ELECTIONS EUROPENNES 2009 - Cohn-Bendit/Bové, unis pour répondre aux crises par l'Europe

Rappel du premier message :

Citation :

Daniel Cohn-Bendit a dit mercredi à Montpellier qu'au-delà des divergences qu'il a eues avec José Bové sur le traité constitutionnel, ce qui unissait les deux hommes pour les Européennes était "la nécessité de répondre aux crises par l'Europe".

"Aujourd'hui, nous sommes face à des urgences et nous sommes d'accord pour développer un projet politique qui nous permettra d'intervenir au niveau européen, pour répondre aux crises auxquelles nous sommes confrontés", a déclaré Daniel Cohn-Bendit, tête de liste en Ile-de-France.

Il y a "urgence", selon les candidats. "La crise écologique est aggravée par la crise financière et la crise sociale", a affirmé Jean-Louis Roumégas. "Les écologistes ont un message à apporter sur cette crise", a-t-il ajouté, sur l'emploi, sur l'agriculture, sur le "sens de l'économie" alors que la crise est "en train de remettre en cause des certitudes, notamment sur le capitalisme".

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jkXpCakR4iyi-XOPLJ39QIcox5tg

Bonjour Sylvette !

Oh oui, c'est vrai, quel beau morceau !

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Décidément j'aurais fait un très mauvais citoyen français.
À écouter la radio, la télévision, les micro-trottoirs, les commentaires autant des gens interrogés que des professionnels de l'information vont presque tous dans ce sens : Bayrou a pété les plombs, c'est indigne de sa part, c'est honteux, il ne savait plus ce qu'il disait...

Et ben, ce n'est pas du tout ce qu'il ressort des enregistrements et extraits vidéo que chacun peut voir.

Oh oui, quel mauvais petit Français j'aurais fait...

Heureusement que vous prevenez plus haut des ravalements subis par LP. Ayant ete privee d'internet presque toute la journee je croyais qu'au retour on m'avait fait cadeau d'un virus!

=====
Ceci dit, et ce n'est pas la premiere fois que ca m'arrive, j'ai google en hebreu? Qui est le petit canailloux . Bon, je blague mais quand meme c'est tres surprenant

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2009 - פרטיות

Les critères de sélection des eurodéputés français étonnent

Ils ont été assidus, connaissent parfaitement les arcanes parlementaires et pourtant ils ne reviendront pas à Strasbourg.


Parmi les candidats UMP sortants, seuls Françoise Grossetête (Sud-Est) et Joseph Daul, président du groupe PPE, ont le privilège de faire partie des neuf têtes de liste UMP.

http://www.lefigaro.fr/elections-europeennes-2009/2009/06/06/01024-20090606ARTFIG00114-les-criteres-de-selection-des-eurodeputes-francais-etonnent-.php

Alain Lamassoure est un homme dépité et amer. Lui qui, rappelle-t-il, fut ministre délégué aux Affaires européennes, coartisan du traité de Lisbonne, tête de liste aux élections européennes de 2004, s'est retrouvé rétrogradé à la troisième place, avec peu d'espoir d'être éligible dans sa région Sud-Ouest. «C'est un désaveu», confie le parlementaire européen UMP, dont le sort est emblématique du malaise ressenti par nombre de ses collègues bruxellois. Leur assiduité à Bruxelles, leur expérience des arcanes parlementaires - autant de qualités indispensables pour prétendre asseoir l'influence française - ont été ignorées par leur parti, estiment-ils.

Parmi les candidats UMP sortants, seuls Françoise Grossetête (Sud-Est) et Joseph Daul, président du groupe PPE, ont le privilège de faire partie des neuf têtes de liste UMP. Michel Barnier, premier à Paris, se réserverait pour le poste de commissaire européen. De l'avis de tous, l'éviction «la plus scandaleuse» concernerait le chiraquien Jacques Toubon, qui avait pourtant réussi à assouplir la directive Bolkestein, honnie des Français. Au PS, aussi, la rancœur reste vive. Gilles Savary, pilier socialiste de la commission des transports, qui a su imprimer une French touch à chacune des réformes relatives à la libéralisation du rail ou du courrier postal, a été écarté.

Martine Roure, une spécialiste des questions d'immigration, agacée par le «manège» parisien de ses amis socialistes, avait jeté l'éponge d'elle-même et très tôt. À l'inverse, Vincent Peillon, royaliste, a de grandes chances de renouveler son bail de cinq ans alors qu'il «n'a absolument rien fichu durant la législature», observe une source socialiste européenne. De même, l'actuel porte-parole du PS, Benoît Hamon, très peu visible à Strasbourg, figure en position éligible à Paris.

Les causes de ce malaise, qui revient tous les cinq ans, sont connues : l'existence d'un scrutin de liste à la proportionnelle, l'autorisation du cumul des mandats, l'émergence des exigences de parité, le désir, légitime, de renouvellement… Le Club des grandes entreprises françaises à Bruxelles, groupe d'influence qui réunit les ténors du CAC 40, se désole de devoir perdre autant de «relais parlementaires français», de tous bords. Une eurodéputée luxembourgeoise conservatrice, Astrid Lulling, a même écrit à Nicolas Sarkozy pour lui faire part de son sentiment «d'injustice» devant l'éviction de collègues UMP français qui avaient «fait honneur à leur mandat».

Beaucoup de partis politiques, en particulier britanniques et allemands, s'étonnent des pratiques politiques hexagonales.

Européennes : le FN revient

Le Monde donne le Front national à 4%. C'est une vaste blague. Voici pourquoi.

http://www.marianne2.fr/Europeennes-le-FN-revient_a180215.html

Tout le monde attend l'abstention mais c'est peut-être l'extrême droite qui pourrait surprendre. En se penchant sur chaque eurorégion, l'étude montre un panorama sans grand rapport avec les approximations nationales, soulignant notamment le poids d'un Front National qu'on croyait mort et que les sondages nationaux font plafonner à 4%. En dehors de l'Île-de-France (où le FN recueille 5% seulement) et de l'Ouest, où Philippe de Villiers prend sa part de l'électorat de droite radicale (il est crédité de 7% des suffrages), le FN est dans 5 des 7 eurorégions (manque l'Outre Mer) à plus de 8%, soit le double du score estimé par l'enquête TNS Sofres/Logica brandie par tous les analystes jeudi 4 juin.

Ainsi, dans le Sud-Ouest, son lieutenant Louis Alliot joue à jeu égal avec le NPA à 8% et devance le Front de gauche (7%). Marine Le Pen distance largement le chasseur Frédéric Nihous dans le Nord-Ouest où on la crédite de 9%, score supérieur à celui de l'eurodéputé écologiste sortante Hélène Flautre (8%). Quant à Jean-Marie Le Pen, il est le troisième homme dans le Sud-Est, où il dépasse, à 9,5%, Modem, Europe Ecologie, Front de gauche et NPA. Mais le score le plus impressionnant revient à l'eurorégion Nord-Est : 15% d'intentions de vote, 5 points derrière Catherine Trautmann (PS) et 9 seulement derrière Joseph Daul, de l'UMP. Un score qui surprend à peine les équipes des candidats : de la Lorraine à la Champagne-Ardenne en passant par l'Alsace, la région a sérieusement encaissé la crise et serait en proie à une épidémie de vote anti-système.

«Les Allemands à 100 %»

Le regard critique et bienveillant de Jo Leinen, député SPD de Sarrebruck, qui va entamer son 3e mandat.

http://www.estrepublicain.fr/une/europe/art_1093252.php

"Il faut avoir la volonté. Chez les collègues français, c'est un peu mélangé. Il y a ceux qui n'ont pas voulu venir et qui sont là pour d'autres motivations. Il y en a d'autres qui considèrent le PE comme un '' parking'' avant de retourner vers Paris... Et il y a un 3e groupe qui travaille quand même sérieusement. La différence avec les Allemands, c'est que 100 % des députés allemands veulent aller au Parlement européen, et prennent cette responsabilité avec sérieux, travaillent avec ambition et engagement, alors ils ont plus de chance d'avoir des postes importants. Les Français pourraient être plus forts s'ils le voulaient. Ils ne le sont pas pour les raisons que j'ai évoquées (rires). Le PE est considéré par quelques uns comme un Parlement secondaire. Une législature, ce n'est rien. Il faut faire au moins deux mandats pour bien s'installer dans le sujet et la méthode de travail avec 27 pays, c'est tout une culture. Plus on est là longtemps, plus on est mûr pour de hautes fonctions... Tandis que certains (Français) veulent commencer trop vite et ils s'en vont avant d'être bien installés...

Lamassoure (Alain, député sortant UMP, repêché en n°3 au final) et Savary (Gilles, député sortant PS) ont fait un bon travail et leur parti n'a pas voulu d'eux... A l'inverse, le cas le plus fameux, c'est Mme Dati qui ne voulait pas mais qui a dû y aller quand même... Ce sont des méthodes du siècle dernier lorsqu'on «envoyait» quelqu'un à Bruxelles pour s'en débarrasser sur la scène politique nationale. Le pire étant la Grèce où c'est le président du parti qui fait la liste à la dernière minute, qui dit : toi, tu vas à Bruxelles, toi tu restes à Athènes...

Les Espagnols sont très stratégiquement organisés pour leurs intérêts : l'Amérique latine, les fonds structurels. Les Britanniques sont bien présents, même si la moitié sont anti-européens. Les Allemands sont plus ou moins tous présents. Les Pays-Bas, la Belgique, l'Autriche aussi... même le Portugal est assez engagé. Normalement, c'est un socialiste français qui aurait dû être président du Parlement européen (puisque le PPE et le PSE se partagent la mandature, deux ans et demi chacun) mais comme ils ne s'entendaient pas sur une candidature, c'est Josep Borrell (un Espagnol du PSOE) qui a été désigné. Ils sont faibles aussi parce qu'ils ne votent pas toujours dans la même direction. Ils ont eu cette division pour ou contre la Constitution qui les a handicapés. Et je pense que ça va durer parce que la scission n'est pas réparée...".

EUROPEENNES 2009 : abstention et protestation en tête

Les premiers résultats connus dans les pays qui ont déjà voté laissent entrevoir une forte abstention, et une percée des partis protestataires et anti-européens dans certains pays de l'UE.

Les élections européennes sont entrées samedi 6 juin dans leur dernière ligne droite, avec l'ouverture des bureaux de vote en Italie, Slovaquie, Lettonie, Malte et Chypre. Le scrutin italien constituera un test pour Silvio Berlusconi confronté à plusieurs scandales.

Ce scrutin, étalé sur quatre jours, a été ouvert jeudi par la Grande-Bretagne. Le Premier ministre Gordon Brown a subi une cuisante défaite. Les Pays-Bas, l'Irlande et la République Tchèque ont voté vendredi. Dans les autres pays d'Europe, les élections se tiendront dimanche, et les premières estimations sur la future couleur politique du Parlement européen devraient être connues aux alentours de 20h GMT dimanche.

Aux Pays-Bas, où les électeurs devaient désigner 736 députés, le parti d'extrême droite (PVV) du député Geert Wilders a récolté 17% des suffrages. Ce qui en fait la deuxième formation politique du pays. Selon les analystes cela préfigure des futurs bons scores des partis protestataires extrémistes et anti-européens, en Autriche, Grande-Bretagne, Bulgarie, Slovaquie et ailleurs. La forte abstention annoncée pour ce scrutin européen est largement favorable aux formations d'extrême-droite. Ainsi aux Pays-Bas, la participation n'a été que de 36,5% contre 39,2% en 2004. La participation en Slovaquie frôle l'inertie pour sa part, avec seulement 14%. Et à l'échelle européenne, l'UE pourrait tristement battre son record de 2004, où seuls 45,4% des électeurs s'étaient déplacés dans les bureaux de vote.

Suite au message d'Emma Un titre de sondage pour OmbreBlanche :

En complémentarité de la soirée continue sur France 2 puis France 3, France Télévisions inaugure la première soirée européenne interactive exclusivement sur internet à destination des internautes qui seront les acteurs à part entière de ce programme.

Vos questions rythmeront la soirée

C'est pas Christian Audigier, là ?

Parlement européen : 30 ans, l’âge de la maturité



Elu pour la première fois en 1979, et longtemps considérée comme quantité négligeable, cette institution, chargée de représenter les Européens, et basée à Strasbourg, pèse de plus en plus dans le processus législatif.

http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2375552&rubId=1094

Les citoyens ont manifesté au fil des scrutins un désintérêt croissant pour ces élections. Un paradoxe, alors que le Parlement, censé les représenter, pèse de plus en plus dans le processus décisionnel. Pourtant, que de chemin parcouru entre la simple assemblée consultative mise en place en 1979 à l’issue des premières élections au suffrage universel et le Parlement actuel qui a son mot à dire sur les trois quarts de la législation européenne et ne s’en prive pas ! Si le Parlement n’a toujours pas l’initiative des textes – celle-ci est réservée à la Commission –, son influence sur leur contenu est, selon lui, réel : «Un tiers de la législation européenne est d’origine parlementaire et 40 % de la réglementation provient d’amendements votés par les eurodéputés. C’est dix fois plus qu’en France», explique l’eurodéputé français (PPE) Alain Lamassoure. À la différence des parlements nationaux où la majorité entérine les projets de l’exécutif, le Parlement européen, dont les majorités sont à géométrie variable et qui fonctionne selon la culture du compromis, est plus autonome. Au-delà, le renforcement des prérogatives du Parlement correspond à une double logique. Institutionnelle d’abord. Le traité de Maastricht, en instaurant la codécision, puis les traités d’Amsterdam et de Nice, en élargissant son domaine de compétence, y sont pour beaucoup. Des compétences qui touchent en outre à des sujets qui intéressent directement les citoyens comme le marché intérieur, les transports, l’environnement ou la protection des consommateurs. Le Parlement, composé désormais de députés expérimentés – beaucoup en sont à leur troisième mandat –, est devenu incontournable dans le processus législatif européen. Au point que son avis est pris en compte bien en amont par la Commission et le Conseil lors de négociations informelles. Au regard du désintérêt des citoyens pour l’institution, l’enjeu est donc moins pour le Parlement européen de conquérir davantage d’influence que de la faire comprendre aux citoyens.

Citation :

"Avantages aux partis de droite mais une forte abstention"



Malgré un contexte de crise économique et de hausse du chômage, des sondages donnent pourtant un avantage aux partis de droite, mais prédisent également un taux d'abstention élevé.

Une progression très nette et symbolique des partis d'extrême droite ou à la marge est aussi à attendre, selon les enquêtes d'opinion.

En France, les listes UMP-Nouveau centre restent nettement en tête dans les enquêtes d'opinion, devant le Parti socialiste. De même en Italie, le parti du Peuple de la Liberté (PdL) berlusconien conserve une confortable avance sur son principal adversaire de centre-gauche, le Parti démocrate (PD), et ce malgré l'affaire "Noemi", dans laquelle le Cavaliere est accusé d'avoir eu une relation sexuelle avec une jeune femme de 18 ans.

En revanche, les résultats s'annoncent très mauvais pour le Parti Travailliste du Premier ministre britannique Gordon Brown, dont le gouvernement est mis à rude épreuve par le scandale des notes de frais des parlementaires.

Au Portugal et en Grèce, en revanche, les sondages se montrent assez favorables aux gouvernements de gauche sans plus.

En Espagne, ù la crise a fait monter le taux de chômage à 17,4%, le plus élevé d'Europe, les résultats des socialistes au pouvoir et de l'opposition conservatrice s'annoncent très serrés. Et la tendance pourrait très bien pencher ce soir vers la formation de droite du PP (Parti Populaire).

En ce qui concerne l'est de l'Europe, en Pologne, le parti libéral au pouvoir, Plateforme civique (PO), devrait obtenir environ la moitié des 54 sièges à pourvoir, suivi par le parti nationaliste Droit et Justice (PiS) et en Hongrie, la majorité socialiste plombée par la crise qui l'a contraint à prendre une série de mesures d'austérité pourrait bien se voir ravir des sièges par le principal parti d'opposition, de centre-droit.

Enfin, en Autriche, centre-droit et centre-gauche pourrait bien tous les deux perdre des sièges au profit des organisations plus petites, comme le FPÖ, d'extrême droite, qui a fait campagne sur un programme fortement orienté contre "l'invasion musulmane", et dont les affiches proclament: "l'Occident aux mains des Chrétiens".

http://fr.news.yahoo.com/3/20090607/twl-europeennes-ue-0ef7422.html

Citation :

"Les premiers résultats"



Voici la répartition, à 20h, des voix aux élections européennes fournies par l'institut TNS-Sofres pour France Télévisions, Radio France, "Le Monde" et Le Point":

UMP: 28,3%

PS: 17,5%

Europe Ecologie: 14,8%

MoDem 8,7%

FN: 6,5%

Front de gauche: 6,3%

NPA: 5,00%

Libertas: 5%

LO: 1,3%


"C'est une déception", a reconnu le socialiste Benoit Hamon sur TF1, après l'annonce des résultats.

"Il nous revient à nous tous à gauche la responsabilité de penser de la façon dont on peut (...) travailler à une perspective, celle du rassemblement qui doit nous amener, je l'espère, à proposer une aternative politique crédible et un ou des concurrents sérieux à Nicolas Sarkozy pour 2012", a-t-il ajouté.

Front de gauche: 6,3%

C'est le facteur?

Le FN 6.5%

Ils s'annulent donc en quelque sorte?

Non, le facteur c'est le NPA.

Le Front de Gauche, c'est Mélanchon, un dissident du Parti Socialiste.

Je sais, la politique française, c'est très compliqué...

Quels pitres !
L'UMP se gausse de sa victoire.
Laquelle ?
Un suffrage universel qui a mobilisé moins de 42% des électeurs et un score qui est le pire de tout les pays d'Europe.
Quel victoire en effet.
Une chose est sûr, voilà une assemblée européenne qui n'a aucune représentativité.
Nous n'avons plus affaire à un fossé entre les élites et les peuples mais un véritable gouffre abyssale.

Allez encore un peu de temps et aux oubliettes de l'histoire cette union à la con !

Citation :

"Espagne: le Parti Populaire (PP) en tête"



Comme prévu, ce sont les conservateurs du Parti populaire (PP) qui sont arrivés en tête des élections européennes en Espagne, avec 42% des suffrages et remportent 23 sièges au Parlement européen, soit deux de plus que les socialistes du chef du gouvernement José Luis Zapatero, selon les résultats partiels après le dépouillement de 88% des bulletins.

Le PSOE obtient 21 sièges avec 38,6% des suffrages.

L'Espagne était appelé à élire 50 des 736 députés de la future assemblée européenne. La participation a atteint un peu plus de 45% des inscrits.

marieden a écrit:

et ce parti est tellement divisé, qu'il n'y a pas assez de place pour tout le monde, et les voilà qui recommencent leur bagarre

Tensions au PS après la constitution des listes aux européennes


.....Les proches de François Hollande oubliés

À la motion A, qui regroupe les proches de Bertrand Delanoë, maire de Paris, ceux de François Hollande, de Pierre Moscovici et des rocardiens, le malaise est le plus profond. "On a le sentiment que les arbitrages ont été systématiquement pris au profit des amis de Bertrand Delanoë", confie un responsable, soutien de cette motion. Ainsi, Pierre Moscovici prend ses distances avec les delanoïstes rejoints avant le congrès. Le député du Doubs constate d'une litote que "le fonctionnement de cette motion n'a pas été pleinement solidaire" dans la constitution des listes au Conseil national.

Michèle Sabban, 6e sur la liste Île-de-France, assure, plus directe : "On se retire de la motion A. On s'était réunis pour le congrès en gardant notre loyauté vis-à-vis de Bertrand et notre liberté de parole, mais la préparation des européennes a montré le manque de solidarité et de loyauté de Harlem Désir", lieutenant de Bertrand Delanoë, dirigeant du Parti et chef de file en Île-de-France. Deux proches de Pierre Moscovici en Bourgogne, le sortant Pierre Pribetich et Safia Otokoré, se sont retirés des listes de l'Est. L'eurodéputé sortant isérois delanoïste Bernard Soulage refuse sa 9e place dans le Sud-Est.

Du côté des proches de François Hollande, absent au Conseil, l'eurodéputé sortant Stéphane Le Foll parle de "vrai problème de fonctionnement" de la motion. Pour un autre, "le fonctionnement de la motion A est entre les mains de Bertrand Delanoë". "Il va y avoir des malaises en région", prophétise un responsable, et des "risques de blocage" lors du vote des militants le 12 mars, en Bretagne, Gironde, Franche-Comté ou dans le Limousin. En cas de vote défavorable, la direction devrait revoir sa copie. L'UMP a immédiatement saisi l'occasion pour ironiser sur les "mécontentements en série chez les candidats" et les "barons" du PS.

marieden a écrit:

et ce parti est tellement divisé, qu'il n'y a pas assez de place pour tout le monde, et les voilà qui recommencent leur bagarre

Tensions au PS après la constitution des listes aux européennes


.....Les proches de François Hollande oubliés

À la motion A, qui regroupe les proches de Bertrand Delanoë, maire de Paris, ceux de François Hollande, de Pierre Moscovici et des rocardiens, le malaise est le plus profond. "On a le sentiment que les arbitrages ont été systématiquement pris au profit des amis de Bertrand Delanoë", confie un responsable, soutien de cette motion. Ainsi, Pierre Moscovici prend ses distances avec les delanoïstes rejoints avant le congrès. Le député du Doubs constate d'une litote que "le fonctionnement de cette motion n'a pas été pleinement solidaire" dans la constitution des listes au Conseil national.

Michèle Sabban, 6e sur la liste Île-de-France, assure, plus directe : "On se retire de la motion A. On s'était réunis pour le congrès en gardant notre loyauté vis-à-vis de Bertrand et notre liberté de parole, mais la préparation des européennes a montré le manque de solidarité et de loyauté de Harlem Désir", lieutenant de Bertrand Delanoë, dirigeant du Parti et chef de file en Île-de-France. Deux proches de Pierre Moscovici en Bourgogne, le sortant Pierre Pribetich et Safia Otokoré, se sont retirés des listes de l'Est. L'eurodéputé sortant isérois delanoïste Bernard Soulage refuse sa 9e place dans le Sud-Est.

Du côté des proches de François Hollande, absent au Conseil, l'eurodéputé sortant Stéphane Le Foll parle de "vrai problème de fonctionnement" de la motion. Pour un autre, "le fonctionnement de la motion A est entre les mains de Bertrand Delanoë". "Il va y avoir des malaises en région", prophétise un responsable, et des "risques de blocage" lors du vote des militants le 12 mars, en Bretagne, Gironde, Franche-Comté ou dans le Limousin. En cas de vote défavorable, la direction devrait revoir sa copie. L'UMP a immédiatement saisi l'occasion pour ironiser sur les "mécontentements en série chez les candidats" et les "barons" du PS.

Citation :

Les perdants: PS et Modem Les gagnants: UMP et Europe-Ecologie




En tête, l'UMP réalise un très bon score, devançant le PS de plus de 10 points. Le rassemblement écologiste réalise une belle percée alors que le Modem est en repli, selon les dernières estimations.

Bravo la Droite (mais bon 30% la droite, 28 la gauche: PS plus les Verts, quand meme)

Ceci dit les resultats sont-ils bien representatifs, le taux d'abstention etant de 60%?

Oui je peu repondre ,mais je ne vois pas grand chose a dire, sauf que c est lamentable, de voir a quel point les Francais s en foutent de l avenir de leurs enfants , apres ils viendront pleurer, en disant que personne ne s occupe d eux, et oui c est cela la France, et les Francais tout en gueule, mais ça s arrete là.
Je comprends,tres bien le president Obama, on ne peut pas etre sur d un allie comme la France, nous sommes un pays , ou les gents changent trop facilement d opinion.JACO

Je comprends,tres bien le president Obama, on ne peut pas etre sur d un allie comme la France, nous sommes un pays , ou les gents changent trop facilement d opinion.JACO

Dommage que Pres. Bush n'ait pas ete aussi bien compris a l'epoque!

Sylvette a écrit:

Je comprends,tres bien le president Obama, on ne peut pas etre sur d un allie comme la France, nous sommes un pays , ou les gents changent trop facilement d opinion.JACO

Dommage que Pres. Bush n'ait pas ete aussi bien compris a l'epoque!

Bonjour Sylvette, bonjour Jaco !

C'est évidemment relativement inquiétant pour la France comme pour la Belgique, mais bon, n'oublions pas que ça ne représente, pour la France, que quelques 40% de l'opinion... et regrettons les autres 60% qui s'en fichent, et ça c'est plus grave.

Et qu'à l'échelle de l'Europe, la France et la Belgique sont les deux seuls pays à s'être ainsi singularisés.

Ce qui m'inquiète le plus, toutes proportions gardées, c'est de voir à quel point un grand nombre de Français ont plebiscité le discours arrogant, vulgaire, grossier et méprisant de Daniel Cohn-Bendit face au trop poli et correct François Bayrou - je parle du discours de l'homme, pas du contenu poltique.

Est-ce le même manque de clarvoyance qui a fait rejeter le président Bush du coeur et de la raison de ces mêmes Français ?

Biloulou a écrit:

Sylvette a écrit:

Je comprends,tres bien le president Obama, on ne peut pas etre sur d un allie comme la France, nous sommes un pays , ou les gents changent trop facilement d opinion.JACO

Dommage que Pres. Bush n'ait pas ete aussi bien compris a l'epoque!

Bonjour Sylvette, bonjour Jaco !

C'est évidemment relativement inquiétant pour la France comme pour la Belgique, mais bon, n'oublions pas que ça ne représente, pour la France, que quelques 40% de l'opinion... et regrettons les autres 60% qui s'en fichent, et ça c'est plus grave.

Et qu'à l'échelle de l'Europe, la France et la Belgique sont les deux seuls pays à s'être ainsi singularisés.

Ce qui m'inquiète le plus, toutes proportions gardées, c'est de voir à quel point un grand nombre de Français ont plebiscité le discours arrogant, vulgaire, grossier et méprisant de Daniel Cohn-Bendit face au trop poli et correct François Bayrou - je parle du discours de l'homme, pas du contenu poltique.

Est-ce le même manque de clarvoyance qui a fait rejeter le président Bush du coeur et de la raison de ces mêmes Français ?

Dans l'ensemble, les Francais aiment bien les braillards et les joueurs de coude, de bons representants du systeme "D". Ne parlions-nous pas de Tapie dernierement et de certains autres...