Ayatollahs et Têtes Mirvées ...

Zed a écrit:

Biloulou a écrit:

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

C'est l'édition québécoise de la Gazette de Prunalagnol.

Et... Tu as quelque chose contre la Gazette de Prunalagnol ?
Mab

Oh que non, juste de bons souvenirs que je me remémore encore aujourd'hui avec une jubilation chaque fois renouvelée !

C'est vrai, il m'en a même tendu une alliance

Cafteur ! Faux frère !

Je voudrais prevenir tous les anti-ISRAEL, anti-semite, anti-JUIF, ANTI-TSAHAL, que en 48, 67, 73 la situation etait tout autant deseperee. Personne, pas meme moi, ne donnait une seule petite chance a ISRAEL vu le nombre ou la technicite de de ses ennemis. Mais chaque fois ces chers ennemis ont du dechanter tout en donnant des explications d'apres-coup assez vaseuses. On savait toujours APRES mais a la prochaine on verrait bien. Il y a eu aussi : Entebbe, les vedettes de Cherbourg, le radar Egyptien du Sinai, le raid de Beyrouth, les savants Allemands d'Egypte, la vengengeance de Munich, les usines atomiques d'IRAK et de SYRIE et j'en oublie bien d'autres. Je ne parlerai pas de toutes les operations tenues secretes dont je ne pourrai parler puisque je ne les connais pas. Donc pour en revenir a nos moutons Israel assure et assurera n'en deplaise a ses SONES (haisseurs). La preuve est faite quand on voit le peuple JUIF vivre au jour le jour, pas de panique pas de course aux aeroports si ce n'est que pour les departs en vacances. Il faut avouer que les mauvaises langues voient la panique partout. "Pas meme d'edition speciale lors que les "bons barbus du hamas" ont fete a leur facon la rentree des classes en bombardant la ville ou le President PERES faisait l'ouverture de l'annee scolaire. Donc un peuple tranquille et confiant qui se fout bien de tout les stateges sur son avenir

MENSONGES QUE DES MENSONGES DE VOTRE PROPAGANDE
. Vous serez peut-etre excuse par betise ou par ignorance. 73 vous avez peut-etre oublie que l'armee Egyptienne a fini la guerre encerclee.Les paras et les tanks se sont batus comme des lion, et ont FRANCHI le canal. Je ne sais dans quel livre vous avez decouvert que l'aviation Egyptienne c'est portee au secours de la Syrie, mais voila un nouveau volet de la propagande barbus, qui a bien fait rire des specialistes de TSAHAL de toute nationalite, comme si l'aviation Egyptienne n'avait pa assez de boulot. Quant aux missiles air-sol par ou seraient ils arrives en quantite suffisante pour proteger les tanks Syriens qui c', etaient fait ecraser a un contre 100 par les tanks Israeliens. Avez vous entendu parler de la foce Tsvika et et u colonel KALANAI. Les Israeliens sont vraiment tres, tres fort pour pouvoir assimiler ce fameux systeme electronique de defense en queles jours, cours qui demande des annees. Cela doit vous emmer... de dire que l'aviation de TSAHAL a ete heroique de sacrifice et cela a paye, honneur aux pilotes. Par contre je sais que l'infanterie a change en cours des combats ses fusils FN 7.62 pour M 16 5.56 ce qui n, est pas une mince affaire vu la stategie et les munitions. Elle a recu aussi au milieu des combats les LOW anti-chars et ce sans instructeurs US, rien qu'en en lisant la notice d'emploi, ce qui n'est pas non plus un mince exploit.2000 la retraite du LIBAN n'est pas une defaite militaire mais une victoire de l'opinion Israelienne, mananipulee par la gauche, et qui le regrette bien aujourd'hui. 2006 je vous le concedr.

Ungern a écrit:

LE GAVE a écrit:

Oui,mais la partie est ainsi faite qu'un des 2 joueurs ne peut pas perdre une seule fois .

Ensuite ces évènements,c'est du passé .
Les dernières péripéties c'est :

73 : sauvé par le pont aérien militaire US qui a amené in extrémis les contre mesures électroniques pour les SAM,parce que les "sorties" sur la force blindée égyptienne évoluant sous son parapluie de DCA se soldaient très fréquemment par 100 % de pertes ... jusqu'au moment où les égyptiens ont commis la gaffe monumentale de sortir du parapluie ...pour aider les syriens en mauvaise posture .

2000 : le retrait du Liban (qui s'apparentait à une fuite précipitée de l'avis même des militaires israéliens).

2006 : l'aventure plus que douteuse au Liban (il y a eu des commissions d’enquête,et des disgrâces de militaires) .

C'est aussi (et ça n'existait pas en 73 ,une armée dont certains éléments doutent de la légitimité de leurs action (les refuznik) . Actuellement ça se cantonne aux actions sur les "territoires" (ça fait penser un peu au vocabulaire des einsatzgrouppen en Russie en 41-42 des "actions" sur des "territoires" ...) ,mais ce genre de choses peut très bien évoluer vers la déchirure,d'autant plus qu'à l'autre extrémité politique il y a les soldats qui se sont engagés à refuser d’obéir aux ordres si il s'agit de déloger des colons ...
L'armée israélienne n'est plus un monolithe apolitique ....
La politique israélienne n'est plus un monolithe sioniste mâtiné de nuances politiques,mais des partis distincts invoquant quasi tous (mais non collectivement) le sionisme pour justifier leurs actes,attirer le chaland et recevoir les dividendes de la légende d'un rêve devenu cauchemar .

Bref ...
Tout ça n'est pas fort encourageant ....

mon pauvre ungern triste de voir à quel point vous ne connaissez pas la réalité de la société israélienne!

cela en est risible !

coco!

Les représentants auto proclamé du peuple élu au suffrage direct n'ont pas été bien brillant aujourd'hui ; outre la médiocrité des remarques il apparaît clairement qu'ils n'ont même pas lu correctement les fils postés .

Et après çà ça va discuter de la Torah !
Et pourquoi pas me direz-vous ?

Bon...

Tout d'abord ,je file mes liens de mes sites :

http://palestine1967.voila.net/hist.non.rel/H.histoire.guerre.73.htm

http://palestine1967.voila.net/hist.non.rel/H.histoire.guerre.73.golan.htm

http://palestine1967.voila.net/hist.non.rel/H.histoire.guerre.73.barlev.htm

http://palestine1967.voila.net/hist.non.rel/H.histoire.guerre.73.sharontraverselecanal.htm

http://palestine1967.voila.net/carte/C.carte.mil.73.htm


Ensuite j'espère qu'un minimum d'intelligence va réussir à percer pour comprendre le principe du parapluie egyptien .

Je résume pour les Nuls :

Pour la première fois dans l'histoire d'un conflit,une force en mouvement et qui n'avait pas la maîtrise du ciel pouvait vivre en dessous d'un parapluie aérien fait de la conjonction d'artillerie antiaérienne autopropulsée accompagnant les véhicules en mouvement,de mini missiles disséminés à profusions (SAM 7) et de missiles plus lourds Sam 2 et 3 .

Tant que les chars égyptiens ont progressé à l'abri de ce parapluie,chaque attaque israélienne s'avérait un échec cuisant .

Quand les Syriens mal engagés dans le Golan lors de la 2° phase de l'offensive ont demandé de l'aide,contrairement à ce qu'un olibrius semble penser, les forces égyptiennes ne sont pas intervenues sur le front syrien,mais ont augmenté leur pression sur le front égyptien ,et pour se faire,ils devaient sortir du parapluie,ce qui leurs a été fatal .

Tout ceci est bien expliqué dans les liens supra avec une page spéciale "carte" .

il a beau essayé de nous faire croire que seul lui détient la vérité monsieur ungern l'insulteur patenté ne sait pas tout!

pour lui permettre de s'instruire voici ce que wipikédia dit :

coco!

Déroulement de la guerre
Dans le Sinaï
Article détaillé : Opération Badr (1973).

Contrairement à 1967, les unités égyptiennes choisirent de ne pas avancer au-delà de la couverture qu'assuraient leurs batteries de missiles SAM qu'ils avaient installées pour protéger les lignes de cessez-le-feu de 1967. Les forces aériennes sur lesquelles Israël avait misé l'essentiel de ses investissements militaires ne pouvaient ainsi rien tenter contre elles.

Les Égyptiens entamèrent des vastes bombardements aériens contre des radars, des batteries et trois aéroports israéliens. Durant ces bombardements, les Égyptiens perdirent onze avions dont celui piloté par le frère du président égyptien, Atif Sadate. Durant leur traversée du canal de Suez, les Égyptiens perdirent 2805 soldats sur les 8 000 qui constituaient la première vague.

Anticipant une rapide contre-attaque de l'armée israélienne, les Égyptiens répliquèrent avec des armes capables de détruire des tanks et avec les missiles antichar Sagger. Un soldat égyptien sur trois était armé contre les blindés. Les positions égyptiennes sur le canal de Suez avaient été surélevées de façon à obtenir un avantage certain pour tirer sur les tanks israéliens.

L'armée égyptienne surprit par son aisance à créer une brèche dans les défenses israéliennes et par sa capacité à traverser le canal malgré les forts Bar-Lev. Avec méthode, les forces égyptiennes pénétrèrent sur 15 kilomètres dans le désert du Sinaï grâce aux efforts combinés de deux brigades. L'avantage des positions défensives des Israéliens, construites sur des replats sablonneux, fut réduit par d'ingénieuses attaques égyptiennes au canon à eau qui facilitèrent les frappes contre ces postes exposés.

Face au nombre, les forts de la ligne Bar-Lev cédèrent tous sauf un (le plus au nord) aux Égyptiens qui consolidèrent leurs positions initiales. Le 8 octobre, Shmuel Gonen (en) (qui avait remplacé Ariel Sharon en tant que commandant du front sud seulement trois mois auparavant) ordonna une contre-attaque à Hizayon alors que les tanks israéliens y étaient particulièrement exposés aux tirs de Saggers. Le désastre et la contre-attaque nocturne des Égyptiens qui s'ensuivirent ne furent stoppés que par la division d'Ariel Sharon qui imposa une accalmie relative. Les deux armées se postèrent alors dans une position défensive. Des remaniements dans le commandement des troupes israéliennes se firent alors : Gonen, remplacé à la tête par Elazar et Bar-Lev, de retour de sa retraite. Le 9 octobre, Golda Meir lance un appel « sauvez Israël » et les États-Unis répondent à cet appel en envoyant des armes à Israël.

Après plusieurs jours d'attente, Sadate ordonna à nouveau l'offensive afin de faciliter les pressions syriennes au nord d'Israël. Ces nouvelles attaques furent lancées le 14 octobre et furent un échec. En effet, les attaques de front successives buttèrent sur les troupes israéliennes repliées. Les pertes quotidiennes s'élevaient entre 150 et 250 chars par jour d'après une source israélienne.
À partir du 15 octobre, les Israéliens changèrent de tactique et attaquèrent grâce à leur infanterie qui s'infiltra à pied jusqu'aux batteries de missiles sol-air et antichars.

Une division commandée par le major général Ariel Sharon attaqua la ligne égyptienne à son point le plus faible, à la limite entre les positions défendues par la Deuxième Armée égyptienne au nord et la Troisième Armée au Sud. Elle ouvrit une faille dans la ligne égyptienne et atteignit le canal de Suez. Une plus petite troupe passa le canal et constitua un pont pour rallier d'autres troupes grâce à des canots pneumatiques sur le canal. Une fois les missiles anti-aériens et anti-tanks neutralisés grâce à l'infiltration d'unités d'infanterie et l'utilisation de missiles de fabrication américaine M72, l'infanterie put à nouveau compter sur le support de ces corps de l'armée. La division de Avraham « Bren » Adan put mettre en place un pont flottant dans la nuit du 16 au 17 octobre et le traverser vers le sud afin de couper la route à la Troisième Armée égyptienne qui tentait de se replier à l'ouest. En même temps, les batteries de missiles SAM à l'est furent détruites.

Le ravitaillement des armées par les Soviétiques et les USA fut intense durant cette période.

Avant que la guerre ne s'arrête, une division israélienne était arrivée à 101 kilomètres de la capitale égyptienne Le Caire.
Sur le plateau du Golan
Offensive et contre-offensive sur le plateau du Golan.

Sur le plateau du Golan en altitude, les Syriens attaquèrent les Israéliens. Ils envoyèrent cinq divisions et 188 batteries d'artillerie contre les deux brigades et les onze batteries de défense des Israéliens. Au moment de l'assaut, seulement 180 chars d'assaut firent face aux quelques 1 400 tanks syriens équipés pour les combats nocturnes. Des commandos syriens parachutés par hélicoptère prirent immédiatement le plus important bastion de surveillance israélien sur le mont Hermon.

Les affrontements sur le plateau du Golan devinrent très vite la priorité des Forces de défense d'Israël qui y envoyèrent le plus rapidement possible des réservistes mobilisés car la chute du Golan aurait permis aux Syriens de s'infiltrer facilement plus en avant dans le territoire israélien. Les réservistes furent envoyés directement dans des chars sur le front sans attendre même le calibrage des canons.

Comme les Égyptiens dans le Sinaï, les Syriens utilisèrent les armes antichars fournies par les Soviétiques et restèrent sous la protection de leurs batteries de missiles SAM. Toutefois, les tirs contre les chars furent moins efficaces sur ce terrain que dans le désert.

Contrairement aux prévisions syriennes qui avaient estimé que les réservistes israéliens n'arriveraient sur le front qu'au bout d'une journée, Israël parvient à mobiliser ses unités et à les envoyer au front après seulement 15 heures de combats.

À l'issue du premier jour, les Syriens, pourtant beaucoup moins armés que leurs vis-à-vis israéliens, obtinrent une victoire. Ils furent sur le point de contrôler l'importante jonction de Nafekh (qui était aussi le quartier général israélien du plateau). Puis, pendant quatre jours, la septième brigade israélienne commandée par Yanush Ben Gal résista pour conserver le flanc Nord du quartier général de Nafekh. Au Sud, la brigade « Barak », non protégée par des obstacles naturels, essuya de lourdes pertes. Le commandant colonel Shoham mourut dans les premiers jours de combats alors que les Syriens tentaient désespérément d'avancer pour atteindre le lac de Tibériade.

Le vent tourna à partir du 8 octobre, à l'arrivée des nouveaux réservistes israéliens et de nouvelles armes américaines qui parvinrent à bloquer l'offensive syrienne puis, le 10 octobre, à la repousser au-delà de la Purple Line, la frontière d'avant la guerre.
T-62 syriens hors de combat sur les hauteurs du Golan.

Rabinovich raconte que le débat fut alors intense sur la question de continuer la contre-attaque à l'intérieur des frontières syriennes. La défaite de Shmuel Gonen dans le Sinaï s'était passée deux jours plus tôt et marquait encore les esprits. Certains considéraient sage de rester sur la défensive sur le plateau du Golan plutôt que de s'engager sur les plaines syriennes mais, quatre jours auraient été nécessaires pour envoyer les troupes du Golan dans le Sinaï et le bilan global israélien était alors négatif : perte de terrain dans le Sinaï et statu quo dans le nord. La décision fut donc prise de passer la Purple Line dès le 11 octobre.

Du 11 au 14 octobre, la poussée israélienne les amena à 40 km des banlieues de Damas qui étaient à la portée de l'artillerie. Le roi Hussein de Jordanie décida alors que la situation exigeait l'intervention de son armée. Certaines sources rapportent ainsi qu'il fit le nécessaire pour envoyer des troupes jordaniennes en soutien aux Syriens tout en évitant d'être attaqué par les Israéliens à ses propres frontières. Ces derniers ne souhaitaient pas non plus ouvrir un troisième front. Par ailleurs, l'Irak expédia quelque 30 000 hommes, 500 chars d'assaut et 700 APC. Les efforts combinés des armées arabes empêchèrent Israël d'avancer davantage.

Le 22 octobre, les brigades israéliennes récupérèrent la position du mont Hermon malgré de lourdes pertes dues aux franc-tireurs syriens. Les pertes des attaques contre cette position furent lourdes mais le sommet du mont fut occupé par une brigade parachutiste israélienne suite à une brèche percée par un bulldozer D9 de l'infanterie.

Ungern a écrit:

C'est toute la différence entre un copié-collé et un article analytique et réfléchis .

Mais on constatera que les 2 versions sont fonctionnellement identiques :
la mienne et celle que l'on retrouve en résumé sans explications tactiques sur Wikipédia ...

les israéliens n'ont pas l'habitude de dévoiler nos secrets militaires aussi je me contente pour vous renseigner ce que je trouve sur le Net et j'en fais un copié-collé!

coco!

coco! a écrit:

Ungern a écrit:

C'est toute la différence entre un copié-collé et un article analytique et réfléchis .

Mais on constatera que les 2 versions sont fonctionnellement identiques :
la mienne et celle que l'on retrouve en résumé sans explications tactiques sur Wikipédia ...

les israéliens n'ont pas l'habitude de dévoiler nos secrets militaires aussi je me contente pour vous renseigner ce que je trouve sur le Net et j'en fais un copié-collé!

coco!

L'olibrius, qui ne l'est pas tant que ca avec les irrespectueux, continue a se marrer. Les Egyptiens avaient bien demander aux Syriens de faire pression sur Israel mais SUR TERRE, car c'etait la ou ils etaient mis en difficulte par quelques tanks paumees sur le GOLAN de TSAHAL. La on ne voit pas ce que viennent faire l'aviation et les SAM Egyptiens. Mais comme d'habitude vous repondez, a l'occasion a COCO, par une forte rigolade et vous pensez etre devenu intelligent, comme d'habitude. Des carte je vous en montrerai des dizaines dont celles de l'encerclement de Tel-Aviv. Mais il vous est difficile de dire que les generaux Israelien sont des genis militaires, que les soldats de TSAHAL pris par surprise les pantalons baisses les ont vite remontes et se sont conduit en heros a un contre trente. C'est cette verite qui vous fait mal et qui ne passe pas. Alors vous brodez d'autres histoires d'autre faits, vrais par contre mais que vous enjolivez, pour vous faire passer la pilule assez amere. Un general Israelien a eu cette superbe phrase : NOUS AVONS REGARDES LA MORT EN FACE ET LA MORT A BAISSE LES YEUX. Sans commentaire

LE GAVE a écrit:

Un general Israelien a eu cette superbe phrase : NOUS AVONS REGARDES LA MORT EN FACE ET LA MORT A BAISSE LES YEUX.

Pendant la guerre de 40,le Vésuve est entré en éruption ,et Mussolini est venu voir la lave qui coulait .

Un journaliste a écrit :"Le fleuve brûlant de lave s'est figé devant le regard plus brûlant encore du Duce !".

Il a sans doute été copié ....

Pour une grosse co.... c'est une tres grosse co.. je n'en attendais pas moins de vous, vous etes aveugle par la haine et je ne crois pas que vous pourrez vous sooigner.

Ungern a écrit:

LE GAVE a écrit:

Un general Israelien a eu cette superbe phrase : NOUS AVONS REGARDES LA MORT EN FACE ET LA MORT A BAISSE LES YEUX.

Pendant la guerre de 40,le Vésuve est entré en éruption ,et Mussolini est venu voir la lave qui coulait .
Un journaliste a écrit :"Le fleuve brûlant de lave s'est figé devant le regard plus brûlant encore du Duce !".
Il a sans doute été copié ....

Il y a un peu plus longtemps, un autre rital célèbre a dit, dans des circonstances plus semblables à celles qui nous occupent ici : "Veni, vidi, vici"

Ungern a écrit:

Biloulou a écrit:

Il y a un peu plus longtemps, un autre rital célèbre a dit, dans des circonstances plus semblables à celles qui nous occupent ici : "Veni, vidi, vici"

Je me rappelle moi , d'un Empereur devenu fou qui ne cessait de répéter : "varus,Varus, rends-moi mes Légions" !
La Roue Tourne ...

Oui, et un autre "mon royaume pour un cheval" ou alors "je suis fou du chocolat Lanvin" et encore "Marcel, passe-moi le sel"... l'histoire regorge de phrases célèbres censées avoir été prononcées par des hommes légendaires dans des circonstances particulières...

Elles servent par la suite à n'importe qui à justifier n'importe quoi !