Le Monde selon Barack...

Rappel du premier message :




Avec le sénateur de l'Arizona, le Président Obama a déclaré qu'il trouvera ensemble les bonnes solutions pour "réparer le pays". Il a ajouté qu'il comptait remercier son ancien adversaire pour le "remarquable service" qu'il a déjà rendu. Alors qu'on lui demandait s'il comptait aider la future administration, John McCain a répondu: "évidemment".

Puis, Obama a énoncé les principales mesures qu'il comptait prendre dès sa prise de fonctions qui aura lieu le 20 janvier prochain.

D'abord, il compte bien respecter et poursuivre le plan de sauvetage de 700 milliards de dollars en faveur des banques américaines.

Pour lui, la priorité c'est de mieux réguler le système financier mais sans étouffer "l'esprit d'entreprise et de prise de risques du capitalisme américain", seulement pour "rétablir un certain équilibre".

Il a également appelé à ne pas redouter l'aggravation du déficit public en ces temps de crise économique. "Nous ne devons pas nous inquiéter pour le déficit l'an prochain ou même l'année d'après. (...) Le plus important est d'éviter une récession plus grave."

La seconde priorité du Président Obama sera de tout faire pour aider les propriétaires en difficulté qui risquent de voir leur logement saisi. Ainsi, il mettra sur pied des négociations avec les banques et les emprunteurs pour que les gens puissent rester chez eux.

Concernant les questions de sécurité, Obama a assuré que dès sa prise de fonctions, il œuvrerait avec ses conseillers et l'armée à la réduction du contingent américain en Irak, à l'augmentation des troupes en Afghanistan et à "éradiquer al-Qaïda une fois pour toute".

Enfin, il a promis qu'il fermerait définitivement la prison de Guantanamo, à Cuba et qu'il restaurerait la stature morale de l'Amérique dans le monde.

Il a aussi assuré que la capture d'Oussama Ben Laden serait considérée comme un objectif prioritaire.

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OmbreBlanche - p. 10
Sujet: Re: Le Monde selon Barack... Ven 21 Mai 2010 à 10:08

Citation :

Plusieurs élus républicains ont en tous cas fustigé jeudi le départ de Dennis Blair, en critiquant la gestion de la sécurité nationale par Barack Obama.

Pourtant, les authentiques arrosés sont ici les arroseurs. La vocation à l'échec de ce poste semblerait dès sa création être génétiquement contenue dans le champs de compétence de la fonction comme le suggère le passage suivant.

Citation :

Pensé pour aboutir à une direction unique et forte à la tête d'une vaste bureaucratie, et garantir une synergie entre des services parfois en concurrence, le poste de directeur du renseignement n'a paradoxalement jamais bénéficié d'une autorité directe sur les membres et le budget des différents services. Ni même sur les missions d'espionnage de la CIA.

Ah, la bureaucratie, cette invention des idéologies de gauche dont usent si puissamment les idéologues de droite !

Citation :

Obama enterre officiellement le concept de 'guerre contre le terrorisme'

http://fr.news.yahoo.com/64/20100527/twl-obama-enterre-officiellement-le-co…

La Maison Blanche va dévoiler jeudi la nouvelle stratégie de sécurité nationale du président Barack Obama. Dans ce document de 52 pages, Washington abandonne la terminologie de 'guerre contre le terrorisme', sonnant ainsi formellement le glas de la rhétorique élaborée par l'administration Bush à la suite des attentats du 11 septembre 2001.

'Nous chercherons toujours à délégitimer l'usage du terrorisme et à isoler ceux qui y ont recours', indique ce document. 'Ce n'est pas une guerre mondiale contre une tactique le terrorisme ou une religion l'islam', précise le texte. 'Nous sommes en guerre contre un réseau spécifique, Al-Qaida, et ses terroristes affiliés qui appuient les efforts pour attaquer les Etats-Unis, nos alliés et partenaires', souligne le document.

Enfin, le texte met l'accent sur les menaces que représentent les éléments radicalisés n'ayant pas le profil traditionnel de terroristes, comme le jeune Nigérian qui avait tenté de faire exploser un avion de ligne au-dessus du territoire américain le jour de Noël, ou encore le père de famille américain d'origine pakistanaise soupçonné d'avoir voulu perpétrer un attentat à la voiture piégée à New York le 1er mai.

La nouvelle stratégie de sécurité nationale préconise une approche ferme et 'sans illusion' dans les relations avec les ennemis américains comme l'Iran et la Corée du Nord, avertissant ces derniers qu'ils s'exposent à l'isolement s'ils continuent à ignorer les propositions américaines concernant leurs programmes nucléaires controversés....

au fait, on n'entend plus du tout parler de Guantanamo, c'était pas en janvier que ça devait être fermé non ??? mais de quelle année ???

marieden a écrit:

au fait, on n'entend plus du tout parler de Guantanamo, c'était pas en janvier que ça devait être fermé non ??? mais de quelle année ???

Bonjour Marieden !

Pourtant Shansaa, dont je regrette la longue éclipse, a certainement noté ça quelque part...

OmbreBlanche
...........Enfin, le texte met l'accent sur les menaces que représentent les éléments radicalisés n'ayant pas le profil traditionnel de terroristes, comme le jeune Nigérian qui avait tenté de faire exploser un avion de ligne au-dessus du territoire américain le jour de Noël, ou encore le père de famille américain d'origine pakistanaise soupçonné d'avoir voulu perpétrer un attentat à la voiture piégée à New York le 1er mai.***********

c'est que Obama ne veut pas appeler un chat un chat

il est vrai qu'il n'y a plus de femmes de ménage, juste des techniciennes de surface

Biloulou a écrit:

marieden a écrit:

au fait, on n'entend plus du tout parler de Guantanamo, c'était pas en janvier que ça devait être fermé non ??? mais de quelle année ???

Bonjour Marieden !

Pourtant Shansaa, dont je regrette la longue éclipse, a certainement noté ça quelque part...

sur un calendrier perpétuel certainement

ça y est, vous ètes dans vos pénates ???

marieden a écrit:

ça y est, vous ètes dans vos pénates ???

Non, ça non non, patencore, mais dans 24 heures oui !
(Ma puissance de feu a atteint 100 watts au lieu des 90 réglementaires, c'est dire ! )

ah zut pardon je me croyais vendredi toutes mes excuses

marieden a écrit:

au fait, on n'entend plus du tout parler de Guantanamo, c'était pas en janvier que ça devait être fermé non ??? mais de quelle année ???

Marieden, j'avais manque votre question.

Non, il n'en est plus question... Mais oui, c'etait bien en janvier.

Si la solution qui permettra de fermer Guantanamo n'est trouvee d'ici les elections de 2012 et qu'un Republicain est a nouveau a la Maison Blanche, croyez-bien que que le nom sera a nouveau sur toutes les levres.

Enfin, bon, vu que sa proposition est de nous les coller sur le territoire national et vu qu'aux dernieres nouvelles, nous en avons deja un paquet qui ne deparailleraient pas sur l'ile, ils sont tres bien ou ils sont.

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Pourtant Shansaa, dont je regrette la longue éclipse, a certainement noté ça quelque part...

Ah... vous aussi, Biloulou? Peut-etre reapparaitra-t-elle au moment de la prochaine campagne electorale.

ah mais moi aussi je trouve qu'ils sont très bien à Guantanamo, ils ont la chOnce mêùe d'avoir du soleil, mais je ne me trompe pas, c'est bien Obama qui trouvait ça scandaleux pendant sa campagne

et les soldats, quand reviennent ils d'Irak ??

Ah mais Marieden! En voila assez avec vos question pertinentes!

D'ailleurs, le POTUS nous l'a dit (hier ?), peu importe l'etat d'instabilite dans lequel se trouve l'Iraq, nos soldats reviendront a la date prevue (celle finalement acceptee par Pres. Bush ).

Vous souvenez-vous que lorsque Bush 43 etait contre donner une date expliquant que ca donnait un avantage a l'ennemi, et que les Democrates lui tombaient tous dessus en insistant pour en avoir une de plus, attachee a une "strategie de depart"? ben voila...

La cote de popularité de Barack Obama remonte auprès des Américains

http://www.france24.com/fr/20100526-cote-popularite-barack-obama-remonte-aupres-americains

Pour la première fois cette année, les Américains sont plus nombreux à approuver la politique de Barack Obama qu'à la désapprouver, selon un sondage publié mercredi qui montre toutefois que l'opinion publique doute de la capacité du président à en finir avec la crise.

Quelque 48% d'Américains approuvent la politique menée par M. Obama, contre 43% qui la désapprouvent, selon cette enquête réalisée par l'université Quinnipiac.

Quelque 42% des sondés ont dit qu'ils donneraient leur voix à un candidat démocrate plutôt qu'à un républicain lors des élections législatives de mi-mandat au mois de novembre, contre 36% qui comptent faire le contraire.

AH BON

ils reviendront donc à la date prévue par Bush

mais vraiment je ne comprends rien à rien et en plus j'ai la bêtise de croire les promesses faites par un candidat à la Présidence.

En France, voyez vous, le Nain comme l'appelle certains !! il fait ce qu'il a dit, les réformes qui font si mal aux Français et dont ils ne veulent pas entendre parler parce que ça bouscule leurs petites habitudes !

dans le temps, avant Mitt Mitt, on bossait 40 heures voir 42 heures par semaine et on avait la retraite à 65 ans. Quand Mitt Mitt est arrivé, pour faire baisser le chômage il a mis la retraite à 60 ans et puis là dessus la "Martine au pays des comptes" a "pondu" les 35 heures et maintenant, ils (toute la gôôche) se demandent pourquoi il n'y a plus d'argent pour payer les retraites.

pardon Ombre, je répondais à Sylvette

Bonjour Ombre

Comme vous l'avez justement deja fait remarque, ces sondages sont ponctuels et le veritable aura lieu en novembre.

Mais tout de meme, tout-de-meme et sachant que nous nous comprenons bien sur cette evidence, voici les pourcentages chez Rasmussen (Rasmussen Reports has been a pioneer in the use of automated telephone polling techniques, but many other firms still utilize their own operator-assisted technology (see methodology). Pollsters for Presidents Jimmy Carter and Bill Clinton have cited our “unchallenged record for both integrity and accuracy.” )

Rasmussen, donc, ne donne pas les memes resultats:

Pour le POTUS:

Date	Presidential Approval Index	Strongly Approve	Strongly Disapprove	Total Approve	Total Disapprove
5/27/2010	-16	26%	42%	45%	53%
5/26/2010	-22	23%	45%	43%	56%
5/25/2010..........	-20	24%	44%	42%	56%
5/24/2010	-18	25%	43%	44%	55%
5/23/2010	-17	26%	43%	45%	54%
5/22/2010	-15	27%	42%	48%	52%

En ce qui concerne le Congres
Generic Congressional Ballot: Republicans 43%, Democrats 38%


Republican candidates now hold a five-point lead over Democrats in the latest edition of the Generic Congressional Ballot, a further narrowing of the gap between the two parties to the smallest margin this year.

C'est un fait que le mois dernier les Republicains avaient un avantage de 10 points. Evidemment, l'annee derniere l'avantage etait inverse, mais bon, je ne veux pas mettre du sel sur la plaie.



Maintenant si vous souhaitez avoir des resultats encore plus positifs pour le POTUS, je peux vous donner le nom d'autres organismes de sondage. Vous seriez tres, tres heureux. Bon, ils ne sont pas parmi les 10, ni meme les 15 meilleurs de leur genre au moment des resultats d'elections, mais bon.

Bonjour Nathalie!

Ombre, je vous ai laisse un message sur Nouvelles en Langue Anglaise No 2373 (enfin bon, le dernier ou l'avant dernier)

Marieden:

et voila, nous sommes bien d'accord.

866 -

Citation :

Quelque 42% des sondés ont dit qu'ils donneraient leur voix à un candidat démocrate plutôt qu'à un républicain lors des élections législatives de mi-mandat au mois de novembre, contre 36% qui comptent faire le contraire.

Ce qui en arithmétique élémentaire signifie qu'il reste 22 % d'indécis ou de gens qui s'en foutent pour l'instant et qui attendent de voir venir. Le bord qui les persuadera de voter pour lui gagnera la partie. La compète reste ouverte et l'institut de sondage Raselamousse dispose d'un énorme marché de couillonnade potentielle pour faire son beurre d'ici là.

Obama renonce à se rendre en Indonésie mais ira en Inde début novembre

AFP, Mise a jour : 04/06/2010 07:56

Le président américain Barack Obama a renoncé, pour la deuxième fois en quelques mois, à se rendre ce mois-ci en Indonésie et en Australie, a indiqué vendredi son porte-parole Robert Gibbs sans fournir d'explications.

M. Obama doit également se rendre en novembre en Corée du Sud et au Japon.

Le président américain a souligné jeudi la relation entre "les deux plus grandes démocraties du monde". Un lien scellé, a-t-il dit, par "des intérêts communs et des valeurs communes".

Le président américain a souligné jeudi la relation entre "les deux plus grandes démocraties du monde". Un lien scellé, a-t-il dit, par "des intérêts communs et des valeurs communes".

Ca c'est sur, pour s'en convaincre il suffit de visionner la video postee hier sur le fil de Lawrence: CET ETAT VOYOU ( )

Obama nomme James Clapper à la tête du renseignement américain

AFP, Mise a jour : 05/06/2010 16:51

Le président américain Barack Obama a annoncé samedi qu'il avait nommé l'ancien général James Clapper directeur du renseignement national (DNI) en pleine remise en question après la démission de Dennis Blair le 20 mai.

Nommé par George W. Bush et confirmé par un Sénat démocrate, il était à ce poste le principal conseiller pour le renseignement du secrétaire à la Défense Robert Gates, lui aussi un ancien de l'administration Bush.

"Il possède une qualité que je privilégie chez tous mes conseillers: une volonté de dire aux responsables ce qu'ils ont besoin de savoir, même si ce n'est pas ce qu'ils veulent entendre", a ajouté M. Obama.

James Clapper est surnommé par les médias américains "le parrain du renseignement humain". Ce type de stratégie privilégie un renseignement qui repose sur une palette de moyens allant de la diplomatie à l'espionnage par satellite ou l'interception de communications.

... et ben voila!

OmbreBlanche a écrit:

"Il possède une qualité que je privilégie chez tous mes conseillers: une volonté de dire aux responsables ce qu'ils ont besoin de savoir, même si ce n'est pas ce qu'ils veulent entendre", a ajouté M. Obama.

Enfin ....

Les images d'Obama qui fait bailler des étudiants





http://videos.tf1.fr/infos/2010/les-images-d-obama-qui-fait-bailler-des-etudiants-5877669.html

(AFP) – Il y a 7 heures

Obama hausse le ton contre l'"obstruction" des républicains au Congrès

WASHINGTON — Le président américain Barack Obama a mis en demeure samedi ses adversaires républicains de cesser leur "obstruction" au Congrès sur plusieurs projets de loi, les exhortant à ne pas penser à la "prochaine élection", mais à la "prochaine génération".

Dans son allocution hebdomadaire radiodiffusée, M. Obama a souligné que les Etats-Unis "font face à de graves difficultés", rendant nécessaire "une volonté à Washington de placer l'intérêt général avant tout".

"C'est pourquoi j'ai été déçu cette semaine de voir des manoeuvres politiques funestes et familières entraver notre capacité à faire progresser un ensemble de sujets cruciaux", a affirmé le président, en évoquant en particulier un ensemble de lois de relance économique bloquées au Sénat.

"Malheureusement, les chefs des républicains au Sénat ne permettent même pas un vote sur ce projet. Et si cette obstruction persiste, des chômeurs américains vont perdre leurs indemnités. Des enseignants et des pompiers perdront leurs emplois. Des familles paieront davantage pour leur première maison", a déploré le président.

"Tout ce que nous demandons, c'est un vote pour dire oui ou non. C'est ce que méritent les Américains. Comme ils méritent un vote sur une loi qui ferait répondre les compagnies pétrolières des catastrophes qu'elles provoquent, un vote qui est également bloqué par les chefs républicains au Sénat", s'est plaint M. Obama, en pleine marée noire dans le golfe du Mexique.

"La semaine prochaine, je vais renconter un groupe de sénateurs des deux partis pour discuter de la façon dont nous pouvons passer de notre dépendance envers les carburants fossiles à un avenir d'énergies propres", a rappelé M. Obama, selon qui cette rencontre "montre que les républicains et les démocrates peuvent encore essayer ensemble de s'occuper des défis auxquels notre pays fait face".

"Que nous soyons démocrates ou républicains, nous sommes dépositaires d'une obligation qui va au delà de la prochaine élection", a martelé le président, à cinq mois de législatives cruciales lors desquelles les républicains vont tenter de ravir aux démocrates leurs majorités aux deux chambres du Congrès.

"Nous avons une obligation de nous occuper de la prochaine génération. J'espère donc que lorsque le Congrès recommencera à siéger la semaine prochaine, ce sera dans un meilleur esprit de compromis et de coopération", a conclu M. Obama.