Ce soir, j'ai fait caca !

Les excréments de cachalots vont-ils nous sortir de la merde ?

Nous sommes dans la merde. Nous continuons à rejeter toujours trop de CO2 et les températures montent. A moins que les excréments de cachalots nous sauvent... Ils pourraient sauver le monde avec leurs excréments...



En quoi des excréments de cachalot pourraient nous sortir de la merde ? Aussi insolite que cela paraisse, ils auraient la vertu de lutter contre le réchauffement climatique. La merde de cachalot permet de supprimer chaque année de l’atmosphère l’équivalent des émissions deCO₂ de 40 000 voitures, car elle est particulièrement efficace pour la fertilisation des océans. Sans compter que 12 000 cachalots encore vivants, c’est aussi 50 tonnes de fer rejetées dans la mer après digestion des grands mammifères. Beaucoup de fer, veut dire stimulation de la production du phytoplancton, qui fixe lui aussi le dioxyde de carbone grâce à la photosynthèse. Les cachalots font disparaître le double du dioxyde de carbone qu’ils absorbent. Ma pêche industrielle continue dans l’Océan Astral. Avant le début de cette pêche, le nombre de cachalots était environ dix fois plus important qu'aujourd'hui, ce qui signifie qu'ils permettaient de supprimer environ 2 millions de tonnes de CO2 par an, contre 200.000 actuellement.

Je savais la femme musulmane soumise de nature, mais à ce point...

Prise en 2006

Les excréments de cachalots contre le réchauffement climatique

Ouest-France

Des biologistes australiens ont calculé que les quelque 12.000 cachalots vivant dans l'océan Austral relâchaient, par tête, chaque année, après digestion, environ 50 tonnes de fer dans la mer.

Dans les océans, le fer a une vertu essentielle: il stimule la production de phytoplancton, microalgue marine qui fixe le dioxyde de carbone grâce à la photosynthèse.

Les excréments de cachalots sont particulièrement efficaces pour la fertilisation des océans car ils sont relâchés sous forme liquide et près de la surface, avant que le cétacé ne replonge, soulignent les scientifiques.

L'équivalent de 40 000 voitures

Grâce à cette fertilisation, les cachalots permettent donc de faire disparaître environ 400.000 tonnes de CO2 de l'atmosphère, soit le double de la quantité qu'ils rejettent en respirant. A titre de comparaison, 200.000 tonnes de CO2 est la quantité moyenne émise par environ 40.000 voitures individuelles en un an, selon les calculs de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) américaine.

Le principal auteur de cette étude est le biologiste australien Trish Lavery, de la Flinders University, à Adelaide. L'étude a été publiée dans la restigieuse revue Proceedings of the Royal Society

Yvelines : les écoliers de Romain-Rolland redoutent d’aller aux toilettes

Odeurs insupportables, enfants malades de peur d’aller au « p’tit coin »… Les parents d’élèves de l’école Romain-Rolland manifestent demain contre l’insalubrité des toilettes.

http://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-les-ecoliers-de-romain-rolland-redoutent-d-aller-aux-toilettes-30-06-2010-983271.php

Infections urinaires à répétition, mycoses, occlusions intestinales… A l’école Romain-Rolland de Saint-Cyr-l’Ecole, les 365 élèves tombent comme des mouches. A l’odeur nauséabonde qui prend à la gorge dès les premiers pas dans la cour, il n’est pas difficile d’établir un rapprochement avec les toilettes de l’établissement. Celles que les parents surnomment les «toilettes de la honte». De forts effluves d’urine se dégagent de chacune d’elles et d’étranges flaques souillent le carrelage. «Les canalisations n’ont pas été refaites depuis la construction des bâtiments dans les années 1970. Les tuyaux ne sont plus étanches. L’urine fuit de partout», explique Valérie Hours, de la FCPE Saint-Cyr. La situation est telle que «les enfants préfèrent aller dans la cour, dans des buissons, ou même attendre le soir», poursuit une mère de famille. «On a peur de s’y rendre car ça sent trop mauvais», témoigne une petite fille. Cette dernière a d’ailleurs été victime d’une cystite due «à l’impossibilité d’aller aux toilettes dans la journée», assure son pédiatre. Plus grave encore, trois cas d’occlusions intestinales ont été recensés cette année. «Un dimanche, ma fille s’est réveillée en hurlant. Nous l’avons conduite aux urgences. Les médecins nous ont dit que ses intestins étaient bouchés à force de se retenir», raconte Laurence. Des travaux devaient avoir lieu cet été. Mais la mairie les a reportés d’un an pour des raisons de budget.

La pissotière de l'impératrice



http://blogs.ionis-group.com/iseg/bordeaux/gastronomie/2010/06/la_pissotiere_de_limperatrice.html

Le nom de ce Bordeaux supérieur fait référence à l’Impératrice Joséphine de Beauharnais qui fut la première épouse de l'Empereur Napoléon Ier de 1796 à 1809, impératrice des Français et reine d'Italie de 1804 à 1809. «L’histoire raconte qu’en 1809 l’Impératrice accompagnant Napoléon aux guerres d’Espagne éprouva en passant au bord de ce vignoble un besoin pressant. Depuis lors, cette parcelle cadastrée sous le nom de 'Congaillard' produit des vins jouissant d’une honorable réputation.» En bouche, il se montre franc, gras et bien en chair, solidement bâti, soutenu par des tannins harmonieux.

Citation :

Landes. Le village où il pleut des excréments

« Regardez le couvercle de mon barbecue : il est couvert de petites taches brunâtres. Il y en a partout comme ça : sur la citerne de gaz de ma voisine, sur nos voitures, sur nos terrasses, sur nos légumes et nos fruits. Ça tombe n'importe quand » constate Georges Tastet, celui qui a donné l'alerte à Saint-Pandelon, petit village proche de Dax. Sa voisine Jeannie est encore plus directe. « C'est sûrement de la merde. L'odeur ne prête pas à confusion. En début de semaine, je discutais avec ma belle-sœur. Tac ! J'en ai pris sur les lunettes » affirme-t-elle. « Dimanche et lundi dernier, ça a été le summum. Il a fallu relaver le linge qui séchait dehors. Il y avait même des petits morceaux gros comme des lentilles. Alors j'ai prévenu la mairie et la gendarmerie a été alertée » poursuit Georges Tastet.
La mairie de Saint-Pandelon prend les choses au sérieux, mais reste prudente. « Nous avons décidé hier de faire faire des analyses. Il faut que l'on sache ce que c'est exactement. Avant le résultat de ces analyses, nous ne pouvons pas nous prononcer » confie Gabriel Bidoret, le premier adjoint (lire l'encadré).
Mais les habitants ont tout de même leur petite idée sur la question. « Je constate que ça vient du ciel et que nous sommes sous un couloir aérien nord-sud. Alors forcément, je pense aux avions » remarque Georges Tastet. Il reconnaît avoir d'abord envisagé la piste des hélicoptères de l'école de Dax. « Ça aurait pu être des fuites de liquides hydrauliques. Mais dans ce cas, avec de l'eau, ça ferait des traces irisées. Or ce n'est pas le cas. Ce ne sont pas non plus des oiseaux » analyse-t-il cependant. Jeudi soir, pour faire un test, il avait étendu un morceau de tissu blanc de 1 m2 sur un buisson. Hier matin, le tissu avait une tache. Hier à 15 heures, il en avait une quinzaine. Un journaliste de TF1 a même été victime directement de ces étranges gouttes, en pleine interview hier matin : huit taches sont apparues sur sa chemise !
« Il faut que nous sachions ce que c'est, d'où ça vient, et faire stopper ce phénomène. C'est aussi un problème de santé publique. Nous ne pouvons plus manger dehors, et peut-être que nous ne devons plus manger les légumes et les fruits de nos jardins » s'inquiète Georges Tastet.

La faute à une colonie de martinets ?


La Direction Générale de l'Aviation Civile, saisie du problème, est formelle : les avions qui volent en altitude sont pressurisés et ne peuvent en aucun cas se délester de telles matières. Aux dernières nouvelles, le coupable a été identifié par les gendarmes hier soir : il s'agirait en fait d'une colonie de martinets particulièrement nombreuse cette année !
D'après les gendarmes, des milliers de ces volatiles ont élu domicile dans le secteur, soit sous des pignons de maisons d'habitations ou sur des carrières.
Cet oiseau a la particularité de voler en permanence et de se nourrir en vol et donc toutes les déjections tombent du matin ou soir. Des analyses biologiques sont en cours afin de conforter cette hypothèse.

Le chiffre : 15


en quelques heures. Un habitant a fait le test : il a étalé un tissu blanc d'1 m2. En quelques heures, il était déjà constellé d'une quinzaine de gouttes brunâtres et nauséabondes.
«Il faut que nous sachions ce que c'est, d'où ça vient, et faire stopper ce phénomène. C'est aussi un problème de santé publique. »

Georges Tastet montre du doigt les taches suspectes sur son barbecue. Quelle horreur !

Quand les excréments excitent…



(06/07/2010)


© Reporters

Pleins feux sur ces paraphilies qui suscitent le dégoût…
Visitez le blog, participez au concours
BRUXELLES On voit poindre un rictus ou le dégoût sur les visages lorsqu’on évoque ce thème. Et pourtant, la scatologie, l’urophilie et l’émétophilie font partie intégrante de la sexualité de certaines personnes…
Si le stade anal est indispensable au développement de l’enfant vers 2-3 ans, les pratiques sexuelles à base d’excréments sont considérées comme étant des paraphilies (pratiques sexuelles atypiques)… Et cela peut déboucher sur des compulsions nécessitant un traitement voire des séances de désintoxication, comme pour les addictions. Pour Brigitte Lahaie, co-auteur du Dictionnaire émancipé de la sexualité , aux Éditions Minerva, “[...] le pipi-caca est marqué d’un interdit fort. Néanmoins, transgresser un interdit est terriblement excitant pour certaines personnes...”
Encore taboues voire rejetées, ces pratiques sont difficiles à quantifier. Sans entrer dans le débat ni même dans les détails scabreux, faisons un petit tour de ces pratiques, qui doivent toujours nécessiter le consentement du partenaire !
La scatophilie est l’excitation sexuelle pour les excréments. Par extension, cela désigne le plaisir que peuvent éprouver certaines personnes à manger ou s’enduire le corps d’excréments de son partenaire. Une variante consiste à aimer déféquer dans ses sous-vêtements, en public parfois. Le sentiment de honte et la crainte d’être vu peuvent provoquer l’excitation.
L’infantilisme est le fait d’aimer porter des couches-culottes, comme les enfants. Des magasins américains se sont spécialisés dans le domaine...
La scatophagie , quant à elle, consiste à aimer manger des excréments.
Dans le même ordre d’idées : le soupeur . Ce terme désigne un individu qui laisse volontairement des quignons de pain dans les urinoirs publics dans le but de les manger après… Un groupe, pour tous les soupeurs et leurs amis, est même né sur facebook, comptant 69 membres.
L’ondinisme est, selon le Dictionnaire émancipé de la sexualité , une “activité sexuelle visant à obtenir une excitation sexuelle et un plaisir avec l’urine : par la vue, l’odeur, le toucher ou l’absorption et le goût”.
L’émétophilie est une pratique sexuelle consistant à aimer vomir sur son partenaire ou à se faire vomir dessus… Au Japon, des concours de ce genre sont organisés, suscitant un grand débat et un dégoût collectif.




L.C.C.

Il s'est fait grèffer des ailes?


Pluie d'excréments à Saint Pandelon


Les gouttes tombent sans arrêt à saint Pandelon, un petit village dans les Landes, en France. Petit problème: ce n'est pas de l'eau...











Insolite - Monde 16:44
Une drôle de substance tombe du ciel à Saint Pandelon. Depuis près de deux mois, des gouttelettes brunâtres et malodorantes perturbent les habitants de ce petit village français. Et cela commence à les énerver.
Les villageois ont d'abord accusé les avions civils de déverser illégalement le contenu de leurs toilettes au-dessus de leurs têtes. Mais la direction générale a réfuté cette accusation, stipulant par ailleurs qu'il était impossible que les avions pressurisés fassent cela en vol.

Le mystère plâne donc toujours. Si, au moins, les gouttelettes pouvaient en faire autant...

ah oui j'ai lu ça dernièrement , en fait il pleut de la m..

ce serait dû à une colonie de martinets

Panne de toilettes à bord de l'ISS

http://www.lemonde.fr/depeches/2010/07/09/panne-de-toilette-et-d-oxygene-a-bord-de-l-iss-agences-russes_3244_108_42934426.html

Le segment américain de la Station spatiale internationale (ISS) connaît une panne de toilettes et de son système d'approvisonnement en oxygène. "C'est tout simplement une malédiction qui poursuit le segment américain. En plus des sanitaires, le système de génération d'oxygène de nos partenaires est tombé en panne", a indiqué une source au sein des autorités spatiales russes. "Désormais, les astronautes de la NASA doivent aller aux toilettes dans le module russe 'Etoile'." Trois astronautes américains et trois cosmonautes russes vivent actuellement à bord de l'ISS qui est en orbite à 350 km de la Terre.

emma a écrit:

Aller aux toilettes dans l'espace requiert de l'entraînement

Les WC sur la station spatiale, mode d'emploi.



http://www.rue89.com/et-pourtant/2010/05/11/aller-aux-toilettes-dans-lespace-requiert-de-lentrainement-150959

Si aller aux toilettes est aisé sur Terre grâce à la gravité, la chose devient plus problématique en apesanteur. Sur ce point tabou, la Nasa a décidé de jouer la transparence en publiant sur sa chaîne de télévision en ligne une vidéo particulièrement instructive. On y voit les astronautes de la mission navette STS 132, celle-là même dont le décollage est prévu ce 14 mai, en train de se faire briefer sur l'utilisation du petit coin. L'un des secrets les mieux gardés du spatial y est révélé : pour ne pas manquer le trou, qui ne mesure que 10 cm de diamètre -soit trois fois moins que celui de vos toilettes terrestres-, l'équipage doit d'abord se «faire la main» sur un siège d'essai. On y apprend également comment les astronautes doivent se positionner pour être à l'aise : des étriers sont à leur disposition pour caler leurs pieds, comme chez le gynécologue, tandis qu'une ceinture et des poignées leur permettent de se maintenir vissés au siège. En 2007, lors d'une conférence de presse, l'astronome canadien Chris Hadfield avait déjà donné une explication sans détour de l'utilisation des toilettes dans l'espace. Il avait notamment signifié que les déchets récoltés sont exposés au vide de l'espace afin de tuer toutes les bactéries, puis envoyés dans l'atmosphère afin d'y brûler.

L’agence d’exploration aérospatiale japonaise (JAXA) fait aussi des recherches sur les toilettes à utiliser dans l’espace. Avec ces toilettes japonaises portables munies d'un système de nettoyage et de séchage automatiques, plus besoin d'un déplacement inutile vers les toilettes.

http://en.akihabaranews.com/21156/misc/japan-s-next-gen-space-toilet-your-personal-space-washlet

Ca doit être chiant que d'aller ainsi chier !

Les nettoyeurs d'avions en grève à Genève



http://www.tdg.ch/geneve/actu/nettoyeurs-avions-greve-geneve-2010-07-09

Une dizaine d'employés d'ISS Aviation sur un total de 135 se sont mis en grève vendredi à l'Aéroport international de Genève pour exiger le maintien et le respect de leurs CCT. Cette entreprise est chargée de purger les toilettes de Swissport.



Les toilettes seront payantes sur les vols Ryanair

http://www.france-info.com/economie-entreprises-secteurs-2010-04-07-les-toilettes-seront-payantes-sur-les-vols-ryanair-426933-22-23.html

Cette fois c’est officiel : même si elle n’annonce pas de date pour son entrée en vigueur, la compagnie aérienne irlandaise à bas coûts Ryanair a confirmé qu’elle allait faire payer les toilettes dans ses avions (cela coûtera un euro). Mieux : Ryanair n’en laisserait plus qu’une par avion, ce qui permettrait de récupérer de la place... pour installer six sièges supplémentaires. La compagnie justifie sa décision dans un communiqué. Il n’y est pas question de gagner de l’argent, mais de "changer le comportement des passagers, pour qu’ils aillent aux toilettes avant et après le vol."

KENYA : Risque de viol dans les blocs sanitaires du bidonville

Vue aérienne du bidonville de Mathare : des infrastructures sanitaires inadaptées exposent les femmes à la violence sexuelle dans les bidonvilles.



http://www.irinnews.org/fr/ReportFrench.aspx?ReportId=89801

Wanjiku, 26 ans, a perdu une dent lors d’une tentative de viol dans le bidonville de Mathare, dans la capitale kényane Nairobi, alors qu’elle se rendait à pied un soir vers l’un des blocs sanitaires situé non loin de son habitation. «Il était environ 20h et j’avais besoin d’utiliser les toilettes. Alors que je marchais vers l’une [des installations sanitaires], j’ai vu un groupe d’hommes, parmi lesquels j’en ai reconnu un que je connaissais, donc je savais qu’ils ne me feraient rien», a dit Mme Wanjiku. «J’ai appelé le nom de l’homme que je connaissais et j’ai été surprise que ce soit lui qui me tienne pendant que les autres essayaient de me déshabiller. Ils m’ont frappée parce que je criais et l’un d’entre eux m’a donné un coup de poing dans les dents. Mes cris m’ont sauvée parce que des gens sont venus à mon secours au moment où l’un des hommes était en train de baisser son pantalon». Les personnes qui se sont portées au secours de Mme Wanjiku l’ont aidée à se rendre à l’hôpital pour y recevoir des soins médicaux. «Quelques jours plus tard, je suis rentrée de l’hôpital, le gang est venu me chercher, ils voulaient me frapper. J’ai dû promettre que je ne les [dénoncerais] pas et que je ne dirais rien, parce que je considère que même si je portais plainte à la police, elle ne serait pas toujours là pour me protéger.» Des épreuves comme celle que Mme Wanjiku a eu à affronter sont quotidiennes pour de nombreuses femmes dans les sites d’implantation informels. En conséquence, les femmes de ces zones de Nairobi sont devenues prisonnières de leurs propres logements à la nuit tombée, et parfois bien avant la pénombre. Elles ont besoin de davantage d’intimité que les hommes lorsqu’elles vont aux toilettes, et l’inaccessibilité des structures rend les femmes vulnérables face au viol, les piégeant dans leurs propres habitations. Les structures sanitaires publiques sont peu nombreuses et éloignées les unes des autres dans les bidonvilles, et s’y rendre implique souvent de parcourir de longues distances à pied.

Ryanair, la seule mauvaise experience de notre voyage Ecosse-Irlande de l'annee derniere.

AFP, Mise a jour : mardi 20 juillet 2010 11:11

Le café le plus cher du monde n'est pas interdit aux musulmans

Les hautes autorités musulmanes en Indonésie ont décidé mardi de ne pas interdire aux musulmans la dégustation du café "luwak", considéré comme le meilleur et le plus cher au monde, bien qu'il soit récolté dans les excréments d'un petit mammifère.



A l'issue d'une réunion mardi, le Conseil des Oulémas a décidé de ne pas édicter de fatwa interdisant le "café de civette" ("kopi luwak" en indonésien) aux musulmans.

Le "luwak" est produit par les civettes, petits mammifères ressemblant à des fouines, qui ne se nourrissent que de cerises de café. Mais elles ne digèrent pas les grains, qui sont rejetés fermentés par les voies naturelles... Une fois séchés et torréfiés, ils font un breuvage moins amer que le café traditionnel et ayant un goût caramélisé ou chocolaté.

En raison de ce mode de fabrication très artisanal, le "luwak" est rare avec une production estimée à seulement 200 kg par an dans le monde. Son prix peut atteindre à l'international jusqu'à 500 dollars le kilo, ce qui en fait le café le plus cher, selon l'association des producteurs de café.

De ce fait, l’appellation est parfois galvaudée, certains producteurs mélangeant d'authentiques grains de civette avec du café ordinaire.

En Indonésie, le "luwak" est produit dans les îles de Java, Bali, Sumatra ou Sulawesi (Célèbes).

Le père et le fils ont violé de nombreux enfants avec la complicité d'une mère et épouse, tantôt rabatteuse et spectatrice, tantôt actrice des pires sévices.

http://www.lunion.presse.fr/article/a-la-une/lhydre-a-trois-tetes

Cela fait dix ans que les époux C. sont unis pour le meilleur et pour le pire quand le mari est frappé par un cancer du rectum, en 1977. Lui, employé des pompes funèbres, elle, femme de ménage. Quand elle se refuse à lui, «dégoûtée» par son anus artificiel et sa poche à excréments alors, «le pédophile polymorphe» qui sommeille en lui se réveille. Centré sur son plaisir personnel et dépourvu de sentiment de culpabilité, Gérard jette son dévolu sur les enfants. Son épouse, Lucette, ne fait pas obstacle à sa perversité dévorante qui le conduit à abuser des plus petits à un rythme effréné. Elle devient même spectatrice puis actrice des viols après avoir fait tomber les enfants dans les griffes de son mari. Gérard collectionne les culottes des enfants. Il a même une technique imparable pour garder en mémoire les scènes de viols. Equipé d'une caméra super 8, il filme ses petites victimes dans des pauses lascives. Quand il entre en scène avec sa poche à excréments en bandoulière, son épouse passe parfois derrière la caméra. Elevé dans cet univers de perversion, leur fils entre à son tour en pédophilie. Malgré tout, certaines victimes finissent par parler. Les enquêteurs collectent des preuves matérielles accablantes au cours de perquisitions menées dans l'antre de la famille C., à Essômes-sur-Marne.

Citation :

Equipé d'une caméra super 8, il filme ses petites victimes dans des pauses lascives.

Le numérique n'est pas fait pour les chiens !

Citation :

La police inflige un PV à une fillette qui faisait pipi sous un arbre




Pipi sous un arbre, tu ne feras point. Voilà un commandement qui fait des besoins naturels une infraction passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 450 euros ! C'est en tout cas ce qu'a constaté Stéphane P., papa de la petite Éléonore, 3 ans, qui s'est vu infliger une contravention par la police municipale de Lyon pour le pipi de sa fillette. Selon un quotidien régional, la petite fille qui se trouvait avec son papa dans la queue d'un restaurant a eu soudain une envie pressante. Son père, voulant faire au plus vite l'a entraînée dehors. « On a traversé la grande terrasse, descendu les marches ». La fillette a fait son petit pipi sur la terre et des feuilles, près d'un arbre. « Deux policiers municipaux à vélo sont passés. La femme m'a fait remarquer que la petite n'avait pas le droit d'uriner là et que les wc publics étaient proches. Je me suis alors excusé » raconte Stéphane P., qui, à la suite d'une opération, ne se déplace qu'en béquilles. Mais l'autre policier lâche : « je ne supporte pas ce genre d'attitude ». Le ton monte alors et la contravention tombe, pour « miction sur la voie publique ». Stéphane P. la conteste. « Alors ce sera le tribunal » aurait rétorqué le policier. Cependant, « au vu de la tournure des événements », la municipalité de Lyon souhaite ne pas donner suite par « mesure d'apaisement ».