Agriculture : en finir avec la malbouffe !

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Fatou Gaye Sarr : "La sécurité alimentaire est à portée de main’’




S’exprimant lors de la journée de l’agriculture
organisée par son département en marge du 47e Salon international de
l’agriculture de Paris, ouvert samedi matin, Mme Sarr a rappelé que le
pays dispose notamment de terres et d’eau. Autant d’éléments qui,
dit-elle, font que le Sénégal a "les moyens d’arriver" à une situation
d’abondance alimentaire.


Devant notamment les émigrés sénégalais vivant en
France, Fatou Gaye Sarr a souligné que les importantes productions de
riz et de céréales obtenues lors de la dernière campagne agricole
constituent l’illustration parfaite que ce rêve peut devenir réalité et
que la réalisation de l’objectif de la sécurité alimentaire en 2012 est
possible.

Selon elle, après la crise alimentaire de ces
dernières, le président de la République Abdoulaye Wade a été le
premier à lancer un appel pour le retour à la terre. La mobilisation
sociale qui s’en est suivie s’est traduite par le retour des Sénégalais
à la terre, a-t-elle relevé, estimant que c’est là la preuve que
"l’appel du chef de l’Etat a été entendu" et qu’il revient aux uns et
autres de "consolider" les acquis ainsi enregistrés.

Mme Sarr a aussi donné l’assurance que l’Etat est
en train de tout mettre en œuvre pour aider à l’installation des
émigrés et des investisseurs qui le souhaitent. De ce point de vue, ces
derniers pourront notamment compter sur le Plan REVA avec la mise en
place de domaines agricoles partagés.

http://www.aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=65549

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«Les éleveurs ont un avenir à proximité des villes»



L'Audois Bernard Martin, bien connu à Fonties du Razes dont il est
maire, parfaitement connu aussi au sein de la filière élevage en France
et à l'étranger, espère cette image symbolique d'un avenir prometteur
pour les éleveurs : le président du Sénat, Gérard Larcher, dégustant
une brochette de veau « Presto », un nouveau concept lancé par
l'Irlande, la Grande Bretagne et la France.


« Si nous parvenons à
pousser les feux de la production ovine, grâce à des races locales
adaptées comme nous le faisons avec Pays Cathare et Sud de France, nous
serons en mesure de gagner des parts de marché », explique Bernard
Martin, vice président du Salon International Agricole qui se déroule
cette semaine à Paris.

Ce n'est pas d'aujourd'hui que Bernard Martin défend cette idée. Au
début des années 2000, lors du congrès national de la fédération ovine
à Narbonne, Bernard Martin avait demandé à Michel Moynier, alors maire
de la capitale septimanienne, qu'il mette à disposition des éleveurs
des terres à la périphérie de l'agglomération. L'idée suit son chemin.
« Une économie réaliste passe par un rapprochement entre le monde
paysan, les mairies, les pays et les communautés d'agglomération. En
récupérant ces terres inexploitées, les éleveurs ovins et bovins
participeront à la lutte contre les inondations et l'érosion naturelle,
et ils seront en mesure de développer leur activité professionnelle.
C'est un message qu'il nous faut faire entendre aux collectivités
territoriales », dit avec conviction le vice-président du SIA.

Le débat est national. Il est complété par une sollicitation auprès
de l'enseignement agricole afin que soit relancée dans ces
établissements la formation au métier de berger car les demandes
d'installations sont reparties à la hausse.

Dans l'Aude, Gérard Bedos est un témoin privilégié. Sur le stand
parisien de la race gasconne, où un autre Audois, Alfred Vismara, a
accueilli la délégation départementale, Gérard Bedos a parlé de ces
trois ou quatre nouvelles installations de jeunes sur des surfaces
communales à Cavanac, Portel et Albas. « Nous sommes en mesure, dit-il,
d'utiliser dans ce sens les aides de l'État, de l'Europe et de la
Région pour la création d'unités pastorales. Les territoires
défavorisés, mangés par les garrigues, sont une cible en Corbières,
Minervois et sur la bande littorale. On peut aussi créer des unités à
valeur ajoutée par une fabrication fromagère dans le pays carcassonnais
et autour de Narbonne ». Gérard Bedos y croit à la vue des premières
entreprises.
Plus ça va et plus la création de ceintures vertes autour des villes
et des communautés d'agglomérations s'imposent comme débouché à
l'agriculture nouvelle.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/03/04/789093-Salon-de-l-agriculture-Les-eleveurs-ont-un-avenir-a-proximite-des-villes.html

Mais qu'est-ce que cette histoire de sécurité alimentaire ? Moi je suis sûr que quand je mange je mange.
Il m'arrive aussi de boire en mangeant et rarement de lire le journal mais c'est sûr : je mange.

Et d'ailleurs je ne malbouffe pas, je bienmange.

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Au Salon de l'agriculture, les anti-OGM gagnent la bataille de la communication



Les activistes anti-OGM auraient-ils
réussi à calmer les ardeurs des semenciers ? Au lendemain de la
décision de la Commission européenne d'autoriser la culture de la pomme
de terre génétiquement modifiée Amflora de BASF, les allées du salon de
l'agriculture restaient, mercredi 3 mars, étonamment vierges de toute
trace d'OGM.


Le responsable de la communication du groupe chimique allemand se
contente de répondre aux questions des journalistes sur sa patate. "La décision de la Commission est tombée par surprise et nous prévoyons trois mois à l'avance notre présence sur le Salon", justifie Jean-Marc Petat. "Et
puis, c'est de toute façon inutile d'en parler au public français. Nous
n'avons nullement l'intention de commercialiser cette pomme de terre en
France pour l'instant : les industriels n'en veulent pas à cause de la
pression des anti-OGM !", assure-t-il, en vantant le meilleur accueil que sa pomme de terre recevrait en Allemagne ou en Suède.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/03/03/au-salon-de-l-agriculture-les-anti-ogm-gagnent-la-bataille-de-la-communication_1313989_3244.html

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Allemagne: Des fraises donnent la gastro à 10'000 écoliers

de 20min.ch

Des fraises de Chine sont soupçonnées d'avoir déclenché une épidémie de gastro-entérite qui a frappé quelque 10'000 écoliers allemands après un repas pris en cantine scolaire.



Plus de 8000 enfants ont été intoxiqués à Berlin, mais aussi dans trois régions de l'ex-RDA, fin septembre par des repas livrés à des cantines scolaires et des crèches par un fournisseur commun, avait indiqué le ministère de la Santé.

Selon des informations obtenues par l'AFP, plusieurs pistes mènent à un fournisseur de Saxe (est) qui avait livré à la filiale de Sodexo à Russelsheim (ouest), ainsi qu'à deux autres fournisseurs, des fraises surgelées en provenance de Chine.

Les deux autres fournisseurs ont également fait part de cas d'intoxication alimentaire chez certains de leurs clients. Un rappel des marchandises incriminées a été lancé dans toute l'Allemagne.

[quote="OmbreBlanche"]

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Selon des informations obtenues par l'AFP, plusieurs pistes mènent à un fournisseur de Saxe (est) qui avait livré à la filiale de Sodexo à Russelsheim (ouest), ainsi qu'à deux autres fournisseurs, des fraises surgelées en provenance de Chine.

Gardons notre calme et procédons dans l'ordre : était-ce des mara-des-bois ?

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Des scientifiques créent la première vache-OGM

Le Point.fr

Des scientifiques ont conçu une vache génétiquement modifiée pour que son lait ne contienne pas une protéine hautement allergène.



Des scientifiques néo-zélandais ont conçu une vache génétiquement modifiée pour qu'elle produise du lait moins allergène. Une nouvelle qui devrait ravir nombre d'adultes qui développent une intolérance au cours de leur vie, mais aussi les près de 3 % de nourrissons allergiques au lait de vache dans leur première année de vie. Cette vache produit ainsi du lait sans bêta-lactoglobuline, une protéine de lactosérum qui est souvent responsable d'allergies, et qui ne se trouve pas dans le lait maternel.

C'est dans l'ADN de la vache que se trouvent les informations destinées à la fabrication de cette protéine indésirable. Pour supprimer la bêta-lactoglobuline du lait, les scientifiques ont donc ajouté du matériel génétique à l'ADN classique, de manière à perturber sa production. Le veau né de cette manipulation semblait en parfaite santé. Certes, il n'avait pas de queue, mais les chercheurs assurent qu'il est "peu probable" que la modification génétique soit à l'origine de cette curiosité. Nous voilà rassurés...

Éthique

L'expérience s'est donc poursuivie. Cette vache d'un nouveau type n'étant pas encore enceinte, elle n'a donc pas encore commencé à produire de lait. Les scientifiques ont ainsi utilisé des hormones pour lancer la lactation. Leur conclusion, sans méprise possible, a été publiée dans la revue "Proceedings of the National Academy of Sciences" : "Tous les échantillons de lait provenant du veau transgénique étaient dépourvus de bêta-lactoglobuline détectable."

Le professeur Keith Campbell de l'Université de Nottingham faisait partie de l'équipe qui a cloné la brebis Dolly. Selon la BBC, la question est pour lui de savoir combien de temps cette modification résistera.

Les cornes muées en chapeau à fleurs c'est génétique aussi ?