Algérie (suite)

Rappel du premier message :

La Démocratie l'a emporté MDR !!!
Le premier homme empaillé de l'histoire a avoir été réélu !!!
Là tous les démocrates du monde sont ravis !
L'Algérie enfin les tenant du pays (l'armée) on fait réélire un mort vivant !
La démocratie en Algérie est tellement sacré que ton mandat est éternel c'est à dire même après ta mort BOUTEF !


65 % dans la wilaya de Mila

81 % dans la wilaya d’Adrar

83 % dans la wilaya de Biskra

85 % dans la wilaya d’El Oued

90 % dans la wilaya d’Oran

95,5 % dans la wilaya de Relizane

59,76 % dans la wilaya de Tizi Ouzou

83 % dans la wilaya de Ain Beida

90 % dans la wilaya de Ouargla

93 % dans la wilaya de Laghouat

90 % dans la wilaya de Tamanrasset

90 % dans la wilaya de Chlef

94 % dans la wilaya d’El Bayadh

75 % dans la wilaya de Mostaganem

92 % dans la wilaya de Djelfa

93 % dans la wilaya de Sidi Belabbes

69 % dans la wilaya de

67 dans la wilaya d’Alger

74 % dans la wilaya de Boumerdes

71,60 dans la wilaya de Constantine

93 % dans la wilaya de Bchar

92 % dans la wilaya de Tlemcen

76 % dans la wilaya de Annaba

69 % dans la wilaya de Bordj Bouarreridj

81 % dans la wilaya de Blida

90 dans la wilaya de Naama

44,1 % dans la wilaya de Bejaia

54,1 % dans la wilaya de Oum El Bouaghi

78 % dans la wilaya de Bouira

94 % dans la wilaya de Saida

86,18 dans la wilaya de Msila

53 % dans la wilaya de Khenchela

38,8 dans la wilaya de Batna

87 % dans la wilaya de Illizi

Mara-des-bois a écrit:

e-délivrance a écrit:

oui. et bien j'te la laisse. les blondes c'est pas mon truc. et si t'en veut pas refile la a Ungern...

Calme-toi, jeune padawan, personne ici n'est de taille à me supporter. Mais à part toi, tout le monde est beau et intelligent.
Mab

Oui, bon, ça tangue et ça roule un peu, mais c'est peut-être l'évocation des tempêtes en haute mer ?  

non mais mara n'est pas complètement idiote. elle sais bien qu'elle fait parti de ces gens qui prennent plaisir sur le dos des problèmes des autres. maintenant pour la suite j'en sais rien. peut-être qu'elle comprendras un jour que c'est elle qui a des problèmes.

e-délivrance a écrit:

non mais mara n'est pas complètement idiote. elle sais bien qu'elle fait parti de ces gens qui prennent plaisir sur le dos des problèmes des autres. maintenant pour la suite j'en sais rien. peut-être qu'elle comprendras un jour que c'est elle qui a des problèmes.

Attends, elle va t'expliquer elle même.
(C'est peut-être pas prudent de rester sur le hamac le vent se lève...)   

On rit Eric, on rit ! L'humour et la dérision sont une bonne médecine à tous les maux. Comme l'Eau de mélisse...

moi je rit pas. j'ai perdu ma copine et je sais pas comment faire pour la retrouver. si je suis la c'est juste pour oublier un peu ma réalité de tout les jours.

Sous la période gaullienne, il y a un père, Charles de Gaulle, et un fils, Jean-Bedel Bokassa ! D’emblée, le père peine à reconnaître le fils qui est venu au monde d’une façon inattendue par la famille : un coup d’État (le 25 décembre 1965). L’aspect brutal de la naissance importe peu à l’occupant de l’Élysée et à son estafier, Jacques Foccart. Il a évincé David Dacko qui avait l’heur de plaire au Général, pour des raisons connues de lui seul. Et cela, il ne le digère pas. Le fils pourtant aurait tant aimé être accueilli comme l’enfant prodigue. Mais rien n’y fait. Il est qualifié tout simplement de « couillon » par un général qui
refuse de répondre à ses missives désespérées, au point que Bokassa se résout à envoyer son ministre des Affaires étrangères porter une lettre à « Papa ». Ce dernier refuse de le recevoir. Les relations père-fils sont parfois complexes et difficiles. Dans le cas présent, elles commencent plutôt mal !

Le père finit par adoucir son jugement, aidé en cela par un Foccart qui se fait l’avocat du fils rejeté, en rappelant qu’il s’agit d’un ancien de la France libre et d’un officier décoré de l’armée française et qui de surcroît « ne se considère pas comme francophile mais comme français Et le père finit par faire un premier geste : il fait envoyer, en mars 1966, à la Centrafrique un avion de type C-47, en remplacement de celui qui vient de s’écraser. Le fils de son côté redouble d’ardeur en lui envoyant des lettres lui exprimant toute sa reconnaissance.

Et le père finit par céder : il accepte enfin de recevoir Bokassa, le 7 juillet 1966, au cours d’une visite privée à l’Élysée. Pour l’occasion, Jean-Bedel a revêtu son plus beau costume et, sa célèbre canne à la main, il claque les talons à la vue du général venu l’accueillir sur le perron et lui dit : « Bonjour Père ! »

Là-dessus, le général de Gaulle ne se démonte pas. « Bonjour monsieur le président, lui répond-il aimablement avant de le questionner : Avez-vous fait bon voyage ? »

Et tout ému qu’il est d’être ainsi accueilli, Jean-Bedel répond : « Oui Papa. »

C'est touchant !   
Et Jean-Bedel faisait partie du GPRA, tu crois ?  

    

Tu vois bien que ce n'est pas Charles mais son fils, Jean-Bedel ! 

...  

© Assiya Hamza / FRANCE 24

Texte par Assiya HAMZA

Dernière modification : 11/04/2014

Alors que le mal-logement est l’un des principaux fléaux en Algérie, les habitants des bidonvilles se sentent délaissés par les

autorités. Pour eux, la présidentielle du 17 avril est loin d’être un enjeu. Reportage.

Il est posé là, au milieu des tours d’une cité dortoir de Kouba, dans la banlieue d’Alger. Des carrés de parpaings sont alignés

les uns à côté des autres, recouverts de morceaux inégaux de taule. Plusieurs dizaines de familles vivent ici, sur un champ

agricole devenu le bidonville Ben Boulaïd, depuis des générations. Sur le bas-côté de la route, Hocine, 81 ans s’active au

milieu des déchets. Dans sa gandoura beige, maculée de petites tâches plus sombres, le vieillard à la longue barbe blanche,

semble à la recherche de plantes. "J’habite ici depuis 20 ans. La mairie est venue nous recenser il y a trois ans mais nous

sommes toujours là. Seules quelques familles ont été relogées dans des chalets (préfabriqués, NDLR) à Eucalyptus", explique-

t-il, las.

10 millions pour un gourbi

À 42 ans, Karima n’a connu que ces baraquements. "[Ils] étaient déjà là dans les années 1970", se souvient-elle en précisant

qu’elle vient d’une famille de moudjahidines (combattants de la guerre d’Algérie, NDLR). En 1983, faute de moyens suffisants,

c’est ici qu’elle a "acheté" avec son mari. Dix millions de dinars. Une fortune pour vivre dans un cloaque.



C’est ici, dans cette cuisine presque entièrement à ciel ouvert, qu’elle prépare depuis 20 ans les repas pour son mari et leurs

quatre enfants. Un espace d’à peine 10 m² battu par les vents, desservant les autres pièces de la maison de fortune. À

droite de l’entrée, des toilettes turques en guise de salle de bain. À l’intérieur, un bric-à-brac composé de bassines vides et

de paniers en nylons. La porte au carreau largement éventré est recouverte d’un rideau rouge, usé par le temps. Juste à

côté, le centre névralgique de la maisonnée : une petite pièce sombre dans laquelle le fils aîné de Karima finit sa nuit. "Nous

dormons tous dans la même chambre", explique-t-elle, en réajustant son hidjab gris. La quadragénaire pointe du doigt les

murs balafrés de larges lézardes surmontés de câbles électriques pendants. "Nous n’avons pas le droit de faire des travaux

pour essayer d’arranger un peu et nous n’avons pas les moyens de partir ailleurs", soupire-t-elle.

L’élection présidentielle du 17 avril ? Karima soupire. "Je suis Algérienne, moi ? Quand j’aurai les mêmes droits que les autres,

j’irai voter, claque-t-elle. J

Des serpents et des rats

Il est presque midi. Sous un soleil déjà presque brûlant, des enfants s’amusent dans la rue. À chaque passe, leur ballon de

plastique rose soulève des volutes de poussière. À quelques encablures, une course-poursuite s’engage entre deux chats

hurlant à la mort. Mais personne n’y prête attention. Même pas Zoulikha. Âgée de 64 ans, elle a quitté la casbah d’Alger

après son divorce, il y a 22 ans. Elle s’est alors retrouvée seule pour élever ses onze enfants. "On n’avait pas où aller",

soupire-t-elle. Aujourd’hui, sept d’entre eux et trois brus vivent avec elle dans son deux pièces. Personne ne travaille. Les

600 dinars toujours perçus au titre de la retraite de sa mère décédée ne suffisent pas à "nourrir tout le monde à sa faim".

Zoulikha s’avance vers le salon jaune clair. Derrière la porte d’entrée, une dizaine de matelas en éponge empilés les uns sur

les autres. Plusieurs générations sont installées sur les quatre banquettes en bois qui forment un angle droit dans la pièce :

sa tante, ses trois filles, deux petites-filles et un petit fils.

Dans un grand brouhaha, petits et grands racontent alors un quotidien de galères. Les chiens errants, les rats, les serpents, l

les inondations les jours de pluie, le froid l’hiver et l’étuve en été… "On range tous les vêtements dans des sacs en plastique

mais s’il pleut tout est mouillé", précise la sexagénaire en montrant une grande armoire de l’autre côté de la pièce. "On ne

peut pas dormir tranquillement, il faut toujours tout surveiller", ajoute sa fille cadette.

"Les gens des baraques, ils ne votent pas"

Asthme, tuberculose, maladies de peau, infections…. Le bidonville est un bouillon de cultures à grande échelle. "Quand mes

enfants sont malades, je dois me débrouiller pour les soigner car je ne peux pas acheter de médicaments. Mon mari est au

chômage et pour avoir une assurance maladie il faut travailler", déplore Fatima en enlaçant l’une de ses filles. Mère de six

enfants à 35 ans, elle s’est mariée avec un homme du bidonville. "Nous vivons serrés comme des sardines". Le visage



"Il vaut mieux que Bouteflika meurt ! Il n’a jamais rien fait. Il nous faut quelqu’un qui s’occupe des jeunes, leur donne du

travail et des logements", lance-t-elle, ses yeux bleus-gris presque exorbités. À ces mots, Zoulikha fronce les sourcils. "Quoi

? J’ai le droit de dire ce que je pense ! Il faut que ça sorte !, s’écrit-elle !

Alors qu’elle a réuni tous les documents pour obtenir sa carte d’électeur, la mère de famille s’est vue opposer un refus, sans autre justification que la suivante : "Les gens des baraques, ils ne votent pas".

j'aurais dit le TGV

e-délivrance a écrit:

moi je rit pas. j'ai perdu ma copine et je sais pas comment faire pour la retrouver. si je suis la c'est juste pour oublier un peu ma réalité de tout les jours.

Apres, tout, ta realité, tu l'as construite.
C'est sans doute pour ça que ta copine s'est barrée -c'est que ça a de l'instinct, la femelle. Pour autant, ça ne fait pas de toi un type detestable; je suis sure qu'il t'arrive d'etre drole et agreable.


Mab -moi, en revanche, jamais. Mais j'assume-

One , two , tree, Vive la tyrannie

Apres, tout, ta realité, tu l'as construite.


...pfff ! sartrien votre truc la preuve c'est pas les algériens qui ont construit Marseille ni créé Bouteflika !

Mara-des-bois a écrit:

e-délivrance a écrit:

moi je rit pas. j'ai perdu ma copine et je sais pas comment faire pour la retrouver. si je suis la c'est juste pour oublier un peu ma réalité de tout les jours.

Apres, tout, ta realité, tu l'as construite.
C'est sans doute pour ça que ta copine s'est barrée -c'est que ça a de l'instinct, la femelle. Pour autant, ça ne fait pas de toi un type detestable; je suis sure qu'il t'arrive d'etre drole et agreable.


Mab -moi, en revanche, jamais. Mais j'assume-

Ma copine ne m'a pas quitté. On a été séparé a cause de gens comme toi. Les gens qui n'en n'ont rien a foutre des autres. Un peu, comment dire, les égoïstes qui ne partage pas. Je sais que tu n'en n'a rien a foutre. Et si je vais quitter le forum, ce n'est pas cause des gens comme toi, mais parceque m'a vie n'est pas la. Et aussi biboulou qui tolère tout le monde parceque pour lui c'est aussi une sorte d’amusement.

je sais qu'on ne peut pas lutter contre les gens qui n'en n'ont rien a foutre des autres. Tout du moins dans le virtuel. C'est un peu pour ça qu'on a inventé les forums virtuels. Ça leur permet de se défouler a leur façon sans prendre trop de risques physique.

C'est comme ça. Maintenant s'il y en a qui aime bien ce genre d’ambiance, et bien internet est un cadeau pour eux.

e-délivrance a écrit:

Ma copine ne m'a pas quitté. On a été séparé a cause de gens comme toi. Les gens qui n'en n'ont rien a foutre des autres. Un peu, comment dire, les égoïstes qui ne partage pas. Je sais que tu n'en n'a rien a foutre. Et si je vais quitter le forum, ce n'est pas cause des gens comme toi, mais parceque m'a vie n'est pas la. Et aussi biboulou qui tolère tout le monde parceque pour lui c'est aussi une sorte d’amusement.

Tu as ma parole, je n'ai jamais fichu un pied en Thailande -et il y a de grandes chances que ça n'arrive jamais, tant que j'aurais ma tete   


Eric, je ne sais pas quel sorte de film tu te fais sur le net mais tu devrais envisager la possibilité que ce soit ta perception qui merdouille.
On ne vient pas sur un forum pour guerir le monde et se faire des amis mais pour echanger, plaisanter et accessoirement se lier avec certaines personnes -pas vraiment pour se marier et avoir beaucoup d'enfants.
Si tu te sens bien d'ecouter les miseres des autres ou de raconter les tiennes en boucle, il y a des sites dediés, où les yeux et les petits doigts compatissants ne manqueront pas. Tu n'as rien à exiger des gens qui viennent se croiser ici pour delirer un brin.

Tu parles d'egoisme, mais qu'est ce qui t'a poussé à quitter tes amis et ta famille de France pour un pays où tu es visiblement malheureux ? Tu veux que je te dise franchement ce que je pense de ta façon de voir les gens : encore un justicier-à-qui-on-la-fait-pas, qui vient nous juger du haut de sa vertu   

Je me contrefiche de ce que tu penses, mais je ne voudrais pas qu'il t'arrive du tort dans ta vraie vie. Arrete d'en vouloir aux autres parce qu'ils ne comprennent pas ta vie, c'est toi qui l'a tricotée, tu peux leur expliquer mais pas leur reprocher.


Mab

Mais que vient faire l histoire d amour d Eric sur le post de l Algérie?,,

chat noir a écrit:

Mais que vient faire l histoire d amour d Eric sur le post de l Algérie?,,

Qui a parlé d'une histoire d'amour ?


Mab -non, c'est juste une affaire d'hormones, son truc-

Ah ! dans ce cas effectivement on peut faire un rapprochement avec les hormones de Bouteflika

Mara-des-bois a écrit:

Tu as ma parole, je n'ai jamais fichu un pied en Thailande

Je veux bien te croire. Sans quoi, j't'aurais senti.

ah bon elle a une odeur particulière Miss Mab ?

chat noir a écrit:

ah bon elle a une odeur particulière Miss Mab ?

Si.
Le parpaing des fleurs sous la... le parfum des pleurs sous... le parfum des fleurs sous la sous la rosée du marin... du tarin...
Oh, et puis zut, demande à Charly, c'est lui qui est au courant de tout ça.  

Quoi une odeur de Parpaing ??? elle travaille dans le BTP ??? fodés caraille