Le chemin du crime.

Rappel du premier message :

Au tour des salons de coiffure d’être braqués à Liège
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Votre région - Liège sam 15 nov, 21:17

Trois individus cagoulés et armés ont attaqué ce samedi vers 20h30 un salon de coiffure situé rue de Hesbaye, à Liège. Les malfaiteurs ont menacé les personnes présentes, avant de prendre l'argent de la caisse (dont le montant n'est connu) puis la fuite.

Ce salon, ouvert depuis quelques semaines seulement, avait déjà été braqué peu après son ouverture.

pour la vente des couteaux n'est-elle pas interdite?

18 ans de prison pour avoir tué Bart qui avait refusé de lui donner une cigarette


Kenny Bolle a été condamné à 18 ans de prison pour le meurtre de Bart Bonroy et la tentative de meurtre de Jilles Coopman à la cour d'assises de Bruges.




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"Deux jeunesses gâchées! Deux familles déchirées... " de suzysuzon






Belgique - Faits divers 8:21 Le ministère public avait exigé 22 ans de réclusion : "Au nom de la société, je demande un emprisonnement de 22 ans", a indiqué le procureur général Chantal Lanssens. "La peine maximale pour les faits commis est de 30 ans. Doit-il absolument écoper de cette peine? Je ne pense pas, mais je ne vois cependant aucune circonstance atténuante. Il avait bien un casier judiciaire vierge, mais ce n'est pas réellement une circonstance atténuante étant donné qu'au moment des faits il avait à peine 18 ans", a-t-elle expliqué.

Mme Lanssens estime qu'il est temps de donner un signal. La vie a perdu de sa valeur et doit être réappréciée, selon elle. "La peine doit être proportionnée à ses actes. Ce procès doit être un tribut à la vie. Je ne veux pas de vengeance, mais la justice. Kenny Bolle mérite une seconde chance, mais Bart n'en aura pas", a-t-elle dit.

"En raison de son casier judiciaire vierge et de son jeune âge, il mérite autre chose", a répondu Me Antoon Coucke, l'un des avocats de Kenny Bolle, qui estime que 22 ans, c'est trop. "Vous ne pouvez pas tenir compte d'une libération conditionnelle. Je n'ai encore jamais eu un client qui a été libéré après avoir purgé un tiers de sa peine. Les choses vont très lentement dans le droit. Quelle que soit la peine que vous imposerez à Kenny Bolle, rien ne réparera ses actes. Le psychiatre du tribunal a établi que Kenny éprouvait un sentiment de culpabilité et qu'il n'y a pas de risque de récidive. Kenny a un comportement exemplaire en prison. Il se lève à temps et va travailler pour indemniser les parties civiles. Ce qu'il fera également en dehors de la prison. Il regrette", a conclu Me Coucke, donnant la parole à son confrère Me Kris Luyckx.

Ce dernier a tout de suite affirmé respecter la décision du jury sur la question de la culpabilité de Kenny Bolle. "Si vous êtes libérés après un tiers de votre peine, il s'agit d'une mesure de grâce. Il faut la mériter. Faites s'il vous plaît en sorte que la peine ait une fonction", a-t-il demandé aux jurés. "Et que la peine ne soit pas destructive, mais que Kenny puisse sortir meilleur homme de la prison que lorsqu'il y est entré."

La valeur d’un GSM selon l'agresseur ? 17 coups de couteau


Jonathan, 16 ans, est un miraculé. Il s’est fait agresser il y a quelques jours près de St-Guidon à Anderlecht par une quinzaine de jeunes, dont leur chef connu de la police. La raison d’une telle violence? Il avait refusé de lui donner son GSM




Votre région - Bruxelles-- jeu 19 fév, 20:44 La victime venait de raccompagner sa copine chez une amie et s’est rendu sur la place St-Guidon retrouver un ami. Malheureusement pour lui, celui-ci était en compagnie de Mamadou, son futur bourreau, relate La Dernière Heure dans son édition du jour. Ce jeune homme a 22 ans et est connu pour faire partie d’une bande urbaine.

“Il a demandé le GSM de mon fils. Il lui a donné. Lorsqu’il a voulu le récupérer, Mamadou lui a dit qu’il lui avait déjà rendu…”, témoigne la maman de la victime. Mais Jonathan ne s’est pas laissé faire et a finalement repris son bien. Il a voulu quitter les lieux mais l'agresseur l’a suivi et tout a dégénéré à ce moment. Il y avait au départ 5 jeunes autour du jeune homme mais très vite, ils ont été une quinzaine à former un cercle imperméable autour de Jonathan et Mamadou … pour contraindre Jonathan à participer à un "duel" des plus déséquilibré. Un jeune homme seul et désarmé en face d’un caïd plus âgé, armé d’un couteau et aidé par sa "bande" de jeunes tout aussi lâches que lui. "Mon fils avait un sac à dos, il l’a enlevé. Il l’a déposé à terre. Lorsqu’il s’est relevé, l’autre avait un couteau en main", témoigne sa maman.

Poumon perforé, barre de fer derrière le crâne, un miracle qu’il s’en soit sorti vivant

Jonathan a tenté d’attraper ce couteau et “c’est comme ça que le tendon de la main droite a été sectionné”, dit-elle encore. Et ce sera loin d’être sa seule blessure. Jonathan se fera blesser par le couteau à de nombreuses reprises, 3 fois au thorax, 9 fois à la jambe, une fois sur le flanc et encore 2 fois à la main. Il sera également blessé sur le front par un poing américain et à l’arrière du crâne avec une barre de fer. Ce coup lui évitera des blessures peut-être encore plus graves : Jonathan, sonné, s’effondre sur le sol, inconscient. Dans la bagarre, la jeune victime a également eu le poumon perforé.

Il sera transporté à l’hôpital où il est maintenant en convalescence. Il pourrait garder des séquelles, surtout à la main droite où un tendon a été sectionné.

Mamadou, lui, a été interpellé par la police de la zone Montgomery. Reste à savoir ce que la justice fera de ce dangereux personnage.

Retour à la case départ : la prison



(23/02/2009)

BAUWERAERTS

Arrêtés lors d'une opération à Matonge, 5 jeunes avaient reçu des consignes strictes
IXELLES Ils se qualifient eux-mêmes d'Alain le Terrible, de Coyote, Alfred la Brute...
En réalité, il ne s'agit que des membres d'une bande urbaine qui règlent leurs comptes à coups de machette et de violences diverses. Et qui, en plus, vendent de la drogue et induisent un sentiment d'insécurité par leur présence.
Début du mois d'octobre dernier, à l'initiative du bourgmestre d'Ixelles, une vaste opération de police avait eu lieu dans le quartier Matonge, à Ixelles.
Seize jeunes, tous d'origine africaine, avaient été interpellés et mis à la disposition du parquet : un endroit qu'ils connaissaient déjà par cœur vu leurs nombreuses arrestations... et libérations. Mais cette fois, la donne avait changé. Le juge d'instruction - surnommé Incarcerator ! - a voulu mettre un terme à ces trafics. Sur les 23 jeunes interpellés, 16 avaient été placés sous mandat.
Après deux mois derrière les barreaux, ils ont été remis en liberté en attendant leur procès. On aurait pu imaginer que ces séjours à l'ombre allaient leur donner une bonne leçon.
Que nenni ! Ce fut sans doute plus fort qu'eux. Malgré cette faveur, certains n'ont pas respecté leurs conditions de libération. Ils n'avaient sans doute pas compris que ce terme signifiait que s'ils ne les respectaient pas, c'était retour à la case prison.
Alors, lorsqu'il leur était mentionné de ne plus retourner dans le quartier Matonge, c'était ne plus y retourner du tout.
Cinq jeunes n'ont pas compris la nuance. Ils ont donc été une nouvelle fois mis aux arrêts.
Yannick a fait encore plus fort. Il a déjà été arrêté trois fois depuis sa sortie de prison...




Emmanuelle Praet

Un homme armé en vue de régler un différend interpellé à Schaerbeek



(23/02/2009)
Le jeune homme a dérobé un poignard et une baïonnette dans le but de se venger du gérant d'une vidéothèque avec qui il s'était disputé
BRUXELLES La police de la zone de Bruxelles-Nord a interpellé, dans la nuit de samedi à dimanche, un jeune homme qui s'était armé d'un poignard et d'une baïonnette en vue de se venger contre un gérant d'une vidéothèque avec qui il venait de se bagarrer, a-t-on appris lundi auprès de la police locale.

Un différend a eu lieu samedi soir, vers 21h30, entre un jeune homme de 22 ans et le gérant d'une vidéothèque, à la chaussée de Helmet à Schaerbeek. Le ton est monté et une bagarre a éclaté.

Le jeune homme, qui se prénomme Mohamed, s'est rendu à la suite de cette bagarre chez un ami et a dérobé à ce dernier un poignard avec une lame de 26 centimètres et une baïonnette avec une lame de 36 centimètres.

La police a été avisée par un passant qu'un homme armé circulait à pied chaussée de Helmet. Le jeune homme, qui était sous l'influence de la boisson, a avoué à la police qu'il se rendait à la vidéothèque en vue de se venger.



La Dernière Heure 2009

Le Figaro - Incroyable escroquerie chez un sous-traitant d'Ariane

Une femme a détourné avec son concubin plus de 13 millions d'euros de la société qui construit des réservoirs pour la fusée Ariane. Un vaste détournement de fonds qui leur a permis de dépenser sans compter pendant quatre ans.

Ils croupissent au fond d'une cellule depuis cinq mois. Bien loin de la vie de rêve que s'étaient fabriqués Laurence, 42 ans, en charge des achats d'une société qui construit des réservoirs pour la fusée Ariane, et Pascal, son concubin, un technicien de l'aéronautique de 49 ans. Comme le raconte Le Parisien de mercredi, ils ont détourné ensemble plus de 13 millions d'euros de la société Cryospace air liquide, membre du groupement d'intérêts économiques d'EADS, dont le siège est basé aux Mureaux.

Leur méthode ? De la mi-2004 à septembre 2008, date à laquelle l'entreprise porte plainte, Laurence réalise «de faux bons de commande et de vraies fausses factures. Une douzaine de sociétés complices participent à l'escroquerie. Elles encaissent le paiement de Cryospace pour des prestations fictives. Elles gardent 20% et reversent 80% en liquide à la salariée et à son concubin ».

Une Ferrari pour le concubin, une Jaguar en remerciement

L'escroquerie est découverte notamment grâce au changement du système de facturation, plus efficace. Difficile de passer à travers les mailles du filet. Le directeur de la société s'aperçoit qu'il manque de «fortes sommes d'argent» dans les caisses. D'autant qu'à l'atelier, des techniciens constatent que des produits commandés ne sont jamais arrivés. En clair, l'entreprise a payé du matériel virtuel à des gens bien réels.

Le couple passe aux aveux. Pascal ne regrette rien. Au contraire, il ose se vanter devant les enquêteurs «qu'il en a bien profité, vivant pour les vacances et pour flamber de l'argent». Une vie «au frais du programme spatial européen». L'argent coule à flot. En République dominicaine, où ils invitent 23 proches dans un hôtel de luxe. Personne ne se méfie, le couple étant à la tête de plusieurs entreprises. A l'île Maurice, aux Seychelles, en thalassothérapie, sans compter les achats de plusieurs appartements… Enfants et amis se régalent. Laurence lui achète même une Ferrari F430, «vite remplacée par une Audi R8». Touché, Pascal, lui offre une Jaguar en retour.

Laurence soutient qu'elle aurait agi «par amour», se laissant entraîner «dans une spirale qu'elle ne maîtrisait plus». Quelques jours après avoir tenté de mettre fin à ses jours, elle a demandé auprès de la chambre de l'instruction de Versailles sa remise en liberté. Refus net : elle reste maintenue en détention dans l'unité psychiatrique de l'hôpital du Chesnay, où elle a été transférée. Une expertise psychologique a également été ordonnée.

Du rêve au cauchemar.

Trois faux policiers interpellés en flagrant délit à Bruxelles







La section des "Trekkers", spécialisée contre les vols à la tire, de la police de la zone de Bruxelles-Ixelles a interpellé samedi à Bruxelles trois faux policiers déjà connus des autorités judiciaires bruxelloises et françaises pour des vols.
Les trois individus sévissaient sur la place Sainte Gudule à Bruxelles et prenaient pour cibles des touristes étrangers venus visiter la cathédrale.
Munis d'un faux badge de la police espagnole et d'une fausse carte de légitimation également de la police espagnole, les voleurs procédaient à la fouille des victimes en leur dérobant des biens personnels.
Ils ont été suivis par des policiers de la section des "Trekkers" qui les ont interpellés en flagrant délit de vol.
Les faux policiers, qui sont domiciliés en France, sont connus de la brigade judiciaire de répression du banditisme en France pour des faits commis depuis mai 2007. Ils font également l'objet d'un dossier ouvert au parquet de Bruxelles en décembre dernier.
Le véhicule des trois suspects, qui n'était pas en ordre d'immatriculation, a été saisi par la police de la zone de Bruxelles-Ixelles. Le trio a été déféré au parquet de Bruxelles et mis à la disposition d'un juge d'instruction.

Un homme blessé au couteau après un accident à Anderlecht


Un homme a été blessé à la main au couteau, samedi à Anderlecht, par un automobiliste à la suite d'un accident de roulage, a-t-on appris dimanche au parquet de Bruxelles. L'auteur présumé du coup de couteau, qui est en situation irrégulière en Belgique, a été mis à disposition du parquet de Bruxelles.






Une voiture a été emboutie samedi à 13H05 par une camionnette à un feu rouage, à l'intersection des boulevards Mettewie et Prince de Liège, à Anderlecht. La victime a proposé au conducteur en tort de libérer le carrefour et de procéder à un constat à l'amiable.
Le conducteur fautif est alors remonté dans sa camionnette et a pris la fuite avec son véhicule avant d'être rattrapé par la voiture emboutie. Le conducteur de la camionnette s'est enfui à pied avant d'être retrouvé à la chaussée de Ninove par le passager de la voiture endommagée. L'homme interpellé a sorti un couteau et a porté un coup en direction de son poursuivant, le frère du conducteur de la voiture, qui a été blessé à la main.
Le suspect a été maîtrisé sur place par une dizaine de personnes témoins de la scène. Le conducteur de la camionnette faisait l'objet d'un ordre de quitter le territoire. Il vivait en Belgique depuis environ 14 ans. Sa camionnette n'était pas en ordre d'immatriculation.

Pauvre M Biloulou


L'Auberge des Maïeurs ravagée par les flammes à Woluwe Saint-Pierre


"L'Auberge des Maïeurs", une fermette classée abritant un restaurant situé au Parvis Saint-Pierre à Woluwe Saint-Pierre, a été ravagée dans la nuit de samedi à dimanche par les flammes. Les dégâts sont très importants mais l'incendie n'a fait aucun blessé.















Votre région- - Bruxelles dim 12 avr, 9:47
Les pompiers étaient sur place samedi à 21h23 et étaient maîtres du feu après dix minutes. A leur arrivée, les flammes qui perçaient la toiture étaient haute de quinze mètres.
Les hommes du feu ont pu sauver le rez-de-chaussée du bâtiment. Une trentaine de pompiers ont travaillé sur place durant la nuit. Les pompiers sont repartis vers 4h30 dimanche après avoir procédé aux opérations de déblai. Personne n'a été blessé.
Le restaurant était en activité lorsque l'incendie s'est déclaré. Plusieurs tables étaient occupées par des clients. Les pompiers n'ont pas dû procéder à des évacuations.
Le feu a pris au premier étage sous la toiture dans des locaux administratifs. Le personnel des cuisines a entendu un bruit de bris de vitre et a vu des flammes sortir d'une fenêtre à l'étage. Le personnel a tenté d'éteindre sans succès le feu au moyen d'un extincteur avant de prévenir la police.

La cause inconnue
Les pompiers ignorent la cause de l'incendie. Personne ne se trouvait en principe au premier étage lorsque l'incendie s'est déclaré.
Un expert du parquet de Bruxelles se rendra ce dimanche sur les lieux. Des parties du bâtiment (façades, toitures, sol, murs porteurs et environ immédiat de l'édifice) avaient été classées en novembre 2005 par le gouvernement bruxellois.
Cette ferme a été construite en 1748 et fut occupée par Joseph Thielemans, qui suivant les traces de son père, le bourgmestre Charles Thielemans, devint lui-même bourgmestre de Woluwe Saint-Pierre de 1904 à 1947. La ferme a été transformée en restaurant dans les années '70.

Avec la fondue bourguignone comme spécialité, ça devait arriver un jour...
C'est très regrettable.

Ah bon...............

Biloulou a écrit:

Avec la fondue bourguignone comme spécialité, ça devait arriver un jour...
C'est très regrettable.

Et que dire des steacks normandie sur planchette ?

(Plus dangereux que le débarquement ! )

Humm... et si tu t'efforçais de bien manger pour lutter contre la faim dans le monde, ce serait plus généreux, non ?

Exclu: agressés au marteau dans le métro à Anderlecht


Deux personnes ont été sauvagement agressées à la sortie du métro Delacroix, à Bruxelles. L'une d'elles est toujours portée disparue, l'autre a été frappée avec un marteau. L'information a été révélée à 13h par BEL RTL.















Votre région - Bruxelles 15:40
Une enquête a été ouverte après l’agression, hier vers 22h30, de deux hommes à la sortie de la Station de métro Delacroix, à Anderlecht. Selon les premières informations de BEL RTL, 2 hommes, l’un d’origine équatorienne et l’autre d’origine algérienne, ont été attaqué par une bande d’au moins 4 personnes qui portaient des cagoules.
Les 2 victimes ont été poussées dans une camionnette, conduites, près du canal où l’une d’entre elles a été frappée à plusieurs reprises à la tête avec un marteau. L’homme a porté plainte pour vol avec violence, l’autre victime n’a pas encore été retrouvée.

C'est sur la nouvelle ligne de métro ou sur une ancienne ?

Parce que si c'est sur la nouvelle c'est vraiment du vandalisme !

Bonjour M Biloulou.Sortie abattoirs ils ont choisi le lieu.

Ah! On a à faire à des gens cohérents, c'est bien.

En effet, la vie est moins pénible au soleil entre gens civilisés.....
Vraiment aucun regret du plat pays....

Biloulou a écrit:

C'est sur la nouvelle ligne de métro ou sur une ancienne ?

Parce que si c'est sur la nouvelle c'est vraiment du vandalisme !

Un policier tue un Schaerbeekois qui poignardait son collègue


Un corps a été retrouvé dimanche vers 07h30 sur la chaussée de Haecht, à Schaerbeek, à hauteur du carrefour avec l'avenue Rogier. Il y a eu une altercation avec les forces de l'ordre.






Votre région - Bruxelles 8:13
Des agents de police surveillaient un homme agité ce matin chaussée de Haecht. Une discussion s'est engagée mais a dégénéré, et un des agents a voulu neutraliser le passant avec une bombe de gaz lacrymogène. L'homme s'est emporté et a visiblement sorti un couteau avec lequel il a poignardé l'agent de police. Un de ses collègues a dès lors directement riposté par deux coups de feu. L'homme est décédé presque sur le coup.
La victime est âgée de 41 ans et fait partie des services de la ville de Schaerbeek. L'homme se rendait à son travail au moment des faits. D'après la police, il s'agit donc d'un cas de légitime défense.

Une équipe de VTM agressée à Schaerbeek




Votre région - Bruxelles dim 19 avr, 18:16 Une équipe de la télévision VTM a été agressée dimanche après-midi à Schaerbeek. Le journaliste et le cameraman ont reçu plusieurs coups et la disquette de la caméra a été subtilisée. Cet incident n'est pas directement lié à la fusillade qui a eu lieu le matin-même dans la commune, a assuré Eric Goens, le directeur de l'information de la chaîne flamande.

L'équipe était à Schaerbeek pour prendre quelques images des lieux où cette scène a eu lieu quand un jeune motard a perdu son sang froid, pensant que le cameraman avait filmé son infraction au code de la route. Un attroupement de jeunes s'est alors formé et la tension est montée. Le journaliste et son collègue ont reçu des coups. La caméra, elle, est intacte.

A 15 ans, il vole l'arme d'un policier et manque de le tuer à Woluwe


Un mineur de 15 ans impliqué dans un sac-jacking s'est emparé lors de son interpellation de l'arme d'un policier. Il a tiré à une seule reprise, sans blesser personne.








Votre région - Bruxelles 12:58
Cela aurait pu mal tourner, mardi soir à Woluwe-Saint-Pierre. Un jeune de 15 ans, interpellé par la police, a volé l'arme du policier et a tenté de le tuer, au terme d'une poursuite à pied. Le jeune suspect a été conduit sur décision des autorités judiciaires au centre fermé pour mineurs d'Everberg, a-t-on appris jeudi au parquet de Bruxelles.
Ses trois complices présumés, également interpellés par la police, ont été relaxés après avoir été auditionnés au parquet de la jeunesse de Bruxelles. Un policier subira une incapacité de travail d'une semaine.
La police de la zone Montgomery est intervenue mardi soir avenue de Tervuren à hauteur de la rue du Bémel et du Parc de la Woluwe dans le cadre d'agissements suspects de quatre jeunes qui rôdaient autour de véhicules à l'arrêt à un feu rouge. La police a aperçu sur place deux jeunes sortir d'un buisson puis briser la vitre d'une voiture pour s'emparer d'un sac à main. Deux autres jeunes faisaient le guet et ciblaient les véhicules.
Un des jeunes a plongé dans l'étang
A la vue des policiers, les auteurs présumés ont pris la fuite dans différentes directions. L'un d'eux a plongé dans un étang. Le jeune homme de 17 ans a fini par se rendre aux forces de l'ordre. La police a appréhendé deux autres suspects, âgés de 14 et 15 ans. Ceux-ci n'ont pas opposé de résistance lors de leur interpellation.
Le quatrième suspect, âgé de 15 ans, a été maîtrisé avec difficulté par les policiers. Un policier a interpellé ce dernier au terme d'une course poursuite à pied. Le suspect a opposé une vive résistance et a porté des coups à plusieurs reprises au policier.
L'adolescent qui était au sol avec le policier est parvenu à prendre l'arme du policier et l'a pointée en direction du buste de ce dernier qui était couché par terre. Le policier visé a saisi la main du suspect pour dévier la direction de l'arme.
L'adolescent armé a fait feu à une seule reprise. La balle n'a touché personne. Deux policiers sont venus en renfort et ont fait usage d'un spray anti-agression pour maîtriser le suspect qui était toujours armé. Les quatre mineurs ont été déférés mercredi au parquet de la jeunesse à Bruxelles.
Deux des quatre jeunes étaient déjà connus des services de police. L'auteur du coup de feu a été placé au centre fermé d'Everbeg et les trois autres ont été relaxés sur décision du parquet. Le policier impliqué dans la bagarre avec l'auteur du coup de feu est blessé au bras et subira une incapacité de travail d'une semaine.

Trois mineurs ont tenté de braquer un convoi de la Brink’sCréé le 24/04/09
(Europe 1 - Dernière mise à jour à 18h39)

Trois mineurs ont tenté de braquer un fourgon de la Brink's, vendredi matin, à Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis, avant de se rendre à la police. Ils ont été placés en garde-à-vue, ainsi qu'un quatrième mineur, chez lequel ils s'étaient dans un premier temps réfugiés.

Le plus jeune des assaillants est âgé de 14 ans.C’est ce que les policiers appellent un "braquage de proximité". Des adolescents de Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis, ont voulu s’attaquer à une cible de leur quartier, vendredi matin. Mais un pallier a été franchi. Au lieu de s’attaquer à l’épicier du coin, trois adolescents, âgés de 14 à 16 ans, ont choisi de s'en prendre à un fourgon de la Brink’s.

Vers 8 heures 30, les adolescents auraient tenté d'attaquer, avec une bombe lacrymogène, les employés de la Brink’s, qui se trouvaient près d'une supérette, avenue de la Paix. Les agents ont alors fait usage de leurs armes, blessant deux des adolescents.

Les jeunes se sont alors retranchés au 11ème étage d'un appartement non loin des faits, chez un quatrième mineur, âgé de 17 ans, avant de se rendre à la police. Les quatre mineurs ont été placés en garde à vue.

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Vous pensez que les agents de la Brink's seront inculpés pour violences sur mineurs ?

Trois mineurs attaquent un Proxy Delhaize à Jemeppe-sur-Meuse




Votre région - Liège ven 24 avr, 22:18 Trois individus, encagoulés et armés, ont attaqué vendredi vers 19 heures le magasin Proxy Delhaize de Jemeppe-sur-Meuse. Les malfaiteurs ont menacé les personnes présentes et se sont emparés du contenu des caisses.
Ils ont pris la fuite en voiture avant de tenter un car-jacking sur un véhicule qui arrivait. Une patrouille de police est arrivée sur place et a appréhendé les trois malfaiteurs. Il s'agit de trois mineurs d'âge, l'un âgé de 14 ans et les deux autres de 16 ans.
Un des mineurs a déjà avoué un braquage dans un autre magasin à Hermé, lundi.
Les trois mineurs, qui sont soupçonnés d'avoir commis d'autres attaques à main armée, ont déjà été mis à la disposition du parquet de la famille.