ET LA SYRIE !!!

La rebellion a attaqué et libéré la prison de Deraa, 300 prisonniers ont pu rejoindre leur famille. Il est a rappele que Deraa est le bastion de la revolution syrienne de là sont parties les premières manifs anti Bachar

Le Conseil du droit d’affamer l’Homme de l’ONU (info # 012003/14)
(Menapress - Par Bernardo Stenhof à Genève (ambassadeur auprès des institutions internationales)- jeudi, 20 mars 2014)  
       
 

Un jeune Palestinien du camp de Yarmouk en train de traire une chienne
 

J’adresse aux lecteurs de la Ména un billet presque en direct de la 25ème session du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU à Genève.   

La Russie s’approprie la Crimée et, dans le cadre onusien, on en parle un peu ; enfin juste ce qu’il faut pour que l’on ne puisse pas dire que cela est passé inaperçu.

Bon, j’ai l’habitude de ces situations. Il n’existe pas de véto aux droits de l’Homme, pas de grosses escarmouches ni de cris, rien de spectaculaire.  

Le lendemain, ce jeudi, donc, c’est Israël qui sera sur la sellette1, et sans ses diplomates, absents pour cause de grève. Comme toujours, cela va remplir au moins une journée d’ordre du jour, durant laquelle chaque membre de l’Union des Pays Islamiques va cracher son venin sur les "territoires", le "génocide", et "l’oppression" des Palestiniens.  

De quels Palestiniens vont-ils parler ? De ceux du camp de Yarmouk, dans la périphérie de Damas, où 20 000 personnes sont assiégées sans nourriture ? Où des êtres humains mangent les feuilles des arbres, et où, en janvier dernier, des informations faisaient état de l’affamation à mort de civils comme arme de guerre du régime.  

Les hôpitaux et dispensaires du camp ont été en majorité détruits, ce qui, de plus, laisse intentionnellement la population sans soins.  

Le 15 janvier dernier, un convoi de l’UNRWA (Office de Secours et de Travaux des Nations Unies pour les Réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) entre dans Yarmouk mais ne peut pas décharger les vivres qu’il transporte, les soldats gouvernementaux empêchant les délégués de l’ONU de remplir leur tâche.  

Ce qui précède est tiré du rapport de la Commission d’Enquête Internationale Indépendante sur la République Arabe Syrienne. Celui-ci sert de base à la juge suisse Carla del Ponte, commissaire de ladite commission, qui affirme avoir suffisamment d’éléments pour faire ouvrir une procédure au Tribunal International contre les dirigeants syriens ainsi que contre d’autres protagonistes de la Guerre Civile, notamment les islamistes. Elle a accordé avant-hier une interview à ce sujet à la télévision suisse romande RTS.  

Madame del Ponte sait de quoi elle parle : entre 1999 et 2007, elle était le procureur général du Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie, et de 99 à 2003, pour le Rwanda.  

Pourquoi ai-je décidé de parler de ce sujet ? Parce que pas un mot pendant les discussions sur la Syrie n’a vraiment mentionné ce scandale. Où sont les manifestants comme pour Sabra et Chatila et la flottille de Gaza ?  

Je crois qu’ils se sont perdus devant les supermarchés pour réclamer le boycott d’Israël. On ne peut que regretter de constater que dans le pays fondateur de la charte des droits de l’homme et du citoyen il ne manque pas d’adeptes de l’assassin Mohammed Merah, alors que la situation des victimes de Béchar al Assad n’interpelle personne.  

Mais où sont les "humanistes" qui n’hésitent jamais à se mobiliser pour manifester sous les fenêtres des ambassades israéliennes ?  

Je crois que ces "indignés sélectifs" étaient en route pour les représentations russes et syriennes, mais que, chaque fois, ils se sont trompés d’adresse.

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Un camp de palestiniens en Syrie ? C'est peut-être le moment de se souvenir que la Syrie est aussi en Palestine....

La défense aérienne turque a abattu un avion syrien qui bombardait des rebelles près de sa frontière. C’est l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) qui rapporte l’information :

“La défense antiaérienne turque a visé un chasseur bombardier syrien alors qu’il frappait des régions dans le nord de la province de Lattaquié (ouest). L’appareil a pris feu avant de s’écraser en territoire syrien”, selon l’OSDH.

Le ministère syrien des Affaires étrangères a dénoncé “l’ingérence” turque et a accusé Ankara d’être impliquée dans les événements en Syrie. Des sources militaires syriennes en colère parlent de soutien au “terrorisme”.

“Cette agression flagrante met en évidence l’implication (du Premier ministre turc) Erdogan dans le soutien aux groupes terroristes”.

De son côté, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a félicité son armée et menacé de riposte “musclée” contre l’armée d’Al Assad si cette dernière osait de quelconques représailles.

“Notre réponse sera forte si vous violez notre espace aérien [...] Je félicite le chef d’état-major des forces armées et les valeureux pilotes… Je félicite nos forces aériennes”, a déclaré le chef du gouvernement.

Depuis 3 ans, l’armée du tyran Al Assad profite de sa supériorité aérienne pour bombarder la population civile ainsi que les rebelles locaux. La Turquie avait déjà détruit à sa frontière un hélicoptère syrien il y a près d’un an.

Syrie: les Occidentaux inquiets
(Par Lefigaro.fr avec Reuters - Mis à jour le 09/05/2014 à 11:22 Publié le 09/05/2014 à 06:35)


Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ont fait part hier, lors d'une réunion à huis clos du Conseil de sécurité de l'ONU, de leurs inquiétudes au sujet de ce qu'ils considèrent comme des ambiguïtés et des contradictions de la Syrie sur son arsenal chimique.

Selon des diplomates, ces trois pays estiment que Bachar el-Assad n'a pas fait toute la lumière sur son stock d'armes chimiques dont il a promis de se débarrasser d'ici le 30 juin prochain, en vertu d'un accord international. "Certains membres du Conseil de sécurité ont fait part de leur inquiétude à propos de questions qui restent en suspens dans l'inventaire (fourni par la Syrie) et ont souligné le besoin de mettre au clair les contradictions", rapporte un délégué présent lors de la réunion.

Toujours de source diplomatique, on affirme que les pays occidentaux présents au Conseil de sécurité ont également insisté sur le fait que Damas devait détruire douze installations qui ont servi par le passé à produire des armes chimiques. Etats-Unis, France et Royaume-Uni ont rappelé, par ailleurs, que la Syrie n'avait pas respecté les échéances intermédiaires prévues pour l'acheminement et la destruction de son arsenal.

Selon Sigrid Kaag, chef de la mission conjointe de l'ONU et de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), qui était présente lors de cette réunion, 92% du stock a été détruit ou transféré hors du pays. "Pour autant, il y a une ombre au tableau", a-t-elle dit. "Les 8% restants ne sont pas accessibles en raison des conditions de sécurité (...). Il est important que la Syrie finisse le processus."

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Même scénario qu'en Irak, Bachar el-Assad aussi retors que Saddam Hussein ? Ou il n'y a pas de raison de s'en faire, l'excellent George Bush n'est plus aux manettes...   

En Syrie, la chute du dernier carré rebelle d’Homs
(LE MONDE | 08.05.2014 à 11h55 | Par Cécile Hennion)



Capture d’écran d’une vidéo de l’évacuation des rebelles, le 7 mai 2014, de la vieille ville d’Homs.
UGARIT NEWS VIA AP VIDEO/AP

Le dernier bastion des rebelles d'Homs, retranchés dans le vieux centre historique de la grande cité syrienne, n'est plus. A l'issue d'une série de négociations complexes entre les différents belligérants, l'évacuation de plus d'un millier de civils, de combattants et de blessés a débuté, mercredi 7 mai, à l'aube et s'est poursuivie toute la journée sans incidents majeurs.

Pour la jeunesse révolutionnaire syrienne, particulièrement pour les militants qui ont fui leur pays, le départ de ces irréductibles d'Homs est souvent considéré, quand on les interroge, comme un « crève-coeur », un « symbole de la résistance » qui s'effondre. Les paroles recueillies auprès de combattants sont elles aussi amères. Tous évoquent la famine, l'abandon et la mort lente pour expliquer un départ négocié après un siège impitoyable imposé depuis juin 2012 par le régime.

« Nous n'avons plus d'eau, plus de médicaments, plus de munitions, résume Wael Al-Homsi, un combattant d'Homs, joint la veille de l'évacuation par Le Monde. Les gens mangent les feuilles des arbres et boivent l'eau de pluie. C'est effroyable de voir des enfants blancs et maigres chercher quelque chose à manger sur les trottoirs sans plus se soucier des bombes qui tombent autour d'eux. Certains sont morts de faim. Nous avons envoyé la liste des victimes à Ban Ki-moon, assure-t-il. Mais personne ne nous a aidés. »

COMBATTANTS PARTIS « LA TÊTE HAUTE, AVEC DIGNITÉ »

En janvier, lors de la conférence dite de « Genève 2 », le secrétaire général des Nations unies avait exigé un accès humanitaire immédiat en Syrie. La vieille ville d'Homs avait alors bénéficié d'un accord qui devait permettre aux équipes de l'ONU et du Croissant-Rouge syrien d'acheminer une aide d'urgence et d'évacuer des civils lors d'une courte trêve. Mais des tirs de balles et d'obus sur le convoi humanitaire avaient fait cinq morts et une vingtaine de blessés parmi les civils.

« Cette première tentative avait été désastreuse », relate Ahmad Al-Qoussair, porte-parole de la Commission générale syrienne de la Révolution (CGSR) à Homs, qui décrit, lui aussi, des conditions sanitaires devenues insupportables. Les rations parvenues jusqu'à la vieille ville, explique-t-il, avaient été épuisées au bout de deux jours. Pis, les combattants qui avaient accepté de lâcher les armes en échange d'une amnistie promise par Damas, ainsi que tous les hommes âgés de 15 à 55 ans qui avaient voulu sortir avaient été arrêtés.

Au total, plus de trois cents personnes ont ainsi « disparu », aux mains du régime. « Nul ne sait ce qu'ils sont devenus, déplore M. Al-Qoussair. Pas question de retomber dans le même piège, ajoute-t-il. Cette fois, pas d'histoire d'amnistie, les hommes acceptent de sortir, mais ils ne se rendent pas. »

C'est là toute la différence avec les accords passés récemment entre le régime de Bachar Al-Assad et d'autres villes rebelles assiégées du pays. Les combattants du vieil Homs ont réussi à négocier leur départ les armes à la main (du moins avec leurs armes légères, ce qui inclut kalachnikovs, grenades et lance-roquettes) pour se redéployer au nord de la ville, vers Al-Dar Al-Kabera, Talbisah et Rastan, dans des zones contrôlées par l'insurrection. Cet accord sans précédent depuis que la guerre déchire la Syrie a été négocié, selon le porte-parole du CGSR d'Homs, « par des responsables du Front islamique avec des représentants du régime de Damas, mais aussi de l'Iran, pendant près de deux mois. Localement, l'opération a été coordonnée avec les Nations unies. »

En échange d'un laissez-passer des combattants d'Homs, la rébellion s'est engagée à desserrer l'étau autour de Noubbol et Zahra, deux villages chiites encerclés de la province d'Alep, en permettant l'ouverture d'un corridor humanitaire. L'accord inclut également la libération de plusieurs prisonniers, y compris des otages capturés par des brigades affiliées à Al-Qaida, ce qui supposerait que ces dernières ont, même indirectement, participé à la négociation.

Selon un document émanant du Front islamique et dont Le Monde s'est procuré un extrait, l'accord prévoyait, mercredi, l'évacuation de six cents combattants dont quinze blessés, en échange de la libération progressive d'au moins quarante-cinq otages, parmi lesquels « douze enfants et trois femmes alaouites » capturés au nord de Lattaquié, en août 2013, par l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), une femme « de nationalité iranienne », ainsi que vingt-neuf membres des « forces du régime », dont deux officiers capturés dans les régions d'Alep et de Lattaquié.

L'évacuation du reste des combattants devait s'achever jeudi en échange de nouvelles libérations, qui pourraient concerner, selon des sources au sein de l'opposition, plusieurs Iraniens. L'ambassadeur de la République islamique d'Iran à Damas, Mohammad Reza Raouf Sheibani, est un habitué des médias officiels syriens. Peu avant l'évacuation d'Homs, il évoquait la possible libération de « deux ingénieurs iraniens ». Interrogée par Le Monde, la représentation diplomatique iranienne à Damas n'a pas souhaité s'exprimer sur son rôle dans les négociations d'Homs.

Les rebelles évacués mercredi sont arrivés à Al-Dar Al-Kabera, située à une vingtaine de kilomètres au nord d'Homs sur le fleuve Oronte. « Nous les avons accueillis chaleureusement, raconte Abou Al-Baraa, un militant de la ville. Il y avait parmi eux plusieurs blessés, combattants et civils, qui ont été aussitôt pris en charge par nos médecins. Les autres ont rejoint d'autres zones tenues secrètes pour des raisons évidentes de sécurité. » « Nous sommes satisfaits, ajoute-t-il. Contre toute attente, cette opération s'est pour l'instant bien déroulée. » Pour lui, les combattants sont partis « la tête haute, avec dignité ».

« SAISON TOURISTIQUE PROSPÈRE »

Présentée par Damas comme une phase du « processus de réconciliation nationale », cette première évacuation sans violence est une victoire, au moins médiatique, pour le régime. A quelques semaines de sa réélection programmée, le président Bachar Al-Assad offre aux Syriens le profil inédit d'un dirigeant apparemment capable de compromis.

« L'Etat souhaite arrêter le bain de sang », a-t-il affirmé mercredi à télévision officielle. Le statut d'Homs, ville symbole, « capitale de la révolution » soulevée massivement contre le régime dès le mois de mai 2011, lui assure un écho médiatique considérable, y compris hors de Syrie.

Cela lui permet aussi de faire oublier les « points chauds » où ses troupes se trouvent en difficulté, par exemple à Maaret Al-Numan (un verrou stratégique entre Alep et Hama) – où des bases loyalistes surarmées et alimentées par hélicoptères sont assiégées par les brigades rebelles – ou sur la frontière jordanienne, aux alentours de Deraa. Dans un accès de surenchère caricaturale, le ministre du tourisme, Bachir Yazigi, n'a pas hésité à annoncer une « saison touristique prospère » à Homs… dès cet été.

Naguère lieu de tourisme, de culture et d'histoire avec ses monuments comme la grande mosquée mamelouke Al-Nouri, ses églises, dont Oum Al-Zunnar – l'une des plus anciennes du pays –, le vieil Homs a été dévasté par deux années de siège qui, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, a fait 2 200 morts.

Les images parvenues à l'occasion de l'évacuation ont montré de grands bus verdâtres transportant les rebelles à travers un paysage apocalyptique d'immeubles réduits à l'état de gravats.

Dernier îlot d'opposition armée au régime de Bachar Al-Assad dans la ville, le quartier d'Al-Waer, situé en périphérie d'Homs, ne revêt ni l'importance stratégique ni la charge symbolique de la vieille ville pour les rebelles, qui devraient bientôt, à leur tour, se replier.

Le régime devrait alors annoncer avoir repris la totalité d'Homs, troisième ville du pays, fleuron économique et industriel du centre de la Syrie. Homs, dont, au final, il ne reste pas grand-chose.

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Donc, les islamistes ont évacué leur "capitale", reprise par les autorités officielles.
Que reste-t-il de ce "printemps islamiste" que les Occidentaux ont choisi de soutenir ?

Ben,dites-moi !
Il est bien humanitaire cet Assad !

Si cela n'en tenait qu'à moi, j'aurais laissé se regroupé ces terroristes islamisés dans les bus et...Boum !

Alande-Quelle occasion manquée

...   « processus de réconciliation nationale »



                         




Al-Jazeera  

Alande a écrit:

Ben,dites-moi !
Il est bien humanitaire cet Assad !

Si cela n'en tenait qu'à moi, j'aurais laissé se regroupé ces terroristes islamisés dans les bus et...Boum !

Alande-Quelle occasion manquée

Je te croyais plus sérieux dans tes investigations ?

Chat Noir yeux haram a écrit:

Je te croyais plus sérieux dans tes investigations ?

Ah , Ce ne sont pas des fanatiques religieux ?
Mes sources m'auraient enduit avec de l'erreur...

  

Ben ,demande à tes sources comment les djihadistes étrangers, auraient pu entrer dans une ville assiégée depuis le début du conflit, ensuite demande à tes sources de bienregarder les images du corridor humanitaire, les assiégés partent avec leur famille, donc il s agit bien de syriens, ensuite le qualificatif de fanatique religieux, je sais il est en vogue en ce moment, et je crains qu on l agite beaucoup ces temps ci surtout pour attirer l attention et faire peur. Enfin voilà je t ai donné un echantillon d investigation , passe le message à tes sources.

Chat Noir petit scarabée en géopolitique a écrit:

je t ai donné un echantillon d investigation , passe le message à tes sources.

Pas besoin !
Je sais pertinemment qu'Assad est, non seulement satisfait, mais à aussi facilité le passage des "djihadistes étrangers" (moi, je les appelle des traitres à leur nations).
Et au risque de te choquer, je trouve que c'est très bien joué de sa part ! (Vu l'affolement de cette pauvre Union Européenne qui découvre le péril islamiste en son sein).
Quant aux assiégés qui partent avec leur familles, combien étaient des séditieux qui ont participé à cette guerre civile ?
Rien n'est blanc et, rien n'est noir dans cette histoire.
Quand le ver est dans la pomme, il faut supprimer la pomme.
Je préfère un Assad fort, qu'une Syrie dominé par la charia...

Alande-Qui fait son choix

Alande a écrit:

Chat Noir petit scarabée en géopolitique a écrit:

je t ai donné un echantillon d investigation , passe le message à tes sources.

Pas besoin !
Je sais pertinemment qu'Assad est, non seulement satisfait, mais à aussi facilité le passage des "djihadistes étrangers" (moi, je les appelle des traitres à leur nations).
Et au risque de te choquer, je trouve que c'est très bien joué de sa part ! (Vu l'affolement de cette pauvre Union Européenne qui découvre le péril islamiste en son sein).
Quant aux assiégés qui partent avec leur familles, combien étaient des séditieux qui ont participé à cette guerre civile ?
Rien n'est blanc et, rien n'est noir dans cette histoire.
Quand le ver est dans la pomme, il faut supprimer la pomme.
Je préfère un Assad fort, qu'une Syrie dominé par la charia...

Alande-Qui fait son choix

A ta place je réfléchirais un peu plus : Un "Assad fort", cela veut dire quoi ?
Par qui est soutenu Bachar ? par l Iran et le Hezbollah qui sont impliqués directement dans les combats.
Pourquoi l Iran soutien le régime de bachar? parce qu il a des visées hégémoniques dans la région et notamment dans toutes les régions chiites à commencer par l Irak,et le Liban
Si Bachar reste au pouvoir la Syrie ne sera ni plus ni moins qu un satellite iranien,
donc une menace réelle en plus pour Israel
Chat noir qui pense pour tous.

Syrie/Saisine de la CPI: Moscou votera contre

Home ACTUALITE Flash Actu
Par lefigaro.fr avec Reuters
Mis à jour le 21/05/2014 à 23:04
Publié le 21/05/2014 à 22:44

L'ambassadeur russe aux Nations unies a dénoncé un "coup publicitaire", jeudi, avant le vote du conseil de sécurité sur un projet de résolution visant à saisir la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye des crimes commis en Syrie.

Prié de dire si Moscou avait l'intention d'opposer son veto à ce texte d'inspiration française, Vitali Tchourkine a en outre répondu par l'affirmative. "Nous considérons la mise aux voix de la résolution comme un simple coup publicitaire qui aura malheureusement un effet néfaste sur nos efforts conjoints pour résoudre la crise syrienne par des moyens politiques", a-t-il ajouté. Malgré l'hostilité de Moscou, un diplomate siégeant au Conseil de sécurité a jugé "le moment venu de saisir la CPI".

La Russie et la Chine ont déjà opposé leur veto à trois résolutions qui visaient à condamner le gouvernement syrien et à le menacer de sanctions. Le conflit a fait plus de 150.000 morts et 2,5 millions de réfugiés. Neuf millions de personnes ont en outre besoin d'une aide d'urgence en Syrie même, dont 3,5 millions n'ont aucun accès aux biens et services de première nécessité.

En mars, les enquêteurs des Nations unies ont élargi la liste des personnes soupçonnées de crimes de guerre dans les deux camps et ont jugé les preuves suffisamment étayées pour donner lieu à des inculpations.



...  

chat noir a écrit:

A ta place je réfléchirais un peu plus : Un "Assad fort", cela veut dire quoi ?
Par qui est soutenu Bachar ? par l Iran et le Hezbollah qui sont impliqués directement dans les combats.
Pourquoi l Iran soutien le régime de bachar? parce qu il a des visées hégémoniques dans la région et notamment dans toutes les régions chiites à commencer par l Irak,et le Liban
Si Bachar reste au pouvoir la Syrie ne sera ni plus ni moins qu un satellite iranien,
donc une menace réelle en plus pour Israel
Chat noir qui pense pour tous.

Brillante analyse Chat noir
Il vaudrait mieux en effet que la Syrie devienne un satellite d'israël par l'intermédiaire de leur sous-traitant saoudien, pour qu'enfin une bonne guerre puisse se faire entre sunnites et chiites qui permette l’avènement du grand Israël sur les ruines de la civilisation musulmane...

"Forte présomption" que Souad Merah soit partie en Syrie" ...  



Emile Bortolussi a posté le 23 mai 2014 à 13h21

le problème ça n'est pas de l'empêcher de partir, elle est partie ! Le problème c'est de l'empêcher de REVENIR ! Bon vent !!!!



ASA ASA a posté le 23 mai 2014 à 13h21

Je trouve que l’état doit avoir une politique cohérente. On est sur et certain que cette femme est une jihadiste, et elle
aime bien vivre dans une société islamisée. On sait que l’état français souhaite le départ de ASSAD de la Syrie. On sait que beaucoup de Français sont mécontent de mode de vie européen et aimeront vivre dans une société islamique. Alors /

1- Pourquoi empêcher ces individus, (nuisibles) de quitter la France ?
2- Pourquoi empêcher ces individus mécontents en France de réaliser leur rêve ailleurs ?
3- pourquoi empêcher ces individus de combattre un Tyran, (Assad considéré comme tyran par la communauté internationale, USA, GB, FR et l’ONU)

Autrement dit, la SYRIE doit être une aubaine pour que la France se débarrasse de ses islamistes.

Je préfere voir un Syrien athée ou laïque « ASSADIST » qu’un islamiste français

Je suis même étonné que la France n’encourage pas que ces islamistes aillent vivre dans ces pays où la Charia se pratique.

Laissons le libre choix à la jeunesse, s’ils sont heureux dans leur mode de vie, pourquoi les empêcher. C’est avec les contraintes que l’homme devient extrémiste. Si ces islamiste, jihadistes veulent fonder une société à la Taliban et sont heureux, laissons les vivre en paix.


... 

PS : J'ai entendu ce matin que Paris , 11 ème place financière en 2011 est maintenant à la 26 ème place .
         Détail, me direz-vous : l'essentiel est de savoir où se trouve la soeur de Mohamed Mehra !

Kala   

_________________"Forte présomption" que Souad Merah soit partie en Syrie"        

Black Cat a du l'accompagner ... il parait qu'en vieillissant, il perdrait la main lors des braquages ... il aurait donc décidé d'aller se remettre à niveau vers Damas ...   

Personne a écrit:

Il vaudrait mieux en effet que la Syrie devienne un satellite d'israël  par l'intermédiaire de leur sous-traitant saoudien, pour qu'enfin une bonne guerre puisse se faire entre sunnites et chiites qui permette l’avènement du grand Israël sur les ruines de la civilisation musulmane...

Il y a déjà un moment qu'elle est en ruine, la civilisation musulmane, et à priori, rien ne pousse dessus.
Meme les islamistes préfèrent vivre ailleurs que dans un pays musulman   


Mab

Personne a écrit:

chat noir a écrit:

A ta place je réfléchirais un peu plus : Un "Assad fort", cela veut dire quoi ?
Par qui est soutenu Bachar ? par l Iran et le Hezbollah qui sont impliqués directement dans les combats.
Pourquoi l Iran soutien le régime de bachar? parce qu il a des visées hégémoniques dans la région et notamment dans toutes les régions chiites à commencer par l Irak,et le Liban
Si Bachar reste au pouvoir la Syrie ne sera ni plus ni moins qu un satellite iranien,
donc une menace réelle en plus pour Israel
Chat noir qui pense pour tous.

Brillante analyse Chat noir
Il vaudrait mieux en effet que la Syrie devienne un satellite d'israël  par l'intermédiaire de leur sous-traitant saoudien, pour qu'enfin une bonne guerre puisse se faire entre sunnites et chiites qui permette l’avènement du grand Israël sur les ruines de la civilisation musulmane...

Qu attends tu de l Iran ? Qu il reprenne le flambeau de la civilisation musulmane en ruine comme dit précédement? Ne reve pas "Personne", les iranniens ne seraient pas plus eux aussi qu un sous traitant au service des USA, et d Israel, les mollah peuvent aboyer leur haine du grand Satan et et du sionisme, ce qui se passe derrière les coulisses, n est pas toujours ce qui se dit devant les micros. d ailleurs le récent dégel entre l Iran et les occidentaux est révélateur , Khameine ne demande rien de plus qu etre un partenaire, et un allié pour pouvoir étendre ses visées sur le moyen orient. L Iran a une revanche à prendre sur son histoire avec les arabes, quand tu vas à Quom il existe un tombeau ou un mauselet où il faut y maudire Omar et Abou Bakhr.

C'est étonnant.
Y aurait-il tant d'immigrés européens en Syrie ?  

Bachar el-Assad réélu président de la Syrie
(Par lefigaro.fr, AFP, AP, Reuters Agences - Mis à jour le 04/06/2014 à 22:45 Publié le 04/06/2014 à 22:13)



Le président syrien en compagnie de son épouse, Asma, lors du vote mardi.

Le président sortant a décroché sans surprise un nouveau mandat de sept ans avec 88,7% des voix dans un pays ravagé par plus de trois ans de guerre civile. Un scrutin qualifié de «honte» par les États-Unis.

Ce n'est évidemment pas une surprise, puisque le vote n'a eu lieu que dans les régions sous contrôle du régime. Le président syrien Bachar el-Assad a été réélu pour un mandat de sept ans avec 88,7% des voix, a annoncé ce mercredi le président du Parlement, Mohammad al-Laham, au lendemain du scrutin.
«Je proclame la victoire du Dr. Bachar el-Assad en tant que président de la République arabe syrienne qui a obtenu la majorité des suffrages exprimés lors du scrutin», a-t-il déclaré lors d'une allocution télévisée. La participation a, quant à elle, atteint 73,4%, selon la Cour constitutionnelle. Sur les 15,8 millions de personnes appelées à voter en pleine guerre civile, 11,6 millions ont ainsi participé au scrutin.

Fait inédit en Syrie, Bachar el-Assad affrontait deux autres prétendants - l'ancien membre du gouvernement Hassan al-Nouri, et le parlementaire Maher al-Hajjar. Depuis un demi-siècle en effet, un seul candidat était autorisé à se présenter et les sept derniers scrutins présidentiels se sont résumés à des plébiscites de l'actuel chef de l'État ou de son père, Hafez, qui n'a jamais obtenu moins de 99% des voix. Les deux adversaires de Bachar el-Assad n'étaient toutefois considérés que comme de simples faire-valoir. Hassan al-Nouri et Maher al-Hajjar ont obtenu respectivement 4,3% et 3,2% des voix.

Trois morts après des tirs de joie
L'annonce de la réélection d'Assad a été accompagnée par des tirs de joie qui ont fait trois morts à Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Dans un communiqué, le président avait pourtant demandé en vain de s'abstenir de ce type de manifestation.

«Face au complot, le peuple a choisi de reconduire ses dirigeants pour rétablir la sécurité, lutter contre le terrorisme et reconstruire le pays», a en tout cas affirmé le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid el-Mouallem, cité dans la presse avant même les résultats du scrutin. L'Occident, qui soutient l'opposition syrienne modérée, a dénoncé la tenue du scrutin dans un pays à feu et à sang, et l'OSDH a affirmé que le régime avait «forcé» des citoyens à voter sous peine d'arrestation.

La chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, a qualifié l'élection d' «illégitime» et estimé qu'elle minait «les efforts politiques pour trouver une solution à cet horrible conflit». En visite chez le voisin libanais, le secrétaire d'État américain, John Kerry, a qualifié le scrutin de «non-élection», et appelé les alliés du régime à œuvrer pour mettre fin à la guerre qui a fait en trois ans plus de 162.000 morts.

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Dont acte

Joumblatt : L’élection syrienne, une leçon de démocratie au monde...






Le leader druze s'en prend également à la communauté internationale.

Le chef du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, a ironisé jeudi dans les termes les plus fermes sur l'issue de l'élection présidentielle syrienne "digne des plus grandes démocraties".

"Avec le vote des morts, dont le nombre a dépassé 200.000, les déplacés à l'intérieur et à l'extérieur de la Syrie, dont le nombre est estimé à huit millions, les prisonniers politiques, les disparus, et ceux dont le sort reste inconnu, le régime syrien aurait pu enregistrer un score meilleur que lors de ces élections impressionnantes par leur transparence, leur pluralisme et leur esprit démocratique", a déclaré M. Joumblatt dans un communiqué.

"Aucune des plus grandes démocraties de l'histoire ancienne et contemporaine n'a témoigné de pareilles élections", a-t-il ajouté.

"N'étaient-ce quelques décombres à Homs, quelques destructions à Alep, quelques routes coupées à Idlib, tous les habitants de ces villes auraient renouvelé leur appui éternel au Raïs (...). N'étaient-ce les quelques barils d'explosifs largués par les avions et les armes chimiques utilisées de temps à autre, les habitants de la Ghouta orientale et des régions du Nord syrien auraient donné une leçon à l'Occident sur les moyens d'organiser des élections et de diriger les opérations de vote", a-t-il encore dit.

Le leader druze s'en est par ailleurs pris à l'Occident. "Le régime n'aurait pu organiser les élections les plus transparentes de l'histoire si la communauté internationale n'avait pas laissé tomber le peuple syrien et si elle n'était pas restée les bras croisés alors que les Syriens étaient opprimés, déplacés, bombardés par Assad qui préparait des élections libres, plurielles et démocratiques", a affirmé M. Joumblatt.

"Le peuple syrien n'aurait pas été capable de s'exprimer librement, avec dignité et démocratiquement sans que les puissances prennent leur temps dans des hôtels cinq étoiles à reformuler inlassablement leurs condamnations", a-t-il encore dit.

L'ORIENT LE JOUR
Fête ses 90 ans.....

"Aucune des plus grandes démocraties de l'histoire ancienne et contemporaine n'a témoigné de pareilles élections", a-t-il ajouté.


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Le 25 avril 1920, à San Remo, la France et la Grande-Bretagne finalisent le partage des mandats. Une fois la nouvelleconnue,

des émeutes se produisent en Syrie et une Constitution, la première dans le monde arabe, est votée. Les Français décident

alors d’imposer les mandats par les moyens militaires. Les troupes arabes sont battues par la troisième division de l’armée du

Levant commandée par le général Gouraud à Khan Maysaloun, à 20 km de Damas. Le 25 juillet 1920, les Français occupent la

ville et ordonnent à Fayçal de partir. La division de la Syrie a lieu très vite, un mois après Maysaloun ; elle donne naissance

aux

Etats suivants :

- Le Grand Liban, détaché de la Syrie et proclamé le 1er septembre 1920.  

- L’Etat d’Alep.

- Le territoire alaouite, placé sous l’administration directe de la France.  

- L’Etat de Damas.

- Le sandjak d’Alexandrette, province autonome placée sous l’autorité française.

- L’Etat druze indépendant.

Si les maronites et les alaouites sont satisfaits du morcellement qui a été fait, le reste de la population s’y oppose. La France

tente de brider par la violence les troubles qui éclatent dans toutes les régions. Puis elle décide de réunir les Etats de Damas,

d’Alep et le territoire alaouite dans le cadre d’un Conseil fédéral. Le 5 décembre 1924, l’Etat de Syrie est proclamé, qui unit

les Etats de Damas et d’Alep.

Le territoire alaouite devient un Etat.   

...En 1939 eurent les jeux olympiques de Berlin ,

en 1946 le plan Marschall se mit en branle ...

en 2014 les ukrainiennes eurent vent de la rééléction du président de la république syrienne