La Flandre et les autres

Rappel du premier message :

La scission de BHV votée en mai faute de solution de fond



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Belgique - Politique 11:05 La proposition de loi visant à scinder l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV) sera votée au mois de mai en séance plénière de la Chambre faute de solution de fond au problème communautaire qui divise francophones et néerlandophones, a indiqué mardi le député flamand Eric Van Rompuy sur La Première (RTBF).
Selon le frère du président du Conseil européen, il faut, concernant BHV, "une solution de fond parce que, début mai, la proposition de loi sur la scission sera mise au vote en séance plénière". Le texte de scission est gelé depuis 2007 par une série de procédures en conflits d'intérêts. La dernière en date devrait prendre fin d'ici quelques semaines. Théoriquement, le Parlement bruxellois pourrait déclencher une nouvelle procédure dont certains craignent les conséquences communautaires au sein de la Région-capitale. L'ancien premier ministre Jean-Luc Dehaene a été chargé par le roi de réfléchir à un compromis sur des réformes institutionnelles, et en particulier sur BHV. Il est censé aboutir dans les prochaines semaines. Parmi divers scénarios évoqués par les observateurs, on a parfois mentionné celui d'une solution transitoire qui permettrait de reporter le règlement du problème au fond lors de la prochaine législature. Eric Van Rompuy rejette ce scénario. "Seule une solution de fond peut mener à retirer cette proposition (de scission). Mais s'il n'y a pas de solution, les partis flamands vont voter, avec toutes les conséquences" que cela implique, a-t-il assuré. (OCH)

De Wever a fait son premier rapport au Roi


Bart De Wever en est à son quatrième jour de consultations. Après avoir rencontré les représentants du patronat, il a fait un premier rapport sur sa mission au Roi a reçu en audience vendredi après-midi au Château de Laeken.








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• Mission d'information: dernières infos avec Loïc Parmentier. ...
  

Belgique - Politique 16:07
Le Roi a reçu en audience jeudi après-midi au Château de Laeken M. Bart De Wever, Informateur, qui lui a fait un premier rapport sur sa mission, annonce un communiqué du Palais. Plus tôt ce jeudi, l'informateur a rencontré les représentants du patronat. Se sont succédé au 10 rue de la Loi, Luc De Bruyckere et Peter Leyman, de VOKA, la coupole des patrons flamands, Jean-Pierre Delwart et Vincent Reuter, président et administrateur délégué de l'Union wallonne des entreprise, Thomas Leysen, président de la Fédération des entreprises de Belgique et enfin Karel Van Eetvelt, administrateur délégué de l' Unizo, l'organisation des PME.

Les consultations se poursuivent demain
Bart De Wever poursuivra ses consultations ce vendredi. Les rencontres seront toujours axées sur le secteur économique. A 10 heures, il rencontrera Robert Tollet, président Conseil Central de l'Economie (CCE). Ce sera ensuite à 10 heures 45 le tour de Piet Vanthemsche, président du Boerenbond, et à 11 heures 30 celui de Marie-Anne Belfroid-Ronveaux, présidente de l'Union des Classes Moyennes (UCM). A 14 heures, il rencontrera René Ladouce, président de la Fédération Wallonne de l'Agriculture (FWA), à 14 heures 45, Hendrik Vandamme, président de l'Algemeen Boerensyndicaat (ABS) et enfin à 15 heures 30, Emmanuel Van Innis, président du Brussels Enterprises Commerce and Industry (BECI).

JACKLELOUP a écrit:

De Wever a fait son premier rapport au Roi

Mondieumondieu, qui l'eut cru ? Je suis troublé.

Biloulou a écrit:

JACKLELOUP a écrit:

Venant de toi .
Ça ne m étonne pas que tu renie tes origines .

Lawrence libanais ? Tiens tiens, il ne m'avait jamais rien dit !

... de coeur, Biloulou, de coeur!

Picqué "dubitatif et prudent" à l'égard de De Wever


Charles Picqué était l'invité de Pascal Vrebos ce mercredi matin. Il a évoqué sa rencontre avec l'informateur Bart De Wever. S'il trouve sa méthode de travail constructive, il n'en reste pas moins dubitatif et prudent.








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• Picqué "dubitatif et prudent"...
  

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• Di Rupo veut un accord communautaire durable
  

Belgique - Elections 2010
Le ministre-président bruxellois, Charles Picqué, a rencontré Bart De Wever, mardi, dans le cadre de la mission d'information du président de la N-VA. Ce dernier s'est montré à l'écoute quand il a reçu le premier bruxellois mais de là à dire qu'il a changé, il y a un pas que Charles Picqué a refusé de franchir. "J'avais dit le soir des élections que lorsqu'il prenait un ton apaisant, il fallait être d'autant plus vigilant", a expliqué Charles Picqué.

Méthode de travail constructive
Cela étant, le ministre-président bruxellois a tenu à souligner la qualité du travail de Bart De Wever dans sa mission d'information. "Il faut reconnaître qu'il est à la fois courtois, curieux et assez direct. La méthode de travail qu'il a adoptée est plutôt constructive", a-t-il confié avant d'ajouter: "Mais quant au fond des choses, je reste extrêmement dubitatif et prudent".

"Je ne suis pas plus confiant mais..."
Le courant semble donc être bien passé entre les deux hommes, même s'ils ne sont, à la base, pas du tout sur la même longuer d'ondes. "L'homme a des convictions bien ancrées et je ne suis pas sûr du tout qu'il va changer de point de vue. Je dis simplement qu'il ne bâcle pas sa mission d'informateur, qu'il écoute, rassemble des données. (...) Je ne suis pas plus confiant mais je dis que je suis peut-être parvenu à faire passer quelques messages qui réduisent les préjugés de Bart De Wever ou, mieux encore, le feront réfléchir par rapport à des points de vue tout à fait radicaux qu'il a exprimés dans le temps. Maintenant, ça n'a peut-être servi à rien. Il a peut-être enregistré quelques données mais, quand quelqu'un a un point de vue, ce n'est pas parce que vous lui donnez des arguments qu'il va nécessairement changer", a-t-il ajouté.

Bart De Wever, l’informateur-séducteur


L’informateur royal clôt sa première semaine d’information : il ne recevra plus personne avant lundi prochain. Ses interlocuteurs sont unanimes : il se montre ouvert, à l’écoute et très courtois.








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• Bart De Wever poursuit ses consultations.
  

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Belgique - Politique 21:44
Bart De Wever vient de clore sa première semaine en tant qu’informateur royal. Il semble ravir ses interlocuteurs, séduits par l’homme qu’il est lors des discussions : "à l’écoute", "courtois", "très ouvert, très bon, très bien", disait-on à la sortie des bureaux de la Chambre. L’informateur pose les mêmes questions à tous ses interlocuteurs : "Quelle est votre analyse sur le budget de l’état ?", "Votre analyse sur la réforme de l’état ?" et "Votre avis sur le socio-économique".

Lundi, c’est le monde financier qu’il va recevoir, mardi, les mutualités, et mercredi, les syndicats. A la fin de la semaine, seront reçus les présidents des principaux partis politiques. Ceux-ci devraient être les derniers interlocuteurs de l’informateur royal pour la semaine pochaine. La mission de Bart De Wever sera-t-elle une réussite ? Comme l’explique le journaliste Loïc Parmentier, des bouteilles de champagne auraient déjà été livrées ce matin dans les bureaux qu’il occupe…

Hé oui lawrence toujours champagne.

De Wever a poursuivi ses consultations


L'informateur Bart De Wever a reçu lundi des représentants de l'Inspection des Finances, du Bureau du Plan et du Syndicat national des indépendants (SNI).








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• L'informateur Bart De Wever a poursuivi ses consultations. ...
  

Belgique - Elections 2010 19:41
L'informateur Bart De Wever a reçu lundi des représentants de l'Inspection des Finances, du Bureau du Plan et du Syndicat national des indépendants (SNI). Les premiers n'ont pas fait de commentaire. La présidente du SNI, Christine Mattheuws, a en revanche exposé les pistes que privilégie son organisation pour réduire les charges. Selon elle, il faut retirer les allocations familiales et les soins de santé du coût salarial brut.

M. De Wever poursuivra ses consultations mardi. Il recevra à 10h Marc Justaert, président de l'Alliance Nationale des Mutualités Chrétiennes, à 10h30 Philippe Mayné, secrétaire général de l'Union Nationale des Mutualités Neutres, à 11h Geert Messiaen, secrétaire général de l'Alliance Nationale des Mutualités Libérales, à 11h30 Pascal Mertens, directeur-général de l'Union Nationale des Mutualités Libres et à 13h Guy Peeters et Jean-Pascal Labille, secrétaires généraux de l'Union Nationale des Mutualités Socialistes.

Rudy Demotte dévoile une part des discussions

Il n'y a franchement, pour moi, pas d'objection absolue au fait de passer toutes les compétences au "scanner" pour déterminer quelle doit être leur localisation optimale, a expliqué le ministre-président wallon, Rudy Demotte, mardi en commission du parlement suite à une question de Jean-Luc Crucke (MR) sur sa rencontre avec l'informateur, Bart De Wever et sa notion de "fédéralisme moderne".

Si le ministre-président estime qu'il est trop tôt pour débattre au parlement de la réforme de l'Etat, il a tenu à expliquer quelle était sa vision du fédéralisme tel qu'il a été présenté à l'informateur. "J'ai abordé le principe de la réforme et la question des possibles transferts de compétences, cela pour préciser un cadre et non pas entamer une discussion précise sur les matières, qui doit faire l'objet de la négociation elle-même", a-t-il expliqué. Ce cadre s'articule autour de la formule "pas de tabou, mais des balises", a remarqué Rudy Demotte, citant la garantie de la solidarité institutionnelle, le refus d'une compétition économique et fiscale interne, la neutralité budgétaire de la réforme pour les entités fédérées, le respect de l'importance et de la nature du lien entre la Wallonie et Bruxelles, et le fait de considérer toutes les entités fédérées sur pied d'égalité.

Pour Rudy Demotte, il n'y a de fédéralisme possible que dans le respect de toutes les entités. "Les Wallons feront solidairement barrage à toute menée impérialiste sur Bruxelles", a-t-il une nouvelle fois répété.

De Wever doit trouver plus de 6 milliards de nouvelles recettes










A lire également

• Une proposition de coalition pour le week-end ?
  

Belgique - Politique 10:42
L'informateur Bart De Wever (N-VA) cherche un "mélange sain" d'économies supplémentaires et de nouvelles taxes pour dégager 22 milliards d'euros d'ici 2015. Cela revient, semble-t-il, à 70% d'économies et 30% de nouvelles recettes, écrit De Standaard mardi.
Cela se traduirait donc en 15,4 milliards d'euros d'économies et 6,6 milliards de nouvelles recettes. Celles-ci devraient être générées par de nouvelles taxes, même si les différentes parties se sont déjà prononcées contre de nouveaux impôts sur le travail.
Bart De Wever reçoit ce mardi les mutuelles. Mercredi, il rencontrera les syndicats, puis les présidents de partis jeudi et vendredi. Il ne devrait pas rencontrer le Vlaams Belang, la Lijst Dedecker et le Parti Populaire.

Pour les 6 milliards c'est simple supprimer les aides sociales aux immigrés non actif et entré dans le cadre du rassemblement des familles .

Prise en charge par les personnes qui ont favorisé leur entrée sur le territoire ,ou retour au pays.

Prise en charge par les personnes qui ont favorisé leur entrée

ET NON DEDUCTIBLE DES IMPOTS

Le fils Van Rompuy au Sénat




Belgique - Politique 0:18 Peter Van Rompuy, le fils du président du Conseil européen Herman Van Rompuy, va siéger comme sénateur. L'assemblée générale du CD&V a décidé mardi de le proposer comme sénateur coopté.
Cette désignation ne s'est pas faite sans mal. Il aura fallu cinq tours de vote et deux heures de réunion pour aboutir au choix de Peter Van Rompuy qui a fini par l'emporter de justesse face à la sénatrice sortante Els Schelfhout. Ce choix n'est pas inintéressant quand on connaît les tiraillements que connaît le CD&V depuis sa défaite électorale et la démission à la présidence de Marianne Thyssen. Certains reprochent à l'aile progressiste du parti (ACW) de s'être accaparée un maximum de postes en vue et de bonnes places sur les listes ces dernières années. De sensibilité ACW, la sénatrice sortante Els Schelfhout se voit contrainte de laisser son poste à Peter Van Rompuy qui, dans la lignée familiale, incarne la nouvelle génération. Lors du dernier vote mardi à Bruxelles, Peter Van Rompuy a obtenu 56 voix contre 54 à Els Schelfhout. Peter Van Rompuy a réalisé un très bon résultat aux élections du 13 juin dernier. Huitième sur la liste du Sénat, il a engrangé 54.949 voix de préférence. Huit personnalités avaient déposé leur candidature pour être coopté: les sénateurs sortants Els Van Hoof, Etienne Schouppe (secrétaire d'Etat démissionnaire), Pol Van Den Driessche, Els Schelfhout, Elke Tindemans et la députée Katrien Partyka qui n'ont pas été réélus, ainsi que Lieve Van Daele et Filip Lehoucq. (VEK)

Informateur: De Wever recevra les syndicats mercredi












Belgique - Politique mar 29 juin, 15:29 L'informateur Bart De Wever poursuivra ses consultations mercredi. Il rencontrera successivement Luc Cortebeeck, président national ACV-CSC à 10 heures, puis Rudy De Leeuw, président national ABVV-FGTB à 10 heures 45 et enfin Jan Vercamst, président national ACLVB-CGSL à 11 heures 30.
(LEE)

De Wever face aux syndicats: voici leurs revendications


La mission d'information de Bart De Wever touche doucement à sa fin. Le président de la N-VA a reçu ce mercredi matin les patrons des différents syndicats qui ne sont pas venus les mains vides. Ils ont remis à l'informateur un mémorandum commun.








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• Mission d'information: dernières infos depuis le 10, rue ...
  
• Mission d'information: le travail de Bart De Wever semble ...
  

Belgique - Politique 14:32 L'informateur Bart De Wever a poursuivi mercredi ses consultations en recevant les représentants des syndicats chrétien, socialiste et libéral. La CSC et la FGTB ont remis à Bart De Wever un mémorandum commun en neuf points intitulé "Pour la solidarité-contre l'inégalité croissante".
Une politique de relance par l'emploi figure au coeur de leurs revendications et, à leurs yeux, un assainissement des finances publiques doit passer d'abord par de nouvelles recettes perçues auprès de "ceux qui ont été le plus ménagés jusqu'à présent". Ils préconisent à ce titre une fiscalité plus forte sur les fortunes et les plus-values.

Priorité au refinancement de l'Etat fédéral
En matière de réforme de l'Etat, les deux syndicats accordent la priorité au refinancement de l'Etat fédéral, qui devra supporter l'essentiel du coût du vieillissement de la population. Ils ont aussi rappelé leur attachement au caractère fédéral de la sécurité sociale, du droit du travail et de la concertation sociale.
En matière fiscale, ils s'opposent à un dumping fiscal par une autonomie des Régions en matière d'impôt des sociétés.

N-VA et FGTB totalement opposés
La N-VA et la FGTB n'ont jamais été sur la même longueur d'ondes. Manifestement, leurs points de vue demeurent éloignés. "Les différences sont encore très grandes et la solution n'est pas encore pour demain", a souligné le président du syndicat socialiste Rudy De Leeuw.
Avant les élections, certains médias avaient interprété des déclarations du président de la CSC, Luc Cortebeeck, comme un appel à ne pas voter pour la N-VA, ce que l'intéressé avait rectifié."A la CSC, on a toujours jugé un gouvernement sur ses actes", a-t-il ajouté.

Des partis flamands veulent inscrire la Forêt de Soignes au patrimoine mondial de l'UNES




Belgique - Politique 19:17 Les partis de la majorité flamande (CD&V, N-VA et sp.a) ont déposé une proposition de résolution au parlement flamand demandant l'inscription de la Forêt de Soignes au patrimoine mondial de l'UNESCO. Un texte similaire a été déposé au parlement bruxellois. "Etant donné que la plus grande partie de la Forêt de Soignes se trouve en Flandre, il nous paraît indiqué que la Flandre prenne une telle initiative", a expliqué Marc Demesmaeker (N-VA), auteur de la résolution.

JACKLELOUP a écrit:

Des partis flamands veulent inscrire la Forêt de Soignes au patrimoine mondial de l'UNESCO

Moi je voudrais proposer d'inscrire les Jardins suspendus de la Woluwe au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Commment faut-il faire ?

En flamand ?

Une fiscalité régionalisée pour une politique généreuse en Flandre


La Flandre a mené, au cours des 20 années écoulées, une politique d'allégement fiscal plus substantielle que les deux autres Régions, ressort-il d'un rapport du Conseil économique et social de Flandre (SERV), qui réunit les partenaires sociaux du nord du pays.




Belgique - Politique 18:02
Les réformes de l'Etat de 1988-89 et de 2001 ont transféré aux Régions une série d'impôts -droits de succession et de donation, droits d'enregistrement, taxes environnementales, etc.- et leur ont accordé une marge d'autonomie dans l'impôt des personnes physiques. Selon le SERV, la Flandre a utilisé ses compétences fiscales pour mener des réformes profondes qui ont conduit à de substantielles diminutions d'impôts. Au total, le SERV évalue à 2,2 milliards d'euros le montant qu'ont économisé les particuliers et les entreprises. Ce sont surtout les ménages flamands qui en ont le plus profité, grâce en particulier au "jobkorting", une réduction d'impôt accordée en 2009 avant les élections. La situation budgétaire favorable de la Flandre avant 2009 lui a permis de mener une politique plus généreuse que les deux autres Régions, constate le SERV. La crise et ses conséquences financières l'ont contrainte à plus de parcimonie. Le gouvernement Peeters II a ainsi supprimé le "jobkorting" lors de son entrée en fonction. La Flandre a également innové en matière fiscale et joué un rôle moteur à l'égard des deux autres Régions, relève le SERV: elle a institué la portabilité des droits d'enregistrement, la réduction de ceux-ci lors de l'acquisition de la première habitation, le taux nul appliqué aux donations, etc.

L'ex-président du sp.a prône l'amnistie pour les collabos




Steve Stevaert a changé son fusil d'épaule
Le ministre d'Etat et ex-président du sp.a Steve Stevaert se dit désormais partisan de l'amnistie des anciens collaborateurs à laquelle il était jusqu'à présent opposé, a-t-il indiqué mardi soir, à la suite d'une prise de position dans ce sens de la présidente de l'organisation chrétienne progressiste San Egidio.

"J'ai toujours été opposé à l'amnistie, pour des raisons idéologiques et familiales", a affirmé l'ex-président du sp.a dont le grand-père, résistant actif, a été assassiné dans des circonstances non-élucidées.

"Mais à présent que la proposition d'amnistie vient d'un milieu non-suspect, celui de la 'baronne rouge', Hilde Kieboom, présidente de la communauté Saint-Egide, sans autre agenda que celui de l'apaisement, je veux la soutenir", a-t-il affirmé, mardi soir à Anvers, dans le cadre de la présentation du livre de Hilde Kieboom "Met zachte kracht. De spirituele tegenbeweging" (Avec une force douce. Le contrecourant spirituel).

Au cours d'un entretien accordé au magazine Knack, Hilde Kieboom a estimé que Bart De Wever et Elio Di Rupo avaient une chance historique de panser les blessures anciennes. "Je veux dire toute la question de l'amnistie pour les collaborateurs durant la seconde guerre mondiale... Je ne remets pas en discussion le fait que l'holocauste était un point d'une profondeur absolue dans l'histoire, mais je me demande s'il ne peut pas y avoir de rapprochement au niveau politique dans ce dossier", a-t-elle notamment dit. (belga)

30/06/10 17h57

On peut aussi les décorer de l'Ordre de la Jarretière,et
la Légion d'Honneur!

Accès à l’enseignement néerlandophone: les parents devront passer un test


Un nouveau décret sur l’enseignement a été approuvé mercredi en session plénière. Celui-ci vise principalement à régler le problème de surpopulation dans les établissements situés dans les grandes villes. En outre, à Bruxelles, l’accès à l’enseignement néerlandophone sera rendu plus difficile pour les francophones.





Vos réactions
"Et bientôt, pour s'inscrire à l'université, il faudra faire passer un examen d'entrée aux parents ou n'autoriser l'enseignement supérieur exclusivement à ceux dont les parents ont également fait de hautes études ? Et pourquoi se limiter à l'enseignement, pourquoi ne pas vérifier les compétence linguistiques des gens à l'entrée des magasins ou même des hôpitaux ? Eux aussi connaissent parfois des problèmes de capacité." Lire les autres réactions








Belgique - Société 15:35
Le parlement flamand a approuvé mercredi en session plénière le décret sur l'enseignement "XX". Outre une série de modifications techniques, le nouveau décret comprend des mesures visant à s'attaquer aux problèmes de capacités des écoles dans les villes et à faciliter l'accès des néerlandophones dans les écoles flamandes de Bruxelles.

Des écoles tous les 250 mètres
Pour faire face à la pénurie de places dans les écoles dans les villes, la règle dite du kilomètre a été assouplie. Jusqu'à présent, aucune nouvelle école ne pouvait être créée si une école du même réseau se trouvait déjà dans un rayon de deux kilomètres, mais des zones densément peuplées comme à Anvers, Bruxelles et Gand, étaient confrontées à des problèmes de capacité. Désormais, de nouvelles écoles peuvent être établies à une distance de 250 mètres d'une autre école du même réseau.

Priorité aux Néerlandophones
Spécifiquement pour Bruxelles, la règle de la priorité pour les Néerlandophones a été adaptée. Jusqu'à présent, une déclaration sur l'honneur des parents était suffisante. Mais il était facile de faire une fausse déclaration et les priorités n'étaient dès lors plus respectées lors des inscriptions.

Examen de langue pour les parents francophones
La déclaration sur l'honneur est maintenant remplacée par une preuve "vérifiable", soit un diplôme d'une école secondaire néerlandophone, une attestation prouvant que les parents ont suivi durant neuf ans l'enseignement néerlandophone ou enfin un examen de langue. Désormais 55% de la capacité des écoles sont réservés aux néerlandophones au lieu de 54%.

De Wever maintenant tourné vers Reynders et Di Rupo


Après avoir rencontré les présidents de Groen!, d'Ecolo, du cdH, de l'Open Vld, du sp.a et du CD&V ce jeudi, Bart De Wever recevra vendredi à 10h le président du MR, Didier Reynders, et à 11h30 le président du PS, Elio Di Rupo.


[img:a755]http://www.rtlinfo.be/pictures/div/2010_07_01/325x203/Wever[2].jpg[/img:a755]

Bart De Wever serrant la main du président de l'Open Vld par qui le gouvernement Leterme II est tombé, Alexander De Croo. Celui-ci se déplace en chaise roulante depuis une chute de cheval qui lui a causé une fracture de la jambe droite le 20 juin dernier.

Vos réactions
"Le carroussel continue ..... on n'est pas sorti de l'auberge" Lire les autres réactions




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• Bart De Wever rencontre les présidents de partis.
  
• Mission d'information: dernières infos en direct.
  

Belgique - Politique 17:18
Après avoir rencontré les présidents de Groen!, d'Ecolo, du cdH, de l'Open Vld, du sp.a et du CD&V ce jeudi, Bart De Wever recevra vendredi à 10h le président du MR, Didier Reynders, et à 11h30 le président du PS, Elio Di Rupo. Il devrait clôturer de la sorte ses consultations politiques avant de faire un rapport intermédiaire au Roi dans l'après-midi. Il veillera ensuite à finaliser son rapport définitif au cours du week-end. Premières infos de la journée de consultation: le lien qui unit les Verts semble moins solide que prévu, tandis que « Madame Non » a soigneusement évité les journalistes.

M. Van Besien a été le premier président de parti à être reçu par l'informateur. Outre le fait que les écologistes iront ensemble au gouvernement ou dans l'opposition, le président des Verts flamands a encore indiqué que sa rencontre avec l'informateur n'avait pas été une réunion de négociation mais que l'informateur avait présenté quelques propositions et que lui-même avait fait de même.
Il a notamment défendu l'idée que l'effort budgétaire devait être réalisé en répartissant l'effort en trois parties: 1/3 d'économies, 1/3 de recettes nouvelles et 1/3 d'investissements, comme une meilleure isolation des bâtiments publics ce qui entraîne un effet retour favorable pour le budget.
Le rapport de De Wever prêt pour lundi
Enfin, M. Van Besien a encore indiqué que l'informateur lui avait dit que son rapport final sera prêt lundi.

Jean-Michel Javaux a été moins radical que son collègue de Groen! quant au fait que les deux partis iront ensemble au gouvernement ou dans l'opposition. "C'est trop tôt", a dit M. Javaux après sa rencontre avec l'informateur. Il a toutefois ajouté que Groen! était le partenaire privilégié d'Ecolo et qu'il faudra de bons arguments pour démontrer que Groen! n'est pas nécessaire alors qu'Ecolo est appelé à participer.
"C'est trop tôt. Il faut rester prudent. Il faudra beaucoup d'argent pour le budget et on ne devra pas se tromper dans les choix. Il faut aussi faire attention de ne pas créer un climat comme celui qui a marqué la période de l'orange bleue", a dit M. Javaux. A propos de Groen!, il a rappelé que les verts forment un groupe commun à la Chambre et qu'ils ont toujours été disposés à prendre leurs responsabilités. M. Javaux a aussi insisté sur le fait qu'il avait rappelé à l'informateur l'importance de l'écologie et de l'économie verte.
Un deuxième tour consacré à BHV ?
Le co-président d'Ecolo a encore indiqué qu'il n'avait pas été question dans l'entretien avec l'informateur de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Il a évoqué à ce sujet un possible deuxième tour de rencontre avec les présidents de partis.

cdH : no comment
La présidente du cdH, Joëlle Milquet, dernière présidente à être reçue par l'informateur ce matin, est entrée et sortie des salons de la présidence, dans lesquels ont lieu les entretiens, sans passer par la Cour où sont rassemblés les journalistes…

Informateur cherche coalition : mission impossible ?


Ce vendredi matin, l’informateur Bart De Wever reçoit Didier Reynders (MR) et Elio Di Rupo (PS). Le socialiste est pressenti pour lui succéder en tant que formateur. Le président de la N-VA a promis une coalition pour ce week-end. Ce n'est pas gagné. La pression monte d’un cran…







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Belgique - Politique 7:21
Même si les apparences pourraient laisser croire le contraire, l’heure n’est pas à la détente au 10 rue de la Loi. Bart De Wever fulmine. Sa mission d’informateur est loin d’être un long fleuve tranquille. Le président de la N-VA doit trouver un accord avec le PS, le vainqueur du scrutin du 13 juin côté francophone. Et il veut s’assurer que le MR monte au gouvernement. Car, comme il l’a souvent répété dans le passé, Bart De Wever se sent plus proche des thèses défendues par les libéraux, sur le plan socio-économique.

Et puis ?
Ce vendredi matin, l’informateur recevra à 10h le président du MR, Didier Reynders, et à 11h30 le président du PS, Elio Di Rupo. Le grand vainqueur des élections en Flandre devrait clôturer de la sorte ses consultations politiques avant de faire un rapport intermédiaire au Roi dans l'après-midi. Il veillera ensuite à finaliser son rapport définitif au cours du week-end. Et puis ? Que va-t-il se passer ? Un deuxième tour de table pour l’informateur ou la mise en selle d’un formateur ?

Rencontre avec les Verts, le cdH, le sp.a, l'Open Vld et le CD&V
Jeudi, l’informateur a commencé à chercher des partenaires possibles pour une future coalition. Un gouvernement fédéral qui devrait disposer d’une majorité des deux tiers à la Chambre. Il a rencontré les présidents de Groen!, d'Ecolo, du cdH, de l'Open Vld, du sp.a et du CD&V. Et ce n’est pas gagné. Le lien qui unit les Verts semble moins solide que prévu. « Madame Non » garde le silence. Au Nord, comme le souligne le journal Le Soir, « l’Open Vld est groggy et le CD&V a perdu sa tête ». La présidente du sp.a a, elle, rappelé qu'il fallait d'abord régler les affaires institutionnelles avant de mettre en place un gouvernement. (> Les réactions complètes des présidents de parti)

De Wever cherche un accord de base avec le PS


L'informateur Bart De Wever travaille à un accord de base avec le PS, a indiqué ce dimanche la VRT radio. Cette information a été confirmée par l'entourage de l'informateur, mais du côté du PS, on a souligné qu'il n'y avait "certainement aucune proposition d'accord sans les autres partis" susceptibles de former une majorité.




Belgique - Politique 18:23
Bart De Wever a toujours l'intention d'achever son travail au début de la semaine. L'informateur avait achevé vendredi midi la phase officielle de sa mission. Au cours du week-end, il a parachevé une série de contacts et s'est attaqué à la rédaction de son rapport final. Il avait été dit précédemment qu'il présenterait son rapport d'ici mercredi au plus tard. Dimanche, l'entourage de l'informateur évoquait plutôt l'option de la recherche d'une sorte d'accord de base à conclure avec le PS, grand vainqueur des dernières élections, côté francophone. En cas de réussite, il est possible qu'un second tour rapide de concertation soit organisé avec les autres partis.
Interrogée à ce sujet, la porte-parole du PS a précisé qu'"aucune proposition d'accord n'est en vue". "Il doit bien entendu y avoir des contacts pour mieux se comprendre mais il n'y a certainement aucune proposition d'accord sans les autres partis" susceptibles de former une majorité, a-t-elle commenté.

N-VA: les 20 petits nouveaux députés se font parrainer


Cet après-midi, tous les élus du 13 juin vont prendre place dans l’hémicycle. Côté N-VA, 20 des 27 députés sont des petits nouveaux que le parti a choisi de parrainer.











Belgique - Politique 8:40 Côté politique, tous les yeux sont rivés aujourd’hui sur l’assemblée où les élus du 13 juin vont s’installer. Cet après-midi, 150 prestations de serment auront lieu à la Chambre et 40 au Sénat. On le sait la N-VA devient le groupe le plus important, fort de ses 27 députés. Les uns après les autres, ils jureront tous "d’observer la Constitution". Pour que tout se passe pour le mieux, le parti a choisi de parrainer ces "petits nouveaux".


Les 20 petits nouveaux nationalistes parrainés

Les nationalistes flamands passent de 8 à 27 députés : les petits nouveaux devront donc être formés comme il se doit. 20 des 27 députés de la N-VA n’ont jamais vu un hémicycle de leur vie, indique le journaliste Bernard Lobet pour Bel RTL. Dès lors, le parti a prévu des parrainages : "Chaque député va avoir un parrain. Donc on a cinq personnes d’expérience qui vont parrainer quelques nouveaux", explique Jan Jambon, chef de groupe sortant.


Un député académie pendant les vacances

Autre attention à l’égard des "petits nouveaux", un député académie les aidera pendant les vacances : "Pour expliquer comment ça se passe ici à la Chambre, mais aussi pour parler en public, aller dans un débat. Comment poser des questions, comment suivre un budget, comment suivre un projet de loi", poursuit Jan Jambon.

Prestations de serment au Parlement: la N-VA fait parler d'elle


L'imminence d'une participation au pouvoir n'a pas apaisé les ardeurs et convictions des membres de la N-VA comme on a pu le constater cet après-midi lors de la séance des prestations de serment.





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Belgique - Politique 18:01
La Chambre a tenu sa séance d'installation mardi après-midi. Les 150 députés élus ou réélus lors des élections du 13 juin dernier ont tous prêté le serment constitutionnel. Avant d'entendre les prestations de serment, la Chambre a validé le résultats des élections. A cette occasion, la N-VA s'est abstenue et le Vlaams Belang a voté contre la validation des élections de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde.


La N-VA rappelle son exigence de scission de BHV
La séance a duré au total quelque 3 heures dont une longue suspension pour permettre aux commissions dont les membres sont désignés par tirage au sort d'examiner la validité des élections. Seul le rapport de la commission qui s'est penchée sur le cas de Bruxelles-Hal-Vilvorde a provoqué quelques discussions. Le Vlaams Belang et la N-VA on demandé un vote et le chef de groupe sortant de la N-VA a rappelé l'exigence de scission de cet arrondissement. "Un gouvernement avec la N-VA sera un gouvernement qui scindera BHV", a-t-il dit. La N-VA s'est abstenu lors du vote sur les conclusions tandis que le VB a voté contre tout comme Jean-Marie Dedecker (LDD).

En une, deux ou trois langues, avec ou sans antisèche
Les prestations de serment se sont quant à elle déroulées sans incident. Comme toujours, certains députés ont prêté serment dans deux, voire les trois langues nationales. La plupart d'entre eux ont toutefois eu besoin d'un petit papier pense-bête pour ne pas se tromper dans cet exercice. La séance était présidée par le président sortant Patrick Dewael assisté des deux cadets de l'assemblée, Peter Dedecker (N-VA) et Kristof Calvo (Groen!).La Chambre se réunira à nouveau le 20 juillet pour la nomination de son bureau.

Hier lors de la prestations de serment au Parlement je devais rigoler en voyant la ( figure) des dirigeant francophones ,il crèvent de trouille devant les flamands .

Maingain préfère l’indépendance flamande au confédéralisme

Rédaction en ligne

mercredi 07 juillet 2010, 10:35

Dans une interview à Télé Moustique, Olivier Maingain affirme que si la N-VA réclame une trop large autonomie des régions, il vaut mieux « accorder l’indépendance à la Flandre ». Le président des FDF défend, lui, un système fédéral.





Le président des FDF Olivier Maingain répète mercredi dans une interview au Télé-Moustique son aversion au confédéralisme voulu par le nord du pays. Soit l’Etat fédéral sera doté d’un pouvoir d’arbitrage des conflits entre entités autonomes, y compris lorsque les droits des minorités ne sont pas respectés, soit la Flandre n’a qu’à prendre son indépendance, souligne Olivier Maingain. « Je ne peux que redire ce que j’ai souligné en campagne électorale : le FDF ne soutiendra aucune démarche de type confédéral tel que le réclament les Flamands, à savoir un Etat belge semblable à une coquille vide et une Région bruxelloise sous contrôle de la Flandre », indique Olivier Maingain alors que le président de la N-VA Bart De Wever fera rapport au roi jeudi de sa mission d’information et que l’incertitude est toujours de mise quant à la formation de la nouvelle coalition.

Selon le président des FDF, « il n’y a qu’une réelle alternative ». Soit un « système fédéral » dans lequel « les entités possèdent une réelle autonomie », mais où « l’Etat peut arbitrer des conflits entre ces entités ou quand une de ces entités ne respecte pas les droits fondamentaux de certains de ses habitants ». Ce système fédéral est celui qu’Olivier Maingain dit cautionner. « Soit un Etat tel que le réclament les Flamands, qui semblent ne même plus supporter l’existence d’une telle autorité d’arbitrage », fait-il observer. « Si c’est vraiment ce choix de la plus large autonomie que réclame la N-VA, alors il vaut mieux accorder l’indépendance à la Flandre », conclut-il.

(Belga)

Opel: Milquet doit décider elle-même de l'âge de la prépension












Economie - Belgique 17:25
Le ministre flamand de l'Emploi, Philippe Muyters (N-VA), a jugé mercredi devant le Parlement flamand que le ministre fédérale de l'Emploi Joëlle (cdH) Milquet doit décider elle-même de l'âge de mise à la prépension des travailleurs de l'usine Opel Anvers.
La ministre humaniste a demandé la semaine dernière au Premier ministre Yves Leterme (CD&V) de convoquer la taskforce mise sur pied pour le dossier Opel Anvers afin que celle-ci puisse étudier la demande d'abaissement de l'âge de la prépension formulée par GM Belgium. Mme Milquet s'est déjà déclarée favorable à cette demande, mais souhaitait avoir l'avis officiel des ministres fédéraux et flamands avant de décider. Devant le parlement flamand, le ministre Muyters a souligné mercredi que la Flandre ne pouvait livrer un avis que sur les seules mesures d'activation pour lesquelles elle avait compétence, mais pas sur l'âge de la prépension qui relève du cadre fédéral. "En tant que N-VA, nous sommes désireux de modifier ce cadre (le parti plaide pour la fin progressive des prépensions, ndlr). Mais le cadre est fédéral, et ce n'est donc que l'autorité fédérale qui détermine l'âge auquel il s'applique. Avec le gouvernement, je ne livrerai aucun avis sur l'âge de la prépension. Celui qui détermine le cadre décide comment il est rempli", a conclu M. Muyters.