L'Irak sur le droit chemin

THE NEW YORK TIMES

Un complot pour rétablir le parti Baas aurait été déjoué en Irak

Trente-cinq membres haut placés du ministère de l'Intérieur irakien ont été arrêtés ces trois derniers jours, révèle ce 18 décembre le quotidien new-yorkais. Ils sont accusés d'avoir voulu remettre sur pied le parti Baas de Saddam Hussein, dissous en 2003. On compte quatre généraux parmi les putschistes présumés.

Ils ont été arrêtés par une force antiterroriste d'élite dépendant directement du Premier ministre Nouri Al-Maliki, précise le journal américain.

THE SUN - "Le Royaume-Uni quitte l'Irak la tête haute"

"Nos soldats seront rentrés d'Irak avant l'été", titre le tabloïd britannique. Il salue l'annonce faite par le Premier ministre travailliste le décembre. En visite en Irak, Gordon Brown a déclaré que les troupes britanniques auront quitté le pays avant juillet 2009.

Six ans après le début de la guerre, le Royaume-Uni compte 4 100 soldats déployés en Irak. Il a rempli sa mission, estime le quotidien : faire chuter le régime honni de Saddam Hussein et rétablir "paix et justice" dans la région de Bassorah (sud).

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La stratégie gagnante mise en place par l'Administration Bush, suivie par l'ensemble des forces de la coalition et à laquelle le futur président Hussein Barack Obama semble avoir totalement adhéré, porte ses fruits.

Au moins saddam n'est plus la.

3-

Biloulou a écrit:

THE NEW YORK TIMES

Un complot pour rétablir le parti Baas aurait été déjoué en Irak

Trente-cinq membres haut placés du ministère de l'Intérieur irakien ont été arrêtés ces trois derniers jours, révèle ce 18 décembre le quotidien new-yorkais. Ils sont accusés d'avoir voulu remettre sur pied le parti Baas de Saddam Hussein, dissous en 2003. On compte quatre généraux parmi les putschistes présumés.

Ils ont été arrêtés par une force antiterroriste d'élite dépendant directement du Premier ministre Nouri Al-Maliki, précise le journal américain.

Cher Biloulou,

Dans un maximum de 5 ans je suis persuadé que le parti "Baas" reprendra le pouvoir démocratiquement.
C'est ainsi que cela fonctionne en Irak... les régime forts finissent toujours par gagner, hélas peut être !

...et son contraire aussi, en Irak comme ailleurs...

Qui sait si demain les communistes ne monteront pas de nouveau au pouvoir en Russie et les nazis en Allemagne ?

Bonjour Bran !

Je ne m'implique pas dans des vaticinations...

Je sais que dans de telles circonstances une infinité de prophéties sont formulées, de sorte que, le moment venu, il y aura toujours quelqu'un pour proclamer "je l'avais bien dit !"

Et si on l'a oublié comme on aura oublié tous les autres vaticinateurs, lui et seulement lui se chargera de se rappeler à notre bon souvenir.

Pour revenir à tes propos, je suis parfaitement conscient que certains groupes humains, à un stade donné de leur chemin, ont besoin dêtre dirigés par un régime fort ou du moins paternaliste.

À voir la liesse des populations irakiennes, dans les villes comme dans les villages, quand les élections eurent lieu et cela malgré les menaces de mort des islamistes... et si j'ajoute à cela l'extraordinaire désinformation sur l'Irak à laquelle nous sommes soumis depuis des années... si je vois aussi les succès militaires des forces irakiennes de plus en plus autonomes par rapport aux "conseillers" occidentaux... je me demande si une étape de l'évolution de ce pays n'a pas été franchie définitivement.

Si ce n'est pas le cas et qu'une reprise en main par un gouvernement fort, quel que soit le nom du parti politique dont il sera issu, vienne à avoir lieu, je souhaite seulement que ce pays ne retourne pas à une dictature sanguinaire, conquérante et vindicative, mais ça me semble très peu probable.

Donc je ne vaticine rien, j'espère seulement...

Baghdad fete son premier Noel

en anglais

8-

Biloulou a écrit:

Bonjour Bran !

Je ne m'implique pas dans des vaticinations...

Je sais que dans de telles circonstances une infinité de prophéties sont formulées, de sorte que, le moment venu, il y aura toujours quelqu'un pour proclamer "je l'avais bien dit !"

Et si on l'a oublié comme on aura oublié tous les autres vaticinateurs, lui et seulement lui se chargera de se rappeler à notre bon souvenir.

Pour revenir à tes propos, je suis parfaitement conscient que certains groupes humains, à un stade donné de leur chemin, ont besoin dêtre dirigés par un régime fort ou du moins paternaliste.

À voir la liesse des populations irakiennes, dans les villes comme dans les villages, quand les élections eurent lieu et cela malgré les menaces de mort des islamistes... et si j'ajoute à cela l'extraordinaire désinformation sur l'Irak à laquelle nous sommes soumis depuis des années... si je vois aussi les succès militaires des forces irakiennes de plus en plus autonomes par rapport aux "conseillers" occidentaux... je me demande si une étape de l'évolution de ce pays n'a pas été franchie définitivement.

Si ce n'est pas le cas et qu'une reprise en main par un gouvernement fort, quel que soit le nom du parti politique dont il sera issu, vienne à avoir lieu, je souhaite seulement que ce pays ne retourne pas à une dictature sanguinaire, conquérante et vindicative, mais ça me semble très peu probable.

Donc je ne vaticine rien, j'espère seulement...

Biloulou,

N'oubions pas que le parti "Baas" dirige toujours la Syrie et au départ des forces étrangères une vague se propagera à nouveau sur l'Irak....
Oui un régime fort et laïque et le moins sanguinaire possible......
A propos Saddam combattait Alqaïda......

Oui, le parti Baas subsiste encore en Syrie où il s'accroche au pouvoir avec la dernière des énergies. Il est interdit en Irak où, de même, seule la violence sanguinaire que l'on connaît lui a permis de régner de par le passé.

Les Irakiens seraient-ils disposés à renoncer à la liberté qu'ils commencent à connaître pour faire plaisir aux Syriens ? Étrange prophétie, mais tout peut arriver, là-bas comme ici.

Enfin, Saddam Hussein combattait Al-Qaïda ?
Hummm... Saddam Hussein combattait tout ce qui présentait une menace pour lui, je n'ai pas de trace qu'Al-Qaïda se serait attaqué à son régime, leurs contacts semblent même avoir été assez cordiaux.

Mais bon, n'importe quel discours peut un jour se vérifier, il suffit de ne s'en souvenir qu'au bon moment...

10-

La police irakienne encerclait samedi matin deux quartiers du sud de Ramadi à la recherche d'un chef d'Al-Qaïda en Irak et de ses deux complices, évadés la veille d'une prison après une fusillade qui s'est soldée par la mort de 13 personnes.

"Nous encerclons les quartiers d'al-Roubat et d'al-Houmaira car c'était jusqu'au début 2007 des fiefs d'Al-Qaïda et nous soupçonnons les fugitifs de s'être dirigés dans cette direction", a affirmé à l'AFP un commandant de police, Ahmad Jawad.

Par ailleurs, si le couvre-feu a été levé samedi matin, les perquisitions et les fouilles de voitures se poursuivaient dans cette ville de 540.000 habitants, à 100 km à l'ouest de Bagdad.

"Nous continuons à traquer les fuyards", a affirmé à l'AFP le porte-parole du ministère de l'Intérieur, le genéral Abdel Karim Khalaf.

Imad Ahmad Farhan, tristement célèbre sous le nom d'"Imad le tueur" et qui a reconnu au moins cent meurtres selon la police, s'est échappé d'un poste de police dans la nuit de jeudi à vendredi avec deux autres "émirs", des chefs locaux de la branche irakienne d'Al-Qaïda, à l'issue d'une opération qui semble avoir été particulièrement bien préparée, selon un responsable de la police locale.

"Lors d'échanges de coups de feu durant une tentative d'évasion vendredi à 02h00 (jeudi 23h00 GMT), six policiers ont été tués et quatre autres ont été blessés. Par ailleurs, sept prisonniers appartenant à Al-Qaïda ont été tués, un a été repris et trois ont réussi à s'évader", avait indiqué à l'AFP le général Tarek al-Doulaimi, chef de la police de la province d'Al-Anbar, dont Ramadi est la capitale.

Selon un responsable de la police locale et une source au ministère de l'Intérieur à Bagdad, un colonel, un capitaine et un lieutenant figurent parmi les victimes.

Les Patrons de Bush: Je ne peux m'empecher de me demander si Zed fait expres d'ecrire n'importe quoi ou si c'est un manque d'information,

enfin bon... pourquoi etre surprise? ca ne fait que prolonger la desinformation que nous avons connue pendant 9 ans.

... et perplexité.

Bonjour Zed, c'est quoi cette histoire des patrons du président Bush ?

¥_zed_¥ en 17 a écrit:

Je me suis trompé en écrivant Bush, par ce que ça sous entendait que seul Bush a des patrons en tant que président, alors que c'est la fonction de président qui a des patrons.

Qui est ''les patrons''? Suffit de remonter la trace des billets de banque.[/color]

C'est George Washington !

J'ai gagné ?

20-

Le calme est revenu..............


Attentat-suicide en Irak: 30 morts et 110 blessés

C'est l'attentat le plus meurtrier en Irak depuis qu'un kamikaze avait tué 55 personnes dans un café de Kirkouk le 11 décembre.

L'attentat de Youssifiyah, dans le "triangle sunnite" au sud de Bagdad, a été perpétré dans une salle de réunion attenante à la maison du cheikh Mohammed Abdullah Salih, chef de la tribu sunnite al-Garaqul. Ce dernier ne fait pas partie des victimes.

Selon la police, le cheikh avait invité des chefs tribaux à déjeuner. Le kamikaze a réussi à entrer dans la maison avant de se faire exploser.

Par ailleurs, deux personnes ont été tuées vendredi par des hommes armés qui ont ouvert le feu sur un barrage routier contrôlé par des membres des Fils de l'Irak, un groupe sunnite luttant contre les terroristes, à Jurf al-Sakhar à 64km au sud de Bagdad, selon la police. Les Fils de l'Irak sont d'anciens insurgés sunnites et membres de tribus locales qui se sont retournés contre Al-Qaïda en Irak, s'alliant avec l'armée américaine. AP

Lawrence en 20 a écrit:

Le calme est revenu..............

Tu trouves ?

Quant à moi, je conclue que ces différentes sectes msulmanes, plus rétrogrades, fanatisées et sanguinaires les unes que les autres, tuent et s'entre-tuent - parfois aussi contre d'autres religions - en Inde, au Pakistan, en Irak, en Indonésie, en Espagne, en Tunisie, en Égypte, etc., etc..

Pieux, vous disiez ?

IRAK • Première étape des élections provinciales (AFP)

Les Irakiens sont invités à choisir leurs conseillers provinciaux dès le 28 janvier. Un scrutin test pour la démocratie et la capacité des autorités à assurer la sécurité. Les résultats seront un indicateur des équilibres politiques avant les législatives prévues fin 2009.

"Quelque 800 observateurs étrangers sont arrivés en Irak pour superviser les élections des conseils provinciaux. Plus de 15 millions de personnes sont inscrites sur les listes électorales. Le mercredi 28 janvier, 614 000 policiers, soldats, malades et prisonniers irakiens ont commencé à voter. Les autres électeurs se rendront aux urnes le samedi 31 janvier", rapporte Asharq Al-Awsat. Plus de 400 partis ou mouvements sont en lice, et 14 431 candidats se disputent les 440 sièges de conseillers provinciaux qui sont à pourvoir dans 14 des 18 provinces du pays. Selon le site Elaph, "on compte parmi les candidats 3 912 femmes pour lesquelles, selon la loi, 25 % des sièges seront attribués". La loi électorale, adoptée en septembre 2008 par le Parlement irakien et approuvée en novembre par le Conseil présidentiel, accorde également six sièges aux minorités, dont trois aux chrétiens – soit un à Bagdad, un à Ninive et un à Bassorah. Les Sabéens ont obtenu un siège à Bagdad, les Yazidis et les Shabaks chacun un siège dans la province de Ninive.

Ce scrutin est le premier depuis celui du 30 janvier 2005 (premières élections libres et pluralistes en Irak après la chute du régime de Saddam Hussein). Mais ce scrutin avait été boycotté par les principaux mouvements d'obédience sunnite, laissant le champ libre aux chiites et aux Kurdes. Ainsi ces élections provinciales sont marquées par le retour des sunnites. Les partis de la majorité chiite, qui s'étaient présentés en coalition aux précédentes élections, se présentent cette fois-ci de manière indépendante. Le parti Daawa, du Premier ministre Nouri Al-Maliki, compte sur l'amélioration générale de la sécurité en Irak pour attirer les voix et se distancier du Conseil suprême islamique d'Irak (CSII), qui contrôle la plupart des provinces du sud du pays. Du côté des Kurdes, les élections seront organisées ultérieurement dans les provinces du Kurdistan irakien : Dohouk, Erbil, Sulaymaniyah et Kirkouk. Cette dernière province pétrolière fait l'objet d'un grand débat au sujet de son rattachement à la région kurde et de la répartition des pouvoirs entre les communautés kurdes, arabes et turkmènes. Son statut devrait être déterminé suite à une consultation prévue en juillet prochain.

"Par ailleurs, ce vote intervient quelques semaines après la fin du mandat des Nations unies sur la présence des forces de la coalition en Irak. Depuis le 1er janvier, les Irakiens ont le contrôle de la sécurité dans le pays", rappelle le quotidien panarabe Ahsarq Al-Awsat, qui souligne l'énorme déploiement des forces armées irakiennes et américaines autour des bureaux de vote pour assurer le transport des urnes contenant les bulletins. "A la différence des précédentes élections, les questions sécuritaires n'ont pas été au centre de la campagne. La plupart des slogans insistent plutôt sur l'amélioration de la situation économique et des services publics", ajoute le journal. Selon la commission électorale, les résultats seront annoncés le 3 février.

(Hoda Saliby)

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Les estimations du président Bush dès 2003 étaient donc assez justes et la stratégie mise en oeuvre en Irak par son administration après quelques tâtonnements, remarquablement efficace.

23-

Cher Biloulou,

J'aurais un jour espéré que l'Irak devienne un jour un pays à (notre) image !!!

Hélas, dès le départ des troupes protectrices un pouvoir totalitaire reviendra en place sans aucun doute...

Mais nous y aurons fait de toutes facons notre business juteux et qui sait pour l'avenir ?

(le seul coté positif était sa laïcité)

Biloulou a écrit:

IRAK • Première étape des élections provinciales (AFP)

Les Irakiens sont invités à choisir leurs conseillers provinciaux dès le 28 janvier. Un scrutin test pour la démocratie et la capacité des autorités à assurer la sécurité. Les résultats seront un indicateur des équilibres politiques avant les législatives prévues fin 2009.

"Quelque 800 observateurs étrangers sont arrivés en Irak pour superviser les élections des conseils provinciaux. Plus de 15 millions de personnes sont inscrites sur les listes électorales. Le mercredi 28 janvier, 614 000 policiers, soldats, malades et prisonniers irakiens ont commencé à voter. Les autres électeurs se rendront aux urnes le samedi 31 janvier", rapporte Asharq Al-Awsat. Plus de 400 partis ou mouvements sont en lice, et 14 431 candidats se disputent les 440 sièges de conseillers provinciaux qui sont à pourvoir dans 14 des 18 provinces du pays. Selon le site Elaph, "on compte parmi les candidats 3 912 femmes pour lesquelles, selon la loi, 25 % des sièges seront attribués". La loi électorale, adoptée en septembre 2008 par le Parlement irakien et approuvée en novembre par le Conseil présidentiel, accorde également six sièges aux minorités, dont trois aux chrétiens – soit un à Bagdad, un à Ninive et un à Bassorah. Les Sabéens ont obtenu un siège à Bagdad, les Yazidis et les Shabaks chacun un siège dans la province de Ninive.

Ce scrutin est le premier depuis celui du 30 janvier 2005 (premières élections libres et pluralistes en Irak après la chute du régime de Saddam Hussein). Mais ce scrutin avait été boycotté par les principaux mouvements d'obédience sunnite, laissant le champ libre aux chiites et aux Kurdes. Ainsi ces élections provinciales sont marquées par le retour des sunnites. Les partis de la majorité chiite, qui s'étaient présentés en coalition aux précédentes élections, se présentent cette fois-ci de manière indépendante. Le parti Daawa, du Premier ministre Nouri Al-Maliki, compte sur l'amélioration générale de la sécurité en Irak pour attirer les voix et se distancier du Conseil suprême islamique d'Irak (CSII), qui contrôle la plupart des provinces du sud du pays. Du côté des Kurdes, les élections seront organisées ultérieurement dans les provinces du Kurdistan irakien : Dohouk, Erbil, Sulaymaniyah et Kirkouk. Cette dernière province pétrolière fait l'objet d'un grand débat au sujet de son rattachement à la région kurde et de la répartition des pouvoirs entre les communautés kurdes, arabes et turkmènes. Son statut devrait être déterminé suite à une consultation prévue en juillet prochain.

"Par ailleurs, ce vote intervient quelques semaines après la fin du mandat des Nations unies sur la présence des forces de la coalition en Irak. Depuis le 1er janvier, les Irakiens ont le contrôle de la sécurité dans le pays", rappelle le quotidien panarabe Ahsarq Al-Awsat, qui souligne l'énorme déploiement des forces armées irakiennes et américaines autour des bureaux de vote pour assurer le transport des urnes contenant les bulletins. "A la différence des précédentes élections, les questions sécuritaires n'ont pas été au centre de la campagne. La plupart des slogans insistent plutôt sur l'amélioration de la situation économique et des services publics", ajoute le journal. Selon la commission électorale, les résultats seront annoncés le 3 février.

(Hoda Saliby)

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Les estimations du président Bush dès 2003 étaient donc assez justes et la stratégie mise en oeuvre en Irak par son administration après quelques tâtonnements, remarquablement efficace.

"A la différence des précédentes élections, les questions sécuritaires n'ont pas été au centre de la campagne. La plupart des slogans insistent plutôt sur l'amélioration de la situation économique et des services publics", ajoute le journal. Selon la commission électorale, les résultats seront annoncés le 3 février.

Meme si la violence n'est pas eradiquee (mais ou l'est-elle dans le monde? comme le fait justement remarque Biloulou ) , ca en dit long!

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Les estimations du président Bush dès 2003 étaient donc assez justes et la stratégie mise en oeuvre en Irak par son administration après quelques tâtonnements, remarquablement efficace.

Bien sur, tout-a-fait d'accord!