Douce France - Nouvelles

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JEUNESSE : Le service civique volontaire arrive

Pour relancer l'actuel service civil volontaire (CSV), jugé trop complexe, trop élitiste et trop méconnu, les députés examinent jeudi la proposition de loi créant le service civique volontaire.

Le dispositif proposé par le haut-commissaire aux Solidarités actives et à la Jeunesse, Martin Hirsch, qui fait consensus autant à droite qu'à gauche, devrait être voté dès le mois de mars. Les volontaires pourraient donc se retrouver sur le terrain cet été.

La mesure vise essentiellement les jeunes gens de 16 à 25 ans qui veulent se lancer dans le volontariat, par exemple pour aider des associations, des ONG, des organismes à but non lucratif, des fondations, à l'exception des fondations d'entreprises, des collectivités locales et de l'État.

http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2010-02-04/jeunesse-le-service-civique-volontaire-arrive/920/0/420578&xtor=EPR-6-%5BNewsletter-Quotidienne%5D-20100204

C'est une bonne mesure.

Inciter les jeunes à s'engager pour les autres, donner un peu d'eux-mêmes, cela ne peut être que bénéfique et pour eux comme pour la société.

Tout ce qui permet de recréer du lien social sera le bienvenu.

Lawrence a écrit:

Il est un peu en retard, le scoop, vu le succès le spectacle a été prolongé...

Elle avoue avoir tué ses deux enfants et les avoir placés dans le congélateur

http://www.lindependant.com/articles/2010-02-04/elle-avoue-avoir-tue-ses-deux-enfants-et-les-avoir-places-dans-le-congelateur-123630.php

Une mère de famille originaire d'un village de l'ouest audois a avoué mercredi un double infanticide commis en 2006 et en 2007. Elle était placée en garde à vue et entendue depuis mardi où elle a avoué les fait. C'est elle-même qui avait d'abord écrit au procureur de la république de Narbonne pour expliquer qu'elle avait tué son propre enfant quelques années plus tôt. Et pendant sa garde à vue, elle a avoué avoir tué un deuxième enfant quelques temps après sa naissance.

emma a écrit:

Elle avoue avoir tué ses deux enfants et les avoir placés dans le congélateur

Poussée sur la voie de la confession par son analyste

http://www.lindependant.com/articles/2010-02-05/poussee-sur-la-voie-de-la-confession-par-son-analyste-124111.php

"L'un des deux nourrissons a été placé, quelques heures, dans un congélateur avant d'être incinéré. L'autre y a été laissé plusieurs jours avant de subir le même sort". Quant aux déclarations de sa cliente, Me Christian de Marion-Gaja, l'avocat carcassonnais, se veut prudent : "Au début de l'affaire, j'ai d'abord été perplexe. Aujourd'hui, elle s'accuse au maximum et ses propos me semblent crédibles à 70 voire 80 %". Il confirme que son psychothérapeute l'a aidée à libérer sa parole : "Son analyse l'a engagée sur la voix de la confession. Elle éprouvait le besoin de parler". Concernant l'entourage, il assure que personne ne s'était rendu compte de rien : "Elle a tout caché à ses proches. Ni son mari, ni ses enfants, ni sa mère, aucun des habitants du village ne s'est aperçu qu'elle était enceinte".

Une jeune ingénieur agricole

http://www.lindependant.com/articles/2010-02-05/une-jeune-ingenieur-agricole-123920.php

C'est au domaine de "La Grangette", à La Court ète, un bourg de 47 habitants situé à 10 kilomètres de Fanjeaux, qu'une mère d'une quarantaine d'années dit avoir mis au monde deux enfants, qu'elle a tués peu après leur naissance, en 2006 et 2007. Le jeune femme, qui possédait une formation d'ingénieur agricole - elle fut un temps responsable de la cellule environnement à la Direction départementale de l'agriculture (DDA) du Tarn-et-Garonne -, prêtait main forte à sa mère, la chef d'exploitation, avec laquelle elle s'était d'ailleurs associée en Gaec (Groupement agricole d'exploitation en commun). Mais si elle avait choisi de travailler à la ferme, c'est à Fanjeaux qu'elle vivait. La ferme s'est vendue il y a un an et demi On produisait à "La Grangette" des canard gras, 1200 chaque année, et des volailles fermières, que l'on écoulait en vente directe, à la ferme ou sur les marchés du coin. Mais il y a un an et demi, après le départ à la retraite de la mère, "La Grangette" était vendue. Des Anglais achetaient la partie logement, un corps de ferme particulièrement bien restauré. Tandis qu'un couple de jeune gens faisait l'acquisition des bâtiments à usage agricole. Reste, à quelques encablures de la ferme, un petit bois, propriété d'Yves Groppi, le maire de la Courtète. C'est là que la jeune femme dit avoir accouché par deux fois, à l'arrière d'une voiture. Loin des regards. De toute façon, les premiers voisins sont à plusieurs centaines de mètres.

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La vice-présidente du Front national, Marine Le Pen, se prononce pour une "police de protection des lycées" à la suite de plusieurs agressions dans des établissements d'Île-de-France.

"Les professeurs, qui vivent un cauchemar dans leur classe, devraient venir chercher la responsabilité de leurs collègues de gauche et des syndicats de gauche qui n'ont eu de cesse d'affaiblir l'autorité et la discipline à l'école", a-t-elle dit dans le cadre de l'émission "La Tribune-BFM TV-Dailymotion".

Aussi suggère t-elle de "créer une police de protection des lycées, qui pourrait être d'ailleurs financée en partie par le conseil régional".

http://fr.news.yahoo.com/4/20100207/tts-france-violence-lycees-ca02f96.html

"Police de protection des lycées"...

Si ça ce n'est pas de la grosse ficelle électoraliste...

Nice : la cathédrale Saint-Nicolas saisie ?
(TF1 - par Z.M avec agence le 08 février 2010 à 15:24)





Les créanciers français des emprunts russes veulent faire saisir ce lieu de culte, dont la justice française a récemment attribué la propriété à la Russie.

À l'assaut de la cathédrale Saint-Nicolas de Nice ! À la fin du XIXe siècle, plusieurs centaines de milliers de Français avaient financé le développement de la Russie en souscrivant des emprunts émis par l'Etat russe, qui étaient censés rapporter des intérêts aux porteurs. Mais la révolution bolchévique de 1917 est passée par là et le pouvoir russe a toujours refusé d'endosser la dette. Les créanciers ont alors vu leurs espoirs de fortune s'évaporer.

Pourtant tout n'est peut-être pas perdu pour leurs héritiers. En effet, l'Association fédérative internationale des porteurs d'emprunts russes (AFIPER) a peut-être trouvé, grâce à une décision de justice, un nouveau moyen de pression sur Moscou. Le 20 janvier, la justice française a donné à la Russie la propriété intégrale du bâtiment, du terrain et des biens de la cathédrale Saint-Nicolas suite à une longue bataille judiciaire entre l'Etat russe et l'AFIPER. Si la saisie réussit, la cathédrale pourrait pourtant changer rapidement de propriétaire.

Pression sur Moscou

Prendre possession du plus grand édifice orthodoxe russe hors de Russie permettrait de dédommager en partie les 316.000 Français ayant perdu plus de 100 milliards d'euros en souscrivant à ces emprunts émis par l'Etat russe avant 1917. Un joli pactole qu'ils ne sont pas près d'oublier. En 1996, un accord entre l'Etat français et l'Etat russe avait effacé la dette du second vis-à-vis du premier, mais pas celle des particuliers, l'AFIPER ayant refusé les arrangements financiers proposés à l'époque.

C'est la deuxième fois que l'association fait pression sur Moscou. En octobre 2002, celle-ci avait déjà tenté de faire saisir un voilier-école russe, le Sedov, qui faisait escale à Marseille, mais le navire était reparti en catastrophe avant l'arrivée des huissiers. La cathédrale, elle, ne mettra pas les voiles.

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Un prêt santé à taux zéro en faveur des plus démunis

La banque du Crédit municipal de Paris crée un micro-prêt à taux zéro visant à couvrir les dépenses de santé importantes moins prises en charge par la Sécurité sociale à l’horizon 2010.

Selon deux études de l’Ifop et de la direction des affaires sanitaires 2009, 27 % des Français gagnant moins de 1.000 euros par mois ont eu recours à un crédit pour financer des dépenses de santé. Et près de 30 % de la population a déjà reporté ce type de prestations, en matière d’orthodontie (appareil dentaire) et d’optique, faute de moyens financiers nécessaires et suffisants. Fort de ce constat et soucieuse d’éviter la multiplication des crédits revolving, la CMP banque met en place une formule de micro-prêt santé à taux zéro à destination des 430.000 adhérents de la mutuelle de santé Intériale (destinée à la protection des agents des services publics) visant à faire face à des dépenses de santé imprévues ou mal prises en compte.

http://www.francesoir.fr/social/2010/02/09/pret-sante-taux-zero.html

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Avant Noël, Besson dut faire un voyage éclair en Tunisie, calmer grand-maman et s’engager à se convertir avant les noces en juin prochain. L’identité nationale, version Besson, tourne à la farce !

S'agit-il d'une information vérifiée et fondée ou sommes-nous comme souvent sur la Toile en présence d'une légende urbaine, d'une rumeur ou encore d'une manœuvre ourdie pour faire du tort.

(UMP : je croyais que Luc Besson était déjà marié...)

Sylvette a écrit:

EddieCochran a écrit:

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L'avocat de la famille du jeune juif

Aussi longtemps que ce style de vocabulaire pour relater un fait sera usité, la production de personnages détraqués et malsains comme Youssouf Vrai fana et pas un "Fo" dit "Français d'origine ivoirienne" s'induira nécessairement parmi les smicards du verbe.

Aurait-on écrit "l'avocat de la famille du jeune athée" ou "l'avocat de la famille du jeune catholique"*. L'avocat de la partie civile, l'avocat de la famille de la victime, l'avocat de l'accusation voici des termes plus neutres et contextuellement exacts.

Le point central de cette affaire est la bêtise la plus crasse générant comme générée par une impardonnable haine de l'autre. Ce n'est pas une raison de cantonner en arrière-plan la victime Ilan Halimi dans la catégorie "Juif d'origine judéo-française" pour sublimer le caractère scandaleux du crime de façon incantatoire par des mots qui en appellent "aux maux". Une telle catégorisation fournit la base subjective élémentaire du processus d'ostracisme qui conduit inévitablement à la "barbarie" des Fofana de rencontre et autres Adolf.

Il conviendrait de faire admettre - faire comprendre semble une tâche improbable - sans concession aux faiblards du bulbe et autres asociaux que toutes les classes humaines sont égales en qualité et en droit, et que s'il n'y en a pas une qui soit supérieure à une autre, celle (ou un des ses membres) qui alléguerait du contraire et agirait en conséquence se révèlerait fatalement en infériorité par rapport à toutes les autres.

Le condamné YF est fondamentalement un damné khôn et Me S. l'avocat de la famille d'une victime d'un produit dévoyé de l'humanité.

Rendons hommage à un citoyen français et fustigeons les barbares.

(* : il est vrai que certains ne se seraient pas sentis gênés d'écrire en d'autres circonstances "l'avocat de la famille du jeune musulman" - tant est que musulman est à arabe ce que sioniste est à juif : un déguisement de viles intentions)

Lirions-nous ca si des lois specifiquement contre les crimes haineux racistes n'existaient pas?

Le meurtre d'un blanc sur un noir (ou vice-versa), d'un musulman sur un juif (ou vice-versa) etc.. est il pire que celui d'un blanc sur un blanc ou d'un noir sur un noir?

Sans oublier que les lois en question sont presqu'uniquement utilisees pour des crimes de victimes appartenant a une minorite.

Une chose est certaine aux Etats Unis, si la pluspart des meurtres d'afro-americains est le fait d'autres afro-americains, la quasi totalite des meurtres d'afro-americains mediatises sont ceux dont la responsabilite va aux blancs.

C juste de specifier qu'il ne s'agissait pas d'un citoyen normal...il est atteind de Juiferie comme il est necessaire de specifier la race d'un chien quand on veut l'identifier....
Pourriture de medias.

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Sarkozy fait campagne pour la défense de la ruralité

Dans une région qu'il espère voir basculer à droite lors des prochaines régionales, le président de la République a présenté mardi à Morée, près de Vendôme (Loir-et-Cher), un plan d'action pour les territoires ruraux digne d'un programme électoral, prévoyant le développement d'Internet à très haut débit, la création de maisons de santé et la protection des trains Corail.

Une nouvelle fois, il a dénoncé la "folie fiscale" des collectivités locales, et notamment des régions, dont 20 sur 22 sont détenues par la gauche. "Si l'autonomie c'est le droit d'augmenter les impôts et de créer des emplois de fonctionnaires qu'on n'a pas les moyens de financer, je ne suis pas sûr qu'on y gagne", a-t-il noté en clôture des Assises des territoires ruraux, marquée par des manifestations d'agriculteurs venus des six départements de la région.

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/politique/20100209.FAP7293/sarkozy_fait_campagne_pour_la_defense_de_la_ruralite.html

Les mains dans les poches et prenant le temps de déguster un petit noir au comptoir, il a beaucoup changé notre président... il fut un temps où il aurait parcouru la campagne au pas de charge...

Sarkozy se "chiraquise".

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« Français depuis onze ans et puis plus rien du tout »

Amadou, 28 ans, né à Belfort et citoyen français depuis 1998, n’a pas pu faire renouveler sa carte d’identité qui a expiré il y a quelques jours. Il n’a plus la nationalité française, ni aucune autre d’ailleurs. Une histoire kafkaïenne.

« On n’est rien du tout, résume Amadou Wele. On est passé de citoyens français à rien du tout. » En un éclair, ou presque, l’absurde s’est invité dans l’existence de ce Belfortain de 28 ans.

« C’est dur, dit Amadou. On peut avoir la nationalité française pendant plus de dix ans et ne pas être à l’abri. On peut vous dire, comme ça : il y a eu une erreur. Vous n’êtes plus français. Débrouillez-vous. »

Le jeune homme parle du sentiment d’être rejeté et de se trouver confronté à un mur. Sans solutions en dépit de plusieurs démarches. « On nous dit de demander une carte de séjour mais pour demander une carte de séjour il faut une nationalité et la seule qu’on n’a jamais eue, c’est la nationalité française. » La seule qu’il veuille avoir d’ailleurs.

http://www.lalsace.fr/fr/article/2680670,207/Belfort-Francais-depuis-onze-ans-et-puis-plus-rien-du-tout.html

Feu vert du Parlement au nouvel arsenal contre les violences en bande












Monde - France 18:58
Le Parlement a donné jeudi son feu vert définitif à un nouvel arsenal contre la violences en bandes, à l'école et dans les stade, avec un ultime vote du Sénat, en deuxième lecture, d'une proposition de loi UMP.
Le Sénat a voté sans la changer la version du texte transmise par l'Assemblée nationale, rendant l'adoption définitive. La majorité a voté pour et l'opposition contre.
Ce vote s'inscrit dans une séquence sécuritaire des travaux parlementaires organisée juste avant les élections régionales des 14 et 21 mars.
Outre ce texte, l'Assemblée discute cette semaine du projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, dite Loppsi 2, et le Parlement devrait adopter un nouveau texte sur la récidive criminelle le 26 février.
"La violence des bandes est une réalité qui concerne tous les territoires de la République", a déclaré le secrétaire d'Etat à la Justice, Jean-Marie Bockel, qui défendait la dernière lecture du texte au Sénat. "En 2009, les affrontements entre bandes rivales sont à l'origine du décès de 6 personnes".
La gauche sénatoriale a fustigé la "énième loi sécuritaire" estimant que "les mesures existent déjà dans le droit pénal" contre la violence des bandes. "Le scénario est toujours le même, il se produit des faits divers crapuleux qui suscitent l'indignation et le président de la République apparaît sur le perron de l'Elysée et annonce une nouvelle loi", s'est indigné Jean-Pierre Sueur (PS).
Jacques Mezard (RDSE, à majorité PRG) a dénoncé des "dérapages par rapport au principe de responsabilité individuelle pénale", jugeant que cela "complexifie encore plus un droit pénal devenu illisible". Eliane Assassi (PCF) s'est inquiétée pour le droit de manifestation et d'occupation.
"Ce texte est une avancée, il contribue à ce que chaque délinquant sache que, s'il faute, il sera sanctionné", a répondu Christian Cambon (UMP). "Ceux qui font partie des bandes sont des bandits, nous ne devons pas faire preuve d'angélisme", s'est écrié Alain Houpert (UMP).
La proposition de loi "renforçant la lutte contre les violences de groupes et la protection des personnes chargées d'une mission de service public" a été rédigée par le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, avant son entrée au gouvernement en juin 2009. Ce fidèle de Nicolas Sarkozy a toujours défendu au sein de la majorité une approche sécuritaire musclée.
Son texte crée un délit de participation à une bande violente, passible d'un an de prison et 15.000 euros d'amende. Les sénateurs ont diminué les quantum de peine et encadré certaines dispositions comme la transmission de vidéo de surveillance d'immeubles par les bailleurs aux forces de l'ordre. Ils ont également introduit des mesures contre les violences dans les stades. Les députés avaient pour l'essentiel suivi les sénateurs en deuxième lecture.
Une aggravation de peine est prévue lorsque l'auteur de violences dissimule volontairement son visage, par exemple avec une cagoule, dont le port lors de manifestations a par ailleurs été interdit par décret.
Le volet contre les violences à l'école met en oeuvre des annonces faites par Nicolas Sarkozy, il y a un an, à Gagny (Seine-Saint-Denis) après l'intrusion de jeunes gens, cagoulés et armés, dans un lycée.
Il crée le délit d'intrusion ou de "maintien", sans autorisation, dans les établissements scolaires, passible de prison, et incrimine l'introduction d'armes dans les établissements.

J'aime bien quand on fait à tort et à travers des lois et règlements,
alors qu'il y a des lois qui prévoient déjà les même cas .

Ca fait une inflation législative inutile ,
et ça augmente le nombre de vices de formes donc d'acquittement de coupables .

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En tournée en province le Président a rencontré M. De Villepin dans son fief campagnard. La rencontre fut cordiale et décontractée, M. De Villepin était vêtu d'un élégant ensemble d'après chasse dessiné par Castelbarjac qui sied parfaitement à un hobereau visitant ses terres. Ce fut l'occasion de retrouvailles chaleureuses autour d'un petit crème arrosé d'une eau de prune à la gnôle et d'un Rapido. M. De Villepin a présenté à la presse sa nouvelle gouvernante Mme Belpaire de Loches qui a fait grosse impression.


Le Président a affirmé aux bouzeux ruraux du coin sa volonté de regrouper toutes les bonnes volontés autour d'un emprunt national financé par des vinotiers, les cigarettiers, la Sté Ricard, la Française des jeux (FDJ) et les fabricants de préservatifs afin de stopper l'hémorragie de fermeture des cafés dans les zones rurales. Il a précisé qu'il serait enjoint aux fonctionnaires et militaires mutés en zone rurale une obligation de fréquentation hebdomadaire des estaminets de leur zone de compétence et des villages avoisinants.

BANLIEUE GRENOBLOISE Un handicapé séquestré et torturé par trois jeunes filles

http://www.ledauphine.com/banlieue-grenobloise-nuit-d-honneur-pour-un-quinquagenaire-deficient-mental-un-handicape-sequestre-et-torture-par-trois-jeunes-filles-@/index.jspz?article=261663

Brûlures de cigarettes, coups de ceinture, de fourchette, de marteau, de couteau... La liste des sévices subis dans la nuit du 9 au 10 février par un quinquagénaire à son domicile de La Tronche fait froid dans le dos. Le 8 février un homme de 55 ans, déficient mental, se présente au commissariat pour déposer plainte pour une extorsion de fonds. Quelques jours plus tôt, une jeune fille de 15 ans qu'il connaît déjà se présente à son domicile. Il lui ouvre la porte et un homme s'engouffre derrière elle. Le quinquagénaire est molesté et la jeune fille emmène la victime jusqu'à son lit où le complice prendra des photos compromettantes. Les deux jeunes gens menacent alors le quinquagénaire de diffuser les photos s'il ne leur donne pas 2 000 euros. Le quinquagénaire ne pouvant retirer que la moitié de la somme, ils lui disent qu'ils reviendront chercher le reste. Craignant pour la suite, la victime se décidera quand même à aller voir la police. Le lendemain de la plainte, mardi soir, trois jeunes femmes, dont celle qui s'était déjà rendue chez lui, viennent frapper à sa porte. L'homme ouvre, et le calvaire commence. Les trois jeunes filles, âgées de 14, 15 et 17 ans, exigent qu'il leur remette sa carte bleue et le code confidentiel. Les adolescentes, dont l'une est enceinte, se fâchent et commencent à le frapper. Rien ne sera épargné au malheureux. Il sera frappé à coups de marteau à la tête, blessé avec un couteau et une fourchette, frappé avec une ceinture, mais aussi brûlé avec des cigarettes et même ébouillanté sur certaines parties du corps. Il finit par craquer et révèle à ses tortionnaires l'emplacement de ses cartes bancaires, ainsi qu'un faux code confidentiel. Pendant que deux des jeunes filles partent tester la carte, une troisième reste sur place. La victime tente de s'échapper, mais sa "géolière" l'en empêche en le tapant. Ses complices reviennent et le ligotent. Elles se restaurent, le nourrissent et le menacent d'un nouveau chantage pour parvenir à leurs fins. Au petit matin, elles enferment le quinquagénaire, ligoté chez lui et partent faire des achats. Mais la victime réussira à se libérer et à sortir de chez lui par une fenêtre pour aller se réfugier chez un voisin. Les trois jeunes filles seront finalement appréhendées dans la matinée au centre-ville de Grenoble. Une interpellation qui se passe mal, puisqu'elles se rebellent. Un des fonctionnaires de police a d'ailleurs été sérieusement blessé au genou. Lors de leur garde à vue, les trois comparses reconnaîtront les faits. Elles expliqueront en substance qu'elles savaient que le quinquagénaire venait de toucher un héritage et que c'était un pervers. Au total, lors de leur matinée d'achat, elles auraient dépensé plus de 2 000 euros, auxquels il faut rajouter les 1 000 euros précédemment soutirés.

«Elles sont inconscientes de la gravité des faits qui leurs sont reprochés. Pour elles, c'était un jeu. Elles ont expliqué qu'elles avaient besoin de dépenser de l'argent et de faire la fête», explique la police.

http://www.liberation.fr/societe/0101619207-en-isere-trois-adolescentes-soupconnees-d-avoir-torture-un-homme

«Elles m’ont donné des coups de couteau, de marteau, de fourchette»

Vincent Ricciardella est toujours hospitalisé après avoir été agressé, à son domicile, par trois adolescentes qui voulaient lui extorquer de l’argent.



Vincent Ricciardella, 55 ans, a été torturé et séquestré par trois adolescentes. Placées en détention, les trois filles âgées de 14 à 17 ans ont été mises en examen.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/elles-m-ont-donne-des-coups-de-couteau-de-marteau-de-fourchette-14-02-2010-815236.php

Sur son lit d’hôpital, Vincent Ricciardella, 55 ans, torturé pendant des heures par trois adolescentes de 14, 15 et 17 ans qui voulaient lui extorquer son code de carte bancaire, ne comprend toujours pas ce déchaînement de violence : «Je les connaissais, je ne pensais pas qu’elles allaient me faire ça !» Même la patronne de la police grenobloise, la commissaire divisionnaire Brigitte Jullien, est effarée devant le comportement de ces adolescentes : «Cela dépasse l’entendement. On ne comprend pas ce qui a pu se passer dans leurs têtes.»

Vincent raconte son calvaire : «Elles voulaient ma carte bleue avec le code pour retirer de l’argent. J’ai refusé. Elles ont fermé les volets, ont commencé par tout casser dans la maison. Ensuite, elles m’ont déshabillé, m’ont mis un manche à balais dans le derrière, m’ont donné des coups de marteau, des coups de couteau, de fourchette, m’ont brûlé avec des cigarettes, m’ont versé de l’eau chaude sur les jambes. Toute la nuit, elles m’ont torturé. Elles m’ont dit : T’es vieux, on va bouffer tous tes sous . Si je ne leur avais pas donné le code, je serais mort aujourd’hui, j’en suis sûr. Comme je n’en pouvais plus, je leur ai livré les chiffres. Elles m’ont ligoté sur une chaise. Mercredi matin j’ai réussi à me libérer, je suis sorti par la fenêtre pour me réfugier chez le voisin. Je ne sais pas pourquoi elles ont fait ça. J’ai toujours été gentil avec elles. Je leur ouvrais toujours la porte, je leur donnais des cigarettes, un peu d’argent.»

Une des adolescentes était déjà connue de la police pour des bagarres. Les trois jeunes filles, issues de familles modestes, étaient déscolarisées. L’une vivait en foyer.

mineures, elles ne risquent pas grand chose, un placement en assistance éducative où on leur offrira des vacances à la neige, des séjours au Canada ..............pour les punir

emma a écrit:

BANLIEUE GRENOBLOISE Un handicapé séquestré et torturé par trois jeunes filles

On peut plus faire confiance à personne !

C'était l'avant veille des élections qu'il fallait faire ça .
On c'était bien mis d'accord!

CHÈRE MARIE,

PLAÇONS D'ABORD LES PARENTS EN GARDE À VUE ET PAS LES GOSSES, ENSUITE LA PEINE MAXIMALE POUR MAUVAISE ÉDUCATION DONNÉE À SA PROGÉNITURE ET SON PROCHAIN....

marieden a écrit:

mineures, elles ne risquent pas grand chose, un placement en assistance éducative où on leur offrira des vacances à la neige, des séjours au Canada ..............pour les punir