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"Assises de Tours: ouverture du procès des bébés congelés -- Affaire Courjault -"
Véronique Courjault, une mère de famille de 41 ans, qui a avoué trois infanticides, deux commis à Séoul et un en France, comparaît à partir de mardi devant la cour d'assises d'Indre-et-Loire, à Tours.
Jugée pour "assassinats", elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le procès devrait durer jusqu'au 17 juin.
Incarcérée depuis le 12 octobre 2006, à Orléans, Véronique Courjault sera seule dans le box des prévenus. Son mari, Jean-Louis, 42 ans, a été mis hors de cause après avoir été dans un premier temps mis en examen pour "complicité d'assassinats". Sa femme a toujours dit qu'il "n'était pas au courant".
La découverte le 23 juillet 2006 par le mari de deux bébés dans le congélateur de leur maison à Séoul avait été le point de départ de ce fait divers qui a marqué les Français, mais aussi les Coréens.
Le couple nie d'abord "être les parents" mais est confondu par les tests ADN.
La femme reconnaît trois infanticides. Le premier sur un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en Charente-Maritime, les deux autres sur deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 à Séoul où son mari ingénieur travaillait pour une société américaine.
"Les grossesses qui se passent mal existent", plaide le mari qui aime toujours sa femme. Il s'occupe de leurs deux garçons, âgés de 14 et 12 ans, dans leur maison en Touraine. "Je ne les sentais pas bouger dans mon ventre... Pour moi ça n'a jamais été des enfants", confiera-t-elle aux psychiatres qui avouent se trouver "face à un cas assez exceptionnel".
Le déni de grossesse occupera vraisemblablement une grande partie des débats. "Mais pas tous les débats. Le cas de Mme Courjault ne se résume pas à cette notion", estime aujourd'hui Me Hélène Delhommais, un des conseils de Mme Courjault. Selon l'avocate, sa cliente "a hâte d'être jugée. Elle a beaucoup travaillé avec le psychiatre de la maison d'arrêt pour préparer son procès".
275 - Biloulou - p. 27 Sujet: Re: DOSSIERS criminels, enquêtes & affaires judiciaires Jeu 29 Oct 2009 80° anniversaire du Jeudi Noir de Wall Street à 1:05
Citation :
Bien Cher Eddie, Je mets l'occasion à profit pour solliciter votre immense savoir en matière de droit, notamment. Est-ce que la réciproque de l'article de loi souligné est vrai ? Je veux dire, si... allez, au hasard : prenons le cas d'une citoyenne libanaise, par exemple, résidante en Espagne, qui boit du Chivas et conduit une Smart. En plus des ennuis que cette conjonction peut lui apporter en Espagne, est-elle punissable dans son pays d'origine pour ces deux actes coupables, boire de l'alcool et conduire une voiture ? (Acceptez-vous PayPal ? AlloPass ?)
La loi pénale libanaise est généralement très libérale envers les turpitudes de ses assujettis nationaux commises loin du pays du Cèdre.
Par contre, garante des bonnes manières raffinées dont le Proche Orient est le fier détenteur, le juge judiciaire libanais se montre le garant inflexible du bon goût libanais que ce soit au pays ou hors de lui (du pays).
Ainsi verrait-il matière à sanction si une citoyenne libanaise conduisait une Smart. En effet cette voiture est un écrin, c'est l'écrin qui conduit le bijou et non l'inverse.
Le magistrat sanctionnateur réprimerait également une faute de goût qui consisterait pour une citoyenne du pays du Cèdre à associer la consommation du Chivas et l'usage d'une Smart, qui est rappelons-le un fleuron du luxe helvético-allemand qu'il est en aucune façon possible d'associer à un produit qui ne soit pas culturellement attaché à ces deux beaux pays d'Europe. Pour une question culturelle, rouler en Smart exige de ses utilisateurs qu'ils boivent exclusivement un cocktail germano-suisse par exemple du Jägermeister- Sinalco (en cas de rupture de stock de Sinalco un soda Bionade peut être admis dans du pur marc de gentiane des Alpes suisses).
En résumé, une citoyenne libanaise peut boire et conduire à l'étranger sans être attraite aux foudres du droit criminel libanais à la condition expresse qu'elle utilise une Smart ou tout autre véhicule de classe et qu'elle consomme une boisson culturellement conforme à l'image de marque du véhicule associé.
(Chivas et Rolls-Royce est une association acceptée, encore que le Chivas fasse très "prolo" pour un gentleman ou une lady conduits en Rolls ; un scotch single arran d'un producteur local des Hautes Terres serait plus convenable...)
Seuls les versements par CoucouPassDroit sont acceptés.
275 - Biloulou - p. 27 Sujet: Re: DOSSIERS criminels, enquêtes & affaires judiciaires Jeu 29 Oct 2009 80° anniversaire du Jeudi Noir de Wall Street à 1:05
Citation :
Bien Cher Eddie, Je mets l'occasion à profit pour solliciter votre immense savoir en matière de droit, notamment. Est-ce que la réciproque de l'article de loi souligné est vrai ? Je veux dire, si... allez, au hasard : prenons le cas d'une citoyenne libanaise, par exemple, résidante en Espagne, qui boit du Chivas et conduit une Smart. En plus des ennuis que cette conjonction peut lui apporter en Espagne, est-elle punissable dans son pays d'origine pour ces deux actes coupables, boire de l'alcool et conduire une voiture ? (Acceptez-vous PayPal ? AlloPass ?)
La loi pénale libanaise est généralement très libérale envers les turpitudes de ses assujettis nationaux commises loin du pays du Cèdre.
Par contre, garante des bonnes manières raffinées dont le Proche Orient est le fier détenteur, le juge judiciaire libanais se montre le garant inflexible du bon goût libanais que ce soit au pays ou hors de lui (du pays).
Ainsi verrait-il matière à sanction si une citoyenne libanaise conduisait une Smart. En effet cette voiture est un écrin, c'est l'écrin qui conduit le bijou et non l'inverse.
Le magistrat sanctionnateur réprimerait également une faute de goût qui consisterait pour une citoyenne du pays du Cèdre à associer la consommation du Chivas et l'usage d'une Smart, qui est rappelons-le un fleuron du luxe helvético-allemand qu'il est en aucune façon possible d'associer à un produit qui ne soit pas culturellement attaché à ces deux beaux pays d'Europe. Pour une question culturelle, rouler en Smart exige de ses utilisateurs qu'ils boivent exclusivement un cocktail germano-suisse par exemple du Jägermeister- Sinalco (en cas de rupture de stock de Sinalco un soda Bionade peut être admis dans du pur marc de gentiane des Alpes suisses).
En résumé, une citoyenne libanaise peut boire et conduire à l'étranger sans être attraite aux foudres du droit criminel libanais à la condition expresse qu'elle utilise une Smart ou tout autre véhicule de classe et qu'elle consomme une boisson culturellement conforme à l'image de marque du véhicule associé.
(Chivas et Rolls-Royce est une association acceptée, encore que le Chivas fasse très "prolo" pour un gentleman ou une lady conduits en Rolls ; un scotch single arran d'un producteur local des Hautes Terres serait plus convenable...)
Seuls les versements par CoucouPassDroit sont acceptés.
Affaire Tapie: le tribunal administratif rejette le recours des députés
Economie - Monde 15:21 Le tribunal administratif de Paris a rejeté un recours de députés demandant l'annulation de l'arbitrage entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais obligeant l'Etat à verser 285 millions d'euros à l'ancien homme d'affaires, a indiqué samedi le député NC Charles de Courson. Confirmant une information du Monde, M. de Courson, l'un des requérants a expliqué à l'AFP que les juges avaient estimé que le Consortium de réalisation, chargé de gérer le passif du Crédit lyonnais, était en droit, en tant que "société de droit privée" et donc "autonome" vis-à-vis de l'Etat, de recourir à la procédure de l'arbitrage. M. de Courson, qui avait déposé un recours au côté du PS, n'a pas encore décidé s'il allait interjeter appel de cette décision. Après une quinzaine d'années de procédures, un tribunal arbitral chargé de régler le litige opposant Bernard Tapie et le CDR (qui gère le passif du Crédit lyonnais) a condamné ce dernier en juillet 2008 à verser à l'homme d'affaires 285 millions d'euros au titre du "manque à gagner" et du "préjudice moral" dans la vente d'Adidas. La ministre de l'Economie Christine Lagarde avait donné son feu vert pour le paiement de cette somme, expliquant que l'arbitrage était plus avantageux pour l'Etat que la voie judiciaire normale. Les députés qui ont saisi le tribunal administratif, à l'instar de M. de Courson, jugeaient eux que le CDR ayant un actionnaire public, il ne pouvait avoir recours à l'arbitrage privé. Selon le jugement que Le Monde s'est procuré, le tribunal administratif a estimé que Mme Lagarde n'avait "pas commis d'erreur manifeste d'appréciation" et qu'en acceptant l'arbitrage elle avait "écarté le risque sérieux d'une nouvelle condamnation et même d'aggravation de la première condamnation".
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
La loi pénale libanaise est généralement très libérale envers les turpitudes de ses assujettis nationaux commises loin du pays du Cèdre. [...]
Mes plus sincères remerciements pour cet admirable travail d'analyse et de synthèse. Je note que si, pénalement, la châtel citoyenne libanaise est innocente de toute charge, une impardonnable faute de goût peut lui être imputée.
Encore si, au lieu de Chivas, elle s'abreuvait de Sheridan, aux formes plus évocatrices ?
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
J'aurais peut-être un cas a soumettre a votre jugement.
Nous sommes bien dans le post '' DOSSIERS criminels, enquêtes & affaires judiciaires''
Analysons la signature de M.Biloulou
Disciple du Bon Sens, pourfendeur de la Pensée Unique (Pourfendeur, déjà là, ne fait-il pas preuve d'une certaine forme d'activisme brutal? ) , allergique aux Idées Reçues et aux Préjugés, en rébellion contre la Police des Consciences (Et maintenant, il savoue complètement en rébellion contre la police, les représentants de l'ordre public)
Ne trouvez vous pas que tout celà ne mérite une enquête?
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Môsieur Zed, que veulent dire ces supputations (*) aventureuses ?
Ca illustre bien une maxime d'un grand philosophe québécois contemporain "Les jeunes gorilles sont amicaux, mais ça leur passe vite"...
Il manque à votre ignoble réquisitoire ce passage : "allergique aux Idées Reçues et aux Préjugés" La cause de cette allergie ? C'est simple, c'est la faute aux activateurs du vaccin aachunenun. J'aurais mieux fait d'écouter les thèses complotistes...
(*) - deux "p" parce que c'est comme ça qu'il faut l'écrire, pas pour faire plaisir à Lawrence )
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Môsieur Zed, que veulent dire ces supputations (*) aventureuses ?
Ca illustre bien une maxime d'un grand philosophe québécois contemporain "Les jeunes gorilles sont amicaux, mais ça leur passe vite"...
Il manque à votre ignoble réquisitoire ce passage : "allergique aux Idées Reçues et aux Préjugés" La cause de cette allergie ? C'est simple, c'est la faute aux activateurs du vaccin aachunenun. J'aurais mieux fait d'écouter les thèses complotistes...
(*) - deux "p" parce que c'est comme ça qu'il faut l'écrire, pas pour faire plaisir à Lawrence )
Ben, je voulais simplement faire un cadeau a Moussa en débutant une inquisition
JE TE CONSEILLE UN SUPER DUO, BRAN & JACK, À TOI DE CONCLURE !!!
¥_zed_¥ a écrit:
Biloulou a écrit:
Môsieur Zed, que veulent dire ces supputations (*) aventureuses ?
Ca illustre bien une maxime d'un grand philosophe québécois contemporain "Les jeunes gorilles sont amicaux, mais ça leur passe vite"...
Il manque à votre ignoble réquisitoire ce passage : "allergique aux Idées Reçues et aux Préjugés" La cause de cette allergie ? C'est simple, c'est la faute aux activateurs du vaccin aachunenun. J'aurais mieux fait d'écouter les thèses complotistes...
(*) - deux "p" parce que c'est comme ça qu'il faut l'écrire, pas pour faire plaisir à Lawrence )
Ben, je voulais simplement faire un cadeau a Moussa en débutant une inquisition
Pour ca, j'avais besoin d'une victime forte
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Ben, je voulais simplement faire un cadeau a Moussa en débutant une inquisition Pour ca, j'avais besoin d'une victime forte
Bof ! Je suis même disposé à accepter un fameux handicap : j'apporte les allumettes !
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
JE TE CONSEILLE UN SUPER DUO, BRAN & JACK, À TOI DE CONCLURE !!!
¥_zed_¥ a écrit:
Biloulou a écrit:
Môsieur Zed, que veulent dire ces supputations (*) aventureuses ?
Ca illustre bien une maxime d'un grand philosophe québécois contemporain "Les jeunes gorilles sont amicaux, mais ça leur passe vite"...
Il manque à votre ignoble réquisitoire ce passage : "allergique aux Idées Reçues et aux Préjugés" La cause de cette allergie ? C'est simple, c'est la faute aux activateurs du vaccin aachunenun. J'aurais mieux fait d'écouter les thèses complotistes...
(*) - deux "p" parce que c'est comme ça qu'il faut l'écrire, pas pour faire plaisir à Lawrence )
Ben, je voulais simplement faire un cadeau a Moussa en débutant une inquisition
Pour ca, j'avais besoin d'une victime forte
Se référer a ma signature
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
J'aurais peut-être un cas a soumettre a votre jugement. Nous sommes bien dans le post '' DOSSIERS criminels, enquêtes & affaires judiciaires'' Analysons la signature de M.Biloulou
Disciple du Bon Sens
Je ne suis pas disciple du "je sais tout" arrogant, suffisant, détestable et détesté. Ne vous en déplaise, môssieur, s'il y a un maître que j'écoute et devant lequel je m'incline c'est bien le Bon Sens. Et toc !
¥_zed_¥ a écrit:
Pourfendeur de la Pensée Unique (Pourfendeur, déjà là, ne fait-il pas preuve d'une certaine forme d'activisme brutal? )
De l'amérindien d'Amazonie se frayant un chemin au coupe-coupe au scientifique qui bouleverse la connaissance à coup de théories et équations, seule une certaine dose de brutalité a permis de faire s'écrouler des certitudes millénaires. Avec humilité je copie.
¥_zed_¥ a écrit:
Allergique aux Idées Reçues et aux Préjugés
Déjà traité avec brio.
¥_zed_¥ a écrit:
En rébellion contre la Police des Consciences (Et maintenant, il savoue complètement en rébellion contre la police, les représentants de l'ordre public)
Je soupçonne ce Procureur d'être soumis servilement aux médiazozordres...
¥_zed_¥ a écrit:
Ne trouvez vous pas que tout celà ne mérite une enquête?
Mais si, mais si, justement...
rosa.belle
Nombre de messages : 135 Age : 67 Localisation : LOUHANNAIS Date d'inscription : 27/09/2009
Hello ! c'est sérieux là ! Si vous avez une bonne assurance alors n'en tenez pas compte du conseil qui suit :
Comment et pourquoi verrouiller votre voiture manuellement ?? TEMOIGNAGE Un jour après m'être garé, je fermais ma voiture. En m'en éloignant, j'entendis que la porte se déverrouillait. J'y retournai et je la verrouillai à nouveau, j'ai dû le faire trois fois. Chaque fois dès que je m'éloignais de ma voiture, j'entendais la serrure se déverrouiller !! Comme j'étais alerté par cette bizarrerie, je regardai autour de moi et je vis deux gars assis dans une voiture pas loin de là. Il était évident qu'ils me surveillaient intentionnellement et il était hors de doute qu'ils étaient impliqués dans cette situation très bizarre. J'ai immédiatement laissé tomber la course que je m'apprêtais à faire, j'ai sauté dans ma voiture et j'ai démarré. Je suis allé aussitôt au commissariat de police pour leur raconter ce qui s'était passé. J'y ai appris que j'étais victime d'un tout nouveau procédé, très au point, permettant de s'introduire dans les voitures garées. Deux semaines après, le fils d'un de mes amis a vécu une situation identique ....
Le fils de mon ami s'est arrêté sur une aire de repos pour aller aux toilettes. Lorsqu'il est revenu auprès de sa voiture - moins de 4 minutes plus tard - quelqu'un s'y était introduit et avait volé son portable, son ordinateur portable, son navigateur GPS, son attaché-case......etc. Il a appelé la police et comme il n'y avait pas de signes de cambriolage démontrant que la porte avait été forcée, la police l'a informé qu'il venait d'être victime dela toute dernière tactique de vol il y a notamment un appareil que les voleurs utilisent aujourd'hui qui permet de clôner votre code de sécurité au moment où vous verrouillez vos portes de voiture avec votre clé de fermeture à distance..
Les voleurs se trouvent à quelques pas de là et ils attendent leur prochaine victime. Ils savent que vous allez entrer au magasin, au restaurant ou aux toilettes et qu'ils disposent de quelques minutes pour effectuer leur vol avant de s'enfuir. L'agent de police a dit de verrouiller vos portes M A NU EL LE MENT - en faisant marcher le bouton de verrouillage à l'intérieur de la voiture.
Lorsqu'en quittant votre voiture, vous faites actionner le bouton de verrouillage intérieur, le code de sécurité n'est pas envoyé dans les ondes. En revanche, si vous vous éloignez de votre voiture et vous verrouillez les portes en utilisant votre clé de verrouillage à distance, le code est envoyé dans les ondes et peut instantanément être clôné et volé...
Ceci est un fait réel.
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Ben sont pas très ambitieux tes voleurs (a la tirelire).
Avoir le dispositif, j'irai m'installer dans un cartier de riche et j'attendrais qu'un richard arrive avec sa voiture et actionne la porte de garage a distance
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Hello ! c'est sérieux là ! Si vous avez une bonne assurance alors n'en tenez pas compte du conseil qui suit : [color=#cc0000]Comment et pourquoi verrouiller votre voiture manuellement ??
Nom d'un petit bonhomme ! Voilà qui est astucieux et très vraisemblable ! Reviendrons-nous au rayon infrarouge ou autre technique directionnelle ?
Au moins 300 personnes arrêtées par jour en Belgique !
Quelque 109.448 arrestations administratives et judiciaires ont été relevées chez nous en 2008, soit 11 % de plus qu'en 2005, indiquent ce mardi les quotidiens du groupe Vers l'Avenir sur base d'un rapport publié par le Comité P. Cela représente une moyenne de 300 personnes arrêtées par jour dans le pays … au minimum, puisque certaines zones n’ont pas communiqué leurs chiffres.
Belgique - Faits divers 6:58 Le nombre d'arrestations inclut toutes les personnes interpellées qui restent entre 3 et 24 heures dans une cellule pour tout type de faits (du trouble de l'ordre public au meurtre en passant par le séjour illégal, la vente de drogue ou encore des braquages). Ces chiffres sont sans doute légèrement sous-estimés car ils ne tiennent pas compte notamment des données de quatre zones de police, précisent les journaux du groupe Vers l'Avenir. La police de la zone de Bruxelles-Ixelles n'a, elle, fourni que des données partielles.
Une arrestation sur 5 en Belgique a lieu à Bruxelles !
La Région bruxelloise compte à elle seule plus de 20.000 arrestations. Anvers totalise 7.342 arrestations. Quant à la Wallonie, c'est Liège qui compte le nombre le plus élevé d'arrestations (6.175), devant Charleroi (4.209) puis Namur (1.855).
La brigade des Chemins de fer de la police fédérale a interpellé 9.817 personnes et 3.461 personnes ont été arrêtées par la police judiciaire de la police fédérale.
11% étaient mineurs d’âge
Parmi les personnes arrêtées, on compte 12.223 mineurs, soit 11 % par rapport au total. Plusieurs zones de police n'ont pas établi de distinction entre mineurs et majeurs.
Vers l'Avenir rappelle que la criminalité enregistrée en Belgique a diminué entre 2007 et 2008 de 2,7 %. Il précise qu'il est difficile de comparer les chiffres de la criminalité à ceux des arrestations.
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Un bébé de 7 mois frappé à mort par son père à Anderlecht
Nouveau cas de maltraitance d’enfant qui tourne au drame lundi soir à Anderlecht. Hassane K., 36 ans et en séjour illégal en Belgique, s’est violemment disputé avec la mère de Leila, sa petite fille de 7 mois. Sous l’influence de l’alcool, il a fini par tabasser l’enfant sur le sol. Elle n’a pas survécu malgré les efforts des secours.
Belgique - Faits divers 9:29 Selon les premiers éléments de l’enquête, le drame serait survenu à la suite d’une dispute entre Hassane K. et la mère de leur enfant, une jeune femme de 27 ans de nationalité tchèque. Des voisins auraient entendus l’homme hurler et insulter la jeune femme. L’homme, qui aurait été sous l’influence de l’alcool, s’est ensuite emparé de la petite Leila avant de "frapper son corps au sol", selon La Dernière Heure qui révèle l’affaire ce mercredi.
La police reçoit l’appel au secours de la maman vers 18h15 et arrive rapidement au domicile de celle-ci, rue Brogniez à Anderlecht. Les hurlements de détresse de la mère résonnent dans la cage d’escalier lorsque les policiers arrivent. Ils trouvent dans l’appartement du 1er étage la jeune femme en pleurs, agenouillée devant le corps de son bébé gisant sur le sol. Rejoints par des ambulanciers, ils tenteront en vain de réanimer la petite Leila, sans succès.
Arrêté lorsqu'il est revenu sur les lieux du drame
Le père de l’enfant, accusé par la jeune femme, s’était déjà enfui. La police décide alors de faire mine de quitter les lieux, espérant son retour pour l’arrêter. Bien vu de la part des forces de l’ordre : à peine les voitures parties que le violent rentrait dans l’immeuble … et se faisait passer les menottes.
En séjour illégal, Hassane K. a été mis à la disposition du parquet de Bruxelles. Une autopsie du corps du bébé est en cours et la maman a également été mise à disposition du parquet comme le veut la procédure en cas de maltraitance d’enfant. Le père, inconnu de la justice, est suspecté d’avoir usé de plusieurs identités.
La petite Leila aurait eu 8 mois ce mercredi.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Marseille :sursis pour le policier chauffard (AP - 23/10/2009 | 09:09)
Un policier marseillais de 24 ans a été condamné vendredi par le tribunal correctionnel de Marseille à un an de prison avec sursis pour avoir fauché mortellement, au volant de son véhicule de police, le 23 juin 2007, le jeune Nelson, 14 ans, qui traversait sur un passage piéton dans les quartiers Nord de la ville.
Adolescent fauché par des policiers: le parquet fait appel de la relaxe d'un prévenu (AFP – Il y a 44 minutes)
MARSEILLE — Le parquet a décidé de faire appel de la relaxe d'un policier qui était à bord de la voiture de fonction qui avait fauché en 2007 le jeune Nelson, 14 ans, a-t-on appris vendredi auprès du procureur de la République de Marseille Jacques Dallest.
Le conducteur du véhicule avait été condamné à un an de prison avec sursis le 23 octobre par le tribunal correctionnel de Marseille.
Yohan Bensadoun, 24 ans, stagiaire à l'époque des faits mais aujourd'hui titularisé, avait été reconnu coupable d'homicide involontaire aggravé par la vitesse excessive de son véhicule. Il s'était vu également infliger une annulation de son permis de conduire, avec interdiction de le repasser pendant un an, conformément aux réquisitions du parquet.
Frédéric Nieddu, 31 ans, qui était chef de bord de l'équipage mais était assis à l'arrière du véhicule, avait été relaxé. Le parquet avait requis six mois de prison avec sursis et un an de suspension du permis contre lui. "J'ai estimé que ce policier méritait de voir son cas réexaminer", a déclaré M. Dallest à l'AFP.
L'avocat des soeurs de Nelson, Me Virgile Reynaud, avait qualifié la condamnation de "vraiment light" et espéré "que le parquet fera appel, surtout sur la relaxe du chef de bord".
Nelson, 14 ans, avait été renversé le 23 juin 2007 alors qu'il circulait à vélo sur un passage protégé, par la voiture conduite par Yohan Bensadoun qui allait, avec Nieddu et un autre stagiaire, relever une équipe de garde à l'hôpital Nord. Il était décédé le lendemain.
L'enquête avait montré que le véhicule roulait à 73km/h alors que la vitesse était limitée à 50. Les policiers avaient également enclenché le gyrophare pour cette mission sans caractère d'urgence.
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Demi-mesure, initiative timorée, mais c'est déjà ça. À suivre.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Le convoyeur de Lyon pourrait avoir quitté la France (Le Figaro - Cyrille Louis - 06/11/2009 | Mise à jour : 21:38)
Toni Musulin, un convoyeur jusque-là sans histoire. Crédits photo : AFP
Il aurait soigneusement préparé le vol des 11,6 millions d'euros. Ses collègues décrivent un homme nerveux et amer.
Solitaire, taciturne, inconnu de la justice et visiblement très organisé : ainsi se dévoile, brossé à gros traits après vingt-quatre heures d'enquête, le portrait-robot de Toni Musulin. Convoyeur jusque-là sans histoire, cet homme de 39 ans, originaire d'Europe de l'Est et employé depuis une dizaine d'années par la société de transport de fonds Loomis, est soupçonné d'avoir dérobé, jeudi matin en plein centre de Lyon, 49 «galettes» bourrées de billets de banque pour un montant total de 11,6 millions d'euros. «De nombreux indices nous laissent penser qu'il a mûrement préparé son coup», glisse un policier. De son côté, le procureur de la République, Xavier Richaud, grimace : «Il est malheureusement vraisemblable que sa fuite, prévue dans ses moindres détails, l'a d'ores et déjà conduit vers l'étranger.»
Lorsque deux de ses collègues ont donné l'alerte, jeudi vers 10 heures, les enquêteurs de la PJ lyonnaise ont pourtant commencé par privilégier la thèse d'un braquage dont Toni Musulin, ce matin-là au volant du camion Loomis, aurait pu être la victime. Après avoir retrouvé le fourgon, trois heures après, ils se sont aussi demandé si des tiers n'avaient pas pris sa famille en otage pour le contraindre à détourner sa précieuse cargaison. Enfin, à l'issue de premières vérifications, la police a dû se rendre à l'évidence.
«Rapidement, on a compris que notre homme vivait seul et qu'il avait planifié son départ», résume Xavier Richaud. En perquisitionnant son appartement de Villeurbanne, les policiers ont en effet constaté que ce célibataire l'avait méticuleusement nettoyé, allant jusqu'à retirer les draps de son lit, ramasser l'ensemble des papiers et vider le frigo. En outre, de premières investigations bancaires ont permis d'établir que Toni Musulin a retiré l'ensemble des fonds dont il disposait en toute fin de semaine dernière - allant jusqu'à créer un découvert sur l'un de ses comptes. Outre quelques économies, l'homme était gérant d'une société civile immobilière dotée d'un capital de 230 000 euros. Il était en outre propriétaire d'une Ferrari qu'il a déclaré volée en avril dernier. Certains de ses collègues, interrogés par la police judiciaire, ont décrit Musulin comme un homme qui affichait ces derniers temps une forme de nervosité mêlée d'amertume, déplorant volontiers l'insuffisance de sa rémunération. «Pour autant, il semble avoir conçu son projet dans le plus grand secret car personne ne le soupçonnait de pouvoir monter un coup pareil», relativise un policier. Peu après avoir chargé dans son fourgon les billets collectés auprès de la Banque de France, le suspect a exploité une halte lors de laquelle ses deux collègues sont descendus quelques instants pour redémarrer, le plus naturellement du monde, désormais seul maître à bord. Aussitôt, il aurait désactivé le GPS et le téléphone embarqué du camion afin d'échapper à toute surveillance. Puis, il aurait conduit le véhicule dans une ruelle peu fréquentée avant de le vider de son contenu, à l'abri des regards. « Malheureusement, il semble qu'aucun témoin n'ait été présent au moment où il a transvasé le butin - si bien qu'on ignore même dans quel type de véhicule il a pu le charger », explique le contrôleur général Claude Catto, directeur interrégional de la police judiciaire.
Accusant plusieurs heures de retard sur le fugitif, les enquêteurs ont procédé à la diffusion massive de sa photo et de son patronyme. «Malheureusement, il y a fort à parier qu'il avait préalablement préparé un véhicule, un axe de fuite et un point de chute pour échapper aux recherches», précise Xavier Richaud. Secrétaire zonal du syndicat de police Alliance, Jean-Paul Borelly estime pour sa part que «le coup a très certainement été réalisé sur ordre et avec d'importantes complicités, peut-être à l'initiative d'une entreprise mafieuse».
Quoi qu'il en soit, l'enquête s'annonce dès à présent d'autant plus difficile que les numéros des billets dérobés jeudi matin n'avaient pas préalablement été consignés par la Banque de France. «Un tel archivage représenterait une tâche énorme, glisse un magistrat , qui précise : généralement, pour les gros transferts de fonds, on se contente de relever les numéros de quelques billets glissés au sein d'une liasse piégée.» S'ils se gardent de chercher à écouler leur butin par de trop gros montants, les voleurs pourraient donc échapper quelque temps aux recherches de la police.
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Vu que le vol a été commis sans violence le voleur risquerait au maximum trois ans de prison s'il est pris, même si le butin n'est pas récupéré. Enfin, par ses légitimes propriétaires... On peut cependant imaginer l'empressement de ses codétenus à connaître l'endroit où se trouve le butin... et leur motivation à faire disparaître le voleur ensuite...
rosa.belle
Nombre de messages : 135 Age : 67 Localisation : LOUHANNAIS Date d'inscription : 27/09/2009
Je vous écris pour vous transmettre les remerciements du professeur agressé à son domicile de Juvignac (Hérault), pour votre signature à la pétition de soutien. Vous saviez peut-être déjà que plusieurs membres de sa famille nous avaient remercié de notre mobilisation, mais sa belle-fille nous a demandé également de vous remercier de sa part à lui.
En effet, bien qu'il soit soutenu par beaucoup d'instances, et que le procureur adjoint de Montpellier, Georges Guttierez, l'ait remis en liberté, il a été mis en examen pour « homicide volontaire » par le juge d’instruction. Autrement dit pour « meurtre ».
Bien sûr, ce professeur, dont la version des faits coïncide p arfaitement avec les constatations des gendarmes, devrait bénéficier rapidement d’un non-lieu. Reste qu'il n’a fait que protéger sa famille et qu'il se retrouve avec cette étiquette infamante, alors qu’une simple mise en examen pour homicide involontaire aurait suffi.
Pour lui, un marathon judiciaire, à l'issue forcément incertaine, a commencé.
D'abord, la famille de Saïd, son agresseur, conteste la thèse de la légitime défense. Certes, Boussa Ouamalik, le père du jeune homme, qui habite une petite cité à la périphérie d’Uzès, reconnaît que son fils « avait un différend avec son professeur ».
"Pour nous, Saïd est allé là-bas, à Juvignac, pou r règler ses comptes, dit-il. Depuis l’année dernière, il nous parlait de ce prof…"
D’autant que le jeune homme, qui avait repassé ses examens en septembre, venait d’apprendre qu’il était recalé, ce qui l’aurait rendu fou de rage. Le père de Saïd admet également que « le feu, c’est son mode opératoire », confirmant implicitement que son fils aurait pu se venger de l’enseignant en le faisant périr au milieu des flammes. Mais malgré tout, il réfute la thèse des enquêteurs.
"On se pose plein de question, renchérit un oncle du garçon. Soyez sûr que ce professeur était au courant de la venue de Saïd. Je me demande même s’il n’a pas préparé sa récept ion. En plus, il n’a pas pu le tuer tout seul."
En clair : Saïd serait tombé ce soir-là dans un guet-apens tendu par un enseignant machiavélique. Et l’oncle de conclure :
"Je ne crois pas à cette histoire de légitime défense."
L’avocat des Ouamalik, Me Jean-Charles Teissèdre, s’est constitué partie civile au nom de la famille. Lui aussi émet de sérieux doutes concernant la version des enquêteurs. Il rappelle que dans ses premières déclarations, l’adjoint au procureur avait un peu vite annoncé que Saïd était mort par strangulation, alors que l’autopsie a révélé qu’il a été victime d’une compression du cœur.
"Comment fait-on pour tuer un homme à mains nues quand on n&rs quo;est pas un spécialiste des sports de combats ? s’interroge-t-il. D’autre part, il sera important d’établir à quel moment cette mort a eu lieu, et si elle pouvait être évitée."
En ce qui concerne cette dernière question, la réponse est pourtant évidente : oui, la mort de Saïd aurait pu être évitée. Il aurait suffi pour cela que le jeune homme reste chez lui ce soir-là, au lieu d’aller attaquer, un pistolet à la main, une honnête famille d’enseignants que, dans son délire, il rendait responsable de ses échecs.
Pour Me Jean-Robert Phung, l’avocat de l'enseignant, les arguments de la famille Ouamalik ne tiennent pas debout. Je suis certain que ce garçon qui avait trois litre d’essence sur lui n’est pas venu pour cambrioler, affirme-t-il. Le réflexe qu’a eu mon client, et qui s’est terminé par un drame, en a évité un autre, encore plus atroce : il a sauvé sa vie, celle de son épouse et de son fils. Mais avoir enlevé la vie à quelqu’un est une chose dont il ne se relèvera jamais.
Comme il n’oubliera jamais ces minutes abominables durant lesquelles il a cru mourir, brûlé vif, avec toute sa famille. Il ne faut pas se tromper de procès. Si dans cette histoire, Saïd est mort, c’est bien le professeur et sa famille qui sont les victimes. Et l’enseignant attend aujourd’hui avec impatience le non-lieu qui lui rendra son honneur.
« Pour l’instant, nous sommes paniqués à l'idée de retourner chez nous et nous n'envisageons pas d'y revenir. Sur le plan professionnel, je n'envisage pas pour le moment de donner à nouveau des cours, a fortiori dans des amphis où l'on se retrouve parfois face à 300 étudiants. Pour moi, je crois que les amphis, c'est terminé, alors que j'adorais ça. Cette réaction est liée au fait de savoir qu'"il" a été là, autrefois, dans mes cours d'amphi ; je penserai nécessairement à lui, cagoulé, en train de me regarder… » a-t-il expliqué dans le Midi Libre.
A l'heure où je vous écris, nous avons récolté 25 034 signatures à la pétition de soutien. Mais nous pensons que ce professeur mérite beaucoup plus que cela. Notre pays compte 980 000 enseignants, et 45 millions de citoyen s en âge de voter. Il faut qu'ils expriment leur solidarité dans une telle situation.
Beaucoup signeraient s'ils en avaient l'occasion. Alors merci d'aider ce professeur et sa famille en écrivant à tous vos amis pour leur demander de signer eux aussi la pétition.
Il vous suffit de copier le lien ci-dessous, et de leur envoyer par courriel en leur demandant de cliquer dessus de toute urgence.
http://soseducation.com/fichiers/Mis_en_examen_pour_s_etre_defendu.htm Pour relire l'appel à pétition, cliquez ici.
Si vous souhaitez retrouver toute la chronologie de cette tragique histoire, vous pouvez lire ci-dessous
Afin de protéger l'enseignant et sa famille d'éventuelles représailles, nous avons choisi de ne donner que l'initiale de son nom.
Décembre 2008. Philippe J. vient de terminer son cours, dans l’amphithéâtre de la faculté de sociologie de Montpellier. L’enseignant va quitter la salle lorsqu’un étudiant s’approche de lui.– Vous pourriez pas valider les matières où j’ai eu de mauvaises notes ? lui demande-t-il Philippe J. le regarde, interloqué, sans pouvoir mettre un nom sur son visage. Le jeune homme, un petit brun trapu, a l’air d’avoir au moins 25 ans. Un de ces « vieux » étudiants qui redoublent leurs années de fac, sans qu’on sache très bien pourquoi ils s’acharnent à suivre des études pas faites pour eux. – Si vos notes sont médiocres, c’est impossible, répond le professeur. Mais l’autre, un certain Saïd Ouamalik, insiste. Il lui pose familièrement sa main dans le dos. – Mon ami, on peut toujours trouver une solution, dit-il avec une désinvolture qui frise l’insolence. Gardant son calme face à ce qu’il faut bien appeler une tentative de corruption, Philippe J. réplique sèchement : – Une solution ? Il y en a une. Il suffit de repasser vos examens. Et il lui tourne le dos, passe à autre chose sans savoir qu’ils vont se revoir...
Lundi 19 octobre 2009. Les J. passent tranquillement la soirée chez eux, à Juvignac, près de Montpellier. Cela fait cinq ans qu’ils se sont installés dans le quartier résidentiel de Fontcaude, sur les hauteurs du bourg, d’où on a une vue sup erbe sur le lac et le golf. Ils y habitent une maison à la façade rose pâle, entourée d’un jardinet bien entretenu. Philippe J., comme tous les soirs, a fermé à clé la porte d’entrée. Il travaille à ses cours auprès de son épouse, Clélia, docteur en sociologie comme lui. Là s’arrête d’ailleurs leur ressemblance. Alors que Philippe, âgé de 45 ans, est grand et bien charpenté, Clélia, une jeune femme d’origine brésilienne, est toute menue. Leur fils Martin, un garçon de 11 ans, joue sur son ordinateur dans sa chambre, à l’étage. Il est environ 22 h 30 lorsque l’enseignant croit entendre grincer la poignée de la porte d’entrée. Inquiet, il va voir, déverrouille, s’avance sur le perron. A peine a-t-il remarqué que le portillon donnant sur la rue est ouvert qu’une ombre jaillit de l’obscurité et bondit sur lui. – Bouge pas ! ordonne une voix masculine. L’homme, cagoulé, braque un pistolet sur la tête de Philippe, et le repousse à l’intérieur de la maison. Sa femme, alertée par le bruit, s’est levée de son fauteuil. – Couchez-vous sur le sol, face contre terre ! lance l’inconnu. Et écartez les jambes. « Il va la violer ! », pense Philippe J., atterré. Mais l’homme a une préoccupation plus urgente. Il veut savoir s’il y a d’autres personnes dans la maison. Philippe lui explique que son fils est à l’étage. L’individu hurle au garçon de descendre. Et le petit Hugo, terrorisé, est contraint de s’allonger à côté de ses parents. – Vous avez de l’argent ? – Seulement quelques bijoux et des ordinateurs. Un simple cambriolage ? Philippe se sent vaguement rassuré. Mais l’individu s’énerve. Se met à insulter Clélia alors qu’elle a légèrement bougé. – Si ça se passe pas bien, je repars avec un organe ! menace-t-il. Fait-il allusion à une mutilation ? Le voilà en tout cas qui sort de son sac à dos une bouteille d’essence et qui asperge ses victimes. – J’ai un briquet, si vous bougez, je vous brûle ! lance-t-il d’un ton menaçant. Et l’horreur s’abat sur les trois occupants de la maison. Hugo, de l’essence plein les yeux, ne peut s’empêcher de pleurer. Le cambrioleur plonge à nouveau la main dans son sac et il en sort un rouleau de cordelette. Cette fois, Philippe J. est paniqu&ea cute;. Couverts d’essence et attachés, ils seront complètement à la merci de ce fou furieux. Clélia a suivi le même raisonnement, c’ est la première à réagir. Elle tente de se relever, mais l’autre lui balance un violent coup de pied dans la tête. Alors, sans plus réfléchir, Philippe se rue sur l’inconnu et lui attrape le poignet qui tient le pistolet. Par chance, l’homme porte des gants de laine, et l’arme lui glisse de la main. Philippe le fait tomber et le maintient par terre, lui bloquant le thorax de ses deux bras. Clélia est déjà dehors. – Il va les tuer ! hurle-t-elle dans la rue, tout en courant chez ses plus proches voisins. Ceux-ci appellent aussitôt les gendarmes. Hugo tente lui aussi de téléphoner aux secours. Mais son père lui ordonne de sortir tout de suite de la maison et d&rs quo;aller se mettre en sécurité. Resté seul avec le cambrioleur, Philippe se demande avec angoisse combien de temps il va réussir à le retenir prisonnier. L’autre, qui pèse au moins 80 kilos, se défend comme un diable, et l’essence a rendu le sol glissant. « Si je le lâche, pense Philippe, il va faire un carnage. Il va me tuer, et il s’en prendra ensuite à ma femme et mon fils… » Et il tient bon, parvenant même à resserrer sa prise. Au bout de dix minutes – autant dire une éternité – l’enseignant entend enfin une voiture s’arrêter devant la maison, et il aperçoit des uniformes à la porte du salon. Pourtant, il n’est pas au bout de ses surprises. D’abord, les militaires, ne sachant qui est l’agressé et qui est l’agresseur, le plaquent sur le sol, face contre terr e, et lui passent les menottes. – Je suis le propriétaire, proteste-t-il en vain. Ensuite, il entend un gendarme, penché sur l’inconnu masqué, déclarer que « l’homme est mort ». Enfin, on lui annonce que le cambrioleur porte sur lui une carte d’étudiant en sociologie. Et ce n’est qu’au moment où un enquêteur lui arrache sa cagoule qu’il le reconnaît : il s’agit de l’étudiant qui lui avait demandé de « trouver une solution » à ses mauvaises notes… C’est bien Saïd Ouamalik qui gît sans vie dans le salon de la maison. Mort d’un arrêt cardiaque, dira l’autopsie. En fait, le cœur, compressé entre la cage thoracique et la colonne vertébrale, a lâché. Reste à savoir ce que le jeune homme de 26 ans faisait en p leine nuit, déguisé en cambrioleur, au domicile de son professeur. Saïd Ouamalik n’est pas un inconnu pour la justice. Son casier judiciaire mentionne une condamnation pour violences aggravées. Mais une rapide enquête va permettre aux gendarmes de dresser un portrait autrement inquiétant de l’étudiant en sociologie. Le premier incident remonte à 2004, alors que Saïd, dont la famille habite à Uzès dans le Gard, prépare un bac technique dans un lycée de Nîmes. Un jour, le garçon a une banale altercation avec un camarade de classe. Le soir même, il lui téléphone. – Je viens chez toi, je vais te mettre le feu ! lui dit-il. Ce n’est pas une menace en l’air. Un peu plus tard, les gendarmes l’interpellent en flagrant délit, alors qu’il est en train de répandre de l’essence de vant la maison des parents de son camarade. Durant sa garde à vue, le garçon est examiné par un psychiatre. « Schizophrène », diagnostique le médecin. Déclaré irresponsable, il est hospitalisé durant deux mois dans un service psychiatrique avant d’être relâché. Bachelier en 2005, Ouamalik s’inscrit en licence de sociologie. Il réussit sa première année, mais échoue l’année suivante. Au printemps 2008, il apprend qu’il doit redoubler. C’est à cette occasion, on l’a vu, qu’il tente de convaincre Philippe J. d’arranger ses notes. Et c’est le second incident. Quelques semaines plus tard, les bureaux des professeurs de sociologie de l’université Paul-Valéry brûlent. L’origine criminelle de l’incendie ne fait aucun doute : on a retrouvé sur place de l’essence, du retardant et des cordelettes. L’université porte plainte. Saïd, compte tenu de son passé, fait figure de suspect. Mais les policiers ne parviendront pas à le confondre… Tandis que Philippe J., placé en garde à vue, explique en détail les circonstances de l’agression, les gendarmes inspectent le sac à dos de l’étudiant. L’inventaire est éloquent : une paire de menottes, un rouleau de ruban adhésif, des cordelettes, deux bouteilles d’essence de 1,5 litre et même une tenue blanche en cellophane, de celles qu’utilisent habituellement les techniciens de l’identification criminelle. Bref, avec les gants, la cagoule et le pistolet, la parfaite panoplie du « saucissonneur ». Saïd n’avait donc pas seulement l’intention de cambrioler l’enseignant et sa famille. Il avai t prévu, au moins, de les séquestrer. Et ensuite ? On n’ose pas imaginer les scénarios qu’il avait en tête au moment où il a vu les trois victimes à sa merci… Le mardi après-midi, le procureur adjoint de Montpellier, Georges Guttierez, annonce que Philippe J. a été remis en liberté. Pour le parquet, la thèse de la légitime défense ne semble faire aucun doute. – On peut parler d’un instinct de survie, c’était une lutte à mort, explique le magistrat. Pourtant, il ajoute dans la foulée que l’enseignant a été mis en examen pour « homicide volontaire » par le juge d’instruction. Autrement dit pour « meurtre ». Bien sûr, Philippe J., dont la version des faits coïncide parfaitement avec les constatations des gendarmes, devrait bé ;néficier rapidement d’un non-lieu. Reste que cet homme qui n’a fait que protéger sa famille se retrouve avec cette étiquette infamante, alors qu’une simple mise en examen pour homicide involontaire aurait suffi. Seule la famille de Saïd, aveuglée par un chagrin compréhensif, conteste la thèse de la légitime défense. Certes, Boussa Ouamalik, le père du jeune homme, qui habite une petite cité à la périphérie d’Uzès, reconnaît que son fils « avait un différend avec son professeur ». – Pour nous, Saïd est allé là-bas, à Juvignac, pour régler ses comptes, dit-il. Depuis l’année dernière, il nous parlait de ce prof… D’autant que le jeune homme, qui avait repassé ses examens en septembre, venait d’apprendre qu’il &ea cute;tait recalé, ce qui l’aurait rendu fou de rage. Le père de Saïd admet également que « le feu, c’est son mode opératoire », confirmant implicitement que son fils aurait pu se venger de l’enseignant en le faisant périr au milieu des flammes. Et malgré tout, il réfute la thèse des enquêteurs. – On se pose plein de question, renchérit un oncle du garçon. Soyez sûr que ce professeur était au courant de la venue de Saïd. Je me demande même s’il n’a pas préparé sa réception. En plus, il n’a pas pu le tuer tout seul. En clair : Saïd serait tombé ce soir-là dans un guet-apens tendu par un enseignant machiavélique. Et l’oncle de conclure : – Je ne crois pas à cette histoire de légitime d&eacu te;fense. L’avocat des Ouamalik, Me Jean-Charles Teissèdre, s’est constitué partie civile au nom de la famille. Lui aussi émet de sérieux doute concernant la version des enquêteurs. Il rappelle que dans ses premières déclarations, l’adjoint au procureur avait un peu vite annoncé que Saïd était mort par strangulation, alors que l’autopsie a révélé qu’il a été victime d’une compression du cœur. – Comment fait-on pour tuer un homme à mains nues quand on n’est pas un spécialiste des sports de combats ? s’interroge-t-il. D’autre part, il sera important d’établir à quel moment cette mort a eu lieu, et si elle pouvait être évitée. En ce qui concerne cette dernière question, la réponse est évidente : oui, la mor t de Saïd aurait pu être évitée. Il aurait suffi pour cela que le jeune homme reste chez lui ce soir-là, au lieu d’aller attaquer, un pistolet à la main, une honnête famille d’enseignants que, dans son délire, il rendait responsable de ses échecs. Pour Me Jean-Robert Phung, l’avocat de Philippe J., les arguments de la famille Ouamalik ne tiennent pas debout. – Je suis certain que ce garçon qui avait trois litre d’essence sur lui n’est pas venu pour cambrioler, affirme-t-il. Le réflexe qu’a eu mon client, et qui s’est terminé par un drame, en a évité un autre, encore plus atroce : il a sauvé sa vie, celle de son épouse et de son fils. Mais avoir enlevé la vie à quelqu’un est une chose dont il ne se relèvera jamais. Comme il n’oubliera jamais ces minutes abominables du rant lesquelles il a cru mourir, brûlé vif, avec toute sa famille. Il ne faut pas se tromper de procès. Si dans cette histoire, Saïd est mort, c’est bien Philippe J. la victime. Et l’enseignant attend aujourd’hui avec impatience le non-lieu qui lui rendra son honneur.
En attendant, le professeur et son épouse se disent « paniqués à l'idée de retourner chez [eux] », dans un entretien paru mercredi 28 octobre dans le Midi Libre. « Quand je suis dans un endroit peuplé d'inconnus, sans une personne familière à mes côtés, je me sens très vulnérable et en permanence sur le qui-vive.[...] Sur le plan professionnel, je n'envisage pas pour le moment de donner à nouveau des cours, a fortiori dans des amphis où l'on se retrouve parfois face à 300 étudiants. Pour moi, je crois que les amphis, c'est terminé, alors que j'adorais ça », a déclaré l'enseignant au quotidien régional. Son épouse ajoute : « Je porte en core les stigmates de cette agression. Pour moi, c'est le masque de l'horreur. Je veux mettre de la distance entre moi et ce visage qui porte encore les traces de la maltraitance. Ce visage, ce n'est pas moi, je ne le reconnais pas », faisant référence aux graves blessures que lui a infligées l'agresseur en la frappant à la tête.
Meurtre à Bruxelles: une maman poignardée, son bébé dans un état critique
Un drame familial s'est produit en fin d'après-midi à Bruxelles. Une mère a été poignardée par son ex-compagnon alors qu'elle tenait son bébé, âgé de 14 mois, dans ses bras. Suite à l'agression, la maman est décédée sur place. Le bébé, tombé des bras de la victime, est dans un état critique.
Votre région - Bruxelles 18:52 Une violente agression s'est produite ce mardi en fin d'après-midi à Jette, place Wéry. Latifa, née en 1983, a été tuée de trois coups de couteau par Omar, le papa de son bébé dont elle était séparée. Le bébé, tombé des bras de sa mère, est dans un état critique. D'après les premières informations, le couple était séparé depuis le mois de mai 2009.
Le père avait un droit de visite sur son enfant une fois tous les 15 jours. Cette visite devait s'effectuer dans un centre proche de la station de métro Belgica. Omar, né en 1968, était très connu des services de police pour toxicomanie et vols avec violence.
Ce mardi, la maman, avec son bébé, attendait son ex-conjoint au planning familial pour la visite à 14h. Ne voyant pas celui-ci arriver, elle a quitté le centre vers 15h. C'est à ce moment qu'elle a aperçu Omar sur le trottoir d'en face. Elle l'a rejoint et Omar lui a alors asséné trois coups de couteau, la tuant sur le coup.
Volé sur un chantier de construction tôt ce mardi matin, un camion de 20 tonnes a embouti quelques minutes plus tard une façade à l'angle de la rue de la Senne et de la rue du Petit Rempart à Bruxelles.
Votre région - Bruxelles 18:13 L'auteur du vol et de l'accident est actuellement en fuite, a-t-on appris auprès des services de police de la zone Bruxelles-Ixelles. Entre 6h30 et 7h00, il s'est emparé d'un camion contenant du sable sur un chantier en construction, boulevard Poincaré à Bruxelles. Apparemment peu habitué à manoeuvrer ce type d'engins, il a d'abord endommagé quelques voitures sur son passage. Puis, il a terminé sa course folle en percutant la façade d'une maison unifamiliale située au coin de la rue de la Senne et de la rue du Petit Rempart. La maison n'aurait pas subi de dommages menant à un éventuel relogement de ses habitants, selon les services de police. Deux autres façades proches du lieu d'accident ont également été touchées. Le chargement du camion n'est pas tombé du véhicule. L'auteur des faits a pris la fuite après l'accident, il n'a donc pas pu être interpellé. Une enquête est en cours. La circulation a fortement été perturbée à l'endroit de la collision et n'a pu être rétablie qu'à 16 heures.
Belgique - Faits divers 19:10 Deux semaines après l'annonce officielle de la disparition du petit Younes, un corps, qui aurait été lesté, a été retrouvé dans la région de Comines. D'après le premières informations, il s'agirait du petit Younes. Deux semaines après sa disparition, le corps du petit Younes Jratlou aurait été retrouvé. La cellule d’identification des victimes est en route. Le petit garçon avait disparu suite à une violente dispute entre ses parents durant la nuit du 25 au 26 octobre dernier. D'après le témoignage de son grand-frère, Younes, 4 ans, avait quitté le domicile familial situé le long de la Rangée Drumez au Bizet (Comines-Warneton).