Ce soir, j'ai fait caca !

Une histoire Japonaise de Caca



Le côté obscur de la force nippone.

http://www.gameblog.fr/article-lecteur_632_une-histoire-japonaise-de-caca



Le caca bénéficie d'un véritable culte au Japon. Il trouve ici sa place dans tous les milieux. Les Japonais n'en font pas un tabou, le caca c'est cool, c'est drôle, surtout quand il adopte cette élégante forme d'imposant escargot à la manière d'un Docteur Slump.



Le caca peut aussi être beau. Les Japonais semblent d’ailleurs avoir défini ce qui est la forme parfaite du caca, quand il prend l’aspect d’un gros bigorneau. Dans les mangas on ne compte plus le nombre de fois où il est représenté.

Extraits de Urayasu Tekkin Kazoku






A la télé ou au cinéma, le caca est grandement représenté.





Dans l'univers entrepreneurial, ne pas évacuer son travail fécal d’un tirage de chasse destructeur pour en faire profiter le prochain collègue qui ira faire ses besoins représente une sorte de témoignage sur la solidité de l’entreprise faite entre employés.

A Tokyo, le bâtiment de la firme Asahi exhibe fièrement une crotte dorée géante, symbole de la qualité des selles de ses employés.




Unko (crotte en Japonais) en porte-clefs.




Le caca, s'apprend dès la tendre enfance.



Un livre éducatif à grand succès relate audacieusement la vie d'un bel Unko.

Une ville sud-africaine veut acheter les urines pour vaincre des tabous



La ville de Durban, en Afrique du Sud, veut acheter les urines de ses administrés. L'enjeu: surmonter les réticences des gens à utiliser les toilettes sèches, installées par la mairie dans les quartiers pauvres.

http://www.jeuneafrique.com/depeche_afp_20101105T182809Z20101105T182804Z_une-ville-sud-africaine-veut-acheter-les-urines-pour-vaincre-des-tabous.html

Par souci d'hygiène et d'économie, Durban a doté les cours des quartiers délaissés d'environ 90. 000 de ces toilettes à litière, qui n'utilisent pas une goutte d'eau. Mais la population boude. Dans le township d'Inanda, le spectacle est désolant: portes et toits arrachés, les cabanons servent d'annexe, quand ils ne sont pas complètement désossés. Le sujet des fluides corporels est tellement tabou que personne ne veut même l'évoquer. Interrogée, une jeune mère de famille accuse vaguement des "voleurs" d'avoir dérobé "la porte et la cuvette" de son lieu d'aisance, transformé en débarras. "Les gens comparent ces WC avec ceux qui ont une chasse d'eau et ils ont l'impression qu'on leur a donné un système inférieur. En zone urbaine, il y a dissociation entre le producteur (d'excréments) et l'utilisateur des produits recyclés, et c'est très difficile de surmonter les blocages psychologiques", explique Lucky Sibiya, éducateur au service des eaux de Durban. Dès qu'ils en ont les moyens, ils investissent dans une fosse septique et abandonnent les toilettes sèches, où il faut mettre du sable après chaque passage, s'efforcer de séparer les urines des excréments et vider les cuves régulièrement. Pour cette raison, peu de villes se sont lancées dans l'installation à grande échelle de toilettes sèches. Durban a fait ce choix en 2002, quand une épidémie de choléra a mis en évidence le manque d'hygiène dans l'agglomération, où 1,3 des 4 millions d'habitants n'avaient accès à aucune forme de latrines. Pour éviter de mettre en place toute une filière d'assainissement et économiser l'eau, la ville avait opté pour les toilettes sèches. Pour convaincre les habitants, la ville envisage d'installer des réceptacles de 20 litres pour récupérer contre rémunération les urines - riches en azote, phosphore et potassium - en vue de leur transformation en engrais. Chaque famille "productrice" recevrait 30 rands (3 euros) par semaine, une somme non négligeable dans un pays où 43% de la population vit avec moins de deux dollars par jour. Dans un deuxième temps, l'idée est de transformer aussi les excréments, qui finissent aujourd'hui souvent dans la nature. . . à l'encontre de tous les principes d'hygiène.

Une toilette sèche en état de fonctionnement…

"Les gens heureux me font chier"
C'est du Marcel Prout, ça, n'est-ce pas ?

Moulins - Les surveillants réclament le transfert du détenu qui leur jette ses excréments

http://www.lamontagne.fr/editions_locales/moulins/les_surveillants_reclament_le_transfert_du_detenu_qui_leur_jette_ses_excrements@CARGNjFdJSsBFx8MBB8-.html

Les surveillants du centre pénitentiaire de Moulins-Yzeure ont de nouveau bloqué, hier matin, les accès à l'établissement. Moulins-Yzeure pose de nouveau un cas particulier. Les surveillants réclament le transfert d'un détenu de la centrale réservée aux longues peines. Kaladi Boubala, 34 ans, balance chaque jour ses excréments aux agents pénitentiaires et en souille ses cellules. «Les psychiatres estiment qu'il n'est pas un malade mental, alors il ne peut pas être admis dans un centre de soins pour détenus. Du coup, il va de prison en prison et à chaque fois c'est pareil. On déplace le problème, on ne le règle pas». Kaladi Boubala en est effectivement à plus de soixante-dix prisons depuis son incarcération en 1996. Il aurait dû sortir depuis une dizaine d'années mais son comportement en détention lui a valu de multiples condamnations et, aujourd'hui, il n'est pas libérable avant 2024.

Un détenu de Moulins-Yzeure en est à sa 72e prison et continue...

http://www.lamontagne.fr/editions_locales/moulins/un_detenu_de_moulins_yzeure_en_est_a_sa_72e_prison_et_continue_@CARGNjFdJSsBFx4BBRQ-.html

Il met le feu à ses cellules, défèque sur les surveillants et crache sur les magistrats. Jeudi dernier, et samedi il a balancé ses excréments à la figure d'un surveillant. La routine pour Kaladi Boubala. Un détenu de 34 ans que les surveillants n'approchent plus sans s'équiper d'une combinaison pour éviter les projections de sa matière fécale, qu'il utilise aussi bien en badigeon sur les murs. Et quand il manque de matière première, il a encore de la ressource. Hier après-midi, le procureur de la République de Moulins, Thomas Michaud, l'a reçu pour lui annoncer qu'il allait faire l'objet d'une comparution immédiate. Boubala a répliqué par une volée d'injures et lui a craché dessus. Kaladi Boubala, sans doute l'un des détenus qui connaît le mieux le parc pénitentiaire français, en est à sa soixante-douzième prison : «On se le refile comme une patate chaude, constate un surveillant. Mais c'est une patate en forme de grenade. Dès qu'il arrive quelque part, il explose. Il ne voit pas le bout du tunnel, mais c'est lui qui le creuse». Il insulte les surveillants, les frappe, les menaces de mort. Jusqu'à la prise d'otage. Il n'est en effet pas libérable avant 2024. Sans compter ce qu'il risquera encore le 8 décembre pour le feu dans sa cellule de Moulins-Yzeure, la projection des excréments sur le surveillant et l'outrage à magistrat.

Le détenu arrose la porte de son urine, et contamine la serrure de ses déjections. Les agents de surveillance n'en peuvent plus.



Le résultat de ces méthodes : l'odeur nauséabonde dès l'entrée dans le quartier... Des excréments qui ruissellent dans le couloir... Les surveillants souillent leurs clefs dans les serrures, souillent leurs chaussures, leurs vêtements...

Le santon "chieur" de Mourinho, star des marchés de Noël catalans

L'entraîneur du Real Madrid, José Mourinho, est cette année l'un des nouveaux "Caganers", les traditionnels santons "chieurs" des crèches catalanes, et devrait être la vedette des marchés de Noël de la région.



http://www.lepoint.fr/insolite/le-santon-chieur-de-mourinho-star-des-marches-de-noel-catalans-18-11-2010-1264329_48.php



Synonyme de fertilité dans une société de tradition agricole, cette figurine de terre cuite représentant un paysan accroupi dans ses oeuvres, remonte selon les historiens à l'exaltation réaliste de l'époque baroque, au XVIIIè siècle. Placés depuis des lustres dans les crèches catalanes, ces santons ont connu un regain de popularité ces dernières années, avec l'introduction de figurines empruntant les traits des "grands" de ce monde. La famille Alos-Pla, qui est à la tête du principal atelier de fabrication de "caganers", espère doper les ventes cette année avec la figurine de Mourinho, mais également celle de Lionel Messi, l'attaquant du FC Barcelone, représenté avec son ballon d'or.



Un autre personnage a été ajouté à la liste des santons "chieurs" cette année: le pape Benoît XVI, qui s'est rendu à Barcelone au début du mois de novembre. Les "caganers" "ne sont pas une façon de se moquer du personnage ou de ce qu'il représente, mais plutôt un hommage", a estimé M. Alos.

http://www.caganer.com/

Une Journée russe des toilettes
lundi 22 novembre 2010

La révolution communiste n'a guère été profitable aux toilettes russes.

« Avant 1917, la qualité des toilettes en Russie était la meilleure au monde », affirme Vladimir Moksounov, le président de la société russe d'industrie des toilettes. Mais aujourd'hui, les toilettes publiques font cruellement défaut, et celles qui existent ne sont pas très engageantes. Le Monsieur toilettes russe propose donc de déclarer le 9 avril Journée russe des toilettes, en espérant que cela redorera le blason des lieux d'aisance de son pays.

Sources: ouest-france.com

Les WC à la turque

Qui sont les véritables inventeurs des WC à la turque ? On pense à tort que les célèbres WC à la turque ont été inventés par les Turcs. Faux ! Ils ont été crées par les Belges, les Turcs ont juste perfectionné le dispositif en ajoutant un trou.

"Entropa", l'exposition qui a fait scandale à Bruxelles

L'exposition "Entropa", avait été commandée par la République Tchèque pour inaugurer son arrivée à la tête de l'Union Européenne.



http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/entropa-l-exposition-qui-fait-scandale-a-bruxelles_732279.html

La Bulgarie est la première à être montée au créneau, dénonçant sa représentation, sous forme d'une multitude de toilettes à la turque. Sofia a émis une protestation diplomatique, réclamant le retrait du module la caricaturant, une requête à laquelle le gouvernement tchèque a accepté d'accéder.

C'est curieux, la dernière fois que j'ai vu des WC "à la turque" ce fut dans les sanitaires du Bureau de piste de l'Aéroport de Lyon-Bron...
Souvenirs, souvenirs...

Pilote indien aux WC, avion en piqué

http://www.liberation.fr/monde/01012305209-pilote-indien-aux-wc-avion-en-pique

Les 113 passagers du Boeing 737 de la compagnie indienne Air India Express en ont été quittes pour une sacrée peur, mais l’affaire aurait pu virer au drame. Selon un rapport de la Direction générale de l’aviation civile (DGCA) publié hier à New Delhi, le copilote de l’appareil qui effectuait le trajet Dubaï- Pune (sud de l’Inde), le 26 mai dernier, a fait plonger l’avion de 2 000 mètres en poussant par mégarde les commandes de direction alors qu’il ajustait son siège. Au lieu de tenter de stopper la descente en piqué, il a perdu ses moyens au point d’être incapable de laisser entrer dans le cockpit le pilote, parti aux toilettes juste avant l’incident. «Qu’es-tu en train de faire ?» lui hurlait ce dernier, alors que les hôtesses de l’air ordonnaient aux passagers terrifiés d’attacher leur ceinture. Le pilote a finalement pu pénétrer dans la cabine en utilisant un code d’urgence, et rétablir l’assiette du Boeing. Le rapport souligne que le copilote n’avait «probablement aucune idée de la façon de gérer ce type d’urgence».

Toilettes d'un Boeing 737

Transformons les bouses de vaches en électricité !



Les flatulences des bovins ont un impact énorme sur le changement climatique. Avec 18% des émissions de gaz à effet de serre (selon un rapport de l'ONU datant de 2006), le bétail est l'un des plus gros pollueurs de la planète, loin devant les moyens de transport...

http://www.7sur7.be/7s7/fr/2765/Environnement/article/detail/1186287/2010/11/23/Transformons-les-bouses-de-vaches-en-electricite.dhtml

Si on ne peut rien faire contre les pets des vaches, on peut désormais produire de l'électricité à base de leurs excréments. La plus grande centrale électrique du monde fonctionnant à base de bouses de vaches va ouvrir ses portes dans le nord-est de la Chine. L'usine produira 5.6 mégawatts d'électricité (trois fois plus que les exploitations déjà existantes), ce qui correspond aux besoins de 20.000 foyers chinois. Quand on sait qu'une vache laitière produit en moyenne 50 kg d'excréments par jour (18 tonnes par an), avec un troupeau de 250.000 têtes comme celui de l'exploitation agricole Huishan Dairy qui fournira l'usine, on obtient plus de 4 millions de tonnes de bouses. Chauffés, les excréments libèrent un biogaz essentiellement composé de méthane (gaz 20 fois plus polluant que le CO2, dioxyde de carbone) qui alimente ensuite un générateur qui produit de l'électricité. Les éléments restant de la bouse sont également réutilisés : la partie liquide sert d'engrais et la partie sèche vient recouvrir le sol des étables et écuries à la place du foin ou des copeaux de bois.

Toujours Vivaldi ?

Chine : une statue en crottes de panda vendue 34 000 euros



L'ancien ambassadeur de Suisse en Chine s'est offert une oeuvre d'art insolite: une Venus de Milo entièrement réalisée en crottes de panda.

http://www.metrofrance.com/info/chine-une-statue-en-crottes-de-panda-vendue-34-000-euros/mjlc!vvdavs31YLGA/

Ca fait cher le caca. Un collectionneur d'art contemporain chinois, ancien ambassadeur de Suisse en Chine, vient en effet d'acquérir une réplique de la Vénus de Milo réalisée en crottes de panda, pour la bagatelle de 300 000 yuans (34 000 euros). Une drôle d'initiative que l'on doit au célèbre sculpteur Zhu Cheng, qui a toutefois laissé des enfants y mettre les mains tandis qu'il supervisait les travaux. La statue a ensuite été exposée dans un musée de la province centrale du Henan, où elle a finalement été achetée par notre ancien ambassadeur. La presse chinoise rapporte par ailleurs que l'oeuvre avait attiré un grand nombre de curieux, "certains trouvant même son odeur agréable".

Il était libérable en 2000, il restera en prison jusqu'en 2026

Rachid Boubala, 34 ans, a un peu plus creusé son tunnel hier. Un an et demi de prison en plus pour avoir mis le feu à sa cellule et balancé ses excréments aux surveillants.

http://www.lamontagne.fr/editions_locales/moulins/il_etait_liberable_en_2000_il_restera_en_prison_jusqu_en_2026@CARGNjFdJSsBFBgABhs-.html

Confiné au quartier d'isolement, il n'en sort que pour être incarcéré au quartier disciplinaire. Même surveillé comme le lait sur le feu, il déborde. Il insulte les surveillants, les frappe, les menace de mort, tente de les prendre en otage, casse tout dans ses cellules. Son arme fétiche, ses excréments. Il remplit de ses déjections les récipients en plastique de la nourriture qui lui est servie, pour les balancer contre la porte de ses cellules et sur ceux qui l'ouvrent. Un agent en a reçu une dose le 6 novembre à la centrale de Moulins-Yzeure. «Il sait que les surveillants doivent se servir de l'oeilleton pour regarder à l'intérieur de la cellule. Alors il le badigeonne tant que ça le bouche et que ça ruisselle sous la porte. Comme ça, les personnels sont obligés de marcher dedans, de supporter cette odeur infâme et de lui donner l'occasion de lui servir de cible. Abject !»

emma a écrit:

Moulins - Les surveillants réclament le transfert du détenu qui leur jette ses excréments

http://www.lamontagne.fr/editions_locales/moulins/les_surveillants_reclament_le_transfert_du_detenu_qui_leur_jette_ses_excrements@CARGNjFdJSsBFx8MBB8-.html

Les surveillants du centre pénitentiaire de Moulins-Yzeure ont de nouveau bloqué, hier matin, les accès à l'établissement. Moulins-Yzeure pose de nouveau un cas particulier. Les surveillants réclament le transfert d'un détenu de la centrale réservée aux longues peines. Kaladi Boubala, 34 ans, balance chaque jour ses excréments aux agents pénitentiaires et en souille ses cellules. «Les psychiatres estiment qu'il n'est pas un malade mental, alors il ne peut pas être admis dans un centre de soins pour détenus. Du coup, il va de prison en prison et à chaque fois c'est pareil. On déplace le problème, on ne le règle pas». Kaladi Boubala en est effectivement à plus de soixante-dix prisons depuis son incarcération en 1996. Il aurait dû sortir depuis une dizaine d'années mais son comportement en détention lui a valu de multiples condamnations et, aujourd'hui, il n'est pas libérable avant 2024.

Un détenu de Moulins-Yzeure en est à sa 72e prison et continue...

http://www.lamontagne.fr/editions_locales/moulins/un_detenu_de_moulins_yzeure_en_est_a_sa_72e_prison_et_continue_@CARGNjFdJSsBFx4BBRQ-.html

Il met le feu à ses cellules, défèque sur les surveillants et crache sur les magistrats. Jeudi dernier, et samedi il a balancé ses excréments à la figure d'un surveillant. La routine pour Kaladi Boubala. Un détenu de 34 ans que les surveillants n'approchent plus sans s'équiper d'une combinaison pour éviter les projections de sa matière fécale, qu'il utilise aussi bien en badigeon sur les murs. Et quand il manque de matière première, il a encore de la ressource. Hier après-midi, le procureur de la République de Moulins, Thomas Michaud, l'a reçu pour lui annoncer qu'il allait faire l'objet d'une comparution immédiate. Boubala a répliqué par une volée d'injures et lui a craché dessus. Kaladi Boubala, sans doute l'un des détenus qui connaît le mieux le parc pénitentiaire français, en est à sa soixante-douzième prison : «On se le refile comme une patate chaude, constate un surveillant. Mais c'est une patate en forme de grenade. Dès qu'il arrive quelque part, il explose. Il ne voit pas le bout du tunnel, mais c'est lui qui le creuse». Il insulte les surveillants, les frappe, les menaces de mort. Jusqu'à la prise d'otage. Il n'est en effet pas libérable avant 2024. Sans compter ce qu'il risquera encore le 8 décembre pour le feu dans sa cellule de Moulins-Yzeure, la projection des excréments sur le surveillant et l'outrage à magistrat.

Le détenu arrose la porte de son urine, et contamine la serrure de ses déjections. Les agents de surveillance n'en peuvent plus.



Le résultat de ces méthodes : l'odeur nauséabonde dès l'entrée dans le quartier... Des excréments qui ruissellent dans le couloir... Les surveillants souillent leurs clefs dans les serrures, souillent leurs chaussures, leurs vêtements...

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Citation :

Kaladi Boubala, 34 ans, balance chaque jour ses excréments aux agents
pénitentiaires et en souille ses cellules..

Y a qu'à le renvoyer dans son pays de merde ! Ah zut ! C'est la France !
Il ne reste plus qu'à l'incarcérer dans les toilettes d'autoroutes françaises.
Il pourra produire le fruit de ses luttes intestines autant qu'il voudra pour
décorer les lieux, personne ne s'apercevra du changement. Et l'avantage
c'est que les chiottes d'autoroutes se nettoient au Kärcher. Enfin aurons-nous
la première racaille de France nettoyée ainsi. Ça doit faire chaud au cœur
de kékun de connu.

Je comprends mieux ce criminologue qui disait que pour certains
délinquants la prison était la solution la plus merdique qui soit.

Obama affirme qu'il ramasse lui-même les crottes de son chien



http://www.lepoint.fr/insolite/obama-affirme-qu-il-ramasse-lui-meme-les-crottes-de-son-chien-17-12-2010-1276849_48.php

Le président des Etats-Unis Barack Obama a affirmé vendredi qu'il lui arrivait de ramasser lui-même les crottes de son chien, lorsqu'il le promène le soir sur les pelouses de la Maison Blanche. La Maison Blanche "est un très beau bâtiment, et il y a un grand jardin à l'arrière qui s'appelle la pelouse sud", a encore dit le président, en révélant qu'il y promenait souvent son chien Bo. "Parfois, je cours avec Bo, mais parfois, je dois ramasser ses crottes. Je ne veux pas les laisser sur la pelouse", a poursuivi le président. Ces révélations de l'homme le plus puissant du monde interviennent deux mois après celles de son prédécesseur George W. Bush, qui avait raconté avoir rencontré une situation inédite après avoir quitté la Maison Blanche: ramasser lui-même les déjections de son chien Barney. "Dix jours après la fin de ma présidence, je me suis retrouvé là avec un sac en plastique à ramasser ça, ce que j'avais pu éviter pendant huit ans", avait dit l'ex-président.

Tabou ou pas tabou : le caca est-il l'ennemi du couple ?

Pipi, caca, prouts et rots sont bien humains. Pourtant, en couple, certaines personnes préfèrent risquer l'occlusion intestinale plutôt que de se laisser aller à un besoin naturel en présence de l'autre.

Ariane Cassandre Corisande, née d'Auble. Leur reine à tous. Parce qu'elle est la « Belle du Seigneur » (comprendre l'amoureuse de Solal), l'héroïne d'Albert Cohen use de 1 000 stratégies pour lui cacher ses allées et venues aux toilettes :

« La regardant boire, il ne put s'empêcher de penser que dans une heure ou deux elle le prierait, avec le même sourire distingué, de la laisser seule un moment. Il déférerait aussitôt à ce désir et il y aurait, quelques instants plus tard, venu de la salle de bains de cette malheureuse, le bruit maléfique de la chasse d'eau. »

« Je pourris les chiottes du boulot »

Comme Ariane, Dorothée (son prénom a été changé) est amoureuse. Elle va même bientôt se marier, avec Marc, son compagnon depuis trois ans et demi. Pourtant, elle lui cache toujours un secret. Parfois… elle va aux toilettes :

« Je n'y arrive pas, je ne peux pas. J'ai peur qu'il entende, qu'il y ait des odeurs, qu'il comprenne que je ne suis pas la femme parfaite. Si vraiment je n'en peux plus, je bourre les chiottes de papier. Je pourris les chiottes du boulot aussi. »

Au début de leur relation, elle s'est même rendue malade :

« Je ne suis pas allée aux toilettes pendant une semaine. J'ai été chez le médecin, et même avec les médicaments qu'il m'avait prescrits, je n'y arrivais pas. C'était vraiment psychologique… »

L'intimité du couple, entre avancée et régression

« Le problème est très complexe », dit effectivement Alberto Eiguier, psychiatre, spécialiste du couple et enseignant à l'UFR de Bobigny. Pour lui, c'est la question de la pudeur et de l'intimité dans le couple qui est en jeu :

« Le couple, c'est une avancée et une régression. Du moment qu'on est en couple, on va partager son intimité avec quelqu'un d'autre, c'est une avancée. Mais il y a aussi une régression dans ce partage. On retourne à un stade de l'enfance, avant l'âge où on nous a appris le contrôle des sphincters, en nous disant que tout cela est sale, et qu'il ne faut pas le montrer aux autres. »

Dans son livre « Le Grand ménage », le Dr Frédéric Saldmann recommande vivement d'éliminer (pipi, caca, prouts) pour être en bonne santé. On y apprend que 14 millions de Français se retiennent de faire pipi dans la journée, tandis que 30% sont constipés. Trois fois plus de femmes que d'hommes. Un chiffre qui prouve bien, dans les faits, la pression de perfection et de « pureté » qui pèse sur les femmes. L'éternel féminin, tout ça, tout ça…

Si commun, si tabou

Mais dans le fond (sans jeu de mots), pourquoi ces mouvements communs à toute l'humanité sont-ils tabous ? D'autant que, comme le rappelle Martin Monnestier, auteur d'« Histoire et bizarreries sociales des excréments » :

« En France, jusqu'au début du XIXe siècle, il était encore possible de faire dans la rue. »

Dans son livre, il raconte le jardin des Tuileries, « lieu de rendez-vous pour les chieurs qui se soulagent sous les haies d'ifs plantés par Le Nôtre. »

Il cite aussi la princesse Palatine qui écrit, dans une lettre en 1718 : « Paris est un endroit horrible et puant. Les rues ont une si mauvaise odeur, qu'on ne peut y tenir. » Pour Georges Vigarello, historien du corps et de la beauté, auteur du »Propre et du sale », il n'est pour autant pas question d'une invention de la pudeur au XIXe :

« La pudeur a toujours existé, mais les curseurs se sont déplacés. Aucune société ne peut se passer de pudeur, il faut un minimum de distance. Jusqu'au XIXe, il était peut-être possible de faire ses besoins dans certains lieux publics, mais il était impensable d'être à moitié nu sur une plage… »


La baronne Staffe ou l'interdit de la salle de bains
Il lie l'apparition d'un tabou autour des mouvements du tube digestif à la modernité :

« On est de plus en plus dans le contrôle et nos sociétés sont devenues de plus en plus techniques. Ce sont des sociétés d'engins, de codes informatiques. Dans une société comme celle-là, on est obligé de s'imposer plus de normes. »


Pour ce qui est du couple, il estime qu'il y a eu une accentuation de la bulle intime. Dans les années 1740, les appartements changent. On commence à individualiser les chambres :

« Il y a un certain nombre de pratiques qu'on ne supporte plus de partager. En 1890, la baronne Staffe dit que la salle de bains est un lieu fermé, l'époux n'a pas à y entrer. Ce qui est intéressant c'est que l'interdit devient explicite et insistant. »


Pour autant, l'historien précise que « dans le couple, par consentement, il peut y avoir une abolition des normes, on peut se réinventer des règles à condition qu'elles n'aient pas un impact sur le social. »

« Avec mon ex, on avait une approche très “LOL” du caca »
C'est ce qui explique donc, qu'au contraire, certains couples transgressent complètement les règles. Porte des toilettes ouverte ou fermée, deux camps semblent s'opposer. Julie, une Parisienne de 25 ans, raconte son évolution sur le sujet.

« Avec mon ex, on avait une approche très “LOL” du caca… Limite je te pète dessus parce que “Ha, ha, ha ! les prouts c'est drôle”. Et puis, quand je suis sortie avec Tom, je me suis dis que ça le ferait pas de reprendre ce genre d'habitudes, que c'était un peu dégueu tout ça… Et que ça pourrait mener inconsciemment à la même issue qu'avec mon ex : devenir un couple de potes et non un couple tout court. »


Pour d'autres, ouvrir la porte de ses toilettes, c'est au contraire presque une preuve d'amour, comme le raconte Gontrand. Il a eu une copine qui « disait que les filles étaient des fées qui ne faisaient pas caca » :

« Elle se retenait pendant plusieurs jours avant d'aller faire ça chez ses parents. Le jour où elle a fait caca pour la première fois chez moi, on a fêté ça. Ça devait vouloir dire qu'on avait une histoire sérieuse. »

La Corée du Nord manque d'engrais, l'excrément humain se négocie

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/la-coree-du-nord-manque-d-engrais-l-excrement-humain-se-negocie-28-12-2010-1205745.php

Des magasins en Corée du Nord ont commencé à vendre de l'excrément humain à cause d'une pénurie d'engrais dans ce pays soumis à un embargo. La pénurie d'engrais est devenue aigüe après l'arrêt en 2008 des livraisons annuelles de riz et de produits fertilisants à la Corée du Nord, dans un contexte de dégradations des relations entre les deux pays, officiellement toujours en guerre. "Chaque foyer utilise des excréments humains comme engrais mais comme il n'est pas facile de se débrouiller avec ces quantités, des stands ont fait leur apparition sur les marchés", a rapporté le Pr.Kim Young-Soo de l'université Sogang, expert sur la Corée du Nord.