Divorce Belge

JACKLELOUP a écrit:

Un retour à la Belgique unitaire: le rêve de 4 Belges sur 10

Plus un résidant portugais sur un, au bas mot !

Biloulou a écrit:

JACKLELOUP a écrit:

Un retour à la Belgique unitaire: le rêve de 4 Belges sur 10

Plus un résidant portugais sur un, au bas mot !

Dans ton cas,vaut mieux compter sur le Bénélux

"Une Belgique à quatre"



Dans une interview au sujet du positionnement de la Communauté germanophone au sein de l'Etat Belge, le ministre-président Karl-Heinz Lambertz a plaidé pour une Belgique à quatre.

"Aujourd'hui, la Belgique à deux ou à trois n'est plus viable. Dès lors, nous plaidons pour une Belgique à 4 composée de la Flandre, de la Wallonie, de Bruxelles et de la Communauté germanophone. Nous sommes en mesure d'exercer toutes les compétences qui pourraient être exercées demain par les entités fédérées", a expliqué le ministre-président de la Communauté germanophone.

"Il est indéniable que la réforme de l'Etat modifiera profondément les structures institutionnelles du pays et que les entités fédérées auront plus de compétences et plus de responsabilités mais une simplification du paysage politique francophone sera aussi inévitable. La Communauté française sera de plus en plus considérée comme un instrument de coopération entre la Wallonie et Bruxelles et s'apparentera de moins en moins à une entité fédérée en tant que telle", a ajouté Karl-Heinz Lambertz, qui craint qu'en cas de disparition de la Communauté française, la Communauté germanophone ne soit entraînée dans le mouvement.

"L'essentiel aujourd'hui est de ne pas être oublié, de ne pas disparaître dans l'image à grands traits que l'on est en train de dessiner de la Belgique", a-t-il encore déclaré. "Notre destin n'est pas celui-là, c'est d'ailleurs le contraire. Nous voulons conserver toutes les compétences que nous possédons déjà mais nous voudrions également élargir nos compétences vers des compétences régionales en intégrant le plus vite possible celle de l'aménagement du territoire et du logement ainsi que les compétences provinciales".

Le ministre-président a tout de même tenu à rappeler que "la Communauté germanophone n'est pas le nombril du monde de la réforme de l'Etat et que l'avenir de la Belgique ne dépend pas du sort qui sera réservé aux germanophones mais bien du compromis entre francophones et flamands". (belga)

25/09/10 14h45

Faux cul!!!
Et à la moindre occasion il reforme l'alliance avec les flamands!
On sera encerclés.Schweinerei!

Sans compter le nombre de ministres,députés,et tout le bazar qui va avec!

A 4? et pourquoi pas à 5 avec la communauté maghrébienne?
Faut pas se chatouiller pour se faire rire.

Le traité de Versailles a été entériné,et on ne revient pas dessus.
Nein!!!

Ungern et son maître rantanplan

Ces partis extrémistes ne font malheureusement que progresser dans cette région


Et en Europe.

IBN EL SAHRA a écrit:

Les flamands ne deviendraient-ils pas complètement extrémistes, avec de telles pensées nazies ?

Pensées nazies ? Mais c'est un euphémisme, cette "demande" était un obligation absolue sous les régimes communistes sous peine des sanctions les plus graves...

Biloulou a écrit:

IBN EL SAHRA a écrit:

Les flamands ne deviendraient-ils pas complètement extrémistes, avec de telles pensées nazies ?

Pensées nazies ? Mais c'est un euphémisme, cette "demande" était un obligation absolue sous les régimes communistes sous peine des sanctions les plus graves...

D'accord,c'est tout

Westerloo-Standard Liège 0-1 à la mi-temps

Samedi dernier, Thomas Gunzig a offert un véritable bijou aux auditeurs de la Semaine Infernale, diffusée à 11 h sur La Première. Voici le texte intégral. Régalez-vous !

Bande de cons !
Pas vous, cher public !

Les autres, les formateurs, informateurs, explorateurs, chefs de groupe, présidents de parti flamand, présidents de parti francophone, seconds couteaux, troisièmes couteaux, de gauche, de droite, les cathos, les écolos, les franc-maçons, les libéraux...

Bande de cons de Flandre
Bande de cons de Bruxelles
Bande de cons de Wallonie.

D'abord à tous ceux qui croient avoir gagné les élections d'il y a 5 mois.
A tous ceux qui avaient un grand sourire
A tous ceux qui avaient les bras en l'air.

Le temps est venu de vous avouer quelque chose :
Les gens n'ont pas voté pour vous parce qu'ils vous aimaient.
Les gens ont voté pour vous parce qu'ils étaient obligés.

A la veille du onze juin : dans les rues, les maisons, les bureaux, les gens hochaient la tête et se demandaient vraiment qui ils allaient pouvoir choisir parmi ce catalogue de nuls, de klets, de nouilles, d'opportunistes agressifs, de carriéristes sans charisme, de mal fringués, de gros types à l'élocution problématique, de petit nerveux en pleine tendinite de l'ego, de semi-hystériques, de semi-mafieux, de cynique, de je-m'en-foutiste, de ratés, de tout le reste, de fils à papa, d'experts comptables en décrochage professionnel, d'entrepreneurs en faillite frauduleuse, de sinistres, de pas lavés, de faux gentils, de vrais méchants...

Les Leterme, De Krem, Reynders, Milquet, Michel, De Wever, Maingain, Wattelet, Bacquelaine... Cette morbide collection de névroses qui nous gouvernent avec leurs troubles anxieux, leur troubles dissociatifs, leur troubles psycho-sexuels, leurs troubles obsessionnels compulsifs.

Et en plus, ils sont tous... si moches...

Cette élection, à tout le monde, ça a un peu fait l'impression d'un de ces mariages forcé que l'on organise dans des pays très loin d'ici.
C'est comme si on avait été une jeune fille devant choisir entre le vieux marchand qui pète au lit ou l'arrière-cousin qui ne se brosse pas les dents.

Bande de cons.
Vous n'avez rien gagné du tout.
Si c'était possible, on reprendrait nos voix et on ne les donnerait qu'après les négociations, à ceux qui auraient su être un peu intelligents, un peu sobres, un peu humains.
Mais non. Donner c'est donner, reprendre c'est voler.
Vous aviez un chouette petit pays, pas très grand mais bien équipé de voisins plutôt sympas bien situé avec la mer, avec la forêt, avec pas trop de charges.
Vous aviez une chouette petite population, pas parfaite parfaite.
Mais en gros, ce n'était pas des talibans non plus, c'était pas des Contras, c'était pas des Tigres Tamouls : une petite population de fabricant de pralines, des marchand de kayaks, des chanteurs à texte, des comiques parfois drôles, des stylistes un peu punk, des postiers plutôt polis, des sportifs en minijupe, des flics à moustache, des tas de gens prêts à travailler plus, à gagner toujours moins et à ne pas dire grand-chose.
Une petite population qui mélange le goût des mandarines à celui des spéculoos.
Une petite population qui n'a rien contre l'Eurovision ni les horodateurs.

Une petite population qui rend visite à ses grands-parents le dimanche pour boire un café après le chicon gratin.
Une petite population de buveurs de bière et de joueurs de kicker.
Une petite population qui emmène ses enfants à Plankendael au printemps et à Paradisio en hiver... Comme ça, sans ennuyer le monde, en VW Touran.
Une petite population prévoyante qui a quelques euros sur un compte-épargne et une concession au cimetière.
Une petite population qui est plutôt toujours d'accord et en gros une petite population qui ne veut pas d'histoire.

Et vous,

bande de cons,

tout ce que vous trouvez à faire, ce sont ces petites réunions où l'on tourne encore plus en rond que sur un circuit Marklin, ce sont ces petits comités aussi stériles qu'un champs de patates à Tchernobyl, ce sont ces petites réactions à chaud qui me rappellent les crises de mon chat, quand il n'aime pas la marque de ses croquettes, ce sont ces airs de petits tribuns en solde, ce sont ces grands chevaux sur lesquels vous montez et qui seront toujours comme ces petits poneys tristes de la foire du Midi.

Tout ce que vous trouvez à faire, c'est de vous tirer dans les pattes pour gagner une floche qui vous donnera droit à un tour gratuit sur ce manège sinistre que vous appelez "politique".

Bande de nuls.

Alors moi,
J'ai eu une idée, une grève, une vraie grève, une bonne grève, une grève de tout le monde tant que la politique Belge ressemblera à une conserve de rollmops :
Les enfants n'iront plus à l'école, les femmes enceintes n'accoucheront pas, les déménageurs ne déménageront pas. Navetteurs, ne navettez plus, Alcooliques, n'alcoolisez plus, chauffeurs, ne chauffez plus, pilote, mécanicien, traiteur, boucher, pêcheur, éboueur, esthéticienne, taxidermiste, stripteaseuse, scaphandrier, géomètres expert, fleuriste, trader, opticien, huissier, substitut, gourou, préfet, trésorier, banquier, infographiste, ajusteur, analyste programmeur, technicien, hotline, proxénète, dealer, animateur, orthodontiste, urologue, animateur socioculturel, fossoyeur...

Et tous les autres...
Total Stand By ! On arrête tout...
Et vous verrez que dans trois jours, ils feront moins les malins.

Jack, ik begrijp niet ....

JACKLELOUP a écrit:

CHOQUÉ, UNE FOIS
Tintin au pays des nazis

188 -

Citation :

(...) les gens hochaient la tête et se demandaient vraiment qui ils allaient pouvoir choisir parmi ce catalogue de nuls, de klets, de nouilles, d'opportunistes agressifs...

Chic un belgicisme ! Pour idiot, bêta voire prosaïquement khôn. Je connaissais kluut.

Illustration pour les futurs réfugiés de l'ISF en Belgique qui vont être obligés de maîtriser la langue des autochtones :


(Il est excellent ce Thomas G.)

De Wever "ne veut plus participer à ce jeux d'enfants"



Vous - Opinion 13:05




Vous êtes nombreux à réagir sur RTLinfo et sur la page Facebook de RTLinfo après l'annonce de la N-VA de quitter la table des négociations et surtout après la déclaration de Bart De Wever qui a notamment justifié vers midi la décision de son parti en disant "
Je ne veux pas participer à ces jeux d'enfants." Voici quelques-unes de vos déclarations:
"Fallait s'y attendre, ce sont eux les enfants !!... ils n'ont pas ce qu'ils veulent donc pas de compromis, on se casse !"

"Pfff, pire que des gosses qui n'ont pas eu le jouet qu'ils ont vus en vitrine. Mettez des hommes, des vrais, au commande du gouvernement"

"Pas de jeu d'enfants, et lui il fait quoi là, Monsieur n'a pas eu ca sucette alors il part..."

"Si le Bart ne se comportait pas comme un enfant gourmand qui fait sa crise car il n'a pas ce qu'il veut, on aurait déjà notre gouvernement et notre pays ne serait pas en péril !!! Ce potiche abject ne vise pas l'intérêt de la patrie mais son intérêt personnel...."

De Wever: les concessions francophones sont "des pas de nain de jardin"


Lors de l'édition spéciale du Journal ce lundi soir, Bart De Wever a commenté en direct la décision de son parti (N-VA) de quitter les négociations. Selon lui, les divergences entre les partenaires actuels restent trop importantes pour continuer à négocier. Et les concessions faites par les francophones sont "des pas de nain de jardin".








Cette info en vidéo

• Le président de la N-VA Bart De Wever en direct des studios ...
  

Belgique - Politique 21:21

Bart De Wever a réagi en direct ce lundi soir lors de l'édition spéciale du Journal de RTL TVi. Le président de la N-VA a évoqué l'ampleur des divergences de vue entre les deux communautés pour justifier sa décision de quitter la table des négociations. "On a fait ce qu’on a fait parce que c’était inévitable. On n’avançait pas, pas du tout. On avait un accord sur le transfert des compétences, mais en réalité il y avait beaucoup d’éléments qui manquaient ou pas 100% sûrs comme les allocations familiales. En ce sens, on est en train de reculer au lieu d’avancer", a-t-il commenté.
"L'échec est la responsabilité de tout le monde"
Bart De Wever a ensuite répété que pour la N-VA le plus important c’est la loi de financement. "Et là, il faut dire la vérité, il n’y a pas de convergence importante. Et quand on entend les propositions qui sont faites dans des entretiens discrets avec le PS, on ne peut que constater que l’on n’en est pas là. A ce moment-là, après plus de 100 jours, on doit oser en tirer une conclusion", a-t-il fait remarquer.
Le président de la N-VA refuse cependant d'être présenté comme "le valet noir". "L'échec est la responsabilité de tout le monde, ou pour le dire mieux, ce n'est pas seulement ma responsabilité", a-t-il dit.

Une formule pas efficace
Pour Bart De Wever, il faut recommencer à zéro car la formule de négociations utilisée jusqu’à présent n’est pas efficace. Mais il n’exclut pas pour autant l’un des sept partenaires. "Je dis simplement qu’il faut faire un pas en arrière et qu’il faut regarder le tout. Et tout est possible. Une chose est certaine, on doit trouver des partenaires qui ont ensemble la majorité des 2/3 pour faire des réformes. C’est tout ce que je dis. Je ne veux pas rendre les choses encore plus difficiles", assure-t-il.
La N-VA est-t-elle alors capable d'accepter un compromis équilibré ? "Je pense que oui. Mais c’est clair que les positions sont très éloignées de chaque côté, donc c’est extrêmement difficile. (…) Et je ne veux pas me laisser séduire à retourner à une table à 7 quand je sais qu’il n’y a pas de volonté."

"Des pas de nain de jardin"
Bart De Wever admet que les francophones ont fait des concessions depuis le début des négociations, mais, selon lui, les divergences entre francophones et néerlandophones restent trop importantes concernant la réforme de l’Etat. "Les cadres de références sont donc très différents. Les transferts de compétences sont pour les francophones des pas de géant, mais pour nous ce sont des pas de nain de jardin. Et quand on parle de BHV, c’est l’inverse."

"Je ne suis pas un révolutionnaire"
Le président de la N-VA balaie cependant de la main l’idée que son parti désire la fin de la Belgique. "Je ne suis pas un révolutionnaire. Je ne suis pas ici pour ne pas faire des accords. Si j’avais voulu l’échec, je l’aurais constaté après trois semaines. Cela aurait été très facile de la faire, mais je ne l’ai pas fait".

JACKLELOUP a écrit:

De Wever: les concessions francophones sont "des pas de nain de jardin"

C'est pas de De Wever, ça ; c'est de Ungern.

M Biloulou j'ai fait la même réflection.

Citation :

M Biloulou j'ai fait la même réflection.

Le gars s'admire dans un miroir?

David, tu as un oeil au beurre noir ?
Non, non, ne me dis pas ce que tu as fait pour le mériter, je me l'imagine...

(Adorable, ton nouvel avatar !)

196 -

[quote]Je ne suis pas ici pour ne pas faire des accords.[/quote]

Il y a des chances que les francophones aient mal retranscris ce que le président flamingant (d'acier) voulait réellement exprimer et qui se lirait comme suit :

"Je ne suis pas ici pour ne pas faire désaccord".

Là ça change tout, et même si c'était faux ça serait quand même juste.

La mégère non apprivoisée.


"Imaginer tous les scénarios" face au "menteur"


Laurette Onkelinx (PS) a attaqué Bart De Wever (N-VA) de front hier soir sur RTL-TVI, le traitant de "menteur" lorsqu’il prétend que les francophones ont fait marche arrière sur des accords entérinés. Joëlle Milquet (cdH) l’a confirmé en direct ce matin sur Bel RTL : "Bart De Wever n’a pas dit la vérité. Quand il prétend que les francophones ont reculé dans les négociations, c’est entièrement faux." Au contraire, Laurette Onkelinx et Jean-Michel Javaux (Ecolo) ont rappelé également par téléphone ce matin sur Bel RTL que c’est Bart De Wever qui n’a cessé de faire marche arrière après avoir accepté des accords !





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  Belgique - Politique 10:38
  Jean-Michel Javaux rappelait que les négociateurs N-VA "ont accepté un accord sur la loi de financement par deux fois. Le problème, c’est qu’ils vont de l’avant puis font marche arrière." "Quand il dit que les deux communautés de ce pays ne savent pas s’entendre, il ne veut pas que se rencontrent les vœux des trois régions des deux grandes communautés de ce pays. Alors que les partis francophones avaient fait des ouvertures extraordinaires saluées en Flandre. Au bout d’un moment il dit ‘vous acceptez ma formule ou on s’en va’", expliquait la vice-Première ministre PS, ajoutant qu’au final, Bart De Wever "veut démontrer par l’absurde que la Belgique est ingérable." La présidente du cdH rappelle que son parti est "toujours prêt, mais pour travailler avec des gens qui veulent réussir. Et on n’a pas l’impression que c’était le cas dans le chef de M. Dewever."
  

De Wever veut mettre les francophones à genoux
"On est face à un parti qui ne veut plus d’avenir pour la Belgique. Il faut vraiment se poser la question de savoir comment faire face à un nationalisme qui veut mettre une communauté à genoux", expliquait Mme Onkelinx. Ce que M. Javaux confirmait : "On sent derrière qu’il y a la volonté d’appauvrir les populations de Wallonie et de Bruxelles."

La scission, une solution à envisager… mais à négocier aussi
Laurette Onkelinx a rappelé ce que le PS a déjà répété : "Aujourd’hui, on doit tous en tant que responsables politiques imaginer tous les scénarios possibles." Mais Jean-Michel Javaux se voulait réaliste : "On sait aussi que si nous voulons nous séparer, il faudra négocier", soulignant les difficultés qui seront rencontrées étant donné l’ambiance actuelle …

La solution ? Soit négocier sans la N-VA, soit espérer une prise de conscience politique des partis flamands
"Le problème pour le moment, c’est l’attitude de l’ensemble des partis néerlandophones qui refusent de négocier sans la N-VA", résumait Mme Milquet. Voilà pourquoi selon M. Javaux, "ce qu’il faut, ce sont des responsables politiques qui ne pensent pas en termes électoraux."

Les biches aux abois.



Chevrotines ou balles a ailettes Bart?