Proche (ou Moyen) Orient - Nouvelles

Ca c'était le deuxième accord car, dès le premier, la décision d'établir des relations diplomatique fut prise.
Or relations diplomatiques = reconnaissance des États.

Ungern a écrit:

Le problème est qu'Israël est un état sans frontière .

Pour moi ça ne pose aucun problème.

Et je comprends que pour Israël ces frontières puissent changer au gré des guerres qu'on lui impose.
Par exemple : dès que la paix a été signée avec l'Égypte, les frontières entre les deux États ont été arrêtées, mais si les hostilités reprennent il y a fort à parier que ces frontières changeront à nouveau.

Bref, si l'absence actuelle de frontières définies posait un problème pour Israël, pour autant que cette absence soit réelle, Israël aurait une solution simplicissime : déclarer les frontières définies à la fin des derniers conflits comme définitives.

Ungern a écrit:

Il me semble qu'Israël est membre de l'ONU .
Il me semble que l'ONU condamne explicitement l'extension territoriale par des moyens de guerre .
Il y a donc un problème ...

Ca devrait poser un problème, c'est vrai, entre l'ONU et les pays qui ont fomenté et mené les guerres de tentative de conquête d'Israël.
Et aussi à l'Union Indienne pour avoir envahi Goa, Damão et Diu, notamment, début des années 60.
De même pour Cuba pour ses actions militaires en Angola, aussi qu'au Viêt Nam du Nord, à la Chine et à l'URSS pour la guerre de conquête du Viêt Nam du Sud...

Liste non exaustive...

Ungern a écrit:

A ma connaissance ,mis à part les Indiens,les autres pays n'ont jamais annexé leurs conquètes territoriales .
Tu es d'un avis contraire ?

Cuba non, ils ont dû se replier ; le Viêt Nam du Nord si.
(Mais tu peux chercher (e.g. les Balkans ?) pour moi ça n'a aucun rapport avec les futures relations probables ente l'Égytpe et Israël...)

Ungern a écrit:

(...) La guerre (du Viêt Nam) a eu pour but non pas d'annexer le sud au Nord,mais bien de réunir le Sud au Nord .

Et par la même occasion de fouler aux pieds les accords de paix signés à Paris en 1973.

(La Corée du Nord voulait aussi réunifier les deux Corées de 1950 à 1953.. aussi avec l'aide de la Chine et de l'URSS... curieux, hein ?)

Les accords de paix prévoyaient des élections conjointes lesquelles n'ont pas eu lieu par refus du Sud .

Ungern a écrit:

A mon avis l'opération de déstabilisation de tout le Moyen Orient instrumenté par les USA et israël est en train de leurs retomber sur la gueule .

Je ne vois pas ce que tu veux dire.

Citation :

Ce n'est pas pour autant que je regrette le départ des détritus humains qu'il y a eu .
Non,ce qui m'inquiète ,c'est le pédigré chargé des libérateurs ...

Tu parles du Hamas ? Ceux qui, avec leurs frères du Hezbollah, déstabilisent réellement toute la région ?

Ungern a écrit:

Les accords de paix prévoyaient des élections conjointes lesquelles n'ont pas eu lieu par refus du Sud .

Non, pas par refus ; parce qu'on ne leur a pas laissé le temps de les organiser, dans un pays désorganisé par la guerre et les attentas menés par les communistes venus d'ailleurs.

(C'est fou comme tout est toujours la faute des autres qui n'ont pas voulu ça, et ça, et ça...)

L'histoire,c'est pas ton fort Biloulou ....
Heureusement que tu la remplaces par un sérieux culot et une sérieuse mauvaise foi ....

Citation :

Entre temps, lors d'une réunion des quatre « Grands » à Berlin en février 1954, il avait été décidé d'organiser une conférence à Genève à partir du 26 avril, où l'on traiterait de la Corée et de l'Indochine.

Les délégués de la RDVN et de l'État du Viêt Nam y rencontrèrent les délégations de la France, du Royaume-Uni, de l'Union soviétique, des États-Unis, de la République populaire de Chine et des deux États voisins, le Royaume du Laos et le Royaume du Cambodge, afin de discuter du futur de toutes les anciennes possessions françaises en Indochine. La Conférence de Genève prit fin le 21 juillet 1954, par un accord signé entre Pierre Mendès-France et Pham Van Dong, respectivement au nom de la France et du Viêt Nam. À cet accord était également signée une déclaration commune par les neuf participants, sauf par les États-Unis et par l'État du Viêt Nam.

L'indépendance du Laos, du Cambodge et du Viêt Nam était reconnue. Ce dernier étant partagé en deux zones de regroupement militaire des forces armées françaises et vietnamiennes de part et d'autre du 17^e parallèle. La réunification du pays pourrait intervenir après des élections générales qui devaient être organisées dans un délai de deux ans (1956), et la constitution d'un gouvernement.

Dès 1955, un nouveau mouvement se développait : le Front national pour la libération du Sud Viêt Nam (ou Việt Cộng), comptant un certain nombre d'anciens cadres Viêt Minh. Celui-ci s'opposera au régime de la République du Viêt Nam et affrontera les États-Unis lors de l'intervention américaine.


Au Sud (l'État du Viêt Nam), sous la pression américaine, la France nommait Ngô Đình Diệm comme chef de gouvernement en juillet1954 (sous la présidence de l'empereur Bao Dai). Avec le soutien du président américain Eisenhower, son gouvernement refusait les élections générales initialement prévues. De fait, dès août1955, Ngô Đình Diệm déclarait que son pays ne se considérait lié en aucune façon par les Accords de Genève dont il n'avait pas été signataire.

Ungern a écrit:

L'histoire,c'est pas ton fort Biloulou ....
Heureusement que tu la remplaces par un sérieux culot et une sérieuse mauvaise foi ....

Pour l'histoire c'est possible, pour la mauvaise foi.... poursuivons.

Ungern, qui rit jaune, a écrit:

Au Sud (l'État du Viêt Nam), sous la pression américaine, la France nommait Ngô Đình Diệm comme chef de gouvernement en juillet1954 (sous la présidence de l'empereur Bao Dai). Avec le soutien du président américain Eisenhower, son gouvernement refusait les élections générales initialement prévues. De fait, dès août1955, Ngô Đình Diệm déclarait que son pays ne se considérait lié en aucune façon par les Accords de Genève dont il n'avait pas été signataire.

Ngô Dinh Diêm a été assassiné en 1963.
Comment peux-tu lui imputer la non tenue des élections décidées en 1973 dans les accords de Paris, car c'est bien cela que tu considérais comme prétexte à la violation de ces accords par le Viêt Nam du Nord en envahissant le Sud début 1975, avec l'aide de la Chine et l'URSS ?

Ce n'est pas de la mauvaise foi, c'est de l'hérésie !

Mme Ashton accuse Israël de compromettre les efforts du Quartette.

AFP

La chef de la diplomatie de l'Union européenne, Catherine Ashton, a qualifié d'"inacceptable" dimanche le projet israélien de construire de nouveaux logements à Jérusalem-Est annexée, estimant qu'il allait à l'encontre des engagements d'Israël.

Le projet de construction de 2.600 nouveaux logements à Givat Hamatos (à Jérusalem-Est) et la légalisation des implantations en Cisjordanie vont à l'encontre "des engagements contenus dans la feuille de route", a regretté Mme Ashton dans un communiqué publié dans la nuit de samedi à dimanche.

La "feuille de route" est un plan de règlement élaboré par le Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, ONU, Russie) devant mener à la création d'un Etat palestinien.

"Les colonies sont illégales du point de vue de la loi internationale", a souligné Mme Ashton avant d'appeler Israël à renoncer à ce projet de nouvelles constructions.

Vendredi, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a accusé Israël de provoquer la communauté internationale après des informations ayant fait état d'un projet de construction d'une nouvelle colonie à Jérusalem-Est annexée. Londres a également parlé de "provocation".

Les constructions envisagées à "Givat Hamatos sont particulièrement inquiétantes car elles supprimeraient la continuité géographique entre Jérusalem et Bethléem", a ajouté Mme Ashton.

Au moment où le Quartette pour le Proche-Orient tente de relancer les négociations entre Israéliens et Palestiniens, Mme Ashton a estimé que la poursuite de la colonisation était contraire "aux engagements" d'Israël dans le cadre de ce processus.

"Les deux parties (Israël et Palestiniens) sont responsables de l'instauration d'un climat de confiance propice aux négociations", a poursuivi la chef de la diplomatie européenne.

Le Quartette pour le Proche-Orient a proposé le 23 septembre à New York une reprise des négociations de paix pour aboutir à un accord final fin 2012. Le Quartette a fait cette proposition le jour où le président palestinien Mahmoud Abbas a présenté une demande d'adhésion d'un Etat de Palestine aux Nations unies.

"Le projet illégal de Givat Hamatos rend dérisoires le communiqué du Quartette et les autres efforts internationaux visant à établir une paix juste et durable", a déploré dimanche le négociateur palestinien Saëb Erakat dans un communiqué.

L'Autorité palestinienne a averti qu'elle refuserait de reprendre des pourparlers directs avec Israël depuis que ce pays a mis fin en septembre 2010 au gel de la colonisation.

Le communiqué de Mme Ashton a été publié avant qu'Israël ne rende publique une liste de 477 prisonniers palestiniens devant être relâchés la semaine prochaine en échange de la libération du soldat israélien Gilad Shalit, détenu à Gaza depuis plus de cinq ans.

La Ligue arabe a elle aussi condamné le projet israélien, en appelant dans un communiqué "l'ONU et les organisations internationales concernées ainsi que les organisations de défense des droits de l'Homme à envoyer des équipes pour enquêter (...) sur les violations graves auxquelles sont exposés la ville de Jérusalem et ses habitants".

BILOULOU

Voyez vous cher ami la grande chance que UNGERN a. Des qu'il est pris un ami venant ' on ne sait d' ou se precipite a la rescousse, aujourd'hui LAWRENCE, pour faire diversion, noyer le poisson pour vous accuser par la suite de ne pas repondre a de farfelues questions.

Amicalement