Sarkozy plus fort que DSK ! Il aurait abusé de la faiblesse de Betancourt (la vioque,pas l'otage)!

Rappel du premier message :

Citation :

Affaire Bettencourt: Sarkozy mis en examen pour «abus de faiblesse»
AFP

L’ancien président français Nicolas Sarkozy a été confronté jeudi dans le bureau d’un juge à l’ex-majordome de la milliardaire Liliane Bettencourt dans une affaire d’abus de faiblesse, a-t-on appris de sources proches du dossier.

Cette confrontation entre Nicolas Sarkozy et Pascal Bonnefoy, l’ex-majordome de Liliane Bettencourt, était destinée à vérifier combien de fois l’ancien président a pu se rendre au domicile de l’héritière du géant mondial des cosmétiques L’Oréal pendant la campagne présidentielle de 2007 et s’il l’a rencontrée à cette occasion, a-t-on ajouté.

La confrontation s’est terminée vers 17h00 , selon une source proche du dossier, mais trois heures plus tard, l’ancien président était toujours entendu par le juge dans le Palais de justice de Bordeaux.

Après la confrontation, Nicolas Sarkozy et son avocat auraient changé de pièce pour une audition par le juge. Cependant, aucun des nombreux journalistes présents autour du palais de justice n’a vu sortir M. Bonnefoy.

Ce dernier est arrivé à la mi-journée mais personne n’a vu en revanche M. Sarkozy pénétrer dans le bâtiment.

Convoqué dans le cadre de l’"affaire Bettencourt», du nom de l’héritière de L’Oréal, Liliane Bettencourt, 90 ans et femme la plus riche de France, Nicolas Sarkozy avait été placé sous le statut de témoin assisté par le juge le 22 novembre 2012, à l’issue de douze heures d’audition.

Le statut de «témoin assisté» est un statut intermédiaire entre celui de simple témoin et celui d’inculpé.

Nicolas Sarkozy a toujours affirmé s’être rendu au domicile des Bettencourt une seule fois pendant sa campagne présidentielle de 2007, pour y rencontrer brièvement André Bettencourt, le mari de l’héritière de L’Oréal, décédé en novembre de la même année.

Le juge a depuis multiplié les auditions avec le personnel de la milliardaire, dont plusieurs membres ont déclaré avoir vu M. Sarkozy à plusieurs reprises pendant cette période et ont affirmé qu’il avait rencontré Mme Bettencourt à ces occasions.

L’affaire avait été déclenchée par l’ex-comptable des Bettencourt, qui avait déclaré à la police en juillet 2010 s’être vu réclamer 150.000 euros en liquide par l’ancien homme de confiance des Bettencourt, Patrice de Maistre, début 2007. Celui-ci lui avait assuré, selon la comptable, vouloir les donner à Eric Woerth, alors trésorier de la campagne de Nicolas Sarkozy.

Biloulou a écrit:

Tu apprendras un jour - enfin, si tu es sage - que toute explication qui n'est pas nécessaire à la compréhension d'une chose est non seulement superflue mais plus encore, nuisible ; elle embrouille la vue et entraîne le doute.

Les explications annexes permettent pourtant d'ouvrir à la fois la conversation et d'autres angles de vue.
Qui decide de ce qui est superflu, sinon celui (ou celle, pas de sexisme) qui ne veut pas de valide que sa propre perception ?


Mab

Mara-des-bois a écrit:

Biloulou a écrit:

Tu apprendras un jour - enfin, si tu es sage - que toute explication qui n'est pas nécessaire à la compréhension d'une chose est non seulement superflue mais plus encore, nuisible ; elle embrouille la vue et entraîne le doute.

Les explications annexes permettent pourtant d'ouvrir à la fois la conversation et d'autres angles de vue.
Qui decide de ce qui est superflu, sinon celui (ou celle, pas de sexisme) qui ne veut pas de valide que sa propre perception ?
Mab

Bonjour Mab !

Je parlais en termes de négociation, de diplomatie, de tractations, de médiation, de stratégie, de vente. C'était le cas, car Ungern tentait de me vendre son idée et David de me démontrer que la mienne était nulle voire stupide. Sans aucune argumentation, fallait-il le dire ?
Ici, on désigne comme superflue toute explication et argumentation donnée alors même que la décision recherchée est déjà acquise (overselling, en termes de marketing). Elle engendre la confusion et risque de remettre en cause la décision qui semblait définitive peu avant.
C'est donc la situation qui désigne ce qui est superflu.

En termes de conversation la perspective est différente ; là, au contraire, toute nouvelle porte ouverte prolonge la discussion et c'est cela qui est recherché.

Ce qui précède est, me semble-t-il, une explication qui n'est pas superflue.

INFO LCI. Bettencourt : l'avocat général va demander le dessaisissement des juges de Bordeaux
(TF1 News - Edité par Christophe Moulin et Alexandra Guillet - le 17 juin 2013 à 11h04 , mis à jour le 17 juin 2013 à 11h06.)



Jean-Michel Gentil, juge d'instruction dans l'affaire Bettencourt. / Crédits : AFP


L'avocat général près la Cour de cassation va requérir mardi le dessaisissement de la juridiction de Bordeaux après les révélations sur la proximité d'une experte avec le juge Gentil

Les révélations récentes dans l'affaire Bettencourt peuvent-elles faire naître un doute sur l'impartialité des juges bordelais en charge de l'instruction de ce dossier ? "Oui", estime l'avocat général près la Cour de cassation, selon des informations de LCI. C'est pourquoi Gilles Lacan va requérir ce mardi le dessaisissement des magistrats Bordelais devant la Chambre criminelle de la haute juridiction, qui doi examiner la question.  

Le 30 mai dernier, Le Parisien avait révélé que l'un des experts désignés pour expertiser l'état de faiblesse de Liliane Bettencourt, en l'occurrence le professeur Sophie Gromb, était une proche du juge Gentil. Elle a été l'un des témoins de son mariage en 2007. Il était par ailleurs révélé que le juge avait validé un devis d'honoraires pour cette experte d'un montant supérieur à ceux normalement pratiqués sans avoir communiqué celui-ci au ministère public. A la suite de ces révélations, sept des onze mis en examen avaient présenté à la Cour de cassation le 5 juin 2013 une requête en suspicion légitime, dénonçant l'impartialité du juge Gentil.

A lire aussi : Affaire Bettencourt :12 avocats saisissent la justice

Dans cette requête, déposée par Me Spinosi , ce dernier faisait valoir que "la simple nature des relations liant juge d'instruction et expert apparaît déjà, en soi, comme étant de nature à susciter des doutes quant à l'indépendance de ce dernier". "Mais de façon extrêmement critiquable, la spécificité de ces liens a été passée sous silence, que ce soit à l'égard des parties ou des magistrats", ajoutait la requête.

Cette suspicion, l'avocat général l'a fait sienne à son tour. Mais, s'appuyant moins sur les relations étroites supposées entre le juge et l'experte - qui sur le plan juridique ne sont pas punissables-, il pointerait surtout du doigt, selon nos informations, les réactions parues les jours suivant dans la presse des deux autres juges co-saisis du dossier Bettencourt, Cécile Ramonatxo et Valérie Noël. Il estime notamment qu'en prenant ainsi la défense de leur collègue instructeur, les deux magistrates "se sont associées aux actes d'instruction reprochés" au juge Gentil et qu'en se comportant ainsi elles ont enfreint l'obligation à la plus grande discrétion imposée par la CEDH aux autorités judiciaires.

A lire aussi : La juge Noël ne craint "aucunement" l'annulation de l'expertise

L'avocat général dénonce également le subterfuge utilisé selon lui par le juge Gentil en ayant recours à un avocat pour s'exprimer à sa place. Lequel avocat, Me Rémi Barousse avait dénoncé sur LCI le 23 mars dernier : "Dès que l'on touche au monarque, à un ancien monarque ou à des proches du monarque, c'est une atteinte au sacré et on est mis en cause violemment". Pour l'avocat général, ces faits peuvent faire naître "plus qu'un doute" sur les conditions d'impartialité, dans lesquelles l'un au moins des potagonistes, en l'occurence Nicolas Sarkozy, a été mis en examen.

D'autres décisions en attente

Avant l'examen de la demande de dessaisissement, les mis en examen avaient déposé une demande de suspension de l'instruction. Demande refusée le 5 juin par la même Cour de cassation. Outre cette nouvelle décision de la Cour de cassation sur la demande de dépaysement, les conseils des sept mis en  examen attendent une audience devant la chambre de l'instruction de  la cour d'appel de Bordeaux, le 2 juillet. Elle permettra notamment d'examiner ces mêmes éléments nouveaux et d'établir s'ils sont de nature à entraîner l'annulation de la procédure.

Le dossier Bettencourt avait déjà connu un premier dépaysement à la faveur d'une décision de la Cour de cassation, en novembre 2010. Outre Jean-Michel Gentil, le dossier est instruit à Bordeaux par les juges Cécile Ramonatxo et Valérie Noël. A moins d'un dessaisissement ou d'une annulation de la procédure, ils doivent dire, dans quelques semaines, qui ils  renvoient devant le tribunal correctionnel.

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Prélude à un retournement de situation majeur et fin d'une justice quelque peu tordue ? À voir...

Biloulou a écrit:

INFO LCI. Bettencourt : l'avocat général va demander le dessaisissement des juges de Bordeaux
(TF1 News - Edité par Christophe Moulin et Alexandra Guillet - le 17 juin 2013 à 11h04 , mis à jour le 17 juin 2013 à 11h06.)



Jean-Michel Gentil, juge d'instruction dans l'affaire Bettencourt. / Crédits : AFP


L'avocat général près la Cour de cassation va requérir mardi le dessaisissement de la juridiction de Bordeaux après les révélations sur la proximité d'une experte avec le juge Gentil

Les révélations récentes dans l'affaire Bettencourt peuvent-elles faire naître un doute sur l'impartialité des juges bordelais en charge de l'instruction de ce dossier ? "Oui", estime l'avocat général près la Cour de cassation, selon des informations de LCI. C'est pourquoi Gilles Lacan va requérir ce mardi le dessaisissement des magistrats Bordelais devant la Chambre criminelle de la haute juridiction, qui doi examiner la question.  

Le 30 mai dernier, Le Parisien avait révélé que l'un des experts désignés pour expertiser l'état de faiblesse de Liliane Bettencourt, en l'occurrence le professeur Sophie Gromb, était une proche du juge Gentil. Elle a été l'un des témoins de son mariage en 2007. Il était par ailleurs révélé que le juge avait validé un devis d'honoraires pour cette experte d'un montant supérieur à ceux normalement pratiqués sans avoir communiqué celui-ci au ministère public. A la suite de ces révélations, sept des onze mis en examen avaient présenté à la Cour de cassation le 5 juin 2013 une requête en suspicion légitime, dénonçant l'impartialité du juge Gentil.

A lire aussi : Affaire Bettencourt :12 avocats saisissent la justice

Dans cette requête, déposée par Me Spinosi , ce dernier faisait valoir que "la simple nature des relations liant juge d'instruction et expert apparaît déjà, en soi, comme étant de nature à susciter des doutes quant à l'indépendance de ce dernier". "Mais de façon extrêmement critiquable, la spécificité de ces liens a été passée sous silence, que ce soit à l'égard des parties ou des magistrats", ajoutait la requête.

Cette suspicion, l'avocat général l'a fait sienne à son tour. Mais, s'appuyant moins sur les relations étroites supposées entre le juge et l'experte - qui sur le plan juridique ne sont pas punissables-, il pointerait surtout du doigt, selon nos informations, les réactions parues les jours suivant dans la presse des deux autres juges co-saisis du dossier Bettencourt, Cécile Ramonatxo et Valérie Noël. Il estime notamment qu'en prenant ainsi la défense de leur collègue instructeur, les deux magistrates "se sont associées aux actes d'instruction reprochés" au juge Gentil et qu'en se comportant ainsi elles ont enfreint l'obligation à la plus grande discrétion imposée par la CEDH aux autorités judiciaires.

A lire aussi : La juge Noël ne craint "aucunement" l'annulation de l'expertise

L'avocat général dénonce également le subterfuge utilisé selon lui par le juge Gentil en ayant recours à un avocat pour s'exprimer à sa place. Lequel avocat, Me Rémi Barousse avait dénoncé sur LCI le 23 mars dernier : "Dès que l'on touche au monarque, à un ancien monarque ou à des proches du monarque, c'est une atteinte au sacré et on est mis en cause violemment". Pour l'avocat général, ces faits peuvent faire naître "plus qu'un doute" sur les conditions d'impartialité, dans lesquelles l'un au moins des potagonistes, en l'occurence Nicolas Sarkozy, a été mis en examen.

D'autres décisions en attente

Avant l'examen de la demande de dessaisissement, les mis en examen avaient déposé une demande de suspension de l'instruction. Demande refusée le 5 juin par la même Cour de cassation. Outre cette nouvelle décision de la Cour de cassation sur la demande de dépaysement, les conseils des sept mis en  examen attendent une audience devant la chambre de l'instruction de  la cour d'appel de Bordeaux, le 2 juillet. Elle permettra notamment d'examiner ces mêmes éléments nouveaux et d'établir s'ils sont de nature à entraîner l'annulation de la procédure.

Le dossier Bettencourt avait déjà connu un premier dépaysement à la faveur d'une décision de la Cour de cassation, en novembre 2010. Outre Jean-Michel Gentil, le dossier est instruit à Bordeaux par les juges Cécile Ramonatxo et Valérie Noël. A moins d'un dessaisissement ou d'une annulation de la procédure, ils doivent dire, dans quelques semaines, qui ils  renvoient devant le tribunal correctionnel.

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Prélude à un retournement de situation majeur et fin d'une justice quelque peu tordue ? À voir...

Ce suspens est intenable,à quand la fin de nos souffrances.?

Charly a écrit:

[Ce suspens est intenable,à quand la fin de nos souffrances.?  

Charly, tu as pondu exactement le même article que moi, à peine une heure plus tard ! Quelle coïncidence !

Biloulou a écrit:

Charly a écrit:

[Ce suspens est intenable,à quand la fin de nos souffrances.?  

Charly, tu as pondu exactement le même article que moi, à peine une heure plus tard ! Quelle coïncidence !

?????

Mais oui, c'est le même, t'avais pas remarqué ?

(Quoi, tu l'as fait exprès ? Ah bon...)  

Pis de panaque, pis de panaque, je fais du zèle, voilà tout !

Biloulou a écrit:

Mais oui, c'est le même, t'avais pas remarqué ?

(Quoi, tu l'as fait exprès ? Ah bon...)  

d'accord