Douce France - Nouvelles

Bertrand a écrit:

La France réglementée ...

Parfaite illustration de la philosophie écolo...

Citation :

Un accident entre un TER et un... chameau


Chameau/ AFP/Archives



INCIDENT - L'accident a provoqué un retard pour quatorze trains...Jeudi soir à 21h un chameau a percuté un train de la SNCF dans la Seine-et-Marne. Le chameau s’était échappé quelques heures auparavant d’un cirque dans la commune de la Ferté-sous-Jouarre. Il n’y a eu aucune personne blessée parmi les passagers du train, mais le chameau a été tué sur le coup.

Résultat: l’accident a occasionné des retards concernant quatorze trains dont sept de marchandises. Les passagers du train accidenté ont été pris en charge par la SNCF et acheminés vers Paris en bus. Le trafic a repris vendredi matin vers une heure.

Les boîtes noires ont-elles été retrouvées ?

Bonne question...

Plus important : Lawrence n'a pas souffert, n'est-ce pas ?

Citation :

Plus important : Lawrence n'a pas souffert, n'est-ce pas ?

Non heureusement, il a perdu sa bosse sur le coup ... je vais demander 30 secondes de silence à la Gay-pride d'aujourd'hui ... il nous manque déjà ...

Trente secondes ? Tant que ça ?

Bon, essaye toujours vingt secondes après les dix secondes pour Michael Jackson, avec un peu de chance et de rouerie ça marchera peut-être....

je vais faire un moonwalk en l'honneur de Lawrence ...

Bonne idée, il le mérite bien. D'ailleurs il est souvent dans la lune...

(N'oublie pas de faire ta valise, hein ? )

Citation :

(N'oublie pas de faire ta valise, hein ? )

T'inquiète pas ... mon serviteur moricaud à grosses lèvres et ma bonne portugaise très velue s'en occupent ...

Je dois prendre quelques repos car cette dernière semaine (et que dire de la suivante ?) a été épuisante ... je n'ai - presque - pas eu le temps de copuler ... c'est tout dire : une vie de fou !

Sois prudent, les douaniers dans ces contrées-là sont très soupçonneux dès qu'ils trouvent des petits poils frisés dans une valise....

Citation :

82% des Français pas prêts à souscrire à un emprunt national





Une très large majorité de Français, 82%, assure ne pas avoir l'intention de souscrire à un éventuel emprunt national lancé par l'Etat pour financer les priorités gouvernementales, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche et la télévision M6.61% des personnes interrogées disent n'avoir "pas du tout" l'intention de souscrire à un tel emprunt et 21% "plutôt pas", contre 12% ayant "plutôt" l'intention de le faire et 5% "tout à fait" l'intention d'y souscrire.

Qui prête au nain, prête à rire !

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Sanofi-Aventis déstabilisé par une rumeur sur l'un de ses médicaments vedettes

LE MONDE | 27.06.09 | 16h49 • Mis à jour le 27.06.09 | 16h49

Une rumeur selon laquelle l'antidiabétique Lantus, troisième médicament le plus vendu par Sanofi-Aventis, pourrait provoquer des cancers, a fait chuter l'action du groupe pharmaceutique. Entre le jeudi 25 et le vendredi 26 juin, le titre a plongé de 12,7 %. Pour le laboratoire français, confronté à l'arrivée à échéance de plusieurs brevets sur ses médicaments vedettes et qui annoncera une profonde restructuration dans les prochains jours, l'affaire tombe au pire moment.

Lancé en 2000, le Lantus, première forme d'insuline ne réclamant qu'une seule injection par jour, était jusqu'à présent considéré comme son médicament le plus prometteur. Ses ventes ont atteint 2,45 milliards d'euros en 2008 (+ 28 %), générant 9,9 % de son chiffre d'affaires et 15 % de ses bénéfices. Les analystes estiment que le Lantus pourrait représenter jusqu'à un tiers des profits du groupe à l'horizon 2013.
D'où est partie la rumeur ? La question du lien entre insuline et cancer n'est pas nouvelle. Les diabétiques sont souvent obèses, ce qui augmente le risque de cancer. Le 11 juin, à l'issue d'un Congrès sur le diabète, Credit suisse organise une conférence téléphonique entre des analystes financiers et Ralph DeFronzo, diabétologue de renom à l'université du Texas. Ce dernier vient de finaliser une étude sur des patients britanniques comparant les avantages de la glargine (nom scientifique du Lantus) et du Byetta, autre traitement contre le diabète commercialisé par le laboratoire américain Eli Lilly en collaboration avec la société Amylin.
A quelques minutes de la fin de l'entretien avec M. DeFronzo, les analystes posent une ultime question : "L'étude que vous avez réalisée sur le Byetta démontre-t-elle que ce médicament est plus efficace que le Lantus ?" M. DeFronzo se garde de répondre, mais lance : "Attendez-vous prochainement à un tremblement de terre" qui placerait les médecins " dans une position inconfortable avec la glargine". Cette déclaration va mettre le feu aux poudres.
LE PRÉCÉDENT AVANDIA
Mercredi, la banque suisse UBS publie une note sur Sanofi-Aventis reprenant ces propos. Elle va même beaucoup plus loin, déclarant que l'étude de M. DeFronzo pourrait montrer un risque accru de cancer chez les patients traités au Lantus. Reprises par plusieurs sociétés de Bourse, ces spéculations font plonger le titre Sanofi-Aventis.Les investisseurs ignorent à ce moment que le professeur DeFronzo est aussi membre du conseil de direction d'Amylin et que son étude a été financée par Eli Lilly.
Si la réaction de la communauté financière est si vive, c'est que cette rumeur en rappelle une autre. En 2006, les ventes de l'Avandia, l'antidiabétique vedette du britannique GlaxoSmithKline (GSK), s'étaient effondrées à la suite des déclarations de Steve Nissen, un chercheur américain. En compilant des études, celui-ci était arrivé à la conclusion que l'Avandia augmentait les risques d'infarctus. "Deux ans plus tard, des études complémentaires ont montré que c'était faux, mais le mal était fait, explique Jean-Jacques Le Fur, analyste chez la société de Bourse Oddo. Les ventes de l'Avandia n'ont jamais retrouvé leur niveau initial."
Le Lantus va-t-il connaître le même sort ? Chris Viehbacher, le PDG de Sanofi-Aventis, qui faisait partie à l'époque de l'équipe dirigeante de GSK, ne veut pas revivre le même cauchemar. Vendredi, un communiqué de l'Association européenne d'études sur le diabète (EASD) faisait état de quatre études indiquant "un lien possible" entre le Lantus et "un risque accru de cancer".
La direction de Sanofi-Aventis se défend : " Les études les plus récentes concernant le suivi rétrospectif de patients diabétiques ne permettent pas de conclure à une quelconque relation de causalité entre le traitement par Lantus et la survenue de tumeurs cancéreuses." " Dans l'état actuel, nous n'émettons aucun message de dangerosité sur le Lantus, a insisté le porte-parole de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Les patients traités avec ce médicament doivent continuer à suivre leur traitement."

Conseil : allégez vos positions sur Sanofi-Aventis.

Citation :

"Le grand emprunt national sera lancé début 2010, assure Fillon"



Le gouvernement français lancera début 2010 l'emprunt annoncé par le président Nicolas Sarkozy pour financer des investissements d'avenir, a déclaré dimanche le Premier ministre, François Fillon.

Les conclusions de ce débat seront tirées "dans la première quinzaine de novembre", a-t-il ajouté. "Il y aura alors soit une loi de finances rectificative, soit une loi de programmation au début de 2010 et, dans la foulée, l'emprunt (...) sera lancé."

Si ce calendrier est respecté, le lancement de cet emprunt coïncidera avec la campagne des élections régionales de 2010.

Il a ainsi assuré que le gouvernement avait débattu des moyens de réduire les déficits structurels "sans basculer dans une politique de rigueur" et engagerait une nouvelle phase de réduction des dépenses publiques, de maîtrise des dépenses sociales et de rationalisation des dépenses des collectivités locales, parallèlement au lancement de l'emprunt.

Des priorités nationales définies au cours des trois prochains mois devront découler des projets "ciblés", "en petit nombre" et "structurant", avec une rentabilité financière et socio-économique "clairement appréhendable", a-t-il dit.

Ces projets "devront associer le plus possible des cofinanceurs externes pour démultiplier les efforts de l'Etat", a ajouté François Fillon, selon qui toutes les ressources de l'emprunt devront être affectées à des dépenses "clairement identifiées comme porteuses de croissance et d'emploi."

Il ne s'agit "en aucun cas" d'utiliser cet emprunt comme "une sorte de solution miracle" aux difficultés budgétaires, ni de financer des dépenses de fonctionnement, la création d'emplois publics ou un deuxième plan de relance, a-t-il assuré.

"Nous n'allons pas solliciter l'épargne des Français pour rénover des bâtiments publics, pour accroître les dépenses sociales ou pour financer les collectivités locales", a ajouté le Premier ministre. "Il s'agit de dessiner notre vision de la France de demain, c'est-à-dire de la France de l'après-crise."

http://fr.news.yahoo.com/4/20090628/tts-france-emprunt-fillon-urgent-ca02f96.html

Évincée du Gouvernement, Christine Boutin reproche à Fillon "de ne pas avoir eu un peu le courage" de l'appeler
(Par Clément Daniez, publié le 29/06/2009 à 13:24 Le Point.fr)

L'ex-ministre du Logement envisage son avenir à l'Assemblée nationale ou comme ambassadrice au Vatican Christine Boutin ne digère pas son éviction du gouvernement, qu'elle qualifie de "jetage".

"Le Premier ministre n'a même pas pris le temps de me passer un coup de fil (...) François, t'aurais pu avoir un peu le courage de m'appeler, quand même. Ça aurait été sympa", a-t-elle déploré lundi sur Europe1 . L'ex-ministre du Logement "pensait rester dans la nouvelle équipe gouvernementale", avec un portefeuille dédié "aux prisons". Une responsabilité revenant finalement à Jean-Marie Bockel. Évoquant un "délit de sale gueule", elle espère que son départ n'a pas été motivé par "ce qu'elle représente", la "droite sociale chrétienne".

Interrogée sur son refus d'une passation de pouvoir avec Benoist Apparu, nommé secrétaire d'État chargé du Logement et de l'Urbanisme, Christine Boutin a défendu un poste qui "mérite mieux que d'être la 25e roue du carrosse".

Le Saint Siège comme porte de sortie

Contrairement à Matignon, l'Élysée n'a pas oublié de lui téléphoner. Claude Guéant "m'a proposé plusieurs choses qui sont intéressantes". Ambassadrice de France au Vatican ? "Oui", a-t-elle répondu. "J'ai aussi la possibilité de revenir à l'Assemblée nationale", a-t-elle poursuivi - un retour automatique prévu dans la dernière révision de la Constitution dont vont aussi profiter les sortants Yves Jégo et Roger Karoutchi.

"Il y a des moments dans la vie où tout se concentre, (...), en ce moment c'est plutôt les mauvais moments pour moi", a-t-elle insisté. Actuellement présidente du conseil général des Yvelines par intérim - après la condamnation de Pierre Bédier -, elle n'envisage plus qu'un poste de "conseiller général de base", face à la "bronca" de ses collègues.

Enseignement - 45 % des professeurs posent des arrêts maladie, deux fois plus que dans le privé
(Par Marc Vignaud - publié le 29/06/2009 à 12:32 - Le Point.fr)



À peine arrivé à l'Éducation nationale, le nouveau ministre Luc Chatel a trouvé sur son bureau une étude qui pourrait bien compliquer sa relation avec le monde enseignant. Gardé jusqu'ici confidentiel, le document pointe l'absentéisme des professeurs des écoles, rapporte RTL , qui en dévoile les grandes lignes lundi.

La radio relève des chiffres sans appel. 45 % des enseignants et des professeurs des écoles (enseignement primaire et secondaire) auraient posé un arrêt pour raison de santé pendant l'année scolaire 2007-2008. Deux fois plus que ce qui est observé pour les salariés du privé ! Sur les 283.772 enseignants titulaires, 127.399 auraient au moins eu un jour d'arrêt maladie. En moyenne, les professeurs des écoles sont absents 11 jours par an, quelle qu'en soit la raison, contre 9 jours pour les salariés du privé.

Autre élément, le calendrier de ces absences. Le pic est atteint à la fin du premier trimestre, avant et après les vacances de Noël, ce qui s'explique par les grippes et les gastro-entérites saisonnières. La salle de classe serait un foyer de transmission des virus saisonniers particulièrement actif.

"On a plus de chance d'être malade quand on travaille au contact du public que lorsqu''on travaille seul dans son bureau", indique le ministre de l'Éducation nationale. Selon RTL, ces chiffres seraient aussi à mettre sur le compte des conditions de travail : "Les remplaçants et les professeurs qui n'ont pas eu l'affectation demandée sont encore plus fragiles que les autres, avec dix-sept jours d'absence déclarés", affirme-t-elle.

Une autre envolée des absences survient au mois de mai au moment où les ponts sont les plus nombreux. Une donnée plus difficilement justifiable d'autant que, relève RTL, plus de 80 % des arrêts maladie sont concentrés autour des week-ends, jeudi vendredi ou lundi mardi. Au titre des arguments avancés, RTL relève la rareté des contrôles des arrêts maladie dans l'Éducation nationale où la médecine du travail n'existe pas.

Luc Chatel préfère évoquer "le vrai sujet qui est celui de la continuité du service public". Mais sur ce plan non plus, l'étude n'est pas optimiste : elle révèle que sur dix jours d'absence des professeurs (quelle qu'en soit la raison), six sont réellement remplacés et non huit, comme indiquaient de précédentes statistiques.

"Il faut persévérer et optimiser le niveau de remplacement", convient Luc Chatel.

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Hmmmppppffff....

Au titre des arguments avancés, RTL relève la rareté des contrôles des arrêts maladie dans l'Éducation nationale où la médecine du travail n'existe pas.

Et pourtant... Mon père, prof de collège et dans le supérieur n'a été qu'une seule fois en arrêt maladie dans toute sa carrière (37 ans).

A 9 heures de matin au premier jour il était contrôlé

Le contrôleur s'est fait recevoir par ma mère

Pourquoi j'ai mis mes gamins dans le privé

http://technorati.com/videos/youtube.com%2Fwatch%3Fv%3Dw1RwibJHe-c

quantat a écrit:

[

Et pourtant... Mon père, prof de collège et dans le supérieur n'a été qu'une seule fois en arrêt maladie dans toute sa carrière (37 ans).

A 9 heures de matin au premier jour il était contrôlé

Le contrôleur s'est fait recevoir par ma mère

C'est une perle rare, ton père...

Je dirais même plus: un "saint" de l'Education Nationale !

Citation :

"Al-Qaïda menace la France après son opposition à la burqa"



La branche maghrébine d'Al-Qaïda a menacé de se venger de la France après que son président Nicolas Sarkozy a déclaré que la burqa n'y était pas la bienvenue, a rapporté ce mardi le centre américain Site, citant des forums jihadistes sur Internet.

"Hier c'était le hijab et aujourd'hui, c'est le niqab"", a affirmé le dirigeant d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) Abou Moussab Abdoul Wadoud.

"Nous nous vengerons de la France et de ses intérêts par tous les moyens à notre disposition, pour l'honneur de nos filles et de nos sœurs", a-t-il ajouté.

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/al-qaida-menace-la-france-apres-son-opposition-a-la-burqa_771256.html#xtor=AL-447

Henri Guaino caillassé lors d'une patrouille avec la police

Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy se trouvait '"en observation" avec la police à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, lorsque le véhicule a été pris pour cible.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20090630.OBS2520/henri_guaino_caillasse_lors_dune_patrouille_avec_la_pol.html

Henri Guainoa expérimenté le caillassage en direct, dans la nuit de lundi à mardi. Venu "en observation", le conseiller spécial de l'Elysée accompagnait des policiers à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, lorsque le véhicule dans lequel il avait pris place a été la cible de jets de pierres. L'incident est survenu vers 1h du matin, au centre d'un quartier réputé sensible. Une quarantaine d'individus "s'en sont pris à deux véhicules de police". Selon des policiers, le conseiller de Nicolas Sarkozy Henri Guaino accompagnait une patrouille pour se rendre compte du travail sur le terrain.

Comment le PS a perdu Hénin-Beaumont

Après la percée du FN aux municipales dimanche, les responsables politiques, du PC à l’UMP, appellent à barrer la route à l’extrême droite. Mais les socialistes se déchirent.

http://www.leparisien.fr/politique/comment-le-ps-a-perdu-henin-beaumont-30-06-2009-564492.php

Au lendemain du premier tour de l’élection municipale partielle d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) qui a vu, dimanche, le tandem frontiste Steeve Briois-Marine Le Pen virer largement en tête avec 39,34 % des voix, les appels à faire barrage au FN se sont multipliés toute la journée d’hier. Le PS a ainsi appellé solennellement aux « rassemblement de tous les citoyens dans un large front républicain » derrrière Daniel Duquenne, le candidat divers gauche arrivé en deuxième position (20,19%). Une victoire du FN dimanche ferait tache au PS où les langues commencent à se délier pour dénoncer la responsabilité du parti dans la situation actuelle. Dans sa permanence électorale, Pierre Ferrari, le candidat investi par la Rue de Solférino (le siège du PS) et arrivé seulement troisième (17,01 %), masque mal son désarroi. «On paye les pots cassés parce que les appareils politiques n’ont de cesse de sacrifier les électeurs» lâche ce jeune homme de 27 ans. L’erreur fatale, selon lui ? «Avoir donné un avis favorable à la réintégration de Dalongeville.» Depuis, incarcéré car soupçonné de malversations, Dalongeville et la complaisance du PS à son égard «ont offert sur un plateau un argument à nos adversaires», déplore Ferrari. Mais le gâchis ne s’arrête pas là. «Les Verts ont réussi à faire venir ici Bové ou Mamère. Mais localement, notre candidat a été peu épaulé», dénonce le député-maire de Lens Guy Delcourt. «Si les choses tournent mal dimanche, certains socialistes devront prendre leurs responsabilités» avertit Delcourt. Dans le collimateur, une fois de plus, la toute puissante «fédé» soupçonnée d’avoir tout fait pour «savonner la planche» du jeune Ferrari. Le tout sous l’oeil du siège national, qualifié par l’ancienne ministre Marie-Noëlle Lienemann de «spectateur désabusé». «Le Pas-de Calais, c’est un Etat dans l’Etat», explique Lienemann, ex-première adjointe à Hénin-Beaumont. Avec sa dizaine de milliers d’adhérents, le Pas-de-Calais est l’une des « édés» les plus puissantes du PS. Elle a joué un rôle central dans la victoire de Martine Aubry lors du congrès de Reims. Paradoxe, la liste divers gauche collectionne en revanche les soutiens médiatiques... de l’UMP. Dominique de Villepin, Jean-François Copé puis Xavier Bertrand ont ainsi appelé à stopper le FN qui, à partir d’Hénin-Beaumont, pourrait entamer sa renaissance. Une « union sacrée » qui fait sourire Marine Le Pen : «De quoi ont-ils si peur ?» s’interroge, faussement naïve, la candidate.

Où l'on apprend avec stupéfaction que l'argent de la Ville a servi à organiser des soirées fines pour certains invités privilégiés.

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lens/actualite/Autour_de_Lens/Henin_et_Alentours/2009/06/17/article_les-soirees-fines-de-la-camargue.shtml

M. Mollet a reconnu sans difficultés qu'il avait des comptes au Luxembourg pour ses affaires. Il y en avait trois. M. Mollet avait, ces dernières années, monté une affaire, dans un hameau à la limite du Nord et du Pas-de-Calais, sous le nom de SARL La Camargue. Il s'agissait d'un restaurant, et, au-dessus, de quatre appartements de type F2, dont le loyer était réglé par la Ville d'Hénin-Beaumont. Des appartements qui étaient censés être des logements sociaux... Les lieux avaient une activité toute particulière entre 18 heures et 22 heures où des invités étaient conviés à des soirées très particulières avec champagne et prostituées... Parmi les chefs d'entreprise dirigés par M. Mollet vers les juteux marchés de la Ville d'Hénin-Beaumont, on évoque une société du Dunkerquois qui a vendu à des prix prohibitifs les fameux bacs à fleurs géants disséminés en entrée de ville... Cette société a fourni à la Ville d'Hénin-Beaumont des bacs pour une somme de 80 000 E et des contre-bacs pour 70 000 E... L'obtention d'une nouvelle fleur au palmarès des villes fleuries était sans doute à ce prix... prohibitif. En tout cas, lorsque la CRC puis la brigade financière sont venues mettre le nez dans les affaires héninoises, on comprend mieux pourquoi certains de ses bacs si onéreux ont été soigneusement éloignés de la vue. Et pourquoi l'emblématique palmier de la place de la République a, dans cette logique, il y a un an, mystérieusement disparu de la circulation."

emma a écrit:

Henri Guaino caillassé lors d'une patrouille avec la police

Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy se trouvait '"en observation" avec la police à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, lorsque le véhicule a été pris pour cible.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20090630.OBS2520/henri_guaino_caillasse_lors_dune_patrouille_avec_la_pol.html

Henri Guainoa expérimenté le caillassage en direct, dans la nuit de lundi à mardi. Venu "en observation", le conseiller spécial de l'Elysée accompagnait des policiers à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, lorsque le véhicule dans lequel il avait pris place a été la cible de jets de pierres. L'incident est survenu vers 1h du matin, au centre d'un quartier réputé sensible. Une quarantaine d'individus "s'en sont pris à deux véhicules de police". Selon des policiers, le conseiller de Nicolas Sarkozy Henri Guaino accompagnait une patrouille pour se rendre compte du travail sur le terrain.

Quand est-ce qu'ils vont envoyer l'armée ? La racaille ne comprend et ne respecte que la force... ce serait généreux de se mettre à sa portée

notre Président a un nouveau joujou mais ne le dites à personne, c'est confidentiel ! (ils sont marrants au point

Le premier palais volant de Nicolas Sarkozy

Mazamet: les moins de 14 ans non accompagnés interdits de nuit dans les rues
(AFP - il y a 20 heures)

MAZAMET (AFP) — Le maire de Mazamet (Tarn), Laurent Bonneville, a interdit aux enfants de moins de 14 ans non accompagnés d'un adulte de sortir dans les rues du centre ville entre 22h30 et 06h00 du matin, a-t-on appris jeudi auprès de la mairie de Mazamet.

L'arrêté, applicable jusqu'au 15 janvier 2010, "interdit aux jeunes de moins de 14 ans de déambuler seuls ou en groupe dans les rues de la cité entre 22h30 et 06h00 du matin, s'ils ne sont pas accompagnés par des parents ou des adultes de la famille".

Il concerne le centre ville de Mazamet et le quartier de La Lauze, les plus sensibles en terme de sécurité.

"Je me sens responsable de tous ces jeunes qui, pas plus haut que trois pommes, sont livrés à eux-mêmes parce que leurs parents ne répondent pas à leurs responsabilités, ils sont livrés à tous les dangers, notamment celui de tomber dans la petite délinquance", a déclaré à l'AFP le maire divers droite de Mazamet.

"Il n'est par rare de voir des bandes de jeunes déambulant la nuit dans la ville, où ils font parfois les imbéciles (...) Nous ne voulons pas jouer les pères fouettards, mais nous souhaitons avoir une idée des raisons pour lesquelles ces enfants préfèrent la rue à la vie familiale et mettre les parents face à leur responsabilité", a encore dit Laurent Bonneville.

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Bravo Monsieur le Maire !

parfait, mais c'est quand même incroyable que le maire doive remplacer les parents

chaque fois qu'un gamin de 14 ans et moins traine dans les rues, où que ce soit, ce sont les parents qui doivent être sanctionnés

Je ne devrais pas le dire, donc je le dis quand même : peut-être que les parents pourraient payer un petit dédommagement à la police par enfant récupéré ?
Un peu comme on paye pour reprendre sa voiture à la fourrière...

Bravo a Monsieur Bonneville en effet! (et en plus il a le nom adequat!)