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Primaires de l'Iowa : Trump battu par Cruz, Sanders accroche Clinton
Surprises dans les camps républicain et démocrate : le socialiste Bernie Sanders talonne la favorite Hillary Clinton. Ted Cruz a gagné contre Donald Trump.
Le candidat à la présidentielle Bernie Sanders a assuré lundi soir qu'il était à « quasi-égalité » avec sa rivale Hillary Clinton dans les primaires démocrates de l'Iowa en vue de l'élection présidentielle. « Nous n'avions pas d'organisation politique, pas d'argent, pas de nom, on ne nous connaissait pas. (...) Et ce soir, alors que les résultats ne sont pas encore connus, on dirait que nous sommes à quasi-égalité » avec Mme Clinton, a lancé le sénateur du Vermont, qui se dit socialiste et promet une « révolution politique ». « Les habitants de l'Iowa ont envoyé un message au monde politique, au monde économique et aux médias », a-t-il ajouté. Cependant, aucune télévision américaine ne s'aventurait à désigner un vainqueur entre les deux candidats séparés par quelques dixièmes de point seulement.
Dans un discours au ton rassembleur, son mari Bill à ses côtés, l'ancienne First Lady a martelé que le Parti démocrate représentait « ce qu'il y a de mieux pour l'Amérique » face à des candidats républicains qui cherchent à « diviser ». Hillary Clinton garde un mauvais souvenir de l'Iowa puisqu'elle avait été battue en 2008 par Barack Obama, cassant sa dynamique. « C'est très important qu'une femme accède à la Maison-Blanche de mon vivant », expliquait Molly Schott, retraitée de 77 ans, venue écouter la candidate sur le campus de Drake University. « Ce soir, c'était la première étape. Le combat sera long. »
Remise en question pour Trump
Surprise aussi du côté républicain : le sénateur du Texas Ted Cruz a gagné en Iowa, avec 28 %, devant un Donald Trump (24 %) qui avait pourtant dominé les sondages. Le milliardaire a-t-il payé son refus de participer au dernier débat républicain en fin de semaine dernière ? Les facéties de Trump ne l'ont pas porté – cette fois. Ted Cruz, lui, ne bredouille jamais, son regard est fixe, sa diction cadencée, ses phrases précises, des talents d'orateur qui lui ont permis de devenir un champion de la droite religieuse et de remporter les « caucus » républicains de lundi. Il y a quelques mois, il n'était qu'un candidat républicain parmi d'autres, et était d'ailleurs loué par son principal adversaire, Donald Trump, pour ses positions fermes contre le gouvernement fédéral de Barack Obama, contre l'impôt, contre l'avortement ou pour le droit à s'armer.
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Mara-des-bois
Nombre de messages : 2572 Date d'inscription : 11/06/2015
Ah, ce n'est pas uniquement pour poster de liens qu'il faut avoir posté un minimum de messages ?
Ne fais pas l'innocent, Tyran, tu verrouilles, tu tries, tu fliques, tu es notre honte (ce n'est pas tant que ce soit vrai, mais j'aime bien, les jours de pluie, t'offrir une mauvaise reputation...)
Mab - ne me remercie pas -
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Ne fais pas l'innocent, Tyran, tu verrouilles, tu tries, tu fliques, tu es notre honte (ce n'est pas tant que ce soit vrai, mais j'aime bien, les jours de pluie, t'offrir une mauvaise reputation...) Mab - ne me remercie pas -
Non, je ne te remercie pas, mais ça fait quand même plaisir de recevoir quelque chose de toi...
(Entre-temps, pas de réponse de Myosotis, moi, qui ne veux que son bien... Tu l'as effrayée avec tes révélations médisances, à coup sûr !)
Myosotis
Nombre de messages : 205 Localisation : FRANCE Date d'inscription : 01/03/2016
Quand il y a du "harcèlement" peut-on s'adresser à Saint-Pierre ? Ou, là aussi faut-il attendre d'être sorti (e) du purgatoire ?
Oh, Myosotis, c'est que... j'ai tellement l'habitude d'être harcelé par cette virago que je ne me plains même plus... D'ailleurs je me demande si Saint-Pierre Lui-même (gloire à Son nom) n'est pas au purgatoire, Lui aussi ?
Ce que je voulais vous dire c'est que, si vous avez une vidéo à poster, envoyez-moi le lien par MP (bouton "Messagerie") et je tenterai de la faire passer.
Non, ne me remerciez pas (pour parler comme "Elle" ), c'est tout naturel !
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Primaires US : les victoires de Cruz et Sanders n'ébranlent pas Trump et Clinton (LeParisien.fr - Victor Fortunato | 06 Mars 2016, 08h34 | MAJ : 06 Mars 2016, 11h14)
WICHITA (KANSAS), SAMEDI 5 MARS 2016. Ted Cruz, qui ne cesse de se présenter comme l'ultime rempart dans le camp républicain face à un Donald Trump, l'a emporté largement dans deux Etats sur les quatre qui étaient en jeu samedi soir: le Kansas et le Maine. (Reuters/ DAVE KAUP.)
Les sénateurs Ted Cruz et Bernie Sanders ont remporté des victoires retentissantes, samedi, lors d'une nouvelle série de primaires pour les investitures républicaine et démocrate.
Ces succès ne changent pourtant pas l'ordre établi dans cette course à la Maison Blanche puisque Donald Trump chez les Républicains et Hillary Clinton pour les Démocrates ont encore consolidé leur statut de favori, remportant samedi la Louisiane, l'Etat le plus important de cette soirée. Ted Cruz, ultime rempart dans le camp républicain face à Donald Trump. Le sénateur Ted Cruz l'a emporté largement dans deux Etats sur les quatre qui étaient en jeu samedi soir : le Kansas et le Maine. Il dit avoir vu dans les résultats de samedi la «continuation» de sa progression dans l'électorat républicain. «Ce que nous voyons, ce sont les conservateurs en train de se rassembler, les républicains en train de se rassembler», a affirmé Ted Cruz, dans l'Idaho où il faisait campagne. Mais il n'a pu empêcher Donald Trump, le magnat de l'immobilier, de s'imposer en Louisiane, Etat du sud du pays qui était le plus important de la soirée en termes de délégués. Et Trump a également remporté le Kentucky, selon les projections des télévisions américaines, portant à douze le nombre de primaires remportées à ce jour, contre six pour Ted Cruz.
Marco Rubio semble perdre pied, John Kasich largué. Ces nouveaux résultats dans le camp républicain indiquent en revanche que Marco Rubio perd pied dans la course à la Maison Blanche. Sur les quatre scrutins de samedi, le sénateur de Floride n'est pas parvenu à passer la ligne en tête. Pour le moment, il ne l'a emporté que dans un seul Etat le Minnesota et reste en situation de spectateur à la troisième place. «Personnellement, j'appellerais à ce qu'il se retire de la course. Je suis prêt à affronter Ted (Cruz) en un contre un», a d'ailleurs lancé Donald Trump lors d'une conférence de presse, à West Palm Beach, en Floride.
Malgré son intense campagne, le sénateur Marco Rubio perd pied dans la course à la Maison Blanche. (Photo : Reuters/ ALVIN BAEZ.)
Le quatrième candidat à l'investiture républicaine, l'ancien gouverneur de l'Ohio John Kasich, reste ancré à la quatrième place. A ce jour il n'a eu aucune victoire.
La prochaine fournée de primaires républicaines est prévue mardi dans le Michigan, le Mississippi, l'Idaho et à Hawaï, avant un nouveau «super-mardi» le 15 mars ou 5 grands Etats seront en jeu, dont la Floride. Au terme des primaires, le candidat qui aura remporté le plus de délégués sera investi à la convention nationale du parti en juillet. Donald Trump contre l'élite. La rhétorique fleurie et scabreuse de Donald Trump lors du dernier débat républicain jeudi soir a continué à secouer la hiérarchie du parti républicain. Mais il n'était pas certain que la campagne lancée contre lui par l'élite du Parti républicain, dont l'ancien candidat à la présidentielle en 2012 Mitt Romney, puisse être suffisante pour lui faire perdre son avance comme en témoigne ses nouveaux succès en Louisiane et dans le Kentucky.
Son ton outrancier a pourtant fait douter de son éligibilité en novembre prochain, y compris parmi ses plus inféodés. «C'est l'establishment. L'establishment est contre nous», s'est défendu Donald Trump samedi lors d'un meeting à Wichita, dans le Kansas. Le milliardaire a annulé à la dernière minute sa participation samedi au CPAC, grand-messe annuelle des conservateurs américains purs et durs près de Washington, où il n'était pas vraiment en odeur de sainteté. Selon un sondage samedi, seuls 15% des participants à la conférence ont dit soutenir sa candidature, contre 40% pour Ted Cruz, 30% pour Marco Rubio, et 8% pour John Kasich.
VIDEO. Trump peut-il être élu président des Etats-Unis ?
Deux victoires pour Bernie Sanders mais la Louisiane pour Hillary Clinton. Dans le camp démocrate, les électeurs étaient appelés à se prononcer dans trois primaires : en Lousiane (sud), dans le Nebraska (centre) et dans le Kansas (centre). Lors de ces votes, le pourfendeur de «Wall Street» Bernie Sanders a redonné avec ses deux victoires samedi dans le Kansas et le Nebraska des couleurs à une campagne qui était sortie considérablement affaiblie après le «super mardi» lors duquel Hillary Clinton avait raflé sept victoires.
Mais l'ancienne Première dame, favorite de l'investiture démocrate pour la présidentielle de novembre, a confirmé sa force avec une large victoire en Louisiane, le plus important des Etats en lice samedi soir. Hillary Clinton a notamment bénéficié du soutien de la communauté noire, un vote que Bernie Sanders ne parvient pas à obtenir.
Bernie Sanders a remporté deux victoires dans le Kansas et le Nebraska. (Photo : Reuters/ AARON JOSEFCZYK.)
Mara-des-bois
Nombre de messages : 2572 Date d'inscription : 11/06/2015
Peu importe quel candidat sera élu aux states. Nous Français nous n'avons rien à dire. N'importe qui pourrait nous demander de nous taire vu le président élu chez nous...
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Peu importe quel candidat sera élu aux states. Nous Français nous n'avons rien à dire. N'importe qui pourrait nous demander de nous taire vu le président élu chez nous...
Oui, bon, mais entre une Lambretta et un Boeing 757... il y a une différence dans le nombre de croissants qu'on peut emporter !
Marieden
Nombre de messages : 5695 Age : 23 Date d'inscription : 03/12/2014
Donald Trump déchire toujours son parti mais a de nouveau frappé fort lors des primaires républicaines, en remportant notamment la Floride de son concurrent Marco Rubio qui s'est retiré de la course. Hillary Clinton a de son côté fait un immense pas vers l'investiture démocrate.
John Kasich, nouveau poil à gratter de Trump ?
"Ce fut une soirée fantastique", a lancé Donald Trump avant de reprendre - visiblement fatigué - son discours 1.000 fois répété sur la "colère" qui gronde en Amérique. Mais l'homme d'affaires de New York, qui l'a également emporté dans l'Illinois et en Caroline du Nord, n'a pas, comme il l'espérait, assommé ce nouveau rendez-vous des primaires. Avec une victoire dans son Etat de l'Ohio, le gouverneur John Kasich a prouvé qu'il faudrait compter avec lui, devenant de facto le candidat de la base traditionnelle du parti.
"Cela pourrait être un tournant", a réagi à Cleveland, Russ Walcher, comptable de 48 ans, venu soutenir son gouverneur, qui a mis du temps à émerger sur la scène nationale. "Cela montre qu'une défaite de Donald Trump est possible. Après cette soirée, le pays, si ce n'est le monde entier, saura qui est John Kasich", estimait de son côté Mike Gonidakis, un influent conservateur local. Enthousiaste, ce dernier s'est déclaré convaincu qu'aucun candidat n'atteindrait le seuil des 1.237 délégués à la fin des scrutins en juin. Dans ce cas de figure, l'investiture serait déterminée à la convention de Cleveland, en juillet, selon une procédure complexe qui pourrait entraîner une féroce bataille.
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EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Ce soir, càd hier, je suivais l'émission de Calvi sur la 5 "C dans l'air" qui parlait de la compète des primaires entre Hillary Diane descendante de Percheronne et Naldo Atout-va le désespérant descendant de l’araucaria.
De ces papotages entre intellos il transpirait une crainte que ledit populiste Naldo néanmoins populaire emportât la mise en novembre comme champion officiel des Reps.
Une intervenante esposa que des années de politiquement correct et de langue de bois académique avaient jusqu'ici tronqué l'espression publique au point que les gens (forcément petites) éprouvaient les "outrances" du Mal coiffé comme une libération de la parole, une bouffée d'oxygène après une longue apnée logomachique imposée par une classe politique distante.
Comparativement à ce que je constate sur notre Continent à nous, je me dis que la langue fleurie est en train de bourgeonner sérieusement et que les politicards blanchis sous le système seront bientôt confrontés au même phénomène que le surgissement de nulle-part d'un Peppe Grillo laissait déjà supputer.
La parole se libère, les instincts pulsionnels aussi...
Myosotis
Nombre de messages : 205 Localisation : FRANCE Date d'inscription : 01/03/2016
D'accord avec toi Eddie, le politiquement correct n'a plus la cote ! Il a sans doute trop entravé la résolution des problèmes qui sont devenus cruciaux à force de regarder ailleurs par fausse pudeur ! Ce qui serait dommageable, c'est que le pendule de l'histoire fasse un bond sans discernement dans les exactions qui pourraient suivre la libéralisation de la parole. Nous avons tant besoin de mesure, de maîtrise, de méthode pour résoudre vraiment nos problèmes.
Younes bis
Nombre de messages : 2362 Date d'inscription : 18/12/2015
Donald Trump a indiqué récemment que ses supporters pourraient déclencher des émeutes si l'establishment républicain tentait de le priver de son titre de candidat républicain à la présidentielle lors de la convention du parti républicain en juillet.
L'establishment républicain pourrait en effet exploiter les règles de la convention pour encourager les délégués républicains à choisir un autre candidat.
Biloulou
Nombre de messages : 54566 Localisation : Jardins suspendus sur la Woluwe - Belgique Date d'inscription : 27/10/2008
Donald Trump a indiqué récemment que ses supporters pourraient déclencher des émeutes si l'establishment républicain tentait de le priver de son titre de candidat républicain à la présidentielle lors de la convention du parti républicain en juillet.
L'establishment républicain pourrait en effet exploiter les règles de la convention pour encourager les délégués républicains à choisir un autre candidat.
Faut voir si Monsanto les laissera faire...
EddieCochran Admin
Nombre de messages : 12768 Age : 64 Localisation : Countat da Nissa Date d'inscription : 03/11/2008
Primaires américaines : les favoris Clinton et Trump accuentuent leur avance (Le Parisien - 27 Avril 2016, 07h28 | MAJ : 27 Avril 2016, 07h35)
Depuis la Philadelphie, Hillary Clinton a affiché la confiance des vainqueurs, entrant en scène au son de «Eye of the Tiger», la chanson du film «Rocky». Reuters / Dominick Reuter
Petit «Super Tuesday», mais nouvelles grandes victoires pour les favoris. Le milliardaire Donald Trump a triomphé mardi dans les cinq primaires républicaines organisées sur la côte est américaine, tandis que Hillary Clinton a gagné quatre scrutins démocrates, distançant de façon décisive son rival Bernie Sanders.
Donald Trump en est désormais à 949 délégués sur les 1237 nécessaires. De son côté, Hillary Clinton comptabilise 2159 délégués contre environ 1370 pour Bernie Sanders, pour une majorité requise de 2383.
Donald Trump se voit en «candidat naturel»
Donald Trump est arrivé premier dans le Maryland, la Pennsylvanie, le Delaware, Connecticut et Rhode Island. Des victoires très larges, dépassant 50% voire 60% des voix selon les Etats contre le sénateur du Texas Ted Cruz et le gouverneur de l'Ohio, John Kasich. Au moins dans ces cinq Etats, la contre-offensive des forces républicaines opposées à Donald Trump a échoué de façon spectaculaire.
«Je me considère comme le candidat naturel», a fanfaronné l'homme d'affaires à New York, dans le hall de la tour Trump. La bataille se déplace maintenant dans des Etats a priori moins favorables au milliardaire, à commencer par l'Indiana dans une semaine.
Pour l'homme d'affaires, l'important n'est pas seulement de gagner les primaires restantes : il lui faudra s'imposer avec un très fort pourcentage dans les 10 derniers scrutins pour ravir l'investiture de façon incontestable avant la convention de Cleveland, en juillet.
Toute la stratégie de ses poursuivants vise à l'arrêter avant le seuil fatidique, afin de provoquer un événement jamais vu depuis 40 ans : une convention d'investiture «disputée», lors de laquelle les délégués devront voter autant de fois que nécessaire afin de dégager une majorité absolue.
Désireux de ne plus diviser les voix des républicains anti-Trump, John Kasich laissera le champ libre à Ted Cruz dans l'Indiana. «Ce soir, la campagne se déplace sur un terrain plus favorable!» a lancé celui-ci mardi.
L'œil du tigre d'Hillary Clinton
Côté démocrates, Hillary Clinton a quant à elle empoché les grands Etats du Maryland et de la Pennsylvanie, ainsi que le Connecticut et le Delaware. Le sénateur du Vermont Bernie Sanders n'a gagné que dans le petit Rhode Island.
Avec ses quatre victoires ce mardi, Hillary Clinton a désormais une avance quasi-insurmontable sur Bernie Sanders, qui aurait besoin de gagner environ 85% des délégués restants pour la surpasser. Hillary Clinton passe le cap des 2000 délégués, contre environ 1300 pour Bernie Sanders, pour une majorité requise de 2383.
S'exprimant à Philadelphie, en Pennsylvanie, où aura lieu la convention démocrate en juillet, Hillary Clinton a affiché la confiance des vainqueurs, entrant en scène au son de «Eye of the Tiger», la chanson du film «Rocky», et tendant la main aux électeurs de Bernie Sanders. «Que vous souteniez le sénateur Sanders ou moi, ce qui nous rassemble est plus important que ce qui nous divise», a-t-elle lancé.
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Pas à dire, Sylvette et Shansaa nous manquent cruellement...
Dernière édition par Biloulou le 27/4/2016, 11:12, édité 1 fois
Biloulou, Sylvette est toujours une garde malade très très occupée pour la rééducation, même si le malade se porte mieux de jour en jour, il n'est pas encore prêt pour le marathon, loin de là
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Elections présidentielles américaines 2016 : let's go !