La Flandre et les autres

Rappel du premier message :

La scission de BHV votée en mai faute de solution de fond



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Belgique - Politique 11:05 La proposition de loi visant à scinder l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV) sera votée au mois de mai en séance plénière de la Chambre faute de solution de fond au problème communautaire qui divise francophones et néerlandophones, a indiqué mardi le député flamand Eric Van Rompuy sur La Première (RTBF).
Selon le frère du président du Conseil européen, il faut, concernant BHV, "une solution de fond parce que, début mai, la proposition de loi sur la scission sera mise au vote en séance plénière". Le texte de scission est gelé depuis 2007 par une série de procédures en conflits d'intérêts. La dernière en date devrait prendre fin d'ici quelques semaines. Théoriquement, le Parlement bruxellois pourrait déclencher une nouvelle procédure dont certains craignent les conséquences communautaires au sein de la Région-capitale. L'ancien premier ministre Jean-Luc Dehaene a été chargé par le roi de réfléchir à un compromis sur des réformes institutionnelles, et en particulier sur BHV. Il est censé aboutir dans les prochaines semaines. Parmi divers scénarios évoqués par les observateurs, on a parfois mentionné celui d'une solution transitoire qui permettrait de reporter le règlement du problème au fond lors de la prochaine législature. Eric Van Rompuy rejette ce scénario. "Seule une solution de fond peut mener à retirer cette proposition (de scission). Mais s'il n'y a pas de solution, les partis flamands vont voter, avec toutes les conséquences" que cela implique, a-t-il assuré. (OCH)

Gestion de Bruxelles par les francophones


Quand l’Etat belge vend ses immeubles... c'est lui qui paie !


La vente de nombreux immeubles de bureau et leur relocation par la suite a entraîné des coûts "abyssaux" pour l'Etat durant la dernière décennie, selon des calculs effectués par Le Soir et publiés ce mardi par le quotidien.


Economie - Belgique 11:18



Entre 2001 et 2004, 882.687 mètres carré (presque exclusivement du bureau) ont été mis en vente et généré un montant de 840,719 millions d'euros. En 2006, la vente de la société Fedimmo, dotée de 62 bâtiments, rapporte 576 millions d'euros de plus à l'Etat. Celui-ci a pourtant toujours besoin de toits pour loger ses fonctionnaires. Une majorité des immeubles vendus ont donc été reloués.
La conséquence de ces opérations, qualifiées de "sale & lease back", est l'explosion de la charge des loyers. En 2004, les 128,2 millions d'euros de loyers représentaient 31,4% du budget de la Régie des bâtiments. En 2009, l'addition montait à 409,1 millions. Si les bâtiments vendus de 2001 à 2004 ont rapporté plus de 840 millions, ils vont également générer 1,666 milliard de loyer d'ici 2031, sans compter l'indexation.

Crise: le Roi sort de sa réserve


Alors que les médiateurs royaux lui remettront cet après-midi leur rapport qui mettra fin à leur mission, le roi a demandé à Leterme II d'agir au maximum sur le socio-économique.






Vos réactions
"Ce n’est pas de la politique que ces gens devraient faire mais du théâtre " Lire les autres réactions




Quelques titres de la presse flamande

"Et maintenant ?" (Het Nieuwsblad)
"Le pari de De Wever" (De Standaard)
"On repart de zéro" (Het Belang van Limburg)
"Les compteurs à zéro" (Gazet van Antwerpen)

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  Belgique - Politique 17:25
  Le roi a demandé mardi au premier ministre Yves Leterme que "le gouvernement en affaires courantes, en collaboration étroite avec le Parlement, fasse le maximum pour préserver le bien-être économique et social des citoyens dans cette très longue période d'affaires courantes", selon les termes d'un communiqué du Palais. Le roi a reçu M. Leterme qui l'a par ailleurs "informé des travaux de la Conférence de l'ASEM (Sommet Europe-Asie), qui se tient à Bruxelles ces lundi et mardi, et des progrès réalisés jusqu'ici dans le cadre de la Présidence belge de l'Union européenne", toujours selon le communiqué.
  
  Leterme: "Je fais le maximum"
  Le premier ministre Yves Leterme a dit mardi que la mise en place d'un gouvernement provisoire sous la forme du gouvernement d'affaires courantes amaigri mais avec des pouvoirs plus étendus, n'est pas à l'ordre du jour. "Le plus important est de travailler à la formation d'un gouvernement de plein exercice. Entre-temps, je fais le maximum avec mes collègues pour gérer au mieux dans le cadre des affaires courantes", a-t-il déclaré dans une interview à l'émission Terzake qui sera diffusé mardi soir.
  

A qui incombera la prochaine mission royale ?
Pour leur part, les présidents des trois partis francophones, PS, cdH et Ecolo, se sont discrètement réunis ce matin, après leur communiqué commun publié hier et leur passage (sauf pour Elio Di Rupo, invisible depuis l'annonce de Bart De Wever) sur les plateaux télé du soir. Cet après-midi, ils retournent chacun dans leur siège pour mettre au courant leur état-major et déterminer une ligne de conduite. Les trois partis francophones se sont montrés très unis ces dernières semaines, apparaissant l'un à côté de l'autre sur les plateaux de télévision et publiant des communiqués communs. Dans un futur proche, ils auront à fixer ce qu'ils diront au Roi et ce qu'ils lui proposeront. Qui proposer pour la prochaine mission ? Après Di Rupo, faut-il à nouveau un francophone pour débloquer la situation ou, au contraire, le flambeau doit-il être transmis à une personnalité de la N-VA ?

CE MATIN: REACTIONS DES FRANCOPHONES À LA DECISION DE LA N-VA
Joëlle Milquet (cdH) l’a confirmé en direct ce matin sur Bel RTL : "Bart De Wever n’a pas dit la vérité. Quand il prétend que les francophones ont reculé dans les négociations, c’est entièrement faux." Au contraire, Laurette Onkelinx et Jean-Michel Javaux (Ecolo) ont rappelé également par téléphone ce matin sur Bel RTL que c’est Bart De Wever qui n’a cessé de faire marche arrière après avoir accepté des accords !
Jean-Michel Javaux rappelait que les négociateurs N-VA "ont accepté un accord sur la loi de financement par deux fois. Le problème, c’est qu’ils vont de l’avant puis font marche arrière." "Quand il dit que les deux communautés de ce pays ne savent pas s’entendre, il ne veut pas que se rencontrent les vœux des trois régions des deux grandes communautés de ce pays. Alors que les partis francophones avaient fait des ouvertures extraordinaires saluées en Flandre. Au bout d’un moment il dit ‘vous acceptez ma formule ou on s’en va’", expliquait la vice-Première ministre PS, ajoutant qu’au final, Bart De Wever "veut démontrer par l’absurde que la Belgique est ingérable." La présidente du cdH rappelle que son parti est "toujours prêt, mais pour travailler avec des gens qui veulent réussir. Et on n’a pas l’impression que c’était le cas dans le chef de M. Dewever."
De Wever veut mettre les francophones à genoux
"On est face à un parti qui ne veut plus d’avenir pour la Belgique. Il faut vraiment se poser la question de savoir comment faire face à un nationalisme qui veut mettre une communauté à genoux", expliquait Mme Onkelinx. Ce que M. Javaux confirmait : "On sent derrière qu’il y a la volonté d’appauvrir les populations de Wallonie et de Bruxelles."

La scission, une solution à envisager… mais à négocier aussi
Laurette Onkelinx a rappelé ce que le PS a déjà répété : "Aujourd’hui, on doit tous en tant que responsables politiques imaginer tous les scénarios possibles." Mais Jean-Michel Javaux se voulait réaliste : "On sait aussi que si nous voulons nous séparer, il faudra négocier", soulignant les difficultés qui seront rencontrées étant donné l’ambiance actuelle …

La solution ? Soit négocier sans la N-VA, soit espérer une prise de conscience politique des partis flamands
"Le problème pour le moment, c’est l’attitude de l’ensemble des partis néerlandophones qui refusent de négocier sans la N-VA", résumait Mme Milquet. Voilà pourquoi selon M. Javaux, "ce qu’il faut, ce sont des responsables politiques qui ne pensent pas en termes électoraux."

Tour d'horizon de la presse flamande


Au Nord du pays, Bart de Wever est sur toutes les Unes de la presse quotidienne flamande. Et une question est sur toutes les lèvres: "Et maintenant?", "En nu?"


Belgique - Politique 20:27



Cette question est même le titre de la Une du Het Nieuwsblad. Le même journal pour qui la carte de la Belgique devient un puzzle.
En deuxième page, on peut y lire un édito interpellant. "Rien n'est impossible si vous le voulez vraiment?" s'interroge Liesbeth Van Impe citant la devise chère à Bart De Wever lors de sa campagne pré-électorale. Les avis se sont plus prudents sur l'homme le plus populaire de la Flandre. Il devient "l'homme qui ne veut pas dire oui". Mais aussi l'homme qui "veut une thérapie de choc".

De Standaard qualifie le coup de De Wever de "coup de poker". "La N-VA préfère ne pas avoir d'accord du tout, qu'un mauvais accord"
précise le journal.

Zero, nul, rien, niets
"Niets. Rien", titre De Morgen. Et un chiffre est présent dans plusieurs quotidiens: "zéro, nul". "On repart de rien", écrit het Belang Van Limburg. "De Wever remet les compteurs à zéro" titre la "Gazet van Antwerpen". "Zéro résultat" indique Het laatste Nieuws.

Louis Michel plaide pour arrêter le "bricolage institutionnel"


Louis Michel, ancien commissaire européen et ancien président du MR, plaide dans une interview à La Libre Belgique mercredi pour une "réforme de l'Etat qui nous délivre de ce problème communautaire pendant plusieurs décennies". Il défend également le contact que le MR a eu avec la N-VA chez Bruneau.




Un groupe Stratego au MR


Une équipe restreinte sera mise sur pied dans les prochains jours au MR afin de réagir rapidement et d'une seule voix dans les situations de crise, via des réunions régulières, indique Le Soir. Ce groupe entourant le président du MR Didier Reynders serait composé du chef de groupe au parlement wallon Willy Borsus, du président du MCC Gérard Deprez, de l'eurodéputé et ancien président du MR Louis Michel, du ministre Charles Michel et du président du FDF Olivier Maingain. Didier Reynders remettra en jeu son mandat de président à l'issue des négociations pour la formation du gouvernement et ne sera pas candidat à sa succession, avait confirmé le MR en juin.

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  Belgique - Politique 8:25
  "Nous avons simplement eu, une fois, un contact avec Bart De Wever et je ne le regrette pas. C'était simplement pour essayer de savoir jusqu'où les francophones avaient été dans les concessions", commente Louis Michel. Interrogé sur la volonté de la N-VA de voir le MR autour de la table, l'ancien commissaire européen explique: "je pense que la N-VA estime qu'elle porte un projet socio-économique plus libéral et ne souhaite pas être isolée dans une coalition marquée par un projet de gauche. Je suppose aussi que la méthode que nous avons toujours préconisée lui convient mieux. Elle consiste à dire 'Arrêtons le bricolage institutionnel' et voyons ce que nous pouvons faire ensemble au niveau fédéral pour que la Belgique reste une valeur ajoutée pour toutes les entités et tous les Belges".
  Louis Michel ne craint pas que son parti soit baladé par la N-VA s'il revenait à la table des négociations. "Après avoir été exclu et considéré comme mort clinique, on ne peut plus avoir peur de rien."
  Louis Michel, tout comme Charles Michel dans Le Soir, plaide à nouveau pour des gouvernements miroirs entre les entités fédérées et le gouvernement fédéral.
  

Chacun gagne sont pain a sa façon.

MAIS OU EST PASSÉ OLIVER HARDY !!!

JACKLELOUP a écrit:

Si tu parle de Flahaut il a reprit le pot de chambre et chante j'irai revoir ma Wallonie .

Toujours pas de libéraux chez le Roi… alors que la N-VA les réclame


Le Roi a reçu en audience hier Bart De Wever, Elio Di Rupo, Wouter Beke et Caroline Gennez. Il recevra ce jeudi Joëlle Milquet, Jean-Michel Javaux et Wouter Van Besien. Mais les libéraux ne sont toujours pas invités, alors que le député N-VA Siegfried Bracke tendais les bras à l'Open Vld et se montrait proche du MR hier à Gand.



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Pour la 4ème fois déjà depuis le 13 juin, le roi a repris hier une série de consultations en vue de sortir notre pays de l’ornière. Le souverain a commencé en recevant le président de la N-VA, Bart De Wever, responsable d’avoir quitté la table lundi. Ont suivi Elio Di Rupo (PS), Wouter Beke (CD&V) et Caroline Gennez (sp.a). Ce jeudi, le Roi recevra la présidente du cdH Joëlle Milquet ainsi que les présidents des deux formations écologiques, Jean-Michel Javaux (Ecolo) et Wouter Van Besien (Groen!). Mais la visite des libéraux ne serait toujours pas à l’ordre du jour, malgré un nouvel appel du pied de la N-VA.

N-VA, MR et Open Vld d'accord sur la méthode de travail
Le député Siegfried Bracke (N-VA) a tendu la main vers le CD&V et l'Open Vld pour négocier une réforme de l'Etat lors d'un débat organisé à Gand. "J'ai le sentiment qu'avec trois partis nous pouvons arriver à un certain stade en matière de réforme de l'Etat", a-t-il indiqué, faisant référence aux libéraux et chrétiens-démocrates flamands. Le député N-VA a également fait part de la méthode de négociations qu'il préconise. Selon lui, il est "l'évidence même" que Flamands et Francophones doivent tout d'abord définir ce qu'ils veulent encore faire ensemble. Une vision des choses partagée, préconisée et répétée depuis lundi pas le MR et Didier Reynders dans chaque intervention médiatique.
Lors de ce débat, le président de l'Open Vld, Alexander De Croo, a indiqué que pour sa part la N-VA doit prendre la direction des opérations pour former un nouveau gouvernement fédéral. A la question de savoir si son parti souhaite participer aux discussions, Alexander De Croo a répondu que cela dépendait de ce qui se trouvait sur la table. Le président de l'Open Vld a ajouté que les partis autour de la table des négociations devaient tout d'abord déterminer ce qu'ils voulaient garder au niveau fédéral, une position qui rejoint celle du député Bracke et des libéraux francophones.
L’arrivée des libéraux autour de la table semble donc être le principal souhait de la N-VA. Sera-t-il entendu par le Roi ?

Bart De Wever devient "clarificateur" pour 10 jours


Le président de la N-VA, qui avait coupé court aux négociations lundi, a été responsabilisé par le Roi. Il devient « clarificateur » et a 10 jours pour rapprocher les points de vue sur le communautaire. De plus, Albert II lui a demandé de ne négocier qu'avec les 7 partis déjà engagés dans les discussions. Mais la N-VA s’est empressée de préciser que De Wever était libre de consulter qui il voulait…








"Clarificateur"

Il est devenu d'usage en Belgique de trouver un surnom pour les chargés de mission du roi. De Van Rompuy, chargé d'une mission de déminage, et donc devenu démineur, au duo de chargés de médiation Flahaut-Pieters, devenus médiateurs, il était donc logique d'appeler Bart De Wever "clarificateur" royal. Ce mot existe bien, mais il était réservé jusqu'ici à la sédimentation des matière organiques en suspension. Un procédé chimique donc.

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Belgique - Politique 7:01
Le président de la N-VA est arrivé vendredi soir vers 19h30 au château de Laeken où il a été reçu par Albert II. L'entretien a duré un peu moins de deux heures. Le Roi a finalement chargé Bart De Wever d'une "mission de clarification" de dix jours avec "les sept partis qui étaient autour de la table" pour "rapprocher les points de vue" sur les dossiers institutionnels au coeur des discussions, selon les termes du communiqué du Palais. Ces dossiers sont :

• BHV
  
• le refinancement de Bruxelles
  
• le transfert de compétences aux entités fédérées
  
• la loi de financement en ce compris la clarification de ses conséquences
  

Avec ou sans les libéraux ?
Bart De Wever présentera son rapport au roi le lundi 18 octobre. La mission de clarification s'opérera à sept, les libéraux n'étant donc en principe pas conviés dans cette nouvelle phase de dix jours. "Cependant", a précisé la N-VA dans un communiqué, "le chargé de mission royal est libre de consulter qui il souhaite dans le cadre de sa mission". Cette formulation ne manquera dès lors pas d'entretenir le doute.

Réactions du PS, cdH et Ecolo
Les trois partis francophones concernés (PS, cdH, Ecolo) ont pour leur part pris acte dans des communiqués séparés, mais aux formulations fort semblables, de la mission attribuée à Bart De Wever.
La N-VA avait décidé lundi de mettre un terme aux discussions institutionnelles engagées depuis quatre mois avec le PS, le CD&V, le sp.a, le cdH, Ecolo et Groen! . Elle avait dit souhaiter que les discussions repartent de zéro selon de nouvelles modalités et M. De Wever avait affiché sa "disposition" à oeuvrer en ce sens. Le PS, le cdH et Ecolo ont affiché leur volonté de reprendre les négociations "sans repartir d'une page blanche". Ce que semble suggérer la mission royale de dix jours.

La menace de scission unilatérale de BHV revient
Les trois partis francophones insistent par ailleurs sur le fait que le retour à la confiance "suppose également que les partis impliqués dans les discussions institutionnelles refusent de déposer ou de traiter en urgence toute proposition de loi visant à la scission unilatérale de l'arrondissement de BHV". La possibilité de déposer une telle proposition et de demander l'urgence, le cas échéant, existera dès la semaine prochaine, à la faveur de la rentrée parlementaire. On prête au Vlaams Belang l'intention de prendre une telle initiative. Les partis francophones seront donc attentifs à la réaction des partis flamands associés aux discussions.
Bart De Wever a fait savoir qu'il mènerait sa mission "en toute discrétion". Il a dit espérer que les partenaires autour de la table de discussion en feraient de même

Et après,un scarificateur?

Ensuite , éboueur !!!!

Charly a écrit:

Et après,un scarificateur?

C'est vrais qu'il y beaucoup de poubelles a sortir de Bruxelles

Ensuite , éboueur !!!!

Et ensuite pour Bruxelles un Karchérisateur!!!!!!!

Comment “clarifier” la situation politique?


Les yeux dans les yeux: Le député N-VA Siegfried Bracke sera pour la première fois ce midi sur un plateau de télévision francophone. Celui qui était encore, peu avant les élections, un présentateur de débats politiques (il était un peu le "Pascal Vrebos flamand"), est devenu en quelques mois le n°2 du parti nationaliste et un membre influent du fameux "groupe stratego". A noter que le député Siegfried Bracke, l'un des hommes forts de la N-VA sera également l'invité de Pascal Vrebos dans les yeux dans les yeux.


[img:a5b8]http://www.rtlinfo.be/pictures/div/2010_10_10/325x203/Bracke[2].jpg[/img:a5b8]




Sans Langue de Bois


Tous les dimanches à 11h30 en direct sur RTL-TVI, décodage et décryptage de l’actualité politique. Comment expliquer les différentes déclarations de nos élus ? Quelle stratégie ? Quelles images, interviews ont marqués la semaine ? Frédéric Cauderlier en parlera ce dimanche avec :

• Michel Henrion, ancien porte parole de Guy Spitaels
  
• Alain Raviart, ancien directeur de la communication du cdH
  
• Cécile Bertrand, caricaturiste "La Libre Belgique"
  
• Mehmet Koksal, journaliste indépendant
  

• 15
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• Magazines de la rédaction - Controverse 8:56
  

Bart De Wever a été nommé “clarificateur” par le roi alors que l’ensemble des 6 partis désiraient que ce soit le socialiste flamand Johan Vande Lanotte. De Wever et la N-VA ont-ils toutes les cartes en main ? Quel sera le résultat dans 10 jours ? Les partis francophones ont-ils encore confiance en De Wever ? Quelle est la stratégie finale de la N-VA ? Que veulent et que peuvent encore faire ensemble Flamands et francophones ?

Les invités :

• Jean-Claude Marcourt : Vice-Président wallon et Ministre de l’Économie, des PME, du Commerce extérieur et des Technologies nouvelles — PS
  
• Jean-Marc Nollet : Vice-Président wallon et Ministre du Développement durable, de la Fonction publique — Ecolo
  
• Catherine Fonck : Vice-Présidente du cdH et chef de groupe cdH à la Chambre
  
• Gérard Deprez : Sénateur, Président du MCC (MR) et Ministre d’Etat
  
• Eric Van Rompuy : Député flamand — CD&V
  
• Bert Kruismans : Humoriste flamand
  
• Pascal Delwit : Politologue à l’ULB
  
• Dave Sinardet : Politologue à l’Université d’Anvers
  

Duel :
Aura également lieu un duel entre Etienne Vermeersch, philosophe et Olivier Maingain, président du FDF.

L'Invité :
L’Invité de Pascal Vrebos ce dimanche sera Elio Di Rupo, le président du PS.

Clarification: Bart De Wever met déjà la pression


Bart De Wever entre dans le vif du sujet et entame sa mission de clarification ce lundi. La N-VA n'exclut pas de consulter les libéraux dès le début de la semaine. Une méthode que consteste Elio Di Rupo.








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Belgique - Politique 13:51
Nouvelle casquette pour Bart De Wever à partir de ce lundi matin. Le président des nationalistes flamands débute sa mission de clarificateur royal. Il a huit jours pour tenter de rapprocher les points de vue des partis engagés dans les négociations sur la réforme de l'Etat. Une tâche qui s'annonce plutôt rude, tant le divorce entre le N-VA et les partis francophones semble consommé.
Déchargé de sa mission de préformation, Elio Di Rupo est sorti de son silence, dimanche. Et il a clairement annoncé la couleur. "Il n'y aura plus d'ultimatum ou d'ukase", a-t-il confié sur le plateau de Controverse. "On ne va pas se laisser impressionner. Nous existons depuis 125 ans et en avons vu d'autres", a-t-il ajouté.

Nouvelle deadline
Le président du PS a ainsi directement réagi à la nouvelle deadline imposée par la N-VA. Les nationalistes n'appuieront pas la scission de BHV au parlement, mardi, mais ils prévoient d'explorer ce chemin parlementaire si la mission de clarification de Bart De Wever n'aboutit pas. Ils mettent donc déjà la pression sur les six autres partis...
Face à cette attitude, Di Rupo a déjà affiché son pessimisme quant aux chances de réussite de la nouvelle mission royale. Par ailleurs, le président du PS a promis de consulter les libéraux en cas de passage en force des partis flamands dans le dossier BHV. Pas question, par contre à l'heure actuelle de les intégrer aux négociations pour la formation du gouvernement.

Le CD&V veut continuer à investir dans un "plan A"
Veut-on encore investir dans le plan A ? Le CD&V se pose la questions. Pour sa part, il répond oui.

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Belgique - Politique 16:44

Pour le CD&V, il faudra établir cette semaine si les partis veulent encore investir dans le "plan A". Le Bureau du CD&V s'est inquiété lundi de "l'agressivité verbale" qui régit les relations des partenaires associés au cours des derniers mois à la négociation pour la formation d'un nouveau gouvernement. Le parti dit rejeter cette façon d'agir et opter pour sa part pour un "radicalisme raisonnable" (radicale redelijkheid). "Radicalisme, parce que nous restons sur notre ligne en ce qui concerne le fond: il faut un gouvernement de plein exercice , il faut une réforme de l'Etat conforme à la note octopus flamande et BHV doit être scindé. Raisonnable, parce que ces buts ne peuvent être atteints que par la négociation sur des propositions concrètes, par le respect entre les partenaires et par la discrétion", dit le président Wouter Beke dans un communiqué. Le CD&V en appelle à chacun pour mettre toute son énergie dans la négociation d'une réforme de l'Etat plutôt que dans un jeu qui consiste à s'envoyer des reproches et se rejeter les responsabilités. Le parti ajoute qu'il faudra déterminer dans la semaine à venir si les partis veulent encore investir dans le "plan A", à savoir une réforme de l'Etat, une vraie scission de BHV et un vrai gouvernement fédéral. "La réponse du CD&V est claire: c'est oui", conclut le communiqué.

569 -

Citation :

Le CD&V en appelle à chacun pour mettre toute son énergie dans la négociation d'une réforme de l'Etat plutôt que dans un jeu qui consiste à s'envoyer des reproches et se rejeter les responsabilités

Au départ ces bisbilles politiques belges avaient un côté charmant, exotique et insolite qui bien que prêtant à sourire paraissaient passagères et anecdotiques.

Comme la plupart des veaux sur cette rive républicaine du Quiévrain ne pigeant rien à la ratatouille institutionnelle du Royaume de Belgique, je commence malgré cette ignorance crasse à trouver tout ce pédalage dans les moules-frites un tantinet lassant et relou un max.

Dites, Amis belges, ne pourriez vous pas exiger de vos ridicules politicards qu'ils cessent la récréation et qu'ils retournent en classe finir leurs devoirs comme des grands et les remettre à l'instituteur Monsieur Albert pour qu'il récompense le meilleur ?

Ça ferait du bien au(x) peuple(s) belge(s) et à toute l'Union européenne ça ferait des vacances.

Par avance merci à vous.

Clarificateur: il faut relancer les négociations, disent le CD&V et le sp.a


Belgique - Politique lun 11 oct, 21:58


Tant le président du CD&V Wouter Beke que son homologue du sp.a Caroline Gennez ont appelé lundi soir les vainqueurs des élections, à savoir, le PS et la N-VA, à relancer rapidement les négociations. Au cours de l'émission de la VRT, "Ter Zake", ils ont déploré les attaques verbales formulées par les uns et les autres au cours des derniers jours.
Wouter Beke a ainsi estimé que le plaidoyer d'Elio Di Rupo en faveur d'une Belgique composée de la Wallonie, de Bruxelles et des six communes à facilités et d'une révision des limites territoriales était "particulièrement indigne" d'un candidat-Premier ministre. Caroline Gennez a affirmé que le capital confiance perdu autour de la table pouvait être reconstruit seulement en discutant de contenu. Elle a réitéré son appel à la constitution d'un front flamand. Interrogé au cours de la même émission, le Vice-président du PS Philippe Moureaux a affirmé que la présidente du sp.a disait presque la même chose que le patron de la N-VA Bart De Wever, et que le sp.a constituait une petite formation qui suivait la N-VA à la trace. Il a par ailleurs jugé que tous les libéraux n'étaient pas les mêmes. D'après lui, le président du MR et Vice-premier ministre sortant Didier Reynders voit la fin de sa carrière politique approcher et est prêt à tout pour rester ministre. (AHO)

Bonjour Eddie quand ont voit la france et ses retraites c'est pas mieux.

572 -

Ces sauts de page gênant la continuité de la lecture et rendant parfois difficile le jeu des thèses/anti-thèses je réédite mon billet sur ce versant-ci pour que l'on comprenne l'intervention de l'excellent Jackleloup :

Citation :

Bonjour Eddie quand ont voit la France et ses retraites c'est pas mieux.

....message posté en réponse à :

EddieCochran a écrit:

569 -

Citation :

Le CD&V en appelle à chacun pour mettre toute son énergie dans la négociation d'une réforme de l'Etat plutôt que dans un jeu qui consiste à s'envoyer des reproches et se rejeter les responsabilités

Au départ ces bisbilles politiques belges avaient un côté charmant, exotique et insolite qui bien que prêtant à sourire paraissaient passagères et anecdotiques.

Comme la plupart des veaux sur cette rive républicaine du Quiévrain ne pigeant rien à la ratatouille institutionnelle du Royaume de Belgique, je commence malgré cette ignorance crasse à trouver tout ce pédalage dans les moules-frites un tantinet lassant et relou un max.

Dites, Amis belges, ne pourriez vous pas exiger de vos ridicules politicards qu'ils cessent la récréation et qu'ils retournent en classe finir leurs devoirs comme des grands et les remettre à l'instituteur Monsieur Albert pour qu'il récompense le meilleur ?

Ça ferait du bien au(x) peuple(s) belge(s) et à toute l'Union européenne ça ferait des vacances.

Par avance merci à vous.

Vous faites bien de m'en alerter Cher Jack car vue de mon Countat la France c'est très loin, alors que vous en Belgique vous êtes à côté avec un panoramique imprenable sur le tas de fumier au sommet duquel s'égosille le coq gaulois.

Je vous ferais quand même remarquer que les Français sont avant tout des râleurs congénitaux (quel vilain mot !) et qu'ils n'ont jamais prétendu être des gens organisés, disciplinés, travailleurs, sérieux et les plus riches d'Europe. Les plus intelligents peut-être, encore que le proclamer n'est pas une preuve d'intelligence.

Jack, en France le boxon incessamment renouvelé est un art, en Belgique ça fait tache parmi les beautés de votre culture.

La banque Natixis relève de "fortes disparités régionales" et compare l'économie wallonne à celle de la région Nord-Pas-de-Calais qui a aussi été touchée par la désindustrialisation. La banque table sur une participation au PIB belge de 23,3% pour la Wallonie, 18,7% pour Bruxelles et 57,9% pour la Flandre.