Architecture, expositions, et le reste aussi...

MAIS OU SONT LES 29 AUTRES ?

Ungern a écrit:

J'ai lu sur Guysens Izsrael News (que je parcours une dizaine de fois par jour tous les jours) qu'on a trouvé dans des fouilles juste en contrebas du Kotel un Sesterce .
Donc quelqu'un a du le perdre Sesterce .
Je me demande si ce n'est pas de là qu'il faut trouver l'origine du nom du site .

Lawrence a écrit:

MAIS OU SONT LES 29 AUTRES ?

Avec l'argent du custodian, probablement...

C'étaient pas des sesterces,c'étaient des deniers .
Et la somme était dérisoire.
Ce qui a fait dire à certyains (mais Moussa est plus habilité que moi en ce domaine) de penser que Judas n'était pas un traitre mais au contraire un admirateur fervent du Christ,et qu'il espérait ainsi,précipiter les évènements et la survenue de non pas la fin du monde,mais la survenue d'un monde nouveau .

Il y a toujours des idéalistes .

En attendant il y a 30 deniers .

Lesquels ont servi à acheter un petit champ .

Lequel je crois existe toujours à Jérusalem sous un nom très péjoratif.
(Mais ça je suis plus sur) .



En tous les cas,il n'appartient pas à un palestinien .
Sinon on l'en aurait expulsé depuis longtemps .
Sur la base de la Loi contre les "Absents" par exemple .

En tous les cas,il n'appartient pas à un palestinien .
Sinon on l'en aurait expulsé depuis longtemps .


C con quand meme..?? ils etaient ou les Palestiniens a cette epoque....?? l'analphabete lui meme n'etait pas encore la..
N'eut eté par respect pour certaines personnes sur LP je t'aurais dit certaines choses...

TSUR a écrit:

ils etaient ou les Palestiniens a cette epoque....??

Evidement qu'ils n'existaient pas les palestiniens .
Ils n'ont même jamais existé .
Sinon il n'y aurait pas une "Terre sans peuple".
Golda Meir l'a bien dit .
Et en plus c'est ce qui est marqué sur le prospectus vente .


Maintenant vous me direz,il y a bien un peuple "sans terre" .
Oui mais c'est maintenant .
Pas à l'époque .
Et c'est pas les mêmes .

Les premiers prix du World Press Photo

Pietro Masturzo, est le lauréat du World Press Photo Award 2009 pour un cliché sur la contestation en Iran.



Un photographe italien, Pietro Masturzo, est le lauréat du World Press Photo Award 2009 pour un cliché sur la contestation en Iran. Au total, 63 photographes ont été primés par le jury en 2009 dans dix catégories, sur les 5847 photographes qui ont participé au concours.

: http://www.letemps.ch/Page/Uuid/60a04f00-17fd-11df-8d33-be76184ebd58/Les_premiers_prix_du_World_Press_Photo

Le château de Cheverny

http://www.chateau-cheverny.fr/

Le château de Cheverny appartient à la même famille, les Hurault, depuis plus de 6 siècles. Il a inspiré Hergé, le créateur de Tintin pour son fameux château de Moulinsart.

http://www.bloc.com/article/voyages-et-tourisme/tourisme-en-france/le-chateau-de-cheverny-20080408.html

L'histoire du château de Cheverny débute lorsque Henri Hurault, Comte de Cheverny fait l'acquisition de terres pour faire construire son domaine seigneurial non loin de Blois. Cet homme qui était Lieutenant Général des Armées du Roi de France et Trésorier Militaire du roi Louis XI décida de bâtir un château féodal sur le modèle classique de la forteresse. En 1510, Raoul de Cheverny alors Contrôleur Général des Finances du Roi Francois I décide de reprendre l'ensemble du château pour le remodeler aux goûts de l'époque. Le style Renaissance est alors en vogue et le château de Cheverny s'y plie dans sa version classique «à la française». A la fin du siècle, le château fut confisqué par la couronne pour être offert à Diane de Poitiers. Cette dernière préférant Chenonceau se décida à revendre Cheverny au fils du dernier propriétaire, soit à Philippe Hurault. C'est lui qui décida de faire de Cheverny le joyau Renaissance que nous connaissons aujourd'hui.



La construction conduite par la seconde femme de Philippe de Cheverny, Marguerite Gaillard de La Morinière dura de 1624 à 1630. Le château précédent fut entièrement détruit pour laisser la place à un nouveau dont la réalisation fut confiée à l'architecte Jacques Bougier, l'assistant de Salomon de la Brosse lors de la construction du château de Blois. Dans la foulée, la décoration intérieure fut commandée vers 1650 au sculpteur et menuisier Hevras Hammerber et au peintre Jean Mosnier. Depuis 1922, le château est ouvert à la visite au grand public.


Comment se rendre au château

Etats-Unis : cachez ces seins que je ne saurais voir !



http://www.leparisien.fr/faits-divers/etats-unis-cachez-ces-seins-que-je-ne-saurais-voir-04-03-2010-836051.php

Aux Etats-Unis, on ne badine pas avec la pudeur... Et même les statues peuvent lui porter atteinte. Ainsi ne peut-on pas réaliser une copie de la «Vénus de Milo» en neige devant sa maison. Du moins pas dans le New Jersey, sur la côte est du pays. C'est ce qu'a constaté Elisa Gonzales. A la suite d'une plainte anonyme d'un voisin, la jeune femme a été contrainte par la police de couvrir la réplique d'Aphrodite qu'elle venait de sculpter dans la neige avec ses deux enfants de 21 et 12 ans. «La neige était de très bonne qualité. Nous avions travaillé toute la journée», explique-t-elle à l'AFP. S'inspirant de la célèbre statue grecque sans bras, la famille avait modelé un corps de femme nue aux formes arrondies. «Les gens qui passaient arrêtaient leur voiture et faisaient des photos», a-t-elle souligné. Mais un voisin grincheux n'a pas goûté cette nudité affichée. Le puritain s'est empressé d'appeler - anonymement - la police pour indiquer qu'il y avait «une femme nue en neige» dans un jardin et se plaindre du caractère, selon lui, licencieux de la sculpture. «Nous avons eu la visite d'un policier qui nous a dit qu'un voisin s'était plaint, et que nous devions la détruire ou la couvrir», a poursuivi Mme Gonzalez. Alors la famille a habillé la demoiselle de neige d'un haut de bikini vert et d'un paréo bleu.

Architecture : l'agence Sanaa, prix Pritzker 2010

Kazuyo Sejima + Ryue Nishizawa



http://www.lemonde.fr/culture/article/2010/03/29/architecture-l-agence-sanaa-prix-pritzker-2010_1325835_3246.html

Le prix Pritzker 2010 (considéré comme le Nobel de l'architecture) a été décerné, dimanche 28 mars, à Los Angeles, à Kazuyo Sejima et Ryue Nishizawa, fondateurs de l'agence japonaise Sanaa. L'agence, réputée pour l'inventivité et la légèreté de son architecture, est l'auteur du New Museum of Contemporary Art à New York, du Rolex Learning Center à Lausanne, d'une école de design à Essen (Allemagne) et de plusieurs bâtiments au Japon, notamment à Tokyo. C'est aussi Sanaa qui a dessiné le projet du Louvre-Lens (Pas-de-Calais), dont la première pierre a été posée le 4 décembre 2009.

Kazuyo Sejima, 53 ans, et Ryue Nishizawo, 44 ans, ont également travaillé sur un pavillon temporaire pour la Gallerie Serpentine de Londres aujourd'hui démantelé. Kazuyo Sejima est cette année à la tête de la Biennale d'architecture de Venise 2010. L'un de ses bâtiments avait été récompensé par la Biennale en 2004 avec un Lion d'or. Elle est la première femme à diriger la Biennale internationale d'architecture de Venise depuis sa création en 1980, et la seconde à recevoir le prix Pritzker créé en 1979. Née en 1956, elle a été formée par Toyo Ito, et a ouvert son agence Sanaa à Tokyo en 1995, avec Ryne Nishizawa. Sejima était parmi les quatorze stars de l'architecture invitées par Nicolas Sarkozy lors de l’inauguration de la Cité de l’architecture et du patrimoine à Paris, en septembre 2007.

Juillet 2009, Kazuyo Sejima (droite) et Ryue Nishizawa dévoilant leur Serpentine Gallery Pavilion à Londres.





Louvre-Lens, site du projet (ouverture en 2012) : http://www.louvrelens.fr/




Zollverein School of Management and Design, Essen, Allemagne (2006).





Unité d'habitation, Gifu, Japon (1998).



Rolex Learning Center, École Polytechnique Fédérale de Lausanne, Suisse.
Ouvert au public le 22 février 2010^, il sera inauguré le 27 mai 2010.






New Museum of Contemporary Art, New York (2000-2007).




Théâtre d'Almere, Pays-Bas (2006).




Musée d'art contemporain du 21e siècle de Kanazawa, Japon (2004).





Immeuble Christian Dior, Tokyo (2001-2003)

A Londres, les Ateliers Jean Nouvel voient rouge pour la Serpentine Gallery

L'agence d'architecture parisienne dirigée par le lauréat du prix Pritzker 2008 a été choisie par la galerie d'art londonienne pour réaliser son prochain pavillon d'été. Un bâtiment vermeil destiné à émerveiller les 250.000 visiteurs attendus.

http://www.lemoniteur.fr/155-projets/article/actualite/699884-a-londres-les-ateliers-jean-nouvel-voient-rouge-pour-la-serpentine-gallery

Cet édifice temporaire, ouvert au public du 5 juillet au 20 octobre, a été conçu par les ateliers parisiens de l'architecte français Jean Nouvel, qui réalisera là sa première construction outre-Manche. Le bâtiment à charpente métallique se compose de trois parties : un volume cubique à l'enveloppe de verre, un espace longiligne à la toiture et aux façades escamotables en fonction de la météo, ainsi qu'une paroi oblique autoportante d'une hauteur de 12 mètres, dont les panneaux en polycarbonate filtrent et colorisent les rayons du soleil. Le pavillon d'été de la Serpentine Gallery, fréquenté chaque été par plus de 250.000 personnes, se veut un lieu de détente mais aussi de débat. Le sujet de discussion de cette année se rapporte aux cartes géographiques comme outils de compréhension du monde d'aujourd'hui. Le pavillon laisse également une place à l'art, avec la présentation d'une installation du Français Christian Boltanski intitulée "Les archives du cœur". Les visiteurs sont invités à enregistrer leurs battements cardiaques dans une cabine spécialement conçue à cet effet. Les enregistrements seront ensuite conservés à Ejima, une île du Japon, inhabitée.

http://www.jeannouvel.com/

Images virtuelles de l'intérieur et de l'extérieur du pavillon 2010 de la Serpentine Gallery (Londres), par les Ateliers Jean Nouvel.

La Nuit européenne des musées est un évènement qui a su fidéliser et enthousiasmer les visiteurs au fur et à mesure des années. Née d'une volonté de s'ouvrir à un public le plus large possible, " La Nuit des musées " illustre aussi le désir des musées européens de s'inscrire dans un projet commun permettant de découvrir identités et cultures. La sixieme édition de "La Nuit des musées" aura lieu en France et en Europe le Samedi 15 mai 2010, de 19h30 à minuit.

http://nuitdesmusees.culture.fr/

Brasilia fête ses 50 ans

La cathédrale de Brasilia, dessinée par l'architecte brésilien Oscar Niemeyer.



La futuriste capitale du Brésil, conçue notamment par l'architecte Oscar Niemeyer, fête son 50e anniversaire.



http://culture.france2.fr/patrimoine/actu/brasilia-fete-ses-50-ans-62608195.html

Patrimoine de l'humanité depuis 1987, Brasilia, en fait une oeuvre conjointe imaginée par l'urbaniste Lucio Costa, le paysagiste Roberto Burle Marx et l'architecte Niemeyer, a été inaugurée le 21 avril 1960. "J'ai l'impression de débarquer sur une planète différente, pas sur la terre", avait déclaré le cosmonaute soviétique Youri Gagarine en arrivant à Brasilia en 1961. Le Parlement brésilien, avec ses deux demies-sphères inversées, ainsi que la cathédrale sont devenus immédiatement des symboles du géant sud-américain. Tout comme le palais du Planalto (siège de la présidence) et ses arcades en marbre, qui donnent l'impression d'être à peine posées sur le sol, ou encore le palais de l'Itamaraty (ministère des Affaires étrangères) semblant flotter sur un étang.

Le Congrès national, dessiné par Oscar Niemeyer.

Brasilia a été imaginée dès le XIXe siècle quand a surgi l'idée de rééquilibrer au profit de l'intérieur cet immense pays au littoral surpeuplé. C'est en 1955 que le président Juscelino Kubitschek donnera finalement le coup d'envoi à la construction de la nouvelle capitale. Cinq ans après, la ville est inaugurée. Planifiée pour compter 600.000 habitants en l'an 2000, Brasilia en a aujourd'hui cinq fois plus.

Dans la cathédrale de Brasilia, dessinée par Oscar Niemeyer.



Grâce à ses bâtiments phares de Brasilia, Oscar Niemeyer, 102 ans, a remporté d'innombrables prix dont le Pritzker, considéré comme le Nobel d'architecture, en 1988. "Avoir 102 ans est une merde et il n'y a rien à commémorer", dit-il. Sauf le fait que le Brésil est devenu plus "égalitaire depuis l'arrivée au pouvoir d'un ancien ouvrier", le président Luiz Inacio Lula da Silva. Il a affirmé à la presse brésilienne "ne pas craindre la mort" et que, en dépit de toutes les campagnes anti-tabac, il ne pensait pas arrêter de fumer.

Le palais de Planalto, siège de la présidence brésilienne, dessiné par Oscar Niemeyer.

Exposition universelle : la France va sortir le grand jeu

Le pavillon français conçu par l'architecte Jacques Ferrier, placé sous le signe des cinq sens, occupe un espace de 10 000 m2 avec les pavillons régionaux.



A Shanghaï, aucun risque n'a été pris pour ce qui va être la vitrine de la France sur un marché toujours prometteur.

http://www.lefigaro.fr/culture/2010/04/22/03004-20100422ARTFIG00620-exposition-universelle-la-france-va-sortir-le-grand-jeu-.php

Aucun risque n'a été pris pour ce qui va être la vitrine de la France sur un marché toujours prometteur. La Cofres a misé sur les classiques. Le parrain du pavillon n'est autre qu'Alain Delon. Les organisateurs ont ensuite profité de la réputation française en la matière pour proposer des «mariages romantiques». Tous les couples vêtus d'habits de noces pourront prononcer leurs vœux d'union au pavillon. L'opération n'est pas passée inaperçue sur le Web chinois, où nombre de forums se sont emparés du sujet. Ce qui vaut sans doute au pavillon français d'être, après celui des États-Unis, le pavillon étranger que les Chinois ont l'intention de visiter, selon un classement établi par l'agence de relations publiques Ogilvy PR. La scénographie a taillé la part belle à Paris. De nombreuses vidéos mettent la Ville Lumière en scène, des toiles impressionnistes ont été prêtées par le Musée d'Orsay, dont un Gauguin, et Louis Vuitton - sponsor du pavillon - a aménagé un coin inspiré par l'esthétique des stations de métro dessinées par Guimard. Étendard de la culture française, la gastronomie sera représentée par les frères Pourcel, chefs étoilés de Montpellier, au restaurant 6e Sens sur le toit du bâtiment. Fière d'avoir été le premier pays étranger à confirmer sa participation, la France espère faire de sa présence à l'Expo un outil diplomatique. La venue de Nicolas Sarkozy à la cérémonie d'ouverture de l'Exposition universelle de Shanghaï la semaine prochaine coïncide avec une visite d'État à Pékin le jour précédent au cours de laquelle il rencontrera son homologue chinois Hu Jintao. Les régions ont également sorti le grand jeu. L'Alsace, l'Ile-de-France et Rhône-Alpes feront la promotion de leur expérience en matière de développement urbain dans leur propre pavillon sur le site de l'Expo.

Première visite du Centre Pompidou-Metz

Le 9 janvier 2003, le Centre Pompidou et la Ville de Metz, en accord avec le ministère de la Culture et de la Communication, annonce la première décentralisation d'une institution culturelle nationale en France : le Centre Pompidou-Metz, institution soeur du Centre Pompidou.



http://www.lexpress.fr/culture/art/premiere-visite-du-centre-pompidou-metz_891322.html

Deux minutes séparent la gare TGV de Metz du nouveau Centre Pompidou. Deux minutes durant lesquelles on découvre à loisir le bâtiment signé Shigeru Ban. Une curieuse construction, mariant fluidité et rigueur géométrique. On remarque d'abord sa toiture ondulée, inspirée, selon l'architecte japonais, de la forme des chapeaux chinois. Puis, sortes d'excroissances vitrées, trois boîtes rectangulaires contribuent à déstructurer l'ensemble : de vastes espaces d'exposition, ouverts sur la ville. Première institution culturelle nationale décentralisée, le Centre Pompidou Metz devait être un signal fort. Le pari architectural est réussi. L'exposition inaugurale se devait aussi de marquer les esprits. Intitulée Chefs-d'œuvre ?, elle ne peut effectivement laisser indifférent. 800 œuvres, dont 700 provenant du Centre Pompidou Paris (les autres prêtées par le Louvre, Versailles ou le Quai Branly) ont été réunies et occupent la totalité du bâtiment, partagées en quatre chapitres, comme autant d'angles d'attaque d'une épineuse question. Qu'est-ce donc qu'un chef-d'œuvre ? La Tristesse du Roi, de Matisse qui ouvre le parcours ou les somptueux trois Bleu, de Miro qui le ferment ? Et pourquoi pas une enluminure du Moyen-Age, le Saint-Thomas à la pique, de George de la Tour ressuscité 300 ans après la mort du peintre, ou encore ces oeuvres stars des collections nationales au début du XXè siècle, celles d'Amédée de la Patellière ou de Charles Despiau, tombées depuis dans l'oubli. On redécouvre au passage les panneaux géants que Robert Delaunay avait conçus pour l'exposition Universelle de 1937, mais restés dans les réserves parisiennes, faute d'espace pour les présenter. Rêves de chefs-d'œuvre, au premier niveau, est une section particulièrement réussie. Le long d'une vaste galerie, sorte de musée idéal, peintures et sculptures emblématiques du XXè siècle, alignées comme à la parade, font se côtoyer Picasso, Kandinsky, Malevitch, Giacometti ou Pollock.

Le regard est happé par un autre spectacle. L'espace grandiose de cette dernière galerie offre une vue sublime sur la cathédrale de Metz. Autre chef-d'œuvre.



http://www.centrepompidou-metz.fr/

Imaginé par les architectes Shigeru Ban (Tokyo), Jean de Gastines (Paris) et Philip Gumuchdjian (Londres), l'édifice se présente comme une vaste structure de plan hexagonal, traversée par trois galeries. Il se développe autour d'une flèche centrale qui culmine à 77 mètres, clin d'oeil à la date de création du Centre Pompidou : 1977...



L'inauguration se déroulera du 12 au 16 mai. Pendant cinq jours, le public aura accès gratuitement au batîment.



La construction a coûté 74 millions d'euros. Les collectivités locales ont mis la main à la poche. Elles assumeront également le budget de fonctionnement de 10 millions d'euros par an.



La couverture, d'une surface de 8 000 m2, est composée de modules hexagonaux. Elle est entièrement réalisée en bois.

4, 5, 6 juin : 3 jours pour fêter les jardins partout en France !

http://www.associations-patrimoine.org/article.php?id=1076&dossier=15

Qu'ils soient historiques ou contemporains, en ville ou à la campagne, prestigieux ou plus modestes, publics ou privés, à l'anglaise ou à la française, tous les jardins seront de la fête.

2000 parcs et jardins participants
400 ouvertures exceptionnelles et
premières ouvertures
1,5 millions de visiteurs attendus

Programme : http://www.rendezvousauxjardins.culture.fr/

Quand la BD croque la ville

Nicolas de Crécy

Une exposition à Paris retrace la relation fructueuse entre l'architecture et le 9e art.

http://www.lexpress.fr/culture/art/quand-la-bd-croque-la-ville_896589.html

"Les auteurs et les dessinateurs sont des sismographes, explique Jean-Marc Thévenet, commissaire de La Ville dessinée. Ils captent les bouleversements historiques, sociaux et architecturaux de leur temps." La preuve avec Winsor McCay, l'inventeur du 9e art, qui ouvre l'exposition. Une traversée du siècle de New York à Tokyo et Paris. Avec Little Nemo, le New-Yorkais McCay interroge, dès 1905, la place de l'individu dans la métropole. Chacun leur tour, à travers le temps et les lieux, entre dessin utopiste et trait réaliste, les "bédéastes" ont ainsi servi de miroir ou de loupe à cette préoccupation de l'homme moderne : comment un environnement définit-il une identité sociale et politique ?



Années 1930. Les comics américains débordent des kiosques. La ville y est criminogène, dessinée en un décor vertigineux et vertical, écrasant et froid. Heureusement, les superhéros, sauveurs du monde, veillent. Batman fait régner l'ordre à Gotham City, Superman à Metropolis, Daredevil et Spiderman à New York. Mais tout le monde n'a pas la chance d'avoir des superpouvoirs. Le citoyen ordinaire n'est qu'une fourmi perdue dans la mégalopole. Ou un cafard, comme chez Tardi. Dans Tueur de cafards, il croque la Grosse Pomme comme un fruit pourri. C'est Brouillard au pont de Tolbiac délocalisé dans le Bronx, quartier glauque et pluvieux.





Dans les années 1970, au moment où sortent Les Aventures d'Adèle Blanc-Sec, Druillet, Mézières ou encore Moebius arpentent la ville sur le versant de la science-fiction. Ces visionnaires inventent une imagerie à l'origine de tout un pan du cinéma américain, de Star Wars à Blade Runner.



Dans leur sillage, Bilal fait des capitales du monde le laboratoire politique et idéologique des civilisations passées et futures. Pour Jean-Marc Thévenet, "il y a une rupture entre cette génération des années 1970, qui a connu la guerre froide, et la suivante, qui n'envisage plus la ville comme le décor privilégié de l'utopie ou de la contre-utopie."



Guy Delisle à Pyongyang se met en scène en touriste candide dans une architecture stalinienne, entre hôtels monumentaux et restaurants déserts. 1984, de George Orwell n'est pas loin.



«Archi & BD. La ville dessinée», du 9 juin au 28 novembre, à la Cité de l'architecture et du patrimoine, 1, place du Trocadéro, Paris XVIe. www.citechaillot.fr.

Découverte à Rome des plus anciennes icônes des apôtres

Les icônes les plus anciennes représentant les apôtres, ont été découvertes dans les catacombes de Santa Tecla à Rome.



Elles ont été retrouvées dans les catacombes de Santa Tecla à Rome.

http://www.liberation.fr/culture/0101642874-decouverte-a-rome-des-plus-anciennes-icones-des-apotres

Les icônes les plus anciennes représentant les apôtres, datant de la fin du IVe siècle, ont été découvertes dans les catacombes de Santa Tecla à Rome, a révélé mardi le surintendant des fouilles archéologiques de ce site, Fabrizio Visconti. Ces icônes de Pierre, Paul, André et Jean se trouvent au plafond d’une petite chambre funéraire dans les tons ocres et rouges située dans les catacombes de Santa Tecla, elles-mêmes situées à environ 500 mètres de la basilique Saint-Paul-hors-les-murs, l’une des quatre basiliques majeures de la capitale italienne, où se trouve la sépulture de Saint-Paul. Ces catacombes avaient été édifiées à la demande d’une «nobildonna» (femme appartenant à une famille noble, mais sans titre de noblesse). «Pour André et Jean, il s’agit des plus anciennes représentations», tandis que l’on connaissait déjà des représentations de l’apôtre Pierre datant de la moitié du IVe siècle, mais «jamais seul sur une icône», a souligné Visconti. La structure des catacombes est située sous un immeuble remontant aux années 1950 dont la construction n’a heureusement pas endommagé les trésors archéologiques, ont indiqué les experts.

Le Quai Branly, premier au hit-parade des musées

Une photo de l'intérieur du quai Branly à l'occasion de l' exposition " La Fabrique des images".



Comme chaque année depuis 5 ans, Artclair publie son Palmarès des musées.Cette année, le Quai Branly passe devant Beaubourg.

http://www.liberation.fr/culture/0101643041-le-quai-branly-premier-au-hit-parade-des-musees

Le musée du Quai Branly arrive en tête du classement 2010 des musées réalisé par l’éditeur Artclair, le Centre Pompidou étant deuxième, devant le Louvre et le musée des beaux-arts de Lyon. Ce 7ème palmarès des musées des beaux-arts, à paraître jeudi dans L’Oeil et vendredi dans le Journal des Arts. Il a été établi à partir de 69 critères (accueil du public, dynamisme, politique de conservation etc.) auprès de 340 musées. Le classement 2010 atteste de l’attractivité du musée du Quai Branly, qui fête ses quatre ans cette semaine. Le Centre Pompidou avec son musée national d’Art moderne, recule d’une place, en partie en raison d’une grève de trois semaines en décembre. Le Louvre conserve sa troisième place. Le musée d’Orsay recule à nouveau, passant du 5ème rang au 8ème rang. Les Arts décoratifs sont 5ème au lieu de 6ème, le musée des arts asiatiques Guimet redescend à la 6ème place alors qu’il était 4ème. Les grands musées en région font quand à eux, preuve de dynamisme, face aux mastodontes parisiens, quatre d’entre eux figurent dans le Top 10. Le musée des beaux-arts de Lyon se hisse du 8ème au 4ème rang. Le musée des beaux-arts de Rouen gagne deux places et passe 7ème, le musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg passe à la 9ème place alors qu’il était 31ème.La Piscine de Roubaix (11e, plus 7 places) qui fut en 2008 le premier musée en Région, fait un retour en force. La fréquentation des musées des beaux-arts en France a progressé de plus de 4,3% en 2009 (+3,15 % pour les visiteurs payants) mais elle reste stable en région. Les touristes étrangers sont majoritaires (57%).

Grand concours de châteaux de sable mardi aux Sables-d'Olonne



http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Grand-concours-de-chateaux-de-sable-mardi-aux-Sables_42314-1475421-pere-pdl_filDMA.Htm



Dans le cadre du Festival d’architecture, un grand concours de châteaux de sable est organisé mardi 17 août de 19 h 30 à 22 h sur la grande plage des Sables d’Olonne. Le concours dont le thème est l’architecture maritime est ouvert aux adultes et enfants de plus de 16 ans. Les concurrents peuvent participer individuellement ou en équipes de 3 personnes au maximum. Les inscriptions se font au pôle animation plage. Renseignements auprès de la Maison régionale de l’architecture des Pays de la Loire.



Un festival qui parle d'architecture sous le soleil

http://maisonarchi.pagesperso-orange.fr/DosDePresentation-FestArchi10.pdf

L'architecture dans tous ses éclats à Venise

Pavillon japonais : le futur opéra de Taïchung (Taïwan), de l'architecte Toyo Ito.



http://www.lemonde.fr/culture/article/2010/08/30/l-architecture-dans-tous-ses-eclats-a-venise_1404388_3246.html

Une maquette représentant le projet d'"Institut d'architecture de Catalogne" exposée dans le pavillon espagnol.



La 12^e Biennale d'architecture de Venise est dirigée par une personnalité au profil inédit : une femme, japonaise, architecte audacieuse. Kazuyo Sejima, 54 ans, lauréate du prestigieux prix Pritzker, connue en France pour son projet de Louvre à Lens. Le thème qu'elle a choisi est un fourre-tout bienveillant - "People Meet in Architecture" - qui laisse imaginer une heureuse rencontre de l'humanité avec son cadre de vie. Du reste, dans son exposition à l'Arsenal, Kazuyo Sejima a invité un grand artiste, tendance écologiste, qui n'est pas architecte : le Danois Olafur Eliasson montre des spirales d'eau aléatoires, matérialisées dans l'obscurité par une lumière stroboscopique. Kazuyo Sejima aime les projets rêveurs. Mais, quand il s'agit de présenter son travail, à l'Arsenal, elle est très concrète, exposant plusieurs de ses constructions au Japon : légères, nuageuses, flottantes. Elle est concrète aussi quand elle donne à voir le futur opéra de Taïchung (Taïwan), une oeuvre de l'architecte Toyo Ito, dans l'agence duquel elle a travaillé. Toyo Ito est comme elle le champion d'une architecture hors des lois de la pesanteur. Les pavillons nationaux ont aussi une forte tendance à faire s'évanouir la réalité construite, ou à remonter aux origines de l'abri, surtout en bois. A ce jeu de construction, d'ancien pays de l'Est, décomplexés, se révèlent des champions, comme la République tchèque, qui fait jaillir du désordre des arbres une structure magnifiquement ordonnée. Le Chili, lui, plonge dans ces crises en relatant les diverses façons de faire face aux tremblements de terre. Le royaume de Bahreïn raconte la complainte de populations chassées de la terre ferme par la spéculation et contraintes de se réfugier sur la mer ou sur les plages.

Pavillon chilien, "The boy hidden in a fish" ("Le Garçon dissimulé dans un poisson), œuvre conçue par les architectes chiliens Smiljan Radic et Marcela Correa.



Le Lion d'or revient au Bahreïn

http://www.europe1.fr/Culture/Architecture-Le-Lion-d-or-revient-au-Bahrein-259743/

Le Lion d'or de la meilleure participation nationale à la 12ème Biennale d'architecture de Venise a été décerné au Bahreïn, le Lion d'argent pour un jeune participant prometteur revenant à une équipe néerlando-belge, Office. Par ailleurs, l'équipe japonnaise junya.ishigami+associates a reçu le Lion d'or du meilleur projet pour sa participation à l'exposition "Les gens se rencontrent à travers l'architecture", thème de cette 12ème Biennale qui s'achève le 21 novembre. Rem Koolhaas s'est vu remettre un Lion d'or d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.

Que vaut l'architecture française aujourd'hui ?

http://www.lefigaro.fr/culture/2010/08/30/03004-20100830ARTFIG00509-que-vaut-l-architecture-francaise-aujourd-hui.php

Inauguré vendredi, le pavillon français «Metropolis ?», mis en scène par Dominique Perrault à la Biennale d'architecture de Venise, relance le débat sur la place des créateurs français dans la compétition internationale. Pensé par Dominique Perrault, l'architecte de la BNF récemment médaille d'or de l'Académie d'architecture, notre pavillon, intitulé «Metropolis?» gravé en lettres noires sur un grand rideau rouge, nous place dans le peloton de tête international. Ici, à Venise, la France ne fait pas de l'esbroufe. On est loin des spectaculaires, et captivantes, projections en trois dimensions des cités de 2050 de l'Australie. Loin de la fragile forêt lumineuse blanche du Canada faisant référence à l'hylozoïsme, théorie démontrant que toute vie est inséparable de la matière. Loin des morceaux d'Usures accrochés comme des tableaux par la Belgique. Loin encore de l'installation contemporaine de Zhu Pei pour la Chine, jardin zen de tubes transparents. Dominique Perrault se situe dans le concret. L'architecte appuie son propos au travers des cinq territoires urbains en pleine mutation que sont Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes, Saint-Nazaire et le Grand Paris, où le vide représente entre 91% et 96%. Place au cinéma avec des murs recouverts de miroirs ou utilisés comme des écrans pour accueillir les films de Richard Copans. Ce sont des mois de tournage depuis l'hiver dernier sur le vide, le néant, le rien, accompagnées d'aucun récit. Avec ces contraintes, ce producteur bien connu de films documentaires est parti humer l'air de la banlieue, écouter le vent dans une calanque de Marseille, capter le bruit des ballons des terrains de foot ou celui des skates sous les ponts du métro, arpenter les terrains vagues des futures métropoles. L'ensemble est très réussi.

http://www.french-pavilion-venice.com/

Biennale d'architecture de Venise. "People Meet in Architecture".
Jusqu'au 21 novembre, Venise, Giardini della Biennale-Arsenale. www.labiennale.org

Des expos à visiter de chez soi



En un tour de clic, le site de Omusee.com offre un petit voyage interactif dans des centaines de musées et autres lieux artistiques.

http://www.la-croix.com/Des-expos-a-visiter-de-chez-soi/article/2437467/25041

À l’heure du numérique, les plaquettes imprimées des offices du tourisme semblent dépassées, et c’est désormais sur Omusee.com que vous trouverez un avant-goût des expositions à voir. Sur ce site lancé en 2007, de courtes vidéos présentent des musées, des lieux d’art contemporain et des maisons d’artistes, essentiellement à Paris ou en banlieue parisienne. une centaine de vidéos coproduites par les musées. Bientôt, de nouveaux établissements s’ajouteront à la liste.

Liliane Bettencourt a légué des toiles de maître à Banier



http://www.liberation.fr/societe/01012289366-liliane-bettencourt-a-legue-des-toiles-de-maitre-a-banier

Des toiles de Picasso, Munch, Matisse ou bien Fernand Léger figurent parmi les oeuvres d'art offertes par Liliane Bettencourt à François-Marie Banier, qui s'est constitué grâce à la milliardaire «un véritable petit musée». Pas moins de 12 tableaux de maître du XXe siècle ont été offerts au photographe. Parmi eux: un Picasso (Nature morte à la guitare), un Fernand Léger (L'homme à la pipe), un Munch (Enfants se baignant) et un Matisse (Grand nu debout). Valeur estimée, le 23 février 2001 : 19,5 millions d'euros, «ces tableaux valent sans doute aujourd'hui cinq à six fois plus». L'avocat de Mme Bettencourt, Me Georges Kiejman, a reconnu ce don en nue-propriété, «La nue-propriété, cela veut dire qu'au jour de la mort de Liliane Bettencourt, il sera en droit de récupérer ses oeuvres. Pour l'instant, il ne les a pas.» Ce legs aurait été complété au fil des ans par de nombreuses autres donations, réalisées soit au profit de Banier, soit de son compagnon, Martin d'Orgeval. Le couple se serait ainsi vu offrir une huile de Giacometti, un Joan Miro, un Max Ernst et des livres anciens. «Depuis dix ans, Banier a fait son marché (de l'art) dans le musée personnel de Mme Bettencourt. Francois-Marie Banier est devenu, grâce à sa bienfaitrice, un collectionneur d'exception». Selon Me Kiejman, ces dons, quoique nombreux, ont été réalisés de façon «volontaire». «Pour ma cliente, M. Banier est mieux qu'un autre capable d'apprécier la qualité de ces oeuvres. Cela fait partie de la complicité intellectuelle et artistique qui les unit», a déclaré l'avocat.

Fernand Léger, L'homme à la pipe



Picasso, Nature morte à la guitare.

La Cour de cassation enterre les cadavres plastinés
AFP - 17/09/2010 à 00h00



La Cour de cassation a jugé jeudi que l’exhibition de cadavres humains à des fins commerciales était indécente et à ce titre illégale, confirmant l’interdiction de l’exposition «Our Body, à corps ouvert».

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Loin de moi l'idée d'argumenter pour ou contre cette exposition, ce que je retiens c'est que la Cour a estimé que ce qui est indécent est illégal.
Que d'extrapolations on peut ainsi faire...

Tout Paris s’était donné rendez-vous mardi soir à la maison européenne de la photographie pour inaugurer l’exposition de Karl Lagerfeld. Mannequins, égéries et surtout amis du directeur artistique de Chanel avaient fait le déplacement pour le « Kaiser de la mode ». Vanessa Paradis, rayonnante en robe bleu marine, Anna Mouglalis, Gaspard Ulliel mais aussi David Lynch, Inès de la Fressange et même Bernadette Chirac n’auraient manqué ça pour rien au monde. « L’exposition est sublime », a même déclaré Arielle Dombasle, visiblement sous le charme des clichés pris par le photographe.

Est ce qu'il a déjà reçu une tarte de l'entartreur dans la tronche ?