Les Cohortes Célestes ont le devoir et le regret de vous informer que Libres Propos est entré en sommeil. Ce forum convivial et sympathique reste uniquement accessible en lecture seule. Prenez plaisir à le consulter.
Merci de votre compréhension. |
|
| La Flandre et les autres | |
|
+9Zed Charly quantat Alice Biloulou OmbreBlanche emma Ungern chat noir 13 participants | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: La Flandre et les autres 9/3/2010, 18:33 | |
| Rappel du premier message :La scission de BHV votée en mai faute de solution de fond [url=https://librespropos.1fr1.net/javascript: window.print();] [/url] Belgique - Politique 11:05 La proposition de loi visant à scinder l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV) sera votée au mois de mai en séance plénière de la Chambre faute de solution de fond au problème communautaire qui divise francophones et néerlandophones, a indiqué mardi le député flamand Eric Van Rompuy sur La Première (RTBF). Selon le frère du président du Conseil européen, il faut, concernant BHV, "une solution de fond parce que, début mai, la proposition de loi sur la scission sera mise au vote en séance plénière". Le texte de scission est gelé depuis 2007 par une série de procédures en conflits d'intérêts. La dernière en date devrait prendre fin d'ici quelques semaines. Théoriquement, le Parlement bruxellois pourrait déclencher une nouvelle procédure dont certains craignent les conséquences communautaires au sein de la Région-capitale. L'ancien premier ministre Jean-Luc Dehaene a été chargé par le roi de réfléchir à un compromis sur des réformes institutionnelles, et en particulier sur BHV. Il est censé aboutir dans les prochaines semaines. Parmi divers scénarios évoqués par les observateurs, on a parfois mentionné celui d'une solution transitoire qui permettrait de reporter le règlement du problème au fond lors de la prochaine législature. Eric Van Rompuy rejette ce scénario. "Seule une solution de fond peut mener à retirer cette proposition (de scission). Mais s'il n'y a pas de solution, les partis flamands vont voter, avec toutes les conséquences" que cela implique, a-t-il assuré. (OCH) |
| | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 16/5/2010, 18:06 | |
| Voici ce que veulent les Flamands !Le débat était inédit sur le plateau de Controverse ce dimanche midi sur RTl TVi. Il n'y avait que des invités flamands, dont de nombreux personnages politiques. Parmi les revendications qui font l'unanimité au Nord: que l'on respecte le droit du sol et que les transferts d'argent vers la Wallonie cessent. Cette info en vidéo
- Elections 2010: la vision flamandede la Belgique évoquée ...
Magazines de la rédaction - Controverse 14:54 L'émission Controverse se penchait ce dimanche sur la volonté des Flamands. Comment voient-ils l'avenir de la Belgique ? Que reprochent-ils exactement aux francophones et quel genre de cohabitation souhaitent-ils ? Le débat était ouvert ce dimanche midi dans le studio de l'émission. Et pour répondre à ces questions, il y avait des écrivains néerlandophones ainsi que des journalistes et professeurs. Mais une grande partie du paysage politique flamand était également présente. De Groen ! à la Liste De Decker, les politiciens flamands imaginent-ils le même avenir pour la Belgique ? "Que l'on respecte le droit du sol" Brigitte Grouwels, du CD&V, a ouvert le débat. " Les Flamands veulent d'abord que l'on respecte le droit du sol. C'est dommage que des extrémistes francophones, surtout à Bruxelles, enveniment toujours les débats. Nous souhaitons aussi plus de pouvoirs pour les régions et communautés car les problèmes que l'on observe à Bruxelles, en Flandre et en Wallonie sont bien différents". Un discours que comprend l'écrivain Geert Van Istendael, qui va même plus loin dans les revendications: " On demande un peu de respect. C'est quoi cette attitude de venir habiter en Flandre sans même essayer d'apprendre le néerlandais ? C'est totalement contradictoire", estime-t-il. Steven Gatz, de l'Open VLD, voit un peu les choses de la même façon, mais en se montrant moins radical: " Les bons comptes font les bons amis. Mais on l'impression que les francophones veulent toujours élargir leurs droits. En même temps, je comprends que Bruxelles ait l'intention de s'étendre vu l'augmentation de la population urbaine". Un bloc "confédéraliste", mais différent ! C'est à ce moment que Jean-Marie Dedecker est intervenu. " Je suis confédéraliste, et donc très réaliste. La Belgique va continuer à vivre. Mais il y aura plus d'autonomie pour les régions. Je trouve le système suisse magnifique. Et ce système fonctionne, dans tous les secteurs, tant au niveau économique que dans la justice", a-t-il fait valoir. " Moi je pense que des partis nationalistes ne disent pas le fond de leur pensée. La N-VA et la Liste De Decker veulent le séparatisme. En tout cas beaucoup plus que ce qu'ils disent", a tout de suite rétorqué Brigitte Grouwels. Steven Gatz a également tenu à se dissocier des propos de Jean-Marie Dedecker. " Je suis un confédéraliste convaincu mais je m'oppose à la LDD parce que nous sommes plus pragmatiques. Il veut tout de suite aller loin et au fond des choses. Je pense qu'on peut y arriver par étapes, avec des solutions négociées". Pas de bloc flamand Liesbeth Van Impe, éditorialiste du journal Het Nieuwsblad, a conclu de ces différents propos que " il n'y a pas de bloc flamand. Tous les partis veulent du changement. Une réforme de l'Etat, dans plusieurs secteurs. Mais chacun d'entre eux veut prendre un chemin différent. Tout le monde parle de confédéralisme pour ne pas choquer en utilisant des mots tels que séparation ou indépendance, mais derrière ce mot confédéralisme, il y a beaucoup d'objectifs différents". "On veut arrêter les transferts d'argent"Boris, un jeune citoyen francophone invité à l'émission, a tenu à poser une question franche et directe aux politiciens flamands. " Ce confédéralisme, n'est-ce pas une volonté masquée d'arrêter de donner de l'argent à la Wallonie ?"" Bien sûr que le confédéralisme est une façon pour arrêter les transferts d'argent vers la Wallonie. La région a été aidée par l'Europe et par la Flandre pendant 60 ans. Nous souhaitons maintenant que cela s'arrête et, avec plus d'autonomie, la Wallonie s'en sortira mieux. Elle apprendra à être plus responsable", a tout de suite répondu Jean-Marie Dedecker, sans langue de bois. " La question devrait être posée dans les deux sens. Est-ce que les Wallons ne veulent pas maintenir cet Etat fédéral pour garder l'argent de la Flandre ? La question mérite d'être posée", a pour sa part répondu Bruno Tobback, plus nuancé dans son discours. "Le Wooncode fait partie de la politique sociale" Le Wooncode est rapidement venu sur la table. Brigitte Grouwels a tenu à préciser que le Wooncode " concernait uniquement les logements sociaux. C'est normal et cela fait partie d'une politique sociale d'intégration. Cela permet de participer à la vie d'une commune flamande". Pour Jean-Marie Dedecker, c'est une obligation imposée par le manque de volonté des francophones. " Ils vont en périphérie, chez nous. Quand ils veulent pas parler flamand, on trouve des moyens pour qu'ils le fassent. La solution qu'on a trouvée c'est le Wooncode. Comme ça ils doivent le faire, et ça évite les tensions sociales futures. Et l'examen n'est pas sévère, je ne comprends donc pas où est le problème". Pourquoi tant d'intérêt pour BHV ?Enfin, beaucoup de citoyens se posent la même question: " Pourquoi accorder tant d'intérêt à BHV alors que d'autres soucis semblent bien plus urgents" ? "Si on est dans un train qui va nulle part, on doit utiliser le frein d'urgence. Depuis 2007, il n'y a pas de confiance dans le gouvernement pour régler les grands thèmes. Il est impossible de résoudre ces gros dossiers si BHV n'est pas résolu", a expliqué Steven Gatz, membre de l'Open VLD qui a fait tomber ce gouvernement. " Ils ont raison, BHV doit être réglé en priorité, sinon on n'avancera dans aucun domaine", a admis Bruno De Lille de Groen !. |
| | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 16/5/2010, 19:35 | |
| - JACKLELOUP a écrit:
- Voici ce que veulent les Flamands !
Le débat était inédit sur le plateau de Controverse ce dimanche midi sur RTl TVi. Il n'y avait que des invités flamands, dont de nombreux personnages politiques. Parmi les revendications qui font l'unanimité au Nord: que l'on respecte le droit du sol et que les transferts d'argent vers la Wallonie cessent.
Cette info en vidéo
- Elections 2010: la vision flamandede la Belgique évoquée ...
Magazines de la rédaction - Controverse 14:54 L'émission Controverse se penchait ce dimanche sur la volonté des Flamands. Comment voient-ils l'avenir de la Belgique ? Que reprochent-ils exactement aux francophones et quel genre de cohabitation souhaitent-ils ? Le débat était ouvert ce dimanche midi dans le studio de l'émission. Et pour répondre à ces questions, il y avait des écrivains néerlandophones ainsi que des journalistes et professeurs. Mais une grande partie du paysage politique flamand était également présente. De Groen ! à la Liste De Decker, les politiciens flamands imaginent-ils le même avenir pour la Belgique ?
"Que l'on respecte le droit du sol" Brigitte Grouwels, du CD&V, a ouvert le débat. "Les Flamands veulent d'abord que l'on respecte le droit du sol. C'est dommage que des extrémistes francophones, surtout à Bruxelles, enveniment toujours les débats. Nous souhaitons aussi plus de pouvoirs pour les régions et communautés car les problèmes que l'on observe à Bruxelles, en Flandre et en Wallonie sont bien différents". Un discours que comprend l'écrivain Geert Van Istendael, qui va même plus loin dans les revendications: "On demande un peu de respect. C'est quoi cette attitude de venir habiter en Flandre sans même essayer d'apprendre le néerlandais ? C'est totalement contradictoire", estime-t-il.
Steven Gatz, de l'Open VLD, voit un peu les choses de la même façon, mais en se montrant moins radical: "Les bons comptes font les bons amis. Mais on l'impression que les francophones veulent toujours élargir leurs droits. En même temps, je comprends que Bruxelles ait l'intention de s'étendre vu l'augmentation de la population urbaine".
Un bloc "confédéraliste", mais différent ! C'est à ce moment que Jean-Marie Dedecker est intervenu. "Je suis confédéraliste, et donc très réaliste. La Belgique va continuer à vivre. Mais il y aura plus d'autonomie pour les régions. Je trouve le système suisse magnifique. Et ce système fonctionne, dans tous les secteurs, tant au niveau économique que dans la justice", a-t-il fait valoir. "Moi je pense que des partis nationalistes ne disent pas le fond de leur pensée. La N-VA et la Liste De Decker veulent le séparatisme. En tout cas beaucoup plus que ce qu'ils disent", a tout de suite rétorqué Brigitte Grouwels.
Steven Gatz a également tenu à se dissocier des propos de Jean-Marie Dedecker. "Je suis un confédéraliste convaincu mais je m'oppose à la LDD parce que nous sommes plus pragmatiques. Il veut tout de suite aller loin et au fond des choses. Je pense qu'on peut y arriver par étapes, avec des solutions négociées".
Pas de bloc flamand Liesbeth Van Impe, éditorialiste du journal Het Nieuwsblad, a conclu de ces différents propos que "il n'y a pas de bloc flamand. Tous les partis veulent du changement. Une réforme de l'Etat, dans plusieurs secteurs. Mais chacun d'entre eux veut prendre un chemin différent. Tout le monde parle de confédéralisme pour ne pas choquer en utilisant des mots tels que séparation ou indépendance, mais derrière ce mot confédéralisme, il y a beaucoup d'objectifs différents".
"On veut arrêter les transferts d'argent" Boris, un jeune citoyen francophone invité à l'émission, a tenu à poser une question franche et directe aux politiciens flamands. "Ce confédéralisme, n'est-ce pas une volonté masquée d'arrêter de donner de l'argent à la Wallonie ?"
"Bien sûr que le confédéralisme est une façon pour arrêter les transferts d'argent vers la Wallonie. La région a été aidée par l'Europe et par la Flandre pendant 60 ans. Nous souhaitons maintenant que cela s'arrête et, avec plus d'autonomie, la Wallonie s'en sortira mieux. Elle apprendra à être plus responsable", a tout de suite répondu Jean-Marie Dedecker, sans langue de bois.
"La question devrait être posée dans les deux sens. Est-ce que les Wallons ne veulent pas maintenir cet Etat fédéral pour garder l'argent de la Flandre ? La question mérite d'être posée", a pour sa part répondu Bruno Tobback, plus nuancé dans son discours.
"Le Wooncode fait partie de la politique sociale" Le Wooncode est rapidement venu sur la table. Brigitte Grouwels a tenu à préciser que le Wooncode "concernait uniquement les logements sociaux. C'est normal et cela fait partie d'une politique sociale d'intégration. Cela permet de participer à la vie d'une commune flamande".
Pour Jean-Marie Dedecker, c'est une obligation imposée par le manque de volonté des francophones. "Ils vont en périphérie, chez nous. Quand ils veulent pas parler flamand, on trouve des moyens pour qu'ils le fassent. La solution qu'on a trouvée c'est le Wooncode. Comme ça ils doivent le faire, et ça évite les tensions sociales futures. Et l'examen n'est pas sévère, je ne comprends donc pas où est le problème".
Pourquoi tant d'intérêt pour BHV ?
Enfin, beaucoup de citoyens se posent la même question: "Pourquoi accorder tant d'intérêt à BHV alors que d'autres soucis semblent bien plus urgents" ? "Si on est dans un train qui va nulle part, on doit utiliser le frein d'urgence. Depuis 2007, il n'y a pas de confiance dans le gouvernement pour régler les grands thèmes. Il est impossible de résoudre ces gros dossiers si BHV n'est pas résolu", a expliqué Steven Gatz, membre de l'Open VLD qui a fait tomber ce gouvernement.
"Ils ont raison, BHV doit être réglé en priorité, sinon on n'avancera dans aucun domaine", a admis Bruno De Lille de Groen !. Yawohl herr obersturm!!! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 19/5/2010, 01:35 | |
| ELECTIONS10: le PP appelle les citoyens aux urnes
Belgique - Politique mar 18 mai, 23:24 C'est avec le slogan "Aux urnes, citoyens! " ("Burgers, laat uw stem horen" en néerlandais) que le Parti Populaire (PP) ira aux élections, a annoncé mardi soir son président Mischaël Modrikamen, flanqué du co-président Rudy Aernoudt, à l'occasion d'un meeting national tenu par le parti à Bruxelles. Les figures de proue et principaux candidats du parti se sont succédé à la tribune pour présenter le PP comme seul parti susceptible de sortir la Belgique de l'ornière dans laquelle les partis traditionnels l'ont menée et rendue ingérable. Les critiques ont fusé à l'égard des autres partis francophones, MM. Aernoudt et Modrikamen parlant d'un pays où l'on peut être chômeur à vie, où l'insécurité et l'impunité sont monnaie courante, où les querelles communautaires prennent le pas sur les préoccupations des citoyens. Brabançonne à l'appui, les responsables du PP ont d'ailleurs souligné le caractère bilingue de leur parti. M. Aernoudt a plus particulièrement plaidé pour une réduction des impôts sur le travail mais aussi du nombre de fonctionnaires de 1,04 million à 300.000. M. Modrikamen a promis une "fameuse claque" électorale aux autres partis et tous deux s'en sont vivement pris à la RTBF, qui ne leur permettra pas de débattre avec les grands partis. (JLS) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 19/5/2010, 09:05 | |
| Elections 2010: Modrikamen (PP) invité du Bel RTL MatinParallèlement à la double interview ce matin (7h50 - 8h40) de son président sur Bel RTL, le PP de Mischaël Modrikamen a dévoilé son slogan: "Aux urnes, citoyens! ". Il a été dévoilé par son président et son co-président Rudy Aernoudt, à l'occasion d'un meeting national tenu par le parti à Bruxelles tard hier soir. Belgique - Elections 2010 8:03 Les figures de proue et principaux candidats du parti se sont succédé hier soir à la tribune pour présenter le PP comme seul parti susceptible de sortir la Belgique de l'ornière dans laquelle les partis traditionnels l'ont menée et rendue ingérable. Fin du chômage à vie mais limite à 3 ans, mesures contre l’impunité et donc amélioration de la sécurité, unité de la Belgique, réduction des impôts sur le travail, suppression des 2/3 des fonctionnaires, cartographie de l'immigration en Belgique, ... voici plusieurs de leurs propositions pour redresser le pays. > ECOUTEZ BEL RTL MATIN AVEC MODRIKAMEN EN INVITE Fin du chômage à vie ?Les critiques ont fusé à l'égard des autres partis francophones, MM. Aernoudt et Modrikamen parlant d'un pays où l'on peut être chômeur à vie, où l'insécurité et l'impunité sont monnaie courante, où les querelles communautaires prennent le pas sur les préoccupations des citoyens. Brabançonne à l'appui, les responsables du PP ont d'ailleurs souligné le caractère bilingue de leur parti. M. Aernoudt a plus particulièrement plaidé pour une réduction des impôts sur le travail mais aussi du nombre de fonctionnaires de 1,04 million à 300.000. Il faut aussi limiter la durée des allocations de chômage à trois ans et abolir les subventions aux entreprises, a-t-il dit. L’immigration « échappe à tout contrôle »Le président du PP Mischael Modrikamen s'en est pris tout à la fois à la vente de Fortis pour une croûte de pain, aux querelles communautaires, à l'insécurité et à une immigration "qui échappe à tout contrôle". Tout en rendant hommage à l'immigration qui s'intègre, il a souhaité une "cartographie" du pays qui fasse apparaître ce que coûte et ce que rapporte l'immigration. La RTBF cible de ModrikamenM. Modrikamen a promis une "fameuse claque" électorale aux autres parti. "Le temps du sursaut est venu", a-t-il dit. Tout comme M. Aernoudt, il s'en est vivement pris à la RTBF, qui ne leur permettra pas de débattre avec les grands partis. Ainsi, la deuxième candidate sur la liste du Sénat, Sophie Colignon, mise à l'écart de son travail d'hôtesse pigiste à la RTBF depuis qu'elle est candidate, a mis en cause les intérêts partisans des administrateurs du service public de radio-télévision qui, selon elle, est devenue une télévision d'Etat. Elle a aussi mis en doute l'indépendance de la presse envers le pouvoir politique. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 19/5/2010, 09:15 | |
| Notre groupe de travail pourrait joindre au PP |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 22/5/2010, 20:11 | |
| Elections 2010: Yves Leterme ridiculise Joëlle MilquetYves Leterme passe à l'offensive ce week-end. Lors d'un congrès électoral du CD&V à Louvain, il met les francophones en garde pour les négociations communautaires avec une petite pique à peine voilée à l'adresse de la présidente du cdH, Joëlle Milquet. A lire également
- Maingain veut que le niveau fédéral ait le dernier mot ...
- De Wever: Di Rupo "est déjà Premier depuis 10 ans", Milquet ...
Belgique - Elections 2010 18:07 Le Premier ministre démissionnaire Yves Leterme a adressé samedi aux partis francophones un avertissement clair à l'approche des négociations communautaires qui suivront les élections législatives du 13 juin. " Il ne suffit pas de se promener devant les caméras avec un drapeau tricolore pour aider notre pays à avancer", a-t-il affirmé lors d'un congrès électoral du CD&V à Louvain, dans une allusion à la présidente du cdH, Joëlle Milquet, et à la campagne de son parti. Le congrès de Louvain représentait un tournant dans l'histoire du CD&V, dont l'ancienne vedette - fort de ses 800.000 voix de préférence en 2007 - a cédé le relais à la nouvelle présidente, Marianne Thyssen, promue comme figure de proue des chrétiens-démocrates flamands pour le prochain scrutin. La réforme acceptée par les Francophones ? M. Leterme a toutefois à nouveau voulu mettre les partis francophones devant leurs responsabilités. Il considère comme une victoire le fait qu'ils acceptent désormais - " au moins en paroles" - une réforme de l'Etat. Mais ces réformes ne se produiront pas " avec une attitude figée et en jouant avec des symboles", a-t-il prévenu. " Il en va du pays comme d'une poignée de sable: plus fort on serre, moins il en reste", a dit le chef du gouvernement. Il s'est toutefois voulu rassurant envers les francophones. " Nous ne sommes pas des séparatistes, nous ne voulons pas casser la Belgique", a-t-il lancé. " Mais celui qui veut faire avancer la Belgique doit comprendre qu'un statu quo n'est pas bon pour notre pays", a-t-il ajouté. |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| | | | Invité Invité
| | | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 24/5/2010, 07:46 | |
| Cà,c'est pour Biloulou et Jack. Moi je suis dans la périphérie Hervienne. | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 24/5/2010, 08:00 | |
| Bof, une telle masure au beau milieu des pelouses soignées de mes jardins suspendus ça ferait désordre. Non merci, je la laisse là où elle est, je ne veux priver personne ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 24/5/2010, 22:37 | |
| Elections 2010 : l'Open Vld accentue ses exigencesAlexander De Croo, président des libéraux flamands, a à nouveau fait part de son exigence quant à l’élaboration d’un accord politique sur une réforme de l’Etat, sans quoi il ne fera pas partie du prochain gouvernement. Belgique - Elections 2010 21:12 L'Open Vld ne participera à aucun gouvernement sans un accord politique sur une profonde réforme de l'Etat. En l'absence de cette réforme, aucune solution ne pourra être trouvée aux défis budgétaires, économiques et sociaux, a déclaré lundi à Bruxelles, le président des libéraux flamands, Alexander De Croo. "Notre choix va à un modèle confédéral en tant que but et non en tant qu'étape vers le séparatisme", a-t-il affirmé. > Suivez toute l'actualité politique écrite de façon claire et concise sur notre page ELECTIONS 2010!Les libéraux veulent un accord politique entre entités Pour l'Open Vld, l'après-élection devra être marqué par un accord politique entre le fédéral, les communautés et les régions, déterminant qui fournit quels efforts afin de parvenir à l'équilibre budgétaire en 2015. Les différents niveaux de pouvoir doivent également s'entendre sur une répartition des coûts du vieillissement. Le chômage repris par les communautés et régions après 2 ans
Par ailleurs, afin de stimuler la croissance économique, la ministre flamande de l'Economie, Patricia Ceysens, a plaidé pour un socle confédéral de l'impôt des sociétés, avec une base imposable dans l'ensemble du pays, sur laquelle les régions pourraient s'appuyer pour déterminer leur propre tarif. L'Open Vld souhaite encore parvenir à une politique d'activation ne laissant au fédéral que des compétences pour le chômage conjoncturel. Dans ce cadre, les allocations de chômage seraient reprises par les communautés et les régions au bout de 2 ans. Ces dernières pourraient alors déterminer la durée et le montant de ces allocations. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 24/5/2010, 22:38 | |
| Elections 2010: la N-VA veut supprimer la loi de financementLe parti nationaliste flamand a réclamé dimanche une suppression de la loi de financement régissant les relations entre l'Etat fédéral et les Régions, au nom du confédéralisme. Belgique - Elections 2010 17:49 Le niveau fédéral ne devrait plus lever d'impôts et les politiques économique et sociale devraient être transférées totalement aux Régions, y compris la sécurité sociale et la concertation sociale, ont affirmé les députés Jan Jambon et Ben Weyts, en présentant le programme de leur parti pour les élections législatives anticipées du 13 juin. Ce programme préconise non pas l'indépendance de la Flandre, mais l'introduction rapide du confédéralisme comme première étape d'une réforme de l'Etat. Dans le domaine économique, la NV-A suggère une baisse d'impôts d'un montant de deux milliards d'euros pour les plus bas salaires, une mesure qui pourrait rapporter de 14 à 15 milliards d'euros d'ici 2015, selon M. Jambon. Elle pourrait en effet entraîner la création de centaines de milliers d'emplois, a affirmé le député en se fondant sur des chiffres du Bureau du plan. Et les gens resteraient plus longtemps au travail, a-t-il ajouté. Pour la N-VA, la Belgique est déjà dans les faits un pays confédéral. "Si l'on regarde les radars routiers ou la lutte contre la fraude fiscale et sociale", a souligné M. Weyts. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 25/5/2010, 13:11 | |
| Elections 2010: "L'existence de Bruxelles est en jeu""Les récentes déclarations du président de la N-VA Bart De Wever sur l'avenir du pays démontrent que ce qui se joue aujourd'hui ne concerne pas que la périphérie, mais que l'existence même de Bruxelles est jeu", a affirmé mardi le ministre-président bruxellois Charles Picqué. Belgique - Elections 2010 12:17 " L'interview de Bart De Wever parue samedi dans La Libre et confirmée par les propos tenus par les principaux leaders de la N-VA ce lundi ont définitivement fait tomber les masques sur les objectifs à moyen terme de ce parti", constate Charles Picqué. " C'est bien de l'appropriation pure et simple de Bruxelles par la Flandre qu'il s'agit", estime-t-il. Pour le ministre-président bruxellois, le schéma en deux temps de Bart De Wever est " particulièrement limpide". " Un: démantèlement de l'institution régionale bruxelloise et cogestion par les deux grandes communautés. Deux: indépendance de la Flandre et donc, logiquement, fin de la cogestion et annexion pure et simple", analyse M. Picqué. "Tout ce qu'il veut, c'est faciliter la séparation" " Bart De Wever se soucie comme d'une guigne du bien-être des Bruxellois, à qui il refuse un financement juste. Tout ce qu'il veut, c'est faciliter la séparation du pays en faisant disparaître une Région qui a démontré sa capacité à faire travailler ensemble francophones et néerlandophones", ajoute-t-il. Charles Picqué estime que la cogestion de Bruxelles est une garantie de la non-gestion de celle-ci et du mépris des besoins de ses habitants au bénéfice des usagers extérieurs de la ville. " C'est aussi la mise en place de sous-nationalités bruxelloises qui aboutiront à des différences de traitement insupportables", prévient-il. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 26/5/2010, 13:14 | |
| Elections 2010: les perspectives effraient la rue de la LoiMême si les résultats de sondages ne sont pas toujours respectés au moment du décompte final, la N-VA serait en passe de réaliser un scrutin historique. Une perspective qui effraie les futurs candidats aux négociations de la rue de la Loi. Belgique - Elections 2010 9:51 C'est désormais presque une certitude. Si les dernières élections avaient été un triomphe pour Yves Leterme, c'est Bart de Wever qui sera probablement le grand gagnant au mois de juin. Des sondages internes, commandés par les partis politiques mais non publiés, prévoient un score monstre de la N-VA, rapporte mercredi le "Soir". Elle recueillerait près de 25% des voix en Flandre alors que le CD&V reculerait à 20% voire 18%. La Liste De Decker, par contre, ne serait quant à elle pas sûre de franchir le seuil électoral de 5%. Il veut faire disparaîte la région bruxelloise Une perspective qui fait trembler les autres formations politiques car l'objectif de Bart De Wever, à terme, est bien de mettre un terme à la Belgique. Son interview accordée à la Libre Belgique samedi dernier était on ne peut plus claire: derrière le fameux "confédéralisme", se cache sa volonté de scinder la sécurité sociale. Il avait également déclaré qu'il souhaitait voir disparaître la Région bruxelloise qui serait co-gérée par les deux régions du Nord et du Sud, et privée de toute autonomie. "Exclu de négocier avec la N-VA"Il est de plus en plus exclu de négocier avec le président de la N-VA, Bart De Wever, estime le président du FDF, Olivier Maingain. " Non, je crois que c'est de plus en plus exclu", a-t-il confié sur les ondes de Bel-RTL. Olivier Maingain n'accorde par ailleurs guère d'attention aux déclarations qui font de lui un Bart De Wever francophone. " Je hausse les épaules. Je suis un fédéraliste. De Wever est un séparatiste. Il le dit clairement", souligne-t-il. Des sondages "statistiquement pertinents" L'un des sondages qui propulsent le parti de De Wever en tête au Nord du pays a été commandé par la N-VA, le sp.a et l'Open Vld à la société TNS Dimarso. Les tendances qu'il indique seraient " pertinentes sur le plan statistique". La N-VA serait en outre le parti qui recueille le plus d'électeurs déterminés à voter pour elle. L'Open Vld, le sp.a et le Vlaams Belang enregistreraient quant à eux un résultat semblable à celui des élections de 2007. Des persepctives qui ont tendance à nous donner le tourni au sud du pays ainsi qu'en région bruxelloise. Mais même si la N-VA réalise ce score "monstre", il devrait partager le pouvoir avec d'autres formations flamandes. Ses décisions ne passeraient donc pas telles quelles, mais ses déclarations "destructrices" auraient beaucoup de poids. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 27/5/2010, 11:33 | |
| Elections 2010: où en est le CD&V ?
Le CD&V veut dialoguer mais risque son premier revers électoral.
Elections 2010 11:10
Le CD&V a choisi la carte du dialogue, du sérieux et de la persévérance en vue des élections du 13 juin. Les chrétiens-démocrates flamands pourraient pourtant connaître leur premier revers électoral depuis 2004: les sondages prédisent un triomphe de la N-VA, ex-allié du CD&V, le 13 juin et même la première place en Flandre. 2007, début du chemin de croix "Goed bestuur" ("bonne gestion") annonçait le CD&V en 2007, visant notamment une réforme de l'Etat approfondie et les cinq minutes de courage politique nécessaires pour scinder Bruxelles-Hal-Vilvorde. Sur fond de grandes promesses communautaires, les chrétiens-démocrates poursuivaient de la sorte la stratégie qui les avait menés à la victoire en 2004. Associés pour la première fois à la N-VA, sous l'égide d'Yves Leterme, ils avaient repris leur première place en Flandre et étaient revenus aux affaires en Communauté flamande. Le mois de juin 2007 a pourtant marqué le début d'un long chemin de croix pour le CD&V: l'infructueuse Orange bleue, l'accouchement d'un gouvernement pentapartite sous la conduite de l'adversaire de toujours, le premier ministre libéral sortant Guy Verhfostadt, l'impossibilité de trouver un accord communautaire et les multiples démissions d'Yves Leterme, en tant que formateur ou premier ministre, la rupture du cartel avec la N-VA, etc. De nombreuses stations ont jalonné cette route sans atteindre la réputation des chrétiens démocrates lors du scrutin de 2009. En pleine crise économique, ils ont pu profiter de leur image de gens sérieux et conforté leur première place au niveau flamand. Avril 2010: coup de massue En avril 2010, les choses ont pourtant basculé: l'Open Vld a rompu les négociations sur l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde et précipité la chute du gouvernement Leterme II. Le coup a été rude pour le CD&V; le parti a perdu sa dernière chance de présenter un accord communautaire aux électeurs et a brûlé en pure perte l'homme que l'on présentait comme le seul à même de trouver une solution: l'ancien premier ministre Jean-Luc Dehaene. Le 28 avril, Yves Leterme a tiré les conclusions de cet échec. Il a annoncé qu'il renonçait à briguer la tête de liste au Sénat lors des élections, place traditionnellement réservée au futur premier ministre dans les partis flamands, et qu'il passait le flambeau à la présidente Marianne Thyssen. La stratégie "Ne jamais abandonner" souligne le parti sur ses affiches. Les chrétiens démocrates ont réaffirmé leur exigence d'une réforme de l'Etat, tout en avançant d'autres thèmes dont un "New Deal", mais cette fois-ci par la voie du dialogue. Face à une N-VA qui ne fait pas mystère de sa volonté d'arriver à terme à l'indépendance de la Flandre, ils ont rappelé qu'ils refusaient toute scission du pays et se sont même dits partisans d'une sécurité sociale qui reste fédérale. Lors d'un congrès le 22 mai, M. Leterme a toutefois pris un ton ferme vis-à-vis des partis francophones, et plus particulièrement le cdH, parti "frère", et les a appelés à prendre leurs responsabilités. "Il ne suffit pas de se promener devant les caméras avec un drapeau tricolore pour aider notre pays à avancer", a-t-il lancé. En cas de mauvais score et/ou de triomphe de la N-VA, l'aile très flamande du CD&V donnera sans doute de la voix. Les bourgmestres que compte le parti dans le Brabant flamand ont d'ores et déjà décidé de ne pas organiser les élections en raison de la non-scission de BHV. Sondages En cartel avec la N-VA, le CD&V a récolté 30 pc des voix en 2007. Lors des élections régionales de 2009, après la rupture du cartel, il en a recuilli 22,9 pc. Les sondages actuels évoquent un score en-dessous des 20 pc. Pour mener la bataille, le CD&V a placé tous ses ministres fédéraux sortants aux premières places de listes pour le 13 juin: Yves Leterme en Flandre occidentale, Pieter De Crem en Flandre orientale, Steven Vanckere dans l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde et Inge Vervotte à Anvers. Si le CD&V arrivait à former un gouvernement après le 13 juin, il donnerait à la Belgique une femme premier ministre, une première depuis 1830. Marianne Thyssen deviendrait ainsi l'Angela Merkel de Flandre. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 28/5/2010, 12:14 | |
| Elections 2010: pourquoi un tel effet N-VA ?Un billet extrait du blog Carnet politique de Fabrice Grosfilley, rédacteur en chef du journal télévisé de RTL-TVi. Vos réactions "Pourtant, la plupart des économistes, sont tous d’accord pour dire qu’une Flandre indépendante coûterait plus cher aux Flamands que la situation actuelle, ce que ce cher Bart omet de dire à son électorat. J’ai l’impression que ce monsieur rêve de devenir le premier président d’une Flandre indépendante quoiqu’il en coûte à ses compatriotes." de Ghislain 1961 Lire les autres réactions [url=https://librespropos.1fr1.net/javascript: window.print();] [/url] Belgique - Elections 2010 12:03 Il y a un effet N-VA dans cette campagne, c’est une évidence. Vous n’ignorez sûrement pas les derniers sondages divulgués hier qui indiquaient qu’un électeur flamand sur 4 envisagerait de voter pour le parti de Bart De Wever. Ce ne sont que des sondages, seule l’élection compte, mais essayons quand même de comprendre pourquoi la NVA fait une si bonne campagne. Raison numéro 1 : parce que la N-VA parle de l’avenir. Les autres partis politiques flamands parlent tous de la gestion de l’état, de l’emploi, de la sécurité sociale, de la justice. La N-VA en parle aussi mais beaucoup moins. Ce qui intéresse le sympathisant N-VA c’est le futur. Le parti ne s’intéresse pas à la gestion d’hier ou d’aujourd’hui. La N-VA vend aux électeurs flamands un... lire la suite sur le blog Carnet politique |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 28/5/2010, 18:31 | |
| Vidéo ajoutée La N-VA séduit de plus en plus en Flandre Belga 1:01 27/05/2010 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 30/5/2010, 00:47 | |
| Eurovision: L'allemagne vainqueur / La France est... 12eme C'est l'Allemagne qui remporte ce grand concours de l'Eurovision suivie par la Turquie .... La Flandre est 6ème, nuance........... " ouais ! Signaler ... |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| | | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 30/5/2010, 11:14 | |
| L'eurovision existe encore ? L'espagne en sait quelque chose. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 30/5/2010, 12:03 | |
| - Ungern a écrit:
Ce type devait faire de la politique .
Sa tête est déjà un programme .
Tout est dit ...
C'est où les chiottes ? Si rien qu'a sa tete "Tout est dit"... pourquoi le dire? (question rhetorique) |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: La Flandre et les autres 30/5/2010, 12:17 | |
| Qui est qui la....je pige rien.!!! |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: La Flandre et les autres | |
| |
| | | | La Flandre et les autres | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|