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Dernière édition par Sylvette le 15/11/2008, 11:40, édité 1 fois
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Zed
Nombre de messages : 16907 Date d'inscription : 13/11/2008
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 26/1/2009, 03:51
bénédicte a écrit:
7 français sur 10 favorables à la mobilisation de jeudi prochain...
Incompréhensible, mais bon... Et bien moi je trouve scandaleux que l'on m'oblige régulièrement à prendre le train en catastrophe car je n'ai pu me rendre à la gare en temps et en heure faute de métro ou de train... Et encore, si j'ai la chance de trouver mon train à quai... Et je ne parle pas des enseignants régulièrement absents, pour un oui, pour un non, à tel point que je ne cherche même plus à savoir pourquoi. Ensuite, on s'étonnera du choix de l'enseignement privé, ben voyons...
Je n'y connais pas grand chose mais les syndicalistes me font plutôt rire. Quand je vois la tête du patron de Sud Rail (syndicat très présent à Saint-Lazare et contre qui je peste régulièrement). Je me dis que décidemment, tout cela n'est pas très sérieux et ne fait que nous faire c... trop régulièrement.
Ce n'est pas les mouvements qui sont con, mais ceux qui les font vivres, mais c'est quand même mieux que de revenir en arrière comme par exemple l'islam et ses codes arrièrés.
Invité Invité
Sujet: MERCI MONSIEUR LE PRÉSIDENT SARKOZI. 26/1/2009, 11:55
277-
La fin de la publicité sur les chaînes publiques ne profite pas à TF1 ni à M6.
Le Monde.fr
La suppression de la publicité sur France Télévisions n'a pas tout à fait les effets attendus pour les chaînes privées. Depuis des semaines, les adversaires de la loi sur l'audiovisuel public s'inquiétaient d'un effet d'aubaine pour les chaînes privées. La fin de la publicité après 20 heures devait, disaient-ils, aboutir à un transfert quasi mécanique des investissements des annonceurs vers TF1 et M6.
Pourtant, trois semaines après l'entrée en vigueur de la mesure, on constate que les automatismes redoutés ne se sont pas produits. La réalité est, semble-t-il, un peu plus compliquée : depuis le 5janvier, au lieu d'augmenter, les recettes publicitaires des deux chaînes privées sont en chute sensible.
Ainsi, en janvier, les investissements publicitaires sur TF1 seraient en recul de 12 %, selon nos informations. Plus inquiétant : le nombre d'écrans publicitaires diffusés sur la Une a baissé de 11 % sur la même période. M6 s'en sort un peu mieux, mais là encore, à la surprise générale, les chiffres plongent : 3 % en chiffre d'affaires et 8 % en volume.
S'il se refuse à confirmer l'ampleur du manque à gagner qui affecte sa chaîne, Nicolas de Tavernost, le président du directoire de M6, admet 'un repli' dû 'à une baisse générale du marché pour toutes les chaînes'. Interrogée sur cette tendance, la régie publicitaire de TF1 préfère, elle, garder le silence.
Une chose est claire : l'effet d'aubaine se fait attendre. 'Il aurait eu lieu s'il n'y avait pas eu de crise', explique Emmanuel
Charonnat, directeur général adjoint de Starcom, agence média du groupe Publicis. Pour l'instant, TF1 est la principale victime de la situation. La crise pèse sur ses recettes publicitaires, mais elle souffre aussi des ajustements opérés par les annonceurs.
Pourtant, à la mi-janvier, la part de marché publicitaire de TF1 s'est élevée à 57,5 %. Sans avoir à baisser 'facialement' ses tarifs, la Une est devenue plus compétitive en janvier, note un professionnel : 'Avec des audiences plus fortes que prévu, son coût GRP [prix de revient pour toucher un téléspectateur via un spot publicitaire] a baissé.' Auprès des fameuses ménagères de moins de 50 ans, la cible préférée des annonceurs, le coût GRP serait même en recul de 17 % dans la journée, de 18 % en avant-soirée et enfin de 9 % en soirée....
Invité Invité
Sujet: 278 26/1/2009, 12:25
Il faudra 5 jours pour rétablir totalement le courant, dont 800.000 foyers sont encore privés.
Rien de tel qu'un Souper aux chandelles
Invité Invité
Sujet: 279 - mieux vaut rester sous sa couette ce jour là 26/1/2009, 12:44
Jeudi noir : ce qui vous attend Le 29 janvier risque d'être une journée de galère dans tous les services publics. A l'école, dans le métro ou dans les bus, voici ce qui vous attend.
D'autres secteurs (automobile, aéroports) seront probablement touchés. Banque, Poste, collèges, lycées, écoles, trains, routes, audiovisuel... Il a y peu de chances que vous échappiez à la journée interprofessionnelle d'action lancée par huit confédérations syndicales le 29 janvier. Elles réclament notamment des mesures pour l'emploi et les salaires, et veulent que les aides publiques soient "conditionnées" à la préservation de l'emploi. Elles demandent que toutes les mesures de baisse d'activité, comme le chômage partiel, soient "négociées" et que les aides publiques aux entreprises soient conditionnées à la préservation de l'emploi et des salaires. Elles réclament aussi l'abrogation des lois remettant en cause les 35 heures et le retrait définitif de la réforme sur l'ouverture des commerces le dimanche. Voici ce que les syndicats des diverses professions ont déjà annoncé. TRANSPORTS : A la SNCF, tous les syndicats sauf l'Unsa, 3e force syndicale, ont déposé des préavis de grève de mercredi 20h à vendredi 8h. Au moins cinq syndicats (CGT, Sud Rail, FO, CFE-CGC, Fgaac) appellent formellement à la grève mais la Fgaac l'envisage pour 59 minutes seulement. La CFDT laisse chaque région décider. Les prévisions de trafic seront connues au moins 24 heures à l'avance. A la RATP, six syndicats sur huit, dont les quatre premiers dans l'entreprise, ont appelé à la grève. Les prévisions de trafic seront connues 24 heures à l'avance. Dans le reste de la France, l'appel à la grève concerne également les sociétés de transports de toutes les villes de France, mais aussi les transporteurs routiers. Dans les aéroports, six syndicats de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), la CGT, FO, la CFDT, la CFTC, CFE-CGC et Unsa ont déposé un préavis de grève pour le 29 janvier. Les prévisions de trafic seront connues 24 heures à l'avance.
Education
La grève risque d'être plutôt bien suivie. Les syndicats appellent à la grève tous les personnels de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche ainsi que de la Jeunesse et des Sports. Ils veulent marquer leur opposition aux suppressions de postes, leur "lutte" pour "une école assurant la réussite de tous les jeunes", ainsi que "pour leurs salaires, leurs statuts et la revalorisation de leurs métiers". Dans le primaire, la négociation préalable à la grève entre syndicats enseignants du primaire et ministère de l'Education s'est apparentée à une "parodie" de négociations selon les syndicats et un préavis de grève devrait être déposé dans les jours qui viennent par tous les syndicats. Cette négociation entre dans le cadre de l'application, pour la première fois, du volet "prévention des conflits" de la loi sur le service d'accueil dans les écoles notamment les jours de grève. Ctte loi prévoit une procédure de négociation d'une durée de 10 jours au total, entre l'Etat et les organisations syndicales ayant l'intention de déposer un préavis de grève. Concernant Paris, où le maire PS Bertrand Delanoë a estimé que le service minimum n'était pas applicable pour des questions de sécurité, Xavier Darcos a déclaré que "les élus" parisiens UMP "ont fait prendre un amendement qui permet aux maires d'arrondissement d'organiser ce service minimum d'accueil. Mais évidemment il faut que la mairie de Paris respecte la légalité".
Les collégiens et lycéens risquent également d'être fortement présents dans les cortèges, même si la réforme et reportée. Tout comme les professeurs qui manifestent unitairement contre les 13.500 suppressions de postes prévues à la rentrée 2009. Les enseignants-chercheurs des universités qui protestent contre la réforme de leur statut, menacent eux de débuter une grève le 2 février dans les universités.
Services Publics
A France Télécom, les syndicats ont déposé des préavis de grève et veulent envoyer un "message fort" à la direction qui préparerait, selon eux, un autre plan de suppressions d'emplois appelé "Next II". A la Poste, les syndicats appellent à la grève contre la future transformation de l'entreprise en société anonyme. Au Pôle emploi, qui regroupe l'ANPE et les Assedic, quatre syndicats (FO, CGT, SNU-FSU, Sud) appellent à la grève. A l'Afpa (Association pour la formation professionnelle des adultes, service public), l'ensemble des syndicats appellent à la grève. L'intersyndicale appelle les agents de la fonction publique d'Etat, de la fonction publique territoriale et de la fonction publique hospitalière à participer aux manifestations pour réclamer l'ouverture de "véritables" négociations salariales et défendre "l'emploi privé et public et le maintien du pouvoir d'achat". Ils demandent aussi "l'annulation" des délocalisations de certaines administrations prévues dans le cadre de la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP).
Justice
Les sections CGT, CFDT, FSU, Usaj-UNSA du ministère de la Justice, le Syndicat de la magistrature (SM) et le Syndicat des avocats de France (SAF) ont appelé à la mobilisation contre "le démantèlement du service public de la justice". FO-magistrats a prévu des rassemblements dans les palais de justice. L'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire) a appelé les magistrats à s'associer à la journée d'action "par tous moyens déclinés localement".
Banques
Cinq fédérations syndicales des banques et des sociétés financières (CFDT, CFTC, CGT, FO, SNB-CFE-CGC) appellent les salariés et les retraités du secteur à participer "massivement aux manifestations dans toutes les régions de France". "Surmonter la crise nécessite des mesures d'urgence d'une autre nature que celles prises par l'Etat et les entreprises. Il faut aujourd'hui imposer et mettre en oeuvre un plan au service de l'emploi et des rémunérations afin de relancer l'économie", ont estimé les cinq fédérations. Elles ont aussi demandé au patronat d'"améliorer les conditions de travail devenues insupportables" et de se "recentrer sur le coeur de notre métier pour proposer des produits et services qui correspondent réellement aux besoins des clients et favorisent durablement la pérennité des établissements financiers".
Audiovisuel
L'intersyndicale de l'audiovisuel public se joindra elle aussi à la grève. Les syndicats de la télévision et de la radio publiques (SNRT-CGT, SNJ-CGT, CFE-CGC, CFDT, CFTC, FO, SNJ, Sud, CSA, SITR et SRCTA-Unsa) appellent à cesser le travail. Outre les revendications interprofessionnelles, ils demandent notamment un "financement pérenne et dynamique" pour l'ensemble des sociétés de l'audiovisuel public, le "maintien du périmètre" de la télévision et de la radio publiques, ainsi que leur "indépendance politique, éditoriale et stratégique". En "préalable", ils "refusent tout plan social" à Radio France Internationale (RFI). La direction de la station a annoncé la semaine dernière la suppression de 206 postes sur un millier dans le cadre d'un "plan de modernisation".
Autres secteurs
Enfin, d'autres secteurs ont prévu de se mettre en grève ce jour-là. Chez Renault à l'appel de l'ensemble des syndicats, chez PSA Peugeot-Citroën, chez les pilotes d'hélicoptère, chez les employés des remontées mécaniques des cinq massifs français, chez l'opérateur boursier NYSE-Euronext, chez le leader européen du conseil en infrastructures réseaux et systèmes Devoteam. Les syndicats appellent les retraités "durement touchés par la crise" à "se mobiliser en masse". Les syndicats de chômeurs AC!, l'Apeis et MNCP appellent à manifester. L'intersyndicale de la DCNS (Direction des constructions navales) appelle à participer à la journée de mobilisation contre la "filialisation tout azimut". La CGT appelle aussi à la grève les employés... des remontées mécaniques des cinq massifs français (Alpes, Pyrénées, Massif central, Vosges et Jura).
Invité Invité
Sujet: 280 - super idée 26/1/2009, 13:02
À l'image de ce qui existe déjà à Amsterdam, les appartemements-conteneurs havrais seront empilés sur trois à cinq niveaux. Crédits photo : AFP
Soutenue par Valérie Pécresse, l'idée importée d'Europe du Nord verra le jour au Havre d'ici au mois de septembre.
Comment construire des cités U à la vitesse grand V ? Le Havre, qui compte aujourd'hui quelque sept mille étudiants et qui doit faire face à la pénurie de logements sociaux adaptés, vient de trouver une solution qui pourrait être dupliquée dans d'autres villes françaises si elle s'avère concluante. D'ici à la prochaine rentrée universitaire, cent logements étudiants auront vu le jour dans des… conteneurs !
Des conteneurs ? Normal dans une ville portuaire où, chaque année, ce sont plus de deux millions et demi de ces boîtes métalliques qui transitent. Mais ces conteneurs-là, dont le principe est importé des Pays-Bas, n'ont rien à voir avec ceux qui abritent des marchandises en tout genre. Isolation phonique et thermique, chauffage, parquet, salle de bains, kitchenette, balcon et connexion Wi-Fi assurent un confort supérieur aux chambres de certaines cités universitaires. «Nous sommes dans un concept innovant, explique le président de l'université du Havre, Camille Galap. Nous aurons un ensemble de haute qualité environnementale et de haute performance énergétique avec des panneaux photovoltaïques.» 30 000 euros pour un 27 m2 Installés dans les quartiers sud du Havre, à l'interface du centre-ville et de la zone portuaire, les futurs appartemements-conteneurs seront empilés sur trois à cinq niveaux, à l'image de ce qui existe à Amsterdam. «C'est très convaincant», poursuit Camille Galap, qui est allé se rendre compte sur place. «Et aujourd'hui, ajoute-t-il, tout le monde est convaincu de l'intérêt de ce système.» «Après tout, pourquoi pas, souligne Marie, étudiante havraise prête à franchir le pas. S'il y a une bonne isolation et un bon niveau de confort…» Les avantages seraient multiples, selon le président de l'université. En termes de rapidité d'abord : en quelques semaines, on «construit » un immeuble d'appartements-conteneurs. En termes de surface et de prix ensuite : «Pour environ 30 000 euros par logement, note Camille Galap, nous avons le double de surface que si nous faisions des bâtiments en dur.»
Chaque conteneur offrira une surface de vingt-sept mètres carrés pour un loyer, hors aides au logement, de l'ordre de 250 euros par mois. Il y a quelques jours, Valérie Pécresse a annoncé que le ministère de l'Enseignement supérieur apporterait, dans le cadre du plan de relance, un million d'euros dans ce programme représentant un investissement de 3,5 millions d'euros.
bon, on n'est pas obligé non plus de les colorier ! "bleu blanc rouge", il y a d'autres couleurs pour que ces conteneurs s'intègrent dans le paysage
Invité Invité
Sujet: à Rennes 26/1/2009, 13:06
pour 10 m2 il faut payer 450 euros par mois, alors pourquoi pas des conteneurs
Invité Invité
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 26/1/2009, 13:51
Si tu déménage tu prend le container?.
Invité Invité
Sujet: 283 - salut Jack 26/1/2009, 13:55
non non c'est une location
Invité Invité
Sujet: 284 - ils ont la totale 26/1/2009, 14:22
Tempête Les inondations menacent, réunion d'urgence à Matignon
Alors que le courant revient progressivement aux 680.000 foyers qui restaient sans électricité lundi matin, Fillon réunit cet après-midi les acteurs concernés par la tempête.[/b]
Après les vents, les fleuves menacent : six départements sont concernés par une alerte orange inondations.
Invité Invité
Sujet: 285 - ça m'aurait étonnée !!! 26/1/2009, 17:13
ça y est la gauche, le modem, les syndicats ......font feu de tout bois
Alors que François Fillon réunissait lundi après midi les ministres et acteurs concernés par la tempête, la controverse se développait autour des moyens destinés à lutter contre l'impact de la tempête. A gauche et au Modem, mais aussi au sein des syndicats, on déplore un manque de moyens.
Henri Emmanuelli, président PS du conseil général des Landes, dont les forêts de pins ont été ravagées par la tempête, a jugé lundi "dérisoires par rapport à la réalité" les sommes évoquées pour faire face aux conséquences de cette catastrophe naturelle. Pour le député des Landes, l'Etat doit donner "la priorité aux actes et pas à la com'" alors "certaines autorités" annoncent "des actions que ne voient pas les gens" sur le terrain. Selon Henri Emmanuelli, cette tempête est "beaucoup plus grave qu'en 1999", "pas sur le plan humain (...) mais sur le plan économique".
Le président du Mouvement démocrate, François Bayrou, a jugé pour sa part que la question de l'enfouissement des lignes électriques devait être "traitée d'urgence" en France, jugeant "inimaginable" qu'un "pays comme le nôtre" soit "aussi vulnérable à un coup de vent". Selon lui, "il est impossible qu'on en reste là, avec un pays qui se trouve paralysé pour huit à dix jours lorsqu'il y a une tempête, ce qui après tout est un événement météorologique normal". "Je n'arrive pas à imaginer qu'un pays comme le nôtre, dont les technologies et les entreprises sont à ce point en pointe, soit incapable de traiter un problème aussi simple", a-t-il insisté, se disant "sûr qu'il existe aujourd'hui des méthodes pour enfouir des lignes qui coûtent moins cher que ce qu'on nous annonce".
Des services publics trop affaiblis pour faire face ?
Les syndicats ont aussi estimé lundi que les difficultés rencontrées pour réparer les dégâts causés par la tempête étaient dues au "manque de personnel" et au "démantèlement" des services publics, induits par la réforme de l'Etat en cours. Selon le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, les délais nécessaires pour rétablir le réseau électrique dans le Sud-Ouest sont ainsi directement liés à la fermeture de centres EDF sur place. "Pour faire face à ce genre de situations, il faut détacher du personnel qui vient du reste du territoire pour représenter des renforts en des lieux qui ont des besoins urgents", a-t-il poursuivi, et cela "implique des délais qui sont plus importants, avec davantage de répercussions pour nos concitoyens". Pour le dirigeant de la CGT, cette situation permet "d'apprécier en quoi il est important de pouvoir disposer de services publics conséquents, efficaces et disposant de moyens adaptés. Ce sera aussi l'objet de la mobilisation du 29 janvier".
Même son de cloche à Force Ouvrière où la fédération des Transports a estimé que le "morcellement" des responsabilités publiques lié à la décentralisation et la "suppression en cours" des services techniques et territoriaux de l'Etat "s'opposent à une réponse efficace et coordonnée des services publics". A Météo-France, le syndicat Spamset-Solidaires, qui se dit la première organisation interne, a jugé de même que le gouvernement et la direction de Météo-France faisaient "fausse route en décidant de fermer une cinquantaine de centres météorologiques, indispensables à la surveillance du temps et du climat".
Dans l'ensemble, les syndicats ont jugé que la Révision Générale des Politiques Publiques, à laquelle ils sont opposés, et qui prévoit le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, va "accentuer cette dérive dont on mesure pourtant déjà les effets dramatiques".
Invité Invité
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 28/1/2009, 01:44
286-
La voiture d'un gendarme endommagée par un tir de roquette en Haute-Corse !!!!!!!!!!!!!
Une roquette a été tirée mardi soir contre la brigade de gendarmerie de Corte (Haute-Corse), provoquant d'importants dégâts au véhicule personnel d'un gendarme de la localité, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
La roquette qui n'a pas fait de blessés, a également endommagé deux autres véhicules en stationnement sur le parking de la brigade qui héberge une trentaine de familles de gendarmes.
Cet attentat qui n'a pas été revendiqué, a suscité une vive émotion parmi les effectifs de la gendarmerie. Le général Lizurey, commandant la Légion de gendarmerie de la Corse, ainsi que le préfet de la Haute-Corse Hervé Bouchaert se sont rendus sur les lieux
Le Ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a fermement condamné cet attentat qu'elle qualifie de "lâche", "criminel et irresponsable", en considérant également que ses "conséquences auraient pu être dramatiques". Mme Alliot-Marie avait annoncé mardi matin qu'elle se rendrait sur l'île vendredi dans le cadre d'une visite officielle. AP
Invité Invité
Sujet: COURAGE SARKO... 28/1/2009, 09:26
287-
L'Assemblée nationale a rejeté, mardi 27 janvier, une motion de censure de l'opposition contre la politique économique et sociale du gouvernement de François Fillon. La motion de censure, la seconde de la législature, a recueilli 231 voix. Il en fallait au minimum 289 pour qu'elle soit adoptée, scénario impossible puisque le groupe UMP dispose à lui seul de la majorité absolue à l'Assemblée. Seuls les députés favorables à l'adoption de la motion de censure participaient au scrutin. Sans surprise, le PS a reçu le soutien des communistes et des Verts. Le président du MoDem, François Bayrou, qui n'avait pas voté la première motion contre M. Fillon en avril 2008, a voté pour le texte, comme il l'avait annoncé dans Le Monde.
Après avoir protesté dans l'hémicycle en chantant la Marseillaise et avant les grèves de jeudi, le PS a profité de cette tribune pour dénoncer 'l'inaction' du gouvernement face à la crise, 'les menaces sur les libertés individuelles', mais aussi les différentes politiques engagées par Nicolas Sarkozy.
En défendant le texte, le chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault, a demandé au gouvernement d''écouter et pourquoi pas entendre la voix de l'opposition'. Le député-maire de Nantes a évoqué la 'crise économique et sociale' et la 'tempête financière' qui touchent la France : 'Rien dans les politiques menées ne semble, hélas, empêcher ces ravages', a-t-il lancé. Prévoyant qu'un 'nouveau plan' de relance 'devra être mis à l'étude', il a jugé qu''il sera alors encore temps de vous inspirer des propositions de Martine Aubry', provoquant des applaudissements moqueurs sur les bancs de la droite. 'Votre échec est là, et plutôt que de le reconnaître, vous préférez faire taire tous les contre-pouvoirs', a fait valoir M. Ayrault en citant la réforme de l'audiovisuel public, la suppression programmée du juge d'instruction et 'la limitation du droit d'amendement de l'opposition'. 'Entendez-vous la colère qui monte dans le pays ?', a-t-il finalement tonné, prévenant : 'Elle s'exprimera massivement jeudi prochain.'
Le Monde
Invité Invité
Sujet: MA DOUDOU SÉGO...SÉGO...SÉGOLÈNE....... 28/1/2009, 09:41
288-
J'en ai marre ! J'en ai marre !', s'est emporté l'ancienne candidate à la présidentielle estimant que le gouvernement 'n'a peut-être pas pris la mesure de l'ampleur de la crise'. Et de poursuivre : 'Qu'en est-il du péché originel de ce gouvernement, c'est-à-dire du bouclier fiscal ? A partir du moment où les Français ont le sentiment que les efforts sont mal répartis ou alors que l'injection de fonds publics dans les banques n'est pas suivie des mesures de contrôle nécessaires (...) il y a beaucoup d'angoisses, beaucoup de souffrances.'
'On voit un gouvernement qui n'accepte pas de reconnaître qu'il a fait une erreur dans ce début de législature en donnant 15 milliards d'euros aux plus riches. Si on les supprime, ça fait 1 000 euros pour 15 millions de famille. (...) Il y a le 'paquet fiscal', il y a la réforme fiscale qui ne vient pas, 20 milliards d'euros de niches fiscales, ça permettrait de donner 1 000 euros à 20 millions de famille, ça n'est pas rien aujourd'hui. Regardez 1 000 euros + 1 000 euros, ça ferait déjà 2 000 euros à réinjecter tout de suite dans le pouvoir d'achat', a continué Mme Royal. Elle a également dénoncé 'des banques qui continuent à faire comme si de rien n'était et à pratiquer des taux d'intérêt de 18 % pour des familles qui ont tout simplement besoin de changer de voiture, besoin de déménager, besoin simplement de vivre et de construire leur projet d'avenir.'
Invité Invité
Sujet: mais puisqu'on vous dit qu'on est les meilleur(e)s du monde 28/1/2009, 11:49
Trafic fortement perturbé sur le RER A : des milliers de passagers bloqués (AUJOURD'HUI, avant la grève, c'est la répétition !!)
Deux millions de personnes seraient victimes d'inceste en France
Grève : les appels à la mobilisation secteur par secteur
Transports : la grève s'annonce très suivie
Grève de jeudi : organisez votre covoiturage ! (autrement dit : démerdez vous)
Le PS choisit de porter son opposition dans la rue
Grève : l'accueil à l'école risque de trouver ses limites
là aussi démerdez vous
Invité Invité
Sujet: 291 - on nous dit que 69 % des Français comprennent la grève 28/1/2009, 11:59
Faut-il étendre la réquisition des agents des services publics aux transports, aux écoles et à la Poste ?
oui 74.49%
non 25.51%
Invité Invité
Sujet: 292 - le choix des mots le choc des porte monnaie 28/1/2009, 12:25
La redevance n'augmentera pas, mais elle sera plus chère
c'est bien dit non ???
Invité Invité
Sujet: 293 - Je ris... 28/1/2009, 12:29
... tant que je peux, ca ne devrait pas tarder a se produire aux Etats Unis! Les syndicats ayant largement aide a l'election de notre nouveau president, ont le vent en poupe!
Invité Invité
Sujet: 294 - Nous avons une gauche responsable 28/1/2009, 15:03
elle fait l'école buissonnière Nouveau boycott du PS
Comme la semaine dernière, les députés ont décidé de ne pas participer à la séance des questions d'actualité cet après-midi. Pour protester contre la réforme du travail législatif.
Les députés PS vont de nouveau boycotter mercredi la séance des questions d'actualité au gouvernement pour exiger du président UMP de l'Assemblée Bernard Accoyer des garanties au plus vite sur les droits du Parlement et de l'opposition. "En l'absence de garanties sur les conditions de reprises du dialogue sur les droits du Parlement, le groupe SRC (PS, PRG et divers gauche, ndlr) ne participera pas cet après-midi à la séance de questions au gouvernement", a indiqué Jean-Marc Ayrault. La semaine dernière, le groupe socialiste avait déjà boycotté la séance télévisée des questions d'actualité au gouvernement à l'Assemblée -fait inédit depuis sa création en 1974- pour protester contre l'attitude du gouvernement et de la majorité sur la réforme du travail parlementaire.
Cette réforme prévoit notamment de limiter la durée des débats sur les projets de loi et d'encadrer le droit d'amendement. Ce projet de loi organique a été voté mardi en l'absence des socialistes. "Les socialistes souhaitent que s'engage une négociation sans préalable et que soient débattues sans exclusive les propositions de modification de nos règles du débat parlementaire", a ajouté M. Ayrault dans un communiqué. "Il revient au président de l'Assemblée nationale (Bernard Accoyer) et à personne d'autre de réunir les conditions d'une sortie de crise préjudiciable à nos institutions et au travail parlementaire", selon le député-maire PS de Nantes. "Ils demandent au président (Accoyer) de se porter garant de la réunion rapide du groupe de travail dont les travaux se sont interrompus en décembre avec le dépôt de la loi organique", a-t-il ajouté avant de conclure: "le respect de nos valeurs républicaines le commande".
A la présidence de l'Assemblée, on se dit toujours "ouvert" au compromis. Bernard Accoyer a envoyé mercredi une lettre aux quatre présidents de groupes les informant qu'il réunirait le 11 février le groupe de travail interpartis sur la réforme du règlement pour un "échange sans préalable".
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: Bravo, Patrick, c'est toi qui a tout compris ! 28/1/2009, 19:08
Dédicacé spécialement à tous nos politiques de tous bords :
Invité Invité
Sujet: LES RAMBOS À LA RETRAITE 29/1/2009, 02:21
296-
Opérations militaires extérieures: la France allège son dispositif il y a 1 heure 28 min
Au nom d'un principe d'efficacité diplomatique, militaire et financier, la France a annoncé mercredi le retrait, dès 2009, de plus de 2.000 de ses 13.000 soldats engagés dans des opérations extérieures (OPEX), dont cinq ont été prolongées par le Parlement.
L'annonce en a été faite par le Premier ministre François Fillon à la tribune de l'Assemblée nationale: d'ici à l'été, "au moins" 1.000 des 1.650 soldats français engagés sous les couleurs de l'Union européenne au Tchad et en République centrafricaine (Eufor Tchad/RCA) plieront bagage. Idem pour 1.100 des 2.000 soldats français stationnés en Côte-d'Ivoire.
Le cap avait été fixé dès le 6 janvier par le président Nicolas Sarkozy, chef des armées, devant le contingent français de la Finul, au Liban sud. "Je veux être certain que chaque soldat français, aujourd'hui engagé en opération extérieure, l'est conformément aux intérêts de notre pays", avait-il lancé.
Plus de 13.000 soldats français sont engagés dans ces OPEX, dont près de 3.000 au Tchad et dans la République centrafricaine voisine, 2.800 en Afghanistan, 2.000 en Côte-d'Ivoire, 1.850 au Liban et 1.800 au Kosovo.
Désormais, a renchéri M. Fillon, la France n'engagera de nouvelles OPEX que lorsqu'elles seront "strictement nécessaires", dans "les conditions les plus sécurisées possibles" et "là où les enjeux humanitaires et stratégiques sont décisifs".
Un principe immédiatement appliqué à la Côte-d'Ivoire, où selon lui, "les enjeux sécuritaires ont perdu de leur intensité et l'attente d'échéances électorales toujours incertaines ne justifie plus le maintien de notre dispositif militaire en l'état".
D'où le retrait annoncé des 200 soldats français engagés au sein de la force des Nations unies (ONUCI) et de la moitié des 1.800 hommes de l'opération française Licorne.
De la même manière, au Tchad, les effectifs de l'Eufor Tchad/RCA, chargée de protéger les réfugiés du Darfour et les "déplacés", seront allégés alors qu'une force de l'ONU, la MINURCAT 2, doit prendre le relais le 15 mars.
"Nous avons lancé l'Eufor comme une opération transitoire, en prévision de sa relève par une force des Nations unies : cette promesse sera tenue", a constaté M. Fillon, promettant toutefois que "pendant quelques mois encore", la France continuera de fournir à l'ONU une "aide technique".
Troisième et dernier allègement annoncé: la "Finul maritime", composante navale de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL), censée empêcher les livraisons illégales d'armes par la mer sur le sol libanais.
Le "dispositif très dense (de cette Finul maritime) ne se justifie plus vraiment", a jugé le Premier ministre, annonçant que "les deux bâtiments de la Marine nationale qui y participent seront bientôt dirigés vers d'autres missions".
Pas question en revanche de toucher aux 1.850 soldats français de la Finul "terrestre". Son "rôle stabilisateur", a souligné M. Fillon, "ne se dément pas" alors que la tension reste vive après des départs de roquettes du Liban sud lors de la crise de Gaza.
M. Fillon a pointé aussi le "coût croissant" des opérations extérieures dont le montant a atteint l'an dernier près de 860 millions d'euros, bien plus que les 475 millions inscrits au budget.
Conformément à la réforme constitutionnelle de l'été dernier, l'Assemblée et le Sénat étaient appelés à voter à l'issue des débats la prolongation de cinq opérations extérieures: Kosovo, Liban, Côte-d'Ivoire, Tchad et Centrafrique.
Les deux chambres du Parlement les ont reconduites à une très large majorité, le PS boycottant toutefois les scrutins de l'une comme de l'autre, s'estimant insuffisamment informé.
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Sujet: 297 -Avez-vous compris les motifs de la grève ? 29/1/2009, 13:08
oui 29.58%
non 70.42%
à par ça on nous dit que les Français soutiennent la grève. mais alors ..... ils sont c... ? d'un côté ils ne comprennent pas la grève mais de l'autre ils la soutiennent
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Sujet: 298 - ah ben, ils vont être déçus les fouteurs de troubles 29/1/2009, 13:34
La journée d'action intersyndicale ne provoque pas de chaos
Des employés de la RATP en renfort le 29 janvier 2009 à Saint-Lazare à Paris
La journée de protestation organisée par les syndicats contre la politique gouvernementale en temps de crise a commencé aux premières heures de la journée de jeudi sans tourner au chaos, en l'absence de paralysie du réseau de transports publics.
Outre les arrêts de travail, qui devraient toucher surtout le secteur public, près de 200 manifestations, que les syndicats cette fois unis annoncent massives, doivent se dérouler dans tout le pays pour la première grande mobilisation sociale depuis le déclenchement de la crise et l'élection du président Nicolas Sarkozy.
Dans les régions, les défilés doivent se dérouler dans la matinée. A Paris, un cortège s'ébranlera à partir de 14H00 de la Bastille, en direction de l'Opéra.
Le mouvement devrait déborder le "noyau dur" des protestations traditionnelles comme l'Education nationale. Les syndicats soulignent de nombreux appels à débrayer dans des entreprises privées. Tous les syndicats de journalistes ont appelé à la grève et des actions sont prévues chez les magistrats, une corporation en conflit ouvert avec la politique judiciaire incarnée par la garde des Sceaux Rachida Dati.
La défense de l'emploi, du pouvoir d'achat et des services publics sont au coeur de cette journée organisée par l'intersyndicale (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Unsa, Solidaires) sur la base d'une plate-forme alternative à la politique sarkozyste et réclamant une "politique de relance économique".
Prévenus de longue date, les salariés ne se sont pas rués sur leurs véhicules. La circulation était particulièrement fluide en banlieue parisienne, plus qu'un jour ordinaire, et similaire à un jour normal près dans les grandes agglomérations de province.
A la SNCF, les prévisions de trafic étaient à peu près respectées, la loi sur le service minimum permettant aux directions de savoir à l'avance qui est gréviste. La situation était même un peu meilleure que prévu sur le réseau gare du Nord. Durant la journée, plus de 60% des TGV doivent circuler en moyenne, 45% des Transilien, 40% des TER, 30% des Corail.
Le trafic RATP était un peu meilleur que prévu pour les métros, bus et tramways. En moyenne 75% des métros roulaient à 08H30, 85% des autobus. Trafic en revanche très perturbé sur le RER, notamment le tronçon sud du RER B. Situation variable dans les transports en commun des capitales régionales: fortes perturbations à Lyon, voire à Marseille, assez peu sensibles à Lille.
Dans les aéroports d'Orly et Roissy, les vols enregistraient environ une demi-heure de retard, en raison de la grève mais aussi du brouillard. 35% des vols à Orly ont été annulés préventivement.
A la gare Saint-Lazare, la plupart des usagers interrogés par l'AFP à la sortie de trains bondés se disaient solidaires de cette grève "de défense des salariés". "Les usagers sont tous inquiets pour leurs emplois, l'avenir de leurs enfants, le remboursement de leur crédit...", affirmait Lydie Renaud, 45 ans, comptable venant de Versailles.
Reste à savoir ce que les syndicats, qui ont d'ores et déjà prévu de se réunir lundi prochain, feront de cette journée d'action. Selon le secrétaire général de la CFDT François Chérèque, qui s'interroge sur les moyens de "continuer dans la durée", "on ne va pas pouvoir faire dix manifestations contre la crise".
Pour Jean-Claude Mailly (FO), les syndicats ne sont "pas dans l'hypothèse" de "faire une manifestation toutes les semaines". "Mais il va falloir aussi que le gouvernement réponde".
Ce dernier, selon son porte-parole Luc Chatel, sera "naturellement attentif" à la mobilisation mais reste "déterminé" à poursuivre les réformes, comme le répète Nicolas Sarkozy en toute occasion.
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Sujet: 299 - c'est pô grave, notre pays va bien 29/1/2009, 14:16
Une journée de grève coûte 300 à 400 millions d'euros
Selon le Medef Ile-de-France, une journée de grève dans les transports en commun équivaut à une perte de chiffre d'affaires de 50 millions d'euros pour les entreprises franciliennes Selon le Medef Ile-de-France, une journée de grève dans les transports en commun équivaut à une perte de chiffre d'affaires de 50 millions d'euros pour les entreprises franciliennes Crédits photo : Le Figaro En Ile-de-France, une journée de grève équivaudrait à 50 millions de perte de chiffre d'affaires.
Transports paralysés, salariés coincés, journées de RTT posées, production qui prend du retard, livraisons non acheminées… La facture d'une journée de grève comme celle de jeudi peut potentiellement coûter cher aux entreprises.
Le secteur du transport sera évidemment le plus affecté, SNCF et RATP en tête. La facture d'une journée de grève à la SNCF se monte à 20 millions d'euros. Le tourisme et le commerce devraient aussi faire grise mine. Les petites PME, dans lesquelles l'absence d'un ou de deux salariés peut être déstabilisante, pourraient également souffrir. Selon le Medef Ile-de-France, une journée de grève dans les transports en commun équivaut à une perte de chiffre d'affaires de 50 millions d'euros pour les entreprises franciliennes. Sans donner de chiffres précis, la CGPME déplore de son côté «la menace et le chantage qui, une fois encore, pèsent sur l'économie française». Lors de la dernière grande grève, en novembre 2007, contre la réforme des régimes spéciaux, la ministre de l'Économie, Christine Lagarde, avait chiffré les pertes entre 300 et 400 millions d'euros par jour. Un chiffre incluant la «perte de bien-être» (temps perdu, déplacement supplémentaire en voiture, repos forcé…). Dans l'entourage de la ministre, on indique que ce chiffre est toujours d'actualité.
Dégâts en termes d'image
En novembre dernier, l'Insee avait alors évalué l'impact négatif à 0,1 point sur la croissance pour dix jours de grève. «Il faut donc au moins diviser cet impact par dix», indique Éric Dubois, chef du département conjoncture de l'Insee, qui rappelle qu'en ce moment «l'appareil productif est moins sollicité».
Mais il existe beaucoup d'éléments inquantifiables. Notamment les dégâts qu'une nouvelle grève peut causer en termes d'image, auprès des touristes et des investisseurs étrangers.
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Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 29/1/2009, 15:56
300-
Bling bling.... Plouf......
L'ex-première dame de France Cécilia Attias a été victime, début janvier, d'un cambriolage à son domicile parisien de Neuilly-sur-Seine. Le préjudice serait important : les malfaiteurs, qui ont cassé une fenêtre au premier étage avant de pénétrer dans les lieux, auraient en effet dérobé plus de 500.000 euros "en bijoux, colliers et parures", révèle jeudi Le Parisien/Aujourd'hui en France .
C'est la femme de ménage qui a alerté le commissariat de Neuilly. À la demande du procureur de Nanterre, la police judiciaire des Hauts-de-Seine a été saisie de l'enquête "au regard de la personnalité et du montant du préjudice", précise le quotidien. Le couple que Cécilia forme avec le publicitaire Richard Attias réside à Dubaï - où son fils est scolarisé - et n'occupe que très rarement cet hôtel particulier. L'ancienne first lady n'a d'ailleurs pas encore été entendue par les policiers. Des voisins ont toutefois été interrogés pour savoir s'ils n'ont rien observé de suspect fin décembre et début janvier.
Biloulou
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Sujet: 301- Seulement 25% ? 29/1/2009, 21:47
Un petit tour des télévisions européennes m'apprend que les grèves d'aujourd'hui en France n'auraient eu qu'environ 25% de l'importance prévue, alors que les médias français sont nettement plus optimistes - ou pessimistes, c'est selon.