Douce France - Nouvelles

TSUR a écrit:

C'est à peu près çà ....
Deuxième fois que je suis d'accord avec Tsur ...

Tout arrive ....

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BRAVO ! ILS ONT (ENFIN) GAGNE !

Le lait cru et la cervoise coulent à flots ce soir à Clermont-Ferrand. Bonne "bourrée" Cher Ami Jam !

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Le dessin du billet précédent : "...Et où est le pain ?"

Un "pain" en bon argot français signifie coup de poing (ou jour de "consigne" ou "de taule" en langue militaire du temps du service du même nom). Le pain est bien réel, Marianne l'a pris kekpart.

jam a écrit:

enfin

Félicitations, Jam !

(Comme plateau à fromage c'est pas mal, hein ?)

Baroin : pour la France, l'objectif du maintien de la note AAA est "tendu"

http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2010-05-30/crise-de-la-dette-le-maintien-de-la-note-de-la-france-un-objectif-tendu/917/0/460933&xtor=EPR-6-%5BNewsletter-Quotidienne%5D-20100531

L'objectif de conserver la note AAA de la dette souveraine française est "tendu" et conditionne en partie les décisions sur la réduction des déficits, a déclaré dimanche le ministre du Budget, François Baroin.

La France, qui bénéficie de la meilleure note accordée par les agences de notation, promet de réduire son déficit public dans une proportion et à une vitesse sans précédent depuis au moins un demi-siècle. De quelque 8 % en 2010, le gouvernement prévoit de le réduire à 6,0 % en 2011, 4,6 % en 2012 et 3 % en 2013 ou au plus tard 2014.

"L'objectif du maintien de la note AAA est un objectif qui est tendu et qui est un objectif qui conditionne pour partie, en effet, les politiques d'économie que l'on souhaite avoir", a dit François Baroin sur Canal+. "Pourquoi ? Parce qu'au début des années 1980, 80 % de l'accès au crédit qui permettait de financer ses projets pour une entreprise, un particulier ou un État se faisait auprès des banques ou des banques centrales, aujourd'hui 80 % de l'accès à ces crédits pour financer nos investissements s'effectue auprès du marché", a-t-il ajouté.

Être noté AAA permet à la France de financer ses déficits et ses dettes à un coût minime, à peine supérieur à celui exigé de l'Allemagne, la référence en Europe. Le président Nicolas Sarkozy a annoncé ces derniers jours plusieurs mesures visant à conforter l'objectif de réduction du déficit public.

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Citation :

L'objectif de conserver la note AAA de la dette souveraine française est "tendu"

Quand on pense qu'un pays vieux de 2000 ans et de 65 millions d'habitants dépend d'une note donnée par un petit khôn boutonneux sorti de Harvard qui fait joujou de la main droite avec son i-pod et de la gauche avé son zizi pour se déstresser on comprend mieux que le monde va dans le mur.

Mais pourquoi al-Quaquadoie se trompe donc ainsi de cibles ? Ah oui, bon sang mais c'est bien sûr ! Dans l'entreprise systématique de destruction de l'Occident les 3 majors de la notation et Benny Lave-linge sont des alliés objectifs !

Bof, après tout le capitalisme n'est qu'un cycle permanent création-destruction...

C'est marrant tout de meme comme le systeme ne posait pas probleme tant que la note etait bonne et que tout a coup, il ne vaille plus rien parce qu'il y a risque de voir la valeur credit du pays degradee...

et en plus, ben oui quoi, la reaction logique qui solutionne tout: les autres sont tous des c...

Il faut savoir: ou les Francais souhaitent faire partie du systeme financier mondial, ou ils ne le souhaitent pas, mais on ne peut pas changer les regles du jeu tout a coup parce qu'on perd.

De plus, j'ai le sentiment que pas plus Nicolas qu'aucun des candidats a la presidence en puissance seraient prets a tenter l'experience de faire que la France se retranche completement sur elle-meme qu'elle ait ou non 2000 ans d'experience et 65 millions d'habitants.

(ah au fait, oui je sais qu'il existait une grosse inquietude que les U.S. perdent eux-aussi leur bonne place il y a 2 ou 3 semaines de cela - inquietude qui ne sera d'ailleurs pas calmee pendant un bon moment au regard des actions du POTUS)

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Citation :

C'est marrant tout de meme comme le systeme ne posait pas probleme tant que la note etait bonne et que tout a coup, il ne vaille plus rien parce qu'il y a risque de voir la valeur credit du pays degradee...

Je ne saurais répondre pour ce qu'il en pense à la place de notre excellent camarade OmbreBlanche, mais es qualité de khônnard de primate redditionniste bouffeur de fromage de Français, je prends impoliment la grossière initiative de vous donner une info sur la religion que je me fais personnellement et qu'il m'arrive de partager régulièrement à propos de la question des agences de rating de notation financières.

Les agences d'évaluation financières des valeurs mobilières négociables sur un marché ouvert au public ou aux collectivités trouvent toute leur légitimité en ce qu'elles participent de l'obligation contractuelle de transparence et d'information qui doit présider à la passation éclairée d'un accord entre une offre et une demande.

Pour simplifier, celui qui achète un titre émis par une société (cotée ou non) doit avoir à sa disposition un ensemble suffisant de données pertinentes sur le titre et son émetteur afin de d'être en mesure de prendre en connaissance de cause le risque de l'achat.

Tant que l'on reste dans le domaine marchand privé les agences de notations sont à leur place, et c'est une bonne chose, même si elles se plantent quelquefois comme ce fut le cas dans le cadre de l'affaire Enron par exemple. Il convient cependant de toujours s'assurer qu'entre agences d'évaluation et opérateurs de marché financier n'existe pas de conflits d'intérêts susceptibles de fausser l'objectivité et la partialité de la notation.

Pour ce qui est de l'évaluation des capacités à rembourser les dettes souveraines des collectivités (Etats et banques centrales) le problème ne se posait pas tant que le financement de la dette se faisait par le biais d'instituts d'Etat ou garantis par la puissance publique. C'est un domaine dans lequel la politique restait maîtresse du jeu sur l'économique et le financier. C'était le temps dit de la régulation.

Aujourd'hui, avec la déréglementation initiée par le choix du moins d'Etat prôné par les économistes libéraux, pour assurer le financement de leur dette souveraine les collectivités empruntrices se financent auprès des opérateurs privés (on dit "le marché"). On comprend que ces opérateurs veuillent être assurés que des montants aussi considérables que des pourcentages de PIB soient honorés dans les meilleures conditions de sécurité financière.

Tant que la pensée économique dominante après les ères Reagan et Thatcher fut le monétarisme (qui voulait que l'incidence de la monnaie soit neutre sur le long terme) prédominait dans la formation académique des yuppies diplômés et des golden boys, les agences de notations financières - qui sont des sociétés commerciales privées au plan juridique - ne s'aventuraient pas trop à faire dans le yoyo pour la notation des dettes souveraines.

Mais malheureusement le fait d'avoir abandonné en friche la nécessaire coordination entre les monnaies qui comptent dans les transactions internationales, un laisser-faire dangereux s'est installé qui a conduit à la crise argentine, à la faillite bancaire des tigres asiatiques, aux défaillance de paiement du Mexique, aux destructions d'emplois occidentaux générés par la sous-évaluation du yuan, aux errements dramatiques du yen, en partie à l'implosion de la bulle multimédia, à la fulgurance de la crise financière russe, à la crise bancaire suédoise, à l'actuelle crise financière mondiale dite subprime (ce qui est une façon de substituer un effet à la cause) et partant à l'agression spéculative contre l'Eurozone. Dans ce contexte-là il est absolument irresponsable de la part des collectivités de continuer à accorder aux agences de notations privées la prérogative de noter les Etats qui sont des sujets de droit public international.

Sur ce point, ce que j'écris ici est partagé par le FMI et la BRI, la SEC qui a été initiatrice de la bronca depuis quelques années, la Banque d'Angleterre contre l'avis de la City, la BCE et bien évidemment Moscou, Pékin, Berlin, des gens un million de fois plus intelligents que moi et apparemment aussi depuis peu par Néron Talonnettes.

L'U-E envisage la création d'une agence publique d'évaluation des dettes souveraines et la Fed semble s'y employer discrètement depuis 2008.

Il est probable que la question des agences de notation sera évoquée au G20 -en public ou en coulisses - si j'en juge par tous ces lobbies anglo-saxons qui montent au créneau actuellement pour prévenir qu'un régulateur étatique devienne le gendarme sanctionnant les petites magouilles de fric entre filous.

Je pense qu'aucun contribuable sensé de ce monde ne peut admettre que les deniers publics soient aux mains des caprices de quelques organismes privés.

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C'est curieux, malgré mes lunettes de soleil sur le pif, dans le billet précédent je ne vois pas Caen sur la carte visant à faciliter aux yeux ébaubis de la Planète la géolocalisation des faits rapportés.

Ce gars Martinez qui agace l'Igas n'a pas un blaze très normand, mais peut-être qu'il l'est quand même ou peut-être même pas du tout. Je pense que ce qui lui arrive est de la faute de son chauffeur. C'est une évidence.

Personnellement je ne lui reprocherais qu'une très grave faute de goût : changer une Brisach contre une Godin c'est d'un manant pas possible !!! Et une cuisine Mobalba quand une Schmitt s'imposerait c'est également très limite... (Et oui, il aurait pu légitimement rétorquer à l'Igas en prenant ses subordonnés à témoins : "Ah non ! La cuisine c'est Schmitt et nous !". Mais bon il faut déplorer que ces hauts fonctionnaires n'ont hélas plus aucune culture populaire.

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Citation :

*1 Qui sont-ils, ces Francais?

En bonne logique un maximum des potes de SOS Racisme je suppose, càd des Français issus de l'immigration extra-européenne.

Bon, plaisanterie mise à part, personne d'attentif ne peut être dupe de deux données importantes :

- en pleine période de préparation des dossiers de demandes de subventions d'Etat, des collectivités territoriales, de mécènes et de soutiens privés, SOS Racisme et le CRAN ont tout intérêt à justifier d'une part leur légitimité d'association reconnues d'utilité plus ou moins publiques et d'autre part leur demande à hausse pour l'aide financière collective en justifiant de la prégnance et de la vivacité de l'esprit xénophobe parmi la population nationale (en posant à dessein les questions spécifiques à des panels segments de population bien ciblés, je ne vous fais pas un dessin...),

- et à force de crier sans cesse au loup quand tout au plus rodent quelques chiens galeux plus khôns que crassement méchants on finit par complètement mithridatiser l'ensemble de la population en matière d'injection de sérum de bienpensance valant traitement des préjugés à connotation xénophobe.

voilà, nous avons des syndicats TRES RESPONSABLES, ils font leur journée de mobilisation juste la semaine du BAC. et ils viennent donner des leçons aux autres !!!

Vous remarquerez qu'ils disent MOBILISATION et non pas GREVE, mais c'est du pareil au même c'est une GREVE

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Prochaine mobilisation sur les retraites le 24 juin



Par DjS (avec agences), le 31 mai 2010 à 12h22, mis à jour le 31 mai 2010 à 16:52



L'intersyndicale, réunie ce lundi pour faire le point après les manifestations et grèves du du 27 mai, attend que le gouvernement ait abattu ses cartes pour mobiliser.

Prochain rendez-vous sur les retraites, le 24 juin. Prochain rendez-vous dans la rue, car d'ici là le gouvernement devrait avoir présenté son projet sur la question, autour du 18 juin, semble-t-il.

L'intersyndicale CFDT-CGT-FSU-Solidaires-Unsa a en effet appelé lundi à une nouvelle journée de mobilisation le 24 juin prochain. A l'issue d'une réunion à Montreuil en Seine-Saint-Denis, les organisations ont estimé que "rien n'était joué".

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Citation :

Vous remarquerez qu'ils disent MOBILISATION et non pas GREVE, mais c'est du pareil au même c'est une GREVE

Je vais tenter un jeu de mollet capillotracté :" Ils disent mobilisation parce qu'on n'y entend guère"

Fonctionnaires: pas de baisse ou de gel des rémunérations, assure le gouvernement

AFP, Mise a jour : 02/06/2010 09:04

Le secrétaire d'Etat chargé de la Fonction publique, Georges Tron, a assuré mercredi sur France Info qu'il n'était "pas question" d'une baisse ou d'un gel des rémunérations des fonctionnaires, à quelques semaines de l'ouverture des négociations salariales.

Interrogée sur la possibilité d'augmenter les cotisations de retraites des fonctionnaires dans le cadre de la réforme des retraites en cours, M. Tron a expliqué que "sept ou huit sujets avaient été expertisés comme ayant des différence entre public et privé".

"Sur le taux de cotisation, c'est une réalité : il y a trois points d'écart", a-t-il affirmé, rappelant que le taux de cotisation dans le privé était de 10,65%, contre 7,85% dans la fonction publique.

"La question est la suivante : est-ce qu'on peut considérer qu'il est équitable, normal que, pour avoir une retraite qui est à peu près d'un montant équivalent, on paye trois points de plus dans le privé que dans le public", s'est-il demandé.

Mais "il n'y a aucun sujet tabou, et aucune décision n'est prise", a-t-il ajouté, précisant que, sur d'autres points, la différence était en faveur du privé, citant par exemple la pension de reversions pour les veuves et veufs.

"La question est la suivante : est-ce qu'on peut considérer qu'il est équitable, normal que, pour avoir une retraite qui est à peu près d'un montant équivalent, on paye trois points de plus dans le privé que dans le public", s'est-il demandé.

Oui, en effet.

Il me plait ce mec


Gérard Depardieu : "Seul le luxe est digne de l’homme"


Gerard depardieu s'est confié au cours d'une interview donnée au Parisien: ses proches décédés, la nouvelle vague d’acteurs, les émissions de télé-réalité, les syndicats ou encore sur la mort.











People - Star 12:23
A l’occasion de la sortie du film « La Tête en friche », Gérard Depardieu s’est livré à une interview dans laquelle il s’exprime avec tout le franc parler qui le caractérise sur de nombreux sujets : ses proches décédés, la nouvelle vague d’acteurs, les émissions de télé-réalité, les syndicats ou encore sur la mort.

Sur le thème de la mort tout d’abord, Gérard confie qu’il y pense « très peu ». Et pour cause. Pour lui, il y a des gens « toujours vivants. Truffaut est vivant, Pialat est vivant, Patrick est vivant. Guillaume, qui est un poète, est très présent, sans arrêt. Il y a des gens qui sont immortels, Barbara, le Dédé (son père, ndlr), la Lilette (sa mère, ndlr), la grand-mère… ».

"Loft Story, c'est du domaine de la pornographie"
Dédé se montre par contre bien moins tendre avec la jeune génération d’acteurs « Je pense qu’il y a beaucoup de narcissisme et de complaisance. Il faudrait quand même qu’ils se lâchent un peu, qu’ils soient un peu sales. Mais vraiment : un mec qui a du vomi sur lui.. qui pue… qui vient de chier un peu de peur. Là non, il n’y a pas de chierie, il n’y a rien. ». Gérard en a d’ailleurs profiter pour descendre en flammes les émissions de télé-réalité. « Quand je vois ces « Loft Story » ou ces « Ferme Célébrités », je trouve que c’est du domaine de la pornographie ! ».

"Moi l'argent, je le vois pas"
Quant aux syndicats, il ne les apprécie pas « Où sont les Marchais, les Blondel, les gens charismatique ? Maintenant on est devant des poils à frire. Je trouve que la retraite à 60 ans, ce sont des faux débats politiques. Martine Aubry et tout ce qui s’ensuit. »

Interrogé sur ses revenus, l’acteur s’est quelque peu lâché « Moi l’argent, je ne le vois pas. Je n’ai ni carnet de chèques ni carte bleue. On me donne des sous comme on en donnerait à une femme pour sa semaine. (…) Si je peux voler, je vole, parce que j’adore voler… Seul le luxe est digne de l’homme. Ce qui est bon marché est inhumain. Je vis donc luxueusement en m’écartant de toutes ces choses.»

Mais ce qui effraie le plus Gérard Depardieu, ce serait de devenir un jour un légume. « Je commanderais vite la piqûre. Il y a suffisamment de médicaments qui peuvent calmer jusqu’à l’absolu sommeil. Je n’ai pas peur, j’ai été dans des comas. J’ai vu la lumière blanche, la paix. Et c’est très bien. Les gens qui me connaissent sont avertis ».

Piqué dans "Les 4 Vérités"

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Échec cuisant de la vulgate antiraciste
(Rouxel Jean - mardi 01 juin 2010)

L’institut BVA, en partenariat avec SOS Racisme et l’Union des étudiants juifs de France, a publié le 30 mai un sondage sur les « préjugés racistes » des Français. Et, aussitôt, les ligues de vertu de lancer leurs traditionnelles jérémiades sur la permanence (que dis-je ? la hausse préoccupante) des préjugés racistes des Français.

Petite nouveauté : cette fois, la responsabilité de cette « inquiétante dérive » incomberait aux politiques, et notamment au gouvernement Sarkozy qui au­rait « décomplexé » la parole.

Mais de quoi parle-t-on ?

D’abord, ces prétendus préjugés racistes ne concernent pas spécialement les questions raciales : on y parle aussi bien de différence religieuse ou de différence sexuelle. On savait depuis longtemps que l’on pouvait être « nazi », dans le vocabulaire de la gauche, en ayant lutté contre le national-socialisme, simplement pour avoir refusé d’adhérer au Parti communiste. Désor­mais, on peut être « raciste » sans parler de race !
Plus grave encore, les commentateurs font mine de croire que les réflexions des Français sur l’immigration sont des préjugés racistes. Rien n’est plus faux. L’immense majorité des Français s’intéresse à l’immigration pour des raisons de sécurité, pour des raisons religieuses, ou pour des raisons d’identité nationale. Ceux qui s’opposent à l’immigration pour des raisons purement raciales sont ultra-minoritaires.

Parmi les faits « prouvant » la hausse du racisme figure le fait que 52 % des Français pensent qu’il est plus facile de percevoir des prestations sociales quand on est étranger. Où est le racisme ? Ignore-t-on qu’il existe des Français « de couleur » et que, par définition, ils ne sont pas visés par ce « préjugé » ?

Accessoirement, il ne faut pas manquer de souffle pour prétendre que le gouvernement actuel a « décomplexé » la parole « raciste ». Faut-il rappeler que c’est sous l’actuelle majorité que le préfet Girot de Langlade a été sanctionné, au mépris du droit, pour avoir (peut-être) dit qu’il y avait beaucoup de noirs à Orly !

Enfin, admettons un instant que ce sondage prouve effectivement la hausse des préjugés racistes dans la population française. Cela prouverait surtout que les associations anti-racistes ne servent à rien, puisque les millions que le contribuable (non consulté) leur offre gracieusement ne permettent pas de diminuer lesdits préjugés.

Au demeurant, ces associations anti-racistes qui refusent de défendre les blancs victimes d’actes racistes se révèlent pour ce qu’elles sont : une arme con­tre l’identité française !

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Citation :

Échec cuisant de la vulgate antiraciste
(Rouxel Jean - mardi 01 juin 2010)

L'auteur de ce billet d'humeur a dû lire le message 166 du présent fil et extrapoler dessus.

C'est très positif que Lp soit lu du plus grand nombre.

(Zut, les chevilles !)

EddieCochran a écrit:

173 -
L'auteur de ce billet d'humeur a dû lire le message 166 du présent fil et extrapoler dessus.
C'est très positif que Lp soit lu du plus grand nombre.

(Zut, les chevilles !)

Et surtout que dans ce grand nombre il y ait des éclectiques qui sélectionnent les auteurs...

(Si c'est plus précisément le tendon calcanéen (dit d'Achille), reconsidérez les statines...)