Des Etats Unis

Lawrence a écrit:

Chers amis,

Nous avons hélas connu 8 années de conneries avec Bush Junior, allez vous vous abaisser à reproduire le même scénario avec Obama.....
N'avez vous rien de plus intelligent à développer sur LP ?

Merci pour le niveau de ce site..........

Bonjour Lawrence !

Moi pas comprendre quoi toi vouloir dire. Ca devoir être mon françois défaillant, sans doute...

Sylvette a écrit:

... et en particulier a Zed et Biloulou
[...]
Merci a tous les deux. C'est vraiment tres gentil.

=====

Au sujet de fierte, Felicitations a nos seals! (3 balles - 3 pirates en moins! )

Merci pour vos bonnes nouvelles, Sylvette ! Continuez !

(Mes congratulations aux phoques ! )

Vous avez vu ?

Il y a... heu... truc... machin... qui a timidement pointé le bout de son nez !

(Comment s'appelle-t-il encore ? Ah oui, ça me revient : Legolem ! )

379-

TOUJOURS AUSSI DÉSOLÉ, VOTRE SYNTAXE EST DE PLUS EN PLUS PÉNIBLE, LA FORME BEUF.... PANI PÔBELM MAIS ALORS LE FOND SE SITUE AU RAS DES PAQUERETTES...

¥_zed_¥ a écrit:

Biloulou a écrit:

Lawrence a écrit:

Chers amis,

Nous avons hélas connu 8 années de conneries avec Bush Junior, allez vous vous abaisser à reproduire le même scénario avec Obama.....
N'avez vous rien de plus intelligent à développer sur LP ?

Merci pour le niveau de ce site..........

Bonjour Lawrence !

Moi pas comprendre quoi toi vouloir dire. Ca devoir être mon françois défaillant, sans doute...

Lui y en n'a vouloir dire que islam doit détruire tout, par ce que islam être paix et amour beaucoup.

Il y a des fous sur notre jolie planète bleue démocratique et évoluée qui non que pour plaisir que de voir le monde entrain de bruler.

Enfin un collaborateur démocrate sérieux entre a la maison blanche.


Voici Bo Obama


Bo, six mois et déjà une star, fait ses grands débuts de chien présidentiel



Bo, le nouveau chien des Obama, a fait ses débuts officiels devant la presse mardi sans se montrer autrement impressionné par le déploiement de journalistes que le président américain lui-même a jugé "spectaculaire" et "bien mérité".





Monde - International 10:53
Bo, le nouveau chien des Obama, a fait des débuts officiels et folâtres mardi à la Maison Blanche sans se montrer autrement impressionné par le déploiement de journalistes que le président américain lui-même a jugé "spectaculaire" et "bien mérité".
Cela faisait des mois que les Américains attendaient cela: vers 16H30 (20H30 GMT), Bo, un chien d'eau portugais au pelage frisé noir, avec le dessous du museau, le plastron et le bout des pattes blancs, est sorti de la Maison Blanche avec toute l'allégresse de ses six mois, difficilement contenue par la laisse au bout de laquelle le tenait Michelle, la Première dame.
Des dizaines de journalistes, photographes, caméramen s'étaient pressés pour voir tour à tour M. Obama, Michelle, et leurs filles Malia et Sasha faire joyeusement gambader (et librement uriner) Bo sur les pelouses de la Maison Blanche.
Avec son entrain, Bo a failli, pour ses grands débuts, causer un terrible impair et faire tomber le président sur l'herbe humide.
"J'ai enfin un ami, ça a pris un peu de temps", a plaisanté M. Obama, rompant un instant avec la gravité des temps économiques et détournant le bon mot attribué à l'ancien président Harry Truman: "Si vous voulez avoir un ami à Washington, prenez un chien..."
M. Obama a donné un aperçu des soucis supplémentaires que lui valait l'arrivée de ce nouveau résident. Pour les promenades, ce sera chacun son tour, a-t-il tranché.
Le problème des chiens d'eau portugais, c'est aussi "qu'ils aiment les tomates, le jardin de Michelle est en danger", a-t-il dit en parlant du potager que son épouse vient de créer.
Un souci qu'il n'aura pas, c'est celui de l'endroit où dormira Bo: "Pas dans mon lit", a-t-il dit.
M. Obama avait promis un chien à Malia, 10 ans, et Sasha, 7 ans, pendant la campagne présidentielle, pour se faire pardonner ses longues absences.
Il aura fallu aux Obama en passer par un processus rigoureux: décliner les offres venues du monde entier, renoncer à recueillir un chien de la fourrière ou à prendre un bâtard (un "croisement comme moi", comme l'aurait souhaité M. Obama), et porter son choix sur une race à laquelle Malia ne soit pas allergique.
Au bout du compte, Bo est un cadeau du sénateur Edward Kennedy, grande personnalité politique américaine et propriétaire de chiens d'eau portugais.
Une présence animale semble indissociable de l'exercice du pouvoir suprême aux Etats-Unis.
Tous les présidents depuis Calvin Coolidge, élu en 1923, ont eu au moins un animal pendant leur mandat, selon le site dogsinthenews.com. Les prédécesseurs de Bo, les Scottish terriers Barney et Miss Beazley, avaient leur entrée sur le site internet de la Maison Blanche.
L'image des photographes mitraillant sous tous les angles Socks, le chat des Clinton, a fait le tour du monde.
Celles de Bo devraient connaître une belle popularité, à en croire l'intérêt suscité par son arrivée à la Maison Blanche, qui a volé la vedette à un discours de M. Obama sur l'économie pourtant annoncé comme "majeur". M. Obama ne lui en veut pas: Bo "a l'étoffe d'une star", a-t-il dit.

Manifestations contre la politique fiscale d'Obama



j'ai vu qu'un petit nouveau entrait à la Maison Blanche en plus de Bo, c'est l'acteur Indien de la série Docteur House

L'acteur américain Kal Penn de la série télévisée «Dr House» vient d'accepter un emploi à la Maison Blanche ! Après avoir participé à la campagne de Barack Obama en 2007 et 2008, l'acteur d'origine indienne va travailler pour le président Obama. De son vrai nom Kalpen Modi, le jeune homme a déclaré au magazine Entertainment Weekly qu'il allait rejoindre le bureau des relations publiques de la Maison Blanche, afin d'aider l'administration dans ses relations avec le monde des arts et du spectacle.

Il a qualifié cette opportunité de travailler pour l'administration Obama d'«honneur incroyable».

«J'ai pensé que c'était le bon moment de partir et de faire quelque chose d'autre», a-t-il dit au magazine justifiant ainsi son choix d'abandonner son rémunérateur métier d'acteur pour un poste dans la fonction publique. «C'est probablement en raison du système de valeurs que mes grands-parents m'ont inculqué. Ils ont manifesté avec Gandhi dans le mouvement indépendantiste, et c'est resté présent dans mon esprit», a-t-il confié.

il va payer beaucoup moins d'impôts !!

Citation :

"La chute libre de l'économie semble s'être arrêtée", a déclaré le directeur du Budget à la Maison Blanche, Peter Orszag, sur CNN.

Mais n'est pas pour autant tirée d'affaire, a t-il aussitôt ajouté.

Il a estimé notamment qu'il faudrait encore du temps avant que le vaste plan de relance de l'économie de 787 milliards de dollars approuvé par le Congrès en février et mis en place par l'administration du président américain Barack Obama ne fasse pleinement effet.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hcpIjXPM4877TENyPGqL4zRhDYEg

Arrestation à New York de quatre suspects préparant un attentat contre une synagogue et des objectifs militaires
(AP - 21.05.2009 - 07:19)

Le FBI a arrêté mercredi quatre hommes soupçonnés de préparer un attentat à la bombe contre une synagogue du Bronx. Les quatre hommes envisageaient également de tirer des missiles guidés sur des appareils militaires, selon les autorités.

Des responsables ont expliqué à l'Associated Press que ces arrestations surviennent après une opération longue et discrète de filature qui aura duré plus d'un an et qui a commencé à Newburgh, une petite ville située à quelque 110km au nord de New York.

Le bureau du procureur fédéral a précisé que les quatre suspects ont été inculpés de complot en vue d'utiliser des armes de destruction massive sur le sol des Etats-Unis et complot en vue d'acquérir et d'utiliser des missiles antiaériens.

Selon les autorités, les hommes arrêtés mercredi soir avaient apparemment prévu de faire exploser une voiture bourrée de plastic C-4 devant une synagogue et un centre communautaire juif du quartier de Riverdale, dans le Bronx. Ils avaient également l'intention de viser avec des missiles guidés Stinger des avions militaires sur la base aérienne de la Garde nationale de l'Etat de New York à Newburgh.

Selon les autorités, les quatre terroristes présumés qui tentaient de se procurer des armes ont commis l'erreur de contacter un informateur du FBI. Le bureau fédéral d'enquête et d'autres agences fédérales de sécurité ont alors placés ces hommes sous une surveillance étroite et leur ont même fourni via l'informateur un missile sans mise à feu et du C-4 inerte.

En juin 2008, l'informateur a rencontré l'un des suspects, James Cromitie à Newburgh. Cromitie s'était alors plaint du fait que des parents vivaient en Afghanistan et était bouleversé par la guerre qui s'y déroulait et par le fait que de nombreux musulmans soient tués en Afghanistan et au Pakistan par les forces américaines.

Cromitie avait également exprimé son intention de faire "quelque chose en Amérique", soulignent les autorités.

En octobre 2008, l'informateur a commencé à voir régulièrement les quatre hommes dans une maison de Newburgh équipée d'un système vidéo et audio caché.

En avril 2009, les quatre suspects ont choisi leur cible: une synagogue et un centre communautaire juif de New York. Ils ont également effectué des surveillances de la base aérienne de la Garde nationale de l'Etat de New York à Newburgh.

Le parlementaire républicain Peter King, membre de la Commission de la Sécurité intérieure de la Chambre des représentants, a souligné que ce cas montrait le danger que représentent les terroristes vivant sur le sol même des Etats-Unis. "C'est une enquête longue et bien préparée et elle montre la réalité de la menace que fait planer les terroristes de l'intérieur", a souligné le représentant de l'Etat de New York.

De son côté, le sénateur démocrate de New York Charles Schumer a estimé que s'il ne devait qu'une seule bonne nouvelle dans cette affaire est "ce groupuscule était relativement peu organisé, qu'il a été infiltré très tôt et qu'il n'avait aucun contact avec d'autres organisations".

Les quatre suspects doivent comparaître ce jeudi devant le tribunal fédéral de White Plains, dans la banlieue de New York. AP

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Oui, Monsieur le Président, la douce musique de la campagne électorale a fini de résonner, place aux réalités : même si cette tentative d'attentat ne semble pas, à ce stade, provenir d'un groupe bien structuré, la guerre contre le terrorisme islamiste est loin d'être terminée, elle devrait même son plein si on n'avait pas à faire à des leaders oublieux et pusillanimes !

si je comprends bien le message ci-dessus
le fbi fournit des faux explosifs à des citoyens américains pour qu'ils organisent des attentats?
ensuite il les arrête pour faire croire qu'ils ont réalisé un super coup de filet
ça semble un peu surréaliste cette histoire
non?

Oui, Monsieur le Président, vous avez toujours eu une vision extraordinairement pénétrante et claire de ce qui se passe aux États-Unis d'Amérique...

le fbi fournit des faux explosifs à des citoyens américains pour qu'ils organisent des attentats?

Il n'y a que l'intention qui compte.

D'OU PAR SIMPLE RAISONNEMENT LA PRÉSENCE DE FAUX TERRORISTES À GUANTANAMO

JACKLELOUP a écrit:

le fbi fournit des faux explosifs à des citoyens américains pour qu'ils organisent des attentats?

Il n'y a que l'intention qui compte.

390-
La torture sous Bush : la liste des « treize tortionnaires »

Il y avait déjà les « sept mercenaires », les « douze salopards », voici les « treize tortionnaires ». Il ne s'agit pas d'un film, mais de la liste, diffusée par le site américain Salon.com, des treize officiels américains responsables du recours à la torture dans le cadre de la « guerre contre le terrorisme ». Un élément de plus dans la formidable polémique entourant les dossiers noirs de l'ère Bush qui empoisonnent les débuts de Barack Obama.

A l'image de la France, qui a été hantée pendant des décennies par la question de la torture en Algérie, les Etats-Unis n'en sont qu'au début d'un long calvaire provoqué par cet héritage empoisonné légué par l'administration Bush.

L'échange acrimonieux cette semaine, entre Barack Obama et l'ancien vice-président Dick Cheney, autour des prisonniers de Guantanamo, ainsi que le refus des sénateurs démocrates de voter les fonds nécessaires pour fermer l'indigne camp de prisonniers situé sur l'île cubaine, montre l'ampleur des dégats.

Cette liste est intéressante, car, à côté des noms les plus connus -Bush, Cheney, Rumsfeld, Tenet…-, on trouve les petites mains obscures nécessaires dans toutes dérive totalitaire : celle des juristes qui rédigent les actes nécessaires dans ce qui se veut toujours un Etat de droit, des psychologues qui déterminent quelles tortures sont acceptables et d'autres pas… Sans eux, la façade démocratique ne tiendrait pas.

Voici, dans l'ordre donné par Marcy Wheeler sur Salon.com, ces douze hommes et une femme qui portent cette lourde responsabilité, et qui échappent, pour l'instant, à toute action en justice.

Dick Cheney, vice-président de George W. Bush
Vice-Président des Etats-Unis pendant les deux mandats de George W. Bush (2001-2009). Avec son conseiller David Addington (lire ci-dessous), il a déterminé au lendemain du 11-Septembre que les lois internationales ne pouvaient pas empêcher les Etats-Unis de pratiquer la torture dans le cadre de leur guerre contre le terrorisme.

Cheney est soupçonné d'avir ordonné lui-même des actes de torture sur des prisonniers.

David Addington, conseiller de Dick Cheney
Conseiller (2001-2005), puis chef de cabinet (2005-2009) du vice-président Dick Cheney. Addington a pris la tête de la croisade pour justifier le fait que le président des Etats-Unis ne pouvait pas être limité par la loi, pas même celle qui interdit la torture.

Il a créé un « Conseil de guerre » avec Jim Haynes, John Yoo, John Rizzo et Alberto Gonzales (lire ci-dessous), chargé de faire le travail légal pour permettre la torture.

Alberto Gonzales, conseiller juridique puis ministre de la Justice
Conseiller juridique de la Maison-Blanche (2001-2005) puis Attorney General (l'équivalent du ministre de la Justice) des Etats-Unis (2005-2008), Gonzales a incarné l'« opinion légale » du Président.

A ce titre, en 2002, il a exempté des prisonniers membres d'Al Qaeda du cadre légal des Conventions de Genève, estimant que la guerre contre le terrorisme était « une autre forme de guerre ».

James Mitchell, psychologue militaire
Psychologue militaire à la retraite, un des artisans du programme Sere (acronyme pour « Survival, Evasion, Resistance and Escape ») de l'armée américaine qui a servi de base à certaines méthodes d'interrogatoire musclé.

Avant même le feu vert légal, Mitchell a personnellement supervisé l'interrogatoire d'un membre d'Al Qaeda avec des méthodes « borderline torture » (à la limite de la torture), et a pratiqué la méthode de la simulation de noyade au-delà de ce qui était légalement prescrit.

George Tenet, directeur de la CIA
Dirceteur de la CIA (1997 à 2004), Tenet a eu la responsabilité suprême pour le programme de capture, de détention et d'interrogatoire des membres présumés d'Al Qaeda, et devait en rendre compte personnellement au sommet de l'Exécutif. C'est sous sa responsabiité que le programme Sere a été inversé pour servir de technique d'interrogatoire.

Condoleeza Rice, conseillère à la Sécurité nationale puis secrétaire d'Etat
Conseillère à la Sécurité nationale (2001-2005), puis secrétaire d'Etat (ministre des Affaires étrangères) de 2005 à 2009, Rice a approuvé (elle dit aujourd'hui qu'elle a « transmis l'approbation ») le premier recours à la torture contre le membre présumé d'Al Qaeda, le Saoudien d'origine palestinienne Abu Zubaydah en 2002. Ce feu vert a conduit à un usage accru de la torture contre ce prisonnier.

John Yoo (justice)
Vice-Attorney General adjoint (2001-2003), Yoo a rédigé les premiers mémorandums établissant les règles de la torture, et déterminant les pouvoirs illimités du Président en temps de guerre. Il a aussi rédigé les textes garantissant l'impunité pour les auteurs de ces actes.

Jay Bybee (justice)
Attorney General adjoint (2001-2003), ByBee a donné son nom à deux mémorandums sur la torture préparés par son adjoint John Yoo (voir ci-dessus). A été promu juge après avoir signé les deux documents désirés ardemment par la Maison Blanche.

William « Jim » Haynes (Pentagone)
Conseiller juridique du département de la Défense (2001-2008), il a supervisé les bases légales des techniques d'interrogatoire des prisonniers détenus par l'armée. Il a en particulier servi d'intermédiaire entre les spécialistes du programme Sere et la CIA, qui, dès la fin 2001, s'est posé la question des interrogatoires de prisonniers d'Al Qaeda.

Haynes a délibérément ignoré les avis provenant de l'intérieur de l'institution militaire, estimant que ces techniques violaient les règles sur la torture et du traitement « humain ».

Donald Rumsfeld, secrétaire à la Défense
Secrétaire à la défense (2001-2006), Rumsfeld a approuvé les méthodes d'interrogatoire des militaires dans les prisons d'Abu Ghraib (Irak), de Bagram (Afghanistan), et de Guantanamo (Cuba). Son feu vert a déplacé le recours à la torture de la CIA à l'armée. Un récent rapport bipartisan du Sénat américain lui attribue la responsabilité directe de l'usage de ces méthodes d'interrogatoire à Guantanamo, y compris le recours à des chiens ou à la nudité.

John Rizzo (CIA)
Vice-Conseiller juridique de la CIA (2002-2004), puis conseiller juridique encore en poste (2004 à aujourd'hui), son nom apparait sur bon nombre de documents controversés relatifs à la torture, et même s'il a qualifié certaines méthodes d'inefficaces, il les a approuvées et a recommandé à la CIA de demander l'autorisation de les utiliser.

Steven Bradbury (justice)
Premier Vice Attorney General adjoint (2004), puis Attorney General Adjoint (2005-2009), il a été chargé en 2005 de contrer un rapport de l'inspecteur général de la CIA estimant que les méthodes d'interrogatoire pourraient violer la Convention internationale contre la torture.

Dans ses mémorandums, il pèse le pour et le contre, mais considère ces methodes comme « nécessaires dans les cas de grave menace ».

George W. Bush, président des Etats-Unis
Last but not least… The President of the United States himself !

George W. BUsh a initialement gardé ses distances avec les questions liées à la torture, et, selon Cheney, s'est contenté de les autoriser… Mais il en est devenu le premier défenseur et avocat, défendant, notamment en 2006 à propos du cas d'Abu Zubaydah, leur efficacité et leur nécessité. Et, selon la logique de ses principaux partisans, s'il ne s'y est pas opposé, c'est que ce n'était pas de la torture. CQFD.

On comprend mieux pourquoi Dick Cheney, cette semaine, est monté au créneau pour s'opposer à Barack Obama, dans un échange de discours assez extraordinaire et assez exemplaires de valeurs opposées : celles de la sécurité nationale par dessus tout pour l'ancien Vice-Président, contre celles d'Obama qui défend l'idée que la sécurité des Etats-Unis n'est pas incompatible avec le maintien de ses valeurs, et en particulier celles des droits de l'homme.

Là où ça se complique, c'est lorsque les démocrates cèdent aux sirènes sécuritaires, et ne trouvent pas grand intérêt à aider Obama à tenir sa première promesse de son mandat : fermer Guantanamo. Ou quand on apprend que Nancy Pelosi, la présidente démocrate de la Chambre des Représentant, avait été informée dès 2002-2003 des techiques d'interrogatoire de la CIA, et n'avait rien dit…

Ce débat est passionnant pour le monde entier, car il est évident qu'aucune démocratie n'est à l'abri d'un tel dérapage, surtout après un événement aussi traumatisant que les attentats du 11 septembre.

On lira également avec intérêt, pour alimenter ce débat, la traduction française des mémorandums sur la torture rendus publics en avril par l'administration Obama. Ils viennent d'être publiés sous le titre « Techniques d'interrogatoire à l'usage de la CIA », aux éditions des Equateurs, avec une préface de Jean-Pierre Perrin dont on extraiera la phrase suivante :

« Le combat pour découvrir l'étendue de ce continent de l'ombre ne fait d'ailleurs que commencer. Il ne sera pas facile. La publication des quatre mémorandums a d'ores et déjà suscité une violente polémique au sein de l'administration américaine. De hauts responsables de la CIA craignaient que cette décision ne suscite un dangeureux précédent.

Si Obama est passé outre, il est à craindre que la poursuite de l'enquête, au fur et à mesure qu'elle approchera les hauts responsables ayant permis à cette part d'ombre de prospérer au sein du pouvoir, se heurte à des obstacles de plus en plus élevés. (…)

Que celle-ci puisse aboutir est une nécessité absolue. Pour la démocratie bien sûr. Mais aussi, si l'on opte pour la version cynique des choses, parce que l'exigence de vérité fait partie de la guerre contre les forces obscures. »

Bonjour Lawrence !

Et tu as passé toute la nuit à nous concocter ce formidable scénario à la gloire des nouveaux héros des États-Unis d'Amérique ?
Ou tu l'as trouvé tout fait dans une officine d'agit-prop spécialisée ?

(Pssst... pour ne pas faire de jaloux... t'as pas oublié Barack-Hussein Obama ? )

Biloulou a écrit:

Arrestation à New York de quatre suspects préparant un attentat contre une synagogue et des objectifs militaires

Le FBI a arrêté mercredi quatre hommes soupçonnés de préparer un attentat à la bombe contre une synagogue du Bronx. Les quatre hommes envisageaient également de tirer des missiles guidés sur des appareils militaires, selon les autorités.... snip....

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Les quatre suspects doivent comparaître ce jeudi devant le tribunal fédéral de White Plains, dans la banlieue de New York. AP

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Oui, Monsieur le Président, la douce musique de la campagne électorale a fini de résonner, place aux réalités : même si cette tentative d'attentat ne semble pas, à ce stade, provenir d'un groupe bien structuré, la guerre contre le terrorisme islamiste est loin d'être terminée, elle devrait même son plein si on n'avait pas à faire à des leaders oublieux et pusillanimes !

Bonjour Biloulou,

Fait beau chez vous j'espere ?

Oui bon, Il fallait bien trouver qq un pour initier le truc et voila le FBI qui fait son entree, pour les pousser a mener a bout leur projet
On n'avait pas eu d'alertes depuis longtemps !.

Tout le monde sait bien entendu et surtout aux US post 9/11, que 4 pekins lambda, sans aucune filiere ni connection ont toutes les chances d'avoir acces a des missiles sol-air Stinger, du C-4 et autres babioles du meme genre, au nez et a la barbe des autorites.
Des "terroristes" bien naifs et bien credules je trouve, pour etre capable de mettre en place une operation d'une telle envergure. Alors zon trouve que les men in blacks ? Rien que ca deja devrait faire reflechir les esprits un peu curieux je trouve mais bon...

Ah oui, They stated that they wanted to commit jihad et voila notre FBI qui intervient alors que sans cette manne tombee du ciel, nos 4 hurluberlus n'auraient
jamais pu aller au dela de la fantaisie illuminee de leurs cerveaux primaires.

C'est le supplice de Tantale revisite, cette histoire .

Bonne journee, profitez du beau temps Europeen qui parait-il ne doit pas durer.

Bonjour Shansaa, heureux de vous lire !

Il fait un temps estival à Bruxelles, j'en profite autant que je peux avant mes prochaines vacances forcées à Guantánamo Bay...

Par delà l'humour de votre "392"... faut-il comprendre que, pour vous, l'attentat avorté in extremis de ces quatre islamistes fait partie d'un complot de la CIA pour déstabiliser l'Administration Obama ?

Biloulou a écrit:

Bonjour Shansaa, heureux de vous lire !

Il fait un temps estival à Bruxelles, j'en profite autant que je peux avant mes prochaines vacances forcées à Guantánamo Bay...

Par delà l'humour de votre "392"... faut-il comprendre que, pour vous, l'attentat avorté in extremis de ces quatre islamistes fait partie d'un complot de la CIA pour déstabiliser l'Administration Obama ?

biloulou;
je comprends que tu te réjouisses qu'un attentat puisse être déjoué "in extremis" (avorté me semble peu adéquat)
cela dit, si tu avais bien lu le reportage, tu aurais vu que ces quatres personnages avaient "peut-être" l'intention (ça n'est pas encore prouvé mais l'enquête ne manquera pas de nous le dire) mais surtout n'avaient pas les moyens de le faire
vu qu'ils n'avaient ni explosifs ni missiles !!
le c4 et le missile étant factices et fournis par le fbi lui même

relis l'article, tu verras, c'est écris dedans

quatre voyous se font entraîner dans une aventure rocambolesque
(j'avais dit "abracadabrantesque" la fois d'avant, "j'essaie" d'éviter les répétitions...)


bon, c'est peut-être obama qui a organisé la farce
mais à mon avis, ça ressemble plutôt à un de ces coup (auxquels nous avait habitué la cia) destinés à obtenir une augmentation de budget pour le fbi

jam en 394 a écrit:

biloulou;
je comprends que tu te réjouisses qu'un attentat puisse être déjoué "in extremis" (avorté me semble peu adéquat)
cela dit, si tu avais bien lu le reportage, tu aurais vu que ces quatres personnages avaient "peut-être" l'intention (ça n'est pas encore prouvé mais l'enquête ne manquera pas de nous le dire) mais surtout n'avaient pas les moyens de le faire
vu qu'ils n'avaient ni explosifs ni missiles !!
le c4 et le missile étant factices et fournis par le fbi lui même

relis l'article, tu verras, c'est écris dedans

quatre voyous se font entraîner dans une aventure rocambolesque
(j'avais dit "abracadabrantesque" la fois d'avant, "j'essaie" d'éviter les répétitions...)

bon, c'est peut-être obama qui a organisé la farce
mais à mon avis, ça ressemble plutôt à un de ces coup (auxquels nous avait habitué la cia) destinés à obtenir une augmentation de budget pour le fbi

Tu as probablement raison au sujet de la nuance entre "avorter" et "déjouer" ("in extremis" dans les deux cas) et je suis toujours friand de recevoir des leçons de langue française. Un grand merci.

Pour le reste... oui, je crois avoir bien lu cette dépêche et d'autres aussi sur le même sujet, et j'ai même vu la reconstitution de l'arrestation des terroristes : ils venaient de transférer les "charges explosives" dans deux voitures déjà stationnées devant la sinaguogue et allaient s'enfuir.

Comme tu suggères, ce doit être un coup organisé par le FBI à la botte d'Obama.

(Tu as certainement bien lu, toi, la dépêche de l'AP dont on parle. Il subsiste juste un petit problème : je n'y ai pas trouvé le terme "peut-être" que tu cites.
Mais je fais probablement erreur... )

peut-être?

le texte dit "soupçonnés de vouloir préparer"
"soupçonnés" c'est ni une preuve ni une certitude c'est qu'on suppose, qu'on croit, qu'on pense, qu'on suspecte, etc...
"de vouloir", c'est qu'ils ont l'intention, le désir, le projet, etc... mais c'est pas qu'ils l'ont fait, ... ni même décidé
"préparer", ça détermine une intention mais comme elle est "soupçonnée" .... !!

bref, l'emploi du "peut-être" me semblait appropriée "actuellement"
mais j'ai espoir que l'enquête nous en apprendra plus ...
si elle n'est pas enterrée, bien entendu

Biloulou a écrit:

Bonjour Shansaa, heureux de vous lire !

Il fait un temps estival à Bruxelles, j'en profite autant que je peux avant mes prochaines vacances forcées à Guantánamo Bay...

Par delà l'humour de votre "392"... faut-il comprendre que, pour vous, l'attentat avorté in extremis de ces quatre islamistes fait partie d'un complot de la CIA pour déstabiliser l'Administration Obama ?

Bonsoir Biloulou,

Profitez des belles journees, en Europe helas, elles se suivent sans vraiment se ressembler.

Destabilisation d'Obama ? Non du tout, au contraire ca ne peut que valoriser le gouvernement qui s'occupe si bien de nous etc. etc.,

Je ne suis pas partisane des theories du complot de ce genre, simplement je connais trop bien les organisations de mon pays pour ne
pas trouver que certains evenements tombent toujours a un moment X ou certaines instances trouvent que nous n'avons pas assez peur ! Ca me rappelle encore les alertes couleur agrumes et fruits que nous avons subies pour rien, si ce n'est que pour faire diverger notre attention sur certaines actions quand notre ex petit pere du peuple avait besoin qu'on regarde de l'autre cote.
On pouvait pratiquement prevoir le jour de ces alertes, qui etaient immanquablement au Rendez-vous

Pour Guantanamo, j'attendrais un tout petit peu quand meme . Cela dit il y a le reste du pays a voir et il est superbe.

Bonjour Shansaa !

Vous connaissez certainement beaucoup mieux que moi les moeurs politiques de votre pays, mais bon, je vous avoue avoir du mal à imaginer que ces attentats manqués sont une combine organisée par l'Administration Obama pour se mettre en valeur et détourner l'attention du public d'autres sujets.
Peut-être pour justifier un virage à épingle à cheveux sur Guantánamo ?

Enfin, si c'est vous qui le dites...

(Aujourd'hui pas de farniente pour moi, j'ai un très long entretien prévu toute l'après midi avec mon avocat fiscaliste : après 18 ans l'Administration fiscale sort d'une longue léthargie et a paresseusement demandé fixation devant la cour d'appel d'une vieille affaire... les avocats respectifs étaient d'avis de laisser le dossier s'éteindre de sa belle mort, que le premier qui bougerait perdrait. Ils ont bougé. J'espère que ce sera pour moi l'occasion de me marrer encore un peu ! Vous pensez que le FBI pourrait faire quelque chose pour moi ? )

jam en 396 a écrit:

peut-être?

le texte dit "soupçonnés de vouloir préparer"
"soupçonnés" c'est ni une preuve ni une certitude c'est qu'on suppose, qu'on croit, qu'on pense, qu'on suspecte, etc...
"de vouloir", c'est qu'ils ont l'intention, le désir, le projet, etc... mais c'est pas qu'ils l'ont fait, ... ni même décidé
"préparer", ça détermine une intention mais comme elle est "soupçonnée" .... !!

bref, l'emploi du "peut-être" me semblait appropriée "actuellement"
mais j'ai espoir que l'enquête nous en apprendra plus ...
si elle n'est pas enterrée, bien entendu

Quelle débauche de nuances et déclinaisons, j'en ai pour une journére d'étude - mais pas cet après-midi.
Oui, nous verrons comment l'enquête évolue... sauf si le président Obama la fait enterrer, mais c'est difficle de croire que cela puisse arriver.

Enfin, il me semble...