Le chemin du crime.

Rappel du premier message :

Au tour des salons de coiffure d’être braqués à Liège
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Votre région - Liège sam 15 nov, 21:17

Trois individus cagoulés et armés ont attaqué ce samedi vers 20h30 un salon de coiffure situé rue de Hesbaye, à Liège. Les malfaiteurs ont menacé les personnes présentes, avant de prendre l'argent de la caisse (dont le montant n'est connu) puis la fuite.

Ce salon, ouvert depuis quelques semaines seulement, avait déjà été braqué peu après son ouverture.

Dossier Carolorégienne : Despiegeleer sera jugé
La Chambre du Conseil de Charleroi a statué jeudi, dans le dossier de « La Carolorégienne »: trois anciens échevins et un ancien sénateur PS figurent parmi les inculpés qui sont renvoyés devant le tribunal correctionnel.
Belgique - Faits divers 12:19

Les anciens échevins Claude Despiegeleer, Serge Vanbergen, André Liesse, et le sénateur Francis Poty, tous administrateurs de la société de logements, figurent parmi les inculpés renvoyés en correctionnelle. C'est également le cas de responsables administratifs et comptables de « La Carolorégienne », Luc Frère , Jean Paul Tison, Alain Carlier, René Boucheron et Maurice Bruneel, et de Jean-Claude Henrotin, à l'époque commissaire de la SWL.

Ces différents inculpés sont poursuivis pour abus de biens sociaux, faux et usage de faux, détournement par fonctionnaire, infraction à la législation sur les marchés publics, prise d'intérêts, infraction à la législation comptable.

Des non-lieux partiels sont également intervenus en faveur de Claude Despiegeleer, Francis Poty, Serge Van Bergen, André Liesse, Luc Frère, Jean-Paul Tison, et Alain Carlier.

Un non-lieu complet a été prononcé en faveur d'Alain Rosenoer, le directeur gnéral de la Société wallonne du Logement, Vincenzo Sciarra, de la SWL et du notaire Hubert Michel.



Bref rappel des faits

L'affaire de « La Carolorégienne », qui avait éclaté en septembre 2005, avait été mise à jour après la publication d'un audit faisant notamment état de dépenses somptuaires des responsables de cette société de logements sociaux. Celle-ci avait à l'époque pour administrateur délégué l'échevin Claude Despiegeleer, qui avait été mis en détention préventive pendant quarante-deux jours. Ce dossier avait été le premier des « affaires » carolorégiennes.

L'un des deux policiers soupçonnés d'avoir commis un vol le 29 octobre dans une librairie d'Ixelles sera cité directement à comparaître devant le tribunal correctionnel pour vol par un fonctionnaire.

Belgique - Faits divers 12:45

Pour l'autre policier intervenu sur le lieu du vol, le dossier a été classé sans suite. "Il n'est pas établi que ce second policier ait vu son collègue commettre le vol", a expliqué le parquet de Bruxelles.

Les deux policiers de la brigade anti-agression étaient intervenus le 29 octobre dans une librairie qui venait de faire l'objet, vers 4h00, d'un cambriolage.

La vidéo de surveillance de la librairie montre deux voleurs en train de dérober des cigarettes avant de prendre la fuite.

Un quart d'heure plus tard, deux policiers de la brigade anti-agression apparaissent sur les images enregistrées par la caméra de surveillance. Un policier fouille dans la caisse vide, puis s'empare de revues et films dans un rayon.

Elle n'est cependant pas parvenue à l'empêcher lui et son complice de s'enfuir avec 1600 euros volés dans la caisse.


Votre région - Bruxelles 11:58

Les deux hommes encagoulés et dont l'un était armé d'un pistolet ont fait irruption dans le magasin et ont contraint la tenancière d'ouvrir la caisse. Le malfrat portant le pistolet a été désarmé par la victime alors qu'il prenait l'argent. L'arme tombée au sol s'est brisée. La victime s'est alors rendue compte que le pistolet était une arme factice.

Les auteurs ont pris la fuite avec un butin estimé à 1.600 euros. Ils sont montés à bord d'une voiture VW Golf stationnée à proximité du magasin et dans laquelle les attendait un complice.

La police a pu établir à partir de la plaque d'immatriculation du véhicule dont les numéros avaient été relevés par la victime que la voiture avait été volée le jour même de l'attaque, vers 6h20, dans la zone de police de Bruxelles-Midi.

Violent hold-up estonien dans une bijouterie bruxelloise
Des montres valant jusqu’à 100.000 euros ont été volées chez un bijoutier de la capitale vendredi. Un braquage orchestré par des professionnels, des Estoniens venus expressément de l’étranger. Le butin est conséquent.


Belgique - Faits divers 9:04

Selon le journal La Dernière Heure qui révèle l’information ce dimanche, c’est l’une des bijouteries les plus cotées de la capitale, située sur le boulevard de Waterloo, qui a été la cible des braqueurs.
Plutôt violents, les malfaiteurs se sont emparés d’une cinquantaine de montres de très grande marque. Pour l’heure, la valeur totale du butin n’est pas encore connue, mais il devrait assurément s’élever à plusieurs centaines de milliers d’euros. Il s'agit en tout cas du plus important cette année en région bruxelloise.

A l’origine de ce casse, deux Estoniens venus en Belgique dans le seul but de voler. En plein jour et à visage découvert, les deux hommes sont entrés dans la luxueuse bijouterie. Une fois à l’intérieur, ils ont sorti leur arme et menacé les vendeuses.

Pendant que l’un surveillait le personnel, l’autre se servait dans la vitrine du magasin. A ce moment-là, le système de sécurité s’est déclenché, bloquant le malfaiteur du fond dans un sas. Son complice s’est alors enfui seul, les poches remplies de montres. Il a aussitôt repris un avion vers l’Estonie.

Le moins chanceux a, quant à lui, été écroué à la prison de Forest.

Jeune héros poignardé dans le métro: le voleur arrêté
Il avait voulu arrêter un voleur de sac dans la station de métro Ceria, hier à Anderlecht. Celui-ci lui avait asséné trois coups de couteau. Le jeune homme de 19 ans est à l'hôpital. L'agresseur en fuite a été arrêté: Richard, 36 ans, un "habitué".

Belgique - Faits divers ven 21 nov, 12:50

Il est bien connu des services de police, a-t-on appris jeudi auprès de la police locale. Il a été interpellé mercredi et placé sous mandat d'arrêt. Richard, est connu pour une série de faits dont principalement des vols à l'étalage. Il a été intercepté à son domicile.

Le suspect a été identifié par un inspecteur de la police de la zone de Bruxelles-Midi, du quartier de la Roue à Anderlecht, sur base des images des caméras de surveillance de la STIB. Quant à la victime, une dépêche Belga d'hier l'annonçait dans un état toujours critique. Nous avons contacté le service presse de l'hôpital Erasme où est hospitalisé le jeune homme. Aucune information n'a pu être obtenue.



RAPPEL DES FAITS

Le voleur avait bousculé une personne, pris son sac et s'était dirigé vers les portes de sortie de la rame du métro quand le jeune homme de 19 ans était intervenu.

L'auteur avait sorti un couteau et avait porté trois coups à hauteur du ventre du jeune homme. Les coups de couteau avaient été portés à l'extérieur de la rame, sur le quai de la station Ceria, en présence de témoins.

Les premiers soins avaient été prodigués par des policiers de la brigade du métro qui étaient rapidement sur place. La victime avait ensuite été emmenée dans un état critique en ambulance à l'hôpital Erasme.

Le voleur avait quant à lui réussi à prendre la fuite. Un suspect avait été identifié à partir des images des caméras de surveillance de la station.



VOS FELICITATIONS

Vous avez été nombreux à manifester hier votre inquiétude pour l'état de santé de ce jeune homme mais aussi votre admiration pour celui que vous avez été plusieurs à qualifier de héros

Elle tue une jeune femme avec son parapluie : 16 ans de prison
La cour d'appel de Rome confirme la condamnation à 16 ans de prison d'une Roumaine qui avait tué une jeune femme dans le métro de Rome avec un parapluie.

Monde - Europe 20:33

Le 26 avril 2007, Doina Matei, ressortissante roumaine de 22 ans, avait eu une altercation dans le métro romain avec une jeune Italienne du même âge et lui avait enfoncé un parapluie dans l'oeil.

Vanessa Russo était décédée le lendemain des suites d'un traumatisme crânien. Ce fait divers avait choqué l'Italie et les quotidiens lui avaient accordé une large place pendant plusieurs jours.

La jeune Roumaine était en larmes

Mardi, devant la jeune Roumaine en larmes, la cour d'appel d'assises de Rome a confirmé la condamnation à 16 ans de prison prononcée en novembre 2007 pour coups ayant entraîné la mort sans intention de la donner, assortie d'une amende de 20.000 euros.

La mère de la victime, Rita Russo, a estimé que "justice avait été faite" tout en déclarant à l'agence de presse italienne Ansa que "les excuses ne suffisent pas, et d'ailleurs je n'en veux pas. Je ne peux pas pardonner".

Doina Matei va déposer un recours

La défense de Doina Matei a annoncé qu'elle allait déposer un recours devant la cour de Cassation, plus haute juridiction du pays.

"La cour n'a pas retenu les circonstances atténuantes, ce qui nous laisse un goût amer", a déclaré à l'Ansa son avocat Carlo Testa Piccolomini, tout en reconnaissant que "pratiquement, la condamnation a confirmé notre thèse que Doina ne voulait pas tuer".

JACKLELOUP a écrit:

le Jeu 20 Nov - 15:26
La tenancière d'une supérette parvient à désarmer un voleur à Uccle
(..)
Le malfrat portant le pistolet a été désarmé par la victime alors qu'il prenait l'argent. L'arme tombée au sol s'est brisée. La victime s'est alors rendue compte que le pistolet était une arme factice.
(...)

Elle a dû être drôlement en pétard la dame !

JACKLELOUP a écrit:

le Dim 23 Nov - 9:16

Violent hold-up estonien dans une bijouterie bruxelloise
Des montres valant jusqu’à 100.000 euros ont été volées chez un bijoutier de la capitale vendredi.(..)
Son complice s’est alors enfui seul, les poches remplies de montres. Il a aussitôt repris un avion vers l’Estonie. (..)

C'est vrai, on voit ça à notre téloche tous les soirs dans la pub de Dolce & Gabbana ! Le complice est une fille, je le signale à la police fédérale.

Loll, je m'amuse

Un médecin met en fuite trois hommes armés venus le dérober
Un médecin a été menacé par trois auteurs, dont l'un était armé, à son cabinet situé boulevard du Jubilé à Molenbeek. Deux suspects ont été interpellés par la police et déférés au parquet.
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Votre région - Bruxelles sam 6 déc, 18:37

Un homme armé d'un revolver est entré vendredi vers 14H30 dans le cabinet d'un médecin et a menacé celui-ci. Deux complices ont fait irruption dans le bureau et se sont dirigés vers la victime qui a été frappée à la tête au moyen d'un objet qui n'a pas été identifié.

Le médecin a cru que le revolver des auteurs était factice et s'est emparé de sa propre arme, un revolver à plombs. La victime a tiré deux coups dans le plafond et a mis en fuite les trois malfrats qui sont partis sans butin. Le médecin a encore tiré après en direction d'un des trois auteurs qui faisait demi-tour.

On ignore si l'un des auteurs a été atteint par une balle en plomb. La police a intercepté deux suspects dont l'un était porteur d'un revolver à plombs.

Les policiers ont trouvé au cours de la perquisition menée au domicile de ce dernier des plombs ainsi qu'une preuve d'achat de l'arme. L'un des deux suspects présente une blessure à la cuisse gauche. Son pantalon a été saisi afin de déterminer si la blessure a pu être causée par le tir des balles à plombs.

Les deux suspects, deux jeunes majeurs connus des services de police pour 10 et 13 faits, nient avoir participé au braquage chez le médecin. Le jeune homme qui portait l'arme à plombs a expliqué à la police qu'il rapportait le revolver chez son armurier car le canon était bloqué. Un mandat d'arrêt a été requis à l'encontre des deux suspects par le parquet.

Citation :

L'un des deux suspects présente une blessure à la cuisse gauche. Son pantalon a été saisi afin de déterminer si la blessure a pu être causée par le tir des balles à plombs.

Ça c'est vraiment belge ! Pourquoi ne pas s'être saisi de la jambe puisque c'est elle qui a été heurtée par le projectile ?

36-

Garages à Bites.

L'une des insultes machistes les plus grossières.
Elle désigne à la vindicte populaire une femme trop accueillante ayant une multitude d'amants ou, plus simplement, le peu de cas que l'on fait d'une femme en la cantonnant à son seul organe sexuel et à son usage.
En québéquois, l'équivalant n'est guère plus élégant: une "plotte à tires". La "plotte" est l'un des noms que l'on donne au sexe féminin, et la "tire" désigne les pneus des voitures des nombreuses personnes qui le visitent.... Quelquechose comme ça.
Mais, plus grossier encore, il leur arrive de parler de "plotte à chars", sexe à voitures, revoici le garage ! L'expression désigne surtout les filles prêtes à coucher avec le premier propriétaire de belle voiture, un char québéquois qui passe......

Citation :

il leur arrive de parler de "plotte à chars", sexe à voitures, revoici le garage ! L'expression désigne surtout les filles prêtes à coucher avec le premier propriétaire de belle voiture, un char québéquois qui passe......

Il est vrai que pour ce type de mâle, sa voiture est le prolongement de son sexe. C'est khôn quand la tire manque de couple.

Catherine Lhermitte à la barre: 'Schaar était le cochon payeur'
Le cinquième jour d'audience dans le procès de Geneviève Lhermitte a débuté, ce matin, devant la cour d'assises à Nivelles. Vers 9h30, Catherine, 39 ans, soeur de Geneviève Lhermitte, est montée à la barre.
Bouchaïb a craqué
L'ex-mari de Geneviève Lhermitte n'était à nouveau pas présent lors de ce cinquième jour de procès. Il avait quitté la salle mercredi au moment après qu'un couteau ayant servi aux meurtres ait été exhibé. Le docteur Schaar, lui, est toujours là.
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Le procès Lhermitte peut-il être annulé pour cause de ...

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Belgique - Faits divers 12:42

Catherine Lhermitte est revenue sur l'enfance des deux soeurs. Une jeunesse qui n'avait pas que des aspects positifs... "Nous avons reçu une éducation extremement stricte. Nous étions mal considérées par nos parents: t'es moche, t'es conne..." a-t-elle déclaré ce matin devant la cour. Des parents qui leur interdisaient de recevoir des ami(e)s. Catherine a ensuite abordé plus spécifiquement sa soeur. Une soeur qui aurait pu, selon elle, faire carrière dans la musique. Elle jouait du violon et de la flûte.



Catherine Lhermitte à la barre

A l'instar de sa soeur, Catherine a eu des pulsions suicidaires. Elle a confié à la cour deux tentatives de suicide, et reconnu même que la pensée d'emporter dans la mort sa fille Alice lui avait traversé l'esprit. Mais cela n'a jamais été plus loin qu'une pensée fugace.

Selon Catherine, Geneviève Lhermitte était très préoccupée par la situation financière de la famille. "Elle se rendait compte que cela devait s'arrêter. Son mari travaillait très peu et elle était en arrêt maladie" a-t-elle rapporté ce matin. La famille s'en sortait notamment grâce à l'aide financière du docteur Schaar. Mais l'argent du docteur ne suffisait pas à faire oublier à Geneviève son dégoût pour le docteur qui, selon elle, manquait d'hygiène. "Schaar était le cochon payeur" a résumé Catherine. Elle a illustré le dégoût de sa soeur en confiant que cette dernière lui avait montré les slips du médecin, des slips qu'elle avait ébouillantés dans une bassine en fer blanc.



Mireille Lhermitte à la barre

Passé 10h, Catherine Lhermitte en a eu fini avec son témoignage. Elle a cédé sa place à sa soeur, Mireille. Celle-ci n'a pas une opinion aussi négative de leurs parents. "Mes parents ont fait le necessaire. Ils nous ont donné l'affection qu'ils ont pu" a-t-elle déclaré. Et elle va même jusqu'à contredire Catherine, affirmant pour sa part, qu'elles pouvaient recevoir des amies à la maison. Elle rejoint par contre sa soeur Catherine sur le fait que Geneviève Lhermitte se plaignait du manque de communication avec son mari et de l'intrusion du docteur Schaar dans la vie de sa famille.

Les soeurs voyaient Geneviève en cachette, "quand son mari se rendait au Maroc" explique Mireille. Elles se voyaient très peu, quelques fois par an. "J'étais très contente d'aller voir Geneviève mais je repartais avec une grande tristesse. Je lui demandais: combien de temps vais je devoir attendre pour te voir ?" confie Mireille Lhermitte qui voyait bien que sa soeur n'était pas épanouie.



Mireille adresse des reproches à sa soeur

Les deux soeurs de Geneviève ne sont décidément pas sur la même longueur d'onde. A un point tel que Mireille nourrit reproche à Catherine sa mauvaise influence: "Je pense que malheureusement les rencontres avec Catherine ne donnaient pas d'assurance à Geneviève".



"Je suis redevenue la Geneviève d'il y a 17 ans"

Les deux soeurs entendues, l'audience a été suspendue. Elle a repris vers 11h20 avec les témoignages de l'oncle et la tante de Geneviève Lhermitte qui a eu très peu de contact avec sa nièce à partir du moment où elle s'est mariée. Geneviève lui a dit qu'elle ne pouvait plus rien faire seule, qu'elle était accompagnée des soeurs de son mari quand elle sortait. Si elle doit supporter le poids intolérable de ses actes, Geneviève Lhermitte semble, paradoxalement, libérée. Elle est en prison mais elle semble psychologiquement libérée de son mari et du docteur Schaar. C'est en tout cas la conclusion à laquelle on peut notamment aboutir quand on entend la tante témoigner que sa nièce lui a écris de sa prison qu'elle était "redevenue la Geneviève d'il y a 17 ans".



La soeur de Bouchaib Moqadem à la barre

A midi, c'était au tour de la soeur de Bouchaïb, El Bouchtaouia Moqadem et son mari, Mohammed El Ualid de témoigner. Certains d'entre vous ne le savent sans doute pas: la soeur de Bouchaib n'est ni plus ni moins que l'ancienne épouse du docteur Schaar.

L'hostilité des détenus pousse les gardiens de la prison de Hasselt à la grève
Les gardiens de la prison de Hasselt ont décidé à l'unanimité de poursuivre la grève. Le personnel pénitentiaire se croise les bras depuis samedi soir après le refus d'une soixantaine de détenus de retourner dans leurs cellules après la promenade.

Belgique - Société 8:48

En outre, des menaces ont été proférées à l'égard du personnel. La police assure le maintien de l'ordre dans la prison depuis samedi vers 20h30. "Nous attendons un entretien avec la direction. Dans l'intérêt des détenus, du personnel et de la police, nous souhaitons discuter le plus rapidement possible pour mettre un terme à cette grève", a indiqué M. Gaspercic, délégué synducal (CGSP).

Les gardiens demandent que les agitateurs de samedi, à l'issue de la promenade, et que les détenus qui ont proféré des menaces soient séparés des autres prisonniers et transférés le plus rapidement possible dans une autre prison, a-t-il ajouté. Le syndicat socialiste désire aussi que la direction soit plus ferme à l'égard des détenus. La CGSP souligne encore que le comportement des prisonniers envers le personnel est "très hostile".

"La situation était devenue trop dangereuse", a ajouté Mark Gaspercic. A l'issue de la promenade, environ soixante prisonniers sont restés à l'extérieur. Les gardiens avaient l'intention de les punir mais la direction n'a pas voulu suivre cette décision, ce qui a provoqué la colère du personnel pénitentiaire.

Plus tôt cette semaine, un détenu sous influence de la drogue avait blessé trois gardiens de la prison d'Hasselt.

Notre dossier sur le krach qui secoue les marchés financiersÉconomie 13 déc. 19h28
Après l'escroquerie de Bernard Madoff, la planète finance fait ses comptes
Arrêté jeudi, Bernard Madoff, célèbre gestionnaire de fonds et ancien président du conseil d’administration du Nasdaq, est accusé d’avoir monté une gigantesque fraude pyramidale.



Des investisseurs parmi les plus riches et puissants de la planète auraient été dupés, pendant des années parfois, par le gérant financier en vue de New York, Bernard Madoff, accusé d’avoir mis en place une gigantesque fraude pyramidale.

De Tokyo à l’Europe en passant par les Etats-Unis, ces clients - des établissements bancaires, des fonds d’investissements et des fortunes personnelles - feraient actuellement leurs comptes pour évaluer les pertes sur les fonds confiés à Madoff, indiquent plusieurs journaux.

Selon le Wall Street Journal, des banques comme BNP Paribas en France, Nomura Holdings à Tokyo et Neue Privat Bank à Zurich seraient exposées.

Arrêté jeudi, Bernard Madoff, 70 ans, un célèbre gestionnaire de fonds de Wall Street et ancien président du conseil d’administration du Nasdaq, l’une des deux grandes bourses de New York, est accusé d’avoir monté une gigantesque fraude pyramidale portant sur quelque 50 milliards de dollars.

S’adressant à son personnel, l’homme d’affaires a déclaré qu’il «était fini, n’avait plus rien et avait perdu environ 50 milliards de dollars», ont indiqué jeudi le parquet de New York et le FBI. Il a été libéré contre une caution de 10 millions de dollars.

Pendant des décennies, le conseiller en investissements a été l’un des piliers de Wall Street, à la réputation impeccable, fréquentant les milieux influents et cultivant une liste de clients exclusifs.

La SEC (Securities and Exchange Commission), le gendarme boursier américain, a affirmé que M. Madoff avait toujours obtenu de forts retours sur investissements, en utilisant des fonds frais apportés par de nouveaux clients.

Malgré ces surprenants forts retours sur investissements et le fait que des entreprises inconnues ou presque réalisaient ses audits, la SEC «est apparue totalement surprise» à l’annonce de l’arrestation du gérant, selon le New York Times.

«Malgré ces clignotants au rouge, les hedge funds (des fonds spéculatifs, ndlr) ont continué de faire la promotion des fonds de Madoff auprès d’autres fonds ou portefeuilles», écrit le journal.

L’escroquerie a été mise au jour lorsque ses clients ont voulu retirer le capital qu’ils avaient placé et découvert que les coffres du gérant étaient vides.

Selon la presse européenne, des investisseurs espagnols, dont le fonds Optimal-Santander, seraient exposés pour «plus de 3 milliards de dollars» à la fraude du gérant new-yorkais.

Selon le journal ABC, le gérant de fortunes espagnol M&B Capital Advisor serait exposé pour un montant de 558 millions de dollars dans des produits de la société de Bernard Madoff.

En Suisse, les banquiers de la place financière de Genève pourraient perdre jusqu’à cinq milliards de dollars dans la fraude, indique samedi le quotidien suisse Le Temps.

«Plusieurs estimations recueillies par Le Temps laissent à penser qu’au moins 5 milliards sont à risque» à Genève, explique le journal qui a contacté un certain nombre d’institutions de la ville au bord du Léman.

L’Union bancaire privée, numéro un mondial des hedge funds, «risquerait de perdre au moins un milliard», assure encore Le Temps. Une information que l’institution a refusé de commenter.

Aux Etats-Unis, parmi la longue liste des clients individuels victimes de l’escroquerie, figurerait le propriétaire de l’équipe de baseball des New York Mets Fred Wilpon et l’ancien propriétaire de l’équipe de football américain de Philadelphie, the Philadelphia Eagles, Norman Braman.

Le New York Times rapporte qu’une firme de conseil en hedge funds, Fairfield Greenwich Group, aurait investi 7,5 milliards de dollars avec Madoff.

(Source AFP)

Lapidée à mort pour adultère. C'est le sort tragique qu'a connu Aicha Ibrahim DHuhlow, une Somalienne de 23 ans qui a goûté à la cruelle vengeance des rebelles islamiques d'inspiration wahhabite. Venant de reprendre le contrôle d'une ville du sud du pays, ce groupe associé à l'Union des tribunaux islamiques a imposé la charia comme premier acte du gouvernement. « Et, comme toujours, la première chose qu'ils ont faite au nom de cette magnifique loi tribale, c'est d'aller chercher une femme pour la punir», s'est indignée Ayaan Hirsi Ali, célèbre ex-députée néerlandaise d'origine somalienne qui a sommé l'Occident de «sévir».
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Vive mon pays !

quand même, l'affaire madoff c'est vraiment de l'eau bénite à mon moulin


quelle bande de nases ces "rois de la finance"


et dire qu'il y a encore des gens qui croivent à leur baratin


du coup je me fais une petite fête à l'emoticon


allez-y... investissez à fond
en ce moment c'est la bonne période
achetez de la banque, ça va donner!!

Prise d’otage dans le quartier de la Bourse à Bruxelles
Une prise d'otage de type tiger-kidnapping s'est déroulée cette nuit chez un bijoutier du quartier de la Bourse à Bruxelles. Un ou deux suspects ont été interpellés.
Qu'est-ce qu'un tiger-kidnapping ?
C'est une question qui nous a été posée par un internaute. Voici la définition que l'on peut trouver sur le site internet de la police fédérale.

"Le tiger kidnapping est une prise d’otage, à savoir l’arrestation, l’enlèvement ou la détention d’une ou de plusieurs personnes, afin de forcer un employé, un proche ou une autre personne à s’emparer immédiatement de toute valeur, somme d’argent considérable ou toute autre forme de rançon appartenant à une institution ou une société".

(Cette définition est une définition de travail provisoire qui doit encore être confirmée par une circulaire du collège des procureurs généraux).

C’est la police britannique qui a utilisé, la première fois, le terme de « tiger kidnapping » pour décrire une forme d’enlèvement pour lequel l’auteur, tout comme un tigre, choisit avec soin sa victime, l’observe pendant un certain temps et ensuite frappe.


Belgique - Faits divers 10:16

Les malfaiteurs seraient entrés dans l'habitation d'un bijoutier de la rue du Midi, hier vers 19h30, et auraient pris sa famille en otage. Dans le courant de la nuit, la police a entièrement bouclé les alentours de l'habitation et les unités spéciales d'intervention de la police fédérale sont descendues sur les lieux. Un hélicoptère muni d'un faisceau lumineux a aussi été dépêché sur place.

Dans le courant de la matinée, les malfrats auraient été arrêtés (au moins un des auteurs présumés du tiger-kidnapping a été arrêté et des sources au sein de la police fédérale font même état de l'arrestation d'un deuxième suspect). Les otages seraient indemnes. Les circonstances exactes sont encore floues.

Le réveillon des habitants de Huy vire au cauchemar
Une centaine de voitures ont été vandalisées à Huy. Ce matin au réveil, c’est avec dégoût que les habitants ont découvert leurs pneus crevés, leurs vitres brisées, ainsi que des barrières arrachées … et même une voiture incendiée. L’œuvre de deux jeunes.



Belgique - Faits divers 19:27

Deux jeunes hommes ont quadrillé la rive droite hutoise de la Meuse en fin de nuit. En partant du centre ville, ils ont vandalisé des voitures mais aussi du mobilier urbain. Ils ont terminé leurs méfaits en périphérie, à Tihange où ils ont incendié une voiture.

Les malfrats ont crevé de nombreux pneus de voitures, ils ont aussi griffé la carrosserie de certains véhicules, arraché des panneaux de signalisation et des barrières avant de bouter le feu à une voiture stationnée à proximité du bois de Tihange.

Le propriétaire de la voiture a pu attraper l'un des deux auteurs. Ce dernier lui a donné un nom avant de s'échapper. La police sur base de ce nom a arrêté ensuite un jeune homme. Après avoir été confronté à la victime de l'incendie volontaire de voiture, il a été relâché. Ce n'était pas l'auteur présumé. "Il est susceptible de connaître le nom de cette personne. Mais, il a été uniquement entendu en qualité de témoin. Il purement innocent", a expliqué Jean-Marie Dradin, commissaire à la zone de police de Huy en charge du service interventions. La police espère cependant que ce jeune homme les guidera vers les véritables auteurs.

Des dépanneurs ont été appelés à enlever de nombreux véhicules immobilisés. Les propriétaires des voitures vandalisées sont quant à eux allés déposer plainte à la zone de police de Huy qui est débordée et qui invite les victimes à profiter de la journée de Noël, en venant déposer plainte le lendemain.

Selon les premiers éléments de l'enquête, les auteurs étaient au nombre de deux. Ils auraient commencé à commettre ces dégradations vers 4 heures et demi à Saint-Remy et auraient terminé leur expédition vers six heures à proximité du bois de Tihange.

L'enquête est en cours et le parquet de Huy a été avisé des faits.

"Je peux essayer cette Rolls Royce? Je suis un prince arabe…"
La police de Bruxelles a interpellé mercredi un homme qui se faisait passer pour un prince arabe et qui tentait d'escroquer des vendeurs de voitures.

Belgique - Faits divers 12:53

L'homme a visité plusieurs concessionnaires de marques prestigieuses en s'y faisant passer pour un prince arabe. Il demandait à pouvoir essayer les voitures ! Les vendeurs se sont évidemment méfiés et n'ont pas donné suite à ses demandes. L’un d’entre eux a même prévenu la police qui a interpellé l'individu. Ce dernier était porteur de faux papiers. L'homme, dont l'identité et l'âge sont inconnus, a été mis à la disposition du parquet de Bruxelles qui a requis son arrestation pour tentative d'escroquerie. Il avait notamment visité le garage d'Ieteren.

Violée par 7 Bruxellois parce qu'elle réclamait de l'argent prêté


Il lui devait 300 euros, elle n’aurait jamais dû les lui réclamer … Les représailles ont été terribles: violée par 7 hommes, ce n’est qu’après avoir été hospitalisée en psychiatrie qu’elle a osé révéler les faits. Ils prennent tous entre 4 et 6 ans de prison ferme.






Belgique - Faits divers jeu 8 jan, 18:30 Abdelhay Hamiche, Eyyüp Ozkan, Savas Ozkan, Kadir Demir, Selçuk Sevilen, Serkan Güclü et Anas Miqdad sont les de cet acte qui a ruiné la vie de la jeune fille. Le tribunal correctionnel de Bruxelles a décidé qu’ils en paieront le prix en prison ce jeudi.

Hamiche déjà en prison : elle n’avait premièrement pas parlé des autres violeurs

Les faits ont été commis la nuit du 24 au 25 août 2005 sur la jeune femme, âgée de 24 ans. Ils se sont déroulés à Schaerbeek chez Abdelhay Hamiche, 30 ans. En réalité, la plaignante avait prêté 300 euros à Hamiche, à la condition expresse de les lui rendre dans un délai très court. Elle appela plusieurs fois ce prévenu pour récupérer son dû et celui-ci déclara qu'il n'admettait pas avoir été "menacé" et "insulté" par la victime. Auparavant, il avait affirmé qu'il lui avait lui-même prêté 50 euros et que la jeune femme le harcelait sans cesse pour avoir plus d'argent.

La plaignante et ce prévenu se sont retrouvés au domicile de celui-ci cette nuit-là. Dès qu'ils se sont vus, l'altercation a commencé et Hamiche a reconnu qu'il avait frappé la plaignante, puis qu'il l'avait "shootée" sur tout le corps pendant une vingtaine de minutes. Il a fini par avouer le viol de la jeune femme et a été condamné en 2006 à 6 ans de prison ferme pour ce viol, assorti de traitements inhumains et dégradants.

Elle a finalement osé avouer la vérité : il y en avait 6 autres !

Peu avant la condamnation de Hamiche par la cour d'appel au printemps 2006, la victime, hospitalisée dans une institution psychiatrique, a décidé de faire savoir aux enquêteurs que les faits avaient été plus graves encore puisqu'il s'agissait d'un viol collectif. Elle fut longuement réauditionnée à trois reprises.

Au début, elle parla des six autres agresseurs en citant leurs surnoms. Elle put les reconnaître dans des albums de photos confectionnés par les enquêteurs et relatifs à des connaissances d'Abdellay Hamiche, déjà connues de la justice. Les policiers ont pu ainsi remonter jusqu'aux six autres prévenus condamnés ce jeudi.

Le tribunal correctionnel de Bruxelles les a condamnés ce jeudi à des peines de 4 à 6 ans de prison ferme. Dans son jugement, le tribunal a dit tenir compte "de la gravité toute particulière des faits, de l'utilisation systématique de la violence et de l'intimidation, de l'absence totale de remise en question reflétée par les examens psychiatriques et du mépris affiché par l'ensemble des prévenus envers la plaignante considérée comme un objet sexuel, à l'exception notable du prévenu Serkan Güclü". Ce dernier a été condamné à 4 ans de prison ferme comme Selçuk Sevilen, Eyyüp Ozkan à 6 ans de prison ferme et les deux autres prévenus, Savas Ozkan et Kadir Demir, à 5 ans de prison ferme.

Le dernier violeur sera interné car coupable également de viol sur mineure

Le tribunal a ordonné l'internement du sixième prévenu, Anas Miqdad, 24 ans. Il a été également reconnu coupable du viol d'une mineure.

Samy Naceri en garde à vue: il aurait poignardé un jeune


L'acteur Samy Naceri, déjà plusieurs fois condamné, a été placé en garde à vue jeudi soir à la suite de l'agression au couteau d'un ami d'une de ses proches.








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