De la déliquescence d'une société

Sujet: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 11:47

J'ai la prétention d'être un macho "normal" (terme à la mode ), mais je trouve ce comportement, cette "mode" actuelle du harcèlement de rue absolument abjecte !

Les féministes ne sont d'ailleurs pas totalement innocentes , à force de vouloir mettre hommes et femmes sur le même plan ! Quand je pense qu'elles condamnaient la galanterie sous prétexte qu'elle était le début du viol, elles avaient vraiment tout faux !

Résultat des courses : la galanterie tend à disparaître, avantageusement remplacée par la grossièreté, la vulgarité, et pour terminer en apothéose : par le viol !

Ce comportement devrait être très sévèrement réprimé, car il contribue activement à la mise en capilotade de notre société qui n'a vraiment pas besoin de ça !

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 11:52

Comme ceci, par exemple ?

Invité

kalawasa a écrit:: Les féministes ne sont d'ailleurs pas totalement innocentes , à force de vouloir mettre hommes et femmes sur le même plan ! Quand je pense qu'elles condamnaient la galanterie sous prétexte qu'elle était le début du viol, elles avaient vraiment tout faux !

Ah non ! La, Kalawasa, nous allons au conflit (de canard) : vouloir traiter de façon egalitaire un homme et une femme n'a strictement rien à voir avec le fait de poursuivre une femme de ses assiduités malgré son refus.
Mais rien de rien.
C'est deplaisant, usant, c'est de la tentative de domination, ça fait peur ou ça donne envie de mordre. Un non est un non, les mamans intelligentes l'enseignent à leurs garçons.
Bon... les mamans intelligentes sont peut etre assez rares.

Mab -admettons-

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 13:57

La première fois que j'ai entendu un arabe dire d'une femme '' Elle a l'air bonne'' j'ai cru que c'était un cannibale.

C'est pas pour me vanter, mais on en n'a quand même moins que vous des arabes, pour l'instant.

lol!

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 14:06

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 15:08

En règle générale, le statut de la femme à une époque quelconque est un bon critère du progrès évolutionnaire du mariage en tant qu’institution sociale, tandis que le progrès du mariage lui-même mesure assez exactement l’avance de la civilisation humaine.

Le statut de la femme a constamment été un paradoxe social ; elle a toujours su adroitement diriger les hommes ; elle a toujours capitalisé les besoins sexuels plus impérieux de l’homme en faveur de ses propres intérêts et de sa propre élévation. En faisant subtilement valoir ses charmes sexuels, elle a souvent été capable d’exercer un pouvoir dominateur sur l’homme, même quand celui-ci la tenait dans un esclavage abject.

La femme primitive n’était pas pour l’homme une amie, une amoureuse, une amante et une partenaire, mais plutôt un objet qu’il possédait, une servante ou une esclave, et, plus tard, une associée économique, un jouet et une porteuse d’enfants. Néanmoins, les rapports sexuels convenables et satisfaisants ont toujours impliqué l’élément choix et coopération de la part de la femme, ce qui a toujours valu aux femmes intelligentes une influence considérable sur leur standing personnel et immédiat, indépendamment de leur position sociale en tant que sexe. Mais le fait que les femmes furent constamment obligées de recourir à la subtilité dans leur effort pour alléger leur servitude ne contribua guère à dissiper la méfiance et la suspicion des hommes.

Les sexes ont éprouvé de grandes difficultés à se comprendre. L’homme a eu de la peine à comprendre la femme, la regardant avec un curieux mélange d’ignorance méfiante et de fascination craintive, quand ce n’était pas avec soupçon et mépris. Bien des traditions tribales et raciales font remonter les difficultés à Ève, à Pandore ou à quelque autre représentante de la féminité ; ces récits furent toujours déformés de manière à faire ressortir que la femme a attiré le mal sur l’homme, ce qui dénote que la méfiance à l’égard des femmes fut jadis universelle. Parmi les raisons citées pour soutenir le célibat des prêtres, la principale fut la bassesse des femmes. Le fait que la plupart des présumés sorciers étaient des femmes n’améliora pas l’antique réputation du sexe.

Les hommes ont longtemps considéré les femmes comme bizarres, et même anormales. Ils ont même cru qu’elles n’avaient pas d’âme, et, en conséquence, ont refusé de leur donner un nom. Dans les temps anciens, on avait très peur du premier rapport sexuel avec une femme, et les prêtres prirent l’habitude de déflorer les vierges. On pensait même que l’ombre d’une femme était dangereuse.

Jadis, on considéra généralement que la grossesse rendait une femme impure et dangereuse. Chez de nombreuses tribus, les moeurs voulaient qu’une femme passât par de longues cérémonies de purification après la naissance d’un enfant. Excepté dans les groupes où le mari participait à la naissance en restant couché au foyer, on fuyait la femme enceinte, on la laissait seule. Les anciens évitaient même qu’un enfant naisse à la maison. Finalement, les vieilles femmes furent autorisées à s’occuper de la mère pendant son accouchement, et cette pratique fut l’origine de la profession de sage-femme. Durant les douleurs, on disait et l’on faisait des masses de choses stupides pour faciliter l’accouchement. On avait l’habitude d’asperger le nouveau-né avec de l’eau bénite pour empêcher l’ingérence des fantômes.

Les moeurs des temps anciens exigeaient que toute femme, depuis sa puberté jusqu’à sa ménopause, fût soumise à une quarantaine familiale et sociale complète pendant une semaine par mois. Tous les objets qu’elle avait touchés ou sur lesquels elle s’était assise ou couchée étaient « souillés » . On eut longtemps la coutume de frapper brutalement les jeunes filles, après chaque période menstruelle, pour essayer de chasser de leur corps le mauvais esprit. Toutefois, lorsqu’une femme avait franchi sa ménopause, on la traitait généralement avec plus de considération, on lui accordait plus de droits et de privilèges. En raison de tout ce qui précède, il n’était pas étonnant que les femmes fussent regardés avec mépris. Même les Grecs estimaient que la femme en menstruation était l’une des trois grandes causes de souillure, les deux autres étant la viande de porc et l’ail.

Si stupides que fussent ces antiques notions, elles firent un peu de bien en ce sens qu’elles procurèrent aux filles et femmes surmenées, au moins pendant leur jeunesse, une semaine par mois pour un repos bienvenu et pour des méditations profitables. Les femmes purent ainsi aiguiser leur intelligence en vue de leurs rapports avec leurs associés masculins pendant le reste du temps. Cette quarantaine des femmes protégea aussi les hommes contre les excès sexuels, ce qui contribua indirectement à restreindre la population et à rehausser la maitrise de soi.

N'oublions jamais qu'aussi jeune que nous sommes individuellement autant notre peuple humain est vieux, plus d'un million d'années.

La sagesse ne rajeunira jamais personne, mais sans elle vous serez vieux avant le temps.

Majoritairement tiré du livre d'urantia, quelque peu modifié par Zed

Invité

Zed a écrit:: Les hommes ont longtemps considéré les femmes comme bizarres, et même anormales. Ils ont même cru qu’elles n’avaient pas d’âme

C'est vrais que pour certaines parfois on peut se demander...

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 15:29

Zora232 Aujourd'hui à 14:06 a écrit:: (Vidéo)

C'est drôle et charmant...
Remarquez que le gamin, à force d'être jeté à terre par la petite, fini par se coucher avant même de l'entreprendre à nouveau.

On apprend vite, nous, les hommes ! Laughing

Invité

ça doit être une frigide...

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 15:56

Zed a écrit:: C'est pas pour me vanter, mais on en n'a quand même moins que vous des arabes, pour l'instant.

T'as raison de préciser "pour l'instant", Zed, car n'oublie pas que le musulman est prolifique .Ils le disent d'ailleurs ouvertement : "Nous allons conquérir le monde par le ventre de nos femmes" !

Il reste un petit espoir : c'est que les différents mouvements islamiques et islamistes vont se massacrer entre eux !

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 16:13

Mab a écrit:: Ah non ! La, Kalawasa, nous allons au conflit (de canard) : vouloir traiter de façon egalitaire un homme et une femme n'a strictement rien à voir avec le fait de poursuivre une femme de ses assiduités malgré son refus.

Ah non ! La, Mab , je ne suis pas d'accord avec votre désaccord !

En allant à marche forcée vers cet égalitarisme artificiel, prôné par nos hommes politiques dans un but vilement électoraliste, la femme a perdu, dans "l'inconscient collectif", son statut d'être un peu étrange, mystérieux, éthéré, fragile, statut se sanctuarisant et se sacralisant lorsque la femme devient maman, puis mamie .

Bref, nous, les hommes, en tolérant ce harcèlement , nous sommes des lâches . Peut-être qu'en réagissant serions nous taxés de racistes, vu que cette mode vient de pays étrangers !

PS : A propos de conflit de canard, ci-joint le conflit du Canard .

De la déliquescence d'une société 2013-066

De la déliquescence d'une société 2013-066

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 16:23

kalawasa a écrit:

Zed a écrit:: C'est pas pour me vanter, mais on en n'a quand même moins que vous des arabes, pour l'instant.

T'as raison de préciser "pour l'instant", Zed, car n'oublie pas que le musulman est prolifique .Ils le disent d'ailleurs ouvertement : "Nous allons conquérir le monde par le ventre de nos femmes" !

Il reste un petit espoir : c'est que les différents mouvements islamiques et islamistes vont se massacrer entre eux !

Moi mon espoir est moins sadique que le tien (même si je suis pas contre un petit massacre de temps en temps)

C'est juste que je pense que le statut de la femme est perdu avec les arabes et leur (en plus) islam.

Tout les humains sont égaux en droit et en devoir.

Tout ce que nous avons besoin, c'est redonner le pouvoir a l'éducation dans son intégralité.

Nul ne connait rien qui n'a rien appris.

L'éducation doit être neutre, une histoire.

Le loup dans le chaperon rouge n'est pas le mauvais, il a juste la mauvaise part de l'histoire.

Dans l'histoire, l'humanité apprends a devenir, et ça ne ce fait pas en criant sagesse.

Invité

Zed a écrit:: Le statut de la femme a constamment été un paradoxe social ; elle a toujours su adroitement diriger les hommes ; elle a toujours capitalisé les besoins sexuels plus impérieux de l’homme en faveur de ses propres intérêts et de sa propre élévation.

Qu'est-ce que c'est que ce ramassis de bêtitude, Zed ? La femme qui capitalise sur le trilili de son bonhomme, non mais je rêve... Pour une Messaline et deux Zahia, c'est generaliser par l'injure.
On vous tient aussi par l'estomac et surtout par la peur.

Mab -qu'est ce qu'il ne faut pas lire, j'vous jure...-

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 16:35

L'Histoire de l'humanité est très certainement bâti sur l'apprentissage, il serait temps d'en comprendre conscience.

Invité

kalawasa a écrit:

Mab a écrit:: Ah non ! La, Kalawasa, nous allons au conflit (de canard) : vouloir traiter de façon egalitaire un homme et une femme n'a strictement rien à voir avec le fait de poursuivre une femme de ses assiduités malgré son refus.

[b]Ah non ! La, Mab , je ne suis pas d'accord avec votre désaccord !

En allant à marche forcée vers cet égalitarisme artificiel, prôné par nos hommes politiques dans un but vilement électoraliste, la femme a perdu, dans "l'inconscient collectif", son statut d'être un peu étrange, mystérieux, éthéré, fragile, statut se sanctuarisant et se sacralisant lorsque la femme devient maman, puis mamie .

D'abord, "mamie" vous-meme. D'abord.
Ensuite, il ne s'agit de pretendre que l'homme est egal de la femme -en toute modestie, j'appartiens à un genre infiniment superieur- mais qu'on doit donner aux deux la meme valeur et la meme consideration.
C'est loin d'etre le cas aujourd'hui.

Et une femme, une vraie, ne veut pas etre sacralisée; on n'est pas un musée ou une eglise, toute meme !
Il est meme necessaire, dit-on, que son mari cesse de temps en temps d'etre un parfait gentleman s'ils veulent des enfants.

Mab

Invité

Zed a écrit:: L'Histoire de l'humanité est très certainement bâti sur l'apprentissage, il serait temps d'en comprendre conscience.

Oui bon, je ne voulais pas te faire peut à ce point, Zed...

Mab, navrée

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 16:46

Mara-des-bois a écrit:

Zed a écrit:: Le statut de la femme a constamment été un paradoxe social ; elle a toujours su adroitement diriger les hommes ; elle a toujours capitalisé les besoins sexuels plus impérieux de l’homme en faveur de ses propres intérêts et de sa propre élévation.

Qu'est-ce que c'est que ce ramassis de bêtitude, Zed ? La femme qui capitalise sur le trilili de son bonhomme, non mais je rêve... Pour une Messaline et deux Zahia, c'est generaliser par l'injure.
On vous tient aussi par l'estomac et surotu par la peur.

Mab -qu'est ce qu'il ne faut pas lire, j'vous jure...-

J'en attendais pas moins de toi chère Mab, c'est justifié et justifiable.

C'est une narration, une histoire, un ensemble et un globale, pas une vérité, juste des faits.

L'égalité entre l'Homme et la Femme est un fait de société évoluée et non un droit naturel.

L'homme et la femme ne peuvent pas se perpétuer l'un sans l'autre, ils sont extrinsèquement liés même au delà d'eux même.

Vivre et savoir vivre, vivre et comprendre, c'est toute une histoire

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 16:50

Mara-des-bois a écrit:

Zed a écrit:: L'Histoire de l'humanité est très certainement bâti sur l'apprentissage, il serait temps d'en comprendre conscience.

Oui bon, je ne voulais pas te faire peut à ce point, Zed...

Mab, navrée

Je te pardonne

Tu n'aura que trente coups de fouets (après tes mensurations) Je suis quand même miséricordieux

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 16:58

Zed a écrit:: Le loup dans le chaperon rouge n'est pas le mauvais, il a juste la mauvaise part de l'histoire.

Surtout ne jamais dire à un écolo-bobo que le loup a le rôle du méchant , car il était chez lui et a correctement rempli son rôle de prédateur !

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 17:00

kalawasa a écrit:

Zed a écrit:: Le loup dans le chaperon rouge n'est pas le mauvais, il a juste la mauvaise part de l'histoire.

Surtout ne jamais dire à un écolo-bobo que le loup a le rôle du méchant , car il était chez lui et a correctement rempli son rôle de prédateur !

C'est pas comme ça que Jean Yanne voyait cette histoire, mais bon... Embarassed

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 17:08

Biloulou a écrit:: C'est pas comme ça que Jean Yanne voyait cette histoire, mais bon.

Je ne me rappelle pas ce que disait ce grand homme . Ai-je droit à un rafraîchissement de mémoire ?

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 17:11

kalawasa a écrit:

Biloulou a écrit:: C'est pas comme ça que Jean Yanne voyait cette histoire, mais bon.

Je ne me rappelle pas ce que disait ce grand homme . Ai-je droit à un rafraîchissement de mémoire ?

Bien entendu, je ne demandais que ça... Laughing

(Je cherche dans mes archives...)

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 17:15

Mab a écrit:: Et une femme, une vraie, ne veut pas etre sacralisée; on n'est pas un musée ou une eglise

Mais il y a de vieux musées et de vieilles églises qui sont encore très visitées !

NB : je note, une fois de plus, que les féministes font du tort à la cause des femmes

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 17:26

Biloulou a écrit:

kalawasa a écrit:

Biloulou a écrit:: C'est pas comme ça que Jean Yanne voyait cette histoire, mais bon.

Je ne me rappelle pas ce que disait ce grand homme . Ai-je droit à un rafraîchissement de mémoire ?

Bien entendu, je ne demandais que ça... Laughing

(Je cherche dans mes archives...)

Prêt ? On y va.

La porte : Toc, toc, toc
Mère-grand : C'est toi, mon gros loup ? Entre, tu tombes bien, la petite sera en retard.
Le loup : Bonjour mère-grand, ça va ?
Mère-grand : Oui, ça va, ça ira mieux quand tu m'auras fait quelques jolies choses...
Le loup : M'enfin, mère-grand, vous n'y pensez pas, vous une femme, moi un loup !
Mère-grand : Tais-toi et pousse.
Le loup : Vous voyez bien que ça n'ira pas...
Mère grand : Allez, un peu de bonne volonté mon loup, pousse !
Le loup : Mais c'est que... dites, mère-grand, à quelle heure arrive la petite avec le beurre ?

De la déliquescence d'une société 151686

De la déliquescence d'une société 151686

Sujet: Re: De la déliquescence d'une société 21/4/2014, 19:35

Biloulou a écrit:: Prêt ? On y va.