Lutter contre l'immigration ...

Belgique et Grande-Bretagne ensemble contre l'immigration illégale





--------------------------------------------------------------------------------
Monde - Europe mar 18 nov, 19:01

La ministre de la Politique d'asile et de migration, Annemie Turtelboom, et son homologue britannique, Phil Woolas, vont renforcer leur collaboration dans la lutte contre l'immigration illégale, ont-ils annoncé mardi à Londres. La Belgique va ainsi pouvoir faire appel aux banques de données britanniques pour l'identification d'Indiens arrêtés sur le sol belge.

Cette identification est nécessaire afin de pouvoir les renvoyer. Durant le premier semestre de cette année, 1.653 Indiens, qui essayaient de rejoindra la Grande-Bretagne de manière illégale, ont été arrêtés dans notre pays. Il s'agit d'une augmentation de 60% par rapport au premier semestre de 2007.

La ministre Turtelboom a fait part de sa satisfaction concernant l'initiative britannique de prévoir désormais des cartes d'identité pour les étrangers. La ministre espère que cette mesure aura un effet considérable et freinera la migration de transit via la Belgique.

Les ministres se sont accordés à prendre davantage de mesures pour aborder l'immigration illégale, entre autres sur une coopération plus intense concernant les vols de transit et de retour. Ils ont en outre échangé leurs opinions sur la politique européenne en matière de migration et sur l'approche de la migration économique.

Les forces de police sont intervenues mardi matin au 133 de la chaussée d'Ixelles, à Bruxelles, pour procéder à l'évacuation des centaines de sans-papiers qui occupaient le bien depuis le 4 novembre.
Cette info en vidéo
Evacuation de 600 sans-papiers d'un bâtiment désaffecté ...
Le point sur l'opération d'évacuation de 600 sans-papiers ...




--------------------------------------------------------------------------------

Belgique - Société mar 18 nov, 11:09

Une action policière décidée suite à un arrêté du bourgmestre pour raisons de sécurité et à une décision de justice en faveur du propriétaire, Electrabel.

Les occupants ont été invités dans un premier temps par la police à quitter d'eux-mêmes le bâtiment. Selon le bourgmestre d'Ixelles, Willy Decourty (PS), 19 personnes ont été arrêtées administrativement par la police et ont été toutes ensuite relaxées. Ces personnes refusaient de quitter les lieux et se tenaient par les bras, selon les autorités communales.

L'Office des étrangers était présent sur les lieux mais n'a pris aucune mesure à l'égard des personnes arrêtées en raison d'une demande en ce sens du bourgmestre auprès de la ministre de la Politique de l'asile et de la migration Annemie Turtelboom (Open Vld).

"Le Bourgmestre ne voulait pas que les personnes arrêtées soient mises à la disposition de l'Office des Etrangers. Pour des raisons d'ordre public, l'Office des Etrangers n'a pas estimé devoir s'opposer à la décision du Bourgmestre", a confirmé une porte-parole de l'Office des étrangers.

Selon un porte-parole des occupants, les derniers occupants qui ont été arrêtés ont fait l'objet de brutalité policière, ce qui est démenti par le bourgmestre d'Ixelles. Douze des dix-neuf personnes arrêtées administrativement sont blessées et seront examinées par un médecin, selon ce porte-parole. Deux personnes ont été évacuées par ambulance. L'une souffrant d'épilepsie, était couchée sur le plancher de l'ambulance lors de son transfert. Le deuxième personne se serait blessée suite à une chute, selon les autorités communales.

Le bâtiment était occupé par 600 personnes selon les sans-papiers, de 250 à 400 personnes selon les autorités. "Les pompiers avaient rédigé un rapport accablant qui m'a obligé à prendre des mesures et une décision d'expulsion a été rendue par le tribunal de première instance en référé à la demande du propriétaire. Vendredi, j'ai rencontré les occupants pour leur demander d'évacuer sans difficulté puis les syndicats ont tenté à nouveau de les convaincre lundi", a indiqué le bourgmestre Willy Decourty.

La commune a expliqué qu'elle avait pris contact avec le CASU et Fedasil pour trouver des solutions d'hébergement pour les occupants sans-abris. "Une seule famille a demandé à être relogée", a dit le bourgmestre.

Selon les occupants, plusieurs dizaines d'entre eux se retrouvent suite à leur expulsion à la rue. "On comprend l'attitude du bourgmestre qui a été contraint de procéder à l'évacuation mais aucune solution n'a pu être trouvée pour reloger toutes ces personnes alors que certainement des dizaines de bâtiments publics sont vides à Bruxelles", a réagi Gerardo Cornejo, porte-parole de l'Union de défense des sans-papiers de Bruxelles.

"Le parti socialiste tient un double langage. Il promet depuis des mois une circulaire de régularisation pour les sans-papiers et s'était même engagé à ne pas monter dans un gouvernement sans que cette condition soit respectée. D'autre part un bourgmestre socialiste expulse des sans-papiers sans trouver pour eux d'alternatives et la ministre Arena doit refuser faute de place des logements au sein de Fedasil aux demandeurs d'asile", a-t-il ajouté.

Quelque 200 sans-papiers qui ont été délogés mardi matin par la police d'un bâtiment appartenant à Electrabel, au 133 de la chaussée d'Ixelles à Ixelles, réoccupent mardi après-midi un nouvel espace dans les bâtiments de l'INSAS.
Cette info en vidéo
Cette info dans le flash info de 18h
Evacuation de 600 sans-papiers d'un bâtiment désaffecté ...

--------------------------------------------------------------------------------


Belgique - Société mar 18 nov, 17:52

Ils séjournent désormais dans l'école supérieure des arts (ESA) du réseau de la Communauté Française de Belgique enseignant les arts du spectacle, situé rue Jules Bouillon à Ixelles, non loin du premier bâtiment qu'ils squattaient depuis le 4 novembre.

Une centaine de sans-papiers avaient réussi à entrer dans le bâtiment vers 15h30. Les forces de l'ordre empêchaient une centaine d'autres de pénétrer à l'intérieur de l'école.

Après négociation avec le député régional Ecolo et président du parlement francophone bruxellois Christos Doulkeridis, la police a quitté les lieux peu avant 17h00. Les occupants, qui ont été rejoints par le groupe resté à l'extérieur, ont accepté de leur côté de partir pour 18H00. Ils ont annoncé qu'ils trouveraient un nouveau lieu d'occupation pour la nuit.

Un rassemblement devrait être organisé sur la place Fernand Cocq à Ixelles devant la maison communale pour protester contre l'expulsion des occupants du bâtiment de la chaussée d'Ixelles.

Sans-papiers: 'On renvoie la balle à Decourty et Turtleboom' ...

--------------------------------------------------------------------------------

Belgique - Société 9:16

Les sans-papiers délogés mardi matin par la police du bâtiment situé au 133 de la chaussée d'Ixelles ont passé la nuit de mardi à mercredi dans le hall du sport de l'Université Libre de Bruxelles (ULB) qu'ils avaient investi en début de soirée. "Il pleuvait, on avait froid. On est venu ici plutôt que rester dehors" indiquait ce matin un porte-parole des occupants.

Les autorités de l'ULB avaient autorisé les occupants à rester pour une nuit et jusqu'à 6h30 au matin dans ce centre sportif situé sur le campus du Solbosch à Ixelles, tout en marquant leur désaccord par rapport à cette action. A 6h30 toutefois, les sans-papiers n'ont pas quitté les lieux.

Le recteur de l'ULB, Philippe Vinck, a décidé ce mercredi matin à l'issue d'une réunion de faire examiner par le service juridique de l'université les différentes modalités permettant à son établissement de faire évacuer le hall des sports.

Côté sans-papiers, un porte-parole des occupants déclarait que les négociations avec l'ULB était difficile et que les 500 occupants du hall omnisport "renvoyaient la balle à decourty, Turtleboom et le gouvernement en demandant de trouver une solution", à savoir une circulaire établissant des critères de régularisation.

Belgique - Politique mar 18 nov, 21:53

Selon l'Union de défense des sans-papiers (UDEP), les autorités de l'ULB toléreraient l'occupation du centre sportif de l'université tout en étant opposées à cette action. Le président du Comité de liaison, Luc Massaer, qui a été chargé d'établir en avril dernier le contact entre les autorités universitaires et une septantaine d'occupants sans-papiers, a indiqué mardi soir que son comité désapprouvait la nouvelle occupation. Il n'a toutefois pas voulu préciser si les nouveaux occupants risquaient d'être à nouveau expulsés.
'Lors de la précédente occupation, l'ULB avait toléré l'action des sans-papiers moyennant le respect de trois conditions, à savoir le respect des activités d'enseignement et de recherche, le respect du bâtiment et du voisinage et enfin le respect par les occupants de leur intégrité physique', a rappelé M. Massaer. 'Ici, les activités d'enseignement n'ont pas été respectées puisque le centre sportif devait fonctionner jusqu'à 22h30 et que toutes les activités ont dû être interrompues', a-t-il dit. Une septantaine de sans-papiers occupent depuis le 7 avril un bâtiment appartenant à l'ULB, situé à côté du site universitaire. Ils seraient plus de 300 à occuper depuis mardi soir le centre sportif, selon les autorités de l'ULB. (DAD)

Citation :

Jean-Marie Le Pen a de nouveau dérapé. A Marseille, où il a annoncé qu'il serait tête de liste lors des européennes, le patron du FN a digressé sur l'immigration qui prend "l'allure d'une colonisation" et évoqué le jour où le maire de Marseille ne s'appellera plus Jean-Claude Gaudin mais "peut-être ben Gaudin", en référence à l'importante communauté arabo-musulmane de la ville.

Devant des journalistes, il a affirmé que Jean-Claude Gaudin, le maire UMP de Marseille "prétend qu'il y a 300 000 musulmans à Marseille, le jour où ils seront 800 000 le maire ne s'appellera plus Gaudin mais peut-être ben Gaudin", en référence à la forte communauté arabo-musulmane de la ville. Et d'ajouter, toujours dans la même veine, que "l'immigration de masse tend à prendre l'allure d'une véritable colonisation".

Outre ces déclarations nauséabondes, Jean-Marie Le Pen a dit fonder de grands espoirs aux européennes pour son parti, aux résultats catastrophiques lors des derniers crutins. Le FN pourrait obtenir "des résultats qui vont en surprendre plus d'un", a-t-il prévenu, tablant sur "un recul de l'UMP et une montée des oppositions et singulièrement du FN". "Aux élections européennes on a toujours fait 10 à 11%, on sera dans ces eaux-là, plus peut être compte tenu de la crise et de l'impact qu'elle va avoir sur l'opinion", a-t-il estimé.

A titre personnel, Jean-Marie Le Pen espère prendre "sa revanche". Lors du dernier scrutin européen de 2004, il avait été déclaré inéligible dans la région Sud-Est, au motif qu'il n'était pas inscrit aux rôles de contributions directes à Nice. "Les sondages donnaient le PS, l'UMP et le Front national à égalité (...), j'ai été victime d'une manoeuvre politique: privé de sa tête de liste le FN avait fait un moins bon score qu'attendu", s'est-il souvenu, se posant, une fois de plus, en victime d'un complot.

http://www.lejdd.fr/cmc/politique/200906/le-pen-derape-a-marseille_185937.html

Immigration/extrême-droite: 14 blessés dans des affrontements à Athène




Monde - Europe 19:58 Quatorze personnes, neuf policiers et cinq immigrés, ont été blessés samedi lors d'affrontements entre d'une part un groupe d'extrême droite et des immigrés, et de l'autre entre de jeunes anarchistes et la police, a indiqué dimanche la direction de la police.
Les cinq immigrés dont deux ont été hospitalisés ont été blessés par des membres du groupe néo-nazi Chryssi Avghi (Aube d'Or) qui voulaient les déloger d'un squat dans le centre d'Athènes. Le groupe ultranationaliste avait organisé auparavant sur la place centrale d'Omonia un rassemblement "pour libérer Athènes et la Grèce des hordes des immigrés clandestins". Par ailleurs, environ 150 jeunes anarchistes ont attaqué à coups de cocktails molotov et de projectiles divers les forces de l'ordre dans le quartier proche de l'école Polytechnique. Neuf policiers ont été légèrement blessés pendant ces échauffourées. Trois jeunes ont été interpellés. L'un d'entre eux a été arrêté pour "attaque contre les forces de l'ordre à coups de pierres et de cocktails molotov", et devait être déféré dimanche devant le parquet, a indiqué la direction générale de la police. Les jeunes ont causé des dégâts matériels à trois magasins et des voitures, selon la même source. (DAD)

Prend l'argent et casse toi.





Danemark: l'immigré qui ne veut pas s'intégrer reçoit 13.500 euros pour partir


Danemark: la prime de retour aux immigrés a été multipliée par 10 et atteint désormais 13.443 euros.



Le premier ministre danois, Lars Lokke






Le gouvernement libéral-conservateur danois a décidé de multiplier par dix la prime au retour accordée aux immigrés, leur offrant désormais 100.000 couronnes (13.443 euros) pour les inciter à rentrer définitivement dans leur pays. Cette décision a été prise dans le cadre d'un accord conclu dimanche soir avec le Parti du peuple danois (PPD, extrême droite), allié parlementaire du gouvernement, lors des négociations sur la loi de finances 2010. La prime au retour octroyée jusqu'à présent s'élevait à 11.000 couronnes.

Une offre pour ceux qui "ne peuvent pas ou ne veulent pas s'intégrer à la société danoise"
Cette offre est destinée aux immigrés et réfugiés qui "ne peuvent pas ou ne veulent pas s'intégrer à la société danoise", a déclaré dimanche soir aux journalistes le président du groupe parlementaire du PPD, Kristian Tuelesen Dahl. L'accord prévoit aussi une aide de 20 millions de couronnes (2,7 millions d'euros) aux mairies, responsables de l'intégration des immigrés, pour "motiver" les étrangers à revenir chez eux et à renoncer à leur titre de séjour.

Environ 2500 personnes ont quitté le Danemark depuis 1997
Selon le ministère aux Réfugiés, immigrés et à l'intégration, 2.524 personnes notamment d'ex-Yougoslavie, d'Irak, d'Iran, du Liban, de Somalie et de Turquie ont quitté le Danemark depuis 1997, date de l'introduction dans ce pays d'un régime de rapatriement. Les immigrés représentent 7,3% de la population danoise de 5,5 millions d'individus, au 1er juillet 2009, dont 4,5% issus de pays non occidentaux.

Angers débordée par une vague de migrants

Ils arrivent surtout d'Afrique de l'Est. 173, rien qu'au mois d'octobre. Attirés par la qualité de l'accueil de la ville. Une réputation qui fait redouter au maire socialiste «un nouveau Sangatte».

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Angers-debordee-par-une-vague-de-migrants-_3636-1155555_actu.Htm

La « douceur angevine », ils en ont entendu parler jusqu'au Darfour. En octobre, 173 réfugiés, principalement originaires d'Afrique de l'Est, sont arrivés à Angers (à titre de comparaison, 80 à Nantes). Cet afflux fait sauter le dispositif mis en place en 2002. En octobre, Espace Accueil a dû en laisser 140 sur le carreau. «On est submergés par un phénomène qui nous dépasse», constate Claude Andreau, de la Pastorale des migrants. Des célibataires et des familles qui viennent du Soudan, de Somalie, d'Érythrée mais aussi d'Arménie, de Roumanie, du Kosovo... En un an, les demandes d'asile ont bondi de 78 % (contre 30 %, en moyenne, en France). La raison d'un tel « succès » ? L'hospitalité ! Celle des collectivités locales, d'abord. La municipalité (de gauche) a dépensé, cette année, un demi-million d'euros : en repas, cartes de transport, secours d'urgence. Chaque jour, les squatters vont se doucher, petit-déjeuner et déjeuner dans les structures qu'elle a mises en place pour les sans-abri. Le conseil général (de droite) a affecté 1,8 million dans l'Espace accueil et l'aide aux enfants. Le préfet ne cesse d'intervenir auprès du ministère de l'Intérieur. Il vient d'obtenir 380 000 €, ce qui porte la participation de l'État a un million d'euros pour les demandeurs d'asile de l'Anjou, en 2009. Une quinzaine de militants ouvrent les squats, livrent la nourriture, inscrivent les enfants à l'école et paient de leur poche quand c'est nécessaire. Anarchistes, Verts ou sympathisants du Nouveau parti anticapitaliste, ils tirent à boulets rouges sur la mairie pour obtenir davantage de subsides. Au grand dam du maire. Furieux, le 7 novembre, de ne pas avoir été reçu par François Fillon, en visite à Angers, le socialiste Jean-Claude Antonini parlait même d'« un nouveau Sangatte ».

à qui profite l'immigration ?

Elle a profité aux patrons qui ont ainsi la possibilité d'avoir de la main d'oeuvre bon marché et qui ont pu maintenir les salaires au raz des pâquerettes.
On nous explique souvent que nous avons besoin de l'immigration, mais c'est qui nous ?
Certainement pas les ouvriers qui sont à la recherche d'un emploi avec un salaire décent !
Qu'on paie correctement les ouvriers du bâtiment, ceux qui travaillent comme cuistots......bref tous ces emplois difficiles parfois dangereux et payer à coups de lance pierres, et vous verrez qu'il n'y aura pas de pénurie !

"L'immigration produit un enrichissement culturel"

J'ai aujourd'hui 50 ans et j'attends toujours qu'on daigne m'expliquer les détails de cet enrichissement!!!!!

Confondre les apports culturels antèrieurs dus a des échange civilisationels et, l'hyphotétique apport d'une culture actuel des ressortissants immigrés venus en france, me parais plus que douteux!

TATYANA a écrit:

Elle a profité aux patrons qui ont ainsi la possibilité d'avoir de la main d'oeuvre bon marché et qui ont pu maintenir les salaires au raz des pâquerettes.

Bonjour Tatyana !

Oui, sans doute... ou plutôt "aussi".
Tu n'as pas le sentiment que l'immigration a profité pour commencer à des pays ou territoires qui en furent ainsi bâptisés, et dont quelques opportunistes cruels, immatures et sans froid aux yeux ont exigé les rênes trop tôt et souvent dans les plus mauvaises conditions ?

(Oui, bon, moi, pour ce que j'en dis... )

Une tante d'Obama menacée d'expulsion

http://www.conseils-avocats.com/actualites/expulsion-une-tante-obama-menacee-759.html

Un dilemme se pose à l'homme le plus puissant de la planète entre sa famille et la loi.

En effet, l'administration se trouve face à une nouvelle source de critique à cause de la situation irrégulière d'une tante du président aux Etats-Unis.

La demi-soeur de son père est arrivée aux Etats-Unis en 2000 et avait demandé l'asile en 2002. Cette demande refusée, elle avait ordre de retourner au Kenya, son pays d'origine. Décidée à rester sur le territoire de la première puissance mondiale, elle vivait illégalement à Boston.

Aujourd'hui menacée d'expulsion, elle compte à nouveau se défendre en se basant sur les violences qui font rage au Kenya et grâce au témoignage de deux médecins qui confirmeront que son état de santé ne lui permet pas de rejoindre son pays.

A l'heure où les opposants de Barack Obama l'accablent sur le bilan de sa première année au pouvoir, et notamment sur sa politique d'immigration, le président des Etats-Unis reste en retrait de cette affaire qui concerne un membre de sa famille, que ses collaborateurs avaient déjà tenté d'écarter durant sa campagne présidentielle.

Le déroulement de cette affaire fait d'ores et déjà apparaître que la Maison Blanche n'y est intervenu en aucune façon mais ce lien de parenté entre M. Le Président et cette immigrée illégale risque de perturber les juges chargés du dossier.

Tante et neveu se reposent en tout cas sur l'efficacité de la justice américaine pour l'issue de ce dossier.

Près de la moitié des jeunes Italiens intolérants ou carrément xénophobes












Monde - Europe 23:16
Près de la moitié des jeunes Italiens sont intolérants à l'égard des étrangers ou carrément xénophobes, selon une étude rendue publique jeudi à la Chambre des députés à l'initiative de son président qui a appelé la classe politique à élaborer "un modèle italien d'intégration".
L'enquête d'opinion, effectuée par l'institut SWG auprès d'un échantillon représentatif de 2.000 jeunes de 18 à 29 ans, montre que 45,8% d'entre eux expriment une forme d'hostilité envers les étrangers ou directement de la xénophobie, alors que seulement 39,6% se disent "ouverts" aux étrangers.
Au sein des jeunes qualifiés de "fermés", SWG distingue trois groupes.
Un premier, représentant 15,3% du total, exprime surtout une "phobie envers les Roumains-tziganes-Albanais" et en majorité composé de femmes (56%).
Un deuxième groupe, le plus petit mais le plus extrême, réunit les comportements ouvertement racistes avec 10,7% des jeunes. Le troisième groupe (20%) rassemble les "xénophobes", qui excluent de recourir à la violence mais souhaitent que les étrangers vivent loin d'eux, de préférence hors d'Italie. Ce sont surtout des garçons d'une vingtaine d'années.
Réagissant au sondage SWG, le président de la Chambre des députés Gianfranco Fini a appelé ses collègues à imaginer un modèle d'intégration à l'italienne et s'est montré sceptique sur le système français d'"assimilation et donc de déracinement total, pour lequel tu es Français, Italien ou Allemand seulement si tu fais tienne la langue et l'identité du pays".
La diffusion de l'étude, menée en octobre, a coïncidé avec la publication jeudi des résultats du recensement de 2009 par l'Institut de statistiques national Istat qui y décrit la présence des immigrés comme "déterminante" pour la croissance démographique de l'Italie. Les étrangers représentaient 7,1% des 60,387 millions d'habitants de la péninsule au 1er janvier dernier.
Selon M. Fini, de récentes tensions entre immigrés sud-américains et nord-africains à Milan (nord) montrent qu'"il ne suffit pas de leur donner un logement". "Il faut réduire les délais pour obtenir la nationalité et leur donner la possibilité de voter aux élections locales sans être italien", a estimé M. Fini.
Il a aussi appelé télévision et presse écrite à cesser de stigmatiser l'origine ethnique des délinquants dans leurs rubriques faits divers car cela "accroît l'ignorance et les préjugés".
Dans son sondage, SWG souligne sur la base d'une échelle d'appréciation qualitative, que les jeunes Italiens disent préférer dîner dans l'ordre avec une personne en difficulté économique, un Juif, un homosexuel et un étranger non Européen. Ils sont plus "froids" quand il s'agit d'un repas avec un musulman. Et ils excluent de dîner avec un drogué ou un Rom (tzigane), de les avoir pour voisin et pire encore que leur fils ou fille vive avec l'un d'eux.
SWG dresse le profil du jeune ouvertement raciste: "besoin de puissance, attitude ouvertement homophobe, poussées antisémites, conviction que les femmes sont inférieures et surtout refus de tout ce qui est différent".
Selon une étude de SWG, plus d'un millier de groupes xénophobes existent sur le réseau social Facebook Italie, dont une centaine anti-musulmans, 350 anti-immigrés, 300 anti-tziganes et 400 contre les gens du sud de l'Italie.

Immigration sans précédent des Balkans vers la Belgique


Une vague d’immigration massive en provenance de la Macédoine, la Serbie et du Kosovo a été enregistrée depuis quelques semaines par l’Office des étrangers et le Commissariat général aux réfugiés. L’hypothèse d’un réseau organisé n’a pas été écartée.








Cette info en vidéo

• L'Office des étrangers s'inquiète de l'afflux massif ...
  

Belgique - Société 14:12
L'Office des étrangers et le Commissariat général aux réfugiés assistent depuis quelques semaines à un afflux massif de ressortissants de Macédoine, de Serbie et du Kosovo. Le caractère systématique de ces mouvements migratoires font penser à un réseau organisé, écrit Le Soir mercredi. L'information est également relayée par Het Nieuwsblad et De Standaard.

Les nouveaux arrivants disent avoir payé 130 euros pour faire le voyage en car jusqu'en Belgique. Ils sont en général déposés directement devant les bureaux de l'Office des étrangers.

Les places d’accueil sont saturées
"Lundi, il y avait dans la salle 243 nouveaux demandeurs d'asile dont 89 Macédoniens, 57 Serbes et 14 Kosovars", énumère Dominique Ernould, porte-parole de l'Office des étrangers, dans Le Soir. Cela pose des problèmes de saturation des places d'accueil, dénoncés notamment mardi par la Plate-forme Mineurs en exil.

Selon un communiqué de la Plate-forme Mineurs en exil, les services de première ligne sont déjà saturés par leur propre public cible et ne sont pas en mesure d'accueillir les demandeurs d'asile. "Ils conseillent donc aux familles d'aller trouver refuge à la gare du Nord", ajoute le communiqué.

Le CPAS de Bruxelles est particulièrement débordé
Cette crise de l'accueil a poussé le CPAS de Bruxelles à assigner le gouvernement fédéral en référés car il reçoit tous les demandeurs d'asile qui sont fictivement domiciliés par défaut à l'Office des étrangers ou au Commissariat général aux réfugiés et apatrides.

La Plate-forme Mineurs en exil et les organisations qui la soutiennent réclament une solution immédiate pour l'ensemble des bénéficiaires du droit à l'accueil et "envisagent de porter les décisions de refus d'accueil devant la justice".

Dans toutes les sociétés il y a un défouloir pour les moments de crise, l'immigration a toujours été le bouc émissaire dans ces moments, c'est un enjeu électoral aussi, cela rapporte des voix
un post nauséabond d'un personnage nauséabond

Ce n est pas les immigres qui travaillent qui posent problèmes, mais ceux qui ne font rien

Je crois que malheureusement tous les deux, etes en dehors de la réalité.
Tout d'abord , il faut distinguer de quelle immigration parlons nous, la clandestine ou celle qui est autorisé.
Sachez mr dame que les clandestins travaillent pour la plupart
ceux qui ne font rien , qui glandouillent comme dit une certaine ministre, sont les jeunes français issus de l'immigration.
Sachez également mr dame, que les travailleurs immigrés sont syndiqués pour la plupart, ils revendiquent et obtiennent les memes droits que les gaulois, donc le raisonnement établis qu'ils rabaissent les salaires des ouvriers n'est plus d'actualité.

4 -

Citation :

Sachez mr dame que les clandestins travaillent pour la plupart

J'avoue que ça me laisse perplexe qu'un pauvre hère sans qualification puisse venir du Pakistan ou du Sichuan septentrionnal et décrocher un travail salarié alors qu'un brave Séquano-Dionysien bénéficiaire de l'Etat Providence dans un département de Gaule dont le préfet s'appelle Nacer Meddah, lui, se retrouve sans emploi !

Il y a kekchose de vrillé en ce royaume de la république de France.

Mais d'un autre côté j'entrevois un début d'explication. Notre droit fait que nous sommes le seul pays au monde et dans l'Univers limitrophe où le travail est sanctionné par le Code pénal si tu en fais de trop. Il s'ensuit que si tu ne veux pas d'ennuis en bossant, tu dois le faire en toute clandestinité. CQFD.

l'explication? : l'un a faim , l'autre pas