Des Etats Unis

Rappel du premier message :

EN DIRECT. Nicolas Sarkozy devant les étudiants
new-yorkais





Nicolas
Sarkozy s'offre aujourd'hui et demain une courte parenthèse
internationale aux Etats-Unis. Accompagnée de Carla, le chef de l'Etat
commence sa visite officielle ce lundi à 16 heures (10 heures locales) à
la très select Université de Columbia. Son discours consacré aux
relations franco-américaines sera suivi d'une discussion avec les
quelque 400 étudiants qui se sont portés volontaires.


Barack Obama
accueillera mardi Nicolas Sarkozy dans le bureau ovale, à Washington.
Le président américain et Michelle Obama l'ont invité avec son épouse à
conclure leur séjour par un dîner à quatre dans leurs appartements
privés de la Maison-Blanche. Une «première», «un témoignage d'amitié
particulier», se plaît à souligner l'Elysée, qui veut y voir la fin des
tensions qui ont parasité les débuts de la collaboration entre les deux
dirigeants.

http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-nicolas-sarkozy-devant-les-etudiants-new-yorkais-29-03-2010-867597.php

474 -

Thank You ! It's working.

A Paris ce genre de créneau est pratiqué de manière tout-à-fait habituelle.

Etonnamment nous avons en Europe des voitures équipées d'un frein à main - notre économie en a un sur chaque roue du char de l'Etat - qu'il est recommandé de ne pas serrer à fond, voire pas du tout, tout comme il est avisé de ne pas mettre l'embrayage en prise en restant au point mort ou neutre.

Cette élémentaire courtoisie entre le peuple opprimé des automobilistes rend possible de se "blottir" dans un espace de pacage à bagnoles exigu en faisant des poussettes anodines aux tires qui bordent à l'avant et à l'arrière le confetti que l'on désire investir avé sa caisse.

Le mieux c'est le deux-roues que l'on peut carrer n'importe où.

Pour en revenir à la manœuvre du chauffeur filmé dans le vidéogramme, ici à Nice l'on ne se serait pas escagassé comme ça :
- ou bien l'on se range à l'italienne, càd en biais en laissant déborder sur la chaussée ce qui ne rentre pas (c'est comme en amour, les orphelines restent à la porte de la salle des fêtes si j'ose dire)
- ou l'on se met en double fil en laissant son numéro de cell sur le tableau de bord si l'on est civique ou si l'on drague (parce que l'on bloque esprès la voiture d'une nana que l'on a repérée et qui va vous téléphoner (avé la présentation du numéro il y a même une info précieuse pour rappeler la belle conductrice pour une petite leçon d'inconduite entre cinq et sept),
- ou l'on se gare en triple fil à l'arrache, bien que depuis la construction du tramway nous sommes hélas privés de plus en plus de ce genre de sport.

(Le plus cocasse ce sont les triples files de stationnement devant la recette des contributions où les automobilistes viennent s'acquitter de leurs amendes de stationnement illicite !)

Un million de dollar US pour un stationnement discret c'est vraiment cher. Un héliport serait moins dispendieux et bien plus commode. En prenant quelques précautions d'usage l'embarquement et le débarquement peuvent se faire de façon discrète malgré le bruit du ventilo qui attire les regards des ploucs qui ne sont pas encore blazés.

C'est très bien, une question me reste suspendue aux lèvres : ont-ils des instructeurs israéliens ?

483 -

Sous le NYT a écrit:

...«Il croit qu’il doit accepter la responsabilité morale de ces actions. Et il sait que les mauvaises frappes peuvent ternir l’image de l’Amérique et nuire à la diplomatie»,...

Il y a lieu de ralativiser. Le nombre de petites frappes sur le terrain ternit bien davantage
l'image de Tonton Sam.

Nous vivons dans un drone de monde qui nous refile le bourdon.

485 -

Pétard a écrit:

Les «petites frappes» ne seraient pas plutôt les gamers employés pour les diriger ces drones-là?

Ce qui me frappe justement c'est que, de par l'absence de proximité sensible avé
les cibles, les humains qui pilotent les bizarrement nommés UAV se prennent
pour des gamers.

La médiation du joystick efface toute culpabilité et toute empathie.

Je me demande s'ils ont droit en fonction de leurs scores à des parties gratuites.

J'entrevois l'esploitation cruellement dérisoire à la Monty Python de la scène
suivante quand le mortel bourdon qui délivre au pèlerin allumé du tapis
son passeport vers le néant annoncer à grand renfort de buccin par haut-parleur
du haut des airs dans le désert que le dessert allait être servi :
"Vous avez été sélectionné pour bénéficier de cette extra ball avec tous
nos compliments !Inch Allah !".

487 -

Pétard a écrit:

Non mais que serait la fortune ce forum s'il n'y avait pas le cul ou le caca au menu?

Voilà qui laisse songeur...

Vous devriez être plus sensible à ce vent de paix venu d'ailleurs.

Une «kill list»


Suis-je dessus?

Un parc d'attraction sur le thème de la Bible au pays de Mickey

«Attendez-vous à être inspiré», c’est le slogan ambitieux du Holy Land à Orlando, un parc d’attractions ayant pour thème l’Ancien et le Nouveau Testament. Un retour 2000 ans en arrière dans un Jérusalem en miniature, des manuscrits précieux, des attractions dans un décor de temples et des cavernes plus vrais que nature. Entre promenade spirituelle engagée et expérience biblique originale, Holy land souhaite ” illuminer le véritable sens de votre vie”. La messe est dite…

Né de l’imagination de Marvin Rosenthal, de confession juive mais croyant en Jésus et de son désir de réunir les religions juives et Chrétiennes, le Holyland Experience a suscité de gros remous lors de son ouverture et les foudres de la plupart des chefs religieux.
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Au delà de la polémique, le parc possède des décors très bien faits, un intérêt pédagogique certain, avec toutefois certains épisodes ou spectacles vraiment prosélytes.
Les portes Damascus et Jaffa, remparts de la ville de Jérusalem marquent l’entrée principale du parc. A l’intérieur, et de part et d’autres de l’avenue principale, la Jérusalem Street Market, les épisodes de l’ancien et du Nouveau Testament se succèdent :

Jérusalem Model 66 A.D
La maquette de la ville de Jérusalem, qui en est la parfaite réplique de l’époque (66 avant J-C) vaut à elle seule la visite du parc. Réputé pour être le plus grand modèle réduit de Jérusalem du Monde, certains plans retracent les points d’attractions principaux de la ville et les derniers jours de Jésus Christ.
Le petit marché de Jerusalem Street Market
Si pittoresque où l’on croise moutons, chèvres et acteurs en tenue d’époque, qui tentent de vendre leur bimbeloterie avec un “Shalom” à chaque fin de phrase…

The Jesus Boat
Une réplique d’un bateau retrouve dans les eaux de la Mer de Galilée, à l’époque de Jésus Christ.

Last Supper Communion
Où vous pourrez vous joindre au dernier Souper de Jésus Christ et de ses disciples…

Calvary’s Garden Tomb
Le fameux Garden Tomb, ou la dépouille de Jésus fut placée

Comédies musicales et spectacles
De nombreux shows tout au long de la journée ; se renseigner à l’entrée pour les horaires et les lieux dans le parc.(Hair et Priscilla folle du désert ne sont pas programmés)

La Crucifixion en 3 D
C’est le clou de votre visite… Un spectacle de la scène en 3D un peu sanguinolent et pas toujours bien perçu par les visiteurs…

Pour rester dans le bain (et si vous avez encore faim après ce que vous venez de voir), allez tester les Goliaths Burgers ou les Centurion Combos, servis dans les différents des cafés du parc (Oasis Palm Café, Coffee Shop, Simeon’s Corner…). Ce n’est pas vraiment de la grande cuisine, mais c’est mangeable.

Pour finir, la librairie Ex Libris Book Shoppe propose une collection variée d’ouvrages et de documentation sur le thème. Pour rester sur une bonne impression globale de votre visite.
Conclusion : Quand business et religion sont mêlés, c’est toujours risqué…

Infos pratiques
Holy Land Experience • 4655 Vineland Rd • (Sortie 78 sur la I 4) • Orlando, FL 32811 1 800 447 7235 Holylandexperience.com Adultes 35$ - Jeunes (6-18 ans) 20$ - Enfants (3-5 ans) 15$. Parking Gratuit. Du mardi au samedi de 10H à 18H.

Bonnes vacances

Pour être réélu, Barack Obama mise sur une baisse du prix du pétrole


Les pays membres de l'OPEP gardent un oeil anxieux sur la chute des prix du baril de pétrole : depuis le début de l’année, les cours du brent sont tombés en-dessous de 100 dollars le baril alors qu’ils avaient dépassé 125 dollars au début du printemps.

• Les douze pays membres de l’OPEP se retrouveront la semaine prochaine à Vienne avec une lancinante interrogation : doivent-ils prendre des mesures pour endiguer la chute des prix du brut qui commence à revêtir des proportions spectaculaires ? Depuis le début de l’année, les cours du brent sont tombés en-dessous de 100 dollars le baril alors qu’ils avaient dépassé 125 dollars au début du printemps. Ils sont tirés vers le bas par les prix du pétrole WTI, ramenés à 83 dollars à la suite de la forte progression des ressources provenant de l’exploitation des schistes américains.
  

Rien n’est plus difficile que de trouver un niveau d’équilibre pour l’or noir, tant les facteurs géopolitiques exercent des influences contradictoires. Pour l’instant l’orientation des marchés est nettement baissière pour plusieurs raisons. En premier lieu, le ralentissement de la conjoncture mondiale est sensible et freine la demande, au point que la Chine a décidé spectaculairement de baisser d’un quart de point ses taux d’intérêt pour la première fois depuis 2008 afin de soutenir son économie. En deuxième lieu, l’escalade dans le conflit avec l’Iran marque une pause, ce qui a conduit à dégonfler une partie de la spéculation qui s’était portée sur l’or noir. En troisième lieu, les populations ont tendance à réduire leur consommation pour le chauffage ou la circulation automobile, les fortes hausses de l’an dernier ayant pesé sur le pouvoir d’achat.

Jusqu’où pourrait aller le recul des marchés ? Tout dépend des points de vue qui vont s’exprimer à Genève, marqués souvent par de fortes oppositions entre les participants, sur fond de stocks relativement bas en Europe comme en Asie. L’Iran, pour l’instant absent du marché et l’Irak plaident en faveur d’une réduction des livraisons pour raffermir les cours. La Libye souhaite avant tout développer son économie en augmentant régulièrement ses livraisons. L’Arabie saoudite est prête à consentir des rabais supplémentaires qui pourraient atteindre jusqu’à dix dollars par baril, son prix d’équilibre se situant légèrement au-dessus de 70 dollars.

Nul doute que les Etats-Unis vont accroître la pression en faveur d’un nouveau fléchissement des cours. Barack Obama a conscience qu’il existe un lien entre sa courbe de popularité et le niveau de l’or noir. Il veillera donc à faire baisser ce dernier autant que possible avant l’échéance des urnes, alors qu’il a peu de moyens d’action sur les autres leviers : les difficultés de l’Europe à présenter un projet commun empêchent le dollar de baisser comme il l’aurait souhaité, freinant ainsi la reprise de la première économie mondiale.

Cela dit, le repli du pétrole est une bonne nouvelle pour tout le monde, puisqu’il réduit les pressions inflationnistes tout en redonnant du pouvoir d’achat. Il agit comme un ballon d’oxygène qui facilitera la reprise économique, alors que le monde entier retient toujours son souffle sur les moyens d’enrayer l’engrenage infernal de la propagation de la dette, qui menace toujours le vieux continent européen.