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Membre éminent de l'Académie des Sciences, Camille Edmond Auguste Rateau, né en 1863 et mort en 1930, est le très génial inventeur du turbocompresseur multicellulaire.
Comment ça marche ?
Le principe est assez simple. Il s'agit d'une turbomachine dans laquelle on communique au gaz, au moyen d'une roue, de l'énergie cinétique transformée ensuite en pression dans un ensemble de conduites fixes entourant cette même roue.
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OmbreBlanche
Nombre de messages : 11154 Date d'inscription : 16/11/2008
Serait-ce la fin des magazines pornographiques dans les cabines des centres de procréation assistée ? En Chine, peut-être. Dans certaines villes du pays, un nouveau matériel assiste les aspirants à la paternité : l'"Automatic sperm extractor", soit, littéralement, un extracteur de sperme automatique, rapporte le site du Matin.
Muni d'un écran, l'appareil diffuse des films. Il est exclusivement réservé aux patients désireux d'avoir des enfants. Vingt à trente personnes auraient quotidiennement recours à cet appareil, selon le service d'urologie de Zhengzhou.
Une vidéo en explique le principe :
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Pour les petits trucs,les gosses font déjà ça avec des crottes de nez . Pour les gros,style Tour Eiffel... Je vois pas très bien l'utilité ...
Tu serais étonné de ce que les esprits créatifs qui ont un jour lointain joué avec les crottes de leur nez, peuvent avoir comme idées en devenant grands...
Ungern
Nombre de messages : 17713 Date d'inscription : 18/05/2009
Sujet: Nano technologie et piles . 10/3/2013, 18:39
Des scientifiques créent la pile du futur accidentellement
Deux scientifiques de l’université de Californie à Los Angeles ont créé par hasard une pile super-puissante et biodégradable lors de leurs travaux sur le graphène, rapporte le site Co.Design. Les résultats de leur recherche ont été publiés dans la revue Nature.
Le graphène est un matériau révolutionnaire découvert en 2004 qui a permis à ses inventeurs de remporter le Nobel de physique en 2010. Composé d'atomes de carbone, il est transparent, très résistant, et pour l'instant le meilleur conducteur électrique connu à ce jour.
C'est en cherchant une manière plus pratique de fabriquer du graphène que Richard Kaner et Maher El-Kady ont mis au point le «super-condensateur»: une nouvelle pile flexible, superpuissante et biodégradable qui pourrait bien être la potentielle alimentation des gadgets ou systèmes électroniques de nouvelle génération.
Les scientifiques expliquent leur découverte dans une vidéo de présentation:
La vidéo montre comment les scientifiques sont parvenus à créer du pur graphène, en déposant de l’oxyde de graphite liquide sur un CD, puis en le solidifiant à l’aide du laser d’un graveur classique d’ordinateur. En le testant avec un appareil électronique et une LED, ils se sont aperçus que celle-ci était restée allumée pendant plusieurs minutes après avoir chargé le graphène seulement quelques secondes.
Ce super-condensateur combine les avantages de la pile classique et du condensateur. C'est-à-dire qu'il charge plus rapidement et avec plus de puissance que les piles ordinaires. Richard Kaner explique:
«Vous pouvez imaginer les super-condensateurs comme un dispositif de charge-stockage de la même manière qu’une pile, sauf qu’il se charge et se décharge 100 à 1.000 fois plus vite.»
Grâce à cette pile, il imagine pouvoir charger un iPhone en trente secondes, ou une voiture électrique en quelques minutes. Ce qui représenterait une véritable révolution au quotidien. Son collègue Maher El-Kady détaille également:
« [Ce dispositif] pourrait trouver des applications en tant que source d’énergie flexible pour des écrans d’ordinateurs enroulables, des claviers, des vêtements technologiques qui collectent et stockent l’énergie produite par les mouvements du corps, ou comme un système de stockage d’énergie qui peut être combiné avec des cellules solaires flexibles.»
L'autre grand avantage du super-condensateur est qu'il est aussi totalement biodégradable car composé d'un élément naturel, le carbone, contrairement aux piles habituelles qui contiennent des métaux et des éléments chimiques toxiques. La vidéo suggère qu'il sera possible de recycler ces piles, par exemple grâce au compostage.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Hyperloop, le projet de train révolutionnaire du fondateur de Paypal (Par La rédaction de ZDNet.fr | Mercredi 31 Juillet 2013)
Utopie ou projet solide? Ce train supersonique, qui doit être présenté mi-août, rallierait des longues distances plus vite qu'un avion, serait alimenté à l'énergie solaire et coûterait moins cher au passager que le train ou l'avion.Un train capable d'aller de Los Angeles à New York en 45 minutes, voilà qui soulève le scepticisme. Mais lorsque celui qui l'annonce est Elon Musk, milliardaire qui a fondé Paypal et le constructeur de voitures électriques Tesla (dont les ventes et le cours en Bourse ne cessent de grimper), il est plus écouté qu'un inventeur inconnu. Baptisé Hyperloop, ce projet pourrait être du genre de celui présenté sommairement dans cette vidéo.
Il pourrait consister à transporter ses passagers dans des capsules hermétiques suspendues par lévitation magnétique, à travers un tunnel de quelques mètres de diamètre, à une vitesse allant de 1.000 à 6.000 kilomètres/heure.
Los Angeles-San Francisco en une demi-heure
Pour commencer, Elon Musk vise un Los Angeles-San Francisco en 30 minutes, ce qui serait déjà plus rapide qu'en avion de ligne. Cet entrepreneur de 42 ans a déjà, outre la fortune gagnée en revendant ses parts de Paypal, créé la société SpaceX, qui après des débuts laborieux est en voie de devenir une entreprise fructueuse de « livraisons » spatiales pour le compte de la Nasa. Et il est également le fondateur et le dirigeant de Tesla Motors, qui en remboursant avec neuf ans d'avance un prêt proche d'un demi-milliard de dollars au gouvernement américain a braqué les projecteurs sur elle.
Pour plus de détails, Elon Musk a donné rendez-vous au 12 août. En attendant, il égrène des bribes d'information pour faire monter le buzz. En septembre dernier, il avait parlé d'une innovation "à la croisée du Concorde, du canon électrique et du jeu de Air Hockey".
"Ce que l’on veut c’est un système où il n’y ait jamais d’accidents, qui soit au moins 2 fois plus rapide qu’un avion, qui soit alimenté par l’énergie solaire, et qui part dès que vous arrivez, donc qu’il n’y ait plus d’attente ni d’horaires précis", citent Les Echos.
Selon son créateur, Hyperloop sera moins cher que le train ou l'avion, et il n'en reviendrait pas plus pour plus de 6 milliards de dollars pour créer la liaison entre San Francisco et Los Angeles. Et cerise sur le gâteau, Elon Musk a annoncé que ce nouveau mode de transport sera mis au point en open source, sans brevets à la clé. On attend le 12 août avec impatience...
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Hyperloop, le projet de train révolutionnaire du fondateur de Paypal (Par La rédaction de ZDNet.fr | Mercredi 31 Juillet 2013)
Utopie ou projet solide? Ce train supersonique, qui doit être présenté mi-août, rallierait des longues distances plus vite qu'un avion, serait alimenté à l'énergie solaire et coûterait moins cher au passager que le train ou l'avion.Un train capable d'aller de Los Angeles à New York en 45 minutes, voilà qui soulève le scepticisme. Mais lorsque celui qui l'annonce est Elon Musk, milliardaire qui a fondé Paypal et le constructeur de voitures électriques Tesla (dont les ventes et le cours en Bourse ne cessent de grimper), il est plus écouté qu'un inventeur inconnu. Baptisé Hyperloop, ce projet pourrait être du genre de celui présenté sommairement dans cette vidéo.
Il pourrait consister à transporter ses passagers dans des capsules hermétiques suspendues par lévitation magnétique, à travers un tunnel de quelques mètres de diamètre, à une vitesse allant de 1.000 à 6.000 kilomètres/heure.
Los Angeles-San Francisco en une demi-heure
Pour commencer, Elon Musk vise un Los Angeles-San Francisco en 30 minutes, ce qui serait déjà plus rapide qu'en avion de ligne. Cet entrepreneur de 42 ans a déjà, outre la fortune gagnée en revendant ses parts de Paypal, créé la société SpaceX, qui après des débuts laborieux est en voie de devenir une entreprise fructueuse de « livraisons » spatiales pour le compte de la Nasa. Et il est également le fondateur et le dirigeant de Tesla Motors, qui en remboursant avec neuf ans d'avance un prêt proche d'un demi-milliard de dollars au gouvernement américain a braqué les projecteurs sur elle.
Pour plus de détails, Elon Musk a donné rendez-vous au 12 août. En attendant, il égrène des bribes d'information pour faire monter le buzz. En septembre dernier, il avait parlé d'une innovation "à la croisée du Concorde, du canon électrique et du jeu de Air Hockey".
"Ce que l’on veut c’est un système où il n’y ait jamais d’accidents, qui soit au moins 2 fois plus rapide qu’un avion, qui soit alimenté par l’énergie solaire, et qui part dès que vous arrivez, donc qu’il n’y ait plus d’attente ni d’horaires précis", citent Les Echos.
Selon son créateur, Hyperloop sera moins cher que le train ou l'avion, et il n'en reviendrait pas plus pour plus de 6 milliards de dollars pour créer la liaison entre San Francisco et Los Angeles. Et cerise sur le gâteau, Elon Musk a annoncé que ce nouveau mode de transport sera mis au point en open source, sans brevets à la clé. On attend le 12 août avec impatience...
Pourvu que le conducteur ne picole pas et ne fasse pas d'eccès de vitesse dans les virages.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
De la part de Armelle, qui nous suit à la trace.... Laughing ... p'etre que vous ne me lirez pas mais un grand bonjour à vous Armelle de la part de moi et de Zora
Heu...
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Le pays touche le fond, mais ses citoyens ont de la ressource et arrivent à naviguer sous la surface.
Source du texte: BigBrowser
En Afrique du Sud, le Français Olivier Feuillette a fabriqué un sous-marin monoplace à partir d'un kayak de mer. Baptisé Subo, son submersible est théoriquement capable de naviguer sous l'eau pendant deux à trois heures, l'utilisateur pouvant respirer grâce à un filtre CO2. Sur ces images, mises en ligne en septembre mais relayée sur de nombreux sites comme Reddit depuis quelques jours, on peut voir le sportif commencer à la surface puis descendre au fond de l'eau avec son engin, propulsé grâce à une nageoire caudale similaire à celle d'un requin. D'après le site du magazine Kayak Session, Olivier Feuillette travaille depuis des années sur ce projet.
Qui a dit que kayaker ce n'était pas gai ?!
Charly
Nombre de messages : 23689 Localisation : belgique Date d'inscription : 30/11/2008
Cadillac développe une voiture qui peut rouler 100 ans avec 8 grammes de thorium comme carburant
EN 2009, le constructeur américain Cadillac met au point un prototype de voiture futuriste capable de rouler plus de 100 ans sans carburant. Derrière ce concept en collaboration avec Laser Power Systems, se cache en réalité un moteur au thorium, qui ne fonctionne donc pas au carburant, et dont la consommation est extrêmemnt faible. Encore plus économe que la voiture électrique même, cette automobile fonctionne donc au thorium, un minéral noir qui est l'un des plus denses au monde. Cette source d'énergie pourrait donc fortement se démocratiser dans les prochains concepts automobiles, tellement elle est économe et disponible en quantité. Seulement 8 grammes sont nécessaires pour faire rouler le modèle Cadillac pendant un siècle !
andre
Nombre de messages : 7219 Localisation : Fluctuante Date d'inscription : 08/09/2010
Cadillac développe une voiture qui peut rouler 100 ans avec 8 grammes de thorium comme carburant
L'idée de Carlo Rubbia qui poursuit son petit bonhome de chemin ?
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Carlo Rubbia ou l' énergie de l'espoir (L'Express - Par Harrois-Monin Françoise, publié le 30/12/1993) Du nucléaire moins cher et moins dangereux, plus propre et plus souple? C'est sans doute possible, affirme le bouillant patron du Centre d'études et de recherches nucléaires, à Genève. Pour cela, il remet au goût du jour une vieille idée: celle du thorium et de l'accélérateur de particules. Pour l'instant, le chercheur ne demande que 600 millions de francs. Coup de bluff ou coup de génie?
Est-ce un flop assuré ou une révolution? "Rien de tout cela, affirme, un peu tendu, le bouillonnant Carlo Rubbia, italien de naissance, prix Nobel de physique 1984, professeur à l'université Harvard, patron, jusqu'en janvier 1994, du Cern [Centre d'études et de recherches nucléaires] de Genève. C'est une idée, rien qu'une idée, qu'il faut absolument explorer." Une idée qui vient de créer bien des remous dans le monde plutôt conservateur de la recherche nucléaire. Que propose-t-il donc, Carlo Rubbia, avec sa fougue, sa corpulence exubérante et ses étonnants yeux bleu pâle? Une solution à laquelle il croit dur comme fer, pour résoudre, demain, les problèmes énergétiques de la planète. Pas moins. Un défi - à la démesure de l'homme - dont il a récemment exposé les grandes lignes lors de deux séminaires, à Genève et à Paris.
Un matériau - le thorium 232 - découvert au début du siècle dernier, aussi abondant que le plomb et trois fois plus que l'uranium, pourrait détenir la clef de l'énergie du futur. Avec bien des avantages. C'est ce qu'affirme le Nobel. Le principe? Simple. Lorsque le thorium est bombardé par des neutrons - ces particules cachées au coeur du noyau des atomes - il se transforme en uranium 233, qui, comme son cousin l'uranium 235, utilisé dans toutes les centrales nucléaires, a la particularité de se casser en deux - de "fissionner" - lorsqu'un autre neutron le frappe. Il libère, du même coup, d'autres neutrons et de l'énergie, selon la formule chère à Einstein: E = mc2. Mais le nombre de particules produites n'est pas suffisant pour entretenir le phénomène, qui meurt de lui-même. "Utilisons donc les accélérateurs de particules pour remédier à cette carence", propose Rubbia. Lorsque leurs faisceaux de protons - un autre constituant du noyau - frappent une cible (du thorium, du plomb, du bismuth, etc.), il en jaillit des gerbes de neutrons, qui, eux, pourront faire vivre la réaction en chaîne. Avantages de la manip: multiples. Un kilo de thorium, très abondant, renferme 140 fois plus d'énergie que la même quantité d'uranium. Certains types d'accident - comme Tchernobyl - sont impossibles. Le réacteur ne peut pas s'emballer, puisqu'il "s'éteint" dès que l'accélérateur est arrêté. Les déchets nucléaires produits sont totalement différents de ceux qui sont issus d'un réacteur classique. Les encombrants actinides, comme le plutonium 239 ou le neptunium 237, qui restent dangereux durant des milliers d'années, ne sont créés qu'en quantité infime. Parallèlement, les risques de prolifération de l'arme nucléaire, fondée sur la dissémination du redoutable plutonium, se trouvent fortement diminués. Enfin, la quantité d'énergie produite pourrait être, selon les calculs de Rubbia et de ses collaborateurs, 50 fois supérieure à celle que nécessite le fonctionnement de l'installation.
Le turbulent patron du Cern a-t-il découvert la panacée à laquelle personne d'autre n'avait songé? Pas du tout. L'idée est vieille comme la physique nucléaire, et Rubbia le reconnaît. "Dès 1950, explique-t-il, on a songé à utiliser des accélérateurs de particules pour produire de l'énergie." Dans les années 60, des études ont été entreprises au Canada par l'AECL (Atomic Energy Canada Limited) et abandonnées, vingt ans plus tard, pour cause de "non-rentabilité économique". Aux Etats-Unis, le laboratoire de Los Alamos s'active sur ce sujet depuis plusieurs années. D'ailleurs, Charles Bowman, responsable du programme, a bondi dès qu'il a appris les propos de Rubbia. Dans une lettre publiée par "La Tribune de Genève", le 26 novembre dernier, l'Américain, preuves à l'appui, démontre que son équipe a décrit, en détail, le concept mis en avant par le Nobel et regrette que le directeur du Cern ne l'ait jamais contacté. "Notre projet, explique Bowman, est beaucoup plus complet que celui de Carlo Rubbia, car nous détruisons en même temps les produits de fission à vie longue, comme le technétium 99 et l'iode 129." Une controverse qui fait mauvais effet, mais que Rubbia, agacé, rejette d'un revers de la main. "Le projet de Los Alamos est beaucoup plus complexe que le nôtre, car ils incinèrent les déchets nucléaires. Nos machines seront plus simples, plus petites."
En France, la direction du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) est plus que sceptique. "Prétendre que le procédé est propre est faux. Scientifiquement, rien ne justifie cette annonce", dit-on. Alors pourquoi le célèbre Italien a-t-il paré d'habits neufs une idée qui traîne dans les cartons de certains laboratoires depuis des décennies? "Parce que, affirme-t-il, l'époque a changé. Plus que jamais, on se préoccupe de l'environnement: l'énergie nucléaire traditionnelle doit se faire une nouvelle peau. Parallèlement, les accélérateurs de particules ont beaucoup progressé. Hier, ils étaient considérés comme des gadgets pour physiciens. Aujourd'hui, ce sont des outils qui ont, sans doute, un rôle à jouer dans l'industrie. Je suis obsédé par les problèmes d'approvisionnement énergétique de la planète. Les réacteurs seront petits et adaptables aux pays du tiers-monde." Rubbia a-t-il des supporters? Il l'affirme. Un physicien du CEA, Hervé Nifenecker, l'a même conforté par l'intermédiaire du journal "Le Monde". "Dans la communauté scientifique, il n'y a aucun doute, martèle Rubbia, nous devons poursuivre ces recherches." Comment? "Avec un peu moins de 600 millions de francs, en un an nous devrions pouvoir vérifier la faisabilité du concept. J'y crois. Je veux pouvoir me faire cuire un oeuf avec cette machine." Le Cern, pour l'instant, n'est pas chaud pour entrer dans la danse. Et les autres candidats ne se sont pas encore fait connaître. "Il s'agit d'une idée qui ne tient que par la force de caractère de Rubbia. Il quitte ses fonctions dans peu de temps et cherche une nouvelle occupation", disent ses détracteurs. Médisance, probablement. L'homme est suffisamment brillant pour que mille portes s'ouvrent devant lui. 600 millions de francs, c'est moins que la subvention de l'Etat français à la Cité des sciences et de l'industrie de la Villette. Cela représente un millième du budget du Cern. Et c'est de cette somme que dépend peut-être le futur énergétique de la planète.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/informations/carlo-rubbia-ou-l-energie-de-l-espoir_596633.html#FzL1y3tVdggjQb3z.99
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Cette forme de production d'énergie nucléaire, ce doit d'être ce que les écolos appellent "la transition énergétique !
kalawasa
Nombre de messages : 10293 Localisation : En haut à droite Date d'inscription : 29/12/2012
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