Spécial Biloulou

Rappel du premier message :

134 -

Citation :

...La plupart de ces femmes seront tenues de manger chaque jour deux barres de "chocolat extra-fort spécialement conçu par des chocolatiers belges", tout en se soumettant à des tests médicaux réguliers....
Seules conditions, mais de taille, pour accéder à cette mission de rêve: être une femme ménopausée, âgée de moins de 75 ans, et être traitée pour un diabète de type 2. "Un résultat positif pourrait être un premier pas vers de nouvelles façons d'améliorer la vie des gens ayant un risque accru de maladie cardiaque", a expliqué le responsable de l'étude, Peter Curtis.

Bien vu pour le trou de la Sécu : faire en sorte qu'ils restent sur le carreau !

Jackleloup a écrit:

La plupart de ces femmes seront tenues de manger chaque jour deux barres de "chocolat extra-fort spécialement conçu par des chocolatiers belges", tout en se soumettant à des tests médicaux réguliers. Les autres devront se contenter de chocolat normal faisant office de placebo.

Ils ne se doutent de rien, ces britanniques : comment peuvent-il s'imaginer que des continentaux normaux ne verront pas la différence entre le "chocolat extra-fort spécialement conçu par des chocolatiers belges" et le "chocolat normal faisant office de placebo" ?

M'enfin...

Et le PC maxi-tour, c'est pour quand ?

La voiture de Biloulou au mois d'août. Il fait chaud à Bruxelles...

En remerciement à tous ceux qui pensent à moi par ces temps de grandes chaleurs...

====> http://www.mensup.fr/usbwine/?act=insc&mp=USBWINE&o=92&p=61

Un salon du chocolat à Paris centré sur le "bon, le bio et durable"






Afp | 27 Octobre 2010 13h34


Le salon du chocolat, qui s'installe jeudi à Paris pour cinq jours de douceurs, met à l'honneur un chocolat éthique et responsable, déterminé à être aussi bon que bio et durable, avec force démonstrations, conférences et dégustations.
Mettant l'accent sur les initiatives des professionnels du cacao en faveur du commerce équitable et du développement durable, le salon proposera aussi 3.000 cacaoyers à parrainer dans différents programmes de reforestation menés par l'organisme Alter Eco, au Pérou et en forêt amazonienne.
Installé en Normandie, le chocolatier Michel Cluizel, qui est aussi cacofévier (transformateur de fèves de cacao) ce qui est plus rare, présentera par exemple son premier chocolat bio à 67% de cacao dans le cadre de sa gamme "1ers crus de plantation", issu de fèves de Saint Domingue.
Et son confrère Jean-Paul Hévin fera goûter son chocolat noir issu de fèves haïtiennes, d'une longueur en bouche exceptionnelle. La démarche "éthique", consistant à acheter directement les fèves aux producteurs locaux, leur garantit un meilleur prix en évitant de multiplier les intermédiaires.
Le défilé quotidien de robes en chocolat réalisées par des stylistes associés à des chocolatiers restera l'un des temps forts, tout comme les "Awards du chocolat" qui récompensent cinq ou six des meilleurs artisans chocolatiers parmi 130 échantillons dégustés, issus d'une cinquantaine de pays.
Les consommateurs sont de "plus en plus initiés" aux chocolats de qualité, souligne auprès de l'AFP Sylvie Douce, fondatrice et commissaire du salon. Parallèlement à l'intérêt croissant pour l'environnement, ils vont davantage vers le noir, "au plus près de la fève", et "vers les crus, plus proches de la nature".
La France, si elle n'est pas la plus grande consommatrice, continue à dessiner les tendances sur le chocolat, grâce à l'influence persistante de sa gastronomie mais aussi via l'organisation de 70 salons du chocolat en 15 ans, fait valoir Mme Douce.
En Europe, les pays du nord restent les plus gros consommateurs. Plus les hivers son rudes, plus on mange un "chocolat qui tient chaud, de préférence au lait", souligne-t-elle.
Les Irlandais en mangent autant que les Suisses, autour de 12 kg par an, contre 10 kg pour les Belges et seulement 7 kg pour les Français, soit à peine plus que la moyenne européenne (6,6).
Au Japon, où des salons du chocolat seront organisés simultanément dans six villes fin janvier, la consommation n'est que de 2 kg par an par habitant, devant la Chine, "marché de conquête", où la consommation se situe déjà entre 0,8 et 1 kg.
Pendant le salon parisien, le journée de samedi sera consacrée au Japon, avec des pâtissiers nippons mais aussi des conférences sur les associations saké/chocolat ou thé/chocolat.
De nombreuses animations sont prévues pour les enfants et leurs parents pourront aussi se détendre à l'espace beauté, avec par exemple des massages au beurre de cacao extra vierge.

Grève sauvage au Delhaize de Woluwe-Saint-Lambert






29 Octobre 2010 14h57
Le Delhaize situé chaussée de Roodebeek à Woluwe-Saint-Lambert est bloqué par une grève sauvage qui a débuté vers 10h30 et devrait se poursuivre le reste de la journée. Le groupe Delhaize était menacé par un préavis de grève. Toutefois, celui-ci avait été suspendu hier. Un protocole d'accord relatif à une nouvelle organisation du travail ainsi qu'à un modèle de rémunération égal entre hommes et femmes avait été atteint mercredi soir, indiquait jeudi le syndicat chrétien LBC-NVK.

Protocole d'accord
L'accord prévoit une solution quant à la "discrimination entre hommes et femmes qui caractérise depuis des années la politique salariale de Delhaize", selon le syndicat. Il a également été question d'une structure salariale plus simple et d'une organisation du travail plus efficace. Les négociations trainent depuis plusieurs années déjà, mais lundi, le blocage était proche. Le protocole d'accord va maintenant être présenté par les syndicats à leurs affiliés. "Le préavis de grève a été suspendu jusqu'à la fin de cette consultation. Les syndicats vont défendre ce protocole", assure-t-on. Mais il semble que le personnel du Delhaize de Woluwe-Saint-Lambert ne soit guère d'accord avec ce protocole. Joint au téléphone, le groupe Delhaize a indiqué, vu ce protocole d'accord qui garantissait la suspension de toute action jusqu'au 25 novembre, qu'il avait confiance dans un retour à la normale rapide au magasin de Woluwe.

JACKLELOUP a écrit:

Grève sauvage au Delhaize de Woluwe-Saint-Lambert
Protocole d'accord
L'accord prévoit une solution quant à la "discrimination entre hommes et femmes qui caractérise depuis des années la politique salariale de Delhaize", selon le syndicat. Il a également été question d'une structure salariale plus simple et d'une organisation du travail plus efficace. Les négociations trainent depuis plusieurs années déjà, mais lundi, le blocage était proche. Le protocole d'accord va maintenant être présenté par les syndicats à leurs affiliés. "Le préavis de grève a été suspendu jusqu'à la fin de cette consultation. Les syndicats vont défendre ce protocole", assure-t-on. Mais il semble que le personnel du Delhaize de Woluwe-Saint-Lambert ne soit guère d'accord avec ce protocole. Joint au téléphone, le groupe Delhaize a indiqué, vu ce protocole d'accord qui garantissait la suspension de toute action jusqu'au 25 novembre, qu'il avait confiance dans un retour à la normale rapide au magasin de Woluwe.

Autrefois les histoires belges étaient beaucoup plus simples et elles faisaient rire de bon cœur. Maintenant, même en les lisant en boucle on n'y comprend plus rien et il faut se brûler pour arriver à en rire.

Ne pourriez-vous pas revenir au status quo ante bellum Amis belges s.v.p. ?

Cher Eddie,
Surtout n'oublie pas que le problème est à Woluwé,
terre de tous les dangers!

Bonjour Eddie moi aussi je me rappelle du temps de la cave d'un petit restaurant du piétonnier de nice ou l'on servait de magnifique omelettes norvégiennes.

C'etait au temps du bar du téléphone.

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JACKLELOUP a écrit:

Bonjour Eddie moi aussi je me rappelle du temps de la cave d'un petit restaurant du piétonnier de nice ou l'on servait de magnifique omelettes norvégiennes.

Bonsoir Jack,

Il y a de fortes probabilités qu'il s'agissait du Pilou au Cours Saleya.

Citation :

C'etait au temps du bar du téléphone.

Ouais, mais cet épisode-là c'était chez nos ennemis héréditaires marseillais en 1973 ; j'étais encore en culottes courtes :

http://www.ina.fr/economie-et-societe/justice-et-faits-divers/video/RAC00007830/la-tuerie-du-bar-du-telephone-au-canet.fr.html

Biloulou a écrit:

Quelle horreur !

(Ouste, hors de mon fil, ces trucs-là !)

Je te recommande de goûter au ponche
GIBET

Chacun, bien sûr, se pose la même question : " Le tolier est-il égocentrique ? Biloulou pratique-t-il le culte de la personnalité ? "

...

GIBET a écrit:

Je te recommande de goûter au ponche
GIBET

andre a écrit:

Chacun, bien sûr, se pose la même question : " Le tolier est-il égocentrique ? Biloulou pratique-t-il le culte de la personnalité ? "...

Non, non, je pratique le culte de la caipirinha et du porto vintage.
C'est la religion des possédants...

(Voyons, Gibet, je suis ouvert aux bonnes choses, j'ai l'esprit très large, le gosier aussi... tant qu'on ne me fait pas avaler des pierres... )

Et le document attaché, c'est de la lecture pour le petit endroit ? Hein ?

Biloulou a écrit:

Et le document attaché, c'est pour le petit endroit ? Hein ?

Nào há problema, eu vi.........

Il est courant que les hommes d'affaires américains qui partent au Brésil apprennent l'espagnol... pour se rendre compte, une fois sur place, que c'est le portugais qui y est parlé.

En Espagne c'est l'espagnol, tu le savais ?

(Bravo, bel effort ! )

Fleur Jerusalemy ou l'alliance subtile de l'estampe japonaise et du chocolat






Afp | 30 Octobre 2010 18h34


Elle peint le Mont Fuji, les cerisiers du Japon et les samouraïs avec le talent d'un grand maître mais sa toile est un moule en silicone où naissent de luxueuses confiseries: au Salon du chocolat, les créations de Fleur Jerusalemy fascinent esthètes et gourmands.
Lorsque ses pas le conduisent au stand de Sadaharu Aoki, chef pâtissier japonais installé à Paris qui offre une vitrine à Fleur sur le salon, le public reste interdit "devant tant de beauté".
Demies lunes aussi fines que de la porcelaine, reflet fidèle d'un Japon ancestral et de toutes ses couleurs, plumiers miniatures, microsculptures aux éclats métalliques : pour Alice, visiteuse du salon, ces brocarts peints au beurre de cacao fondu sont "dignes des trésors d'un antiquaire ou d'un joaillier". Elle "n'ose pas croquer !"
Mais la gourmandise prend le dessus. L'oeuvre est détruite sous la dent. Elle fait place à une symphonie de saveurs provenant d'une ganache aux fruits et d'un chocolat au goût intense.
"Je me suis finalement trouvée", commente Fleur, 36 ans, cheveux blonds coupés courts, regard accrocheur.
Avant d'en arriver là et de passer son C.A.P de pâtissière-chocolatière, Fleur a d'abord fait une école de commerce, travaillé comme assistante commerciale puis comme hôtesse de l'air "pour voyager".
"Mais ni l'une ni l'autre de ces activités ne me plaisaient vraiment. Je voulais donner un sens à ma vie. Quand j'ai passé mon C.A.P à l'école Ferrandi, je rêvais de faire de beaux gâteaux. Lorsque je suis rentrée comme commis au George V puis au Ritz, j'ai compris que c'était un métier extrêmement difficile", poursuit-elle.
Cette "riche expérience", rendue possible par son culot ("j'ai pris rendez-vous et j'ai raconté") et sa passion ("les gens m'écoutaient attentivement car il s'agissait d'une reconversion tardive; ils étaient accessibles"), lui donne "une méthode".
En 2009, elle ouvre sa "petite boutique" à Quintin (Côtes-d'Armor) où vivent ses parents, une mère directrice commerciale et un père directeur financier et avocat. Ils "voyagent beaucoup", lui donnent le "goût des objets, des cultures et des langues".
Mais "la clientèle est rare. Ca ne suffit pas pour vivre. J'ai eu le temps de travailler. J'adore le chocolat autant que dessiner et j'ai fini par mettre au point ma technique après des débuts laborieux !"
Avec du beurre de cacao fondu, teinté en noir, elle dessine les contours des motifs au fond d'un petit moule. Avec d'autres colorants alimentaires, elle travaille ensuite le tableau et recouvre le tout d'une ganache et de chocolat.
A l'occasion d'un stage à Brest (Finistère), Fleur rencontre une responsable du chocolatier italien Domori qui la met en relation avec Sadaharu Aoki.
"Il m'a demandé d'imaginer une ligne pour le Japon où il possède deux boutiques. J'ai lu tous les livres que j'ai trouvés sur les estampes japonaises", raconte Fleur.
"Je ne suis pas employée mais je dispose de son laboratoire à Malakoff !", se rejouit-elle.
Sadaharu Aoki, 42 ans, a trois boutiques à Paris où il a ouvert son premier atelier en 1998.
Fleur imagine s'exiler au Japon ou en Chine. Elle rêve de rencontrer des professionnels "artistes", quel que soit leur domaine, "qui lui commanderaient des oeuvres pour des occasions, des événements uniques".

JACKLELOUP a écrit:

(...) Demies lunes aussi fines que de la porcelaine, reflet fidèle d'un Japon ancestral et de toutes ses couleurs, plumiers miniatures, microsculptures aux éclats métalliques : pour Alice, visiteuse du salon, ces brocarts peints au beurre de cacao fondu sont "dignes des trésors d'un antiquaire ou d'un joaillier". Elle "n'ose pas croquer !"
Mais la gourmandise prend le dessus. L'oeuvre est détruite sous la dent. Elle fait place à une symphonie de saveurs provenant d'une ganache aux fruits et d'un chocolat au goût intense. (...)

De prime abord je fais confiance aux impressions de Alice.
Mais pour la suite je me demande si je saurais résister...

Biloulou prépare son départ et fait place nette
dans sa banlieue




Un jeune tué à coups de couteau à Woluwe-Saint-Lambert





Un jeune homme a été tué en pleine rue de plusieurs coups de couteau vendredi soir à Woluwe-Saint-Lambert, a-t-on appris samedi au parquet de Bruxelles. Les auteurs, qui seraient au nombre de deux, sont en fuite.
Les faits se sont déroulés square de Meudon à Woluwe-Saint-Lambert, à l'entrée du parc George Henri, selon le journal La Capitale.

Plusieurs témoignages recueillis par les autorités judiciaires font état d'une altercation entre deux hommes et la victime avant que cette dernière ne reçoive plusieurs coups de couteau dans la poitrine.

Quelques témoins ont tenté de lui venir en aide. Le jeune homme, dont l'âge n'a pas été précisé par le parquet, est mort à l'hôpital. La victime serait décédée sans pouvoir donner de détails sur son agression. (belga/7sur7)

15/01/11 13h15

Citation :

Biloulou prépare son départ et fait place nette
dans sa banlieue

Biloulou aurait un complice ?
Sont-ce les mêmes qui ont tué un homme dans une boulangerie du vieux quartier Saint-Jean à Lyon ?
Nous aurions donc affaire à des tueurs en série et qui auraient un large rayon d'actions malfaisantes...

Après les allumettes, Biloulou se lance dans le maniement du couteau avec une certaine dextérité.
Je m'en vais enquérir de ce pas les divines instances compétentes afin de conduire le futur prévenu auprès
d'un tribunal ecclésiastique.
Auparavant, il va de soi que je mènerais moi-même la cérémonie de la question afin qu'il expie ces fautes...
Mais qui peut être son complice ? A t'on retrouver des empreintes de palmipède sur les lieux, à tout hasard

Alande -mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa

Pétard a écrit:

Mais vais-je survivre à cet émoi?

J'espère bien que non...

(Merci Alande ! )

Et de ce pas je vous quitte et m'en vais allégrementt vers l'aéroport.
Bises joyeuses !