La Flandre et les autres

Rappel du premier message :

La scission de BHV votée en mai faute de solution de fond



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Belgique - Politique 11:05 La proposition de loi visant à scinder l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV) sera votée au mois de mai en séance plénière de la Chambre faute de solution de fond au problème communautaire qui divise francophones et néerlandophones, a indiqué mardi le député flamand Eric Van Rompuy sur La Première (RTBF).
Selon le frère du président du Conseil européen, il faut, concernant BHV, "une solution de fond parce que, début mai, la proposition de loi sur la scission sera mise au vote en séance plénière". Le texte de scission est gelé depuis 2007 par une série de procédures en conflits d'intérêts. La dernière en date devrait prendre fin d'ici quelques semaines. Théoriquement, le Parlement bruxellois pourrait déclencher une nouvelle procédure dont certains craignent les conséquences communautaires au sein de la Région-capitale. L'ancien premier ministre Jean-Luc Dehaene a été chargé par le roi de réfléchir à un compromis sur des réformes institutionnelles, et en particulier sur BHV. Il est censé aboutir dans les prochaines semaines. Parmi divers scénarios évoqués par les observateurs, on a parfois mentionné celui d'une solution transitoire qui permettrait de reporter le règlement du problème au fond lors de la prochaine législature. Eric Van Rompuy rejette ce scénario. "Seule une solution de fond peut mener à retirer cette proposition (de scission). Mais s'il n'y a pas de solution, les partis flamands vont voter, avec toutes les conséquences" que cela implique, a-t-il assuré. (OCH)

Si il y a la scission,bye bye l'Euro ...

La dette est faite principalement par et au nom de l'Etat Belge .
Mais pas de deux états croupions ....
Là t'es sur que les spéculateurs lachent la Grèce demain matin pour sauter à la gorge du lion et du coq .
Et la Grèce + la Belgique + l'Irlande ... Ca va faire un très gros trou à boucher ....

Mon idée,c'est que çà ne saurait pas être pire qu'avant.
Celà fait longtemps qu'on demande non pas un ratachement
à la France,mais plutôt une sorte de "collaboration économique"
tel le Benelux , mais avec plus d'ancrages.

On vivait très bien avant l'Euro,mieux que maintenant.

Et le mieux,c'est que les Hollandais (hormis ceux d'extrème droite)
ne sont pas très chaud à s'allier à la Flandre.

151 -

Citation :

Et le mieux,c'est que les Hollandais (...)
ne sont pas très chaud à s'allier à la Flandre.

Excellente remarque qui me remet en mémoire une rigolade in petto qui m'arriva lors d'un stage inter institution auprès de la Koninklijke Marechaussee (la maréchaussée royale des Pays-Bas) à La Haye dans la décennie 1990.

Les Français avaient emmené dans leurs bagages un officier de la Gendarmerie belge, un Flamand de Gand parfaitement bilingue français-néerlandais, missionné pour assurer la traduction lors des épisodes en langue locale (normalement tout se passait en petit nègre anglais).

Un jour qui était un matin, nous l'avons retrouvé notre camarade gendarme belge "décomposé" devant la machine à café, pas parce que le jus était infecte, mais parce que quelques officiers de l'état-major hollandais venait de l'invectiver jusque sous terre pour une sombre histoire de dysfonctionnement bénéluxiens dont les arcanes nous échappaient et les "malotrous" avaient conclu leur remontée de bretelles par un cinglant (en substance) "comme Flamand vous êtes encore plus khôn qu'un Wallon, vous parlez un néerlandais épouvantable !". Nous n'avons jamais su si c'était la première ou la seconde assertion de cette remarque qui l'avait blessé le plus.

Nous avons compati (en nous bidonnant intérieurement) et avons tenté d'arrondir les angles en vain. Le Batave c'est têtu. Le pandore belge est reparti dans la foulée vers sa Flandre natale et on nous a envoyé une traductrice super mignonne (une hollandaise mariée à un officier de l'armée de terre française en poste au Shape).

C'est une illustration avant l'heure de l'amour fraternel spontané et profond que les Flamands semblent provoquer chez leurs frères en locution néerlandais.

Bonjour l'Europe !

"L'élargissement de Bruxelles est nécessaire"


On vous l’a dit, les partis sont désormais en campagne. Joëlle Milquet n’a pas attendu longtemps avant de lancer un des grands thèmes de son parti : l’élargissement de Bruxelles, selon une interview accordée par la présidente du cdH au Vif/L’Express ce vendredi.







ERRATUM + le cdH porte plainte


La rédaction de RTLinfo vous informe que l'ancien titre de l'article "Je veux pouvoir aller faire mon shopping à Waterloo avec la STIB" était erroné. Il relayait un "tweet", donc une brève information envoyée sur Twitter, du compte portant le nom joelleducdh. Mais il s'est avéré que ce compte est un faux, tenu donc par un usurpateur ou une usurpatrice. Contacté par RTLinfo.be, Michel Konen, le directeur de la communication du cdH, nous a informé que le parti humaniste voulait porter plainte en justice contre cette personne. Il a par ailleurs réaffirmé que Joëlle Milquet n'avait aucun compte Twitter. Un communiqué de presse rendant l'information officielle est tombé vers 18h30: "Joëlle Milquet ne s'est jamais inscrite sur le réseau Twitter." Joëlle Milquet "a demandé à un avocat d'introduire une demande de rectification auprès de Twitter et se réserve le droit de déposer plainte", explique le communiqué.
RTLinfo.be vous présente ses excuses pour cette regrettable erreur qui ne touche pas au fond de l'article, relayant une interview donnée à nos confrères du Vif/L'Express par Joëlle Milquet. Elle n'a donc jamais prononcé ou écrit la phrase "Je veux pouvoir aller faire mon shopping à Waterloo avec la STIB". Vous aussi pouvez d'ores et déjà supprimer joelleducdh de la liste des tweets que vous suivez.

A lire également

• Elections 2010: les dernières infos en direct
  

Belgique - Elections 2010 18:45
« Elargir Bruxelles, c'est une nécessité géopolitique ». C’est le titre d’un article du Vif/L’Express de ce vendredi consacré à une longue interview de Joëlle Milquet. « Madame non » est en campagne et rappelle que l’élargissement de Bruxelles est loin d’être l’apanage du FDF. La présidente du cdH veut « réunifier enfin l'espace francophone, regrouper Wallons et Bruxellois au sein d'un même territoire. »
Joëlle Milquet rappelle premièrement au magazine que les francophones ne sont demandeurs de rien… sauf « d'un refinancement de Bruxelles ». Mais l’élargissement de Bruxelles « reste une demande fondamentale », même si « aux yeux des Flamands, c'est une demande atomique. Cela ne peut donc aboutir que dans un cadre de discussion assez large. »

Bruxelles enclavée en Flandre, "l'erreur majeure" qu'il faut aujourd'hui "réparer"
« Moi, je défends totalement l'élargissement de Bruxelles. C'est nécessaire. Pour une raison sociologique et pour une raison géopolitique. Il est logique que la Région bruxelloise s'étende vers Kraainem ou Wezembeek-Oppem, à 85 % francophones. Ces communes-là font sociologiquement partie de Bruxelles. Mais l'enjeu, c'est aussi que la Wallonie ait une frontière commune avec Bruxelles. C'est stratégique, ça. L'espace francophone existe sur le plan culturel et économique, mais il est malheureusement scindé sur le plan territorial. C'est l'erreur majeure que les francophones ont commise en 1962-1963, lors de la fixation de la frontière linguistique. A cause de ça, Bruxelles se retrouve aujourd'hui enclavée. Il faut réparer cette erreur et joindre les territoires wallon et bruxellois. Il faut créer un espace territorial francophone dans l'Etat belge, tout comme il existe déjà un espace néerlandophone. Et puis, en termes d'équilibre, ce n'est pas normal que la capitale de la Belgique possède une bordure avec une des deux grandes régions du pays, mais pas avec l'autre. Naturellement, pour concrétiser ça, il faudra payer un prix... »
Lequel ? « Pas la scission de la sécurité sociale, en tout cas », conclut Joëlle Milquet.

ELECTIONS10: Ingrid Lieten et Peter Vanvelthoven tirent la liste sp.a en Limbourg




Belgique - Politique 0:59 Les socialistes limbourgeois ont approuvé à l'unanimité vendredi soir la liste à la Chambre pour le scrutin fédéral du 13 juin. Comme prévu, c'est la vice-ministre présidente du gouvernement flamand Ingrid Lieten tirera la liste. Le chef de groupe au parlement flamand Peter Vanvelthoven est deuxième, devant le député et bourgmestre de saint-Trond Ludwig Vandenhove.
La députée sortante Meryame Kitir, première suppléante, est théoriquement assurée de conserver son siège au parlement. Ingrid Lieten a en effet annoncé qu'elle resterait ministre flamande. (FEM)



ELECTIONS10: Bruno Tobback emmène la liste sp.a à la Chambre pour Louvain




Belgique - Politique 0:51 Le chef de groupe sp.a à la Chambre Bruno Tobback tirera la liste des socialistes flamands dans l'arrondissement électoral de Louvain aux élections du 13 juin. C'est ce qu'a décidé le congrès provincial vendredi soir. L'ancienne parlementaire Karin Jiroflee est deuxième.
A la troisième place, on retrouve l'échevin de Landen Gino Debroux. L'échevin louvaniste Mohammed Ridouani pousse la liste. Griet Vandewijngaerden, échevin à Kortenaken, est première suppléante. Le bourgmestre de Tirlemont et député flamand Marcel Logist pousse la liste chez les suppléants. (FEM)


ELECTIONS10: Dewael, Vautmans et Steegen tirent la liste Open Vld pour le Limbourg


Belgique - Politique 0:35


Le comité limbourgeois de l'Open Vld a approuvé vendredi soir la liste à la Chambre pour le Limbourg. Les deux premières places sont occupées par le président sortant de la Chambre Patrick Dewael et la chef de groupe Hilde Vautmans. La liste doit être entérinée samedi lors d'un congrès à Bruxelles.
La troisième place sur la liste va à Bruno Steegen, qui a déjà siégé à la Chambre, suivi du conseiller communal de Saint-Trond Pascy Monette. Marleen Renders, l'ancienne championne de marathon, est sixième. La députée flamande Lydia Peeters pousse la liste. Les premières places de la suppléance vont à l'ancien parlementaire et bourgmestre de Maasmechelen Georges Lenssen et à la présidente du CPAS de Bree, Ingrid Tyskens. Le député flamand Marino Keulen pousse la liste. L'Open Vld défend deux sièges de députés en Limbourg. (LOD)




ELECTIONS10: Raf Terwingen tire la liste CD&V à la Chambre pour le Limbourg




Belgique - Politique 0:21 Le comité provincial du CD&V a approuvé vendredi soir à l'unanimité le cadre de la liste à la Chambre pour les élections fédérales de juin. La première place va au député sortant Raf Terwingen, tandis que le député européen Ivo Belet poussera la liste.
Pour des raisons pratiques -des candidats difficilement accessibles-, le CD&V du Limbourg n'a pas encore formé une liste complète. Outre le premier et le dernier effectifs, seuls les deux derniers suppléants ont été désignés. Jo Vandeurzen, ministre flamand du Bien-Etre, prend ainsi la dernière place, tandis que l'ancienne ministre Veerle Heeren le précède. Le reste de la liste devrait normalement être complété dimanche matin. (KNS)

ELECTIONS10: Freya Piryns emmène la liste Groen! du Sénat




Belgique - Politique 18:38 La sénatrice Freya Piryns sera la tête de liste de Groen! pour les élections au Sénat, a décidé samedi le parti réuni en congrès. Le sénateur Geert Lambert, ex-président du SLP qui a fusionné avec les Verts flamands, figurera en 2e place sur cette liste.
Le président de Groen! Wouter Van Besien vise les six sièges à la Chambre et deux élus directs au Sénat. Le parti dispose actuellement de quatre députés et un sénateur élu directement. Alors que le scrutin de 2009 avait été l'occasion pour Groen! de mener une opération de renouvellement de ses candidats, celui du 13 juin prochain fera la part belle aux figures déjà connues. Le député Wouter De Vriendt emmènera la liste à la Chambre pour la Flandre occidentale. En Flandre orientale, c'est au député Stefaan Van Hecke que revient cette tâche. Tinne Van der Straeten et Meyrem Almaci feront de même pour, respectivement, l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde et celui de la province d'Anvers. A Louvain, le professeur Eva Brems fera ses armes en tête de liste et dans le Limbourg, ce sera l'échevin de Hasselt Toon Hermans. Le président Wouter Van Besien poussera la liste au Sénat. Il a plaidé samedi pour une politique "honnête et intègre", la résolution des problèmes communautaires par le dialogue et l'accent sur des dossiers de société tels que l'économie durable, l'emploi et la lutte contre la pauvreté. (DRM)

Journée de grande affluence pour l'ouverture du Palais du Meir à Anvers



L'ouverture du Palais sur le Meir à Anvers a attiré la toute grande foule samedi. Les quelque 3.000 visiteurs ont parfois attendu jusqu'à deux heures avant de pouvoir admirer le bâtiment rénové.

Le Palais a plus de 250 ans et fut la propriété de Napoléon, de Guillaume 1er des Pays-Bas et de la famille royale belge. L'alternance de périodes d'occupation et d'abandon avaient laissé des traces et une restauration en profondeur s'imposait. Laquelle était en cours depuis la fin du siècle dernier. Les travaux sont à présent terminés et le Palais a rouvert ses portes ce week-end. Il comporte quelques pièces remarquables comme les appartements de Napoléon, la Salle des Glaces de Leopold II et le Salon Hollandais de Guillaume Ier. Le Palais pourra encore être visité dimanche mais il faudra venir tôt et s'armer de patience. Après ce week-end d'ouverture, le Palais ne sera plus visible que sur réservation et accompagné d'un guide. Plus d'infos: www.paleisopdemeir.be

Les francophones "ont créé le succès de la N-VA"


L’émission Controverse était ce midi consacrée à l’envie des Belges de boycotter les élections du 13 juin! Selon Jean-Marie Dedecker, c’est le refus de négocier des francophones pendant 3 ans qui a fait le jeu de la N-VA. Voilà justement pourquoi il faut aller voter, selon Charles Michel: "pour résister et choisir le type de Belgique" qu’on veut.








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• "Je vote ou je ne vote pas ?" au sommaire de l'émission ...
  

Magazines de la rédaction - Controverse 14:14
Commençons tout d’abord par le thème de l’émission. Olivier, un mandataire local PS, avoue être dans la même situation que la plupart des Belges: lui non plus n’a plus envie de faire son devoir de citoyen. Pourquoi ? Parce qu’il en a marre de toujours voter pour les mêmes ! "On va aller revoter pour les mêmes gens qui seront de nouveau élus. Pourquoi ne travaillent-ils pas encore pendant un an à mouiller leur chemise. Les 10 millions d’euros que vont couter ces élections, si dans mon CPAS je peux en avoir 1%, je pourrais faire énormément de choses pour les citoyens avec ça."

Aller voter pour "résister" à la N-VA
Les autres politiciens présents, eux, étaient unanimes : il faut aller voter. Pour Rudy Demotte, ministre-président du Gouvernement wallon et de la Communauté française, ne pas voter, c’est aller contre la démocratie. "Le même ras-le-bol s’est exprimé en Flandre et en Wallonie par rapport à ces élections. Mais il faut se mobiliser maintenant. Je crois que c’est une erreur contre la démocratie et aussi contre les idées de ceux qui veulent justement sortir de la crise que de ne pas voter", a-t-il expliqué. Face à la montée de la N-VA en Flandre, Charles Michel, le ministre de la Coopération au Développement MR, avance un autre argument en faveur du vote le 13 juin : "La N-VA veut la séparation du pays et c’est pour ça que BHV est important pour eux. Aller voter est donc extrêmement important pour résister et pouvoir permettre aux francophones de choisir le type de Belgique qu’ils veulent."
D’après Jean-Marie Dedecker, dont sa Lijst Dedecker surfe sur la même vague régionaliste que la N-VA en Flandre (mais avec beaucoup moins de succès selon les sondages), c’est de la faute des politiciens francophones si les électeurs Flamands se sont encore un peu plus radicalisés : "Vous avez créé l’extrémisme et leur succès en disant, pendant 3 années, qu’on ne ferait pas un pas en avant", a-t-il martelé.
L’ex-Premier ministre CVP Mark Eyskens, lui, s’en est à nouveau pris à Alexander De Croo. L’Open Vld "a une très grande responsabilité" dans le chaos actuel, selon lui.
Alors, aller voter ou pas ? Pascal Delwit a tout de même rappelé que le vote en Belgique est obligatoire et que les électeurs qui ne se rendront pas aux urnes risquent une amende.

"Les festivals de musique flamands en danger"



Les festivals de musique flamands sont en danger à cause des règlements qui leur sont imposés, a déploré lundi la Fédération des festivals de musique en Flandre (FMiV). Selon elle, les réglementations concernant les travailleurs, la législation sur la TVA, les inspections alimentaires, les normes environnementales et sonores ainsi que celles sur la consommation d'alcool et de tabac provoquent un climat négatif dans les festivals.

Près de 300 festivals garantissent chaque année l'affluence de 5 millions de visiteurs qui viennent de partout. "Nos festivals n'occupent pas seulement le secteur du divertissement, mais prennent également une place importante au niveau économique, culturel, social et touristique. Il n'y a aucun pays au monde où autant de festivals d'une si haute qualité sont organisés", explique la Fédération dans une lettre ouverte. "Ce n'est bien sûr pas notre objectif de nous mettre au-dessus des lois, mais vu la quantité des règles qui nous sont imposées, il est quasi impossible de satisfaire chaque norme. On arrive à peine à venir à bout de l'ensemble de ces règles", insiste le secteur. C'est pourquoi la Fédération demande aux autorités de prendre cette problématique à coeur et de chercher des solutions pour un climat festivalier convivial et pour promouvoir d'une manière positive la prospérité de cette industrie culturelle. Le conseil d'administration de la FMiV est composé notamment des organisateurs de Rock Werchter, des Lokerse Feesten, du Festival de Flandre et du Sfinks en Suikerrock.

Les festivals de musique flamands sont en danger à cause des règlements qui leur sont imposés, a déploré lundi la Fédération des festivals de musique en Flandre (FMiV). Selon elle, les réglementations concernant les travailleurs, la législation sur la TVA, les inspections alimentaires, les normes environnementales et sonores ainsi que celles sur la consommation d'alcool et de tabac provoquent un climat négatif dans les festivals.

Oui effectivement...

Elections 2010 : toutes les infos importantes du jour


Il ne reste que 33 jours avant les élections du 13 juin. Voici les informations politiques les plus importantes de ce mardi 11 mai.








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• Le cdH présentait ses listes ce matin.
  
• Le PP espère se présenter à la chambre et au sénat.
  

• Le cdH présentait ses listes ce matin.
  
• Le PP espère se présenter à la chambre et au sénat.
  
• Retour d'Olivier Deleuze à la politique.
  

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Belgique - Elections 2010 18:53 Mardi 11 mai, J-33 avant les élections anticipées du 13 juin prochain. D’ici-là, les partis sont en ébullition : la constitution des listes électorales se poursuit et les milliers d’affiches de candidats sont en train d’être imprimées. La rédaction de RTLinfo vous propose de suivre les informations du jour les plus importantes.


Ecolo : le grand retour d’Olivier Deleuze

La liste Ecolo pour l'élection de la Chambre dans l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde sera emmenée, comme pressenti depuis quelques jours, par Olivier Deleuze, ex-secrétaire d'Etat fédéral à l'Energie (1999-2003) et membre fondateur d'Ecolo. Par ailleurs, le président de la Fédération des Etudiants Francophones (FEF), Romain Gaudron, quittera plus tôt que prévu sa fonction, étant candidat aux élections législatives.


Le 17 mai, date limite pour l'inscription des Belges de l'étranger

La date limite pour les Belges résidant à l'étranger pour s'inscrire sur les listes électorales et avoir ainsi la possibilité de voter lors des élections législatives anticipées du 13 juin a été fixée au lundi 17 mai, a rappelé mardi le ministère des Affaires étrangères. "Vu le délai extrêmement court, nos compatriotes n'ont pas été avertis par courrier postal, mais la possibilité leur a par contre été offerte de renvoyer leur formulaire d'inscription sur les listes électorales par la voie électronique à leur consulat ou ambassade", a indiqué le Service public fédéral (SPF) Affaires étrangères dans un communiqué.


N-VA : l'abbé démis figurera à nouveau sur la liste

Tout comme lors des élections régionales l'an dernier, l'abbé Jos Verstraeten figurera à nouveau sur la liste N-VA. Ce prêtre avait été démis à la fin 2002 de ses fonctions à la paroisse Saint Pierre de Wezembeek-Oppem parce qu'il refusait de célébrer la messe en français. Jos Verstraeten poussera la liste des suppléants N-VA pour l'arrondissement de Louvain. Theo Franken sera tête de liste.


MR : les têtes de liste MR officialisées

Outre Armand De Decker au Sénat, se présenteront Olivier Maingain, dans l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde, Olivier Chastel, dans le Hainaut, Didier Reynders, à Liège, Sabine Laruelle, à Namur, Charles Michel, dans le Brabant wallon, et Philippe Collard, dans le Luxembourg.


cdH : les listes se précisent

Les listes du cdH ne sont pas encore complètes dans tous les arrondissements mais les premières places sont d'ores et déjà connues. La tête de liste en Brabant wallon sera Sylvie Roberti, ancienne présidente fédérale des Guides Catholiques de Belgique. André Antoine poussera quant à lui la liste des effectifs et la députée européenne Anne Delvaux, celle des suppléants. Dans l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde, Joëlle Milquet occupera la première place suivie de Benoît Cerexhe, Bertin Mampaka, Ahmed El Khannouss et Céline Frémault. La première suppléante est la bourgmestre de Rhode-Saint-Genèse Myriam Delacroix suivie de Georges Dallemagne. Clotilde Nyssens poussera la liste des suppléants. Le bourgmestre de Charleroi, Jean-Jacques Viseur, poussera la liste des effectifs en Hainaut. Comme annoncé, Catherine Fonck occupe la première place suivie de Christian Brotcorne, Véronique Salvi et Jean-Paul Procureur. A Namur, Maxime Prévot occupera la première place suivi d'Isabelle Tassiaux. Au Sénat, Francis Delpérée tirera la liste suivi de Vanessa Matz, Pierre Migisha et Antoine Tanzili. Les listes en province de Liège et de Luxembourg ont déjà été présentées. Elles sont menées respectivement par Melchior Wathelet, suivi de Marie-Dominique Simonet et Jean-Denis Lejeune, et Benoît Lutgen suivi d'Isabelle Poncelet. Le premier suppléant dans le Luxembourg est Josy Arens.


Le PP dénonce des conditions "antidémocratiques" d'avant-scrutin

Le Parti populaire a présenté mardi ses listes à la presse, en dénonçant "les conditions antidémocratiques" dans lesquelles il doit, à l'instar d'autres petits partis, récolter les signatures nécessaires au dépôt des listes. Le document de récolte des signatures n'a été disponible que vendredi après-midi sur le site du ministère de l'Intérieur. Cela ne laisse, avant la présentation des candidats exigée pour jeudi ou vendredi, qu'à peine deux jours et demi ouvrables pour récolter les signatures, a dénoncé le co-président du PP, Mischaël Modrikamen, faisant valoir que beaucoup d'administrations étaient fermées ces lundi, jeudi et vendredi.


PTB+ : Marco Van Hees et Tine Van Rompuy, têtes de liste au Sénat

Marco Van Hees et Tine Van Rompuy seront têtes de liste PTB+ au Sénat, respectivement pour les collèges français et néerlandais, a annoncé mardi le petit parti de gauche qui a réuni les 15.000 signatures nécessaires pour se présenter aux élections du 13 juin. Fonctionnaire et syndicaliste au ministère des Finances Marco Van Hees, est notamment l'auteur "Didier Reynders, l'homme qui parle à l'oreille des riches", qui eut un certain retentissement. Marco Van Hees est un des grands pourfendeurs des intérêts notionnels. Il milite aussi en faveur d'une banque publique. Soeur du président du Conseil permanent européen, Tine Van Rompuy est déléguée syndicale à l'hôpital universitaire de Leuven. Candidate d'ouverture, elle est la marraine de la campagne pour une taxe des millionnaires.

Enseignement néerlandophone à Bruxelles: plus de 1.500 enfants sur le carreau




Belgique - Politique 19:26 Plus de 1.500 enfants inscrits sur internet pour tenter de décrocher une place dans l'enseignement néerlandophone maternel ou primaire à Bruxelles n'en ont pas obtenu, selon des chiffres du ministre bruxellois Jean-Luc Vanraes, en charge de l'enseignement néerlandophone au sein de l'exécutif de la commission communautaire flamande (VGC).
Les parents d'élèves ont pu dès janvier dernier inscrire leur enfant sur internet dans trois à cinq établissements de leur choix, pour une présélection avant un classement sur base de divers critères. Au total, 5.286 enfants ont ainsi été inscrits pour ce "premier tour". Le 7 mai dernier, près de 60% d'entre eux ont décroché une inscription effective. Près de 30% en revanche n'ont obtenu aucune place dans les multiples écoles de leur choix. Les plus de dix pour cent restants sont des enfants qui peuvent encore s'inscrire ou se sont désistés. M. Vanraes a dès lors alerté son homologue flamand Pascal Smet. Il souhaite surtout lancer un débat entre communautés sur les problèmes de places à l'école en Région bruxelloise. Trois cent cinq places ont été créées récemment, mais cela reste insuffisant, observe le ministre. (KNS)

Une liste Vlaams Belang en Flandre occidentale sur fond de tensions internes












Belgique - Politique mer 12 mai, 12:30 Le Vlaams Belang a approuvé mardi soir sa liste pour la Flandre occidentale sur fond de tensions internes. L'ancien président Frank Vanhecke et l'ex-députée flamande Marie-Rose Morel ont refusé d'y figurer.
Mme Morel s'est montrée très critique en juillet dernier sur le rôle joué par la figure de proue anversoise du Vlaams Belang, Filip Dewinter. Depuis lors, l'ex-Miss Flandre est en froid avec la direction du parti d'extrême-droite et a échoué en novembre à être élue à la vice-présidence. M. Vanhecke a quant à lui quitté la direction du parti le 29 novembre, en butte au clan anversois. Lundi, il est apparu que l'un et l'autre avaient refusé d'être inscrits sur la liste des candidats en Flandre occidentale. Mme Morel ne pouvait accepter que le parti fasse appel à elle en dernière minute alors qu'il lui avait fait savoir précédemment qu'il se passerait d'elle. Quant à M. Vanhecke, il a rappelé qu'il n'était plus impliqué dans le fonctionnement du Vlaams Belang et que, de toute manière, le parti s'était déjà illustré dans le passé en ne plaçant pas les personnalités les plus fortes aux meilleures places. La tête de liste sera le député sortant Peter Logghe. (MUA)

BHV: les bourgmestres flamands boycottent les élections "anticonstitutionnelles"


Nous irons aux urnes pour les élections législatives dans exactement un mois. Mercredi, chaque parti a reçu son numéro national tiré au sort. Côté flamand, les bourgmestres flamands de l'arrondissement Bruxelles-Hal-Vilvorde ont décidé de ne pas organiser le scutin.







A lire également

• Tirage des numéros de liste: les perles des politiciens ...
  

Belgique - Elections 2010 14:44
Mercredi, chaque parti s'est vu attribuer un numéro de liste électorale. Petit rappel pour les francophones: PS le 5, MR 6, Cdh 8, Ecolo 12. Et, comme chaque fois, tout le monde y trouve son compte... (Lire l'article complet). Les partis doivent déposer leurs listes ce jeudi ou vendredi auprès des tribunaux de Première instance. La dernière limite est fixée à vendredi midi.

Les convocations pour les assesseurs doivent également partir cette semaine et les bureaux doivent être constitués au plus tard pour le 1er juin.

Anticonstitutionnel car BHV pas scindé
Côté flamand, la conférence des bourgmestres de Hal–Vilvorde a décidé mercredi soir de ne pas organiser le scrutin, jugé anticonstitutionnel puisque BHV n’est pas scindé. C’est donc le gouverneur du Brabant flamand qui devra organiser le scrutin. Les bourgmestres ont également décidé d’introduire une action en justice. Celle-ci ne sera examinée qu’après les élections et n’empêchera donc pas leur tenue.
De son côté, le Vlaams Belang conteste la légalité des élections devant le Conseil d'Etat (Lisez l'article complet).

Le Vlaams Belang conteste la légalité des élections devant le Conseil d'Etat


Le Vlaams Belang a introduit mercredi une demande de suspension en extrême urgence auprès du Conseil d'Etat contre l'arrêté royal du 10 mai qui porte sur l'organisation pratique des élections.




Belgique - Elections 2010 14:44 Selon le Vlaams Belang, qui donne lui-même l'information, l'a.r. complet n'a été publié que mercredi sur le site internet du Moniteur. Le parti extrémiste constate qu'un acte essentiel de la procédure, le dépôt des listes, a lieu ce jeudi et qu'il se voit dès lors dans l'obligation de travailler dans l'urgence. Selon le Vlaams Belang, le caractère illégal de l'a.r. concerne notamment les obligations qui sont faites aux présidents du collège électoral et qui devaient être terminées pour le 9 mai, avant donc la parution de l'a.r. Le parti flamand y voit une atteinte grave aux principes à la sécurité juridique et à une bonne gouvernance.

Le problème fondamental demeure cependant aux yeux du Vlaams Belang l'inconstitutionnalité des élections, faute de scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Les plaidoiries ont eu lieu jeudi matin.

JACKLELOUP a écrit:

Pas seulument ceux de France... ceux du monde entier

Le Conseil d'Etat rejette la requête Vlaams Belang



Le Conseil d'Etat a rejeté jeudi la requête en extrême urgence réclamant la suspension des élections, introduite par le Vlaams Belang.

La requête est rejetée pour le motif que les signataires ne sont pas en mesure de prouver à suffisance que l'organisation de ces élections est de nature à leur causer un préjudice grave difficilement réparable. Au second motif qu'il n'appartient pas au Roi de déroger à la loi électorale existante. Le Vlaams Belang, qui donne lui-même l'information, constate que le Conseil d'Etat refuse de se prononcer sur la constitutionnalité des élections et qu'il fait ainsi fi de l'arrêt du 26 mai 2003 de la Cour d'arbitrage, devenue depuis la Cour constitutionnelle. Le parti extrémiste flamand envisage de saisir directement la Cour constitutionnelle de ce dossier.

Je n'admets pas leur politique,mais dans le fond,ils ont raison.
Le calcul des voix et des sièges les défavorise,pour le financement
de la campagne électorale,idem,mais ils ne sont pas les seuls.
Ils n'ont qu'à aller déposer plainte à l'Europe,çà foutra un peu plus
le bordel.

BHV : De Croo veut un accord… et vite !


Il faut un accord institutionnel avant la mise en place du nouveau gouvernement issu des élections du 13 juin, a dit vendredi le président de l'Open Vld Alexander De Croo lors du lancement de la campagne de son parti.








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Belgique - Elections 2010 13:53
On savait Alexander De Croo, le président de l'Open Vld, pressé sur la question communautaire: c'est parce que les choses n'avançaient pas suffisamment vite à son goût qu'il a précipité la chute du gouvernement le 26 avril dernier. Ce vendredi, a eu lieu le lancement de la campagne de son parti, au cours duquel il a répété que des délais devaient être respectés: Alexander De Croo veut qu'un accord soit conclu sur BHV avant que le gouvernement qui sera issu des élections du 13 juin ne soit mis en place.

Un nouveau départ affiché
"Nous ne pouvons plus faire les fautes commises par le passé. Quand il n'y a pas d'accord, les choses n'avancent pas. C'est pourquoi il faut d'abord un accord communautaire", a-t-il commenté. Les affiches que le parti utilisera pour sa campagne affirment cette volonté d'un nouveau départ puisqu'on peut y lire: "A partir du 14 juin, j'apprends à nager à mon fils" ou "A partir du 14 juin, j'apprends l'espagnol"... Le président a aussi indiqué que son parti voulait un gouvernement "stable et décidé".

Alexander De Croo a aussi critiqué les "promesses bon marché" des autres partis. Il a notamment cité le plan pension des socialistes flamands et a souligné le "double langage" du CD&V sur le même sujet.

ELECTIONS10: Leeuw-Saint-Pierre estime qu'elle ne peut organiser d'élections




Belgique - Politique ven 14 mai, 23:36 Le Collège des bourgmestre et échevins de Leeuw-Saint-Pierre estime qu'étant donné la non-scission de l'arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde, il se trouve dans l'impossibilité constitutionnelle d'organiser les élections du 13 juin prochain.
Leeuw-Saint-Pierre est l'une des premières communes du Brabant flamand à réagir de la sorte à l'appel de la conférence des bourgmestres de Hal-Vilvorde de refuser toute collaboration à l'organisation des élections. Renvoyant à l'arrêt BHV de la Cour constitutionnelle de 2003, le Collège déclare "qu'il ne peut lui-même poser aucun des actes nécessaires à l'organisation des élections". Le gouverneur de la province a été mis au courant, car c'est désormais lui qui devra, pour cette raison, établir les listes d'électeurs, faire imprimer les convocations électorales et les envoyer... Il confiera ainsi des missions au secrétaire communal. Aucun panneau d'affichage ne sera par ailleurs placé sur la voie publique. (908)

Un drapeau belge brûlé à Woluwe



Une habitante de Woluwe-Saint-Pierre a eu la mauvaise surprise de découvrir que le drapeau belge qu'elle avait suspendu à sa fenêtre depuis la démission du Premier ministre Yves Leterme avait été à moitié brûlé. Les faits se sont vraisemblablement produits dans la nuit de samedi à dimanche, rapporte vendredi le journal La Capitale.

"La première chose qui m'est venue à l'esprit, c'est le risque d'incendie. Imaginez que l'immeuble ait pris feu", s'est indignée la fille de l'octogénaire.

L'habitante des lieux avait déjà accroché son drapeau en pleine mode de 2007, une habitude qu'elle avait prise depuis des années lors de la fête nationale, sans être victime du moindre problème. (7sur7)

14/05/10 09h00

Eh oui,même à Woluwe.

Festival de Cannes : "Little Baby Jesus of Flandr" en avant-première mondiale



Le film "Little Baby Jesus of Flandr" du jeune cinéaste flamand Gust Van den Berghe a été projeté pour la première fois vendredi matin à Cannes dans le cadre de la "Quinzaine des Réalisateurs". Les premières réactions parle d'un "film unique" "très breughelien" et "burlesque à la Béla Tarr".

"Little Baby Jesus of Flandr" est inspiré du conte de Noël "En waar de sterre bleef stille staan" (ET où l'étoile s'est arrêtée), la célèbre pièce de théâtre de Felix Timmermans. Cette dernière raconte l'histoire de trois pauvres: Suskewiet, Pietje Vogel et Schrobberbeeck qui décident à Noël de chanter pour gagner un peu d'argent. Ce classique de la littérature flamande est porté à l'écran de façon originale et intelligente. Gust Van den Berghe parachute les trois acteurs en pleine nature dans la neige, dans une sorte de no man's land intemporel filmé en noir et blanc. Le réalisateur a déclaré lors d'une conférence de presse : "C'est surtout un film sur la confiance en soi-même". Dans les rôles principaux, on retrouve Jelle Palmaerts (Suskewiet), Paul Mertens (Pietje Vogel) en Peter Janssens (Schrobberbeeck), tous membres du Turnhoutse toneelgroep Theater Stap et atteints de trisomie 21.

Controverse: que veulent les Flamands?


L'émission Controverse parlera ce dimanche sur RTL-TVi de ce que veulent les Flamands pour la Belgique. Le deuxième volet de l'émission sera consacré à l'invité politique: la libérale Sabine Laruelle.





Magazines de la rédaction - Controverse 7:37
« Que veulent les Flamands ? La Belgique vue par le Nord du pays » Savons-nous vraiment ce que veulent les Flamands ? Ou n’en connaissons-nous que les caricatures et les clichés ? Que veulent les nationalistes ? Quelles sont les critiques que les Flamands adressent aux Francophones ? Quelle réforme de l’Etat espèrent-ils et exigent-ils ? Pourquoi la Flandre a-t-elle une image négative à l’étranger ? Quel genre de cohabitation envisagent-ils avec le Sud du pays ? Et quid de Bruxelles ? La Belgique s’est-elle déjà évaporée?
L'émission commencera par "L'info Soir Mag" d’Emmanuelle Praet, ensuite, pour répondre à toutes les questions citées ci-dessus, de nombreux invités vont assister à l'émission:

Avant le débat, trois invités s'exprimeront "Sans langue de bois" :

• Alain Raviart: Expert en communication de crise - KO Communications
  
• Bruno Coppens: humoriste et écrivain
  
• Dirk Van Den Bogaert: journaliste pour VTM
  

Les invités du débat Controverse seront :

• Sven Gatz : Chef de Groupe de l’Open VLD au Parlement Flamand
  
• Brigitte Grouwels : Ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale chargée des Travaux Publics et des Transports – CD&V
  
• Bruno De Lille : Secrétaire d’Etat à la Région Bruxelles-Capitale chargé de la Mobilité, de la Fonction Publique, de l’Egalité des Chances et de la Simplification administrative – Groen !
  
• Bruno Tobback : Chef de groupe sp.a à la Chambre
  
• Jean-Marie Dedecker : Président du LDD et Député fédéral
  
• Geert Van Istendael : Ecrivain belge
  
• Liesbeth Van Impe : Editorialiste pour « Het Nieuwsblad »
  
• Jan Goossens : Directeur du Koninklijke Vlaamse Schouwburg (KVS)
  
• Sylvain Plasschaert : Professeur émérite de l’Université d’Anvers et de la KULeuven, auteur de « La Belgique dans tous ses états »
  
• Eric : Témoin
  
• Yvette : Témoin
  
• Boris : Témoin
  
• Gérald : Témoin
  

Enfin, l'Invité de Pascal Vrebos sera Sabine Laruelle, ministre des PME, des Indépendants, de l’Agriculture et de la Politique scientifique - MR

Voici ce que veulent les Flamands !


Le débat était inédit sur le plateau de Controverse ce dimanche midi sur RTl TVi. Il n'y avait que des invités flamands, dont de nombreux personnages politiques. Parmi les revendications qui font l'unanimité au Nord: que l'on respecte le droit du sol et que les transferts d'argent vers la Wallonie cessent.








Cette info en vidéo

• Elections 2010: la vision flamandede la Belgique évoquée ...
  

Magazines de la rédaction - Controverse 14:54
L'émission Controverse se penchait ce dimanche sur la volonté des Flamands. Comment voient-ils l'avenir de la Belgique ? Que reprochent-ils exactement aux francophones et quel genre de cohabitation souhaitent-ils ? Le débat était ouvert ce dimanche midi dans le studio de l'émission. Et pour répondre à ces questions, il y avait des écrivains néerlandophones ainsi que des journalistes et professeurs. Mais une grande partie du paysage politique flamand était également présente. De Groen ! à la Liste De Decker, les politiciens flamands imaginent-ils le même avenir pour la Belgique ?

"Que l'on respecte le droit du sol"
Brigitte Grouwels, du CD&V, a ouvert le débat. "Les Flamands veulent d'abord que l'on respecte le droit du sol. C'est dommage que des extrémistes francophones, surtout à Bruxelles, enveniment toujours les débats. Nous souhaitons aussi plus de pouvoirs pour les régions et communautés car les problèmes que l'on observe à Bruxelles, en Flandre et en Wallonie sont bien différents". Un discours que comprend l'écrivain Geert Van Istendael, qui va même plus loin dans les revendications: "On demande un peu de respect. C'est quoi cette attitude de venir habiter en Flandre sans même essayer d'apprendre le néerlandais ? C'est totalement contradictoire", estime-t-il.

Steven Gatz, de l'Open VLD, voit un peu les choses de la même façon, mais en se montrant moins radical: "Les bons comptes font les bons amis. Mais on l'impression que les francophones veulent toujours élargir leurs droits. En même temps, je comprends que Bruxelles ait l'intention de s'étendre vu l'augmentation de la population urbaine".

Un bloc "confédéraliste", mais différent !
C'est à ce moment que Jean-Marie Dedecker est intervenu. "Je suis confédéraliste, et donc très réaliste. La Belgique va continuer à vivre. Mais il y aura plus d'autonomie pour les régions. Je trouve le système suisse magnifique. Et ce système fonctionne, dans tous les secteurs, tant au niveau économique que dans la justice", a-t-il fait valoir. "Moi je pense que des partis nationalistes ne disent pas le fond de leur pensée. La N-VA et la Liste De Decker veulent le séparatisme. En tout cas beaucoup plus que ce qu'ils disent", a tout de suite rétorqué Brigitte Grouwels.

Steven Gatz a également tenu à se dissocier des propos de Jean-Marie Dedecker. "Je suis un confédéraliste convaincu mais je m'oppose à la LDD parce que nous sommes plus pragmatiques. Il veut tout de suite aller loin et au fond des choses. Je pense qu'on peut y arriver par étapes, avec des solutions négociées".

Pas de bloc flamand
Liesbeth Van Impe, éditorialiste du journal Het Nieuwsblad, a conclu de ces différents propos que "il n'y a pas de bloc flamand. Tous les partis veulent du changement. Une réforme de l'Etat, dans plusieurs secteurs. Mais chacun d'entre eux veut prendre un chemin différent. Tout le monde parle de confédéralisme pour ne pas choquer en utilisant des mots tels que séparation ou indépendance, mais derrière ce mot confédéralisme, il y a beaucoup d'objectifs différents".


"On veut arrêter les transferts d'argent"
Boris, un jeune citoyen francophone invité à l'émission, a tenu à poser une question franche et directe aux politiciens flamands. "Ce confédéralisme, n'est-ce pas une volonté masquée d'arrêter de donner de l'argent à la Wallonie ?"

"Bien sûr que le confédéralisme est une façon pour arrêter les transferts d'argent vers la Wallonie. La région a été aidée par l'Europe et par la Flandre pendant 60 ans. Nous souhaitons maintenant que cela s'arrête et, avec plus d'autonomie, la Wallonie s'en sortira mieux. Elle apprendra à être plus responsable", a tout de suite répondu Jean-Marie Dedecker, sans langue de bois.

"La question devrait être posée dans les deux sens. Est-ce que les Wallons ne veulent pas maintenir cet Etat fédéral pour garder l'argent de la Flandre ? La question mérite d'être posée", a pour sa part répondu Bruno Tobback, plus nuancé dans son discours.

"Le Wooncode fait partie de la politique sociale"
Le Wooncode est rapidement venu sur la table. Brigitte Grouwels a tenu à préciser que le Wooncode "concernait uniquement les logements sociaux. C'est normal et cela fait partie d'une politique sociale d'intégration. Cela permet de participer à la vie d'une commune flamande".

Pour Jean-Marie Dedecker, c'est une obligation imposée par le manque de volonté des francophones. "Ils vont en périphérie, chez nous. Quand ils veulent pas parler flamand, on trouve des moyens pour qu'ils le fassent. La solution qu'on a trouvée c'est le Wooncode. Comme ça ils doivent le faire, et ça évite les tensions sociales futures. Et l'examen n'est pas sévère, je ne comprends donc pas où est le problème".

Pourquoi tant d'intérêt pour BHV ?

Enfin, beaucoup de citoyens se posent la même question: "Pourquoi accorder tant d'intérêt à BHV alors que d'autres soucis semblent bien plus urgents" ? "Si on est dans un train qui va nulle part, on doit utiliser le frein d'urgence. Depuis 2007, il n'y a pas de confiance dans le gouvernement pour régler les grands thèmes. Il est impossible de résoudre ces gros dossiers si BHV n'est pas résolu", a expliqué Steven Gatz, membre de l'Open VLD qui a fait tomber ce gouvernement.

"Ils ont raison, BHV doit être réglé en priorité, sinon on n'avancera dans aucun domaine", a admis Bruno De Lille de Groen !.