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Nombre de messages : 7219 Localisation : Fluctuante Date d'inscription : 08/09/2010
Sujet: Ils Nous ont Quittés 13/3/2014, 09:26
Rappel du premier message :
Mara-des-bois a écrit:
andre a écrit:
C'est ainsi qu'un de ses amis s'est autorisé un mot d'esprit durant les derniers jours du chanteur : " Qu'il était vert mon vallée " ... parodiant ainsi avec humour Richard Llewellyn.
Il est vrai qu'avec toutes ses chimios ...
Noooon, vous connaissez ça, vous ? Vous etes vraiment beaucoup beaucoup plus vieux que je ne croyais...
Mab
Hein ?
Auteur
Message
Marieden
Nombre de messages : 5695 Date d'inscription : 03/12/2014
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 20/4/2015, 13:50
Sylvette a écrit:
oohh Richard Anthony aussi?
pas rassurant !! c'est ma génération donc............bientôt mon tour
Sylvette
Nombre de messages : 2098 Date d'inscription : 02/08/2014
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 20/4/2015, 15:13
J'espere bien que non, encore de longues annees, De nos jours, vivre jusqu'a 80 ou 90 ans n'est pas surprenant!
Marieden
Nombre de messages : 5695 Age : 23 Date d'inscription : 03/12/2014
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 20/4/2015, 15:44
Sylvette a écrit:
J'espere bien que non, encore de longues annees, De nos jours, vivre jusqu'a 80 ou 90 ans n'est pas surprenant!
sans façon, non merci, pas pour moi
Lawrence
Nombre de messages : 11709 Age : 79 Localisation : Marbella Date d'inscription : 20/09/2010
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 20/4/2015, 20:01
Le train est passé.........
Alande
Nombre de messages : 1278 Age : 58 Localisation : Caluire et Cuire Date d'inscription : 19/06/2013
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 20/4/2015, 20:45
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 30/4/2015, 18:01
François Michelin est mort (Le Monde.fr | 29.04.2015 à 14h45 • Mis à jour le 29.04.2015 à 18h37 | Par Stéphane Lauer)
François Michelin avait dirigé le groupe Michelin pendant plus de 40 ans, élevant le fabricant de pneus de province au rang de leader mondial.
Finalement, François Michelin aura passé toute sa vie à apprivoiser la mort. Il n’a que 10 ans lorsque sa mère disparaît. Son père meurt à son tour quatre ans plus tard. Et puis il y a aussi ce fils, dont il avait réussi à faire son successeur à la tête de l’entreprise familiale, qui se tue accidentellement en 2006. Dans sa dernière interview accordée en mai 2013 à Paris Match, François Michelin évoquait son rapport à ces morts, à la mort : « La foi conduit à la notion de vie éternelle. Il n’y a pas de disparition. La vie est changée, elle est totale », prêchait-il une dernière fois avant que la sienne ne bascule définitivement le 29 avril 2015. Celui qui a fait de Michelin l’un des leaders mondiaux du secteur s’est éteint à l’âge de 88 ans.
Né le 15 juin 1926 à Clermont-Ferrand, dans le Puy-de-Dôme, le jeune orphelin est élevé dans la religion par sa tante, en Savoie. La foi constitue l’une des deux clefs pour comprendre le cheminement de ce patron à la fois atypique et secret. L’autre, c’est l’entreprise de fabrication de gomme de caoutchouc dont son grand-père, sur son lit de mort, lui confie les rênes en 1940, alors que son père vient juste de se tuer dans un accident d’avion. En attendant qu’il soit en capacité de reprendre l’entreprise familiale, son oncle, Robert Puiseux, assure la régence jusqu’en 1955. Entre-temps, François Michelin, après une licence de mathématiques, suit un parcours initiatique de quatre ans dans les ateliers clermontois. En 1959, il devient cogérant, puis « seul patron après Dieu », comme il aime à le rappeler régulièrement. Début d’un règne papal sans partage, long de 43 ans, qui ne s’achèvera qu’en mai 2002 : les statuts de l’entreprise fixaient une limite d’âge, mais pas de durée de mandat. Gouvernance d’un autre temps, à l’image d’un homme issu d’une autre époque.
La révolution du radial
Tout au long de sa vie François Michelin aura professé un conservatisme social et politique hors d’âge, qui finissait par le rendre iconoclaste et inclassable parmi ses pairs. Chrétien, libéral aux accents réactionnaires, imprégné de personnalisme, il cherchait en permanence à donner un sens aux choses en partant de l’observation des faits, pour mieux prendre ses distances avec les certitudes toutes faites ou les modes. Ce pragmatisme élevé au rang de philosophie, il l’appliquera dès ses premiers pas de patron en multipliant les usines de pneus à carcasse radiale. Ce procédé révolutionnaire est le fruit de l’imagination d’un obscur ingénieur, Marius Mignol. Il permet de parcourir trois fois plus de kilomètres grâce à une structure métallique. Pourtant, le premier réflexe dans l’entreprise fut d’enterrer le projet. Le brevet est déposé en 1946, mais la commercialisation ne s’effectue qu’au compte-gouttes. Pensez ! Si la durabilité du pneu est augmentée, les usines tourneront moins. Certains considèrent que cela revient à se tirer une balle dans le pied.
François Michelin est le seul à dépasser cette rationalité à courte vue en pensant qu’au contraire, le pneu radial va faire prendre une avance technologique décisive au groupe clermontois. Les faits lui donneront raison. En moins de quatre décennies, le petit fabricant de pneumatiques provincial va devenir le leader mondial du secteur, tour à tour étendard de la France à l’étranger, mais aussi baromètre social de la désindustrialisation hexagonale.
Choc pétrolier et déclin
Car si pendant des années, les constructeurs vont demander et redemander du radial, François Michelin ne voit pas arriver le second choc pétrolier. Au début des années 1980, le groupe a surinvesti. Alors que la demande s’effondre, les pertes se creusent. C’est le début d’un long déclin des effectifs clermontois, qui passeront en l’espace de vingt ans de 30 000 à 15 000 salariés. Pendant plusieurs mois, François Michelin reste prostré, on ne le voit plus à l’usine, des rumeurs sur sa santé commencent à courir.
En 1982, pour sauver l’entreprise, il doit se résoudre à recourir à la puissance publique sous la forme d’un prêt de 4 milliards de francs. Un véritable crève-cœur pour celui qui a toujours fustigé l’interventionnisme sous toutes ses formes : étatique, syndical et même patronal, ce qui l’avait poussé à claquer la porte du Conseil national du patronat français, l’ancêtre du Medef, en 1968, après les accords de Grenelle, reprochant au patron des patrons de l’époque, Paul Huvelin, d’avoir trop lâché sur les salaires et fait le lit de la représentation syndicale.
Pour la première fois de son histoire, au début des années 1980, le Bibendum, emblème du groupe depuis 1898, a donc un genou à terre. Ce ne sera pas la dernière. En 1989, Michelin décide d’accélérer aux Etats-Unis en rachetant Uniroyal Goodrich. Ce virage stratégique est logique dans la mesure où il s’agit du premier marché du monde sur lequel le groupe français passe de 10 à 25 % de parts de marché. Mais François Michelin le négocie dans les pires conditions. Cette acquisition se fait sous la pression de l’ennemi de toujours, le japonais Bridgestone, qui vient de surpayer Firestone. Michelin estime qu’il faut à tout prix ne pas se faire distancer. Mais le timing du rachat d’Uniroyal Goodrich est catastrophique.
Fusion et restructuration
La crise est de retour et Michelin a dû s’endetter énormément. Une nouvelle fois, le pneumaticien passe à deux doigts de la faillite et mettra des années pour digérer son acquisition américaine. François Michelin confie la mission à un jeune dirigeant de 37 ans, qu’il a repéré dès son arrivée dans le groupe : Carlos Ghosn, qui a déjà à son actif le redressement des activités brésiliennes de Michelin au Brésil. En moins de trois ans, il parvient à réussir la fusion au prix d’une lourde restructuration. Se noue alors une confiance entre les deux hommes au point de convaincre François Michelin de faire du futur patron de Renault Nissan le mentor de son fils Edouard, qu’il envoie à ses côtés aux Etats-Unis pour faire ses gammes.
Le fait d’avoir prénommé ce fils Edouard, comme le grand-père de François, le fondateur du groupe, ne tient pas que de la tradition familiale. Le jeune homme a été très tôt destiné à succéder au père, même si celui-ci ne veut pas l’avouer. De fait, en 1996, Carlos Ghosn a vite compris qu’il ne deviendrait jamais patron de Michelin et rejoint Renault. Alors qu’on demande à François Michelin si Edouard va effectivement devenir le quatrième gérant issu de la famille, la prudence lui arrache cette phrase prémonitoire : « Si Dieu lui prête vie. » Le prêt sera de court terme. Quatre ans après l’accession d’Edouard à la direction de Michelin, celui-ci se noie au large de l’île de Sein lors d’une banale partie de pêche. Tout un pan de ce que François Michelin a bâti s’effondre.
Le dernier des Mohicans
L’illusion que la destinée de l’entreprise reste dans le giron familial survit encore quelques années lorsque Michel Rollier, le petit-fils de la tante qui avait élevé François Michelin, succède en 2006 à Edouard.
Même si François Michelin garde toujours un bureau aux Carmes, le siège de l’entreprise, à Clermont-Ferrand, ses allées et venues pour récupérer son courrier sont de plus en plus espacées. Il a du mal à cacher un certain désabusement lorsqu’il regarde l’entreprise se moderniser sous la coupe de son nouveau patron, Jean-Dominique Senard depuis 2012. « Michelin est désormais dirigé par des traders », avait-il lâché un jour. Avec une certaine nostalgie d’un paternalisme et d’un taylorisme assumé, il se définissait lui-même comme le dernier des Mohicans.
En 1988, lorsque M. Michelin propose à ses salariés 20 centimes de l’heure d’augmentation, il feint de s’étonner qu’ils prennent la proposition pour une provocation. A tout bout de champ, il professe ouvertement son incompréhension du droit du travail, « d’inspiration marxiste, car reposant sur la lutte des classes ». Provocation encore, lorsque la direction du personnel décide, en 1999, de libeller les feuilles de salaire avec la mention « prix payé par le client pour votre travail ». Condamné par la justice, Michelin devra revenir à un bulletin de paie plus classique. En forme d’épitaphe, il lâchait dans sa dernière interview : « Ce qui reste d’une vie, c’est ce qu’on a appris auprès des hommes. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2015/04/29/francois-michelin-est-mort_4625162_3382.html#XaRXyHgBWxs5WeoM.99
Nombre de messages : 2098 Date d'inscription : 02/08/2014
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 1/5/2015, 02:56
RIP Patachou
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 1/5/2015, 14:50
Lawrence a écrit:
Biloulou a écrit:
François Michelin est mort (Le Monde.fr | 29.04.2015 à 14h45 • Mis à jour le 29.04.2015 à 18h37 | Par Stéphane Lauer)
D'une pneumonie ?
Ouais, on peut pas dire que ca été une bonne année pour lui (a good year)
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 1/5/2015, 14:59
Zed a écrit:
Lawrence a écrit:
Biloulou a écrit:
François Michelin est mort (Le Monde.fr | 29.04.2015 à 14h45 • Mis à jour le 29.04.2015 à 18h37 | Par Stéphane Lauer)
D'une pneumonie ?
Ouais, on peut pas dire que ca été une bonne année pour lui (a good year)
Celle-là, j'ai compris. Par contre, la pneumonie de Lawrence... moi, pas bien saisir.
Encore si ça avait été un emphysème pulmonaire...
Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 1/5/2015, 15:14
Biloulou a écrit:
Zed a écrit:
Lawrence a écrit:
Biloulou a écrit:
François Michelin est mort (Le Monde.fr | 29.04.2015 à 14h45 • Mis à jour le 29.04.2015 à 18h37 | Par Stéphane Lauer)
D'une pneumonie ?
Ouais, on peut pas dire que ca été une bonne année pour lui (a good year)
Celle-là, j'ai compris. Par contre, la pneumonie de Lawrence... moi, pas bien saisir.
Encore si ça avait été un emphysème pulmonaire...
Pneu monie
La c'est mieux?
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 1/5/2015, 15:20
Ah oui, évidemment, je suis bouché à la gutta-percha, moi... (Pardon, Lawrence...)
Sylvette
Nombre de messages : 2098 Date d'inscription : 02/08/2014
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 1/5/2015, 18:26
Sylvette a écrit:
RIP Patachou
Patachou, ce n'etait pas vraiment ma generation, c'etait plutot celle de Maman, mais quand j'entends son nom je pense a Montmartre ou elle y avait un restaurant, place du tertre.
Quand j'etais gamine je me disais qu'adulte j'irai, que la vue devait etre formidable et puis de l'exterieur on voyait de jolis arbres sur la terrasse. (C'est du moins ce que j'ai en memoire) Quand j'y suis retournee, c'etait ferme. Je crois que c'est un studio d'art maintenant.
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 2/5/2015, 00:03
265 -
Ancien membre du groupe vocal The Drifters, premier interprète et co-compositeur avec Jerry Leiber (1933-2011) et Mike Stoller de la chanson Stand By Me, devenue, depuis sa parution début 1961, un classique de la soul music, le chanteur Ben E. King, de son vrai nom Benjamin Earl Nelson, est mort jeudi 30 avril, à l’âge de 76 ans, dans le New Jersey, de causes naturelles, a précisé, vendredi 1er mai, son porte-parole.
Débuts à l’église
Comme beaucoup d’interprètes de soul music, Benjamin Earl Nelson, né le 23 septembre 1938, à Henderson (Caroline du Nord), fit ses débuts à l’église, dans une formation de gospel. A l’âge de 14 ans, ses parents s’étant installé à New York, dans le quartier de Harlem, il rejoint The Four B’s, un groupe de doo-wop, ce genre issu du rhythm’n’blues, caractérisé par l’emploi de phrases vocales en harmonies (généralement avec deux voix de ténor, dont l’un plus particulièrement chargé des notes hautes, un baryton et une basse), le plus souvent sur un répertoire de romances. Un apprentissage qui le mène à devenir professionnel au sein de The Five Crows. C’est ce groupe qui attira, à l’été 1958, l’attention de George McKinley Treadwell (1918-1967), manager de la formation The Drifters, fondée en 1953 par le chanteur Clyde McPhatter (1932-1972). Ce dernier avait quitté à la fin de l’automne 1954 sa formation après les succès des chansons Money Honey et Honey Honey, et vendu à Treadwell la « marque » The Drifters, dont le personnel changeait régulièrement. En 1958, il ne reste d’ailleurs plus un membre de la formation d’origine – dont certains monteront par la suite un Original Drifters concurrent. Suite à un différend avec le groupe, Treadwell propose aux Five Crows, réduit à quatre voix, de devenir les nouveaux Drifters.
Avec The Drifters, puis en solo
Ben E. King, qui n’a pas encore pris ce nom d’artiste, devient la voix principale des Drifters. Le groupe enregistrera avec lui et pour la compagnie Atlantic quelques-uns de ses plus grands succès : There Goes My Baby, Dance With Me, This Magic Moments et Save The Last Dance for Me. Ces deux dernières deviennent numéro 1 des ventes en 1959, ce que les Drifters n’avaient pas connu depuis un moment, co- écrites par Doc Pomus (1925-1991) et Mort Shuman (1936-1991). Au printemps 1960, après un désaccord financier entre Treadwell et le manager de Ben E. King, qui entend faire fructifier pour son poulain le succès retrouvé des Drifters, Ben E. King quitte le groupe. Pour Atlantic, il est désormais temps de mettre en avant Ben E. King. C’est sous ce nom, avec Leiber et Stoller à la production et une chanson écrite par Leiber et Phil Spector, que Ben E. King enregistre son premier titre en artiste solo. La chanson, Spanish Harlem, paraît début décembre 1960. Si elle ne grimpe pas totalement au sommet des ventes à ce moment-là, elle va prendre le statut de classique avec les années.
Le slow ultime
La suite fait passer Ben E. King au stade supérieur. C’est Stand By Me, qu’il avait commencé à travailler du temps des Drifters et qui va trouver avec l’aide et les arrangements de Leiber et Stoller toute sa saveur. Un ostinato à la basse, un triangle en contretemps, un frottement sur une percussion, puis la voix de Ben E. King, presque plaintive (« When the night has come / And the land is dark »), les cordes de l’orchestre, les chœurs ensuite. Cette ballade magistrale, poignante et intense dans sa montée orchestrale, devient le slow ultime à sa sortie début 1961. Dans les années qui suivent, Ben E. King enregistrera encore plusieurs chansons de belle facture et des succès comme Ecstasy et Don’t Play That Song (You Lied) en 1962, I Who Have Nothing, en 1963, What is Soul ?, qui l’éloigne du répertoire des romances pour une approche plus énergique en 1966, ou Tears, Tears, Tears, en 1967. Mais rien qui n’atteigne la reconnaissance mondiale et l’impact émotionnel de Stand By Me. La vogue disco des années 1970 donnera encore un succès à Ben E. King, avec la chanson Supernatural Thing, numéro 5 aux Etats-Unis. Ensuite, après avoir quasiment cessé d’enregistrer dans les années 1980, il reprendra une activité plus fournie lors de concerts, par le biais de la nostalgie pour la soul music des années 1960. Son répertoire sans surprise mêlant les chansons des Drifters et ses succès.
Sylvain Siclier Source : >ICI<
Je colle ici pour rassurer les éventuels vieux croûtons qui séviraient encore sur LP que notre belle jeunesse connaît ses classiques à fond et que les jeunes filles adorent se déhancher sur un tube de Ben E. King, la preuve en images et en musique.(Escusez leur impressari en pré Alzheimer qui confondent les titres des chansons) :
Nombre de messages : 11709 Age : 79 Localisation : Marbella Date d'inscription : 20/09/2010
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 15/5/2015, 11:44
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 24/5/2015, 22:18
Mort du mathématicien John Nash, Prix Nobel d’économie et « homme d’exception » (Le Monde.fr avec AFP | 24.05.2015 à 16h41 • Mis à jour le 24.05.2015 à 18h00)
Le mathématicien américain John Nash était célèbre pour son travail sur la théorie économique des jeux. Il reçut le prix Nobel d’économie en 1994. FRED PROUSER / REUTERS
Le mathématicien américain John Forbes Nash, célèbre pour son travail sur la théorie économique des jeux et Prix Nobel d’économie en 1994, est mort samedi 23 mai avec sa femme, Alicia Nash, dans un accident de la route sur la côte est des Etats-Unis. Le mathématicien était âgé de 86 ans, sa femme de 82 ans.
En 1994, John Nash, John C. Harsanyi et Reinhard Selten reçurent le prix Nobel de sciences économiques pour leurs travaux sur la théorie des jeux. Dans les années 1950, John Nash avait approfondi les travaux du mathématicien américain John von Neumann, établissant la notion d’« équilibre de Nash ». Celle-ci représente le point, pendant un jeu, où chaque joueur se considère satisfait par le résultat. Un exemple parmi d’autres : dans une partie de « pierre-feuille-ciseaux », un équilibre de Nash est atteint si les joueurs jouent chaque coup avec une probabilité d’un sur trois.
John Nash et Louis Nirenberg, un autre mathématicien, décrits comme « deux géants du XXe siècle », s’étaient aussi vu attribuer le 25 mars le prix Abel de mathématiques. L’Académie norvégienne des sciences et lettres les avait récompensés « pour leurs contributions fondamentales et absolument remarquables à la théorie des équations aux dérivées partielles non linéaires, et à ses applications à l’analyse géométrique ».
Lire aussi : La théorie des jeux d’un Nobel à l’autre
Mathématiques et schizophrénie Le réalisateur Ron Howard s’était inspiré de la vie de John Nash pour "Un homme d’exception", dans lequel Russel Crowe incarnait le scientifique. Le film a remporté quatre Oscars, dont celui du meilleur film et celui de la meilleure actrice dans un second rôle pour Jennifer Connelly, qui jouait Alicia Nash. Le film décrit à la fois le génie mathématique de John Nash et sa schizophrénie, qui lui faisait imaginer un agent fédéral lui proposant d’aider secrètement le gouvernement pour décrypter des messages d’espions russes dans la presse. Grâce à une hospitalisation et l’aide de sa femme, il parvint à contrôler ses hallucinations. L’acteur s’est dit « abasourdi » après l’annonce de la mort. « Mes pensées vont à John, Alicia et à leur famille. Une collaboration incroyable. Des personnes d’exception, des cœurs d’exception. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/05/24/mort-du-mathematicien-john-nash-prix-nobel-d-economie-et-homme-d-exception_4639582_3234.html#CUqURwTx3SewWWH2.99
kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 24/5/2015, 23:39
Biloulou a écrit:
la notion d’« équilibre de Nash ». Celle-ci représente le point, pendant un jeu, où chaque joueur se considère satisfait par le résultat.
Match Sarko/Hollande : pat , mat , mais surtout nul !
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 12/6/2015, 06:17
Christopher Lee est décédé
Le comédien qui a incarné Dracula est décédé à 93 ans.
Christopher Lee n'est plus. L'acteur est décédé ce dimanche à l'hôpital londonien Chelsea and Westminster Hospital. Le comédien de 93 ans y était soigné pour des problèmes cardiaques et respiratoires.
L'annonce a été retardée par la veuve de l'acteur, Gitte. Celle-ci souhaitait rendre le décès de son mari public lorsque tous les proches étaient au courant de la triste nouvelle.
Christopher Lee avait commencé sa carrière dans les années 40. Mais c'est un rôle dans un film mythique qui l'a révélé au monde entier en 1958: "Dracula Has Risen From The Grave".
Outre ce rôle mythique, l'acteur avait également été aperçu dans des super-productions telles que "Le Seigneur des anneaux", "Sherlock Holmes, "James Bond: L'homme au pistolet d'Or" ou encore "Star Wars". Le Britannique avait été anobli en 2001, devenant de la sorte "Sir Christopher Lee".
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 12/6/2015, 09:25
c'était pas un vrai vampire alors ?
Il avait quand même une gueule exceptionnelle ... en dehors du dracula de Coppola je ne conçois pas d'autre incarnation de Christopher Lee 93 ans, avec la vie qu'il a vécu ... il a pas mal rempli son temps
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 12/6/2015, 09:45
La preuve vivant que l'ail est bon pour la santé !
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 12/6/2015, 10:09
Biloulou a écrit:
La preuve vivant que l'ail est bon pour la santé !
Voilà , ça y est, tu recommences à tout dire à l'envers : les vampires n'AIMENT PAS l'ail (moi si !)
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Ils Nous ont Quittés 12/6/2015, 10:31
quantat a écrit:
Biloulou a écrit:
La preuve vivant que l'ail est bon pour la santé !
Voilà , ça y est, tu recommences à tout dire à l'envers : les vampires n'AIMENT PAS l'ail (moi si !)
Oh, ces psychotrucmachin, qui se croient autorisés à décider du goût des autres...