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Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Bits & Pieces... 29/4/2012, 16:21
Invité Invité
Sujet: Re: Bits & Pieces... 29/4/2012, 16:45
Wow! Quel lien évident!
Passer d'un coup de baguette magique du fraternalisme au nombrilisme en utilisant le même thème, il n'y en avait qu'un seul pour y penser!
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Sujet: Re: Bits & Pieces... 29/4/2012, 17:08
Pétard a écrit:
Wow! Quel lien évident! Passer d'un coup de baguette magique du fraternalisme au nombrilisme en utilisant le même thème, il n'y en avait qu'un seul pour y penser!
Tu sais bien que je tente toujours de me mettre au niveau de mes interlocuteurs, par respect et amitié. (Vil flatteur, va...)
Invité Invité
Sujet: Re: Bits & Pieces... 29/4/2012, 18:21
Biloulou a écrit:
Tu sais bien que je tente toujours de me mettre au niveau de mes interlocuteurs, par respect et amitié.
L'effort est appréciable mais n'est malheureusement pas garant de la réussite, surtout si on a une vision biaisée et surtout kaléidoscopique du discours de l'interlocuteur en question.
Invité Invité
Sujet: Re: Bits & Pieces... 29/4/2012, 18:43
Brûler pour ne pas s’éteindre La désobéissance civile expliquée aux puissants (et à Biloulou par la bande)
Tard hier soir, une foule importante s'est massée au centre-ville de Montréal pour s'opposer à la «solution» avancée par Jean-Charest.
Stéphane Baillargeon, Le Devoir.
La grève, enfin, le boycottage, euh, la chienlit qui sévit depuis onze longues semaines déjà s’enlise aussi dans des débats sémantiques. Dénoncer, par exemple, est-ce exactement la même chose que condamner, désapprouver, critiquer ou proscrire ? Et combien de synonymes faut-il aligner pour convaincre de la sincérité dans l’interdit de la violence ?
Et la violence, au fond, qu’est-ce que c’est et qui la porte ? La racaille qui n’étudie peut-être pas mais en profite pour casser de la vitrine et de la police ? La cavalerie prête à charger ? Le ministre de la Sécurité publique qui menace de déposer des accusations contre le leader étudiant Gabriel Nadeau-Dubois ?
Spoiler:
Les disputes convergent autour de la notion-clé de « désobéissance civile ». Tous les bords l’évoquent, y compris les médias. Les associations étudiantes plaident sa nécessité. Des élus politiques et bien des préposés au sens médiatique la condamnent ou la galvaudent. Ce concept est lui-même un champ de bataille.
« Il va falloir faire des compromis, il va falloir regarder la situation dans son ensemble, a déclaré le maire au journal télévisé de Radio-Canada, jeudi soir. Pas des compromis sur la sécurité. Pas des compromis sur la brutalité. Pas des compromis, par exemple, sur la désobéissance civile. C’est pas acceptable dans notre société. »
Transgression délibérée
Reprenons. On parle de quoi, au juste ? « La désobéissance civile est une transgression délibérée et consciente de la loi au nom d’une cause juste », répond Jean-Claude Ravet, rédacteur en chef de la revue de gauche catholique Relations, qui a récemment consacré un dossier complet au sujet (numéro 743, septembre 2010). « Cette forme de contestation surgit face à un statu quo, par exemple face à des négociations bloquées avec un pouvoir politique. »
Et la violence, alors ? Où commence-t-elle ? « Normalement, les gestes symboliques doivent rester pacifiques, poursuit M. Ravet. Mais on peut s’attaquer à des lieux et des choses, faire des sit-in, occuper des immeubles, manifester illégalement. En France, le mouvement altermondialiste de José Bové a fauché du blé OGM. Le sabotage est plus problématique. Je ne suis pas certain que lancer des briques dans le métro puisse être considéré comme de la désobéissance civile. On va dire : oui, mais les casseurs ! Ça, c’est inévitable, même dans un mouvement non violent. Les provocateurs, d’ailleurs parfois envoyés par la police, peuvent infiltrer le mouvement. Dans ce rapport de forces, les autorités cherchent à discréditer l’adversaire, y compris en utilisant les médias qui sont très attentifs au spectaculaire. Mais non violent, ça ne veut pas dire passif ou inoffensif. »
Le philosophe Christian Nadeau, professeur d’histoire des idées politiques et de philosophie morale à l’Université de Montréal, insiste lui aussi sur le fondement pacifique de cette forme moderne de contestation. « On peut évidemment discuter la hiérarchie des gestes de violence, dit-il à son tour. Il y a une différence entre taper sur une voiture de police et frapper quelqu’un. Un étudiant m’a déjà répliqué que j’adoptais ainsi une position “ bon chic bon rouge ”. En fait, la réponse à cette objection brillante, c’est que la désobéissance civile, par définition, ne peut pas être quelque chose de révolutionnaire. »
Le paradoxe essentiel est là : au fond, cette critique en action ne veut pas renverser l’ordre établi, mais bien plutôt le refonder dans le respect de ses principes. « La désobéissance civile rappelle ce qu’est l’esprit des lois, dit le professeur Nadeau. C’est un moyen de stabiliser la société contre des éléments internes qui la déstabilisent. C’est la réaction quasi épidermique d’une société civile qui dénonce une situation en train d’affaiblir les institutions ou de les détourner de leurs sens, de la valeur du bien commun par exemple, pour des intérêts particuliers. »
Le désordre moins le pouvoir
Henry David Thoreau, mort il y a 150 ans, père du concept (il parlait en fait de « résistance au gouvernement »), aimait répéter qu’il est parfois plus nécessaire de « cultiver le respect du bien que le respect de la loi » ; quand elle est mal faite, évidemment. Thoreau, qui s’opposait au régime esclavagiste, à la guerre contre le Mexique, a contesté pacifiquement en ne payant pas ses impôts. Martin Luther King et les militants des droits civiques dans les États-Unis des années 1960 luttaient contre la discrimination érigée en système dans le parfait mépris des droits fondamentaux.
Le numéro «Pouvoir de la désobéissance civile de la revue Relations remonte l’histoire jusqu’à Jésus et étend les études de cas à travers le monde. « Il y a des leçons à tirer des expériences étrangères, note le rédacteur en chef Ravet. En Allemagne et en France, quand des casseurs viennent entacher une manifestation pacifique, les participants non violents s’assoient, se regroupent et attendent. Voilà un mouvement non violent massif dont les étudiants devraient s’inspirer. »
De Tolstoï à Gandhi, jusqu’au philosophe politique John Rawls, les penseurs de cette forme démocratique de contestation en font un dernier recours. Mieux : ils rendent le pouvoir injuste et borné responsable des effets négatifs de cette dérive.
« Il doit y avoir une légitimité, poursuit le professeur Nadeau. Les protestations des membres de Fathers for Justice n’ont rien à voir avec la désobéissance civile puisqu’elles remettent en cause l’ordre social légitime. Il doit y avoir une rationalité derrière les gestes et les fins doivent s’accorder aux moyens. La désobéissance, par définition, dit à celui qui prétend être le plus fort qu’il n’a pas le droit d’imposer sa volonté. La force ne peut jamais donner le droit. »
De même, le refus extrême mais pacifique ne peut s’exercer au nom d’intérêts corporatistes. On l’entend assez, surtout dans les éditoriaux et les chroniques : Gabriel Nadeau-Dubois serait un vieux jeune, syndicaliste à sa façon. « Quand on reproche aux étudiants de politiser le débat, les leaders ont raison de répliquer que la grève est étudiante, mais que la lutte est populaire, explique alors Christian Nadeau. Ils affirment que l’éducation est un bien social. La légitimité du mouvement se concentre là, dans la lutte contre une menace directe d’affaiblissement d’une institution fondamentale de la société. Il y a bien des slogans stupides dans cette lutte, mais un des plus forts répète : jamais un peuple instruit ne sera soumis. »
M. Ravet en propose un autre, sublime, emprunté à Bernanos : il faut beaucoup de gens indisciplinés pour faire un peuple libre. « La désobéissance civile, c’est le souffle de la démocratie, conclut-il. Il n’y a pas de régime démocratique sans capacité à refuser de se soumettre. »
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 30/4/2012, 15:10
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 30/4/2012, 19:51
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: Bits & Pieces... 1/5/2012, 00:48
207 -
Ah si seulement en France nos estudiants en colère institutionnelle pouvaient comme ce Lipdub Rouge déployer une telle créativité artistique pour contester les décisions des vieux schnocks plutôt que de casser leurs facs et saccager les parterres fleuris des campus !
Cher David, disposeriez-vous par hasard du prénom et du numéro d'appel du cell de cette jolie brunette en shorts marron pour que j'examine avé elle une possibilité de faire un sondage ?
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 1/5/2012, 18:17
EddieCochran a écrit:
Cher David, disposeriez-vous par hasard du prénom et du numéro d'appel du cell de cette jolie brunette en shorts marron pour que j'examine avé elle une possibilité de faire un sondage ?
Cette demoiselle fréquente un faculté dédiée à l'étude des sciences-sociales. Voulez-vous que je vous présente comme un sujet potentiel d'étude?
Cela dit, la flicaille, contemporaine ou passée-date, n'a pas vraiment la cote chez nos étudiants par les temps qui courent...
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 1/5/2012, 19:18
Pour Zed... et L'Ours qui parfois transite dans ces fils... Ils apprécieront. Les zôtres? Bof, continuez de dormir au gaz!
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 1/5/2012, 20:57
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 1/5/2012, 21:18
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 2/5/2012, 11:40
Coup de coeur!
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: Bits & Pieces... 2/5/2012, 13:14
213 -
Pétard a écrit:
EddieCochran a écrit:
Cher David, disposeriez-vous par hasard du prénom et du numéro d'appel du cell de cette jolie brunette en shorts marron pour que j'examine avé elle une possibilité de faire un sondage ?
Cette demoiselle fréquente un faculté dédiée à l'étude des sciences-sociales. Voulez-vous que je vous présente comme un sujet potentiel d'étude?
Affirmatif ! Je suis prêt à livrer mon corps à la science!
Citation :
Cela dit, la flicaille, contemporaine ou passée-date, n'a pas vraiment la cote chez nos étudiants par les temps qui courent...
Et un rockeur ?
Invité Invité
Sujet: Re: Bits & Pieces... 2/5/2012, 22:08
EddieCochran a écrit:
Et un rockeur ?
Ça roque!
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Sujet: Re: Bits & Pieces... 2/5/2012, 23:05
215 -
Pétard a écrit:
EddieCochran a écrit:
Et un rockeur ?
Ça roque!
Exact, ayant plus d'un tour dans mon sac je fonctionne en mode sans échec et deux pas de côté de plus dans mon contrat de mariage ce n'est pas nouveau, je m'en tire comme un roi !
quantat
Nombre de messages : 5399 Date d'inscription : 17/11/2008
Est-ce que tu connais son tout dernier album ? (Bleu pétrole) J'ai toujours aimé Bashung, mais l'ai toujours trouvé très irrégulier... son dernier album est un chant du cygne... je l'ai réecouté cette semaine (depuis son décés je ne pouvais plus). Pas mal de textes ont été écrit par Gaétan Roussel, le leader de Louise attaque.... un des rares à savoir faire des textes en français qui ne soient pas niais
En dehors de cet album, j'ai une affection toute particulière pour sa reprise de "les mots bleus"... ce morceau est un vrai navet lorsqu'il est chanté par Cabrel (?) Par sa voix Bashung lui donnait une toute autre amplitude
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 3/5/2012, 13:53
quantat a écrit:
Est-ce que tu connais son tout dernier album ? (Bleu pétrole)
Oui, d'ailleurs il est présent sur mes MP3...
Je suis pas très rock français mais je me soigne. Bashung est apparu il y peu dans mon univers musical mais bien avant sa disparition. Il n'y a pas là cause à effet. J'ai une petite gêne à son écoute mais ça gratte déyousqu'il faut.
Tant qu'à faire, je te dirai que la mort de Nino Ferrer m'a plus affecté. Lui aussi est présent sur mes machines. Et Zebda itou:
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 3/5/2012, 14:13
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 3/5/2012, 15:34
Il me rappelle quelqu'un, ce mec!
Jason Ready a retourné son arme contre lui après avoir tué quatre personnes.
Jason «JT» Ready, fondateur d’une milice qui s’était donnée comme mission de chasser les clandestins et les narcotrafiquants le long de la frontière mexicaine, a été identifié comme l’auteur de la tuerie qui a fait quatre victimes, dont une fillette de 18 mois, dans une maison de Gilbert, une ville de 200 000 habitants située à quelque 40 km de Phoenix, en Arizona.
Ready, décrit comme un néo-nazi, est la cinquième victime de la tuerie, ayant retourné son arme contre lui. Les motifs du massacre ne sont pas encore connus.
Ready vivait dans la maison de Gilbert avec une des victimes, qui était son amie de coeur, et Ambers, la fille de celle-ci, selon le quotidien The Arizona Republic. Ambers et son ami de coeur ont également été tués.
Profiles of 20 Nativist Leaders
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Sujet: Re: Bits & Pieces... 3/5/2012, 16:09
2 heures en six minutes?
Invité Invité
Sujet: Re: Bits & Pieces... 3/5/2012, 16:57
On mérite tous son petit Rupert Murdoch, nous on a un Conrad Black! Vous avez qui, vous, de votre côté de la mare?
La photographie d’identité judiciaire de Conrad Black. (Crédit : U.S. Marshals Service)
La chronique de Normand Lester
Harper est dur avec les criminels, sauf s’ils sont riches et conservateurs
Bon, Conrad Black est exceptionnellement doué. Mais c’est aussi un fanfaron, maître de l’esbroufe, un baveux qui se croit tout permis, parce qu’il est de la «race des Seigneurs». Il est né dans le Golden Square Mile de Montréal.
Spoiler:
C’est aussi un «self-made-man». À 25 ans, il achète le Sherbrooke Record et en devient l’éditeur et le rédacteur en chef. En 30 ans, il construit sur cette base le troisième empire de presse de la planète. Il paie de sa poche des uniformes rutilants pour les membres de la Garde du gouverneur général du Canada afin de leur donner du panache. On le fait Officier de l’Ordre du Canada. Pas suffisant, il veut devenir pair du Royaume-Uni. Pour accéder à la Chambre des Lords britannique, le vaniteux Black renonce à sa citoyenneté canadienne et obtient le titre prétentieux de «baron Black de Crossharbour».
En 2007, il est reconnu coupable d'entraves à la justice et de fraudes relativement à sa gestion de Hollinger International dans un procès à Chicago. Il est condamné à six ans et demi de prison.
Et voilà qu’après avoir servi sa peine aux États-Unis, le gouvernement conservateur de Harper… oui, oui … celui qui est très dur avec les criminels et qui fait tout pour éviter que ceux de l’étranger puissent s’installer au Canada, autorise Black à revenir au pays. Il n’est pourtant plus Canadien et possède un dossier judiciaire. Ottawa lui a accordé un permis de résident temporaire. Une fois résident, il va pouvoir entreprendre des démarches pour obtenir sa citoyenneté.
Un Mexicain, un Colombien ou un Congolais avec des antécédents de criminalité financière aurait-il été aussi bien traité? J’en doute fortement. Mais là, c’est un ami de la maison, fondateur du quotidien National Post, porte-parole de la droite dure du Canada anglais, férocement anti-Québec et likoudnik. De sa cellule aux États-Unis, Black a d’ailleurs écrit des chroniques pour le journal entre deux corvées de récurage des bols de toilettes de la prison. (Ce que je donnerais pour mettre la main sur une vidéo de la scène!)
Il est d’ailleurs amusant depuis le début de la sage judiciaire de Black aux États-Unis de voir le National Post, habituellement à plat ventre devant tout ce qui est américain, se plaindre du système judiciaire des États-Unis et faire sienne la position de son fondateur. Lord Black affirme, haut et fort, qu’il a été victime d’une terrible injustice et qu’il n’a commis aucun crime. Il avait parfaitement le droit de puiser dans l’escarcelle de Hollinger comme il l’a fait.
Le ministre de la Citoyenneté et Immigration, Jason Kenney, l’homme qui chasse les criminels étrangers établis au Canada, est tout en nuance dans le cas de Black. Délicat, il explique que les règles de la vie privée l'empêchent de répondre aux questions concernant son retour. Kenney assure que la demande de Black a été traitée de manière totalement indépendante par ses fonctionnaires sans aucun apport de lui-même ou de son bureau. Mon œil! Il est évident que les conservateurs vont tout faire pour faciliter le retour de leur petit copain. Black a plusieurs avantages sur les autres criminels étrangers qui veulent s’établir au Canada. Il est blanc, anglo-saxon et partage l’idéologie de ses amis au pouvoir.
Le simple fait que Black ait renoncé à sa citoyenneté canadienne avec mépris et condescendance afin de se pavaner dans les accoutrements ridicules des Lords anglais devrait le rendre inéligible. Qu’il retourne en Angleterre, dont il a déshonoré la chambre haute, se faire consoler par son amie Margaret Thatcher.
Invité Invité
Sujet: Re: Bits & Pieces... 3/5/2012, 21:35
J'me disais en postant que Quantat et Eddie y trouveraient leur compte.
Excellente version d'un très difficile classique.
QS: T's vu Quantat, le bassiste utilise un Ampeg SVT. Comme moi, à l'époque.
Invité Invité
Sujet: Re: Bits & Pieces... 3/5/2012, 23:28
Pendant que j'y suis...
Toujours pour mes quelques copains rockers!
Shansaa
Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 02/11/2008
Sujet: Re: Bits & Pieces... 4/5/2012, 04:29
Pétard a écrit:
On mérite tous son petit Rupert Murdoch, nous on a un Conrad Black! Vous avez qui, vous, de votre côté de la mare?
Oh mais nous dans un registre cousin, nous avons Nanard. C'est au moins aussi pourri