Le Monde selon Barack...

Rappel du premier message :



Le président Obama ne se doutant pas qu'un coussin péteur a été placé sur sa chaise (ils sont d'un naturel farceur à la Maison Blanche) ...

Obamanomics : nom donné aux mesures économiques de Barack Obama par ses détracteurs dans les médias, qui semblent avoir de plus en plus de compagnie au sein de la population. Selon un nouveau sondage ABC News/Washington Post, 57% des électeurs américains désapprouvent de la gestion économique du président démocrate, un sommet depuis son arrivée à la Maison-Blanche. Le sondage donne en outre une avance de 13 points au Parti républicain dans les courses à la Chambre des représentants parmi les électeurs les plus susceptibles de participer aux élections de mi-mandat.

Reste à savoir si le président démocrate pourra un jour paraphraser Ronald Reagan, dont la gestion économique avait également été sévèrement critiquée au début de son premier mandat. Madame s'en souvient très bien :

“I knew the program was succeeeding when they stopped calling it Reaganomics.”

Après avoir présenté hier au Wisconsin un plan visant à injecter au moins 50 milliards de dollars dans les infrastructures, Barack Obama proposera demain en Ohio d’autres mesures, y compris des crédits d’impôts aux entreprises, pour soutenir la fragile reprise économique américaine.

Mais Barack est noir et a un second prénom, Hussein, qui plait pas...

So F... what!

1091 -

Pétard mélanosceptique a écrit:

(...) Mais Barack est noir et a un second prénom, Hussein, qui plait pas...

Voyons David siffler cette antienne revient à déclamer ad nauseam un argumentum Christiane-Taubira-like, ça finit à la longue par mettre à CRAN les moins chromatophobes d'entre nous.

Moi qui suis un admirateur inconditionnel de Jimi Hendrix, à force de vous lire je finis par me rendre compte qu'il était plus pigmenté que le bonhomme de neige alors que jusqu'ici son bronzage génétique m'était toujours apparu transparent.

Bon pour le second prénom dont O'Baraka aurait pu faire l'économie, ouais je reconnais que ce n'est pas très catholique et qu'il se peut que ce petit blaze ça damne le pion du vénéré El Mundial Presidente auprès d'un public fragile du bulbe façonné par des siècles de proximité avec les saints du calendrier de La Poste. Mais personne ne force quiconque à être khôn et surtout à le rester.

... et bien evidemment... les 16% (au minimum) des Americains qui sont passes de la colonne des supporters du POTUS en janvier 2009 a celle de ses opposants a l'heure actuelle, se seront donc transformes en c... en 1 an 1/2.

Une chose est tres simple, si Obama avait remis l'economie sur le droit chemin, ceux qui le soutiennent (qu'ils aient pu voter pour lui ou non ) n'auraient pas a utiliser a l'heure actuelle, les cartes du racisme et de la xenophobie contre ceux qui souhaitent quelqu'un d'autre a la Maison Blanche en 2012. Les mauvais perdants c'est comme ca...

Citation :

ad nauseam un argumentum (*)

Hendrix?

James Marshall Hendrix (né Johnny Allen Hendrix) était demi-noir. cherokee par sa mère.

Les noirs américains ne l'ont jamais reconnu comme l'un des leurs, sa musique, soit-disant, était blanche,

Pour le nom arabe, c'est à Cassius Clay qu'il faut demander.

Revenant à O'Baraka, puisqu'il continue sans faillir les politiques de son prédécesseur, que peut-on lui reprocher autre que sa demi-teinte et un prénom ambigüe?

C'est soit sa race, soit sa BaBusherie qui gratouille l'entre-jambe du pipeul américain.


(*) Dans le monde d'aujourd'hui, grace aux Faux News et Breitbart.com, le mensonge devient vérité à force de le répéter ( Loi de Rove). Peut être que la vérité peut se vérifier à force de faire de même?

1094 -

Pétard a écrit:

(*) Dans le monde d'aujourd'hui, grace aux Faux News et Breitbart.com, le mensonge devient vérité à force de le répéter ( Loi de Rove). Peut être que la vérité peut se vérifier à force de faire de même?

Ça c'est une perche tendue à l'excellent Quantat en quête des vérités mathématiques conceptualisées par Gödel ou par Cantor.

Pour qu'un mensonge passe, il doit être limpide de vérité.

Pour qu'un mensonge passe, il doit être limpide de vérité.

Le racisme et le xenophobisme des opposants du POTUS.

Citation :

Le racisme et le xenophobisme des opposants du POTUS.

Les ADM de Saddam et le malheur des plus riches!

1096 -

Citation :

Le racisme et le xenophobisme des opposants du POTUS

Sémantiquement le xénophobisme est le paradigme idéologique de la xénophobie comme l'est l'islamisme pour l'islam.

La capacité anglo-saxonne à fabriquer des néologismes est réellement stupéfiante, mais somme toute un formidable avantage sociologique et économique. Une forme d'hégémonie dont le monde ferait bien l'économie.

Grands dieux, quelle suffisance!

1098 -

Sylvette a écrit:

Grands dieux, quelle suffisance!

Là je présume que vous cherchez à me mignoter. C'est très agréable, on n'est jamais bichonné à suffisance sur la vaste Toile mondiale.

EddieCochran a écrit:

1098 -

Sylvette a écrit:

Grands dieux, quelle suffisance!

Là je présume que vous cherchez à me mignoter. C'est très agréable, on n'est jamais bichonné à suffisance sur la vaste Toile mondiale.

Pas plus que je pense une seule seconde que vous cherchiez a me "mignoter"; tout juste commentais-je votre reaction a mon message.

Absolument, rien de personnel. Comme j'en suis certaine c'etait le cas pour vous.

Barack Obama redoute l'impact de l'économie sur les élections



Le président des Etats-Unis, Barack Obama, a estimé mercredi que son Parti démocrate risquait un vote sanction en novembre si les élections de mi-mandat tournent au référendum sur les performances de l'économie américaine.

Pour Obama, comme pour les stratèges du parti, l'enjeu des deux mois de campagne à venir est de convaincre les électeurs que le scrutin porte sur les différences des programmes politiques entre démocrates et républicains, et non sur les seules performances de l'économie américaine.

S'il reconnaît que sa politique économique ne porte pas ses fruits aussi rapidement qu'il l'espérait, Obama estime que les propositions démocrates restent les mieux adaptées pour relancer la machine.

"Mon défi, et le défi de chaque candidat démocrate en course, c'est de faire en sorte que les électeurs comprennent qu'il y aura un choix à faire", poursuit-il dans cette interview enregistrée à Cleveland, dans l'Ohio, et qui sera diffusée dans son intégralité jeudi matin par la chaîne.

Sources : NouvelObs.com

"Mon défi, et le défi de chaque candidat démocrate en course, c'est de faire en sorte que les électeurs comprennent qu'il y aura un choix à faire",

Ahh?

POTUS à EX-POTUS... en toute continuité:



Barack Obama a rendu un rare hommage à son prédécesseur lors de sa conférence de presse d’aujourd’hui, en répondant à une question sur la vague rhétorique anti-musulmane qui déferle sur les États-Unis.

Extraits de l’appel à la tolérance du président (voir vidéo ci-dessus) :

Citation :

«Une des choses que j’ai le plus admiré de la part du président Bush est qu’il a été très clair, après le 11 septembre, sur le fait que nous n’étions pas en guerre contre l’islam. Nous étions en guerre contre des terroristes et des meurtriers qui avaient perverti l’islam (…).





«Nous devons faire en sorte de ne pas nous tourner les uns contre les autres. Et je ferai tout mon possible tant que je serai président des États-Unis d’Amérique pour rappeler aux Américains que nous formons une nation sous le regard de Dieu, et que nous appelons peut-être Dieu par des noms différents, mais nous demeurons une nation.

«Il est d’une importance cruciale que la majorité écrasante des Américains demeure fidèle à ce qu’il y a de meilleur en nous: une croyance en la tolérance religieuse, une idée claire de l’identité de nos ennemis.

«Nos ennemis sont Al-Qaïda et ses alliés qui essaient de nous tuer, mais qui ont tué plus de musulmans que qui que ce soit d’autre sur terre.»

Dans sa déclaration préliminaire, le président a mis l’accent sur l’économie, faisant valoir que la frustration des Américains face à la lenteur de la reprise économique et à l’anémie du marché de l’emploi ne devait pas les conduire à voter pour le parti dont les politiques ont contribué à créer la plus grave crise financière et la pire récession depuis les années 1930.

Il a en outre accusé les républicains de prendre la classe moyenne «en otages» en refusant de limiter les réductions d’impôts aux revenus annuels de 250 000$ et moins.

114 -

Pétard a écrit:

POTUS à EX-POTUS... en toute continuité:

J'ai trouvé ce lien hillarant qui exprime des idées du même genre. C'est plus un site de canards sauvages que de fillettes du bon dieu.

http://www.hillaryis44.org/2008/11/13/obama-is-the-third-bush-term/

C'est comme les Rocky il y a les II, III et suite.

Alors que Fidel Castro vient de reconnaitre officiellement que le communisme ne fonctionne meme plus sur son ile (a-t-il reellement fonctionne?), j'ai du mal a comprendre, que tant souhaitent encore voir cette politique appliquee aux Etats Unis, supposement pour les bien de tous Americains.

(le fait qu'ils ne soient pas Americains est en sus....)

Citation :

j'ai du mal a comprendre, que tant souhaitent encore voir cette politique appliquee aux Etats Unis, supposement pour les bien de tous Americains.

Qui veut appliquer ce «communisme» aux ÉU?

Euuuh... Ah oui, il y a Sam Webb...

Il a lu Karl Marx, Peut-être... Et vous?

UMP: Ëtre noir et avoir un second prénom arabe, ça compte pas pour être considéré communiste. Par contre, faire partie du Tea Party vous rapproche pas mal du KKK!

Fait il partie de la 5ème colonne islamiste?


Obama: les Etats-Unis ne seront "jamais en guerre contre l'islam"






]Monde - International 15:05
Les Etats-Unis ne sont et ne seront "jamais en guerre contre l'islam", a assuré samedi le président Barack Obama lors d'une cérémonie marquant le neuvième anniversaire des attentats du 11-Septembre près de Washington.

Toujours à ras la moquette, le Jacko!!!

Le POTUS Obama, en raison des doutes qui subsistent sur sa religion propagés par les tealibans et autres suprémacistes, n'est pas en mesure de combattre efficacement la peur de l'islam qui couve aux États-Unis.

Après les attentats du 11 septembre, George W. Bush s'est rendu dans une mosquée pour rappeler que l'islam est une religion de paix et que les musulmans font partie intégrante de la société américaine.

Barack Obama ne pourrait pas faire la même chose. Il a d'ailleurs dû revenir sur sa première déclaration en faveur de la mosquée près de Ground Zero.

À partir du moment où les gens ont commencé à soulever des questions sur la religion de Barack Obama, on a noté un changement graduel dans la rhétorique antimusulmane». Trois ans plus tard, des figures politiques comme Sarah Palin et Newt Gingrich accusent implicitement tous les musulmans d'être responsables des attentats du 11 septembre, et le réseau de télévision Faux News consacre des émissions entières à la dénonciation de l'islam.

En bon chie-chien et dûment dressé par Pavlovisme, Jacko salive quand la cloche du suprémacisme sonne.

JACKLELOUP a écrit:

Obama: les Etats-Unis ne seront "jamais en guerre contre l'islam"
Les Etats-Unis ne sont et ne seront "jamais en guerre contre l'islam", a assuré samedi le président Barack Obama lors d'une cérémonie marquant le neuvième anniversaire des attentats du 11-Septembre près de Washington.

C'est normal, logique et rassurant.
Comment un pays, et un pays de liberté par-dessus le marché, peut-il se mettre en guerre contre une religion ?

Qu'il déclare la guerre aux islamistes, ça c'est fait depuis le 11 septembre 2001 sous l'impulsion courageuse et déterminée de George Bush.

Citation :

Qu'il déclare la guerre aux islamistes, ça c'est fait depuis le 11 septembre 2001 sous l'impulsion courageuse et déterminée de George Bush.

Ouais, sauf que quenoeil comme pas un, il s'est trompé (!!) de cible. Obama a rectifié le tir, deux mandats plus tard...

Quand au courage... C'est pas lui l'AWOL qui s'est défilé derrière papa pour éviter le Vietnam?

Citation :

«Notre président est prisonnier de la machine à voyage dans le temps de son père. D’une manière incroyable, les États-Unis sont dirigés selon les rêves d’un membre de la tribu des Luo des années 1950. Ce socialiste africain alcoolique et adultère, qui fustigeait le monde pour l’avoir empêché de réaliser ses ambitions anticolonialistes, dicte désormais l’ordre du jour de la nation grâce à la réincarnation de ses rêves par l’entremise de son fils. (…) L’Amérique est aujourd’hui dirigée par un fantôme.»

- Newt Gingrich, candidat potentiel à la présidence des États-Unis en 2012, ajoutant à son répertoire de déclarations incendiaires lors d’une entrevue à l’hebdomadaire National Review.



>> PLUS ENCORE <<

Jocelyn Coulon
L'auteur (j.coulon@cerium.ca) est directeur du Réseau francophone de recherche sur les opérations de paix, affilié au CERIUM de l'Université de Montréal.

L'affaire Terry Jones, ce cinglé déterminé à brûler un Coran, est très régulièrement présentée dans les médias comme un épiphénomène, un épisode malheureux, produit d'un homme malade et fanatisé. C'est en partie la vérité, mais en partie seulement. L'affaire Jones révèle bien autre chose: depuis l'élection de Barack Obama, les États-Unis sont aux prises avec la montée d'un mouvement de haine dirigé contre le président, l'immigration et les musulmans, et dont le vecteur principal est le Parti républicain et ses alliés de droite dans les médias dits sérieux.

Vous croyez que j'exagère? Revoyons plutôt le film des événements des dernières années. Tout a commencé pendant la campagne électorale de 2007-2008. Devant le désastre électoral qui s'annonçait, un gang de rue, une bande de voyous s'est emparée du Parti républicain en recrutant Sarah Palin et en laissant aux plus fanatiques une place qu'ils n'auraient jamais occupée sous Ronald Reagan. Leurs critiques contre le Parti démocrate sont devenues plus acerbes, plus vicieuses, lorsque M. Obama a été choisi comme candidat démocrate à la présidentielle.

Sa victoire, massive et sans appel, ne les a pas fait taire. À l'été 2009, en plein débat sur la réforme du système de santé, le pus est sorti et la racaille s'en est donnée à coeur joie, aiguillonnée par les leaders républicains, Fox News, la page éditoriale du Wall Street Journal, Rush Limbaugh et plusieurs autres. Sans même se cacher, certains se sont présentés à l'entrée des édifices où le président parlait, un pistolet attaché à une jambe, en proclamant qu'«il faut parfois abreuver l'arbre de la liberté du sang des tyrans et des patriotes» alors que Sarah Palin demandait à ses partisans de «recharger» et qu'elle publiait une galerie de photos de politiciens marqués d'une mire afin de les «abattre» aux élections.

La rage s'est étendue aussi sur d'autres fronts. L'immigration, par exemple, est toujours un sujet sensible, même si tous reconnaissent que les immigrants sont le sang qui irrigue l'extraordinaire prospérité américaine. En juillet dernier, cela n'a pas empêché la gouverneure républicaine de l'Arizona d'appuyer son projet de loi scélérat contre l'immigration illégale en révélant, sans la moindre preuve, que la police venait de découvrir à la frontière avec le Mexique quatre corps sans tête. Elle a mis longtemps à «corriger» cette fausseté, mais le mal était fait, car cette fausseté est justement destinée à être diffusée afin de terroriser le citoyen américain et de le dresser contre les immigrants.

Si le combat politique a parfois toutes les caractéristiques de la guerre et de sa montée aux extrêmes, il ne devrait pas en être ainsi pour ceux dont le métier est de réfléchir aux questions les plus sensibles. Pourtant, sur l'islam il semble maintenant que tout soit permis, même dans les médias les plus respectables. Il y a quelques jours, sur le blogue du rédacteur en chef du célèbre hebdomadaire The New Republic, le pus est sorti à nouveau. Martin Peretz écrit à propos des musulmans américains: «Je me demande si je suis tenu d'honorer ces gens et de faire semblant qu'ils méritent les privilèges du Premier Amendement, car tout mon être me dit qu'ils finiront par abuser de ces privilèges.» On imagine le tollé si cela avait été dit à propos des juifs ou des noirs. Sur les musulmans, cela passe comme une lettre à la poste.

La droite américaine est devenue un mouvement de fêlés et d'extrémistes, et Terry Jones évolue dans cette atmosphère délétère. Même Marine Le Pen le croit. Eh oui, la fille de Jean-Marie Le Pen, future présidente du Front national, déclarait récemment au magazine Time que «la droite américaine est beaucoup plus à droite que le Front national». C'est dire.

Pauvre M. Obama, ses services de sécurité doivent absolument redoubler de vigilance, car un jour, un fêlé conditionné par cette droite se sentira le devoir d'«abreuver l'arbre de la liberté du sang des tyrans».

Populisme quand tu nous tiens ...

Le gouvernement de Barack Obama a suivi deux des dix recommandations formulées par le groupe d'experts.

Citation :

Le Canada et les États-Unis ont-ils un rôle à jouer dans la prévention de génocides? Des chercheurs de Concordia croient que oui. Près d'un an après la publication de leur étude sur la question, ils ont trouvé une oreille attentive à Washington. L'administration Obama a mis en oeuvre deux des dix recommandations émises dans l'étude Mobiliser la volonté d'intervenir, publiée par l'Institut montréalais d'études sur le génocide et les droits de la personne.