et ce mariage ?

Alexandre, un oubli de pilule



La maman du petit prince de Monaco dit tout




Vous êtes née au Togo. Quand êtes-vous venue en France?
«Mon père, aujourd'hui à la retraite, avait une usine de conditionnement de fruits de mer et exportait ces produits vers les Halles à Paris. J'avais 18 ans quand je suis arrivée en France et c'était pour passer mon bac à Sceaux, près de Paris. J'ai étudié un an les Sciences économiques à l'université, puis deux ans l'architecture à Paris, tout en travaillant comme mannequin freelance».
Vous vous êtes mariée une première fois...
«J'avais 22 ans quand j'ai épousé un chercheur français de 15 ans mon aîné. Nous avons eu deux fils, aujourd'hui âgés de 11 ans et demi et 9 ans. Ayant acquis la nationalité française, je suis entrée chez Air France en 1996 pour être indépendante financièrement. C'est lors d'un vol Paris-Nice que j'ai rencontré le prince Albert il y a huit ans, le 13 juillet 1997. J'ai divorcé en 1998. Je voyais plus Albert à Monaco qu'à Paris. Nous ne nous sommes jamais cachés, mais après la rencontre avec le père d'Albert, nous nous sommes faits plus discrets».
Et Alexandre est né à ce moment?
«Je me suis retrouvée enceinte en décembre 2002. J'avais oublié ma pilule lors d'un trajet vers New York... La médiatisation? Au début je me suis tue parce que je le voulais, parce que ça ne se fait pas d'étaler sa vie. On ne m'a jamais proposé d'acheter mon silence. Puis j'ai eu peur qu'Albert renonce à reconnaître son fils. C'est pour ça que j'ai accepté de répondre à des journalistes par l'intermédiaire d'un proche. J'ai eu une éducation catholique très droite, et pour moi, c'était une honte de ne pas pouvoir dire à ma famille qui était le père de l'enfant. J'avais toujours dit à Albert qu'Alexandre ne vivrait pas caché».
Comment avez-vous obtenu qu'Albert reconnaisse être le père de l'enfant devant notaire?
«Albert a reconnu son enfant parce qu'on en a parlé entre nous, qu'il a vu qu'il pouvait le faire dans la discrétion. Cela n'a jamais été une négociation entre avocats. Si ça avait été le cas, il y aurait eu des papiers, des preuves, et je ne serais pas en train de me battre aujourd'hui».
Que pensez-vous des gens qui vous accusent d'être une profiteuse?
«Je suis issue de la bourgeoisie togolaise, je n'ai manqué de rien dans mon enfance. Ma rencontre avec Albert s'est faite de façon très naturelle, rien n'était calculé. Dans ces accusations, il y a beaucoup de jalousie et peut-être un peu de racisme, même si je préfère ne pas trop y penser».

Rachida après une rencontre furtive avec le Prince.

Révélations !

Le prince aurait lâché la sauce au dessus de l'Irlande avec la jeune hôtesse black engrossée sur le vol Paris New York juste avant la distribution du déjeuner !

Citation :

Il y en aura toujours pour traiter a la légère ce qui a de l'importance (réellement)

Ceci étant, j'ai déjà maintes observé qu'après plusieurs heures d'avion au dessus de l'océan, l'envie de lâcher la purée est souvent grande (une histoire de pression certainement).

Le Prince n'en est pas moins homme comme vous et moi alors pourquoi devrait-il se retenir ?