Du côté de la Belgitude...

Rappel du premier message :

Ce pays est mort .
Et j'ai une haine terrible pour ses représentants .

Si ils sont de droite,pour ce qu'ils ont fait .
Si ils sont de gauche,pour ce qu'ils ont laissé faire .

Malheur à eux .

Malheureusement ce sera "nous" à la caisse, une fois de plus .




J'ai un copain ,un génie réelement un génie .
il en avait marre et il a commencé la politique sur le tard .
On lui a confié le CPAS (le premier budget de la commune ,par définition,toujours en négatif) .
En quelques mois il a mit le budget "en boni" (en distribuant plus de frics qu'avan,t,mais en connaissant toutes les lois permettant de tirer le amximum de subsides étatiques) .
Changement de majorité ; il passe dans l'opposition et perd sa place de Président du CPAS .
En moins de 6 mois le CPAS est dans le noir plus que noir .
La majorité (cad son opposition) le réclamme !!!!!.
Il revient donner quelques conseils (sans aucun intéressement ni indemnoté) et le CPAS redémarre .

Et lui il se fait virer du PS .....

Di Rupo, futur formateur ou clash assuré ?







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  Deux nouveautés cette saison dans Controverse. Frédéric Cauderlier et ses chroniqueurs s’installent en prélude au débat mené par Pascal Vrebos dans « Sans langue de bois », dès 11h30 chaque dimanche. L’autre nouveauté vous concerne, chers internautes: « Sans langue de bois » et « Controverse » seront maintenant diffusés sur RTLinfo.be en direct, avec une fenêtre de chat dans laquelle vous pourrez interagir. Frédéric Cauderlier et Pascal Vrebos sont susceptibles de faire bon usage de vos questions et réactions. Rendez-vous chaque dimanche à 11h15 pour l’ouverture du chat sur RTLinfo.be.
  

11h30 : Sans langue de bois
Frédéric Cauderlier décode et décrypte l’actualité politique avec ses chroniqueurs :

• Michel Henrion : Ancien porte parole de Guy Spitaels
  
• Alain Raviart : Ancien directeur de la communication du cdH
  
• Cécile Bertrand : Caricaturiste à « La Libre Belgique »
  
• Mehmet Koksal : Journaliste indépendant
  

11h55 : Controverse
Les vacances ont commencé dans les discussions, elles se terminent toujours dans la préformation. Selon certaines sources, les négociations entre les 7 présidents de parti sont particulièrement "électriques". D’autres, par contre, minimisent les tensions. En plus de deux mois, s’est-il vraiment passé quelque chose? Peut-on dire qu’on avance? Les francophones n’étaient demandeurs de rien, sont-ils prêts à accepter une grande partie du programme de la N-VA? Ces négociations vont-elles aboutir à quelque chose ou est-ce le clash assuré? Elio Di Rupo arrivera t-il à un semblant de consensus entre les différents partis?

Les invités :

• André Flahaut : Président de la Chambre – PS
  
• Christos Doulkéridis : Secrétaire d’Etat en charge du logement, Ministre Président de la COCOF – Ecolo
  
• Didier Gosuin : Président du groupe MR au Parlement bruxellois
  
• Francis Delpérée : Sénateur et Chef de groupe au Sénat – cdH
  
• John Crombez : Chef de groupe sp.a au Parlement flamand et Professeur d'économie à la Haute-Ecole de Gand
  
• Guy Vanhengel : Vice-Premier Ministre et Ministre du Budget - Open VLD
  
• Pierre Vercauteren : Politologue aux FUCAM
  
• Luc Van der Kelen : Editorialiste « Het Laatste Nieuws »
  
• Benoît Bayenet : Expert du PS pour les questions de financement des entités fédérées - Professeur d'économie à l'ULB
  

Après le journal, l’Invité de Pascal Vrebos sera Charles Michel, ministre de la Coopération au Développement – MR

Elio Di Rupo est chez le Roi



Elio Di Rupo est arrivé chez le Roi afin de lui faire rapport de sa mission de préformateur. Les partis flamands se divisent en deux groupes. D'un côté, Groen! et le sp.a acceptent la proposition mise sur la table par le préformateur. La N-VA et le CD&V, par contre, marquent leur désaccord quant aux propositions avancées concernant le financement de Bruxelles et sur BHV.

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• Pierre Vercauteren évoque en studio l'échec de la mission ...
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Belgique - Politique 19:24

Le préformateur Elio Di Rupo est arrivé chez le Roi afin de lui faire rapport de sa mission. Selon le politologue Pierre Vercauteren, il y a deux cas de figure possibles : soit le préformateur est actuellement chez le Roi afin de remettre sa démission et de passer la main. Mais il est également possible qu’il s’agisse d’une technique qui fut d’ailleurs déjà utilisée dans la législature précédente par Yves Leterme qui est de demander au Roi qu’il retienne sa décision et procède à un certain nombre de consultations. "Ce serait la deuxième fois puisque le week-end dernier Elio Di Rupo a déjà eu besoin d’une mise entre parenthèse de sa mission pour que le roi puisse consulter", a expliqué le politologue en direct au journal de 19H sur RTL-TVI.
2 partis sur 7 refusent le compromis proposé
Elio Di Rupo a constaté dimanche soir que la N-VA et le CD&V n'avaient pas répondu positivement à son appel, à la différence des cinq autres partis. "Elio Di Rupo avait indiqué à l'issue de la dernière réunion plénière qu'il restait disponible pour toute proposition d'un des partis associés à la préformation, susceptible de relancer les discussions au départ du cadre qu'il avait formulé", rappelle un communiqué.
"Cinq partis autour de la table ont répondu de manière positive à cette demande et ont exprimé leur souhait d'aboutir à un compromis équilibré. Il s'agit du sp.a, de Groen! , du cdH, d'Ecolo et du PS. La N-VA et le CD&V n'ont pas répondu positivement", note le préformateur.

La N-VA ne signera pas "un chèque en blanc"
La N-VA a rappelé dimanche qu'elle n'était pas prête à signer un chèque en blanc pour Bruxelles alors que, selon elle, les partis flamands n'ont reçu aucune garantie sur une réforme en profondeur de la loi de financement. "La loi de financement est essentielle pour obtenir une responsabilisation dans le cadre de la réforme de l'Etat. Une réforme de l'Etat sans responsabilisation n'a aucun sens", a-t-on expliqué au parti nationaliste flamand. L'ultime proposition formulée par le préformateur Elio Di Rupo n'offre pas suffisamment de garanties de responsabilisation, estime la N-VA. "Et cela nous rend particulièrement méfiants", a-t-on ajouté.
Selon la N-VA, si les francophones sont réellement prêts à s'engager dans une révision de la loi de financement, qui inclut le refinancement de Bruxelles, il n'y aura plus de problème. Au sein du parti, certaines sources ont fait remarquer que le président Bart De Wever a lancé des pistes au cours de la nuit passée pour réanimer les négociations. Il aurait notamment proposé que lui-même et M. Di Rupo cherchent ensemble un accord, sans les cinq autres partis, mais le préformateur aurait rejeté cette façon de faire. Du côté du préformateur, cette version des faits n'a pas été confirmée, le porte-parole de ce dernier étant muet depuis le début de la journée.

Le CD&V dit non
Le CD&V refuse égalment d'accepter l'ultime proposition du préformateur Elio Di Rupo, a-t-on appris dimanche auprès des chrétiens-démocrates flamands qui disent toutefois vouloir se montrer constructifs. Le CD&V ne veut pas accorder une enveloppe structurelle de 500 millions d'euros à Bruxelles alors que la révision de la loi de financement et la façon dont le prochain gouvernement trouvera 25 milliards d'euros demeurent dans le flou, a-t-on expliqué au CD&V.

L'appel de Di Rupo entendu par les Verts flamands
La proposition de compromis que le préformateur Elio Di Rupo a mise sur la table est acceptable, a indiqué dimanche le président de Groen! , Wouter Van Besien, lors d'une réunion de son parti à Nieuport. Selon lui, la proposition tient compte des points les plus importants pour les partis qui participent aux discussions. "Nous voulons prendre nos responsabilités. Il revient aux six autres partis de le faire également. Franchissons le Rubicon (...). Personne en Flandre n'aspire à un pourrissement", a-t-il déclaré.
Le parti Ecolo, pour lequel "le pragmatisme est aujourd'hui la seule option envisageable", appelle dimanche après-midi l'ensemble des partis autour de la table des négociations à prendre leurs responsabilités et à rallier l'"ultime projet de compromis".

CD&V et N-VA étant majoritaires,c'est l'impasse.
Dire que 2 partis sur 7 refusent est inexact et fausse l'information,puisque
les partis francophones s'étaient mis d'accord préalablement avec Di Rupo
pour faire ces propositions.
Les Francophones vont encore lâcher du lest,et seront de la revue!

Quant au PPP (Parti Populaire Portugais) représentant un siège,il a préféré
s'abstenir.

Charly je crois bien que nous revoterons bientôt.

"Pas le sentiment qu'il y ait eu des concessions côté flamand"



L'eurodéputé et ancien président du MR Louis Michel a regretté lundi le déséquilibre existant selon lui dans les négociations de préformation. "Toutes les concessions ont été faites du côté francophone", a-t-il dit sur La Première (RTBF). "Je n'ai pas le sentiment qu'il y ait eu des concessions du côté flamand".

Selon M. Michel, le MR aurait mieux défendu les intérêts des francophones dans la négociation s'il y avait été invité. "Il est tout de même curieux que le premier parti à Bruxelles et le deuxième parti en Wallonie ne soit absolument pas associé, ni même informé", a-t-il ajouté.

Il n'a toutefois pas demandé explicitement que le parti participe désormais aux pourparlers, affirmant ne pas vouloir "porter atteinte à l'espace politique" d'Elio Di Rupo.

"Le MR est un parti responsable. Il peut jouer un rôle aussi bien dans la majorité que dans l'opposition", a encore dit M. Michel. (belga)

30/08/10 08h32

Et pourquoi feraient-ils des concessions?
Ils défendent le programme sur lequel ils ont été élus.

[quote="JACKLELOUP"]Charly je crois bien que nous revoterons bientôt.[/quote

Non,Jack,je n'irai plus! sinon que pour voter FN.

Par Reuters, publié le 29/08/2010 à 22:19

Elio Di Rupo renonce mais le roi des Belges refuse sa démission

Le dirigeant socialiste francophone Elio Di Rupo, que le roi des Belges, Albert II, a chargé de mener des consultations sur la formation d'un nouveau gouvernement, a renoncé dimanche à sa mission de "préformateur", mais le roi a insisté pour qu'il persévère afin d'éviter au pays une crise politique deux mois et demi après les législatives du 13 juin.



Lors d'un entretien qui a duré plus de trois heures avec le roi des Belges, Di Rupo a demandé à être libéré de sa mission, mais le souverain a rejeté sa démission et lui a demandé de persévérer, a indiqué le palais dans un communiqué.

"M. Di Rupo a accepté", a ajouté le palais.

Di Rupo a été chargé de rechercher un terrain d'entente en juillet, le dirigeant flamand Bart de Wever, dirigeant du parti séparatiste flamand N-VA, qui a remporté le plus grand nombre de sièges aux législatives, ayant échoué dans la même tâche.

Pour Di Rupo, le N-VA et les chrétiens-démocrates flamands ont conduit les négociations dans une impasse. Un effondrement des consultations plongerait la Belgique dans une nouvelle crise politique.

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En fait, ce qui vous manque à vous, chers amis Belges, c'est un véritable chef charismatique du genre De Gaulle et qui sache unifier le pays pour lui rendre sa fierté et sa dignité.

Peut-être que votre roi devrait personnellement prendre les choses en main et assurer seul le pouvoir.

Le Belge gagne 61 milliards d'euros en noir



La Belgique a la cinquième plus grande économie souterraine des pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) par rapport à son produit intérieur brut (PIB).

Seuls la Grèce, l'Italie, l'Espagne et le Portugal réalisent un plus mauvais score que notre pays, peut-on lire mardi dans De Morgen. Le phénomène avait déjà été évoqué en juin dernier par Le Soir.

De Morgen se base lui sur des estimations de Friedrich Schneider, un économiste et une référence en matière de travail au noir, issues d'une étude comparative internationale commandée par l'OCDE.

En 2010, 61 milliards d'euros d'argent noir circuleront dans l'économie souterraine en Belgique, soit 17,9% du PIB. Selon les calculs de l'économiste, la part de cette économie non officielle dans le PIB des pays de l'OCDE atteint 14% en 2010.

Par ailleurs, d'après le chercheur, les gens essaient de compenser leurs pertes de revenus dues à la crise en se tournant vers l'économie souterraine. (belga)

31/08/10 07h58

Charly a écrit:

Le Belge gagne 61 milliards d'euros en noir

Enfin, de l'argent bien utilisé !

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

Le Belge gagne 61 milliards d'euros en noir

Enfin, de l'argent bien utilisé !

Si tu as lu tout,l'Espagne,l'Italie,la Grèce et le Portugal font un plus gros score.
Normal,ils sont tous chez nous

Ben voilà !

Biloulou a écrit:

Ben voilà !

Et les Français,ils ne sont pas malins assez pour?
Tu te rends compte? 63 milliards? et encore,c'est ce qui est déclaré ,si on compte le noir du noir,et le stoemeling...

Cr'est cela, oui.

Biloulou a écrit:

Cr'est cela, oui.

Et les dessous de table et les multiples mandats?

Mais... c'est aussi du bon argent au noir, pourquoi ?

(Jusqu'ici il n'y a que le président Sarkozy qui a eu le courage de supprimer les rémunérations "non-officielles" relatives à sa charge...)

Biloulou a écrit:

Mais... c'est aussi du bon argent au noir, pourquoi ?

(Jusqu'ici il n'y a que le président Sarkozy qui a eu le courage de supprimer les rémunérations "non-officielles" relatives à sa charge...)

C'est de la 1/2 honnêteté.
Beaucoup mieux que rien.

L'Eglise ne poursuivra pas l'évêque de Bruges



Roger Vangheluwe, l'évêque pédophile de Bruges, ne sera pas jugé par l'Eglise catholique dans le cadre d'un procès canonique, en raison de la prescription des faits, indique le journal Le Soir mercredi.

En juillet dernier, le Vatican a doublé la durée de la période au cours de laquelle un religieux accusé de ce type de crime pouvait être jugé.

Elle est passée de dix ans (après l'accession de la victime à la majorité) à vingt ans.

Or, 24 ans ont passé depuis que le neveu de Roger Vangheluwe a atteint la majorité. L'homme d'Eglise échappera donc à un procès canonique.

"Mais le pape, au Vatican, cumule pouvoirs judiciaire, exécutif et législatif : il a la possibilité d'infliger arbitrairement, et sans appel possible, une sanction sans suivre la procédure judiciaire contradictoire digne de tout Etat de droit", explique le canoniste Rik Torfs.

Ce dernier rappelle que Benoît XVI a déjà fait usage de son pouvoir absolu de réduire un prêtre à l'état laïc, le défroquer, sanction la plus sévère prévue par le droit canon. Ce qui serait "une première dans le cas d'un évêque", ajoute-t-il. (belga)

01/09/10 07h54

Danneels s'insurge contre la diffusion des enregistrements





L'ancien chef de l'Eglise catholique belge, le cardinal Godfried Danneels, s'estime diffamé par le journal flamand De Standaard, qui l'a accusé d'avoir tenté d'étouffer les abus sexuels commis sur un mineur par l'ex-évêque de Bruges (ouest), a indiqué mardi soir son avocat. De Standaard a publié samedi la transcription d'enregistrements faits par la victime de ces abus, lors d'une confrontation le 8 avril avec l'évêque de Bruges, Roger Vangheluwe, en présence du cardinal Danneels. Selon ces enregistrements, le cardinal Danneels avait tenté de convaincre la victime de se contenter d'un "pardon", ou du moins de ne pas révéler l'affaire jusqu'à la retraite de Roger Vangheluwe un an plus tard.

Diffamation
La rédaction du Standaard, en soulignant en caractère rouges certains passages et en sélectionnant les extraits des enregistrements a "volontairement et sciemment diffamé" l'ex-primat de Belgique, estime son avocat, Fernand Keuleneer, dans un texte publié sur le site de l'hebdomadaire catholique Tertio. Le cardinal Danneels n'avait pas pu préparer cette confrontation et ses réactions durant ces discussions en présence de la victime et de sa famille étaient "instantanées", ajoute l'avocat. "Comme toute personne dans cette situation, il souhaitait ensuite continuer à réfléchir plus longuement à ces questions dans la perspective d'une deuxième rencontre, qui n'a jamais eu lieu", a encore expliqué Me Keuleneer.

Ce n'est pas un complot
"Cela n'a rien à voir avec un complot ou un étouffement. Le cardinal Danneels a écouté et réfléchi, sans résultat. Deux semaines plus tard, Mgr Vangheluwe a démissionné. Le cardinal Danneels était lui aussi venu à la conclusion que c'était la seule manière adéquate de procéder", insiste son avocat. "L'atmosphère créée par l'article du Standaard, qui mène à la conclusion que ce n'était pas le cas, est à nouveau une démonstration de lourds préjugés", conclut Me Keuleneer. Selon Tertio, le Standaard a refusé de publier le texte de l'avocat sous la forme d'un droit de réponse. L'évêque de Bruges, 73 ans, avait démissionné le 23 avril en reconnaissant avoir "abusé sexuellement d'un jeune" - son neveu -- durant plus de 10 ans.

Danneels nie tout
Le cardinal Danneels avait rejeté le 24 avril, lors d'une conférence de presse, des accusations selon lesquelles il était depuis longtemps au courant de ces abus. Il avait alors indiqué n'avoir "jamais entrepris un soupçon de tentative pour étouffer les abus de l'évêque Roger Vangheluwe ou les avoir couverts du manteau du secret".

Image de marque altérée
L'image du cardinal Danneels, qui il y a quelques années était donné en Belgique comme un possible futur pape, s'était fortement dégradée depuis l'éclatement de ce scandale et les soupçons d'étouffements de dossiers de pédophilie, alors qu'il dirigeait l'Eglise belge. La publication des enregistrements secrets le week-end dernier l'a encore détériorée. L'ordinateur et des documents de l'ex-primat de Belgique ont été emporté fin juin par la police lors de perquisitions spectaculaires qui ont suscité les protestations jusqu'au Vatican.

Roger Vangheluwe est le premier évêque au monde ayant démissionné pour avoir commis lui-même des abus sexuels sur mineur depuis la vague de scandales de pédophilie qui secouent l'Eglise en Europe et en Amérique depuis novembre. (afp/cb)

01/09/10 16h01

Super Charly et pas loin de la vérité..

Scandale au palais de justice

Samedi 4 Septembre 2010 | 2 h. | powered by



(Belga) Oussama Trimini Langeri, le gangster qui s'était évadé en août 2009 du palais de justice de Bruxelles et n'avait été arrêté dans la région parisienne qu'en juillet dernier, a été libéré vendredi par la chambre du conseil de Bruxelles. Motif de sa libération? Il n'a pas été transféré au palais de justice par manque d'effectifs suffisants, révèle samedi La Dernière Heure. Il restait toutefois détenu en attendant l'éventuel appel du parquet. Selon le quotidien, la substitute a expliqué avoir reçu un fax du service de police expliquant qu'il "ne disposait pas des effectifs suffisants" pour assurer le transfert du détenu, ces "effectifs étant en effet réservés prioritairement à l'organisation d'un prochain Sommet européen à Bruxelles". Le quotidien ajoute que selon ses informations, le président de la chambre du conseil a constaté que dans ces conditions les droits de la défense d'Oussama Trimini Langeri n'étaient pas respectés et a dès lors rendu une ordonnance de remise en liberté, contre laquelle le parquet possède un délai de 24 heures pour faire appel. (CYA)

Risible, si ce n'était pas dramatique.

aie aie aie aie aie

c'est tout comme chez nous quand ils ont relâché ce pédophile avec une ordonnance pour du viagra

... et chez nous, meme topo

j'ai besoin d'éclaircissement concernant la Justice si quelqu'un .............

j'ai vu aux infos, que ce père portait plainte contre l'ETAT justement concernant ce pédophile qui a agressé son fils

ma question est : pourquoi contre l'ETAT et pas contre celui ou celle qui a relâché ce pédophile avec cette ordonnance ???

quand le chef de l'Etat fait une "réprimande" à la Justice, comme récemment pour avoir relâcher un des malfaiteur qui a attaqué le casino, la Justice (les syndicats) répond que ça ne regarde pas le Chef de l'Etat.

Mais alors, il faudrait savoir qui est responsable, parce que apparemment les Juges ne se sentent aucune responsabilités quand ils font une connerie bétise