Des Etats Unis

Rappel du premier message :

EN DIRECT. Nicolas Sarkozy devant les étudiants
new-yorkais





Nicolas
Sarkozy s'offre aujourd'hui et demain une courte parenthèse
internationale aux Etats-Unis. Accompagnée de Carla, le chef de l'Etat
commence sa visite officielle ce lundi à 16 heures (10 heures locales) à
la très select Université de Columbia. Son discours consacré aux
relations franco-américaines sera suivi d'une discussion avec les
quelque 400 étudiants qui se sont portés volontaires.


Barack Obama
accueillera mardi Nicolas Sarkozy dans le bureau ovale, à Washington.
Le président américain et Michelle Obama l'ont invité avec son épouse à
conclure leur séjour par un dîner à quatre dans leurs appartements
privés de la Maison-Blanche. Une «première», «un témoignage d'amitié
particulier», se plaît à souligner l'Elysée, qui veut y voir la fin des
tensions qui ont parasité les débuts de la collaboration entre les deux
dirigeants.

http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-nicolas-sarkozy-devant-les-etudiants-new-yorkais-29-03-2010-867597.php

Biloulou a écrit:

Entrée en vigueur :  l'Obamacare, accueil mitigé de la réforme de l’assurance maladie
(JOL Press - Dimanche 05 janvier 2014 - 20:31)

Toute nouvelle reforme nécessite un temps d'adaptation. Il n'en demeure pas moins que 60 millions de citoyens n'ayant pas accès a des soins
potables, c'est inacceptable dans un pays comme les USA; l'Affordable Care Act n'est pas la panacee mais c'est deja un bon debut.
Quant aux republicains, de toutes façons ils sont opposes a toute mesure sociale qui pourrait profiter a tous et non pas a une elite privilégiée.
Alors quand la mesure est en plus initiée par un president noir...C'est carrément hérétique   
Je ne parlerai meme pas du cout monstrueux des non assures sur les budgets generaux.

Citation :

Devant une telle réticence de Américains, il y a les éternels ahuris de ce côté-ci de la Grande Mare qui vont l'être encore un peu plus...   

Ces meme "ahuris" qui faisaient corps avec la grande reticence des Americain face au prévisible désastre irakien ?  

OmbreBlanche a écrit:

Le nord des Etats-Unis se prépare à une vague de froid quasi-polaire. Les températures vont descendre jusqu'à moins 50 degrés...

Il fallait s'y attendre, avec le réchauffement climatique...  

Biloulou a écrit:

OmbreBlanche a écrit:

Le nord des Etats-Unis se prépare à une vague de froid quasi-polaire. Les températures vont descendre jusqu'à moins 50 degrés...

Il fallait s'y attendre, avec le réchauffement climatique...  

climato sceptique???

Charly a écrit:

Biloulou a écrit:

OmbreBlanche a écrit:

Le nord des Etats-Unis se prépare à une vague de froid quasi-polaire. Les températures vont descendre jusqu'à moins 50 degrés...

Il fallait s'y attendre, avec le réchauffement climatique...  

climato sceptique???

Pas le moins du monde, les variations du climat, cycliques et autres, m'intéressent beaucoup !  

Shansaa a écrit:

Biloulou a écrit:

Devant une telle réticence de Américains, il y a les éternels ahuris de ce côté-ci de la Grande Mare qui vont l'être encore un peu plus...   

Ces meme "ahuris" qui faisaient corps avec la grande reticence des Americain face au prévisible désastre irakien ?  

Pas nécessairement.
De ce côté-ci de l'Atlantique (et pas uniquement), on ne s'occupait pas de faire des vaticinations sur les dissidences religieuses possibles en Irak qui pourraient, peut-être, tourner au carnage, ni du pourcentage d'Américains favorables à la reprise de la guerre du Golfe vu le non-respect par Saddam Hussein des conditions du cessez-le-feu de 1991 (*), pourcentage qui variait du simple au double, en gros, selon les moments ; non, par ici on suivait religieusement les consignes des médiazozordres ( Mab) et des hommes politiques du sérail, qui commandaient d'ignorer les rapports sur les ADM irakiennes manquantes (disparues ?).

C'est peut-être du côté de ces ahuris-là qu'il faudrait chercher...  

(C'est reparti ?)  

(*) - la réticence ne tournait pas autour des affrontements religieux possibles, mais sur les hésitations des juristes au sujet du feu vert ou rouge ou orange de l'ONU.

Shansaa a écrit:

Alors quand la mesure est en plus initiée par un president noir...C'est carrément hérétique

Ah !? Un président noir, chez vous ? Vous êtes sûre ?  

Biloulou a écrit:

non, par ici on suivait religieusement les consignes des médiazozordres ( Mab) et des hommes politiques du sérail, qui commandaient d'ignorer les rapports sur les ADM irakiennes manquantes (disparues ?)

Cet homme ment !   
J'etais pour l'intervention en Irak - et je ne suivais pas religieusement quoi que ce soit, sinon la mode automne-hiver. Non que je trouvais un charme fou à ce benet de George, mais enfin, mettre un panpan-cucul à Saddam me semblait une saine reaction.
J'oublais, jeune et naive que j'etais*, qu'il y avait des militaires dans l'affaire...


Mab -pour le coup, je ne veux plus que l'occident intervienne nulle part !-


*Oui, c'est bon, la petite classe...

andre a écrit:

Car d'abord, nous n'en avons pas les moyens et qu'ensuite nous sommes incompétents pour se lancer dans de telles aventures à la con.

Oh ça... C'est secondaire -et puis en France, le souvenir du pretige compense largement la competence.
Non, c'est juste que nous tuons et des gens et risquons de prendre un mauvais coup; totalement improductif, puisqu'à peine debarassés des occidentaux venus leur apporter la liberté et la democratie, les habitants des pays "libérés" s'empressent de remettre le couvert.

Que donc les chiites se debrouillent avec les sunnites, que les chretiens majoritaires ne s'en laissent pas conter par les minorités musulmanes et inversement, et cessons de nous meler de ce qui ne nous regardent pas pour que Notre Royal Fromage puisse se decouvrir des "plus beaux jours de sa vie".


Mab

andre a écrit:

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

non, par ici on suivait religieusement les consignes des médiazozordres ( Mab) et des hommes politiques du sérail, qui commandaient d'ignorer les rapports sur les ADM irakiennes manquantes (disparues ?)

Cet homme ment !   
J'etais pour l'intervention en Irak - et je ne suivais pas religieusement quoi que ce soit, sinon la mode automne-hiver. Non que je trouvais un charme fou à ce benet de George, mais enfin, mettre un panpan-cucul à Saddam me semblait une saine reaction.
J'oublais, jeune et naive que j'etais*, qu'il y avait des militaires dans l'affaire...


Mab -pour le coup, je ne veux plus que l'occident intervienne nulle part !-


*Oui, c'est bon, la petite classe...

Ma bonne Miss Mab, je suis d'accord avec vous : cessons d'aller faire les guignols en Lybie, au Mali ou en Centrafrique !

Car d'abord, nous n'en avons pas les moyens et qu'ensuite nous sommes incompétents pour se lancer dans de telles aventures à la con.

Vous avez raison faut avoir les moyens !!!




Le plus drole c'est qu'il ne ment pas ( Kerry en sait q'q'chose des éléctions   )

Les États-Unis sont-ils en déclin ?
(Les 4 Vérités - 12 février 2014 par Joslain Evelyne)




La question est récurrente depuis quarante ans, à chaque revers ou quand émerge une autre puissance. Avec l’Administration Oba­ma, ce déclin devient crédible.

Le rôle de leader mondial représentant les forces de la liberté est déjà un souvenir.

L’influence américaine en Asie s’efface devant la Chine, en Europe orientale devant la Russie et au Moyen Orient devant l’Iran, comme en témoigne le marché de dupes de Genève.

L’Amérique sous Obama ne défend plus les faibles et les opprimés : elle ignore les chrétiens persécutés et les massacres commis, partout, par le terrorisme musulman contre les populations musulmanes. Elle ne défend même pas ses propres diplomates (scandale de Benghazi), si cela risque de remettre en question le nouveau discours officiel, selon lequel Obama aurait vaincu Al Qaïda et « établi un nouvel équilibre plus sain » au Moyen-Orient.

En dépit des restrictions de crédit sans cesse infligées au militaire, le déclin de l’Amérique à l’étranger n’est pas dû à quel­que retard technologique. Il est purement politique. Nous voici dans un monde post-américain, où une Amérique alignée sur l’ONU, organisme international corrompu et incompétent, brade les intérêts occidentaux à des puissances régionales douteuses.

L’Amérique n’est pas davantage aimée et elle n’est plus respectée. La sécurité mondiale n’en est que plus aléatoire.

Le déclin intérieur, de son côté, angoisse les Américains et nous n’en avons que peu d’échos.

Même les néoconservateurs semblent accepter l’argument libertarien aujourd’hui dominant : que l’état de l’économie à lui seul rend impossible la poursuite du leadership tel que nous le connaissions depuis 1945. Le géant n’a plus les moyens de soutenir son rang. Une superpuissance, qui emprunte toujours plus pour payer les intérêts d’une dette de bientôt 17,5 trillions de dollars, n’a évidemment plus l’avantage moral.

Cette situation accuse aussi un inquiétant déclin politique : Obama court-circuite le Congrès, c’est-à-dire qu’il signe des décrets présidentiels et téléphone aux agences gouvernementales pour obtenir ce que les représentants du peuple ne se sont pas sentis autorisés à lui accorder. L’Amérique prend ainsi des habitudes de république bananière.

Notons aussi que les États-Unis ne sont plus qu’à la 12e place dans l’Index de la Liberté Économique.

Contrairement aux statistiques officielles, le pays n’est pas sorti de la récession. La croissance est anémique. Le taux de chômage est officiellement à 6,7 %, en réalité à plus de 10 %. L’Index de la Misère (chômage combiné à l’inflation) est passé de 7,8 % en 2008 à 14,7 %.

Dans tout cela, il n’y a aucune fatalité, mais des choix politiques désastreux. Pourtant, Obama n’offre au pays que la poursuite accélérée de ces mêmes choix.

Obamacare, son plan de santé obligatoire, a provoqué un chaos indescriptible dans le système d’assurance-santé, sans régler aucun des problèmes réels préexistants.

Il reste certes des secteurs industriels puissants, ce qui explique que la bourse, qui n’est pas directement liée à l’économie nationale, soit encore dynamique. Mais ces bénéfices ne sont pas investis dans les em­plois américains.

Obama, à l’inverse de ce qu’il prêche, ne fait rien pour alléger la souffrance des ouvriers. Son parti est, comme tous les partis socialistes, ennemi de la croissance. Il prospère sur le malheur de ceux qu’il prétend aider et ne vise qu’à étendre l’assistance de l’État au plus grand nombre.

Obama n’est pas l’artisan unique du déclin sociétal tragique que vit l’Amérique, mais il y contribue significativement.

Rien n’est, pour le moment, complètement irréversible.

Il faut aussi noter qu’à chaque fois que l’Amérique est déclarée agonisante, surgit une invention technologique (conquête spatiale, révolution informatique) ou un homme providentiel (Rea­gan) qui force les fossoyeurs à ranger leurs pelles.

Cette fois-ci, le salut pointe sous la forme d’une révolution énergétique. Il s’agit de l’exploitation du pétrole et des gaz de schiste.

Il y a là de quoi bouleverser la donne énergétique et géopolitique mondiale. Et tout cela, alors même que les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) déçoivent partout les espoirs mis en eux…

Évelyne Joslain

c est du lourd : John Kerry admet que la tour n° 7 a été l objet d une démolition contrôlée le 11 septembre.

(Vidéo du jour) Université d'Harvard : les origines de l’innovation
(01net - le 09/06/14 à 07h00 - par Jérôme Colombain, François Sorel et Bérengère Lepesqueur)

C’est à Cambridge, près de Boston, que se trouve l’université la plus prestigieuse des Etats-Unis : Harvard. Celle-ci a formé de nombreux chefs d’entreprise et d’hommes politiques. Nous nous sommes rendus sur ce campus mythique le jour de la cérémonie de remise des diplômes (vidéo ci-dessous)


 


Steve Ballmer, Bille Gates, Mark Zuckerberg ou encore Barack Obama. Quel est le point commun entre toutes ces personnalités ? Elles sont toutes issues de la prestigieuse université de Harvard.
Ce campus, qui se trouve à Cambridge près de Boston, est une véritable ville. Chaque année, des étudiants du monde entier viennent y suivent des formations en science, médecine, droit ou commerce. Leur scolarité se termine par la fameuse cérémonie de remise des diplômes et le traditionnel lancer de chapeaux.

Des jeunes hommes et des jeunes femmes qui, une fois leur diplôme en main, rêvent de sauver le monde ou de créer des entreprises, notamment dans la technologie.

Victoire du Tea Party en Virginie, tremblement de terre sur la planète républicaine
(LeFigaro.fr - Par Laure Mandeville Publié le 11/06/2014 à 18:17)



Représentant du parti républicain, Eric Cantor a été battu à la surprise générale dans sa circonscription en Virginie.


Le parti républicain est sous le choc, après la défaite d'un de ses leaders, Eric Cantor, battu mardi lors d'une primaire sur sa circonscription de Virginie, par un inconnu représentant les Tea Party.

Le désarroi a saisi les élites républicaines depuis ce mardi soir. Lors d'un coup de théâtre électoral spectaculaire, Eric Cantor, l'une des figures de proue du Congrès, programmé pour succéder au speaker de la Chambre John Boehner au perchoir, a mis un genou à terre. Il a été battu à plate couture dans sa circonscription de la banlieue de Richmond, en Virginie, lors de la primaire qui l'opposait à David Brat, un professeur d'économie inconnu et sans soutiens financiers.

Malgré son aura nationale, ses réseaux, ses sept mandats successifs et les 5 millions de dollars qu'il avait mis dans la balance, Cantor, un conservateur pur jus aux cheveux de jais et aux bonnes manières qui avait passé 20 ans à se construire pas à pas un destin national et dirigeait la majorité républicaine à la Chambre, n'a ramassé que 44 % des suffrages, contre 55,5 % à son adversaire soutenu par la faction des Tea party. Ce dernier n'avait pourtant investi que 200.000 dollars dans la bataille.

Au lendemain de ce revers cuisant, tous les analystes parlaient d'un «tremblement de terre» pour les républicains du Congrès, désormais privés de l'une des rares figures qui essayaient de réconcilier l'establishment et les insurgés populistes du flanc droit du parti.

Connu pour ses positions très conservatrices, Cantor avait longtemps flirté avec les Tea party, bloquant même à plusieurs reprises les compromis budgétaires négociés par le speaker John Boehner avec Obama. Mais depuis la réélection du président démocrate et surtout la déroute de la bataille budgétaire de l'automne dernier, il avait serré les rangs avec le patron de la Chambre, tentant de contenir la ferveur idéologique de ses troupes.

La loi sur l'immigration
Soucieux de recentrer son parti dans la perspective de la présidentielle de 2016, et d'attirer une partie du vote des latinos, il s'était engagé dans la négociation avec les démocrates sur la réforme de l'immigration. Il plaidait pour une variante républicaine du Dream Act, qui, sans naturaliser les enfants d'illégaux, leur aurait donné un statut légal. Une erreur apparemment fatale. C'est en effet sur le thème de l'immigration que David Brat a concentré l'essentiel de ses attaques, accusant Cantor d'être partisan d'une «amnistie» et de céder aux pressions d'un monde des affaires avide de main d'œuvre bon marché.
Les électeurs n'ont pas pardonné. De ce point de vue, la percée des Tea party rappelle les succès du FN en France sur ce même thème. «La réforme de l'immigration est morte», en a conclu immédiatement le commentateur de MSNBC Chuck Todd, jugeant qu'aucun élu n'oserait plus toucher au sujet.

Certains observateurs appellent toutefois à ne pas tirer de conclusions trop hâtives de la défaite de Cantor, soulignant qu'en Caroline du sud, le sénateur Lindsay Graham, un conservateur qui avait fait campagne sur la réforme de l'immigration, a été, lui, aisément réélu face à plusieurs candidats Tea party. Ils estiment que Cantor paie sa relative indifférence vis à vis d'un scrutin qu'il tenait pour acquis. Ils évoquent aussi un taux d'abstention important, seulement 14 % des électeurs ayant voté.

Désordre chez les Républicains
Mais d'autres analystes soulignent que le taux d'abstention avait été plus fort encore, en 2010 (10 %), quand Cantor avait ratissé 79 % des votants. «Sous-estimer le résultat et l'influence des Tea party est dangereux», affirme le commentateur du journal Newmax John Gizzi, qui annonce une défaite du sénateur sortant Thad Cochran le 21 juin, dans le Mississippi face à «l'insurgé» Tea Party Chris Daniels, un mélange «de Poujade et de Jean-Marie Le Pen».

La défaite d'Eric Cantor laisse en tout cas présager une aggravation des luttes intestines qui déchirent le parti républicain, et de grandes manœuvres pour récupérer le perchoir. John Boehner pourrait se voir forcé de rester à son poste, malgré son désir de quitter le jeu fin 2014… «Il n'y a plus d'héritier et il pourrait ne plus y avoir d'ordre» dans les rangs républicains, soulignait ce mercredi le Washington Post.

La rédaction vous conseille :
Le Tea Party, symbole de la contestation conservatrice américaine  
Fox News va-t-il couler les Républicains?

De photos plus que centenaires très bien conservées... ou admirablement traitées ?

La Chambre des représentants poursuit Barack Obama en justice
(RTS info - 31.07.2014 12:05)



John Boehner, le président républicain de la Chambre des représentants. [Evan Vucci - AP]


La Chambre des représentants américains a autorisé mercredi son président à poursuivre Barack Obama en justice, l'accusant d'abus de pouvoir dans le cadre de la réforme du système de santé.

La Chambre des représentants américaine, dominée par le parti républicain, a adopté mercredi une résolution autorisant son président, John Boehner, à engager des poursuites judiciaires contre Barack Obama pour abus de pouvoir. Tous les démocrates ont voté contre.

Les républicains reprochent au président d'avoir enfreint ses responsabilités constitutionnelles en n'ayant pas appliqué fidèlement la loi de réforme du système de santé. Une accusation paradoxale pour beaucoup de démocrates, car les républicains honnissent justement l'Obamacare.

Avenir des poursuites incertain
La plainte vise en réalité à concrétiser l'argument républicain selon lequel Obama serait un autocrate interprétant librement les lois.

En cause ici, le fait que l'administration Obama a repoussé deux fois l'entrée en vigueur d'un volet de la loi de santé relatif aux employeurs, en raison des débuts chaotiques de la réforme.

L'avenir des poursuites de la chambre reste toutefois incertain, la justice étant peu encline à arbitrer le conflit.

afp/ptur

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Décidément, les États-Unis d'Amérique n'ont pas fini de nous surprendre...

Biloulou a écrit:

La Chambre des représentants poursuit Barack Obama en justice
(RTS info - 31.07.2014 12:05)



John Boehner, le président républicain de la Chambre des représentants. [Evan Vucci - AP]


La Chambre des représentants américains a autorisé mercredi son président à poursuivre Barack Obama en justice, l'accusant d'abus de pouvoir dans le cadre de la réforme du système de santé.

La Chambre des représentants américaine, dominée par le parti républicain, a adopté mercredi une résolution autorisant son président, John Boehner, à engager des poursuites judiciaires contre Barack Obama pour abus de pouvoir. Tous les démocrates ont voté contre.

Les républicains reprochent au président d'avoir enfreint ses responsabilités constitutionnelles en n'ayant pas appliqué fidèlement la loi de réforme du système de santé. Une accusation paradoxale pour beaucoup de démocrates, car les républicains honnissent justement l'Obamacare.

Avenir des poursuites incertain
La plainte vise en réalité à concrétiser l'argument républicain selon lequel Obama serait un autocrate interprétant librement les lois.

En cause ici, le fait que l'administration Obama a repoussé deux fois l'entrée en vigueur d'un volet de la loi de santé relatif aux employeurs, en raison des débuts chaotiques de la réforme.

L'avenir des poursuites de la chambre reste toutefois incertain, la justice étant peu encline à arbitrer le conflit.

afp/ptur

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Décidément, les États-Unis d'Amérique n'ont pas fini de nous surprendre...

c'est Sylvette qui doit être contente   

Charly a écrit:

c'est Sylvette qui doit être contente   

Quel beau cadeau d'anniversaire !...   

Les républicains reprochent au président d'avoir enfreint ses responsabilités constitutionnelles en n'ayant pas appliqué fidèlement la loi de réforme du système de santé. Une accusation paradoxale pour beaucoup de démocrates, car les républicains honnissent justement l'Obamacare

Parmi les multiples changements (24) apportes unilateralement  par President Obama a Obamacare (alors que, selon la Constitution, tout amendement apporte a une loi doit l'etre par le pouvoir legislatif) il en est un qui retarde d'un an l'obligation pour les societes employant plus de 50 employes a plein temps d'offrir a ses employes une assurance medicale. Les consequences: des societes ont deja commence a annuler les contrats de travail a plein temps de certains de ces employes et a les remplacer par des contrats a mi-temps; cependant la majorite des Americains concernes ne sera touchee, grace a ce delai d'un an, qu'apres les elections de mi-mandat (nov 2014).

Rien donc de paradoxal a ce que les Republicains reprochent au president ce changement a la loi.

Aaahh.. Nancy Pelosi!


Elle est le leader des Democrates a la Maison des Representants et l'etait en particulier pendant les 2 dernieres annees de la presidence de Bush 43 (W) et les 2 premieres annees d'Obama. en 2009 et 2010, alors que la Maison des Representants, le Senat et la Presidence etaient aux mains des Democrates, au lieu de passer une loi sur l'immigration, comme promis pendant les elections, ils nous ont pondu (et ont passé in extremis avec achat de voix) Obamacare avec tout le succes que l'on connait..


Video ci-apres: Rep. Thomas A. Morino, R. de Pennsylvanie, ose etre supris par le fait que justement rien n'ait ete vote a l'epoque et que maintenant les elus Democrate reprochent aux Republicains de ne pas agir et d'avoir un coeur de pierre, avec comme consequence la reaction "mesuree" de Nancy.


Pas sur la video et hors audio, elle qualifie Morino d'"insignificant"...


Comment ose-t-il dire la verite... franchement!


(N.B.: Nancy a essaye, sans succes faut-il l'ajouter, en 2009 et 2010 de faire taire les radios de droite et FOX News.)

Desolee: Les nouveaux membres ne sont pas autorisés à poster de liens externes ou des emails pendant 7 jours. Veuillez contacter l’administrateur du forum pour plus d’informations.

Le lien vers la video sera pour un autre jour..

Si vous etes interesse le titre est le suivant: Republican Tom Marino angers Nancy Pelosi with immigration

Sylvette a écrit:

Desolee: Les nouveaux membres ne sont pas autorisés à poster de liens externes ou des emails pendant 7 jours. Veuillez contacter l’administrateur du forum pour plus d’informations.
Le lien vers la video sera pour un autre jour..
Si vous etes interesse le titre est le suivant: Republican Tom Marino angers Nancy Pelosi with immigration

Bonjour Sylvette !   

Je serai peut-être plus chanceux.
Foyons foir.




Est-ce ceci ?  

Ungern a écrit:

Bon ...
C'est pas tout çà ...
Est ce que Coco descend du singe ?

Comme tout le monde, y compris toi ; mais toi tu as fait demi-tour...   

Merci a vous, Biloulou pour le lien.