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| LES ELECTIONS AUX USA | |
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+7Mara-des-bois Lawrence jam Zed EddieCochran Jean-Luc Biloulou 11 participants | |
Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: LES ELECTIONS AUX USA 3/11/2008, 13:35 | |
| Rappel du premier message :tous à nos postes |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA 17/11/2008, 11:35 | |
| Obama confirme sa promesse de retirer les troupes américaines d'Irak Barack Obama a confirmé dimanche ses promesses de campagne de fermer la prison de Guantanamo et de retirer les troupes américaines d'Irak, assurant par ailleurs que son administration allait s'employer à éviter une aggravation de la crise économique. "J'ai dit plusieurs fois que je voulais fermer Guantanamo, et je vais m'y tenir", a-t-il déclaré lors de son premier entretien télévisé dans l'émission "60 minutes" sur la chaîne CBS depuis son élection le 4 novembre. Le prochain président américain a promis plusieurs fois pendant sa campagne de fermer le centre de détention situé à Cuba, symbole des excès de "la guerre contre le terrorisme" menée par George W. Bush et critiqué par la communauté internationale. Ouvert début 2002 sur une base navale américaine située à Cuba, le centre de détention retient aujourd'hui 255 détenus sur les 800 qui y sont passés. Concernant la guerre en Irak, qui a fait plus de 4.000 morts dans les rangs de militaires américains depuis 2003, M. Obama a réitéré ses promesses : "J'ai dit au cours de la campagne, et je me suis tenu à cette position, que dès que je prendrai mes fonctions, j'appellerai l'état-major et les responsables de la sécurité nationale afin de lancer un plan de retrait de nos troupes". M. Obama entend notamment libérer des soldats et du budget pour la guerre en Afghanistan, dont il a fait une priorité de sa politique étrangère. Alors que la situation s'est améliorée sur le terrain en Irak depuis un an, M. Obama, qui s'était prononcé contre l'invasion de ce pays en 2003, veut retirer l'essentiel des troupes américaines en 16 mois, d'ici à l'été 2010. Le gouvernement irakien a approuvé dimanche un accord avec les Etats-Unis prévoyant un retrait d'ici à 2011. Sur le volet économique, M. Obama a affirmé que son "travail comme président sera de (s')assurer que (l'administration) rétablisse la confiance" dans les marchés financiers, chez les consommateurs et dans les entreprises. Il a souligné l'importance de la lutte contre la récession, quitte à laisser s'aggraver le déficit budgétaire. M. Obama a remarqué que la crise financière avait suscité un consensus entre les économistes qui "consiste à dire que nous devons prendre toutes les mesures nécessaires pour faire redémarrer l'économie et qu'il va falloir dépenser de l'argent pour stimuler l'économie". "Et que nous ne devons pas nous inquiéter du déficit cette année ni même l'année prochaine. Qu'à court terme, le plus important c'est d'éviter une aggravation de la récession", a ajouté M. Obama. A propos des difficultés des constructeurs automobiles américains, dont le plus gros, General Motors, a annoncé qu'il serait à court de liquidités dès l'an prochain, M. Obama s'est prononcé pour un plan de sauvetage. "Une faillite de l'industrie automobile serait une catastrophe", a-t-il dit. Par ailleurs, M. Obama a refusé de se prononcer sur la date à laquelle il allait annoncer les premiers membres de son gouvernement, se bornant à dire "bientôt". M. Obama qui était accompagné de son épouse Michelle, a affirmé que celle-ci allait "se créer son propre rôle" comme première dame et qu'elle entendait également s'occuper de l'éducation de leur deux filles Sasha et Malia. Interrogé sur l'éventuelle présence de sa belle mère à la Maison Blanche, il a répondu qu'elle pouvait venir y habiter "si elle veut". "Il y a encore quelques détails auxquels nous ne sommes pas habitués... comme... ne pas pouvoir sortir marcher dans la rue ", a dit M. Obama lorsqu'on lui a demandé s'il se faisait à l'idée de devenir le 44e président des Etats-Unis. A.P. |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Promesses et faits 17/11/2008, 13:52 | |
| La RTBF vient à l'instant de passer à l'antenne des extraits de ce discours de Barack Obama. Avec des mots légèrement différents et d'autres emphases, il suit de très près la stratégie de l'Administration Bush.
Rien d'étonnant, on ne change pas une stratégie gagnante. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA 17/11/2008, 20:28 | |
| Le prochain président des Etats-Unis, Barack Obama, recevait lundi son ancien rival John McCain, un signe supplémentaire de sa volonté de rassembler au-delà des clivages partisans après avoir rencontré son ancienne adversaire Hillary Clinton.icle Après plusieurs mois d'une campagne au goût parfois amer, le vétéran républicain John McCain, 72 ans, s'est présenté face à celui qui l'a terrassé le 4 novembre, dans son quartier général de transition à Chicago (Illinois, nord). "Il est connu qu'ils partagent la même conviction que les Américains veulent et méritent un gouvernement plus efficace et ils vont discuter des différents moyens de travailler ensemble pour y parvenir", a précisé l'équipe de transition dans un communiqué. Les deux hommes devaient discuter pendant une heure. De telles rencontres entre le vainqueur et son adversaire malheureux à la présidentielle sont très rares aux Etats-Unis, ce qui donne à celle-ci une portée symbolique sans conteste. Depuis son élection, M. Obama n'a jamais caché son intention de faire entrer des personnalités républicaines dans son gouvernement. M. Obama se plaît d'ailleurs à se placer lui-même dans les pas de l'ancien président républicain Abraham Lincoln, qui s'était efforcé, à partir de 1861, de maintenir l'unité du pays au cours d'une sanglante guerre civile alors que les Etats du sud voulaient faire sécession. Mais selon une source proche de l'équipe de transition, le président élu démocrate n'ira pas jusqu'à offrir un poste de ministre à M. McCain, qui, probablement, ne l'aurait pas accepté. Le sénateur de l'Arizona, qui a adopté pendant la campagne une posture de "franc-tireur" critiquant les dérives des luttes partisanes à Washington, est connu pour ne pas hésiter à casser les barrières partisanes et joindre son vote à celui des démocrates au Sénat s'il le juge nécessaire. Mais un de ses principaux conseillers, cité par le Wall Street Journal lundi, assure qu'il va surtout profiter de l'opportunité pour encourager son ancien rival à ne pas précipiter un retrait des troupes américaines d'Irak. L'ancien vétéran du Vietnam refuse que les soldats américains rentrent trop vite au pays, si c'est avec le sentiment de la défaite. Toutes les options restaient donc ouvertes quant à cette rencontre, alors que le président élu a insisté dimanche sur la chaîne CBS sur la nécessité d'installer rapidement son équipe de sécurité nationale parce que le pays est plus vulnérable à d'éventuels attentats terroristes en période de transition. Cette question de la sécurité nationale a vivement opposé Barack Obama et John McCain pendant la campagne. Le camp républicain, au premier rang duquel Sarah Palin, l'ancienne colistière de John McCain, avait accusé Barack Obama de "copiner avec les terroristes" en raison de ses relations passées avec l'ancien militant de gauche William Ayers. Enfin, selon des associations et des experts, le sénateur de l'Arizona pourrait être consulté par son ancien rival sur la meilleure manière d'en finir avec le camp de détention de Guantanamo. Deux universitaires de Berkeley (Californie, ouest) ont appelé mercredi la nouvelle administration à installer une "commission indépendante et neutre" pour faire la lumière sur les responsabilités de l'administration Bush dans les excès de sa lutte contre le terrorisme (détention sans charge, torture, écoutes illégales, etc). M. McCain qui a passé cinq ans dans les geôles nord-vietnamiennes à subir torture et isolement pourrait être la personnalité toute trouvée pour présider une telle commission. Jeudi, M. Obama avait déjà orchestré une rencontre avec son ancienne rivale à l'investiture démocrate Hillary Clinton, en tenant secret son contenu mais sans démentir les rumeurs qui la donnent future secrétaire d'Etat. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Grandeur et espérence 19/11/2008, 00:57 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA 19/11/2008, 01:09 | |
| Le président élu américain Barack Obama va nommer pour la première fois un Noir au poste de ministre de la Justice, Eric Holder, 57 ans, un ancien de l'administration Clinton qui va retrouver un département miné par les scandales des années Bush.
Alors que les couloirs de Washington bruissent toujours de rumeurs sur les futurs responsables du Département d'Etat ou du Pentagone, l'équipe de Barack Obama a laissé transpirer mardi dans des médias américains la nomination prochaine de cet avocat très en vue qui était un de ses proches conseillers de campagne.
Même si elle n'a pas été confirmée officiellement à l'AFP par l'équipe de transition, il s'agit de la première annonce d'une nomination au gouvernement Obama.
Diplômé de l'université de Columbia (New York) et ancien adjoint de la ministre de la Justice Janet Reno entre 1997 et 2000, il est le premier Noir à être devenu en 1993 procureur général de Washington, un des postes les plus cotés parmi les juristes américains.
"Obama lui a offert le poste (de ministre de la Justice) et il a accepté", assuraient mardi l'hebdomadaire Newsweek et la chaîne NBC, en citant des sources proches de l'équipe de transition.
Aujourd'hui avocat dans un grand cabinet de Washington, Eric Holder a participé avec Caroline Kennedy à la sélection du candidat à la vice-présidence pour le ticket démocrate.
L'équipe du président élu doit encore effectuer toutes les vérifications nécessaires sur son passé, avant que celui-ci ne soit effectivement nommé. Il devra ensuite être confirmé par le Sénat.
Parmi les épisodes jugés fâcheux dans sa carrière, son rôle dans la décision de Bill Clinton d'accorder la grâce présidentielle à Mark Rich à quelques jours de son départ de la Maison Blanche en janvier 2001.
Le pardon de cet homme d'affaire poursuivi aux Etats-Unis pour évasion fiscale a été ressenti comme scandaleux à l'époque, d'autant plus que l'homme avait fui en Suisse.
Mais selon Newsweek, "il n'y a aucune preuve que M. Holder ait poussé Clinton à accorder cette grâce" et cette erreur de jugement ne sera pas un obstacle à sa nomination.
L'annonce de sa nomination ne devrait quoiqu'il en soit pas intervenir avant celles, très attendues et plus symboliques encore, des secrétaire au Trésor et secrétaire d'Etat.
Le choix du ministre de la Justice de Barack Obama est crucial alors que le département de la Justice (DOJ) sort d'une période de scandales qui ont conduit au départ de deux ministres de l'administration Bush.
Outre les excès de zèle policiers et judiciaires qui ont succédé aux attentats du 11-Septembre, dont un cas doit passer devant la Cour suprême au mois de décembre, le département fait encore aujourd'hui l'objet d'une investigation du Congrès quant à ses dérives partisanes pendant les années Bush.
En 2006, le limogeage de neuf procureurs généraux jugés trop progressistes pour occuper ces postes clés par l'équipe Bush avait provoqué une vive émotion.
Un rapport a également révélé fin juillet des dérives dans les pratiques de recrutement au DOJ, où les candidats, même à des postes subalternes, devaient dire s'ils étaient favorables ou non à l'avortement ou au mariage homosexuel.
Une des premières tâches du nouveau ministre sera de déterminer la posture de la nouvelle administration dans les quelque 250 procédures menées par les détenus de Guantanamo devant des cours fédérales pour contester leur détention.
La plupart des éléments à charge dont dispose en effet l'accusation - le gouvernement - sont faibles ou ont été recueillis sous la contrainte selon la défense et les associations de défense des Droits de l'homme. Et la pertinence même d'essayer de garder ces hommes enfermés préventivement est encore à déterminer.
:lunettes: |
| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: Le billet de Lawrence ci-dessus. 19/11/2008, 07:50 | |
| - Lawrence a écrit:
- Le président élu américain Barack Obama va nommer pour la première fois un Noir au poste de ministre de la Justice, Eric Holder, 57 ans, un ancien de l'administration Clinton qui va retrouver un département miné par les scandales des années Bush.
En lisant le texte du billet précédent issu indubitablement de la plume de mon ami Lawrence (que je salue avec vénération), j'ai relevé notamment le passage ci-dessus. Pourrait-on connaître la liste de ces scandales ? :tirelangue: D'avance merci... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: WELCOME BACK HILLARY.............. 22/11/2008, 11:53 | |
| La nomination d'Hillary Clinton dans l'administration Obama se précise.Clinton et Geithner se rapprochent de l'administration Obama Etats-Unis: les nominations de Clinton et Geithner se précisent Plus d'articles sur : USA 2008 Discussion: USA 2008 La chaîne de télévision NBC a affirmé que M. Geithner, président de la Réserve fédérale de New York, allait être désigné lundi comme futur secrétaire américain au Trésor, un poste qui l'amènera à piloter l'économie américaine dans une période extrêmement difficile. M. Geithner était cité parmi les deux grands favoris pour le poste, à côté de l'ancien secrétaire au Trésor Lawrence Summers. Ce haut fonctionnaire de 47 ans connaît bien le Trésor pour y avoir travaillé de 1988 à 2001. La perspective de sa nomination a été saluée par une hausse de 6,54% à Wall Street, où l'on notait que M. Geithner connaissait intimement le fonctionnement des marchés de par ses fonctions à New York. La nomination d'Hillary Clinton au poste de secrétaire d'Etat est quant à elle "sur les rails" et devrait intervenir après les congés de Thanksgiving à la fin de semaine prochaine, selon l'entourage de Barack Obama. En devenant le visage de la politique étrangère des Etats-Unis, l'ancienne Première dame ajouterait un chapitre passionnant à la saga de la famille Clinton au pouvoir et donnerait du poids au cabinet de Barack Obama. Mais, craignent certains, elle apporterait aussi une dose d'intrigue. La nomination de Mme Clinton, battue par Barack Obama lors des primaires démocrates, était sujette à d'intenses spéculations depuis qu'elle a été reçue à la mi-novembre par Barack Obama en son fief de Chicago. Selon l'édition en ligne du New York Times, qui cite des sources proches de l'ex-Première Dame, Mme Clinton a accepté l'offre de son ancien rival. "Elle est prête", a déclaré un de ses confidents, précisant qu'elle a pris sa décision après un nouvel entretien avec le président élu. Mais un de ses proches a déclaré à l'AFP que les informations du New York Times étaient prématurées. Les dernières entraves semblent avoir été levées après que son mari, l'ancien président Bill Clinton, a offert de soumettre ses activités internationales à un examen éthique et d'identifier les donateurs de sa fondation pour éviter les conflits d'intérêts. Le diplomate en chef de l'Union Européenne, Javier Solana, a estimé vendredi à Washington que la nomination de Mme Clinton serait "très bien reçue" à l'étranger. "C'est une forte personnalité", a ajouté M. Solana. "C'est une personne adéquate pour ce rôle: elle est capable, elle a de l'expérience, elle est connue". M. Obama, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, continue de former le reste de son cabinet. Son équipe chargée de la sécurité nationale doit encore être complétée. Parmi les dernières spéculations, la nomination de James Jones, ancien général et ancien commandant de l'Otan, au poste de conseiller à la sécurité nationale, était évoquée par la chaîne ABC News. James Jones est respecté par le Congrès, aussi bien chez les démocrates que les républicains, et Barack Obama pourrait avoir besoin de son expertise concernant la guerre en Afghanistan, dont il a promis de faire une de ses priorités. Le secrétaire à la Défense de George W. Bush, Robert Gates, pourrait quant à lui conserver son poste. En revanche, certaines nominations semblent bouclées. L'ancien leader de la majorité démocrate au Sénat Tom Daschle devrait occuper le poste de secrétaire à la Santé, Janet Napolitano, qui gouverne l'Arizona, deviendrait secrétaire à la Sécurité intérieure et Eric Holder, ancien membre de l'administration Clinton, secrétaire à la Justice. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA 23/11/2008, 00:54 | |
| Barack Obama nomme Robert Gibbs porte-parole de la Maison Blanche.
Dan Pfeiffer, qui dirige la cellule de communication de l'équipe de transition d'Obama, deviendra directeur adjoint de la communication de la Maison blanche.
Gibbs a été directeur de la communication d'Obama lorsque ce dernier était sénateur de l'Illinois. Il a tenu le même rôle pendant la première partie de la campagne présidentielle d'Obama avant de devenir stratège pendant le scrutin. Sa nomination comme porte-parole de la Maison blanche était attendue.
Moran est une nouvelle venue dans l'équipe d'Obama.
Pfeiffer a été un collaborateur de plusieurs sénateurs et de la campagne présidentielle de l'ancien vice-président Al Gore, en 2000. |
| | | Invité Invité
| Sujet: il me semblait 23/11/2008, 13:15 | |
| mais peut être me trompe-je, qu'un changement devait s'opérer mais peut être que je n'ai pas bien compris, apparemment là le changement se fait avec des vieilles 'peaux' ! |
| | | EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Stayin' Alive 23/11/2008, 13:54 | |
| - Lawrence a écrit:
- le Dim 23 Nov - 0:54
Barack Obama nomme Robert Gibbs porte-parole de la Maison Blanche.
Ah bon ! Un membre des Bee Gees !?!?! Un mec qui connaît la musique et qui a un sourire gibbs resplendissant... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: DÉJÀ UN OBAMAGATES........ 26/11/2008, 15:23 | |
| Robert Gates resterait secrétaire à la Défense d'ObamaLe secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, aurait donné son accord pour rester en poste après la prise de fonction du président élu Barack Obama en janvier, et l'annonce pourrait en être faite la semaine prochaine, selon plusieurs médias américains. M. Obama doit tenir ce mercredi sa troisième conférence de presse en trois jours, mais elle devrait être, comme les précédentes, consacrée à l'économie. Le site Politico.com, ainsi que les chaînes de télévision ABC News et CNN affirment que M. Gates, qui est très respecté, resterait au Pentagone pendant la première année de pouvoir de M. Obama, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, et serait chargé de concrétiser la promesse de retirer les troupes américaines d'Irak faite par les démocrates. "C'est fait", a indiqué une source proche du processus de décision citée par la chaîne ABC, ajoutant que l'annonce interviendrait après les congés de Thanksgiving, qui vont de jeudi à dimanche. Interrogés par l'AFP, des collaborateurs de M. Obama n'étaient pas immédiatement en mesure de confirmer cette information. Selon Politico, M. Gates ferait partie d'une série de personnalités éminentes dont la nomination interviendrait la semaine prochaine, notamment celle de James Jones, un ancien commandant de l'Otan, au poste de conseiller à la sécurité nationale. Citant des sources officielles non identifiées, Politico ajoute que Susan Rice, une proche conseillère de M. Obama en matière de politique étrangère, serait nommée ambassadrice à l'ONU, et que l'amiral à la retraite Dennis Blair prendrait la tête du renseignement américain. Toujours selon Politico, l'ancien conseiller adjoint à la sécurité nationale James Steinberg deviendrait l'adjoint d'Hilary Clinton au poste de secrétaire d'Etat, deux nominations qui devraient elles aussi intervenir la semaine prochaine. La nomination de Robert Gates, unanimement apprécié aussi bien côté démocrate que républicain, permettrait à M. Obama de tenir sa promesse de nommer au moins un républicain. "Cette nomination a de grands avantages pour Obama, qui peut désormais tenir sa promesse de retirer les troupes d'Irak avec l'aide d'un architecte de la stratégie de renforts en Irak, un des succès de l'administration Bush", commentait mardi Politico. En outre, le Wall Street Journal (WSJ) assure mercredi que l'ancien président de la Réserve fédérale (Fed) américaine, Paul Volcker, allait être nommé à la tête d'un comité consultatif économique. La tâche de ce comité "sera d'aider le pays à sortir de la récession et à stabiliser les marchés financiers", indique le quotidien financier, citant des responsables du parti démocrate. Ce nouveau comité sera composé d'un échantillon de personnalités, hors gouvernement, reconnues pour leur indépendance. Paul Volcker, 81 ans, avait présidé la banque centrale américaine de 1979 à 1987, avant Alan Greenspan. Par ailleurs, le comité chargé d'organiser l'investiture du président élu américain Barack Obama a annoncé mardi que les dons destinés à la cérémonie du 20 janvier étaient plafonnés à 50.000 dollars et a promis un événement aussi ouvert au public que possible. Le Comité présidentiel pour l'investiture (PIC) "n'acceptera pas les contributions individuelles dépassant les 50.000 dollars. Les lois actuelles ne limitent pas le montant des donations", indique dans un communiqué le comité, qui souligne que les dons versés lors des dernières cérémonies d'investiture ont atteint jusqu'à 250.000 dollars. En accord avec la politique de recueil de fonds mise en place lors de la campagne présidentielle de Barack Obama, le Comité indique aussi qu'il n'acceptera pas les contributions venant de sociétés, de comités d'action politique, de lobbyistes reconnus ou d'étrangers. Dans son communiqué, le comité "promet l'investiture la plus ouverte et accessible de l'histoire" et précise que ses membres travaillent avec les autorités de Washington afin d'ouvrir le plus possible au public le National Mall, la vaste esplanade du centre de la capitale où se tiendra la cérémonie. Au total, jusqu'à cinq millions de personnes sont attendues pour l'investiture de Barack Obama en tant que 44e président des Etats-Unis, qui prêtera serment depuis les marches du Capitole abritant le Sénat et la Chambre des représentants. |
| | | EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA 26/11/2008, 20:00 | |
| - Citation :
- Lawrence a écrit :
le Mer 26 Nov - 15:23
DEJA UN OBAMAGATES.. Excellent ! (Surtout que ce gars n'entre pas aux affaires par la petite fenêtre). - Citation :
- Le Comité présidentiel pour l'investiture (PIC) "n'acceptera pas les contributions individuelles dépassant les 50.000 dollars
S'ils sont aussi gagne-petits je garde mon pognon, il y aura encore d'autres pics de dépenses à venir ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA 27/11/2008, 23:24 | |
| Baz Luhrmann trouve que le président américain, Barack Obama devrait remercier ses bonnes étoiles de ne pas être né en Australie, parce qu'il n'aurait jamais eu la chance de devenir président là-bas.
Le réalisateur australien utilise la victoire historique de Barack Obama et son nouveau film Australia, pour mettre le doigt sur le passé honteux de son pays. Les enfants de couples mixtes étaient retirés de leur famille et étaient élevés pour devenir des serviteurs des leaders blancs. Et Baz Luhrman rappelle qu'il ne parle pas de quelque chose qui s'est passé il y a plus de 100 ans, mais d'une pratique que était courante au début des années 70. Il confie "Pour vous remettre dans le contexte, le nouveau président des États-Unis a 47 ans. S'il vivait en Australie, il n'aurait jamais pû accéder à ce poste parce qu'il avait un parent blanc et un parent noir, et donc il aurait été retiré de sa famille. Il aurait été placé dans une institution, et aurait grandi en pensant que ses parents étaient morts. On lui aurait changé son nom et on l'aurait reprogrammé pour qu'il puisse servir la société blanche. C'aurait été le parcours d'Obama." |
| | | EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
| Sujet: Que M. Luhrmann revoie ses "baz". 28/11/2008, 01:22 | |
| - Citation :
- Lawrence a écrit :
le Jeu 27 Nov - 23:24
(...) Il confie "Pour vous remettre dans le contexte, le nouveau président des États-Unis a 47 ans. S'il vivait en Australie, il n'aurait jamais pû accéder à ce poste parce qu'il avait un parent blanc et un parent noir, et donc il aurait été retiré de sa famille. Il aurait été placé dans une institution, et aurait grandi en pensant que ses parents étaient morts. On lui aurait changé son nom et on l'aurait reprogrammé pour qu'il puisse servir la société blanche. C'aurait été le parcours d'Obama."
Mais C'EST son parcours obligé ! Soyons objectifs et prenons en compte la réalité du fonctionnement des institutions étatsuniennes pour en tirer la conclusion que le parcours du président-élu sera de servir les intérêts supérieurs de la société blanche qui se confondent avec ceux de la Fédération. | |
| | | Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| | | | Invité Invité
| Sujet: CHOUETTE 2/12/2008, 02:47 | |
| Le président élu américain Barack Obama a désigné son ex-rivale démocrate Hillary Clinton à la tête de la diplomatie de sa future administration, Barack Obama va par ailleurs maintenir dans ses fonctions l'actuel secrétaire à la Défense américain Robert Gates, alors que les Etats-Unis mènent deux guerres de front en Irak et en Afghanistan. Il a également désigné la gouverneur de l'Arizona Janet Napolitano à la tête du département de la Sécurité intérieure, une énorme administration chargée de prévenir des attentats et de lutter contre l'immigration clandestine. Eric Holder a quant à lui été désigné au poste de ministre de la Justice. |
| | | Invité Invité
| Sujet: 42 - 5/12/2008, 15:11 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: MERCI CLEMENCE...... 21/12/2008, 13:01 | |
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| | | Zed
Nombre de messages : 16907 Age : 59 Localisation : Longueuil, Québec, Canada, Amérique du nord, planète Terre, du système solaire Galarneau de la voie lactée Date d'inscription : 13/11/2008
| Sujet: Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité. Bravo monsieur Obama. 21/12/2008, 13:52 | |
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| | | Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
| Sujet: 45- Il y a quelques minutes... 2/1/2009, 21:05 | |
| Oui, il y a quelques minutes j'écoutais un débat de politique internationale à la radio (RTL, la radio allemande la plus écoutée en France) et j'ai pensé à Sylvette. Pourquoi ?
Mais parce que la constatation que finalement on ne connaissait rien de Hussein Obama Barack, le nouveau président US, prennait forme parmi les débatteurs. Tout ce qu'on sait de lui est qu'il a changé d'opinion sur l'Irak pour se rallier à la politique de l'Administration Bush. Pour beaucoup d'autres choses, comme pour l'Afghanistan, il était déjà du même avis auparavant.
On commençait à se demander si, finalement, l'aura que "on" avait construit autour de lui n'était aussi irrationnelle que les fardeaux dont "on" accablait le président Bush...
Et à un des chroniqueurs présents d'émettre timidement l'hypothèse que... peut-être... George Bush n'avait pas été un aussi mauvais président que ça... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA 2/1/2009, 21:32 | |
| 46- - Biloulou a écrit:
- Oui, il y a quelques minutes j'écoutais un débat de politique internationale à la radio (RTL, la radio allemande la plus écoutée en France) et j'ai pensé à Sylvette. Pourquoi ?
Mais parce que la constatation que finalement on ne connaissait rien de Hussein Obama Barack, le nouveau président US, prennait forme parmi les débatteurs. Tout ce qu'on sait de lui est qu'il a changé d'opinion sur l'Irak pour se rallier à la politique de l'Administration Bush. Pour beaucoup d'autres choses, comme pour l'Afghanistan, il était déjà du même avis auparavant.
On commençait à se demander si, finalement, l'aura que "on" avait construit autour de lui n'était aussi irrationnelle que les fardeaux dont "on" accablait le président Bush...
Et à un des chroniqueurs présents d'émettre timidement l'hypothèse que... peut-être... George Bush n'avait pas été un aussi mauvais président que ça... Biloulou,La politique globale étatsunienne ne va pas changer d'un iota sur le fond, juste la forme.... et encore !!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: 47 - Lawrence 2/1/2009, 22:06 | |
| Mais si vous etiez si convaincu qu'Obama continuerait la politique exterieure de Pres. Bush, pourquoi avez-vous a ce point pris fait et cause pour lui? pfff! Une chose est certaine, ce n'est pas la politique interieure que vous aurez a subir alors, pourquoi? ---------- Biloulou , si vous n'avez pas encore eu l'occasion, sur nouvelles en langue anglaise, vous trouverez l'interview de deux conseillers/proches de Pres. Bush. Emis par the Washingont Post (et a part le commentaire concernant "la mafia texane"... risible surtout a l'epoque actuelle) il commence, si bien trop tard, a remettre un peu les mouches au panier. Toutefois les media qui devraient avoir honte d'avoir traite Pres. Bush comme ils l'ont fait pendant toutes ces annees, continueront-ils de faire le contraire avec Obama toujours sans la moindre componction? Nous verrons. |
| | | jam
Nombre de messages : 1404 Age : 69 Localisation : saint-nectaire land Date d'inscription : 02/11/2008
| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA 2/1/2009, 23:47 | |
| parce que c'est sur des questions de politique intérieure qu'il a été élu de toute manière, si les américains ont voté pour lui plutôt que pour l'autre, c'est soit qu'il est meilleur, soit qu'il est moins pire (comme aurait dit lapalisse) cela dit, vu qu'il n'est pas encore au gouvernement, tout ce qu'on peut dire sur lui (y compris même sur rtl), ce ne sont que des hypothèses c'est comme sarkozi, il travaille "beaucoup" mais moi, simple contribuable, je n'ai encore rien vu arriver de nouveau alors peut-être que tout cela n'est que "virtuel" finalement (gouverner) à propos... il va jurer sur la bible ou quoi? (j'ai cru comprendre que des citoyens "non-bibliques" auraient protesté) moi, il faudrait me faire jurer sur une fourme de cantal | |
| | | Invité Invité
| Sujet: 49 - Jam 3/1/2009, 00:05 | |
| parce que c'est sur des questions de politique intérieure qu'il a été éluVous, au moins, c'est bien, vous avez suivi. ------- il va jurer sur la bible ou quoi? (j'ai cru comprendre que des citoyens "non-bibliques" auraient protesté)oui mais justement, il va faire ce qu'il veut il va jurer sur la bible de Lincoln (premiere fois depuis Lincoln) et devant Rick Warren (la il a fait fort il se met les gays a dos en essayant de se mettre la droite dans la poche ) ------- moi, il faudrait me faire jurer sur une fourme de cantal Oui, mais bon, le probleme ne se pose pas, hein? |
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| Sujet: Re: LES ELECTIONS AUX USA | |
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| | | | LES ELECTIONS AUX USA | |
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