la reconnaissance des langues régionales comme "patrimoine de la France" depuis 2008 dans la Constitution.
Dans le cortège on croisait bon nombre d'allogènes sympathisants, tel Nicolas Barthélemy, enseignant à Bize Minervois, originaire de Grenoble, qui déclarait à l'AFP: "l'occitan c'est un patrimoine culturel à défendre. Pour mes enfants, c'est un bon moyen de s'intégrer à la population locale: ils sont en immersion totale dans l'occitan à l'école Lo Cigal ou ils sont scolarisés".
"On a montré qu'on est présents, qu'on a une voix dans le dialogue entre les cultures", déclarait le soir Alan Roch, occitaniste carcassonnais de 56 ans, un des organisateurs, barbu aux cheveux blancs campé sous une grande banderole jaune arborant en lettres rouges au pied de la Cité: "la lenga que parlam es patrimoni de l'humanitat" (la langue que nous parlons est patrimoine de l'humanité).
Deux manifestations similaires avaient réuni 10.000 personnes en octobre 2005, déjà à Carcassonne, et 18 à 20.000 personnes en mars 2007 à Béziers (Hérault).

Entendu, d'Éric Zemmour : « La France, c’est 1500 ans d’histoire. Ca n’est pas deux siècles de République»

Et de je ne sais plus qui, peut-être du même : "Il s'avère juste que je n'aime pas cet égalitarisme niveleur, l'omnipotence du nombre induite par le suffrage universel, le démocratisme qui détruit toute hiérarchie, toute autorité, toute tradition. Il y a une élite."

(On croirait entendre Vladimir Volkoff ! )

Je crois qu'il faudrait signaler à RosaBelle et à l'OMS une nouvelle forme de grippe canine transmissible à l'homme et aux conséquences psychiques très curieuses : troubles obsessionnels, comportement rageur, crises de catatonie altérnées avec de la cyclothymie...

(C'est grave, docteur ? )

...incapacité à prendre conscience de la gravité de son cas...

le diagnostic est excellent Biloulou je pense que c'est très grave

je pense que nous allons avoir l'effet inverse : Lawrence déguisé en chien

Un prince belge décongèle son chien pour lui dire adieu Il y a 1 heure



Le prince Laurent de Belgique a remis le cadavre de son animal préféré à une faculté universitaire, où il a été placé dans un congélateur, rapporte la presse belge, vendredi.par Ludmilla INTRAVAIA

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Citation :

Le cadavre a alors été immédiatement dégelé et la bête "remise sur pattes", a expliqué ce média néerlandophone, soulignant que le fils d'Albert II a fait un dernier adieu à son compagnon, ce jeudi soir.

On imagine combien une telle marque royale d'affection d'affection de la part de son maître a dû faire chaud au cœur de l'animal.

NB : les "histoires belges" un composant fondamental de l'identité nationale française !

(UMP : était-il de race ou corniaud tel un Laurent moyen le clébard givré ?)

"Je pirate et faut pas me faire chier"





Michel Sardou est un pirate et il le crie haut et fort. Le chanteur français vient d'avouer sa passion pour les films américains qu'il pirate sans aucune honte. Interrogé sur les ondes de RTL France, Michel Sardou évoquait les derniers films qu'il avait vu. Après avoir encensé Nine et la prestation de Marion Cotillard, le chanteur a avoué être un pirate.

"Iron Man, je l'ai déjà, je l'ai piraté. Oui, je l'avoue, je pirate, on le fait tous", lance-t-il avant d'ajouter:"Faut pas me faire chier". En plein débat sur la loi Hadopi, voilà un pirate qui n'a pas peur de se mouiller. (CB)

15/06/10 12h48

Bonsoir Eddy

Citation:
Le cadavre a alors été immédiatement dégelé et la bête "remise sur pattes", a expliqué ce média néerlandophone, soulignant que le fils d'Albert II a fait un dernier adieu à son compagnon, ce jeudi soir.

Un instant, j'ai cru que tu évoquais Albert II de Monaco...

alande a écrit:

Bonsoir Eddy

Citation:
Le cadavre a alors été immédiatement dégelé et la bête "remise sur pattes", a expliqué ce média néerlandophone, soulignant que le fils d'Albert II a fait un dernier adieu à son compagnon, ce jeudi soir.

Un instant, j'ai cru que tu évoquais Albert II de Monaco...

On dit du mal de Monseigneur????

Je file chercher ma Claymore et je siffle mes féroces molosses!!!!

oupsss! désolé, bran mais depuis 1999, je ne sais plus ce qui se passe sur la principauté.