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| LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- | |
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Auteur | Message |
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OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 9/11/2012, 07:33 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- Barack Obama appelle ses alliés pour poursuivre une "coopération étroite"
de NouvelObs.com
Barack Obama a appelé jeudi 13 dirigeants internationaux, dont l'Israélien Benjamin Netanyahu et l'Egyptien Mohamed Morsi, appelant chacun d'eux à poursuivre "une coopération étroite" avec les Etats-Unis, au surlendemain de sa réélection pour un second mandat.
Pour la fin de son premier mandat et le début du second --qui commencera officiellement le 20 janvier 2013--, Barack Obama devrait se tourner davantage vers la politique internationale, après des mois d'une campagne présidentielle essentiellement axée sur les problèmes intérieurs américains.
Signe fort de ce retour sur la scène internationale, la Maison Blanche a également confirmé jeudi que le président se rendrait d'ici une dizaine de jours en Birmanie pour une visite historique au cours de laquelle il rencontrera le président Thein Sein et l'opposante Aung San Suu Kyi.
Mais l'agenda immédiat du président américain est aussi intérieur: il devrait se pencher rapidement sur un remaniement de son administration, avec des changements prévisibles au département d'Etat, au Pentagone et au Trésor.
Clinton, Panetta, Geithner sur le départ
Alors que Washington bruisse de rumeurs sur sa candidature pour la présidentielle de 2016, Mme Clinton, 65 ans, a maintes fois assuré qu'elle arrêtait la politique. Les noms de l'ancien candidat démocrate à la présidentielle en 2004, le sénateur John Kerry, et de l'ambassadrice à l'ONU, Susan Rice, sont souvent évoqués pour lui succéder.
Le secrétaire à la Défense Leon Panetta souhaite lui aussi prendre du repos. A 74 ans, il dirige depuis l'été 2011 le Pentagone après avoir régné sur la centrale du renseignement (CIA) au début du premier mandat de M. Obama.
Parmi ses remplaçants possibles figurent l'ancienne numéro trois du Pentagone, Michèle Flournoy, qui serait la première femme titulaire du poste. Autre candidat potentiel, Ash Carter, actuel numéro deux et spécialiste des affaires budgétaires.
Ces dossiers budgétaires et fiscaux seront en tête des préoccupations de M. Obama d'ici à fin décembre, avec la menace du "mur budgétaire" qui se profile, fruit notamment de l'expiration d'exemptions fiscales et d'entrée en vigueur de coupes automatiques dans les dépenses, sans parler de la nécessité de relever à nouveau le plafond de la dette.
Le président a déjà pris contact avec les chefs de file démocrates et républicains du Congrès, dont l'équilibre n'a pas été modifié par les législatives de mardi: la Chambre des représentants reste républicaine, le Sénat démocrate.
Le nom du remplaçant du secrétaire au Trésor, Timothy Geithner, prendra donc une importance particulière, après quatre années marquées par la crise économique mais aussi des négociations acharnées avec le Congrès en 2011, quand les Etats-Unis se sont retrouvés au bord du défaut de paiements.
Le secrétaire général de la Maison Blanche Jack Lew, fin connaisseur des affaires budgétaires et parlementaires, pourrait lui succéder. | |
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Auteur | Message |
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OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Date d'inscription : 16/11/2008
| | | | Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| | | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 16/4/2013, 18:49 | |
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| | | Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 16/4/2013, 19:05 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 16/4/2013, 23:16 | |
| Pendant ce temps Biloulou vous trainera inexorablement vers Xenu.
Fascinant! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 17/4/2013, 23:21 | |
| Échec de la grande réforme des lois sur les armes d'ObamaUn fusil semi-automatique AR-15.
La réforme des lois sur les armes promue par le président Barack Obama a subi mercredi un échec sévère, quatre mois après l'électrochoc du massacre de l'école de Newtown, avec le rejet d'une des mesures principales par le Sénat américain.
- Spoiler:
Quatre élus du parti démocrate du président ont fait défection et rejoint les républicains pour voter contre un amendement qui aurait imposé des vérifications d'antécédents judiciaires et psychiatriques avant les achats d'armes sur internet et dans les foires spécialisées.
«Honte à vous!» a crié depuis la galerie du public Patricia Maisch, qui avait survécu à la fusillade de Tuscon, dans l'Arizona, en janvier 2011, et assistait au vote avec des proches de victimes de Newtown.
Le rejet du texte --lui-même édulcoré par rapport aux premières versions-- marque une défaite politique cinglante pour Barack Obama, qui a investi un capital politique considérable sur ce thème.
Le président américain devait s'exprimer sur ce sujet mercredi à 17h30.
Depuis janvier, il a consacré trois déplacements et deux interventions formelles à la Maison Blanche aux armes à feu, souvent aux côtés de parents d'écoliers abattus à bout portant par Adam Lanza, le 14 décembre, dans deux salles de classe de l'école Sandy Hook à Newtown, au Connecticut.
Une heure avant le vote, anticipant la défaite, le vice-président Joe Biden avait promis que «si nous n'y parven(ions) pas aujourd'hui, nous y parviendrons en fin de compte». Il a exceptionnellement présidé la séance.
John McCain, l'ancien candidat républicain à la présidentielle, avait quant à lui tâché de consoler les auteurs de la mesure, un peu plus tôt: «faire ce qui est bien est toujours une récompense en soi».
Deuxième amendement
Les vérifications d'antécédents sont aujourd'hui requises seulement dans les magasins, sauf dans quelques États qui ont voté des lois plus strictes. Or les armureries ne représentent que 60% des ventes.
Une écrasante majorité d'Américains soutient la suppression de cette faille légale, mais le puissant lobby des armes, par la voix de la National Rifle Association (NRA), s'est montré intraitable.
La NRA, forte de millions de membres, peut se révéler une redoutable ennemie politique au moment des élections, en finançant des publicités télévisées contre les républicains qui l'auraient froissée en votant pour un affaiblissement perçu du deuxième amendement de la Constitution, qui garantit le droit de détenir une arme pour se défendre.
Un foyer américain sur trois possède au moins une arme.
Les démocrates qui ont voté contre, mercredi, représentent des État ruraux comme l'Arkansas et le Dakota du Nord, où de nombreuses familles adhèrent à la NRA et possèdent des armes pour l'autodéfense, la chasse, le tir sportif ou comme simples collectionneurs.
Le républicain Charles Grassley a accusé mercredi l'administration Obama «de politiser une terrible tragédie pour promouvoir son programme anti-armes» et proposé sa propre mesure qui, de fait, assouplirait certaines réglementations.
«Le but est de faire quelque chose sur le fond qui s'attaquera au problème sous-jacent, et pas seulement de voter une loi pour se sentir mieux», a déclaré Lindsey Graham, fier propriétaire d'un fusil semi-automatique adapté d'un modèle militaire.
Les sénateurs devaient encore voter mercredi et dans les prochains jours sur des amendements traitant, entre autres, des armes d'assaut, des chargeurs de grande capacité et du trafic d'armes.
Le texte sur les armes d'assaut, qui interdirait la fabrication, la vente et l'importation de centaines de modèles d'armes semi-automatiques, du type de celle utilisée par Adam Lanza, est quasi assuré d'une défaite.
Des mesures plus consensuelles sur l'offre de soins psychiatriques pourraient être adoptées.
Mais le coeur de la réforme, visant à empêcher délinquants et déséquilibrés de se procurer des armes d'occasion sur les marchés secondaires, a bel et bien été abattu en plein vol mercredi.
Intervention d'Obama
Barack Obama va intervenir mercredi à 17h30 depuis la Maison Blanche après cet échec.
M. Obama doit s'exprimer depuis la roseraie de la résidence exécutive au sujet des «mesures de bon sens pour réduire la violence due aux armes», a précisé son service de presse dans un communiqué.
Plus tôt mercredi, quatre élus du parti démocrate du président ont fait défection et rejoint les républicains pour voter contre un amendement qui aurait imposé des vérifications d'antécédents judiciaires et psychiatriques avant les achats d'armes sur internet et dans les foires spécialisées.
Le rejet du texte - lui-même édulcoré par rapport aux premières versions - marque une défaite politique cinglante pour Barack Obama, qui avait investi un capital politique considérable sur ce thème.
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| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 20/4/2013, 17:05 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 20/4/2013, 17:09 | |
| parfois on se croirait sur facebook. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 20/4/2013, 17:31 | |
| Il s'agit d'un cas de névrose obsessionnelle. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 20/4/2013, 17:44 | |
| - Eric a écrit:
- Il s'agit d'un cas de névrose obsessionnelle.
Effectivement.
T'as pris tes pilules? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 20/4/2013, 17:48 | |
| Je vous remercie. J'ai bien pris mes pilules. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 20/4/2013, 17:52 | |
| - Eric a écrit:
- Je vous remercie. J'ai bien pris mes pilules.
Ça doit être des vraies, on ne perçoit même pas l'effet placebo habituel. |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 24/4/2013, 09:26 | |
| - Citation :
- Washington tergiverse face aux armes chimiques d'Assad
Le Figaro.fr
L'armée israélienne a accusé, mardi, les forces gouvernementales syriennes d'utiliser du gaz sarin dans sa guerre contre les rebelles.
Cela n'est pas nouveau. À l'ONU, des diplomates ont confirmé au début du mois disposer de preuves «solides» et «très convaincantes» que des armes chimiques ont bien été employées en Syrie: à Alep, à Homs et peut-être à Damas. Alors que le régime de Bachar el-Assad a refusé aux enquêteurs des Nations unies d'accéder aux sites suspects, l'utilisation de telles armes a été confirmée à Paris et à Londres par des sources bien informées.
Mais en portant ses accusations à découvert, pendant une conférence internationale sur la sécurité à Tel-Aviv, le général Itai Brun a donné une couleur particulière aux soupçons contre Damas. La veille, en effet, le secrétaire américain à la Défense, Chuck Hagel, avait affirmé lors d'une visite en Israël que les agences de renseignements de son pays enquêtaient toujours sur le sujet. Depuis plusieurs semaines, les Américains semblent botter en touche. Mardi encore, la Maison-Blanche a indiqué n'être «pas parvenue à la conclusion» de l'utilisation d'armes de cette nature par Damas.
C'est que Barack Obama, suivi par ses alliés britannique et français, a fait de l'utilisation ces armes chimiques par le régime syrien une «ligne rouge» qui, si elle était franchie, serait susceptible de provoquer une intervention militaire. Cette «ligne rouge», susceptible selon les responsables américains «de changer la donne», a visiblement sauté depuis plusieurs semaines sans provoquer aucune réaction de Washington. Lassitude de la guerre après l'Irak et l'Afghanistan, peur des opposants islamistes, recentrage stratégique vers l'Asie: les raisons de ne pas intervenir en Syrie sont nombreuses, vues de Washington. | |
| | | Invité Invité
| | | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 1/5/2013, 19:33 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 2/5/2013, 21:30 | |
| Ces gens-là haïssent plus Obama qu’ils aiment leur pays et ses habitants…La citation du jour - Citation :
- «J’étais vraiment furieux que la loi n’ait pas été adoptée. Mais j’ai pensé que le président Obama avait mal agi en se présentant devant le public et en utilisant des gens qui ont souffert en raison de la violence due aux armes comme accessoires.»
- Rick Buckman, électeur républicain de Pennsylvanie, exprimant une logique à la fois insondable et typique des partisans et élus du GOP à propos de l’échec au Sénat d’un projet de loi qui aurait renforcé les vérifications des antécédents des acheteurs d’armes.
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| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 4/5/2013, 10:02 | |
| Les États-Unis se résignent à armer les rebelles syriensLe Figaro.fr Les États-Unis vont peut-être apporter une aide militaire aux rebelles syriens. Depuis le début du conflit il y a deux ans, les américains avaient toujours cherché à repousser cette éventualité.La décision n'a pas encore été prise, mais Washington y songe sérieusement. Pour la première fois, le secrétaire à la Défense, Chuck Hagel, vient de reconnaître que les États-Unis n'écartent plus la possibilité de fournir des armes à l'opposition syrienne, qui cherche depuis deux ans à renverser Bachar el-Assad. Mais Hagel l'a fait du bout des lèvres, conscient qu'il s'agit de « la moins mauvaise solution», comme le relève le Wall Street Journal. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 11/5/2013, 22:04 | |
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| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 18/5/2013, 08:45 | |
| Barack Obama limoge le patron du fisc américainboursorama.com Barack Obama a limogé le directeur par intérim du fisc américain (IRS), Steven Miller, en réaction à la controverse provoquée par le ciblage de groupes conservateurs par des agents des impôts.Le président américain s'est dit déterminé à régler les problèmes affectant l'IRS et a promis que les employés mis en cause seraient tenus responsables de leurs actes " scandaleux". S'exprimant dans la roseraie de la Maison blanche, Obama a précisé ne pas avoir été au courant de l'affaire avant les révélations publiées par la presse. OBAMA "EN COLÈRE"Accusé par les républicains de réactions trop modérées face à la controverse sur l'IRS, Barack Obama s'est dit mercredi " en colère" contre le mauvais comportement " inexcusable" des agents du fisc impliqués. Il a promis de travailler " main dans la main" avec le Congrès afin de mettre en place de nouveaux garde-fous. Réagissant au limogeage du patron par intérim du fisc, le chef de la minorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell, s'est ironiquement félicité de voir " le président commencer à agir plus de deux ans après l'apparition du problème, et un an après que l'IRS nous a dit qu'il n'y avait pas de problème". Selon une source au Congrès citée par CNN, Steven Miller a identifié deux agents d'une cellule de Cincinnati comme les principaux responsables de contrôles "excessivement agressifs" envers les groupes associés au mouvement Tea Party, qui est notoirement hostile à l'impôt. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 19/5/2013, 18:45 | |
| Barack Obama maintient sa cote de popularité malgré les polémiques La cote de popularité du président américain Barack Obama s'est maintenue cette semaine au-dessus de 50%, selon un sondage CNN publié dimanche, malgré les trois polémiques impliquant son administration.
- Spoiler:
Quelque 53% des Américains approuvent le travail du dirigeant tandis que 45% le désapprouvent, indique l'étude réalisée par CNN et l'institut ORC vendredi et samedi, à l'issue d'une semaine politique monopolisée par plusieurs controverses qui ont déclenché la fureur des républicains.
Un projet de loi sur la protection des sources des journalistes a été exhumé après l'indignation suscitée par la révélation de la saisie de relevés téléphoniques d'Associated Press par le département de la Justice. Des têtes ont par ailleurs commencé à tomber dans l'administration fiscale, qui a reconnu avoir soumis des dizaines de groupes conservateurs à des procédures administratives extrêmement lourdes et "inappropriées". Enfin, l'affaire de l'attentat de Benghazi (Libye) en septembre a continué à occuper l'actualité, la Maison Blanche ayant publié, sous pression, 100 pages d'emails internes pour contrer les accusations de manipulation.
Début avril, le même sondage donnait au président une cote statistiquement équivalente de 51%.
Près de 61% des personnes interrogées estiment que les déclarations de Barack Obama sur l'affaire du fisc ont été "majoritairement vraies" ou "complètement vraies", tandis que 54% considèrent que les élus républicains ont "réagi de façon appropriée" aux révélations.
"Les Américains ont une grande confiance dans le président", a commenté Dan Pfeiffer, haut conseiller de la Maison Blanche, sur CNN dimanche. "La question pour les républicains est de savoir s'ils vont travailler avec le président" sur les grands dossiers législatifs de l'année, notamment la réforme de l'immigration et le budget de l'Etat fédéral.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 23/5/2013, 18:17 | |
| C'est la réalité ailleurs dans le monde itou sauf dans ce qui sert de tête aux adeptes des Vraies Foies... |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 20/6/2013, 19:19 | |
| À Berlin, Barack Obama exhorte au désarmement nucléaireLe Point.fr La Russie a aussitôt répliqué qu'elle ne pouvait pas "considérer sérieusement" cette proposition de réduire les arsenaux nucléaires." Le Mur appartient à l'histoire. Mais nous devons faire l'histoire aussi", a déclaré le président américain Barack Obama lors de son déplacement, mercredi, à Berlin. Faisant référence aux 50 ans du célèbre discours de son prédécesseur John F. Kennedy - "Ich bin ein Berliner" -, prononcé le 26 juin 1963 dans une ville coupée en deux par le rideau de fer, M. Obama a estimé que la fin de la guerre froide n'avait pas mis fin à la lutte pour un monde meilleur. "Les mots" de Kennedy, qui avait justement plaidé pour " la paix et la justice", sont " intemporels", a-t-il dit, devant la porte de Brandebourg, un monument hors d'atteinte lorsque le Mur séparait Allemagne de l'Ouest et de l'Est. " Le Mur appartient à l'histoire. Mais nous devons faire l'histoire aussi", a-t-il déclaré, énumérant les défis contemporains : les extrémismes, la pauvreté et la famine, le réchauffement climatique et la menace de la prolifération nucléaire. Sur ce dernier dossier, il a fait la proposition la plus concrète de son discours. " Nous pouvons assurer la sécurité de l'Amérique et de nos alliés et maintenir de forts moyens de dissuasion tout en réduisant nos armes stratégiques de jusqu'à un tiers", a déclaré M. Obama, devant 6 000 invités réunis sous un soleil de plomb sur la Pariser Platz, devant la porte de Brandebourg. Il a invité Moscou à des négociations de désarmement. " J'ai l'intention de chercher à obtenir des réductions négociées avec la Russie pour dépasser les positions nucléaires de la guerre froide", a-t-il dit. "Niet" de la RussieLa Russie a répliqué peu après par la voix du vice-Premier ministre Dmitri Rogozine qu'elle ne pouvait pas " considérer sérieusement" ces propositions. " Comment peut-on considérer sérieusement cette idée de réduction des arsenaux nucléaires quand les États-Unis développent leur potentiel d'interception de cet arsenal stratégique", a déclaré M. Rogozine, qui est chargé du complexe militaro-industriel russe, cité par l'agence Itar-Tass. Lutter contre le changement climatiqueBarack Obama a également promis que les États-Unis " feront plus" pour lutter contre le changement climatique. " La paix et la justice, cela veut dire refuser de condamner nos enfants à (vivre sur) une planète moins hospitalière, a-t-il expliqué. C'est notre travail (...), nous avons une obligation morale." | |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 20/7/2013, 09:20 | |
| Barack Obama: «J'aurais pu être Trayvon Martin»20minutes.fr Le président américain veut réduire la «défiance» entre les Afro-Américains et la police...Barack Obama a poursuivi son analyse, très personnelle, en évoquant le racisme. « La communauté afro-américaine observe ces questions à travers un ensemble d'expériences, et une histoire qui ne disparaît pas. Il y a très peu d'hommes afro-américains qui n'ont pas vécu l'expérience d'être suivis (par des vigiles) dans un grand magasin où ils faisaient leurs courses. Cela a été mon cas», a-t-il affirmé. « Il faut réduire la défiance entre les Afro-Américains et la police», a dit le président, ajoutant que la violence « déshonorerait» ce qui est arrivé à Trayvon Martin, alors que de nombreuses manifestations ont honoré la mémoire du jeune homme. Obama a s'est prononcé en faveur d'un examen des législations locales sur la légitime défense. « Dans le même ordre d'idée, je pense qu'il serait utile pour nous d'examiner certaines lois locales si elles sont élaborées d'une telle façon qu'elles encouragent le genre d'altercation, d'affrontements et de tragédies que nous avons vues en Floride», a-t-il estimé. | |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: LE MONDE SELON BARACK -- ACT II -- 24/7/2013, 06:17 | |
| Obama sur le terrain pour défendre sa vision de l'économielapresse.ca Cinq ans après l'éclatement de la crise financière, «le sol est un peu plus ferme, mais il y a encore beaucoup à faire pour que la classe moyenne se sente en sécurité», a argumenté lundi soir Barack Obama.A Galesburg (Illinois), comme à Warrensburg, au Missouri, où il se rendra ensuite, le président a l'intention de parler de « la sécurité de l'emploi, une bonne formation, un foyer à soi, des soins médicaux abordables et l'opportunité de mettre de l'argent de côté pour sa retraite» selon son proche conseiller Dan Pfeiffer. Une autre intervention est prévue jeudi à Jacksonville, en Floride. La présidence est toutefois restée discrète sur la teneur concrète des mesures avancées par le président. Ce dernier a assuré lundi qu'il présenterait « des idées ambitieuses», certaines « déjà présentées dans le passé, d'autres qui seront nouvelles». Ces ambitions risquent toutefois de se heurter au refus des républicains majoritaires dans une Chambre des représentants souveraine en matière d'engagements de dépenses. Ces élus ont bloqué nombre d'initiatives présidentielles depuis début 2011. Mardi, le président de la Chambre John Boehner a juré que « nous n'allons pas relever le plafond de la dette sans véritables coupes dans les dépenses». « Nous ne négocierons pas sur la responsabilité du Congrès de régler les factures que le Congrès a accumulées», a répliqué le porte-parole de M. Obama, Jay Carney. Cette crise en devenir risque d'exacerber l'incapacité des conservateurs et des alliés du président à s'entendre sur un budget, qui a déjà déclenché en mars une cure d'austérité drastique pour l'État fédéral. M. Obama souhaite que tout accord budgétaire, nécessaire pour assurer la poursuite des opérations de l'État après octobre, remplace l'austérité par un cocktail de réductions de dépenses et de hausses d'impôts pour les plus aisés, impossible à envisager selon les républicains. | |
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