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| Le Monde selon Barack... | |
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OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Le Monde selon Barack... 18/11/2008, 07:54 | |
| Rappel du premier message :Pour sa première interview de tout nouveau président élu sur CBS, Barack Obama a tenu à rassurer les Américains inquiets de l'aggravation du déficit public et des pertes d'emplois dans l'industrie automobiles. Il leur a promis qu'il trouverait les solutions les plus urgentes à restaurer la confiance dans le pays et travaillerait avec tout le monde, même son rival malheureux de la dernière élection, le sénateur républicain, John McCain. Avec le sénateur de l'Arizona, le Président Obama a déclaré qu'il trouvera ensemble les bonnes solutions pour "réparer le pays". Il a ajouté qu'il comptait remercier son ancien adversaire pour le "remarquable service" qu'il a déjà rendu. Alors qu'on lui demandait s'il comptait aider la future administration, John McCain a répondu: "évidemment". Puis, Obama a énoncé les principales mesures qu'il comptait prendre dès sa prise de fonctions qui aura lieu le 20 janvier prochain. D'abord, il compte bien respecter et poursuivre le plan de sauvetage de 700 milliards de dollars en faveur des banques américaines. Pour lui, la priorité c'est de mieux réguler le système financier mais sans étouffer "l'esprit d'entreprise et de prise de risques du capitalisme américain", seulement pour "rétablir un certain équilibre". Il a également appelé à ne pas redouter l'aggravation du déficit public en ces temps de crise économique. "Nous ne devons pas nous inquiéter pour le déficit l'an prochain ou même l'année d'après. (...) Le plus important est d'éviter une récession plus grave." La seconde priorité du Président Obama sera de tout faire pour aider les propriétaires en difficulté qui risquent de voir leur logement saisi. Ainsi, il mettra sur pied des négociations avec les banques et les emprunteurs pour que les gens puissent rester chez eux. Concernant les questions de sécurité, Obama a assuré que dès sa prise de fonctions, il œuvrerait avec ses conseillers et l'armée à la réduction du contingent américain en Irak, à l'augmentation des troupes en Afghanistan et à " éradiquer al-Qaïda une fois pour toute". Enfin, il a promis qu'il fermerait définitivement la prison de Guantanamo, à Cuba et qu'il restaurerait la stature morale de l'Amérique dans le monde. Il a aussi assuré que la capture d'Oussama Ben Laden serait considérée comme un objectif prioritaire. | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 19/6/2010, 22:15 | |
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| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 19/6/2010, 22:17 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 19/6/2010, 22:23 | |
| Milliere Guy obamaLe jury chargé de décerner le prix Nobel de la paix a dû, cette année, avoir quelques difficultés pour trancher. Après avoir récompensé, ces dernières années, des gens aussi remarquables que le célèbre hippie Yasser Arafat, connu pour son style très « peace and love », le non moins célèbre marchand de cacahuètes Jimmy Carter, un temps égaré à la Maison Blanche, et à qui la République islamique d’Iran, l’antisémitisme et le terrorisme international doivent tant, ou encore la faussaire guatemaltèque Rigoberta Menchu, après avoir honoré Wangari Maathai, connue surtout pour avoir expliqué que le sida avait été créé en laboratoire par des chercheurs désireux d’éliminer les noirs de la planète, Al Gore, spécialiste du film d’épouvante et de la désinformation concernant l’environnement, Kim Dae-Jung qui, grâce à des dons très généreux, situés aux alentour d’un milliard et demi de dollars pour la seule année 2000, a grandement contribué au bonheur des Coréens du Nord sous la conduite de leur Président bien aimé, le très démocratique Kim Jong-Il, ces Norvégiens à l’esprit noble ne pouvaient que se demander qui choisir. La planète ne manque pas d’imposteurs ou de dictateurs. Quelques noms n’auraient pas déparé sur la liste. Désigner Robert Mugabe aurait pu être tentant, mais il reste encore quelques blancs au Zimbabwe. Mugabe n’a donc pas achevé sa tâche. Proposer Mahmoud Ahmadinejad, alors qu’il n’a pas encore pu accueillir le mahdi à Téhéran, aurait pu sembler prématuré. Tous les Juifs n’ont pas encore été chassés du Venezuela, et donc Hugo Chavez peut mieux faire… Après réflexion, un nom, et un seul, pouvait s’imposer. Celui du Rédempteur, du Messie venu de Chicago, du plus proche disciple du pasteur Wright et de Bill Ayers, celui de l’homme qui est, avec une belle énergie, en train de s’efforcer de ruiner l’économie mondiale pour que le peuple américain se repente d’avoir créé une société prospère et puissante : Barack Obama. Encourager le Messie
Les mauvais coucheurs diront peut-être que Barack Obama n’a encore rien fait. Ils se trompent. Obama a, dans le sens de la destruction, fait davantage en neuf mois que certains feront en toute une existence, et l’ardeur qu’il y a manifestée jusqu’à présent ne pouvait qu’être encouragée. Au rythme où il va, ont sans doute pensé les Norvégiens, il pourra, s’il dispose du temps nécessaire, terrasser le capitalisme et l’« impérialisme » qui ont si longtemps donné des cauchemars à tant des récipiendaires du « Nobel de la Paix ». En un temps où nombre d’Américains commencent à se demander comment ils ont pu, dans un moment d’égarement, confier les clés du pays à un imbécile dogmatique de cet acabit, il fallait faire un geste pour que l’élan de l’Élu ne se brise pas. Le geste est fait. Les Norvégiens à l’esprit noble ont invoqué les « efforts extraordinaires » de l’Élu pour « renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples » et ont chanté les louanges de Sa vision d’un « monde sans armes nucléaires ». L’Élu va se trouver traité un peu plus encore comme un dieu vivant pendant quelques mois. La Corée du Nord va continuer à fabriquer des missiles et à affamer sa population, ce qui sera certainement excellent pour l’environnement. L’Iran va poursuivre sa course vers l’arme atomique, ce qui permettra de se rapprocher beaucoup plus d’« un monde sans armes nucléaires ». Les djihadistes palestiniens, pakistanais et afghans vont faire progresser leur vision très particulière de la coopération entre les peuples. Et, s’il s’en donne les moyens (un attentat particulièrement sanglant par exemple), le Hamas pourra lui-même prétendre recevoir le prix Nobel dans quelques années. Nous vivons une époque prodigieuse, non ? Je préfère en rire qu’en pleurer. Je préfère me dire que c’est un mauvais rêve et que ce mauvais rêve prendra fin. Je crains que, comme souvent avec les mauvais rêves, la fin ne soit tragique, mais le pire n’est jamais sûr. Les hommes lucides ne doivent pas désespérer et doivent se dire que, même si elle a connu de graves moments d’égarement, la civilisation n’a cessé de l’emporter sur les barbares et sur les piètres pitres qui leur font cortège. |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 20/6/2010, 12:33 | |
| BARACK OBAMA ET SAUL ALINSKY - Extrait du prochain livre de Guy Millière : La résistible ascension de Barack Obama. En exclusivité pour drzz.info Saul Alinsky est né en 1909. A Chicago. Ses parents étaient juifs pratiquants. Lui, il s’est éloigné de la religion pour lire Marx, Lénine et Trotsky. Il a fréquenté Al Capone, puis, après que ce dernier ait été jeté en prison, Frank Nitti, dont il s’est décrit lui-même comme l’ « apprenti » et auprès de qui, a-t-il noté, il a beaucoup appris. Il est devenu ensuite syndicaliste, puis agitateur social. Bien que très proche du mouvement communiste, il perçut très vite, dès la fin des années 1940, que le communisme, comme tel, n’avait aucun avenir aux Etats-Unis et que pour parvenir à certaines fins, il fallait procéder autrement. Il fallait, entre autres, ne pas dire qui on était : un communiste, un trotskyste, aux yeux de Saul Alinsky, est un imbécile, car il est bien trop explicite dans ses propos. Un homme de gauche réformiste, selon Saul Alinsky, est un imbécile aussi, car il s’imagine que le « système » est réformable. Un gauchiste ordinaire est un excité qui ne sait pas se contenir, qu’on peut utiliser, mais qui ne parviendra jamais à des résultats probants parce qu’il lui manque la méthode, la froideur, la sournoiserie absolue. Vous n’avez jamais entendu parler de Saul Alinsky, non, ou à peine. Ou sous la plume de fournisseurs de produits anesthésiants. Mais Barack, lui, a fait bien plus qu’entendre parler de Saul Alinsky. Il a enseigné ses idées, ses théories, sa méthode. Les seules photos de Barack enseignant dont on dispose le montrent devant un tableau, un morceau de craie à la main, pointer des mots tracés en majuscule, les entourer, et ces mots sont ceux de Saul Alinsky. Barack a sans doute lu Saul Alinsky bien avant de venir s’installer à Chicago. Aucun de ceux qu’il a fréquenté à New York, en les endroits où il passait son temps, ne pouvait ignorer qui était Saul Alinsky. Ceux qui l’ont fait venir à Chicago et l’ont embauché pour qu’il travaille au Developing Community Project n’étaient pas prêtres, et ils croyaient bien moins en le Dieu chrétien qu’en les idées et théories de Saul Alinsky. Ils s’appelaient Jerry Kellman, Mike Kruglik et Gregory Galluzo. Ils étaient blancs. Ils ne pouvaient pénétrer certains milieux et y injecter les idées qu’ils voulaient injecter. Ils cherchaient un afro-américain pour cela. Ils ont trouvé Barack et l’ont formé avant qu’il n’enseigne lui-même et ne devienne formateur à son tour. Sa formation a été achevée par John McKnight, qui se spécialisait à l’époque dans ce type très particulier d’activité. Toutes les fondations pour lesquelles Barack a travaillé à partir de 1985, sans aucune exception, ont été construites sur le modèle proposé par Saul Alinsky. Barack, dirai-je, ne pouvait que croiser l’itinéraire de Saul Alinsky, et venir y chercher sa place. Tout ou presque l’y prédisposait. Sa mère, Frank Marshall Davis, ses fréquentations, ses choix, ses orientations. Barack est devenu travailleur social, ai-je noté plus haut : comme sa mère avant lui. L’expression « travailleur social » devrait se traduire littéralement en anglais par social worker, mais on utilise plutôt une autre expression, que vous avez rencontrée dans toutes les biographies de Barack : community organizer. L’expression n’a pas été forgée par Saul Alinsky, mais a reçu de lui une estampille indélébile et renvoie directement à lui dès qu’on l’utilise aux Etats-Unis. Il y eut, dès 1946, pour définir l’expression, un premier livre, Reveille for Radicals. Le second livre est venu vingt-cinq ans plus tard. Il n’y en aura pas d’autre, car Saul Alinsky est mort, en 1972, d’une crise cardiaque. Mais par l’intermédiaire de gens tels que Barack, Saul Alinsky est resté bien vivant, et il est même aujourd’hui plus vivant que jamais. Il faut dire qu’entre 1948 et 1972, Saul Alinsky ne s’est pas reposé et a agi. Beaucoup. Dans tout le pays. « Organiser une communauté », a-t-il écrit, « ce n’est pas simplement organiser une communauté, c’est la prendre en main, y faire naître certaines idées, les répandre, les faire grandir, jusqu’à ce qu’elles enclenchent des mécanismes irréversibles ». « Il s’agit graduellement de créer assez de confusion morale et de chaos pour que le statu quo s’effondre totalement ». « Il faut trouver des organisateurs charismatiques qui projetteront une aura de confiance, et qui diront comprendre que le changement est nécessaire ». Ces organisateurs doivent, continue-t-il, « créer des organisations, mais surtout pénétrer les organisations existantes : églises, syndicats, partis politiques ». Ils doivent « parler d’espoir, sans donner de définitions trop précises, en restant délibérément dans le flou ». Ils doivent « susciter des rêves qui rendraient la vie merveilleuse ». Ils ne devront reculer « ni devant la manipulation, ni devant le mensonge ». « L’organisateur », précise Alinsky, « doit adopter les armes de l’ennemi, s’habiller bien, parler posément, avec calme, porter une cravate ». Ses cibles prioritaires ? Les forces militaires et l’esprit national américain qui, écrit Alinsky, sont « l’émanation de névroses ». L’abolition de la « propriété privée des moyens de production ». « L’organisateur doit être opportuniste, prêt à exploiter n’importe quelle circonstance, à utiliser n’importe quel moyen, à utiliser n’importe quelle notion, même s’il semble se contredire ». Encore : « L’impératif est de prendre le pouvoir, et d’utiliser le pouvoir pour détruire l’ordre établi, dans tous les domaines ». Les premières lignes de Rules for Radicals sont très explicites : « Ce qui suit est écrit pour ceux qui veulent changer le monde et le faire passer de ce qu’il est à ce qu’il devrait être. Le Prince a été rédigé par Machiavel pour les possédants, aux fins de leur expliquer comment conserver le pouvoir. Ce livre est rédigé pour ceux qui n’ont rien aux fins de leur expliquer comment retirer le pouvoir aux possédants ». Barack, dirai-je, n’est pas simplement devenu community organizer. Il n’est pas simplement devenu formateur en supplément d’être community organizer. Il est devenu community organizer corps et âme, à plein temps et au delà du plein temps. Il a suivi les instructions à la lettre. Sur la plupart des points. Voire au delà de la lettre. Il a pris en main, fait naître des idées, les a répandues : avec le succès que l’on constate. Il s’est donné les moyens d’être « charismatique » et de créer une « aura de confiance » qui a pu confiner à l’hypnose collective. Il a suscité des organisations et en a fait grandir d’autres. Il a su utiliser d’autres organisations dans tout le pays. Il est entré dans des organisations existantes, églises, partis politiques, et a su aller jusqu’au cœur de la machine démocrate. |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 21/6/2010, 09:06 | |
| Tiens? il continue a "deposer" partout et n'importe ou? Ombre a pourtant ouvert un fil pour ca. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 21/6/2010, 11:28 | |
| Rahm Emanuel en a "ras-le-bol" des conseillers idealistes qui entourent Obama et quittera la Maison Blanche dans les mois a venir. (en anglais) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 21/6/2010, 12:25 | |
| Dimanche 20 juin 2010 7 20 /06 /2010 18:03 Obama, Israël et les Juifs américains : le défi - par Daniel Pipes Obama, Israël et les Juifs américains : le défi - par Daniel Pipes, publié avec son aimable autorisation. Version originale anglaise: Obama, Israel & American Jews: The Challenge Adaptation française: Johan Bourlard Sous le titre « Obama, Israel & American Jews : The Challenge – A Symposium » (Obama, Israël et les Juifs américains : le défi – Symposium), la rédaction du Commentary Magazine a posé les questions suivantes : Le conflit ouvert entre l'administration Obama et le gouvernement de Benjamin Netanyahou a créé entre les États-Unis et Israël des tensions inédites depuis l'époque du premier président Bush. Ces tensions sont en train de mettre une pression exceptionnelle sur les Juifs américains dont pratiquement quatre sur cinq ont voté pour Barack Obama en 2008 après avoir été assurés par Obama lui-même et par ses supporters au sein de la communauté juive qu'il était un ami et un allié de l'État d'Israël malgré son entente de longue date avec, entre autres, le Révérend insolemment anti-israélien et antisémite Jeremiah Wright. Nous estimons que les Juifs américains sont actuellement confrontés à un défi politique sans précédent, à un moment crucial où il est nécessaire de se préoccuper de la menace existentielle que constituerait pour Israël – et par extension pour l'avenir du peuple juif dans son ensemble – un Iran doté de l'arme nucléaire. Comment les Juifs américains vont-ils réagir face à ce défi ? Les supporters juifs d'Obama peuvent-ils agir de façon à changer l'orientation évidente donnée à la politique américaine actuelle par la Maison Blanche ? Les Juifs américains vont-ils accepter la position d'Obama selon laquelle l'État d'Israël porte une certaine responsabilité dans les pertes matérielles et humaines de l'Amérique au Moyen-Orient ? Vont-ils continuer à soutenir l'administration Obama et le parti politique de celui-ci ? Les génies de l'administration Obama ont par deux fois provoqué et perdu le même conflit injustifié avec le gouvernement Netanyahou. Malheureusement ces défaites ne les empêchent pas de persister dans l'erreur quant à leurs objectifs. Le premier conflit a débuté en mai 2009, quand la Secrétaire d'État Hillary Clinton a demandé à Israël la fin des constructions en Cisjordanie et à Jérusalem. Quatre mois plus tard, après avoir compris que cette politique entravait la diplomatie israélo-palestinienne qu'ils désiraient tant, les génies ont fait marche arrière et en sont revenus à la politique habituelle du Parti démocrate, à savoir le maintien de bonnes relations avec Jérusalem. En mars 2010, le vice-président Joe Biden, Clinton et Obama ont une nouvelle fois déterré la même hache de guerre avec Israël, plus particulièrement à propos de Jérusalem. Cette fois, le gouvernement n'a eu besoin que de six semaines pour reculer face à sa bêtise, comme il a été signalé dans le discours de James Jones au Washington Institute et lors du lunch d'Elie Wiesel à la Maison Blanche. Malgré ces retraits tactiques, la politique de « linkage », croyance selon laquelle le bien-être du Moyen-Orient dépend d'abord d'un accord israélo-palestinien, reste très ancrée et va envenimer les relations israélo-américaines au moins durant les deux ans et demi restants de la présidence Obama. En ces temps difficiles, trois faits me consolent. Premièrement, les Israéliens prennent plus de « risques pour la paix » et offrent davantage de « concessions douloureuses » – c'est-à-dire qu'ils font davantage d'erreurs irréversibles – quand les liens entre Israël et les États-Unis sont au beau fixe. Par contraste, les relations tendues entre les deux pays rendent d'aussi mauvaises décisions plus improbables. C'est l'un des côtés positifs des faux pas d'Obama. Un autre côté positif consiste dans le tort apparemment permanent que ces conflits ont infligé à Obama. Aux yeux de nombreux sionistes américains, le soutien de celui-ci à Israël est perçu comme insuffisant. Troisièmement, les conflits d'Obama avec Israël se produisent à un moment où le soutien américain à Israël est particulièrement fort. À titre d'exemple, un sondage récent montre que sur dix personnes préférant Israël, une seule préfère les Palestiniens. À cela s'ajoutent les nombreux liens tissés entre les États-Unis et Israël sur les plans religieux, familial, commercial et culturel – l'accord bilatéral « ciel ouvert » qui vient d'être signé en est un symbole – et il apparaît qu'un président, particulièrement celui qui, ayant chuté dans les sondages, doit être très préoccupé par les élections de mi-mandat qui approchent, ne peut que se mettre à dos le groupe très important d'électeurs pro-israéliens. Donc je suis inquiet mais pas trop. Le titre et les questions de ce symposium sont axés sur les Juifs américains. Mais la question israélo-arabe aux États-Unis a tellement changé que « les Juifs » ne définissent plus précisément le camp activement pro-israélien. Tout comme les diffamateurs juifs d'Israël prennent de l'ampleur et s'organisent (pensons à J Street), des non-Juifs pro-israéliens agissent avec autant d'ardeur (pensons à Christians United for Israel). Dès lors, je suggère de renommer la discussion en remplaçant les « Juifs » par les « sionistes ». Daniel Pipes |
| | | OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 1/7/2010, 10:32 | |
| Ben Bernanke et Barack Obama pensent que l'économie se renforceMardi 29 juin, 20h01 Reuters Barack Obama s'est dit confiant mardi quant aux chances de succès du projet de réforme de la législation financière et a déclaré qu'il avait évoqué la situation de l'emploi avec le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke.Barack Obama a dit à des journalistes qu'il pensait que la législation serait adoptée à la fois par les républicains et les démocrates. Selon lui, elle apportera des certitudes aux marchés financiers tout en soutenant et en protégeant les consommateurs. Le président américain subit de nombreuses pressions afin qu'il crée un terrain favorable à la création d'emplois alors que 9,7% de la population active américaine est au chômage et que sa majorité démocrate est en danger à l'approche des élections de mi-mandat, prévues en novembre. Les chiffres du chômage pour juin seront connus vendredi. Il a déclaré que Ben Bernanke et lui étaient d'accord pour dire que l'économie américaine s'affermissait et qu'elle se reprenait tout en reconnaissant qu'il faudrait en faire davantage. Les tendances économiques seront meilleures si les États-Unis prolongent les périodes d'indemnisation des chômeurs, a-t-il ajouté. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 1/7/2010, 11:40 | |
| Milliere Guy - mercredi 30 juin 2010 obama, livres Je viens d’achever un bref livre qui sortira à la fin du mois d’août. Il portera le titre d’un article que j’ai publié ici au mois d’avril : « La résistible ascension de Barack Obama ». Il sera, bien sûr, très éloigné de ce qu’on lit dans la quasi-totalité de la piètre presse française concernant le quarante-quatrième Président des États-Unis.
J’y ai joint, en appendice, les textes que j’ai publiés sur l’homme et son œuvre destructrice. J’aurais préféré me tromper. Malheureusement, ce qui se passe est bien pire que ce que j’attendais. Les dégâts économiques et financiers à l’intérieur des États-Unis sont d’ores et déjà dramatiques.
À ces dégâts s’ajoute désormais la gestion délibérément désastreuse de l’accident pétrolier survenu dans le golfe du Mexique : Obama a refusé le recours à quasiment tous les moyens d’endiguer la marée noire et de l’empêcher d’atteindre les rives. Et lorsque je le comparais, voici quelques mois, à l’ouragan Katrina, je ne croyais pas si bien dire : à peine la Louisiane et le Mississipi se sont-ils relevés des ravages de Katrina qu’ils doivent affronter ceux, bien plus délétères encore, infligés par Obama.
S’ajoute encore une politique étrangère qui a vu le basculement de la Turquie, mais aussi le spectre d’une débâcle désormais très probable en Afghanistan où un général, Petraeus, a accepté d’en remplacer un autre, McChrystal, après le limogeage du second pour avoir déclaré tout haut ce que l’immense majorité des militaires américains pensent tout bas : qu’Obama est indigne de la fonction de Commandant en chef, qu’il envoie des soldats vers une mort inutile, et qu’il impose à l’armée une stratégie qui renforce les talibans, démoralise les troupes, et contraint le gouvernement de Kaboul à envisager l’étape d’après, où les troupes occidentales auront quitté le pays et où il devra composer avec les islamistes, voire leur céder le pouvoir.
Un nombre chaque jour croissant d’Américains attend avec une impatience non dissimulée les prochaines élections présidentielles, mais aussi une date plus rapprochée, le 2 novembre 2010, jour des élections de mi-mandat, qui verront le renouvellement de l’intégralité de la Chambre des représentants et d’un tiers du Sénat, et qui pourraient marquer la première étape sur le chemin de la délivrance.
Obama et ses complices, Nancy Pelosi et Harry Reid, sachant que le temps presse, vont tenter d’accélérer et de pratiquer une politique de la terre brûlée : tous les mauvais coups, toutes les machinations sont envisageables. Ces gens-là n’ont aucun scrupule et n’hésitent pas devant les méthodes de truands. Ils espèrent pouvoir compter sur les grands médias, mais l’audience et la crédibilité de ceux-ci sont en chute libre parce que des millions de gens estiment, à juste titre, que les grands médias n’ont pas fait leur travail en 2008.
Ils cherchent à diaboliser les « tea parties » et à présenter ce qui est une révolte des classes moyennes au nom des valeurs de la Révolution américaine comme un mouvement putschiste d’extrême-droite, mais la diabolisation ne fonctionne pas, car les gens qui estiment que les grands médias n’ont pas fait leur travail en 2008 se rendent aux « tea parties » et ne se reconnaissent pas dans la caricature grossière qu’on fait d’eux-mêmes.
Rien n’est gagné pour ceux qui espèrent la fin de l’ère Obama. Mais tout est possible. Y compris et surtout la délivrance. Obama et ceux dont il s’est entouré sont incompétents ; ce n’est pas leur principal défaut. Ce sont des gauchistes ouverts à l’islamisme ou pratiquant l’aveuglement volontaire devant lui. Ce sont des adeptes de l’écologisme radical prêts à voir les bayous de Louisiane détruits par une marée noire si cela fait avancer leurs projets liberticides. Ce sont des amis des dictateurs considérant que le monde serait plus stable s’il était régi par des ennemis des droits de l’homme. En préparant mon livre, j’ai acheté un ouvrage accablant dans lequel tout est vrai et vérifiable. Il est signé Aaron Klein et s’intitule « The Manchurian Candidate ». Il est sur les listes des meilleures ventes aux États-Unis. Il ne sera jamais traduit en français. Je m’attends à ce que les obamalâtres boycottent en France mon propre livre, mais peu m’importe. J’aurai dit ce qui doit l’être. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 1/7/2010, 12:09 | |
| Oui attendons les chiffres du mois, OmbreBlanche. Ils sont peut-etre un peu moins mauvais que les mois precedents sinon le POTUS et Bernanke ne se seraient pas risques a penser tout haut que l'economie se renforce 24h avant leur parution. J'espere pour tous ceux qui sont sans travail! ---------- Tsur, vous avez lu mon message 2530? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 1/7/2010, 15:15 | |
| Malheureusement pour les Americains: Breaking News: Weekly Jobless Claims Increase by 13,000 to 472,000 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 1/7/2010, 15:20 | |
| Mais qu'on ne s'inquiete pas trop, s'il ne parvient a solutionner le probleme du chomage, il va le faire pour l'immigration! Ca y est c'est decide. Obama Preps Pitch for Immigration Overhaul Ben oui, s'il amnistie environ 10 millions d'illegaux il est sur d'etre reelu! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 06:39 | |
| Barack fait du cinéma - par Guy Millière Le journal La libre Belgique a publié un article informant qu’un film sur la jeunesse indonésienne de Barack Obama avait été réalisé et sortirait bientôt en salle. Le film, Jeune Obama, couvrira les quatre années où l’Elu a vécu à Jakarta, et la bande annonce est prometteuse. Ce sera, nous dit-on, une histoire de bravoure, d’humanité, de dignité, d’amitié. Aux fins de ne pas montrer d’images qui pourraient être utilisées de manière négative, le réalisateur a fait savoir qu’il avait délibérément laissé de côté les passages du jeune Barack à la mosquée et à l’école coranique. Et je comprends le réalisateur : nul ne dispose d’images montrant le jeune Barack en pieux musulman. Et nul image, même de fiction, ne doit montrer une chose pareille. Des gens mal intentionnés pourraient penser que Barack Hussein Obama est né musulman, de père musulman, a été nommé Barack Hussein Obama Junior par un père musulman nommé Barack Hussein Obama Senior, et ils pourraient même, documents à l’appui, se dire que ce qu’ils pensent est exact. Les mêmes gens mal intentionnés pourraient se dire que le jeune Barack est effectivement allé à la mosquée et à l’école coranique pendant qu’il vivait en Indonésie, et ils pourraient disposer de documents montrant, là encore que ce sont là de simples faits. Les gens mal intentionnés, diriez-vous, n’auraient plus qu’à se taire si Barack devenu grand disait la vérité, faisait preuve de transparence, ne tenait pas un triple ou un quadruple discours, n’avait pas écrit ses mémoires à trente quatre ans en racontant sa vie sur un mode qui mêle la réalité à la fiction. Mais, je sais, quelle idée saugrenue : demander la vérité et la transparence à un homme qui est devenu Président des Etats-Unis ! Quelle idée ! On pouvait demander ce genre de choses aux quarante-trois personnes qui ont occupé la position jusqu’en 2008, mais désormais, c’est très différent. C’est Barack. Le monde est passé de l’obscurité à la lumière des sunlights. Je ne doute pas que ce film sera le premier d’une longue série. Nous aurons sans doute dans les années à venir Barack au Kenya, une superproduction montrant Barack père dans la position du vieux sage, Barack à Hawaii avec l’oncle Frank Marshall Davis, Barack à Los Angeles lorsqu’il découvre Che Guevara et Franz Fanon à l’Occidental College, Barack à New York, Barack en excursion au Pakistan sans les scènes dans les madrassas bien sûr, Barack dans les bas-fonds de Chicago, Barack et le révérend Wright, Barack et Louis Farrakhan, Barack et Bill Ayers, qui sera alors présenté comme un saint homme, Barack et Tony Rezko, et, pour finir Barack à la Maison Blanche. Il faudra que les réalisateurs se dépêchent, car, aux Etats-Unis, l’étoile de Barack pâlit à vue d’œil. Mais, même si le public américain devait se détourner, il resterait la planète entière, et tout particulièrement la France où si Barack pouvait se présenter, il obtiendrait des scores dignes de ceux de Joseph Staline au temps du Parti unique en Union Soviétique. Ceux qui brûlent d’impatience et sont frustrés de n’avoir pu voir encore le film Jeune Obama peuvent compenser en se rendant sur le site barackobama.com, puis en allant sur la case permettant de visionner toutes les vidéos de Barack, sauf, bien sûr, celles où son téléprompteur se brise et où il bafouille, celles où il déclare que les Etats-Unis ont cinquante sept Etats, celle où il dit que les Autrichiens parlent l’autrichien, celle où il prête à son grand-père des actes de bravoure à la guerre qu’il n’a jamais commis, et quelques autres du même style. Ceux à qui les vidéos ne suffiraient pas peuvent télécharger sur leur téléphone portable mybarackobama pour ne jamais être seuls sans Barack. Ils peuvent aussi acheter sur amazon.com la vie du petit Barack en bande-dessinée, jusqu’à l’image de fin où le petit Barack a une auréole sur la tête, comme le petit Jésus, ou, pour poser à côté de leur lit, une poupée Barack en superhéros. Elle coûte moins de vingt dollars. Elle devrait être en solde prochainement, et il serait idiot de ne pas en profiter. De plus, on peut la donner aux bébés et jeunes enfants, et on peut même l’embrasser goulûment, elles est garantie par le fabricant sans bisphénol : c’est écrit sur l’étiquette. J’avertis néanmoins tous les amoureux de Barack aux fins qu’ils ne soient pas déçus : ils pourront aimer Barack aussi intensément qu’ils le peuvent, ils ne parviendront jamais à l’aimer autant que la personne au monde qui aime le plus Barack : Barack lui-même. Je les avertis aussi : le livre que j’ai consacré à Barack et qui sortira à la fin de l’été pourrait les décevoir et leur infliger une profonde tristesse que je ne veux pas qu’on me reproche. J’avertis donc : je parlerai du vrai Barack, pas du Barack de cinéma ou du Barack de bande dessinée. Et le vrai Barack est très différent de ce que ceux qui l’idolâtrent imaginent. Vraiment très différent. Je ne parviendrai décidément jamais à être dans le sens du vent. Allez, je m’arrête là et je ne veux empêcher ceux qui ont besoin d’idolâtrer de se livrer à leur activité favorite. Je leur dirai même : il est beau Barack. Il a de la prestance. Il sait bien dire son texte quand le téléprompteur marche. Il aurait dû faire du cinéma. D’ailleurs, il en fait déjà. Beaucoup. Beaucoup trop, rétorqueront certains dont je fais partie. Guy Millière |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 06:55 | |
| La flottille de la "paix" est elle partie de la Maison Blanche ? - par Jean-Patrick Grumberg L’article de Guy Millière la guerre contre Israël me permet de jeter un regard nouveau sur un article, paru début juin 2010 sur WorldNetDaily, et que, faute de confirmation par d’autres sources fiables, je n’avais jamais mentionné jusque là. Je vous le livre donc aujourd’hui car il recoupe certaines des informations révélées par Guy Millière dans son article. Jérome Corsi, dans cet article, avance que selon une source proche du gouvernement Netanyahu, un haut conseiller d’Obama est le contact, au sein de la Maison Blanche, du mouvement Free Gaza, qui a pour objectif de faire tomber le blocus d’Israël contre Gaza. La source en question, un officier de carrière dont la fiabilité et la compétence ont été utilisés pour l’écriture du livre « Pourquoi Israël ne peut attendre », a identifié John O. Brennan, conseil en contre terrorisme d’Obama, comme la taupe. Si cette théorie se confirme, elle permet donc de supposer que la flottille « de la paix » agissait selon les instructions et en coordination avec la Maison Blanche. John O. Brennan a été invité à rencontrer des étudiants musulmans, lors de réunions organisées par la Société Islamique d’Amérique du Nord, un groupement impliqué, sans avoir été condamné, dans le financement du Hamas par la « Sainte Fondation du Texas », et dont le fondateur a écopé d’une peine de prison à vie. Lors d’une de ces réunions, Brennan a déclaré être un « citoyen du monde » et que l'Amérique ne devrait jamais utiliser la méthode de profiling pour assurer sa propre sécurité intérieure. Le New York Times annonçait cette semaine que l’administration Obama réévaluait sa relation à Israël, et que le blocus de Gaza lui paraissait intenable. Ce à quoi Netanyahu répondait, au cours d’une conférence de presse, qu’Israël n’a pas à s’excuser de se défendre, ce qui suppose avec force qu’ « Israël ne lèvera certainement pas le blocus » John Brennan Virage de Brennan vers l’Islam Au cours d’un discours au centre d’études stratégiques et internationales en août 2009, Brennan a mis en garde que « le fait d’utiliser le terme Jihad, qui évoque la purification personnelle et la guerre sainte dans un but de quête morale, pour décrire le terrorisme, risque de renforcer l’idée que les Etats Unis sont en guerre contre l’Islam lui-même » Lors du même discours, il recommandait que les Etats Unis encouragent une meilleure intégration de l’organisation terroriste Hezbollah au sein du gouvernement libanais. Il ajoutait que le Hezbollah, dans un réel effort pour le revêtir d’un masque et d’habits présentables, n’était certes qu’un mouvement terroriste dans les années 80, mais qu’il a beaucoup évolué au cours des années, et qu’il est maintenant membre du parlement, membre du gouvernement, et composé d’avocats et de docteurs. De la même façon, l’organisation « humanitaire » turque, maintenant démasquée comme participant de la mouvance terroriste, IHH, convient parfaitement à la définition de Brennan du fait de l’existence de sa branche caritative, même si ses liens avec Al Qaida ont été parfaitement démontrés par le Juge Bruguière. Dans son discours devant les étudiants en droit de l’Université de New York, John Brennan s’est fendu d’un long discours en arabe qu’il n’a pas traduit en Anglais pour les étudiants non arabisants. Dans ce discours, il rappelait avoir passé plusieurs années d’études au Caire dans les années 70, et surtout, il ne fit référence à Jérusalem que sous son nom arabe « Al Quds ». En poste en Arabie Saoudite, a-t-il ajouté, j’ai vu comment nos partenaires saoudiens remplissaient leurs devoirs en tant que gardiens des deux saintes mosquées de La Mecque et de Médine, « J’ai été émerveillé de la majesté du Hadj et par le dévouement de ceux qui ont rempli leur devoir de musulmans en faisant ce pèlerinage. » Les copains radicaux d’Obama au centre du mouvement Free Gaza William Ayers et Bernardine Dohr membres du réseau terroriste Weather Underground, et Jodie Evans, leader de l’organisation radicale Code Pink, sont tous les trois des supporters actifs du mouvement Free Gaza, une coalition d’activistes et de pro-palestiniens qui ont participé à la mise sur pieds de la flottille « de la paix » WND explique qu’Obama a débuté sa carrière politique à Chicago lors d’une opération de fund raising (levée de fond) qui s’est tenue… dans l’appartement de Ayers et Dhorn, et ou il a été présenté comme le candidat choisi pour se présenter au poste de sénateur de l’Illinois, en remplaçant de la communiste Alice Palmer. En Janvier dernier, WND révélait que Ayers, Dohrn et Evans se sont retrouvés impliqués dans la provocation d’émeutes dans les rues égyptiennes, afin de forcer le blocus de Gaza, et de rentrer en force dans la bande contrôlée par le Hamas, avec le mouvement Free Gaza. Si ces informations se confirment, et l’aura quasi mystique qui entourait jusque là Obama s’étant presque totalement dissoute dans les eaux polluées par la marée noire, et les journalistes américains recommençant enfin leur vrai travail d’investigation, le dernier jugement de la cours suprême pourrait directement renvoyer John Brennan et peut être qui sait, Obama lui-même (!) devant les tribunaux. Ce lundi 21 juin 2010, la cours suprême vient en effet de confirmer par six voix contre trois lors d’une décision qui ne manquera pas de modifier très profondément les rapports des ONG américaines avec les organisations terroristes, que la loi interdit tout support matériel, tout conseil, à des organisations terroristes internationales. « Toute aide tangible, que ce soit une aide financière, ou des conseils légaux ou politiques, libère les organisations terroristes de ressources qu’elles peuvent ensuite utiliser à des fins violentes » « la collaboration d’ONG offre à ces organisation terroristes une légitimité qui leur facilité les tâches de recrutement et de levée de fond, autant de choses qui aident à perpétrer des attaques terroristes » précise le chef de la cour suprême John Roberts. Les défenseurs d’organisations de gauche craignent que cette décision aura des répercutions sur ceux qui critiquent le gouvernement israélien, critiques qui pourraient être considérées comme un soutien à l’organisation terroriste Hamas. Jimmy Carter, qui a pris des contacts avec le Hamas, est au cœur de ces inquiétudes. En revanche, Anne Marie Mc Avoy, professeur de droit et ancien prosécuteur fédéral, salue cette décision « qui remet enfin les aspects objectifs au centre des réalités » d’un monde ou AlQaeda cherche à se financer au travers « d’œuvres de charité ». « En aidant les terroristes, ajoute Mc Avoy, même par la bande, les ONG libèrent les énergies des terroristes qui peuvent se concentrer sur une chose : semer la terreur, faire de nouvelles attaques » La décision intégrale de cette décision fondamentale, qui va démasquer de façon profonde tout un tas de fausses ONG humanitaires, modifier le rapport des forces de façon durable, et entraver la navigation en eaux troubles de certains membres de l’administration Obama se trouve ici : |
| | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 07:10 | |
| Le ver est dans la pomme? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 07:16 | |
| - Charly a écrit:
- Le ver est dans la pomme?
Et il est en bonne voie de la pourrir...difficile de s'imaginer les degats que cet homme est en train de provoquer.Un veritable suppot de satan... |
| | | Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 07:20 | |
| - TSUR a écrit:
- Charly a écrit:
- Le ver est dans la pomme?
Et il est en bonne voie de la pourrir...difficile de s'imaginer les degats que cet homme est en train de provoquer. Un veritable suppot de satan... C'est comme ici,ces socialos laissent agir les terroristes. | |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 07:22 | |
| - TSUR a écrit:
- Et il est en bonne voie de la pourrir...difficile de s'imaginer les degats que cet homme est en train de provoquer.
Un veritable suppot de satan...
Ben did donc, il est grand temps que Moussa s'en occupe ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 07:23 | |
| - TSUR a écrit:
- Charly a écrit:
- Le ver est dans la pomme?
Et il est en bonne voie de la pourrir...difficile de s'imaginer les degats que cet homme est en train de provoquer. Un veritable suppot de satan... L'occident a fait une erreur qui pourrait lui etre fatale, il n'a jamais imaginé, que les Islamistes pourrait manipuler le monde ainsi, et organiser une operation de cette envergure.Des islamistes sont arrivés jusqu'a la maison blanche, et dans l'administration Européenne.N'oublions jamais la corruption qui frappe l'Europe et qui n'epargne pas certains dirigeants Européens qui n'ont qu'un desir "arriver au pouvoir" |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 08:25 | |
| - TSUR a écrit:
- Et il est en bonne voie de la pourrir...difficile de s'imaginer les degats que cet homme est en train de provoquer.
Un veritable suppot de satan... L'occident a fait une erreur qui pourrait lui etre fatale, il n'a jamais imaginé, que les Islamistes pourrait manipuler le monde ainsi, et organiser une operation de cette envergure. Des islamistes sont arrivés jusqu'a la maison blanche, et dans l'administration Européenne. N'oublions jamais la corruption qui frappe l'Europe et qui n'epargne pas certains dirigeants Européens qui n'ont qu'un desir "arriver au pouvoir" Eh oui, et pourtant des esprits éclairés n'ont pas manqué de tirer la sonette d'alarme, mais la réponse des hommes de pouvoir a été, pour la plupart, d'édicter des lois pénales destinées à les museler... | |
| | | Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 11:14 | |
| En supposant que j'aie compris ce a quoi tu fais allusion, les concepts sont totalement differents. Je parle d'endiguer l'invasion Islamique alors que "l'occident" prete main forte a cette invasion. Le probléme de l'Europe est, qu'ils que lorsque le moment (qui ne saurais tarder) sera venu de faire face a l'invasion sera venu, il sera aisé de mettre fin a toute velleité, ce qui est faux. Je ne saisis pas est ce que ce qui se passe actuellement en Europe est une vision "unique" a moi. Quand j'arrive a l'aeroport de Bruxelles, les taxis sont arabes, a Paris pareil, si je pars a la defense, pareil il n'y a plus que, derriére la bourse du Diamant a Anvers des kilometres de magasins que des Arabes, la poste, les banques, l'administration de la secu,en France, que des arabes, l'aeroport CDG pareil...c d'un triste, vous foutez vos pays en l'air... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... 3/7/2010, 12:15 | |
| oui, il ne manque plus que la Turquie rentre dans l'Europe |
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| Sujet: Re: Le Monde selon Barack... | |
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| | | | Le Monde selon Barack... | |
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