La Flandre et les autres

Rappel du premier message :

La scission de BHV votée en mai faute de solution de fond



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Belgique - Politique 11:05 La proposition de loi visant à scinder l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV) sera votée au mois de mai en séance plénière de la Chambre faute de solution de fond au problème communautaire qui divise francophones et néerlandophones, a indiqué mardi le député flamand Eric Van Rompuy sur La Première (RTBF).
Selon le frère du président du Conseil européen, il faut, concernant BHV, "une solution de fond parce que, début mai, la proposition de loi sur la scission sera mise au vote en séance plénière". Le texte de scission est gelé depuis 2007 par une série de procédures en conflits d'intérêts. La dernière en date devrait prendre fin d'ici quelques semaines. Théoriquement, le Parlement bruxellois pourrait déclencher une nouvelle procédure dont certains craignent les conséquences communautaires au sein de la Région-capitale. L'ancien premier ministre Jean-Luc Dehaene a été chargé par le roi de réfléchir à un compromis sur des réformes institutionnelles, et en particulier sur BHV. Il est censé aboutir dans les prochaines semaines. Parmi divers scénarios évoqués par les observateurs, on a parfois mentionné celui d'une solution transitoire qui permettrait de reporter le règlement du problème au fond lors de la prochaine législature. Eric Van Rompuy rejette ce scénario. "Seule une solution de fond peut mener à retirer cette proposition (de scission). Mais s'il n'y a pas de solution, les partis flamands vont voter, avec toutes les conséquences" que cela implique, a-t-il assuré. (OCH)

BHV: l'Open Vld revient si les francophones acceptent la solution de Dehaene


Le président de l’Open Vld, Alexander De Croo, l’a révélé hier soir à la VRT: il laisse la porte entrouverte à une solution négociée d’ici jeudi prochain, date de la prochaine séance plénière à la Chambre où la scission de l’arrondissement BHV sera mis à l’ordre du jour par les partis flamands. Mais pas n’importe quel accord: celui de Dehaene que les francophones avaient rejeté en bloc en début de semaine.







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• BHV: notre direct minute par minute
  

Belgique - Politique 8:33
Alexander De Croo était hier soir au micro de Salima Belabbas pour RTL-TVI. Il a révélé que son parti pourrait revenir sur sa décision de quitter le gouvernement et donc de faire tomber celui-ci, ouvrant la porte à une nouvelle crise politique. Il a également expliqué sa décision d’hier, décriée par l’ensemble des partis de la majorité fédérale, par les patrons, les syndicats, … enfin, tout le monde sauf les séparatistes flamands qui ont d’ailleurs défilé hier jeudi. > Lire l'article

« On est toujours les premiers à vouloir une solution mais il faut que cela soit fait d’une manière où l’on nous respecte. Clairement, dans le processus entamé il y a 5 mois, on voit que dans les négociations n’avancent pas. J’ai clairement vu dès le début qu’on n’allait pas pouvoir respecter le timing prévu et je n’ai pas vraiment vu une volonté pour aboutir à une solution avant 2011 ! Et je n’ai vraiment pas envie qu’on soit paralysés par le problème BHV », a déclaré le président des libéraux flamands.


Chantage aux francophones
L’Open Vld propose donc de se laisser une semaine de plus pour négocier une solution au problème, sinon ils quittent définitivement le gouvernement et la loi sera votée Flamands contre francophones à la Chambre. Mais à une condition: que le texte reste dans les limites du préaccord fixé par Jean-Luc Dehaene. Ce même préaccord jugé insuffisant par les francophones en début de semaine. Il demande pour cela aux francophones d’être

Sur Bel RTL ce matin, Elio Di Rupo et Jean-Michel Javaux ont commenté ce qui s’apparente à du chantage. « Si on dit: ce que les francophones (ou les Flamands) souhaitent, l’autre communauté l’accepte, on se voit à midi à 14h c’est terminé ! Mais le chantage ne conduit à rien. On doit le (M. De Croo) convaincre d’entrouvrir la porte. Je suis prêt à travailler 15h par jour pour arriver à un résultat. Mais la solidarité entre Bruxelles et la Wallonie est très importante, tout comme la stabilité du pays. »

Concernant la solution de Dehaene, Jean-Michel Javaux revient sur le peu de temps qu’il a laissé aux négociateurs. « Dehaene nous a réuni pour qu’on solutionne en 3 jours un problème là depuis 60 ans », a-t-il dit. Retour également sur la note Dehaene par Elio di Rupo : « Ce que Dehaene a mis sur la table a été jugé par les francophones insuffisant. Certains éléments importants dans cette note paraissaient des éléments qui allaient trop loin à l’encontre des francophones. On a juste dit qu’on devrait élargir le nombre de domaines à discuter. »

BHV: Belang, Lijst Dedecker et N-VA ont manifesté main dans la main


Le mouvement flamand pour la scission a manifesté à Vilvorde hier soir. Se sont joints aux manifestants des représentants du Vlaams Belang, de la N-VA et de la Liste Dedecker. Si pour les francophones, l'attente du Roi a apaisé la situation, pour les flamingants, il va trop loin dans son rôle.











Belgique - Politique 8:07
Les présidents de groupes flamands doivent exiger lundi, lors de la réunion de la Conférence des présidents de la Chambre, que celle-ci soit immédiatement convoquée pour voter la proposition de scission de BHV, a déclaré Guido Moons, l'organisateur de la "manifestation d'urgence" tenue jeudi à Vilvorde pour réclamer la scission de l'arrondissement et même de la Belgique. Il s'en est aussi pris à l'attitude du Roi qui, selon lui, a placé ses propres prérogatives au-dessus de celles de la Chambre. La manifestation, organisée par le "groupe de travail BHV", a rassemblé plus de 1.000 personnes.
On y a vu défiler, main dans la main, tous les partis les plus flamingants de Flandre. Des parlementaires du Vlaams Belang, déjà auteurs d’un tonitruant Vlaamse Leeuw en guise de victoire entonné l’après-midi même à la Chambre devant tous les journalistes européens, mais aussi leurs concurrents de la N-VA et de la Lijst Dedecker.

La parole aux confédéralistes (N-VA et Lijst Dedecker)
« Les partis flamands doivent désormais opter pour le modèle confédéral », a annoncé la N-VA. Son président Bart De Wever juge que le statu quo actuel mène au chaos total et appelle les politiciens flamands à prendre des décisions fermes. M. De Wever a également mis en doute qu'un vote à la Chambre puisse intervenir rapidement sur la scission de BHV.

Jean-Marie Dedecker était ce matin joint par téléphone sur Bel RTL. Il a expliqué que lui et son parti étaient là « pour la scission de BHV, pas du pays. Je suis confédéraliste, pas séparatiste. » Il « déplore la provocation du Vlaams Belang au parlement » mais est d’accord avec la sortie de l’Open Vld : « C’était raisonnable ». Par contre, il s’en prend également à Albert II : « Le Roi a sauvé sa peau, il n’a pas calmé le jeu. Il n’a pas été élu par le peuple et doit laisser le rôle démocratique aux élus du peuple. »

Ah! Bonjour Jack

Merci.

Un bon W-E Sylvette.

Ca me rappellera de bons souvenirs, je n'en ai pas vu depuis que j'ai quitte la France!

Bonjour Sylvette,

Il semblerait que j'ai eu aussi le bonne intuition de quitter la Belgique en mai 68 !!!

Sylvette a écrit:

Ca me rappellera de bons souvenirs, je n'en ai pas vu depuis que j'ai quitte la France!

OUFTI,



Eric Zemmour: "Si la Belgique tombe, l'Europe tombe"

Passage éclair à Bruxelles, cette semaine, pour le trublion du PAF français, Eric Zemmour. Chroniqueur, polémiste, éditorialiste, il a récemment publié "Mélancolie française", un livre qui s'attache au "rêve romain" de la France, et qui consacre... un chapitre entier (sur neuf) à la Belgique.
Beaucoup de monde, dans la librairie bruxelloise qui accueillait Eric Zemmour, à la veille de la démission du gouvernement Leterme. Un public qui s'intéressait de près aux propos tenus par l'éditorialiste du Figaro au sujet de la Belgique, des propos récemment résumés dans une chronique sur une radio française.
Humour, sens de la formule et éloquence. Les qualités évidentes de cet orateur né. Devant un parterre conquis, Zemmour explique tout d'abord le projet de son livre : "J'explique l'Histoire de la France à travers le rêve de ses élites depuis plus de mille ans. Un rêve européen, celui d'être à l'origine de la Paix Romaine. J'y propose une grille de lecture de l'Histoire de France". Précisant sa pensée, il poursuit : "J'observe aujourd'hui avec fascination la machine à remonter le temps. Lorsqu'est tombé le mur de Berlin, c'est l'Europe de 1945 qu'on a détricotée. Un peu plus tard, dans les années 90, la guerre en Yougoslavie puis la partition de la Tchécoslovaquie ont défait les frontières de 1918, celles du Traité de Versailles. Aujourd'hui, ce que je vois, ce sont ces régionalismes, ces nationalismes qui s'expriment en Belgique (la Flandre), au Royaume-Uni (l'Ecosse), en Espagne (la Catalogne) ou encore en Italie (la Lombardie). Ils profitent de la mondialisation, car quand l'Etat-Nation ne peut plus répondre aux attentes des citoyens, il est facile de surfer sur les transferts des plus riches vers les plus pauvres. Ce mouvement général risque d'avoir raison de l'Europe".
En lisant "Mélancolie française", on comprendra pourquoi Zemmour s'intéresse dès lors de si près à la Belgique. Le chapitre n'est pas exempt d'erreurs (que l'auteur confesse, d'ailleurs), mais la thèse ne manque pas d'intérêt à l'heure où BHV a eu raison de la Pax Belgica.
"Seule Bruxelles empêche les Flamands de revendiquer la scission de la Belgique. Pour autant, je ne fais pas partie des optimistes qui pensent que les querelles linguistiques sont nées avec la Belgique et y existeront de tout temps, faisant pour ainsi dire partie de son Histoire. Pour moi, la Belgique a créé la question flamande, c'est une de ses composantes de base, et cette question risque d'en avoir raison. Si la Belgique tombe, c'est toute l'Europe qui risque de s'écrouler".
Zemmour fait donc partie de ces Français qui observent notre pays à la fois comme un rat de laboratoire et comme une sorte de création du diable. Pour lui, la Belgique est la RDA de la France. "Ce que je veux dire par cette formule choc, c'est qu'en imposant la création de cet Etat artificiel à la France en 1830, la Grande-Bretagne veut lui signifier clairement qu'elle a perdu. Car la Belgique est l'épicentre du rêve français, toutes les batailles importantes qu'a connues la France - et pas seulement Waterloo - se sont déroulées sur son territoire".
Si la démonstration d'Eric Zemmour, forcément orientée et subjective, peut irriter, elle a le mérite de mettre le doigt où ça fait mal. En démontrant que l'émancipation de la Flandre et son désir de plus en plus grand de partition ne sont pas un épiphénomène lié à la seule survie de notre pays, mais une question vitale pour la survie de l'Europe.

106 -

Citation :

la Belgique est la RDA de la France

Il possède un certain sens de la formule le dédicaceur emPAFé, heureusement qu'il n'enseigne pas l'Histoire au Collège de France ses étudiants abreuvés du laid Zéric se prendraient trop facilement pour des écrivains de choc.

Cependant et désormais nonobstant jusqu'à dorénavant, il a raison le jumeau Laurel de l'émission On n'est pas couché de craindre que la partition de la Belgique ne flanque parterre la belle Union européenne.

Le Traité de Lisbonne a-t-il prévu pareille occurrence ?

La grosse rigolade serait que l'OTAN et l'U-E fassent appel aux Casques bleus de l'Union africaine pour assurer la sécurité du Shape et de Bruxelles la capitale de l'Union !!! Faut noter que question logistique les troupiers en question sont déjà là, mais en civil. Avec une bonne foire militaria on pourra les équiper sans mal.

EddieCochran a écrit:

106 -

Citation :

la Belgique est la RDA de la France

Il possède un certain sens de la formule le dédicaceur emPAFé, heureusement qu'il n'enseigne pas l'Histoire au Collège de France ses étudiants abreuvés du laid Zéric se prendraient trop facilement pour des écrivains de choc.

Cependant et désormais nonobstant jusqu'à dorénavant, il a raison le jumeau Laurel de l'émission On n'est pas couché de craindre que la partition de la Belgique ne flanque parterre la belle Union européenne.

Le Traité de Lisbonne a-t-il prévu pareille occurrence ?

La grosse rigolade serait que l'OTAN et l'U-E fassent appel aux Casques bleus de l'Union africaine pour assurer la sécurité du Shape et de Bruxelles la capitale de l'Union !!! Faut noter que question logistique les troupiers en question sont déjà là, mais en civil. Avec une bonne foire militaria on pourra les équiper sans mal.

Ah ça c'est pas un probléme que Lawrence sente comment ça se passe...desolé pour les autres.
Ungern faut pas occuper les territoires qui vous appartiennent pas.

BHV: 32% des internautes de RTLinfo.be pour la fin de la Belgique


Selon notre sondage, qui, rappelons-le, n’a aucune valeur scientifique, vous êtes 32% à vouloir la fin de la Belgique dans un avenir proche (23% pour une scission en deux entités, l’une flamande et l’autre francophone, et 9% pour une scission en 3 entités avec Bruxelles indépendante).




Sondage à prendre "avec des pincettes"


Pour rappel, les sondages de RTLinfo.be n’ont aucune valeur scientifique pour une simple raison. Pour qu’un sondage soit valable, il doit remplir deux conditions: avoir un nombre suffisamment grand de votants pour éviter de trop grandes marges d’erreur. Ce qui est le cas ici avec plus de 7.000 participants. Par contre, les internautes de RTLinfo ne représentent pas un échantillon représentatif de la population francophone de Belgique. Voilà pourquoi il est correct de dire que 32% des internautes de RTLinfo sont pour la scission de la Belgique, mais qu’il serait erroné de dire que 32% des francophones le sont.
Le dernier sondage officiel en date sur la question révélait d’ailleurs un chiffre aux alentours des 16% pour les francophones de Belgique.





Belgique - Politique 12:31
Lancé vendredi matin sur RTLinfo.be, notre sondage vous proposait de faire part de vos aspirations quant à l’avenir de notre pays à court terme. Après plus de 7.000 votes, presqu’un internaute sur trois se prononce pour une scission du pays, la fin pure et simple de la Belgique. Quant aux autres, qui restent donc majoritaires avec 68% des voix, ils tiennent toujours à l’unité du pays, mais sous diverses modalités.

1. 26% veulent un retour en arrière, avant la Belgique fédérale, quand il n’y avait ni gouvernements régionaux ou communautaires, mais que tout était centralisé pour tous les Belges, peu importe leur langue.
   
2. Vous êtes 18% à faire le choix d’une Belgique confédéraliste sur un modèle Suisse, avec donc quelques matières fédérales et des politiques régionales très étendues et donc, à terme, différentes d’une région à l’autre (ce que souhaitent par exemple la N-VA ou la Lijst Dedecker).
   
3. Puis à un pourcent près, avec 17% des suffrages des internautes de RTLinfo.be, arrive l’option du statu quo: on ne change rien à la Belgique actuelle, qui conserverait donc ses problèmes communautaires et ses blocages réguliers de ses institutions intactes…
   

Enfin, 4% n’ont pas d’avis tranché sur la question et 2% optent pour une autre solution.

De Croo "jeune chien fou"
Selon un sondage toujours en cours également sur le site internet du quotidien Le Soir, 41,9% de leurs internautes estiment que BHV valait une crise, alors que 41,1% pensent le contraire. Vendredi en fin de soirée, 47% des internautes étaient d’accord pour dire qu'Alexander De Croo est "un jeune président fou" et 27% considèrent qu'il est un brillant stratège.
De Wever fait peur aux internautes du Soir
La principale crainte exprimée est celle de voir un blocage politique empêcher la résolution des problèmes socio-économiques, alors que Bart De Wever est considéré par 56,7% comme l'homme politique le plus dangereux (15,4% désignent Olivier Maingain) et que 32,2% pensent que la Belgique a encore un sens à condition de réformer les institutions en profondeur. La séparation de la Belgique recueille 21% de voix.
Le Roi ne doit pas accepter la démission d'Yves Leterme, disent encore 57% des sondés.

Crise: la N-VA prête à quitter le gouvernement flamand si trop de concessions


Bart De Wever l’a répété ce dimanche: le parti nationaliste flamand quittera le gouvernement flamand si le CD&V fait trop de concessions pour trouver une solution dans le dossier BHV. Pour rappel (Vincent Van Quickenborne l’a répété ce midi dans « L’Invité » de Pascal Vrebos), il faut une solution négociée avant jeudi prochain ou l’Open Vld quittera définitivement le gouvernement fédéral.







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Belgique - Politique 15:54
"Si l'on pénètre dans la vallée de la honte, alors ça s'arrêtera pour nous. Veut-on vraiment foutre en l'air le gouvernement flamand pour sauver ce gouvernement fédéral sans espoir?", a demandé Bart De Wever au cours de l'émission "De Zevende Dag". Pour rappel (Vincent Van Quickenborne l’a répété ce midi dans « L’Invité » de Pascal Vrebos), il faut une solution négociée avant jeudi prochain ou l’Open Vld quittera définitivement le gouvernement fédéral.
Reynders ? Décision cynique
Concernant la mission confiée par le roi à Didier Reynders, qualifiée de manœuvre intelligente de la part du souverain par les partis qui négociaient, le président des nationalistes flamands l’a qualifiée de cynique. "Reynders est l'homme qui n'a jamais pris ses distances avec Maingain, même lorsque Maingain a comparé le gouvernement flamand à des nazis. Demander maintenant à cet homme de concilier les positions, cela me paraît assez cynique. En plus des propositions de Dehaene, les francophones vont encore demander des choses", a-t-il déclaré.
Le sp.a sur la même longueur d’onde
La présidente du sp.a, Caroline Gennez, ne pense pas que la nouvelle date butoir annoncée par l'Open Vld impressionnera un "cynique" comme M. Reynders. Elle s'est d'ailleurs montrée assez pessimiste sur l'issue de cette affaire. Comme la N-VA, le parti socialiste flamand siège dans le gouvernement flamand. Elle estime elle aussi que le dossier BHV ne peut mettre en péril le bon fonctionnement de cet exécutif. Elle a appelé le CD&V à prendre ses responsabilités.

BHV: "Il faut un accord avant jeudi", selon Van Quickenborne


Vincent Van Quickenborne était l’invité de Pascal Vrebos ce dimanche après le Journal de 13 h sur RTL-TVI. Le ministre libéral flamand a répété "qu’il faut un accord (sur BHV, Ndlr) avant jeudi".








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• Van Quickenborne: "Un accord avant jeudi"
  

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20:04
Ce dimanche sur RTL-TVI, Pascal Vrebos a reçu Vincent Van Quickenborne, un membre influent de l’Open Vld, le parti à l’origine de la nouvelle crise politique qui secoue notre pays. Le ministre pour l'Entreprise et la Simplification administrative a d’abord souligné son soutien à son président de parti, Alexander De Croo. "Je suis totalement derrière mon président. On est une équipe très proche. On est une nouvelle génération du Vld."

Tenir sa parole
Le libéral flamand a ensuite commenté l’ultimatum fixé par son parti. "Ce n’est pas un coup de poker. C’est tenir sa parole, qui a été faite en novembre 2009. Quand on est rentré dans le gouvernement Leterme II, on a dit qu’il faut une solution pour le fardeau BHV qui bloque énormément d’autres décisions dans notre pays. Il faut une solution avant Pâques. Finalement, on a retardé et, à certain moment, Alexander a constaté qu’il n’y avait pas la volonté autour de la table de résoudre le problème", a expliqué Vincent Van Quickenborne. Le ministre pointe du doigt les francophones qui, selon lui, ne s’attendaient pas à ce que l’Open Vld fasse ce qu’il avait dit, c’est-à-dire, son retrait du gouvernement si un accord n’est pas trouvé.

Un parti raisonnable, prêt à discuter
Pour le libéral flamand, les deux côtés, francophones et Flamands, doivent faire des compromis et discuter sur base du cadre élaboré par Jean-Luc Dehaene. "Et l’Open Vld est un parti raisonnable pour faire un compromis. Ceux et celles qui disent qu’il faut scinder l’arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde sans rien faire, c’est illusoire et pas raisonnable. Il faut à boire et à manger pour tout le monde. On est prêt à le faire, mais il faut un timing strict à respecter pour que finalement on trouve une solution", a répété Vincent Van Quickenborne.

Il faut arrêter le "carrousel BHV"
A propos de cet ultimatum, le ministre refuse donc de parler de chantage ou de pression. Il explique qu’il s’agit d’une volonté d’arrêter le "carrousel BHV " qui tourne depuis des années. "Il ne faut plus faire traîner les choses. (...)Je pense qu'il faut un accord avant jeudi pour le bien-être de ce pays".
Le délai fixé à jeudi prochain, date de la séance plénière à la Chambre, semble donc bel et bien d’actualité. Pour rappel, cette prochaine réunion pourrait voter la proposition de scinder l'arrondissement de BHV, déjà approuvée en commission de l'Intérieur par les seuls partis flamands.

BHV: 80% des Flamands pensent que les francophones doivent faire des concessions


80% des Flamands pensent que les francophones doivent faire des concessions dans le cadre du dossier BHV, d'après les résultats d’un sondage RTL, en ce début de semaine cruciale pour l'avenir du pays. Les présidents de parti ont jusqu'à jeudi pour trouver une solution à BHV. Sinon...





Vos réactions
"Je ne me sens plus du tout belge. J'ai honte pour nous, et dire que nos arrière grand-parents, grands parents ou parents se sont battus pour notre liberté. S'ils nous voyaient, ils se retourneront dans leurs tombes. On est tombé bien bas " Lire les autres réactions






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Belgique - Société 11:45
Vers une sortie de crise ? C'est ce que tout le monde espère en ce début de semaine crucial pour la Belgique. Les choses s'accélèrent depuis ce matin, tandis qu'Yves Leterme est reçu en audience par le roi et que certaines sources annoncent que les négociations relatives à BHV pourraient reprendre dans les heures qui suivent. En attendant, la conférence des présidents de la Chambre se réunit pour fixer l'ordre du jour de la séance plénière de jeudi, les partis néerlandophones souhaitant y inscrire la proposition de loi de scission de BHV.

Trois jours pour sortir de l'impasse
Comme le rappelait le président de la Chambre, Patrick Dewael, sur Bel RTL, faute de consensus, c'est l'assemblée plénière qui déterminera jeudi son ordre du jour. D'ici là, il reste trois jours pour négocier BHV, en tout cas à entendre l'Open Vld. Cette semaine s'annonce donc déterminante. Si les partis flamands entendaient passer au vote jeudi, les francophones enclencheraient la sonnette d'alarme.
Et pourtant, en ces temps de turbulence, le chef d'orchestre du gouvernement démissionnaire ne se laisse pas décontenancer. Son agenda prévoit qu'il sera mercredi à 12H30 au musée des instruments de musique à Bruxelles... pour y présenter un film de promotion de la Belgique intitulé "Belgium... beyond expectations", que l'on pourrait traduire par "La Belgique par-delà les attentes", à moins que ce ne soit "au-delà des espérances".

80% des Flamands pensent que les francophones doivent faire des concessions
Par ailleurs, RTL a commandé un sondage dont l'intégralité des résultats vous sera dévoilé à 13h. De nombreux sondages révèlent ce que les Belges semblent penser du problème de BHV. Ce week-end, la rédaction de RTLinfo vous demandait si vous vous intéressiez aux problèmes communautaires ou si ce dossier vous horripilait. Le résultat fut sans appel : 44% d’entre vous ont répondu être allergiques au problème de BHV. Mis à part cette question du jour (qui n’a pas de valeur scientifique, rappelons-le), un sondage RTL révèle que 56% des Belges pensent que les francophones doivent faire des concessions dans ce dossier. Parmi cette moyenne, 80% des néerlandophones sont d’accord avec cette proposition.

Rendez-vous à 13 heures pour découvrir les résultats
La rédaction de RTLinfo vous donne rendez-vous à 13 heures pour vous révéler l’entièreté du sondage. En effet, d’autres questions ont été posées, dévoilant des différences significatives entre les différentes communautés ayant répondu au sondage. Cette consultation a été obtenue grâce à la participation de 1.500 répondants, et la marge d'erreur est de 2,5%.

Les francophones doivent faire des concessions

80% des Flamands pensent que oui
18% des francophones pensent que oui
30% des Bruxellois pensent que oui
18% des Wallons pensent que oui

113 -

Citation :

Les présidents de parti ont jusqu'à jeudi pour trouver une solution à BHV. Sinon...

Sinon ce sera le Bazar à l'Hôtel des Vils.

BHV: les francophones refusent en bloc d'inscrire la scission à l'ordre du jour


Les chefs de groupe des partis francophones de la majorité ont répété lundi midi, à l'entame d'une conférence des présidents de la Chambre, leur refus de voir la proposition de loi de scission de Bruxelles-Hal-Vilvorde inscrite à l'ordre de jour de la séance plénière de jeudi.


[img:b59f]http://www.rtlinfo.be/pictures/div/2010_04_26/325x203/reynders[1].jpg[/img:b59f]





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Belgique - Politique 13:53
Pour la première fois depuis les événements qui ont secoué notre pays jeudi dernier, les présidents des groupes politiques se revoyaient ce matin à la Chambre. En petit comité, ils devaient répondre à une question: doit-on inscrire BHV à l'ordre du jour de la séance plénière, jeudi prochain ? Les chefs de groupe des partis francophones de la majorité ont répété leur refus d'inscrire cette proposition de loi à l'ordre du jour. En l'absence d'unanimité, condition nécessaire, il n'y aura donc pas de vote concernant BHV jeudi.
Mais pour certains partis flamands, le projet est complètement différent. "On doit organiser aussi vite que possible une réunion pour qu'une solution soit trouvée dans le dossier BHV", a déclaré Jan jambon, chef de groupe N-Va à la Chambre.

"Il faut d'abord un consensus"
Le Roi étant toujours en consultation, il n'est même pas sûr que les députés se réunissent jeudi. "Pour qu'un agenda soit décidé maintenant, il faudrait de toute façon qu'il y ait un consensus. Et je serais très surpris qu'il y en ait un sur ce sujet d'ici jeudi", a confié Didier Reynders. Il n'a pas souhaité réagir aux dernières déclarations du président des FDF Olivier Maingain, jugeant qu'il n'était pas raisonnable de s'enfermer dans des délais et dans les propositions de Jean-Luc Dehaene.

Le président du MR a néanmoins répété que les éléments étaient réunis pour une reprise des négociations. "Il faut maintenant voir si la confiance est réellement là pour que les négociations se poursuivent dans un délai très bref", a-t-il précisé.

115 -

Citation :

BHV: les francophones refusent en bloc d'inscrire la scission à l'ordre du jour

Ah ! Comme l'absence de ce pauvre Slobodan Milošević nous pèse. Voilà le gars qui aurait été un précieux conseiller en matière de scission C'est bête de l'avoir contraint à mourir avant l'heure ; un coup des néerlandophones, mais ils en sont punis aujourd'hui. C'est tout un savoir faire incomparable qui fut enterré avec lui Godferdom !

BHV: le Roi accepte la démission du gouvernement



Didier Reynders a jeté l'éponge dans le cadre de sa mission royale qui consistait à ramener les négociateurs autour de la table dans le dossier BHV. Suite à cette décision, le blocage était total. Yves Leterme s'est donc rendu chez le Roi pour lui présenter la démission du gouvernement. Ce dernier l'a acceptée



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Belgique - Politique 18:58
Yves Leterme s'est rendu chez le Roi, lundi en fin d'après-midi, pour lui annoncer que le blocage était total dans le cadre des négociations du propres au dossier BHV. Albert II a accepté la démission du gouvernement et l'a chargé de l'expédition des affaires courantes. Didier Reynders était chargé par le Roi de ramener les négociateurs autour de la table. Alors qu'il affirmait lundi matin que "tous les éléments étaient rassemblés", il a demandé au Roi d'être déchargé de sa mission, lundi après-midi. Le Roi a accédé à sa demande. Dans la foulée, Yves Leterme s'est rendu à Laeken et le Roi a accepté la démission du gouvernement qu'il a chargé de l'expédition des affaires courantes.



"Tous les éléments sont rassemblés"
Dimanche soir, Didier Reynders avait fait rapport pendant plus de trois heures au Roi de la mission de réconciliation que ce dernier lui avait confiée. A l'issue de celle-ci, le Palais n'avait diffusé qu'un communiqué laconique annonçant que le chef de l'Etat avait reçu Didier Reynders, sans autre précision.
Lundi matin, lors de son arrivée au Bureau de son parti, Reynders avait expliqué que tous les éléments étaient sur la table pour reprendre les discussions. "Tous les éléments sont rassemblés maintenant. Il faut voir si la volonté politique se confirme. Ce que j'ai entendu dans les autres formations politiques, c'est la volonté de reprendre et d'aboutir le plus vite possible", a-t-il déclaré.

Interprétations différentes...
Vers 11h, l'audience hebdomadaire du premier ministre au château de Laeken a eu lieu. Peu avant 13h, le Palais a diffusé un communiqué, toujours laconique, se bornant à indiquer que le Roi avait reçu le premier ministre.
Mais le temps passait et aucune explication n'était fournie. Certains évoquaient un signal qui n'est pas venu de la Conférence des présidents, d'autres la difficulté de passage de relais entre M. Reynders et M. Leterme. Leur interprétation de la situation politique actuelle ne serait pas la même, disait-on. "De toute évidence, la confiance n'a pas été ramenée", commentait-on par ailleurs.

Le pays est mort .

Au point où nous en sommes ,il vaut mieux avoir la scission aujourd'hui (sans les nouvelles concessions) que demain (après les nouvelles concessions) .

Ensuite je ne vois pas ce qu'on, a encore à concéder ...

Le roi serait en fuite ... vers la Grèce ...

Vive l'Europe !


PS : achetez du dollar US ou du Franc suisse.

Aux dernières nouvelles, les chars grecs marcheraient au pas de l'oie sur la Wallonie !

Le général Noriega arrivé hier en France aurait déclaré : "Je vais reprendre les choses en mains". Il a reçu le soutien du Prince Albert de Monaco qui met à sa disposition la force aérienne monégasque. Dans le même temps, Sa Sainteté Benoît XVI réclame la libération immédiate de Dutroux.

La situation reste confuse.

Les francophones attendent un entretien du Roi avec Gennez












Belgique - Politique 8:58 Les responsables politiques francophones semblaient attendre mardi matin un entretien du Roi avec la présidente du sp.a Caroline Gennez, ressortait-il de leurs diverses interventions sur les ondes radio, au lendemain de la démission du gouvernement Leterme II.
"Il faut maintenant prendre quelques heures pour apaiser les esprits et trouver les personnalités politiques capables de prendre leurs responsabilités", a observé le président du MR Didier Reynders. La présidente du sp.a Caroline Gennez a rapidement confirmé lundi en fin de journée que son parti n'était pas disposé à "dépanner le gouvernement" et se montrait favorable à des élections anticipées. "On attendra de voir la réalité de ces déclarations", a commenté Didier Reynders. Il met en garde contre des heures à venir "très difficiles" avec la perspective d'un vote jeudi à la Chambre Flamands contre Francophones. La vice-première ministre sortante Laurette Onkelinx (PS) a elle aussi fait part de son espoir de voir le sp.a changer d'avis pour monter dans un gouvernement. "L'entretien du Roi avec la présidente du sp.a peut compter", a relevé de son côté la présidente du cdH Joëlle Milquet, favorable à "un gouvernement socio-économique qui puisse aussi gérer la présidence" belge de l'Union européenne. Quant au co-président d'Ecolo Jean-Michel Javaux, il a appelé à un "sursaut de responsabilité" et s'est étonné d'avoir vu "le sp.a très rapidement déclarer qu'il n'était pas disponible". (VIM)

Pronostic Ungern

NB : je m'y connais beaucoup moins bien que dans la politique israélienne ... Sans rire ... C'est vrai ...

a) Il va y avoir des élections .
b) elles ne serviront qu'à gagner du temps (jusqu'en juin d'abord,et pendant les vacances ensuite) parce que en Flandre les partis indépendantistes vont faire un réel raz de marée .
c) le gouvernement national sera impossible à faire par manque de complémentarité des majorités .
d) dès la fin de la Belgique à la Présidence de l'Union ,ce sera le retour chez le Roi et le dépot de carence .
On sera fin décembre .
Début janvier la Belgique aura cessé d'exister .

Ca c'est le scénario "logique" .

Les autres scénarios sont plus tordus et ouvrent toutes les perspectives :

1° Les flamands sont sur une phase descendante de leur économie et le départ de son premier client et son premier fournisseur (la wallonie) va créer une catastrophe économique dont les gens se rappelleront non pas au scrutin de juin (pas encore de divorce),ni au suivant (délire de la victoire) mais au suivant suivant.
2° La Wallonie n'a qu'une possibilité c'est de filer en France,et la France n'a qu'une possibilité,c'est d'accepter son pays frère comme la RFA a accepté la RDA ...
Bon ... Mais c'est mettre les politiciens français dans le jeu de quille ,ou en tous les cas une toute nouvelle catégorie d'hommes politques belges qui n'appartiennent pas maintenant à l'establissement ... Gros risuque de mettre le loup dans la bergerie .
Sur le plan national je vois quelques hommes politiques belges de grande envergure capable de survivre à ce raz de marée... Les autres auront fait leurs comptes....
En wallonie,objectivement les choses ne peuvent s'aggraver plus encore ...

Bruxelles, aujourd'hui 16 H 00 ...

Dans un calme relatif, on observe des militaires flamands déployer des chevaux de frise et des barbelés au centre de la ville. Des milliers de Wallons se ruent dans les supermarchés afin de faire des provisions de moules, de frites et de gueuzes.

Sous les ordres du Général Van de Pute, des colonnes d'hommes armés se pressent aux frontières dans les Ardennes.

Ungern a écrit:

2° La Wallonie n'a qu'une possibilité c'est de filer en France,et la France n'a qu'une possibilité,c'est d'accepter son pays frère comme la RFA a accepté la RDA ...

Mais bien sur ... on a déjà assez de problèmes en France, c'est pas pour en plus payer pour les Wallons !

Et puis quoi encore ?