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Dernière édition par Sylvette le 15/11/2008, 11:40, édité 1 fois
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Invité Invité
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 16/5/2009, 20:42
Citation :
"J'ai l'impression en lisant tous ces ouvrages que si j'étais Jeanne d'Arc, j'aurais déjà été brûlée vive". Bon, on a changé d'époque.
Le passé avait du bon finalement ...
Invité Invité
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 18/5/2009, 14:00
727-
Invité Invité
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 18/5/2009, 16:07
728-
TITRE DE LA PRESSE.....
Des salariés de Continental manifestent devant la Bourse à Paris.
Seraient devenus incontinents ???
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: La guerre dans le 93 promet d''être ''sans pitié''... 18/5/2009, 18:38
Citation :
MAM a parlé, ça va ch***...
Lors d'une cérémonie à Bobigny où elle rendait hommage aux policiers morts pour la France, la ministre de l'Intérieur a dénoncé les récents évènements du week-end dernier et a promis d'être "sans pitié" à l'encontre de ceux qui s'attaquent aux forces de l'ordre.
"Je serai sans pitié à l'égard des trafiquants et de ceux qui se sont permis d'attaquer des policiers", a t-elle déclaré devant les journalistes.
"Les policiers sont là pour incarner les valeurs de la République, c'est-à-dire le respect de la loi, protéger les plus faibles, pour assurer la protection de chacun des Français en toutes circonstances et en tous lieux. Il n'y a pas de lieu qui soit en dehors de l'application de la loi", a-t-elle souligné.
En plus du renforcement ponctuel du dispositif policier à La Courneuve, les "moyens exceptionnels" dédiés à la sécurité en Seine-Saint-Denis seront "poursuivis et amplifiés", a assuré la ministre.
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 19/5/2009, 16:24
730-
Invité Invité
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 22/5/2009, 01:29
731-
Invité Invité
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 25/5/2009, 02:59
732-
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 733- 25/5/2009, 07:20
Et que dire alors de l'ego de ceux qui prétendent changer le climat à eux tous seuls ?
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: L''Eglise de Scientologie bientôt dissoute en France ? 25/5/2009, 07:43
Citation :
Le tribunal correctionnel de Paris juge à partir de lundi sept adeptes et deux personnes morales pour escroquerie en bande organisée.
Pour la première fois, l'organisation court le risque d'une dissolution de sa principale structure en France.
Un procès exceptionnel qui devrait faire date dans les annales judiciaires. Aux côtés de sept prévenus, l'association spirituelle de l'Église de scientologie-Celebrity Centre (ASES-CC) - la principale structure en France située à Paris - est pour la première fois mise en cause en tant que personne morale dans un dossier d'escroquerie en bande organisée. La société anonyme SEL, la librairie phare de l'organisation, figure également au nombre des mis en examen.
Ce renvoi en correctionnelle décidé par le juge d'instruction, Jean-Christophe Hullin, peut se révéler lourd de conséquence pour l'organisation. Durant les onze jours d'audience prévus, cette dernière joue en fait son avenir en France car, au terme des débats et en cas de condamnation, la dissolution pourrait être prononcée. Une sanction qui n'expose certes que les deux organisations parisiennes. Mais, pour beaucoup, si elle était appliquée, elle marquerait le début du déclin de l'empire Ron Hubbard dans notre pays.
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 735- 25/5/2009, 08:03
OmbreBlanche en 734 a écrit:
Le tribunal correctionnel de Paris juge à partir de lundi sept adeptes et deux personnes morales pour escroquerie en bande organisée.
Pour la première fois, l'organisation court le risque d'une dissolution de sa principale structure en France.
Un procès exceptionnel qui devrait faire date dans les annales judiciaires. Aux côtés de sept prévenus, l'association spirituelle de l'Église de scientologie-Celebrity Centre (ASES-CC) - la principale structure en France située à Paris - est pour la première fois mise en cause en tant que personne morale dans un dossier d'escroquerie en bande organisée. La société anonyme SEL, la librairie phare de l'organisation, figure également au nombre des mis en examen.
Ce renvoi en correctionnelle décidé par le juge d'instruction, Jean-Christophe Hullin, peut se révéler lourd de conséquence pour l'organisation. Durant les onze jours d'audience prévus, cette dernière joue en fait son avenir en France car, au terme des débats et en cas de condamnation, la dissolution pourrait être prononcée. Une sanction qui n'expose certes que les deux organisations parisiennes. Mais, pour beaucoup, si elle était appliquée, elle marquerait le début du déclin de l'empire Ron Hubbard dans notre pays.
Il n'est pas impossible que ce procès devienne le procès de la justice et aussi celui de la France et de "sa" laïcitée forcené et mal comprise...
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: 736- 25/5/2009, 08:10
Il faut chasser les faux prophètes, Biloulou.
Ne laissons pas ces sectes contaminer la chrétienté.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 737- 25/5/2009, 12:52
OmbreBlanche en 736 a écrit:
Il faut chasser les faux prophètes, Biloulou.
Ne laissons pas ces sectes contaminer la chrétienté.
Bonjour OmbreBlanche !
Tu es cruel dans tes propos, que va devenir Lawrence ?
Invité Invité
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 25/5/2009, 13:07
Biloulou a écrit:
OmbreBlanche en 736 a écrit:
Il faut chasser les faux prophètes, Biloulou.
Ne laissons pas ces sectes contaminer la chrétienté.
Bonjour OmbreBlanche !
Tu es cruel dans tes propos, que va devenir Lawrence ?
Lawrence reste de marbre, à Biloulou de l'animer !!!!!!!
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 25/5/2009, 13:12
Pour commencer faisons un diagnostique : est-ce que tu vois des éléphants ?
(Tu me prends pour le Prinche Armand ou quoi ?)
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 25/5/2009, 17:04
OmbreBlanche a écrit:
Citation :
Le tribunal correctionnel de Paris juge à partir de lundi sept adeptes et deux personnes morales pour escroquerie en bande organisée.
Pour la première fois, l'organisation court le risque d'une dissolution de sa principale structure en France.
Un procès exceptionnel qui devrait faire date dans les annales judiciaires. Aux côtés de sept prévenus, l'association spirituelle de l'Église de scientologie-Celebrity Centre (ASES-CC) - la principale structure en France située à Paris - est pour la première fois mise en cause en tant que personne morale dans un dossier d'escroquerie en bande organisée. La société anonyme SEL, la librairie phare de l'organisation, figure également au nombre des mis en examen.
Ce renvoi en correctionnelle décidé par le juge d'instruction, Jean-Christophe Hullin, peut se révéler lourd de conséquence pour l'organisation. Durant les onze jours d'audience prévus, cette dernière joue en fait son avenir en France car, au terme des débats et en cas de condamnation, la dissolution pourrait être prononcée. Une sanction qui n'expose certes que les deux organisations parisiennes. Mais, pour beaucoup, si elle était appliquée, elle marquerait le début du déclin de l'empire Ron Hubbard dans notre pays.
1) Il est quasiment impossible de définir ce qu'est une secte par opposition à une religion 2) Les réseaux scientologues comportent des éléments bien plaçés et influents 3) Tom Cruise est le copain du boss (je le supporte plus depuis qu'il -tom- a trahi le national socialisme)
Alice
Nombre de messages : 729 Age : 48 Localisation : Brüsel Date d'inscription : 04/11/2008
Sujet: Re: Douce France - Nouvelles 25/5/2009, 19:36
Je ne comprends pas trop bien, c'est un procès pour escroquerie ou un procès pour condamnation de sectarisme (et d'abus qui vont avec... sais même pas si ça existe en droit pénal ça) ?
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 742- 25/5/2009, 21:02
Bonjour Alice !
Je n'en sais trop rien.
Selon les chroniqueurs spécialisés, d'autres procès ont déjà eu lieu en France contre des membres de la Scientologie et chaque fois l'organisation les a couverts financièrement.
Ici c'est la Scientologie elle-même en tant que personne morale en France qui est poursuivie pour escroquerie sans que le Parquet ait requis en ce sens.
Ca sent le politique à plein tube, peut-etre une réaction de défense de la Loge ?
C'est extrêmement trouble, en tout cas.
Invité Invité
Sujet: LA GRÊVE, ÇA PAIE ? 26/5/2009, 01:20
743-
A l'heure où la grève des universités touche à sa fin, examens obligent, la question des retenues de salaire pour les grévistes fait, comme souvent en fin de conflit social, son apparition. Mais que dit la loi en matière de rémunération des grévistes?
Et que se passe-t-il dans la pratique?
Les lois sur la rémunération des jours de grève partent de la définition du salaire. Tout salaire étant la contrepartie de la prestation de travail, aucun salaire n'est en principe dû lorsque le travail n'a pas été accompli. Une grève ne met jamais fin au contrat de travail, elle ne fait que le suspendre provisoirement. Si le salarié ne se présente pas à son poste de travail, l'employeur n'est pas tenu de le rémunérer. Il ne s'agit pas d'une sanction financière, qui est interdite par la loi, mais simplement de la conséquence du manquement à l'obligation du salarié de fournir un travail.
Secteurs public et privé
Comme souvent en droit du travail, la loi n'est pas la même dans le secteur public et le privé. Dans le public, c'est la fameuse règle du 30e indivisible instaurée par la loi du 8 juillet 1962. Derrière ce nom mystérieux se cache un principe simple: «on ne peut pas prélever sur le traitement d'un fonctionnaire territorial moins de 1/30 de l'allocation mensuelle pour une quelconque fraction de service non fait dans la journée». Autrement dit, la retenue n'est pas strictement proportionnelle au nombre d'heures non travaillées, elle est plutôt forfaitaire. En cas de grève, il y a en fait trois cas de figure. Pour une absence de moins d'une heure, la retenue est de 1/60e du salaire mensuel de base. Elle est de 1/50e quand l'absence dure d'une à quatre heures et de 1/30e si l'absence dépasse la demi-journée.
Dans le privé, toute retenue réalisée par l'employeur sur la rémunération d'un gréviste doit être strictement proportionnelle à la durée de l'absence. Ce principe est appliqué à la lettre, si bien que le temps de remise en marche des machines après une grève doit être rémunéré, car le salarié est de retour au travail.
En plus de la rémuneration fixe, les jours de grève sont retenus sur la rémunération variable, sur le calcul des congés payés et sur toutes les primes (ancienneté, assiduité...). En revanche, pour éviter que la grève soit prétexte à des mesures discriminatoires en matière de rémunération, le montant des retenues doit être indiqué sur le bulletin de paie, sans qu'il soit précisé qu'il s'agit d'heures de grève.
Il existe une exception cependant: si le salarié s'est mis en grève parce que l'employeur n'a pas respecté ses droits essentiels, ce dernier est dans l'obligation de payer les jours de grève. Pour que cette clause soit activée, il faut qu'il y ait un «manquement grave et délibéré» de l'employeur à ses obligations qui met les salariés dans une «situation contraignante», c'est-à-dire qu'ils n'ont d'autre choix que de faire grève. C'est le cas quand les salariés ne sont pas payés. En revanche, «si l'entreprise qui ne paye pas ses salariés est en cessation de paiement, une situation assez courante en ces temps de crise, l'entreprise n'est pas tenue de payer les jours de grève des salariés», note Laurent Parras, avocat à la Cour spécialiste du droit du travail.
Quantifier la grève
Dans la pratique, la plus grosse difficulté pour l'employeur est d'identifier les grévistes. Cela peut se révéler être un véritable casse-tête dans certains métiers où il est difficile de connaître exactement la productivité du salarié: qui a effectué les tâches qui lui incombent normalement? Qui a pointé? Qui a répondu aux sollicitations de l'employeur? Comment vérifier que les employés ayant indiqué être malades pendant un mouvement n'y participaient pas?
La longue grève des universités illustre la difficulté de ces calculs. Vendredi 15 mai, le président de l'université de Toulon a menacé dans une lettre de retirer 98 jours de salaire à une dizaine d'enseignants grévistes. La lettre est «rigoureusement identique pour chacun d'entre nous et quelque soit notre implication dans le mouvement», ont protesté les enseignant concernés. «Ce n'est pas parce qu'on est en grève, qu'on ne bosse pas. Pour la plupart, on a continué nos activités de recherche pendant ces trois mois.»
Négociations
Dans la pratique, le paiement des jours de grève devient souvent une revendication à part entière et un élément majeur dans les négociations de sortie de grève. Un exemple récent est la grève des salariés de l'usine Toyota d'Onnaing. Le mouvement, déclenché à la base pour obtenir le paiement intégral du chômage partiel, a duré 14 jours. Mais au delà de cette revendication, «la question du paiement des jours de grève est venue naturellement dès les premiers jours, car nous avions le sentiment d'être dans notre bon droit et que c'était le mépris de la direction qui avait déclenché le mouvement», explique Eric Pecqueur, délégué CGT.
Mais les employeurs, qui sont déjà pénalisés par l'arrêt de la production, sont souvent très réticents à indemniser les grévistes. «Pour imposer le paiement des jours de grève, il faut avoir un rapport de force très favorable car le patronat en fait souvent une question de principe», note Eric Pecqueur. Dans le cas de Toyota, la revendication principale a été accordée, l'employeur acceptant d'indemniser le chômage partiel à hauteur de 95% du salaire net. Le paiement des jours de grève n'a en revanche pas été décidé. «Nous avons quand même obtenu l'étalement des retenues à hauteur d'un jour par mois, alors que la direction proposait d'effectuer toutes les retenues sur trois mois».
Tout dépend donc du rapport de force: dans le cas où la revendication principale n'est pas accordée, l'indemnisation des grévistes devient le point central des négociations de sortie de grève.
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: Dès le 1er juin, fini le RMI: voici le RSA ! 26/5/2009, 01:31
Citation :
Alors que le chômage poursuit sa vertigineuse remontée, le Revenu de solidarité active (RSA) entrera en vigueur le 1er juin, avant les premiers versements en juillet, venant ainsi sceller la fin du Revenu minimum d'insertion (RMI), créé il y a vingt ans.
Une nouvelle "révolution sociale", estime le ministre du Travail Brice Hortefeux.
Concrètement, à compter du 1er juin donc les titulaires du RMI et de l'Allocation parent isolé (API) basculeront automatiquement dans les listes de bénéficiaires du RSA, qu'ils recevront pour la première fois le 6 juillet.
Les personnes qui ne touchent pas ces prestations ont jusqu'au 15 juin pour aller s'inscrire, notamment auprès des caisses d'allocations familiales. En tout, la Caisse nationale d'allocations familiales estime qu'il y aura 3,1 millions de foyers "RSistes".
L'objectif, à terme, c'est de faire baisser de 700.000 le nombre de pauvres en France, évalué à près de 8 millions.
L'enveloppe consacrée au RSA, financé par l'État et par les départements, tourne autour de 9,8 milliards d'euros, dont 1,5 milliard de "coût net", le reste provenant pour l'essentiel des prestations sociales remplacées par le RSA.
Comme toujours, les cacochymes de la vieille gauche rétrograde critiquent cette mesure estimant, comme Maryse Dumas de la CGT, que la mesure servira à "faire accepter les travailleurs pauvres" ou veulent y voir, comme le déplore Noëlle Burgis, sociologue au CNRS, "une subvention aux bas salaires".
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 745- 26/5/2009, 07:58
OmbreBlanche en 744 a écrit:
Alors que le chômage poursuit sa vertigineuse remontée, le Revenu de solidarité active (RSA) entrera en vigueur le 1er juin, avant les premiers versements en juillet, venant ainsi sceller la fin du Revenu minimum d'insertion (RMI), créé il y a vingt ans.
Une nouvelle "révolution sociale", estime le ministre du Travail Brice Hortefeux.
Allons la France, encore un petit effort, non pas pour trouver de nouveaux acronymes, mais pour pousser la logique de cette "invention" jusqu'à la version que nous proposons : un équivalent du RSA modulé et attribué à tout citoyen en situation légale.
Modulé selon l'âge : allocations familiales, revenu minimum, pension de retraite. Ce revenu serait versé à tout le monde et remplacerait aussi les allocations de chômage si la personne en question est sans emploi, et dans le cas contraire il continuerait à le recevoir mais son salaire serait amputé d'autant. Ce qui favoriserait d'ailleurs les produits nationaux.
Surtout, ce revenu serait distribué par un seul et même organisme.
Est-ce trop novateur, surtout si l'idée n'est pas française ?
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: Egoterie nationale... 26/5/2009, 08:13
Biloulou a écrit:
Est-ce trop novateur, surtout si l'idée n'est pas française ?
Au pays des Gaulois, il ne faut jamais brusquer l'égo des coqs, mon cher Biloulou...
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: 747- Certes 26/5/2009, 08:30
Bonjour OmbreBlanche !
Certes, certes... quoique cette timide avancée du RSA, le revenu de citoyenneté évoqué en son temps par Mme Christine Boutin, l'auto-entreprise... Bon, je ne dis plus rien.
Kôôôôtttt....
Invité Invité
Sujet: TOUJOURS AUSSI COURAGEUX ! 26/5/2009, 10:27
748-
Lefebvre insiste pour travailler durant son congé-maladie.
Le vibrionnant député UMP Frédéric Lefebvre souhaite permettre aux salariés d'exercer une activité professionnelle via le télétravail, même durant un congé maladie ou maternité. L'amendement a été rejeté par la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale mais Lefebvre va le représenter. Frédéric Lefebvre ne désarme pas! Malgré le rejet en commission de son amendement visant à permettre les salariés, via le télétravail, à poursuivre leur activité professionnelle pendant leur congé maladie, le porte-parole de l'UMP entend représenter cette modification du droit du travail . "Le télétravail, c'est beaucoup d'avancées pour les salariés, pour l'écologie", a déclaré mardi matin sur RTL l'élu des Hauts-de-Seine. "Les salariés peuvent habiter plus loin d'une métropole, avoir des logements plus grands et prendre moins de transports." A la question "allez-vous redéposer un amendement", Frédéric Lefebvre a répondu: "Bien sûr".
"Il y a des salariés qui subissent un arrêt maladie qui sont immobilisés chez eux deux mois mais qui ont les facultés intellectuelles pour travailler", a expliqué le député de la majorité. "Je ne vois pas pourquoi les moyens modernes aujourd'hui à leur disposition on ne les mettrait pas pour qu'ils puissent continuer à travailler et avoir des revenus supérieurs. Parce que quand vous êtes indemnisés par la Sécurité sociale, c'est toujours en dessous de vos revenus". Lundi soir, le rapporteur UMP du texte Jean-Frédéric Poisson ainsi que les députés de la majorité et de l'opposition se sont pourtant prononcés contre la disposition lors de son examen en commission des Affaires sociales. Ce rejet laisse présager d'un vote similaire lors de l'examen de cet amendement dans l'hémicycle, probablement mercredi. La disposition de M. Lefebvre intervient dans le cadre de la discussion sur la proposition de loi UMP sur le prêt de main d'oeuvre entre entreprises, qui a débuté lundi soir à l'Assemblée nationale. Le texte de M. Poisson vise à assouplir les règles de prêt de main d'oeuvre, au nom des "chances de l'emploi".
M. Lefebvre entend "permettre aux salariés qui en feraient la demande de maintenir une activité par la voie du télétravail dans certains cas où leur contrat est normalement suspendu", selon l'exposé des motifs de son amendement. Ces cas concerneraient les congés consécutifs "à une maladie ou un accident", le "congé maternité", le "congé parental d'éducation ou congé de présence parental", précise le texte. "L'intérêt de la poursuite du contrat de travail est évident pour le salarié à qui elle permettrait, au minimum, de maintenir sa rémunération, à nombre d'heures de travail effectuées équivalent", détaille l'exposé des motifs. "L'employeur pourrait également être incité à encourager le passage au télétravail en se voyant offrir une réduction de charges sociales, financée par les économies réalisées par la caisse d'assurance maladie, qui n'aurait plus à verser d'indémnité au télétravailleur", lit-on également. Le passage au télétravail serait "de droit pour le salarié" sauf si l'employeur démontre que l'activité ne peut se poursuivre que dans les locaux de l'entreprise. Un avis médical favorable serait requis et, en cas de congé maternité, le contrat de travail serait "nécessairement suspendu" pendant une période de huit semaines. "C'est tout simplement hallucinant! Les principes ainsi bafoués remontent à la fin du XIXe siècle", a déclaré dans l'hémicycle à propos de l'amendement Lefebvre le socialiste Alain Vidalies en défendant une motion de procédure, finalement rejetée. "Bien entendu, c'est toujours à l'abri du volontariat du salarié que vous avancez ces régressions majeures. Les salariés doivent être volontaires pour travailler le dimanche, volontaires pour le prêt de main-d'oeuvre et maintenant volontaires pour continuer à travailler même s'ils sont malades", a-t-il ajouté. "Cette démarche est la négation même du lien de subordination qui est la raison même de l'existence du code du travail", a estimé M. Vidalies.
Invité Invité
Sujet: PLUS DE PÊCHE MIRACULEUSE PENDANT 3 ANS !!! 27/5/2009, 16:45
749-
Jean Tiberi déclaré inéligible pour trois ans.
Une peine de dix mois de prison avec sursis et de 10.000 euros d'amende est en outre prononcée contre l'élu. Son épouse Xavière est sanctionnée de neuf mois de prison avec sursis et de 5.000 euros d'amende mais n'est pas déclaré inéligible.
Le couple est reconnu coupable de l'inscription frauduleuse massive sur les listes du Ve arrondissement de la capitale de milliers de "faux électeurs" n'y résidant pas.
Réélu de justesse maire UMP du Ve en 2008, et toujours député, Jean Tiberi, qui a été maire de la capitale de 1995 à 2001, peut faire appel et conserverait dans ce cas ses mandats.
Cette affaire ouverte en 1997 avait un temps menacé le plus haut niveau du pouvoir lorsque Jacques Chirac, mentor de Jean Tiberi et maire de Paris de 1977 à 1995, était à l'Elysée, mais l'instruction a frôlé ensuite les records de lenteur.
C'est la deuxième condamnation pour fraude électorale sanctionnant l'ancienne équipe municipale Chirac, après celles visant les fraudes du IIIe arrondissement, prononcées en 2006.
Invité Invité
Sujet: Le club des lèche-cul s'étoffe ... 27/5/2009, 19:58
OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Age : 51 Localisation : Nord Franche-Comté (25) Date d'inscription : 16/11/2008
Sujet: Aide à la jeunesse: les proposition des sénateurs 27/5/2009, 23:54
Citation :
La mission d'information sénatoriale sur la politique en faveur des jeunes a réuni dans un rapport présenté le 27 mai une série de propositions pour aider les 16-25 ans à mieux se soigner, se loger ou encore à trouver un emploi plus facilement.
Pour financer la politique pour la jeunesse, le rapporteur de la mission, le sénateur UMP Christian Demuynck a souhaité aller plus loin que ses collègues en imposant davantage les bénéficiaires du bouclier fiscal pour récupérer environ 46 millions d’euros.
Mais cette proposition n'a pas été retenue dans le rapport final voté en commission le 26 mai, a-t-il déploré, alors qu'un débat en séance publique sur la politique en faveur des jeunes est organisé au Sénat le 27 mai.
Dans son "rapport d'étape", la mission propose, pour éviter les échecs scolaires ultérieurs, de "dédoubler les classes de CP pour un meilleur apprentissage de la lecture", a expliqué Christian Demuynck.
Alors que, selon lui, 150.000 jeunes sortent chaque année du système éducatif sans diplôme, "l'idée est de créer des modules" scolaires de maths par exemple, que les jeunes pourraient faire valoir sur leur CV en cherchant un emploi, même s'ils n'ont pas de diplôme, a poursuivi le sénateur de Seine-Saint-Denis.
Les sénateurs proposent aussi de "créer un véritable service public de l'orientation (...), un «guichet unique» capable de renseigner les jeunes". Le rapport prône un rapprochement des mondes éducatif et professionnel via des stages obligatoires en entreprises ou en collectivités pour les enseignants.
Pas d’aide à l’embauche
Côté emploi, il indique qu'il faudrait "rejeter la création d'une nouvelle aide financière pour l'embauche de jeunes salariés, qui s'accompagnerait d'un inévitable «effet d'aubaine»". Nicolas Sarkozy a promis fin avril une prime de 3.000 euros aux entreprises qui embaucheront en CDI un jeune stagiaire avant la fin septembre.
En ce qui concerne le logement, il faut créer un "bail spécifique de colocation". Un "chèque santé" pourrait prendre en charge 75% d'une mutuelle complémentaire pour les jeunes les plus démunis.
La mission ne s'est en revanche pas attardée sur l'autonomie financière des jeunes, a ajouté Christian Demuynck, renvoyant au futur Livre vert que prépare pour juin la commission de concertation sur la jeunesse.