Le premier soir de l'espoir !

Mai 2017, Marine le Pen est élue Présidente de la République.

Le résultat sorti des urnes est sans appel : 54,6% des Français ont voté pour la candidate du Rassemblement Patriote. Dans les campagnes, son score atteint souvent voire dépasse les 60%. Le pays oublié a parlé, et pour la première fois, un certain monde enfin l’entend.

Les réactions internationales :

La nouvelle de l’élection de Marine le Pen à la Présidence de la République fit instantanément la Une des médias du monde entier. On vit là le signe que la France, après des années d’errance et de déclin, demeurait dans l’esprit des peuples du monde une nation à part. Chacun sentit la dimension historique de l’événement.
Les messages de félicitation affluèrent des quatre coins du monde. De chaleureuses missives parvinrent de Chine et de Russie, mais aussi d’Amérique du sud et d’Extrême-Orient. Les Etats-Unis, bien que « surpris », reconnurent dans le choix du peuple français « l’expression d’une volonté incontestable » avec laquelle « en toute amitié ils travailleront ». Les pays d’Afrique saluèrent également avec « respect » l’élection de Marine le Pen, émettant pour la plupart le souhait d’une coopération bilatérale renforcée avec la France.
Les pays d’Europe, un à un mais sans enthousiasme, à l’exception notable de la Suisse, de l’Islande et de la Norvège, « prirent acte » de la décision du peuple français. Les leaders de l’opposition de ces pays, pour la plupart membres du grand groupe souverainiste fondé au lendemain des élections européennes de 2014, et présidé depuis lors par Marine le Pen, firent part quant à eux de leur « joie profonde », convaincus, à raison, que cette victoire servirait d’élan à toutes les forces patriotiques du Vieux Continent.

Quatre heures après la nouvelle de l’élection, seule la Commission européenne ne s’était encore fendue d’aucune réaction officielle…

Les réactions nationales :

19h15 : un détachement exceptionnel de sécurité, en lien avec les services secrets, arrivait auprès de Marine le Pen pour renforcer le dispositif formé jusqu’alors par le seul SPHP. Chacun comprit ce que signifiait ce soudain déploiement ; la tendance des premiers dépouillements était implacable.

François Hollande, éliminé dès le 1er tour, s’était abstenu de toute consigne de vote pour le second tour, laissant libre choix à ses électeurs entre le candidat UMP et la présidente du Front National, et s’attirant par là les foudres de son ex-majorité, qui jamais vraiment ne le soutint.
20h00 : le visage de Marine le Pen lentement apparaît sur les écrans de télévision. Son score, sans appel, achève d’assommer une gauche qui ne trouve même plus la force de se lamenter. A l’UMP, étonnamment, aucune expression de tristesse n’apparaît sur le visage des militants, lesquels saluent par des applaudissements convenus leur candidat qui très tôt prit la parole pour reconnaître sa défaite.

Quelques incidents émaillèrent cependant les plateaux de télévision ; certains journalistes, habitués aux dérapages verbaux et ayant du mal à cacher leur haine de la démocratie, déclarèrent que la « France allait devenir la risée du Monde libre (sic !)» ou encore que le « fascisme arrivait toujours par le peuple »… Libération, en signe de protestation, annonça par la voix de son éminent rédacteur en chef qu’il ne paraitrait pas le lendemain. Le Monde s’autoproclama « journal vigie de la République » et « gardien des Libertés », se substituant du même coup à la nouvelle Présidente de la République et au Conseil Constitutionnel…

Le reste de la classe médiatique, telle la girouette au vent, tourna sans rougir, analysant le résultat de l’élection comme un événement mondial -ce qu’il était assurément ! Les jugements péremptoires, les prédictions catastrophistes et les anathèmes outranciers lancés à l’égard de Marine le Pen, de son programme et de ses équipes, auxquels les journalistes avaient habitué la France depuis 5 ans, et bien plus intensément encore pendant la campagne, s’étaient considérablement estompés.
Le soir, aucun débordement ne fut signalé dans les banlieues, seule une manifestation d’anarchistes dégénéra peu avant minuit aux abords de la Place de la République, à Paris…

Au contraire, une foule immense se réunit Place de l’Opéra où la nouvelle Présidente avait donné rendez-vous en cas d’élection. Le pouvoir, dans un dernier mouvement de frustration, avait d’avance interdit toute descente des Champs-Elysées…

Mais, dans le silence de leurs logis, des centaines de milliers d’anonymes à travers toute la France contribuèrent à la plus émouvante manifestation patriotique qui fût. Au matin, on vit le pays tout entier recouvert d’un immense manteau tricolore. Des drapeaux français, innombrables, claquaient au vent, recouvrant parfois intégralement les façades de nos immeubles. Des maires, par milliers, descendirent l’étendard européen de leurs édifices communaux; et d’autres anonymes dans les rues de Paris, firent de nouveau flotter le drapeau légitime sur les mats de la capitale.

Cela ne faisait pas 4 heures que Marine le Pen était élue, et tout dans les esprits avait déjà changé.

Et le rêve continua :

Quelques semaines plus tard, avec près de 300 députés, Marine le Pen obtint sans réforme du mode de scrutin une majorité nette à l’Assemblée nationale. Le Rassemblement Bleu Marine s’était entre-temps étoffé d’une branche souverainiste de l’UMP menée par Henri Guaino (nouveau ministre de la Justice) et des éléments de la gauche patriote proches de Jean-Pierre Chevènement. L’UMP-UDI obtint 200 députés, quant à l’ensemble de la « gauche plurielle », moins de 77. Malgré ce succès, Marine le Pen demanda à sa majorité de voter immédiatement l’instauration de la proportionnelle intégrale pour les prochaines échéances, consentant toutefois à l’instauration d’une prime majoritaire, et tint sa promesse de création d’un véritable référendum d’initiative populaire. Le Sénat et les régions furent supprimés par référendum (le premier de son quinquennat), simplifiant l’organisation territoriale du pays aux seules communes et départements.

Deux ans plus tard, ayant mis en application les mesures phares de son programme économique et social, la France, en passe de retrouver une balance commerciale excédentaire, renouait avec la croissance ; le chômage baissait et les commerçants de nouveau échangeaient à leurs caisses des Francs à l’effigie des grandes figures de notre Histoire.

En 9 mois -le temps d’une gestation- l’Union européenne disparut. La Commission, refusant l’ouverture de négociations spécifiques avec la France, fut contrainte de démissionner. La politique de la chaise vide pratiquée par Marine le Pen bloqua ipso facto les institutions européennes. Les chefs d’Etat et de gouvernement se réunirent et organisèrent étape par étape le démembrement de la zone euro et de toutes les structures politiques supranationales, à commencer par la Commission ; chaque pays retrouva sa pleine et entière souveraineté législative, territoriale et monétaire. Seule fut maintenue l’existence d’un marché commun sous forme d’une zone de libre-échange, mais n’empêchant aucunement la pratique d’un protectionnisme intelligent dans les limites prévues par l’OMC. Il fut décidé la création d’une grande Agence de Coopération Européenne (l’ACE), ouverte à la Russie, pour favoriser la coopération interétatique dans les domaines de la recherche et de la technologie, sur le modèle de l’agence spatiale européenne.

Dans l’année qui suivit l’élection de Marine le Pen, l’immigration quasi spontanément s’arrêta. Les demandes d’asile s’écroulèrent sous la barre des 2000 et l’immigration légale fut divisée par deux avant même les effets des premières mesures gouvernementales. A l’inverse, jouissant d’une nouvelle image plus sûre et plus rassurante, la France avait conforté son rang de première destination touristique mondiale.

Un mini baby-boom fut même signalé par l’INED au terme de la première année du mandat de Marine le Pen.
La France entamait ainsi la marche active vers son redressement ; le pays rayonnait déjà d’une nouvelle grandeur. D’immenses défis l’attendaient encore mais le peuple, uni, mené par une femme d’exception, par son vote avait signifié qu’il était là pour les relever !

Puisse ce rêve de tous les patriotes devenir un jour réalité.

Béné !!!!! prépare les valises!!!

C'est vivre d'illusions .

La réalité c'est qu'il n'y a plus aucun pouvoir politique dans les circonstances actuelles .

La seule solution est un profond changement des règles du jeu et en premier une reprise en main de l'économique par le politique .

Et là non seulement ce sera très difficile parce que l'os est de taille,mais en plus parce que chacun a sa vue de l'os, et ça peut être fort différent .

Cette prise de conscience ne peut se faire actuellement qu'à l'échèle d'un continent .
Pas d'un pays !

Les différences de Hollande versus Sarko c'est :

a) Sarko en plus se foutait ouvertement de notre gueule .
b) Hollande n'a pas la capacité de donner l'illusion comme Sarko .

Sinon c'est exactement la même chose ...

Deux ans plus tard, ayant mis en application les mesures phares de son programme économique et social, la France, en passe de retrouver

une balance commerciale excédentaire, renouait avec la croissance ; le chômage baissait et les commerçants de nouveau échangeaient à

leurs caisses des Francs à l’effigie des grandes figures de notre Histoire. 



...



Puisse ce rêve de tous les patriotes devenir un jour réalité. 

Je doute que les pays arabes et africains envoient des messages de félicitation

Suite.

Elue principalement sur un taux d'abstention de 78% -les gauchistes, les verdatres, les centrifugeurs et les gens raisonnables ayant refusé de choisir entre Jean François Copé et Marine Le Pen-, la presidente ne tarde pas à faire face à la realité.

Le depart annoncé, proclamé et assumé de l'Union Européenne et le retour du franc comme monnaie nationale precipitent l'exode des grosses fortunes et des capitaines d'industrie, et plonge les petits epargnants dans la misere. La baguette de pain coûte l'équivalent de 7 euros, les subventions aux associations culturelles ou à vocation sociale sont supprimées. Pour la premiere fois depuis 4 siècles, les français immigrent massivement (principalement vers l'Andorre et la Bretagne, qui fait secession).
Quelques usines se reinstallent en France, mais la corruption et le niveau des salaires ne compensent pas les pertes. L'artisanat disparait officiellement presque quasiment, faute de clients solvables. La France en revanche detient le triste record d'Europe de travail au noir -un comble quand on connait papi Le Pen.

Les expulsions, jusqu'alors generalement organisées de maniere à ne pas dresser la population contre la loi, sont au contraire montées en epingle afin de signifier le changement de regime; les enfants sont recupérés directement dans les cours d'ecole et placés immediatement en fourgon pres de leurs parents menottés.

La suppression des aides européennes et la lourdeur du budget alloué à l'armée grèvent durablement un budget mal ficelé -pour une fois, les socialistes avaient raison : le programme economique du FN ne tenait pas la route (autrement que sur des chenilles).
Les partis d'extreme-gauche sont interdits, les televisions et les radios rattachées à l'etat et internet, suite à la visite de conseillers chinois, verrouillé et surveillé.
Le BTP en revanche connait la premiere année une envolée spectaculaire, due à la construction de mega centres penitentiaires. En revanche, le taux d'etrangers dans les prisons chute sensiblement, grâce à leur expulsion automatique vers leur pays d'origine. La suppression des imams dans les aumoneries transforme les batiments en camps d'entrainement islamistes où la corruption regne en maitre.

Les premieres mesures de restriction budgetaire, qui touchent la justice et l'education nationale, poussent dans la rue les lyceens, les syndicats et ce qu'il reste de la magistrature. La violence de la repression n'est retransmise que sur les chaînes etrangeres. Les avocats ecrasés sur la chaussée ou scotchés les bras en croix sur les grilles des prefectures choquent les places financieres.


Lorsque les premiers cas de deculottages de juifs sont signalés dans les collèges, la presse commence à s'émouvoir. Marine Le Pen annonce alors son prochain mariage avec Simon Cohen. Le caillassage meurtrier d'une famille marocaine sur la route des vacances par des "jeunes" decomplexés provoque l'annonce par la presidente de l'adoption d'Asma, une petite palestinienne (chretienne, faut pas deconner non plus).

L'entretien des edifices n'etant plus assuré, par choix budgetaire, et la plupart des manifestations culturelles, portées par la gauche, supprimées pour les memes raisons, le tourisme s'effondre. L'ecologie, dejà largement devalorisée par l'ex ministre Duflot -qui a fui vers le Kosovo-, etant le cadet des soucis de la nouvelle presidence, la plupart des plages de Mediterrannée sont sinistrées et d'immenses decharges à ciel ouvert font leur reapparition, comme au bon vieux temps des années 70.

Les français mettront 2 ans à se souvenir qu'ils ont la revolution dans le sang.


Mab

Dans les banlieues, bandes organisées et l armée s affrontent , les citées sont en feu, les commerces ont fermé, le couvre feu est instauré à partir de 18 heure.

Mab a écrit:

L'ecologie, dejà largement devalorisée par l'ex ministre Duflot -qui a fui vers le Kosovo-, etant le cadet des soucis de la nouvelle presidence, la plupart des plages de Mediterrannée sont sinistrées et d'immenses decharges à ciel ouvert font leur reapparition, comme au bon vieux temps des années 70.

Je suis absent de ce débat franco-français, et pour cause, juste interpellé par cette confusion entre écologie (qu'est-ce que cette science plus que centennaire vient faire ici ?) et la saine gestion du territoire.
Mais je lis le tout avec grand intérêt.

(Et qu'on fasse pas de mal à Cécile Duflot de khôneries, hein !)

chat noir a écrit:

Je doute que les pays arabes et africains envoient des messages de félicitation

... Nous ferons sans ... pas grave ! ...  

ben je dis çà pour pas que tu sois déçu, en meme temps faut pas s étonner ,le nom des Le Pen est assimilé au racisme, çà va etre dur de les décoller , il va en falloir du temps

chat noir a écrit:

Dans les banlieues, bandes organisées et l armée s affrontent , les citées sont en feu, les commerces ont fermé, le couvre feu est instauré à partir de 18 heure.

... Oui et alors ? ...

Les bandes organisées ne sont-elles pas actuellement installées confortablement ? Serait-il nuisible de voir fermer le commerce en tout genre dans ces lieux de non droit ? Peut-être même - rêvons un peu - que le SAMU et les pompiers pourront y répenétrer sans se faire tirer dessus ?

Ce couvre-feu salutaire et temporaire (le temps du nettoyage) n'est-il pas indispensable tant les choses sont devenues dramatiques ?

Dans les dom et tom c est l insurrection, les mouvements indépendantistes sont dans la rue

Miss mab a écrit :

Les avocats ecrasés sur la chaussée ou scotchés les bras en croix sur les grilles des prefectures choquent les places financieres. a écrit:

C'est une idée fixe Miss Mab ... ! ... Une monomanie !

NB : pas de quoi susciter votre ire donc ...  

Biloulou a écrit:

Je suis absent de ce débat franco-français, et pour cause, juste interpellé par cette confusion entre écologie (qu'est-ce que cette science plus que centennaire vient faire ici ?) et la saine gestion du territoire.

Nonon, il n'y a en l'occurence pas confusion.
Il semble que tu sois toi-meme victime de tes prejugés envers tout ce qui est vert dehors et rouge dedans.
En France, c'est grâce à la sensibilisation effectuée par les ecologites que le traitement des dechets n'a pas été completement oublié.


Mab, non mais

andre a écrit:

C'est une idée fixe Miss Mab ... ! ... Une monomanie !  

Que voulez-vous, Dédé, vous m'inspirez.

Mab

Mab, habituellement meilleure bricoleuse, a écrit:

Les avocats ecrasés sur la chaussée ou scotchés les bras en croix sur les grilles des prefectures choquent les places financieres.

Ah, seulement scotchés ? Pourquoi pas cloués, dans la meilleure tradition des mercenaires des brigades internationales lors de la Révolution Espagnole ? (cf. Charly)

Biloulou a écrit:

Ah, seulement scotchés ? Pourquoi pas cloués, dans la meilleure tradition des mercenaires des brigades internationales lors de la Révolution Espagnole ? (cf. Charly)

Parce-que les clous, on n'en trouve plus, môssieur Biloulou, ils sont importés directement de Chine et echangés contre des chateaux de la Loire, alors Marine les economise.



Mab. Aaaah mais.

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

Ah, seulement scotchés ? Pourquoi pas cloués, dans la meilleure tradition des mercenaires des brigades internationales lors de la Révolution Espagnole ? (cf. Charly)

Parce-que les clous, on n'en trouve plus, môssieur Biloulou, ils sont importés directement de Chine et echangés contre des chateaux de la Loire, alors Marine les economise.
Mab. Aaaah mais.

Évidemment, je l'ai mérité...
Pourtant je m'étais promis de ne pas me mêler des affaires franco-chinoises françaises.  

andre a écrit:

chat noir a écrit:

Je doute que les pays arabes et africains envoient des messages de félicitation

... Nous ferons sans ... pas grave ! ...  

Au moment où Obama fait la tournée des popotes en Afrique pour promouvoir les intérêts des multinationales états-uniennes, il est temps

d'évoquer l'envers du décor, la finalité des politiques étrangères africaines de la France et des Etats-Unis mais surtout les méthodes

utilisées par ces deux grandes puissances. Leurs stratégies géopolitiques, parfois en synergie ou parfois antagonistes, consistent à assurer

la prédation des richesses des pays africains afin de garantir leur propre indépendance énergétique pour le XXIème siècle et conforter leurs

positions de grandes puissances pour ce nouveau siècle. Les moyens utilisés ne sont plus limités à de simples réseaux (françafricains...) -

l'ont-ils jamais été ? - mais sont militaires, offensifs et guerriers dans la droite ligne de la stratégie coloniale en ce qui concerne la France

et impérialiste en ce qui concerne les USA. L'armée française est devenue le nouveau fer de lance des stratégies atlantistes en Afrique

mais l'Etat français compte aussi tirer son épingle du jeu de massacre.

En effet la France est dépendante énergétiquement de nombreux pays africains notamment pour le pétrole (Gabon, Congo-Brazzaville,

Libye, Côte d'Ivoire...) et surtout pour son énergie électrique qui provient à 75 % du nucléaire dont la majeure partie du combustible -

l'uranium - provient des mines africaines (Niger et Centrafrique).

L'Etat français a donc multiplié ses invasions barbares pour placer, suite à de nouvelles (re)conquêtes militaires, des régimes qui lui sont

favorables à la tête de ses ex-colonies (ou néocolonie). Ce fut le cas en Côte d'Ivoire (en 2010) où le socialiste panafricain Gbagbo gênait

les manoeuvres franco-états-uniennes dans la région pour l'accaparement des richesses (pétrole [1. Nouvelle découverte de pétrole (pour

Total) en Côte d'Ivoire], gaz, cacao...), en Libye (2011) où le leader panafricain Kadhafi était un obstacle majeur à l'impérialisme atlantiste

en Afrique ([2. Pétrole : l’accord secret entre le CNT et la France] ; [3. Total compte investir près de 100 millions d'euros en Libye] et enfin

au Mali (en 2013) afin de contrôler les richesses (or, uranium), sécuriser la frontière du Niger et isoler l'Algérie [4. Le saccage impérialiste

des richesses de l'Afrique]. Depuis quelques années, on assiste donc à une multiplication des bases militaires françaises dans de nombreux

pays du pré-carré francophone d'Afrique renforçant ainsi les positions et implantations stratégiques. Ces implantations assurant une

domination militaire permettent de s'approvisionner à bon compte en richesses minières (or, pétrole, uranium, gaz, cacao, ...) via des

kleptocrates affidés à l'Etat français, de contrer militairement l'expansion économique chinoise en Afrique mais aussi de conforter la chasse-

gardée française face à l'appétit grandissant de l'oncle Sam en Afrique. Ainsi le Livre blanc sur la défense et la sécurité (PDF), rendu public

à Paris le 29 avril dernier, porte la marque de l'opération guerrière française au Mali où le gouvernement et "le chef de guerre" Hollande

(expression de l'AFP, ndlr [5. Le "chef de guerre" Hollande va de Mali en pis...en Centrafrique]) ont érigé la zone sahélo-saharienne, le golfe

de Guinée et la Corne de l’Afrique en « zones proches d’intérêt prioritaire ». ([6. Bases françaises en Afrique : on rouvre !] ).

Voici une liste non exhaustive des bases militaires françaises sur le continent africain :
- Mali
- Côte d'Ivoire
- Centrafrique
- Gabon
- Djibouti
- Tchad
- Sénégal...



... voler les africains pour éviter le Pen est làche , ayez le courage de les renvoyer chez eux et rentrez vos bidasses chez vous  

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

Je suis absent de ce débat franco-français, et pour cause, juste interpellé par cette confusion entre écologie (qu'est-ce que cette science plus que centennaire vient faire ici ?) et la saine gestion du territoire.

Nonon, il n'y a en l'occurence pas confusion.
Il semble que tu sois toi-meme victime de tes prejugés envers tout ce qui est vert dehors et rouge dedans.
En France, c'est grâce à la sensibilisation effectuée par les ecologites que le traitement des dechets n'a pas été completement oublié.


Mab, non mais

Le traitement des déchets ? ... Qu'envisagent-ils ces verts pour recycler Duflot et Eva ? ... les donner au beau-frère (l'excellent Bertrand Cantat) de la première pour une salvatrice raclée ?  

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

Je suis absent de ce débat franco-français, et pour cause, juste interpellé par cette confusion entre écologie (qu'est-ce que cette science plus que centennaire vient faire ici ?) et la saine gestion du territoire.

Nonon, il n'y a en l'occurence pas confusion.
Il semble que tu sois toi-meme victime de tes prejugés envers tout ce qui est vert dehors et rouge dedans.
En France, c'est grâce à la sensibilisation effectuée par les ecologites que le traitement des dechets n'a pas été completement oublié.
Mab, non mais

Si tu le dis... mais bon, ce n'est pas une question de préjugés mais de sémantique, parce que l'écologie, dans la pratique, n'a strictement rien à voir avec le traitement des déchets.
Et le traitement des déchets relève de l'industrie et de la gestion du territoire.

Peut-être une exception française, alors ? Et moi qui revais de sauver la France...

Note que le seul repère que j'aie c'est la Belgique : avant on payait une taxe annuelle et les déchets étaient récoltés, triés et traités dans des usines appropriées. Cette taxe couvrait aussi les services de police, pompiers, premiers secours...
Maintenant il y a des nouvelles taxes pour les déchêts (qui font donc double-emploi) sous forme, généralement, de sacs-poubelles obligatoires au prix surfait estampillés par la ville, mais c'est moi qui dois trier les déchêts.

Un grand progrès, donc.

kalawasa a écrit:

chat noir a écrit:

Dans les dom et tom c est l insurrection, les mouvements indépendantistes sont dans la rue

Seigneur, fais en sorte que les indépendantistes nous foutent dehors !

Oui eux aussi (aux Antilles, à la Réunion, en Polynésie, en Nouvelle Calédonie, ...) doivent jouir de notre altruisme et de notre humanisme. Je suis certain qu'ils sauront très bien se débrouiller sans vivre aux crochets du contribuable métropolitain : quelques bananes, quelques noix de coco, un peu de pêche, de la musique créole, du yukulele, ... et tout ira bien mieux ... pour nous ...