C'était la grande époque des Héros !
Allons, OB, redescends un peu du pinacle du sentiment poétique.
La guerre de Troie, c'est de la GUERRE. Aurais-tu envie de poétiser à partir des déboires de l'ex-Yougoslavie scindée comme un Mur berlinois tomba ?
Parce que, les " héros ", ils sont homériques, en ce cas-ci. On n'avait pas d'observateurs journalistiques jamais trop loin d'une balle perdue, à l'époque. Il n'y avait que les poètes (ils n'étaient même pas encore des écrivains au sens restreint du terme, ceux-là sont de récente époque, capables étant de raconter la Vie sans trébucher sur des rimes - donc avec une rationalité de bon aloi - ne me souligne pas, OB, que de nos écrivains sont poétiques à faire craindre Valéry et autre Rimbaud, je sais, je sais... rien n'est parfait, vois-tu, même pas moi, ni toi, si j'ai bien analysé ton parcours : bienvenu chez les imparfaits !).