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Condamné à mort en Arabie saoudite pour avoir dit la bonne aventure au LibanLE MONDE | 19.11.09 | 15h14 • Mis à jour le (Al-Aïn, vallée de la Bekaa - 19.11.09 | 15h14)
Condamné à mort pour "sorcellerie", Ali, ressortissant libanais de 46 ans, n'a plus que quelques jours à vivre au fond d'une lointaine geôle d'Arabie saoudite.
Au Liban, sa famille est sous le choc face à la sentence, "démesurée, incompréhensible", et tente désespérément de trouver un sens au scénario cauchemardesque qui a mené Ali au pied de l'échafaud. Originaire d'Al-Aïn, un village chiite du nord du Liban, Ali Hussein Sbat est marié et père de 4 enfants.
Il avait trouvé du travail à Beyrouth, au sein d'une petite chaîne de télévision câblée baptisée "Shéhérazade", diffusée au Liban et dans la région. Devant la caméra, il recevait des appels téléphoniques de téléspectateurs à qui il "prédisait" l'avenir. Travail, santé, amour, les problèmes qui lui étaient exposés trouvaient une issue heureuse ou une parole d'encouragement.
En 2008, Shéhérazade ferme ses portes et Ali se reconvertit dans les plantes médicinales. Au printemps de la même année, il part en pèlerinage dans les lieux saints chiites, en Iran puis en Arabie saoudite, à La Mecque. Le 7 mai 2008, il faisait la sieste dans un hôtel de Madinat Al-Mounawara saoudien, dernière étape avant son retour au Liban, quand la police des moeurs saoudienne vient le tirer de son lit. Ali disparaît pendant un temps, avant de réapparaître à la télévision saoudienne.
"Parce qu'il est chiite"
Il est filmé, pieds et poings liés, "avouant" avoir pratiqué de la "magie". Le verdict rendu par la cour de Madinat Mounawara est tombé le 9 novembre 2009. Ali Hussein Sbat est jugé coupable de "sorcellerie", de "mécréance", d'insulte à l'islam et violation de la charia (loi islamique) pour ses activités télévisées à Shéhérazade et condamné à la peine capitale.
Comment ce ressortissant libanais, n'ayant par ailleurs jamais exercé sur le sol saoudien, a-t-il pu se retrouver dans une telle situation ? "C'est parce qu'il s'appelle Ali, pense son frère Mehdi. Il est chiite avec un nom chiite et il avait un visa iranien sur son passeport." Les tensions au Proche-Orient entre communautés chiites et sunnites seraient, selon ses proches, une des explications. En Arabie saoudite, le bras de fer qui se joue entre le roi Abdallah et certaines autorités religieuses pourrait en être une autre. "En tout cas, c'est politique", murmure-t-on dans la famille du condamné.
Al-Aïn, le village d'Ali, se situe à 35 kilomètres au nord de Baalbeck dans la vallée de la Bekaa. Sur les murs, le visage de l'ayatollah Khomeiny veille, sévère, sur une population pieuse et modeste. Entre montagnes, petits vergers et routes défoncées, le temps semble avoir suspendu son vol. Mais pour les proches d'Ali, il s'est mué en compte à rebours mortel. Ils avaient trente jours pour faire appel du verdict. Le 19 novembre, il n'en restait déjà plus que 20. "Nous avons regardé sur Internet, raconte Mehdi, le frère. Les châtiments pour actes de magie ne dépassent pas les peines de dix ans de prison." "Une main coupée, peut-être...", suggère le père. Tous se sentent abandonnés par le député local qui a promis son soutien le jour des élections, le 12 juin, mais qui ne s'est plus manifesté depuis, alors que l'ambassadeur du Liban en Arabie saoudite n'a toujours pas rendu visite à Ali en prison.
Consulté, le cheikh Abdel Amir Qabalan, plus haute autorité religieuse chiite du Liban, a estimé que les activités d'Ali relevaient de "l'aide psychologique" pour des gens en "manque d'espoir", et non de la "magie" ou d'autres activités contraires à l'islam. L'avocate libanaise May Khansa, connue pour accepter les dossiers des plus déshérités, dénonce un "procès sans avocat pour un acte qui ne relève tout au plus que de l'escroquerie", les "tortures infligées à Ali pendant son interrogatoire" et le prix, "un million de dollars, réclamé par les avocats saoudiens" pour entreprendre une procédure en appel.
Cette étrange affaire embarrasse les autorités libanaises, elles-mêmes divisées entre sunnites et chiites, alors que l'Arabie saoudite est un "parrain" très influents au Liban. Le ministre libanais de la justice, Ibrahim Najjar, affirme avoir fait "le nécessaire". Opposant déclaré à la peine de mort, il précise être dans l'incapacité de se prononcer sur un dossier relevant d'une justice étrangère. "Je respecte la justice saoudienne et la charia, souligne-t-il, mais en tant que juriste, je remarque que la sorcellerie n'est plus ici qu'un vulgaire délit. Il ne viendrait à l'idée de personne au Liban de condamner à mort une diseuse de bonne aventure. Ce serait ridiculement perçu."
(Cécile Hennion, envoyée spéciale - Article paru dans l'édition du 20.11.09)
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Bon, on nage là en pleine barbarie d'un âge qu'on croyait révolu et je déconseille fortement à Lawrençadamus de se rendre dans ces contrées aux coutumes sanguinaires...
Les méthodes sont expéditives dans le sud philippin. Qu'un gouverneur se débarrasse d'un rival politique n'étonne personne. Mais le règlement de comptes a tourné à un épouvantable massacre. Quarante-six personnes, dont des élus et douze journalistes, ont été exécutées lundi. À Mindanao, la grande île où est concentrée la minorité musulmane des Philippines, les familles s'affrontent pour l'honneur, pour des litiges terriens ou des rivalités politiques. C'est ce qu'on appelle le «rido», la guerre des clans. La querelle entre les Mangudadatu et les Ampatuan, deux familles consanguines à la réputation aussi sulfureuse que belliqueuse, a dégénéré quand Esmael Mangudadatu a décidé de briguer le poste de gouverneur de la province de Maguindanao. Lundi matin, son épouse et son équipe de campagne, soit une quarantaine de personnes, voulaient déposer cette candidature, quand une centaine d'hommes armés jusqu'aux dents les ont prises en otages ainsi que les journalistes qui couvraient l'événement. «Ils les ont tous abattus l'un après l'autre. Plusieurs ont été décapités à la scie sauteuse. Et les corps criblés de balles ont été jetés à la va-vite dans des fosses communes», selon le chef régional de la police, Josefino Cataluna. À six mois du prochain scrutin où 18 000 sièges sont à pourvoir aux niveaux national et local, ces scènes d'épouvante annoncent une campagne électorale sanglante.
Il ne reste pas grand-chose à Lek Nirawan pour prouver qu’elle a bien occupé, pendant une vingtaine d’années, le lopin de terre où se trouvait le restaurant familial. Installée au bord d’une plage du sud de la Thaïlande, près du village de Baan Nam Khem, la gargote a été emportée par le tsunami qui a déferlé sur l’océan Indien le 26 décembre 2004, faisant 220 000 victimes dans 12 pays. Dans les hameaux voisins, les plus touchés en Thaïlande, près de 60 % des habitants ont été tués. Le raz de marée a fait quelque 6 000 morts en Thaïlande. Lek Nirawan a perdu 27 membres de sa famille. Pour elle, le tsunami a encore des répercussions concrètes : elle n’a toujours pas pu retourner sur le terrain familial, tout comme ses voisins. «Personne n’avait de titres de propriété. Après le tsunami, l’administration nous a interdit de retourner à cet endroit, ils ont menacé de nous arrêter», soupire-t-elle.
Dans le chaos qui a suivi le tsunami, des milliers de personnes ont été expulsées de leurs terrains situés sur le littoral de la mer d’Andaman. Bordée de plages de sable blanc qui n’ont pas encore toutes été développées pour le tourisme, la côte suscite bien des convoitises. Les conflits viennent en majorité de projets hôteliers concoctés par des promoteurs. Mais le gouvernement prévoit aussi des marinas, des centres logistiques pour l’exportation et des parcs nationaux.
Dans un rapport publié en 2007, le Programme de développement des Nations unies (Pnud) considérait que le tsunami avait «grandement exacerbé» les conflits autour des terres qui existaient dans la région. Aujourd’hui, la moitié des conflits fonciers apparus au lendemain du tsunami n’ont toujours pas été réglés. La loi thaïlandaise autorise les personnes pouvant prouver qu’elles ont occupé un terrain pendant au moins dix ans à en devenir propriétaires. Mais si la plupart des villageois étaient effectivement là depuis des décennies, les preuves matérielles ont bien souvent été emportées par le tsunami. Dans les zones litigieuses, le prix du mètre carré est souvent deux à trois fois supérieur à la moyenne de la région.
emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
Tata Nano, la voiture la moins chère du monde ! (RTL - par Christophe Bourroux le 27 février 2009, 11:41)
C'est la voiture la moins chère du monde ! 100 000 roupies, soit seulement 1 600 €. Annoncée depuis plusieurs années, la Tata Nano va enfin prendre la route... "des Indes". Car pour l'heure seul l'Inde accepte d'homologuer ce véhicule hors-normes en tous points. Elle sera lancée officiellement le 23 mars prochain, à Bombay. Présentation :
4 places, à peine 3,10 m de long, un look de Smart beaucoup plus spartiate, un moteur de 2CV qui pousse à 90km/h en vitesse de pointe... Bref, c'est une voiturette 4 fois moins chère et moins confortable que la Logan, mais Tata espère inonder le marché indien de 500 000 ventes par an. Pour obtenir un tel prix, le constructeur a taillé dans les coûts : matières plastiques entièrement recyclées, pas de lève-vitre électrique, ni d'ABS, ESP et encore moins de direction assistée... Quant à la climatisation, il s'agit juste d'une trappe qui se soulève et laisse passer l'air...
Alors verrons-nous cette auto un jour en Europe ? La mondialisation n'a certes plus de frontières, mais il est impossible qu'une version tellement dépouillée obtienne les homologations exigées chez nous. Notamment en matière d'environnement et de sécurité. Mais Tata a déjà prévu la riposte et présentera au salon de Genève une Nano version européenne, beaucoup plus cossue et donc plus chère : autour de 5 000€.
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Bref, ma Lada sera bientôt à vendre, inscrivez-vous sans délai sur la liste d'attente.
A voir ton garage, elle ne doit pas être dans un bel état !
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Tata Nano, la voiture la moins chère du monde ! (RTL - par Christophe Bourroux le 27 février 2009, 11:41)
C'est la voiture la moins chère du monde ! 100 000 roupies, soit seulement 1 600 €. Annoncée depuis plusieurs années, la Tata Nano va enfin prendre la route... "des Indes". Car pour l'heure seul l'Inde accepte d'homologuer ce véhicule hors-normes en tous points. Elle sera lancée officiellement le 23 mars prochain, à Bombay. Présentation :
4 places, à peine 3,10 m de long, un look de Smart beaucoup plus spartiate, un moteur de 2CV qui pousse à 90km/h en vitesse de pointe... Bref, c'est une voiturette 4 fois moins chère et moins confortable que la Logan, mais Tata espère inonder le marché indien de 500 000 ventes par an. Pour obtenir un tel prix, le constructeur a taillé dans les coûts : matières plastiques entièrement recyclées, pas de lève-vitre électrique, ni d'ABS, ESP et encore moins de direction assistée... Quant à la climatisation, il s'agit juste d'une trappe qui se soulève et laisse passer l'air...
Alors verrons-nous cette auto un jour en Europe ? La mondialisation n'a certes plus de frontières, mais il est impossible qu'une version tellement dépouillée obtienne les homologations exigées chez nous. Notamment en matière d'environnement et de sécurité. Mais Tata a déjà prévu la riposte et présentera au salon de Genève une Nano version européenne, beaucoup plus cossue et donc plus chère : autour de 5 000€.
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Bref, ma Lada sera bientôt à vendre, inscrivez-vous sans délai sur la liste d'attente.
A voir ton garage, elle ne doit pas être dans un bel état !
Quoi Biloulou, tu as plus ta super Lada?
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Au moins 48 morts dans un attentat suicide au Pakistan (Reuters, vendredi 27 mars, 12h00)
Un attentat suicide commis à l'heure de la prière du vendredi dans une mosquée bondée du nord-ouest du Pakistan a fait au moins 48 morts, rapportent les autorités locales.
"Nous avons compté pour l'instant 48 corps", a dit à la presse le principal administrateur de la région de Khyber, Tariq Hayat Khan. Le bilan pourrait toutefois s'alourdir jusqu'à 70 tués, a-t-il prévenu. Environ 70 blessés ont été hospitalisés.
"C'était un attentat suicide. Le kamikaze se trouvait dans la mosquée. C'était un bâtiment de deux étages et il s'est effondré", a indiqué Khan.
Je tien personnellement a féliciter les musulmans, encore un acte de bravoure
emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
En Inde, une langue vieille de 65 000 ans vient de disparaître
Boa Sr
Une octogénaire des îles Andaman, dernière personne au monde à parler cette langue tribale multimillénaire, à rendu l’âme vendredi. Mine d’or pour les anthropologistes, cet archipel situé dans la baie du Bengale à plus de 1000 km des côtes indiennes, compte plusieurs des plus anciennes tribues au monde, certaines encore totalement coupées du monde.
Le dernier membre d'une tribu des îles Andaman (océan Indien), appartenant à l'une des plus vieilles cultures du monde, vient de mourir. Boa Sr, 85 ans environ, était la dernière locutrice de "Bo", l'une des dix langues des Grands Andamans. On estime que les Bo vivaient dans les îles Andaman depuis 65.000 ans. A l'origine on dénombrait 10 tribus distinctes, dont les Bo, s'élevant à 5.000 personnes avant la colonisation britannique en 1858. La plupart d'entre eux ont été tués ou ont succombé aux maladies véhiculées par les colonisateurs. Boa Sr était la plus âgée des Grands Andamanais, qui compte actuellement seulement 52 personnes vivant sur l'île de Strait, non loin de la capitale Port Blair. Elle était la dernière personne a parler le Bo depuis la mort de ses parents, il y a plus d'une trentaine d'années déjà. Boa Sr avait par la suite appris à parler un dialecte dérivé du Hindi pour communiquer. "Avec la mort de Boa Sr et l'extinction de la langue Bo, une part unique de la société humaine n'est plus qu'un souvenir", a déclaré Stephen Cory, le directeur de Survival International dans un communiqué. "La perte de Boa indique qu'on ne doit pas permettre que cela arrive aux tribus des îles Andaman", a-t-il ajouté. La population faible des îles Andaman est divisée en de nombreuses tribus parlant une langue isolée qui peut être apparentée au groupe môn-Khmer. Les langues des îles Andaman seraient originaires d'Afrique et, pour certaines, vieilles de 70 000 ans. Elles pouraient être les dernières langues au monde remontant à la période pré-néolithque. Boa Sr qui avait échappé au tsunami dévastateur en décembre 2004 aurait indiqué, selon les linguistes :"On était tous là quand le séisme a eu lieu. Le plus âgé d'entre nous a dit: "la terre va s'ouvrir, ne fuyez pas, ne bougez pas".
Historians of natural catastrophes have not escaped the success of the idea of social risk in spite of their research in France being more focused on the secularization of the concept of nature and the growth of the modern state. The paper reexamines the use made by historians of the terms “catastrophe” and “risk” as it relates to earthquakes. In the 18 th century we find, on the one hand, on the part of local populations, routine local strategies to cope with catastrophes and, on the other hand, a theoretical discussion of the problem without reference to particular places. From 1740 on these two practices connect as a result of better communication networks and because local communities make themselves heard as they call for tax reductions and scientific research by scholars that would explain the high frequency of quakes occurring in the kingdom. This coming together, hastened by the Lisbon earthquake, brings about a new concept which is called here “risk”.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Les "chemises rouges" défilent à nouveau dans Bangkok
Les opposants thaïlandais ont bravé mardi l'interdiction du gouvernement de défiler dans plusieurs quartiers de Bangkok où ils sont descendus par milliers.
Les "chemises rouges", partisans de l'ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra, avaient dans un premier temps annulé leur manifestation pour éviter des affrontements avec les forces de l'ordre déployées sur le parcours annoncé. Mais un porte-parole militaire a assuré à la télévision qu'il n'y aurait "pas de répression" malgré le déploiement de plusieurs milliers de militaires et policiers dans la capitale. Les "chemises rouges" sont plusieurs dizaines de milliers à camper dans les rues de Bangkok depuis le 14 mars pour réclamer la dissolution du parlement et des élections anticipées.
40.000 OU 80.000 peinguins payés 500 bths par jours par les affairistes partisans de Taksin 1er, ne changeront rien a deux faits immuables dans ce si beau pays:
1/ Tant que Rama tiendra le coup, c'est lui qui décidera,le peuple thailandais est derrière lui dans son immense majorité 2/ En cas de modification de l'état de santé du personnage de l'article un, l'armée prendra la suite sans la moindre espèce d'hésitation et toujours et encore avec un soutiens populaire majoritaire!
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Les pro-Thaksin s'emparent d'une station TV en Thaïlande
Des milliers de manifestants thaïlandais du mouvement des "chemises rouges" ont forcé un barrage de l'armée et fait irruption dans les locaux d'une station de télévision dont ils exigent la reprise des programmes.
La police a tenté en vain de les en empêcher en tirant des gaz lacrymogènes, mais les manifestants ont franchi les barbelés et forcé les portes du site de la station satellite Thaicom, dans la province de Pathum Thani, à une soixantaine de kilomètres au nord de Bangkok.
La plupart des soldats qui gardaient les lieux les ont évacués, et les manifestants semblent avoir pris le contrôle du site. http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2010-04-09/les-pro-thaksin-s-emparent-d-une-station-tv-en-thailande/924/0/442630
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Un long cortège bruyant et coloré s'est lancé en milieu de matinée dans les principales artères de la capitale, où le calme est revenu après les violences les plus meurtrières dans le pays depuis 1992, qui ont fait 21 morts dont 17 civils et quatre soldats, et plus de 860 blessés.
À chaque victime enfournée dans une ambulance, la foule rouge scande «encore un héros» et tient ses positions alors que l'armée bat en retraite derrière ses immenses boucliers. Les dégâts laissent deviner la brutalité du déchaînement de violence. Dimanche, quelques touristes qui s'apprêtaient à s'asperger joyeusement comme le veut la tradition du Nouvel An thaïlandais, dans la rue Khao San, regardaient, sidérés, les mares de sang coagulé, les vitrines brisées, les carcasses de voitures incendiées par des bonbonnes de gaz et les tanks abandonnés. Lundi, les «chemises rouges» thaïlandaises ont défilé dans les rues avec les cercueils de victimes des violences.
Les habitants de Bangkok affichent leur colère contre les "Chemises rouges"
Le mouvement des "Chemises rouges" suscite de plus en plus de colère: des habitants de Bangkok protestent contre l'opposition qui campe dans un quartier commercial et hôtelier de la capitale thaïlandaise, entraînant la fermeture d'hôtels et de bureaux et désorganisant la vie économique.
Un groupe opposé aux "Chemises rouges", qui réclament de nouvelles élections, a prévu une manifestation vendredi dans la capitale. Il se prépare également pour de nouveaux affrontements avec les manifestants à un carrefour jouxtant leur "zone d'occupation". Mercredi soir, des habitants en colère ont affronté des "Chemises rouges", leur criant "Rendez-nous notre ville" ou encore "Rentrez chez vous les péquenauds". Ils ont jeté des pierres et des bouteilles dans leur direction. Plusieurs personnes ont été blessées légèrement.
Début des manoeuvres navales américano sud-coréennes
Monde - International sam 24 juil, 23:16 Les Etats-Unis et la Corée du Sud ont commencé dimanche dans la mer du Japon leurs manoeuvres navales conjointes destinées à lancer un "message clair" à la Corée du Nord qui a menacé de recourir "à une puissante dissuasion nucléaire". Cet exercice est le premier d'une série de six destinée "à adresser un message clair à la Corée du Nord l'informant que son comportement agressif doit cesser", ont déclaré cette semaine dans un communiqué communiqué commun le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, et son homologue sud-coréen Kim Tae-Young. La Corée du Sud et les Etats-Unis accusent notamment Pyongyang d'être responsable du naufrage, le 26 mars, du navire de guerre sud-coréen Cheonan, au cours duquel 46 marins sud-coréens ont péri près de la ligne de démarcation intercoréenne en mer Jaune. Washington en Séoul, s'appuyant sur les conclusions d'une enquête internationale, accusent le régime nord-coréen d'être responsable du naufrage. Pyongyang, soutenue par Pékin, nie avoir coulé le navire. Le premier exercice, qui doit s'achever le 28 juillet, mobilisera 8.000 Américains et Sud-Coréens, une vingtaine de navires et sous-marins, dont le porte-avions George Washington, ainsi qu'environ 200 avions, dont le chasseur américain F-22, selon l'armée américaine. Mercredi, Hillary Clinton a également annoncé de nouvelles sanctions économiques et financières à l'encontre de la Corée du Nord, déjà sous le coup de nombreuses sanctions internationales depuis ses deux essais nucléaires de 2006 et 2009. En avril 2009, la Corée du Nord avait claqué la porte des pourparlers à six pays (Etats-Unis, deux Corées, Chine, Russie, Japon) entamés en 2003, qui visent à persuader Pyongyang de renoncer à ses programmes nucléaires.
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Sujet: Et pendant ce temps là,en Chine ..... 18/8/2010, 13:01
Citation :
L'accord commercial historique avec la Chine est approuvé par le Parlement taïwanais Les parlementaires ont voté, mardi 17 août, le texte au terme d'un débat d'une journée sur les 16 articles qui constituent l'accord-cadre de coopération économique (ECFA). Il s'agit de l'accord le plus exhaustif conclu à ce jour par Taïwan avec la Chine. Le texte a été adopté par 68 voix pour et aucune contre. Les députés de l'opposition anti-chinoise n'ont pas participé au vote, mais se sont fait entendre.
emma
Nombre de messages : 3845 Date d'inscription : 08/12/2008
Du fond de la prison pakistanaise où elle croupit depuis plus d'un an, Asia Bibi a désormais une raison d'espérer. Le Pape Benoît XVI en personne a appelé mercredi à la libération de cette mère de famille chrétienne condamnée à mort le 8 novembre dernier par un tribunal de la province du Pendjab sous prétexte qu'elle aurait blasphémé. Benoît XVI n'a pas mâché ses mots, appelant « la communauté internationale à prendre conscience de la difficile situation dans laquelle se trouvent les chrétiens au Pakistan, où ils sont souvent victimes de violences et de discriminations. La vie d'Asia Bibi a basculé en une chaude journée de juin 2009. Ouvrière agricole, fille de paysans implantés depuis des générations dans le petit village pendjabi d'Ittanwalai, Asia est priée ce jour-là d'aller puiser de l'eau pour désaltérer ses compagnes de travail. Mais les musulmanes s'insurgent. Pas question de boire une eau rendue impure par une chrétienne ! Les esprits s'échauffent, la machine s'emballe. «Les différentes versions des événements font état de menaces de la part du groupe de femmes sur Asia Bibi pour qu'elle renonce à sa foi. Celle-ci aurait ensuite été frappée avant d'être emmenée par une foule en colère devant des responsables religieux», rapporte le site «Eglises d'Asie». Agée d'une quarantaine d'années, mère de trois filles et deux garçons, Asia aurait également été violée, y compris par des responsables religieux musulmans. Parce que la foule s'apprêtait à la lyncher, d'autres chrétiens du village ont appelé la police... laquelle a immédiatement arrêté et inculpé Asia Bibi pour atteinte à la loi anti-blasphème. Les juges ont pris pour argent comptant les accusations contre Asia Bibi, « écartant toute circonstance atténuante ». Des femmes avaient affirmé qu'au cours de leur rixe, Asia avait «insulté» le Prophète. Alors que les autres voulaient la forcer à se convertir à l'islam, elle aurait rétorqué : Jésus est mort sur la croix pour racheter les péchés du monde, qu'a fait Mohammed pour vous ?» Promulguée en 1986, sous la dictature de Zia-ul-Haq, le général qui a mené tambour battant l'islamisation du Pakistan, la loi anti-blasphème n'a toujours pas été abrogée. Sournoisement, elle exonère les talibans de leurs sauvages attaques contre les minorités. Plus prosaïquement, elle sert de prétexte pour les règlements de comptes entre voisins... Au cours des derniers mois, les actes de violences contre la petite communauté chrétienne (1,6% de la population) ont singulièrement augmenté au Pakistan.
Ses trois filles, qui attendent sa libération, montrent ici sa photo
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Page : 5 ; Sujet 44 : Lada GTI iD état exceptionnel, bientôt à vendre ; Ven 27 Fév 2009 - 14:09
Biloulou essorant les prix a écrit:
Bref, ma Lada sera bientôt à vendre, inscrivez-vous sans délai sur la liste d'attente.
Suivant les recommandations de son conseil Maître André, notre ladadidacte Biloulou, après pas mal de galères de méventes, a finalement entièrement revu son plan marcatique et adopté un style résolument hot (du Père Noël).
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008