Douce France - Nouvelles

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Mael Inizan (Sciences Po Rennes)


René Ricol à Rennes samedi.

Auteur d’un rapport sur la crise financière mondiale et médiateur national du crédit, René Ricol considère que la résolution de la crise doit déboucher une intervention accrue et durable de l’État dans la sphère économique.
La crise a mis en lumière les dérives du système financier international. On assiste à un retour de l’intervention de l’État dans la sphère économique. Est-ce que c’est ponctuel ou l’État devient-il un acteur durable de la régulation?

Il faudra que l’État continue d’intervenir pour éviter que la situation que l’on connaît aujourd’hui ne se reproduise. Je crois que la crise fait évoluer les modes de pensée. Pendant vingt ans, on considérait qu’il fallait moins d’État pour plus d’emploi et plus de richesses. La tendance s’inverse. Aujourd’hui l’État a un rôle à jouer dans la régulation l’économie et il continuera de le jouer durablement. Ça ne veut pas dire qu’il le fera de manière autoritaire. Il favorisera la transparence et la régulation intelligente.

Je ne crois pas que le monde financier le comprenne encore, mais, dans la durée il n’aura pas le choix. En Angleterre, en Allemagne ou en France, tout ce qui est fait par l’État aurait paru impossible il y a un an. Tous les chantres de l’ultralibéralisme auraient crié à la folie, à l’atteinte à l’intérêt général. Plus personne ne dit ça aujourd’hui. On est déjà dans la politique que l’État met en œuvre.

Est-ce que vous pensez que l’État a les moyens économiques et juridiques de son intervention?

L’État a tous les moyens juridiques - c’est le principe de la démocratie - mais aussi économiques. La France évidement prend plus de risques, notamment celui d’augmenter son déficit. Cependant, on est aujourd’hui dans une position dans laquelle on peut maitriser la situation. On n’est pas entrain de dépasser nos capacités.

La nomination de François Pérol à la tête du groupe Caisse d’Épargne - Banques Populaires est-elle un moyen détourné du gouvernement d'accroître son contrôle sur les banques?

La nomination de François Pérol montre clairement la volonté du chef de l’État et du chef du gouvernement d’installer une vraie maitrise dans la façon dont l’argent va être utilisé. Cependant, dans la mesure où l’État donne de l’argent, il lui est tout à fait légitime de nommer le dirigeant. En l’occurrence, je pense que la volonté de l’État, c’était de prendre le meilleur et je crois honnêtement que François Pérol est le meilleur pour sortir ce groupe de sa situation très difficile.
Aujourd’hui, l’État est légitime partout et plus particulièrement quand il met de l’argent lui-même.

Est-ce que vous pensez que les banques jouent vraiment le jeu de l’intervention de l’État?

Pour l’instant, elles n’ont pas le choix. Dans la durée, je pense que tout le monde va se convaincre que c’est une nouvelle donne avec laquelle il faut compter. On ne peut pas penser que l’ultralibéralisme fera le bonheur de nos enfants. Je pense qu’on est en train de vivre un changement profond. Le capitalisme et le libéralisme de demain seront différents. Les générations qui montent veulent un système plus généreux, plus en partage, plus ouvert et plus tourné vers le futur et le développement durable. C’est une nouvelle vision qui se dessine. Ceux qui ne le comprendront pas perdront leurs parts de marché, se ruineront et se sera légitime.

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et comme on le sait, les gouvernements sont generalement tres doues en matiere d'argent (il suffit de voir ou la pluspart des pays en sont avec la securite sociale, la retraite, etc..)

Face à la polémique qui fait rage et aux demandes pressantes du gouvernement, ils ont complètement renoncé à recevoir leurs stock-options.


Quelque heures avant, la ministre de l'Economie Christine Lagarde souhaitait au micro d'Europe 1 que Société générale rime avec "intérêt général". La banque a annoncé dimanche que ses dirigeants renonçaient complètement à recevoir leurs stock-options.

Deux passagers d'un avion de tourisme accidenté dans les Alpes décédés



avion accidenté
Alpes décédés ??

Citation :

J'avoue

Il aurait tout aussi bien pu écrire.

Deux passagers touristes accidentés d'un avion décédé dans les Alpes

Il faut dire qu'essayer de survoler les Alpes avec un avion accidenté n'est pas très prudent ...

... tout n'est pas mauvais dans ce bas monde !

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Leucémie : dons de congés pour aider une famille
(France Info - 15 mars 2009)

C’est une mobilisation originale qui s’est organisée autour de la famille d’une enfant atteinte de leucémie. Les collègues des parents, des chauffeurs de bus de Clermont-Ferrand, leur ont donné des jours de congés pour qu’ils puissent rester auprès de leur petite fille.

Véronique et Fernand, chauffeurs de bus à Clermont-Ferrand, ont appris effondrés le maladie de leur petite Colyne, 3 ans : leucémie.

Une nouvelle qui a ému leurs collègues de la compagnie TC2 : spontanément, les 750 traminots ont fait don de un à dix jours de congés à ces parents.

Une collecte massive qui va permettre à Colyne d’avoir ses parents auprès d’elle à l’hôpital pendant plus de deux ans.

Un très beau "don du cœur" pour offrir ce qu’on ne peut pas acheter : du temps. Car les soins que nécessite le traitement de la leucémie chez l’enfant sont particulièrement intensifs.

Ce "cancer du sang" se soigne, mais au prix d’une cure intensive très lourde : chimiothérapie, transfusion, radiothérapie, greffe... autant de moments où un enfant si jeune a besoin du soutien de ses parents.

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Ca nous change des grèves, revendications sauvages, saccages, vandalismes et autres formes de "solidarité sociale"...

Yvelines : enlèvement déjoué
(M6 Info -26 mars 2009)

Enlèvement déjoué vendredi dernier dans une école primaire des Yvelines à Plaisir.

Un homme a tenté de kidnapper une fillette de sept ans qui participait à une course d'orientation. C'est l'intervention de ses camarades qui a fait fuir l'agresseur.
Le suspect aurait attrapé la petite fille par le bras et tenté de la traîner jusqu'à sa voiture lorsqu'un élève de 8 ans est intervenu pour lui faire un croche-pied. Une douzaine d'enfants, attirés par les cris, se sont alors jetés à leur tour sur l'agresseur et sont parvenus à le mettre en fuite.

La police lance un appel à témoins. L'agresseur présumé serait "un homme européen, de corpulence normale et d'environ 1,70 m, aux cheveux gris blanc avec des moustaches, un petit bouc et des pattes". L'homme, qui portait un chapeau blanc, un haut gris et un pantalon bleu, le jour de l'agression, est activement recherché

Le commissariat demande à toute personne ayant une information de téléphoner au numéro suivant : 01 30 07 71 30

Tiens, à propos : personne n'a une photo de Bertrand ?

ou encore


ou encore ("de toutes ces femmes que je mets ici sur LP laquelle choisir ???")..........mais toutes cher Bertrand

FRANCE • Lyon, une mentalité de battants

Bluffé par les "grands travaux" lyonnais, le quotidien italien des affaires ne tarit pas d'éloge sur le "dynamisme" de la ville ou le "génie" de son maire, Gérard Collomb. Sans oublier son équipe de foot.

Même si l'Olympique Lyonnais ne remporte pas son huitième titre consécutif, ses supporters les plus acharnés ne perdront pas le moral. Nul ne peut reprocher quoi que ce soit à Jean-Michel Aulas, pater familias de l'OL, ni à ses joueurs. Depuis des années, les succès de l'équipe consolident l'image d'une ville qui a su gagner ses lettres de noblesse par sa beauté et son dynamisme culturel et économique : Lyon est devenue l'une des villes les plus agréables et les plus actives d'Europe. L'OL, premier club français coté en Bourse, est l'ultime fierté du Grand Lyon, la deuxième agglomération urbaine de France. Jean-Michel Aulas, 57 ans est à la tête de Cegid, une société de logiciels de gestion, qui rapporte 240 millions d'euros et fait travailler 2 000 personnes. C'est un chef d'entreprise sérieux, patient, obstiné même. Lorsqu'il a acquis sa société en 1987, l'OL était encore en seconde division. Aulas a pris son temps pour réorganiser le club, réformer l'équipe et inculquer à ses joueurs une mentalité de battants. Après quatorze années de dur labeur, l'OL a remporté le premier titre : "On va aussi devenir champions d'Europe", assure-t-on dans l'entourage de l'OL, lorsqu'on leur fait remarquer que dans la Champions League, leur équipe n'a pas beaucoup progressé.

Les responsables municipaux ont déjà dessiné le futur visage de la métropole, celui qu'elle aura en 2030, et dont les premières lignes ont déjà pris forme depuis 2003, quand fut lancée officiellement la première partie du réaménagement du grand quartier qui s'étend de la gare de Perrache jusqu'à l'extrémité de la péninsule où se joignent le Rhône et la Saône. Ce projet – l'un des plus grands chantiers d'Europe – "rendra à la ville ses deux fleuves", explique le maire socialiste Gérard Collomb. Le nouveau quartier de Lyon Confluence occupe un terrain de 150 hectares, qui - ces dernières décennies - fut tour à tour une ancienne zone industrielle, un port fluvial et un no man's land. Ce projet a connu une longue gestation avant de voir le jour, grâce à l'initiative d'un autre maire éclairé de Lyon, Raymond Barre. Mais c'est Gérard Collomb – un exemple (parmi tant d'autres) de bonne gestion administrative de gauche – qui a mis cette gigantesque machine sur les rails. En 2010, la première partie du chantier devrait être terminée. Grâce à ce nouveau quartier, le centre de Lyon doublera sa superficie. Environ soixante-dix hectares seront construits, en veillant à ce qu'il n'y ait pas de ghettos de riches. "Nous tenons à garder une vraie diversité sociale", poursuit le maire. "Ainsi, au moins 20% des constructions résidentielles seront réservées à des logements sociaux".

Conçu par l'urbaniste François Grether et le paysagiste Michel Desvigne, ce projet de réaménagement a offert de belles opportunités à quelques unes des stars de l'architecture internationale : l'Italien Massimiliano Fuksas, Jakob & McFarlane, Rudy Ricciotti, et l'agence autrichienne Coop-Himmelb(l)au. L'architecte est presque toujours assisté d'un artiste. L'un des premiers édifices achevés – l'ancien bâtiment des douanes sur le quai Rambaud – a été restructuré par Jean-Michel Wilmotte. En un an, il est devenu l'icône du projet Confluence : la structure d'origine, datant des années 1930, est restée pratiquement intacte, puis a été entièrement revêtue d'un treillage émaillé noir. Quelques mois avant cette construction, le siège du quotidien Le Progrès, contrôlé par le groupe éditorial Ebra (Est Républicain), a vu le jour. Ce bâtiment, première création d'un pôle de médias auquel s'ajouteront plusieurs radios, a été défendu vivement par Collomb : "C'est moi qui ai convaincu le groupe Progrès de s'installer dans ce quartier. Le journal local de référence devait forcément participer à l'avenir de la ville", s'enorgueillit le maire. Mais le coup de génie du maire a été la conception d'un pôle de loisirs au cœur de la nouvelle Confluence. Ce centre comportera un multiplexe avec quatorze salles de cinéma, un espace pour l'escalade, un bowling, plusieurs restaurants, des aires de jeu pour les enfants, un supermarché et des boutiques. Au printemps 2008, la place nautique a été inaugurée, un bassin qui permet à la Saône de pénétrer au cœur du nouveau quartier, autour duquel seront réalisés des espaces verts et des jardins aquatiques, avec des passerelles qui relieront les deux rives.

(Attilio Geroni - Il Sole-24 Ore - 26 mars 2009)

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Il fallait quand même le dire !

Bonjour,

Je n'y suis absolument pour rien !
Mais ce n'est pas d'hier que la ville de Lyon offre un cadre de vie exceptionnelle. Les salaires y sont attractifs, la fiscalité pas trop importante et la qualité des services diverses et variées.
J'y réside depuis 1999 et mes proches m'avaient mis en garde sur cette ville du "Nord" où je souhaitais travailler (pensez-donc un niçois s'exilant dans le grand nord français !).
Je trouve les lyonnais accueillant, franc et direct (du moins pour le vrai gone). C'est un vrai coup de coeur qui grandit au fur et à mesure.
Si vous avez l'occasion de vous y arrêter, profitez ! Cela vaut le détour.
Allez, j'en profite pour vous donner une recette de par chez nous :

Sauté de veau à la lyonnaise Ingrédients :
		4 côtes de veau sans os 2 ou 3 gros oignons, 50 g. de beurre, vinaigre de vin blanc, bouillon de veau, sel et poivre.
Préparation :
		Pelez et émincez les oignons finement. Faites fondre 20 g de beurre dans une casserole. Ajoutez les oignons, salez et poivrez. Mélangez avec une cuiller en bois et faites fondre tout doucement sans laisser roussir en remuant de temps en temps. Faites fondre le reste de beurre dans une poêle. Ajoutez les côtes de veau et laissez-les cuire sans hâte en les retournant plusieurs fois. Salez et poivrez. Lorsqu'elles sont presque cuites, ajoutez les oignons dans la poêle et laissez la cuisson se parfaire doucement. Égouttez les côtes de veau et posez-les sur un plat chaud. Mélangez 2 cl de vinaigre de vin blanc et 1 bonne cuillerée à soupe de bouillon. Versez le tout dans la poêle et déglacez en remuant avec une spatule en bois. Portez à ébullition, puis rectifiez l'assaisonnement et versez ce jus sur les côtes de veau en récupérant tous les oignons émincés qui restent dans la poêle.

(C'est pas l'heure de manger ?)

592-

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On sait que la maîtrise du français a été présentée par notre gouvernement comme constituant une priorité majeure.
Il est même question qu'on impose une idée aux chauffeurs des taxis parisiens...

Les jeunes élèves, les nouveaux immigrants et les chauffeurs de taxi espèrent tous que ce soit notre président lui même qui leur fasse passer l'examen

https://www.dailymotion.com/user/asi/video/x8so72

594-

C'est décidément un joli coup de pub que s'est offert l'inventeur du slogan «La Force Tranquille» avec sa formule à l'emporte-pièce: «si on n'a pas de Rolex à 50 ans, on a raté sa vie». Il a dit que c'était la "plus grosses connerie de sa vie", bon d'accord, s'en est excusé, c'est bien le moins, mais Jacques Séguéla n'en finit pas de surfer sur cet excellent "coup" médiatique. Ainsi Laurent Baffie, qui anime ce lundi soir une vente aux enchères caritative d'objets de stars, lui a demandé de faire don de l'outrageante Rolex. Sauf que l'ami Séguéla préfère peut-être, comme son ami Nicolas Sarkozy, les petits bijoux de l'horloger Patek Philippe; toujours est-il que de Rolex, il n'a point. Lire la suite l'article

L'occasion était trop belle de se racheter: Séguéla a investi dans une Rolex «anti bling bling, or et acier, de 1962», un des plus beaux modèles de la marque. Et a promis que si aucun acheteur n'avait suffisamment le sens de l'humour, lundi soir, pour s'offrir la tocante, il la rachèterai lui-même. La boucle sera ainsi bouclée, et ce brave Jacques Séguéla n'aura pas complètement raté sa vie, ni sa comm'!

Puisque les bénéfices de la vente organisée par Paris Première (et rediffusée le 3 avril à 20h40 sur cette chaîne) seront reversés à l'association "La Chaîne de l'Espoir", les services hospitaliers pour enfants malades et l'association "Handichiens". Pour ceux qui continuent à penser qu'on peut même finir sa vie sans une montre à 50 000 euros, Michel Drucker a cédé son vél:o de compétition, Thierry Ardisson l'un de ces célèbres costumes noirs, Jean-Paul Gaultier et Karl Lagerfeld des sacs dédicacés, Europe 1 son carillon et "Edith Piaf" l'un de ses escarpins!

À voir ce qu'il nous raconte ci-dessus, il fréquente du beau monde, notre ami Lawrence !

Un camion, 2.84 g d'alcool et pas de permis

qu'un camion pouvait picoler et passer son permis

Bonjour Marieden !

Ca risque même d'arriver de plus en plus souvent, avec l'annonce de voitures qui roulent à l'alcool....

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Et la voiture propre, mets toi donc au courant et arrêtes de gazer le monde...........

Combien de patins pour une chenille à roulettes ?

Biloulou a écrit:

Bonjour Marieden !

Ca risque même d'arriver de plus en plus souvent, avec l'annonce de voitures qui roulent à l'alcool....

Salauds de riches et de patrons

on apprend que Daniel Bouton, le pdg de la Société générale, touchera bientôt une retraite de 1 million d'euros par an !

il est temps de faire tomber des têtes et de les porter au bout d'une pique, comme en 1789...

quant à Séguéla, il retourne à son avantage la polémique après ses propos sur les rolex , en vendant une montre aux enchères, avec la complicité de son pote Baffie ...bien entendu le montant de la vente ira aux associations de charité"...une version contemporaine du fameux "s'ils n'ont pas de pain qu'ils mangent de la brioche"

Ah oui, la seule solution face à ces gens là c'est la violence totale et radicale

Tous ! je dis bien : TOUS !

A peu de choses près on croirait relire les insanités de aufgeburstadg

veut nous remettre la guillotine en place

bon essayons de passer un bon mardi quand même